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#analyse musicale
basilepesso · 25 days
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Echo and the Bunnymen, The Killing Moon, Live (no date)
Malgré le talent de Thom Yorke (le génie du groupe est pour moi Johnny Greenwood), il faut dire que Creep est pompé sur Sittin' on the Dock of the Bay d'Ottis Redding et Sea of Love de Phil Phillips, et que My Iron Lung est pompé sur The Killing Moon.
Cherchez les partitions et vous verrez...
Basile Pesso, 15 avril 2 024 (Fb avec le live)
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ushioliddell-blog · 5 days
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Ayhalo : une analyse des obstacles à.
Et me revoilà. ^^ Vous aviez hâte ? (Non). Et j'avais oublié un point pour la première partie. Heureusement que ce n'est pas une dissertation notée, c'eût été compliqué, sinon. Un point très court. Q!Bad est maso,au moins un peu, Q!Aypierre, sadique. Complémentarité <3 Bon, maintenant, on embraye, après cet oubli malencontreux dont je m'excuse.
La seconde partie, les enfants. Qui a l'air attendue, on dirait XD Et on continue en français, vu qu'on a commencé en francais.
Et ils en ont, des obstacles. Croyez moi. Allons y donc. Et visiblement la musique a décidé de venir accompagner mon discours. Donc on l'accueille bien fort, elle aussi. Merci.
II ) Les obstacles.
A) Le problème de clarté.
Si le Furryduo avait des soucis de communication, de manière générale, eux.....C'est tout particulièrement la clarté. Je m'explique. Ils vont se faire des allusions.....et l'autre va pas du tout comprendre les allusions. Un exemple : Q!Bad, parlant des crushing wheels comme un câlin....Comme s'il en voulait un. La réponse ? Ben....rien. il bossait sur ses machines. Et c'est QUE des trucs comme ça. Des allusions que l'autre relève pas ou peu, surtout du coté de Q!Bad (le "i'm available " qui est passé au travers des mailles du filet probablement par un soucis de trad pour le double sens ).
Ou va pas comprendre que y a des allusions du tout. Q!Bad, si on regarde par le passé, a jamais été très doué pour déceler les allusions sentimentales comme elles le sont habituellement. XD
En d'autres termes, si aucun des deux à un moment donné ne va voir l'autre en mode "Je te veux", (pas cette phrase exacte mais en mode clair sur ce qu'ils veulent ), ça bougera pas.
Et y a plus de chance que ça vienne de Q!Bad que de Q!Aypierre. Tout simplement parce que Q!Aypierre considérerait ça comme un aveu de faiblesse, d'autant plus après Q!Max. Et Q!Bad comme un jeu en mode "oh, could it be funny, let me see if you can make me fall " et Q!Aypierre détesterait s'abaisser à se montrer faible et dépendant. Ça lui ferait redoubler d'ardeur dans le jeu, mais absolument cacher ses sentiments.
Par contre, dans l'autre sens (soit Q!Bad venant à lui et le jeu ) là ça marche xD Bon, dans ma configuration Q!Aypierre finirait par perdre à terme, après un très très très très long jeu (qui finirait limite par devenir comme leur jeu de chamailleries capitalistes mais constant en redoublant d'efforts pour pas laisser l'autre indifférent ou obtenir de l'attention ) et Q!Bad triompher mais voilà. Bien aidé par visiblement la nature un peu maso et très joueuse et manipulatrice avec en même temps de l'ego de Q!Bad, et celle sadique et malgré tout empreinte de gentillesse de Q!Aypierre, mais aussi également compliqué à cause de leurs égos qui ont du mal à accepter de se laisser à leurs émotions face à quelqu'un d'autre (Q!Aypierre ) ou d'être simplement dépendant d'autres et accepter ses propres désirs et laisser quelqu'un en prendre soin (on rappelle qu'avant il était parti vivre loin de tous XD ) (Q!Bad ).
En d'autres termes, si ça devient clair, ça deviendra une bataille d'egos emplie de jeu et le jeu finira par les consumer au point de plus pouvoir se cacher derrière XD
Niveau musical, un mix entre Power and Control de Marina and the Diamonds et Jamais je n'avouerai dans Hercule XD
B) "Fuis moi, je te suis ".
J'imagine déjà vos questions avec cette phrase. Pour le coup, très lié à Q!Bad. Il cherche de l'attention, des gens pour s'entourer. Mais en même temps.....Comprend JAMAIS les allusions à ça quand elles sont réellement intéressées. (Et ça continue avec la baignoire par exemple ). Et......poursuit quand ça ne l'est plus. Donc si intéresser....Ben il le voit pas XD
Pour le coup encore une ref musicale : Il aurait suffi de la comédie musicale le Rouge et le Noir.
Q!Aypierre de son côté, laisse venir à lui, quand bien même il ait des inclinaisons. Il ne se livre et encore que sous des formes incomplètes et en se cachant derrière des blagues pour minimiser l'emprise, comme ce qu'il a fait avec le début de relation avec Q!Max, de manière à garder le contrôle sur ses émotions. Contrôle qui s'est clairement renforcé. Donc ça être long pour venir à bout du truc. Ça finira par venir, si ça se fait, car l'amour ne se contrôle pas, mais derrière va falloir continuer de prouver que l'histoire ne se répétera pas, chemin déjà à moitié fait cependant, simplement à décliner dans ce cas là ("I know you will always be there, unlike Maximus") et que c'est ok d'aimer. De l'autre coté, apprendre à voir les signaux et qu'il en a bel et bien le droit (le lore du Fallen Angel de @awdee, pour le coup melangée à la fameuse théorie déjà partagée ici qui explique sa manière d'aimer ). Mais si vous vous attendez à des fleurs (sauf pour Q!Bad qui les exigera à grand cris, et Q!Aypierre qui le fera marner avec ça, avant de les laisser chez lui discrètement ) ....Nope. attendez vous à des pranks en série, des allusions sur son goût potentiel, le jeu encore et toujours, de quoi toujours avoir et demander de l'attention, encore plus de plans machiavéliques, parce que ça fait partie de la manière d"aimer" de Q!Bad et Q!Aypierre va s'y adapter ultra vite comme il s'adapte toujours à ce que fait Q!Bad et dans le plus privé possible, après un très long moment un début de pansage de plaies et une introduction à la tendresse comme on a pu en voir vers la fin du Furryduo. En public ? Possible. Mais je doute que Q!Bad accepte facilement XD Ca aussi ça va vite tourner au jeu XD
C) Leurs blessures.
Et ils sont blessés. Très blessés. Tout les deux avec une peur de l'abandon qui leur fait faire tout et n'importe quoi. S'attacher, c'est prendre le risque d'être un jour abandonné. Encore. L'un a vu mourir toutes les personnes dont il a emmené les âmes, l'autre est littéralement dans le corps de la création qu'il a abandonné et s'est fait à son tour abandonné par l'homme qu'il aimait. Et Q!Bad ne sait PAS que théoriquement, Q!Aypierre est aussi immortel qu'il l'est.
S'attacher à un humain, qu'il pourrait perdre ? Comme le perso auquel il s'était attaché et qui est mort ? Hmm....
Et pour Q!Aypierre, se livrer, prendre le risque de se faire encore briser, se montrer vulnérable.....Hmm..
Pour Q!Bad, aimer à l'humaine, accepter qu'il puisse éprouver éventuellement certaines choses, vouloir laisser le contrôle éventuellement à quelqu'un d'autre, laisser l'autre prendre soin de lui et le voir vulnérable, être accepté tel qu'il est, ainsi que ses envies.....
Pour que ça tienne, ce sont les plaies qui devront être pansées.
D) Leurs sentiments.
Avant toute chose : il est très clair qu'ils ont une inclinaison l'un vers l'autre. Ils passeraient pas leur temps à se regarder dans les yeux, se faire des allusions, se chercher. Mais de là à sauter le grand pas....
Et quel grand pas. Il y a un spectre entre eux. Un mort qu'on refuse de voir mort. Un mort qu'on sait potentiellement capable de revenir. Un mort qu'on attend, de plus en plus silencieusement et auquel on rend hommage, presque sans s'en rendre compte quand on construit sa centrale, dans lequel on tend à attacher ses pas, comme s'il avait ouvert une voie et qu'on essaye de tout faire pour suivre ses traces, le retenir un peu avec soi. Un mort qui hante le narratif, quand bien même leur relation est morte. Un espoir de pouvoir reconstruire ce qui a été, à terme, même si cet espoir est très probablement vain.
Et ça Q!Bad en a conscience et le respecte. Il serait exactement pareil, dans le même cas, et il l'était avant la disparition totale du perso vers lequel il tendait vers une relation, avant. Le poursuivre revient à lui faire accepter qu'une page se tourne, qu'une nouvelle histoire se construit, accepter ces inclinaisons naissantes. Pas impossible, mais lent. Et un hurt and comfort quand il se rendra compte qu'il pense de moins en moins à lui, qu'il commence à oublier des détails physiques à son propos ou sa manière de rire.....
Pour Q!Bad, c'est accepter de ressentir des choses plus terriennes. Vouloir comme un humain veut et ne pas essayer de tout faire pour faire plaisir et garder avec soi. Se reposer enfin, en réalisant qu'être lui peut suffire à quelqu'un. Accepter le calme après tout ce paraitre. Accepter qu'il puisse vouloir, égoïstement, des choses et que l'autre les lui offre. Accepter d'être accepté comme il est par quelqu'un d'autre que son Père. Pour reprendre une citation d'un manga, "The Gentlemen Alliance Cross" ,"L'enfant est un ange. Dieu veille sur lui . Mais Dieu n'est pas visible, alors l'Homme se sent seul. C'est pourquoi un jour, il quitte Dieu. Pour pouvoir vivre avec d'autres humains, il renonce au paradis pour se faire aimer de la personne qu'il aime ". (Ou if I'm englufied with tenderness dans Kiki la petite sorcière - ref fournie par la mangaka à propos de la citation dans une note de début de chapitre, je cite mes sources XD ) Et c'est de ça dont il s'agira. Déjà fait une fois pour les oeufs et j'avais ressorti à l'occasion cette citation pour, mais une fois, et si la deuxième fois veut dire ne plus jamais vraiment le revoir ? Vivre avec cette peur et estimer que cet amour en vaille la peine.
Et, dans une optique très terre à terre....Accepter que Cucurucho se contente de jouer avec lui et se soucie de lui uniquement en son statut d'invité spécial et en voyant ce qu'il peut en tirer s'il le met sous son joug (désolée, pas oublier que c'est un manipulateur, et que ça doit totalement en faire partie, de son plan, le rendre dépendant de lui en profitant de sa solitude, pour en faire ce qu'il veut et son bras armé,encore une fois, je prends appui sur un post de @issialoua ).
Pour conclure, ce sera long, empli de jeux, de petites manipulations, un jeu à la "Kaguya : Love is War ", même si j'ai pas du tout lu le manga mais je connais un peu le pitch, empli de blessures à panser, de hurt and comfort et accepter d'être beaucoup plus clair. Pas impossible mais clairement pas de tout repos avec énormément de moments WTF, et drôles et des moments très doux. On n'est absolument pas dans du Fit x Pac, doux, tendre et timide, mais à l'image de leur relation actuelle.
Ça swingerait, et violent. Si ça devait se faire, préparez vous. Ça bougerait sec XD
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SÉANCE #8 - Spotify, allié ou ennemi de la culture numérique?
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« Je vous entends demain, parler de liberté » disait Gilles Vigneault, dans sa chanson Les gens de mon pays. Le 31 janvier 2022, c’est lui-même qui parlait de liberté en retirant de Spotify l’intégralité de ses œuvres, laissant dans le chagrin une bonne partie des gens de son pays (Saint-Arnaud, 2022).  
Pourquoi ce geste? Pour appuyer l’initiative de Neil Young et Joni Mitchell, auteurs-compositeurs-interprètes canadiens ayant fait le choix de boycotter ce géant suédois afin de contester la diffusion du balado de Joe Rogan, où l’animateur y exprime ouvertement son scepticisme face aux mesures sanitaires (Agence France-Presse, 2022-a).
Simple protestation contre la désinformation? Assurément pas. Homme de principes, Gilles Vigneault défend sa culture et fait partie de ceux qui perçoivent Spotify comme une menace à l’industrie musicale (Saint-Arnaud, 2020). Alors que le streaming représente actuellement la manière la plus populaire de consommer de la musique, il est pourtant difficile pour les artistes d’en tirer des bénéfices. Pouvant facilement et instantanément passer d’une chanson à une autre, les artistes ont effectivement de la difficulté à fidéliser leur clientèle, d’autant plus que l’argent générée par Spotify est moindre : « Spotify verse, en moyenne, entre […] 3,8 et 6,4 dollars canadiens pour un millier d’écoutes » (Agence France-Presse, 2022-b).
Mais, la numérisation de la musique possède aussi ses avantages. Avec une telle souplesse quant aux contraintes matérielles, l’utilisateur peut écouter ce qu’il veut, quand il veut et d’où il veut, tout en échangeant ses découvertes avec qui il veut. Ainsi, on ne peut s’empêcher de penser à la diversification des auditeurs qu’engendre l’écoute sur cette plateforme (Tremblay, 2020). Notamment grâce aux algorithmes, la visibilité accordée à certains permet leur percée dans le domaine. C’est d’ailleurs le cas de Charlotte Cardin et Alessia Cara, chanteuses canadiennes désormais connues à l’international (Côté, 2018).  
Chose certaine, l’émergence d’une culture numérique a transformé les façons de produire, de diffuser et de consommer la musique, en faisant de celle-ci la forme d’art qui a le plus évolué sur le plan technique au cours des dernières années. Afin de s’adapter à ce nouveau modèle d’affaire, les artistes québécois se voient obligés de repenser leurs modes de financement, considérant que le public n’achète plus leurs disques. Il faut alors mettre l’emphase sur les spectacles et considérer les services de streaming comme une source secondaire de revenus.
À votre avis, en viendrons-nous à établir une taxe sur le numérique?
Sources :
Agence France-Presse. (2022-a, 26 janvier). Neil Young retire sa musique de Spotify pour protester contre la désinformation. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1857542/neil-young-spotify-covid-joe-rogan-experience
Agence France-Presse. (2022-b, 2 février). Spotify, un « mal nécessaire » pour des artistes qui veulent se faire découvrir. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1859152/spotify-mal-necessaire-artistes-releve-analyse
Côté, É. (2018, 19 mars). Spotify, allié de la musique d’ici? La Presse. https://www.lapresse.ca/arts/musique/201803/19/01-5157874-spotify-allie-de-la-musique-dici.php
Saint-Arnaud, P. (2022, 31 janvier). Gilles Vigneault quitte aussi Spotify en soutien à Neil Young et Joni Mitchell. Le Soleil. https://www.lesoleil.com/2022/01/31/gilles-vigneault-quitte-aussi-spotify-en-soutien-a-neil-young-et-joni-mitchell-6122be96daa94cbf67b0f35fa93cc6cc
Tremblay, A-F. (2020, 20 janvier). Industrie musicale : s’adapter à l’arrivée du streaming. L’exemplaire. https://www.exemplaire.com.ulaval.ca/non-classe/industrie-musicale-sadapter-a-larrivee-du-streaming/
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enfantdoubleforme · 2 years
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"Comme nous le disions, la présence est un sujet merveilleux… car nous ne pouvons pas beaucoup parler d’elle : elle est invisible et personne ne peut la définir. Mais nous pouvons la sentir, spécialement lorsqu’elle n’est pas là. Si nous la sentons une seule fois, à partir de ce moment nous saurons toujours quand elle est absente."
"La présence peut prendre beaucoup de formes… puisqu’elle n’en a aucune. »
"Maintenant, il faut revenir au fait que la présence est un sujet extraordinaire, car cela nous met en face du grand inconnu. Cet inconnu est la chose la plus active, la plus positive et merveilleuse qui soit. C’est quelque chose qui ne peut pas être saisi par le langage ordinaire, ou par les scientifiques ou les philosophes et, pourtant, chacun d’entre nous peut très simplement en faire l’expérience. Cela dit, voici ce qui est le plus important pour votre travail : la présence est une conséquence. La présence est toujours un potentiel, mais elle n’apparaîtra que si toutes les conditions sont requises. Si vous commencez en disant "nous avons besoin de trouver la présence ", alors vous n’avez aucune chance. La présence ne peut pas être fabriquée, et pourtant la présence naît continuellement."
"Or, pour ce que vous cherchez, il est important de savoir qu’aucun "bon " artiste ne commence son travail avec ce qu’on appelle "un concept", c’est à dire, un schéma dans la tête ou une image de ce qu’il voudrait apporter au monde. Ce n’est pas valable. Les concepts sont le résultat final. Quand quelque chose apparaît, cela devient le concept. "
" Il est possible de voir dans les tableaux de Leonardo où de n’importe quel autre grand peintre de la Renaissance, leur manière de préparer leurs toiles en traçant certaines lignes pour donner une proportion à ce qu’ils allaient faire. Puis, ils peignaient librement sur elles. Il est possible de percevoir un certain degré de présence dans les nombres et dans les proportions. Certaines relations entre certains nombres nous touchent profondément. Tout comme dans l’harmonie musicale, nous pouvons sentir, par exemple, une relation entre 2 et 3, 6 et 9, etc., dans tout ce qui façonne la forme et le rythme. C’est ça la proportion, et la proportion mène à la présence. »
"Le pianiste ne se dit pas à lui-même qu’il doit être présent, mais c’est grâce à ses années de travail, d’étude, de compréhension, ses années de travail avec son corps, que peut apparaître, à travers ses doigts, le son. Le pianiste ne l’appelle pas. D’une certaine façon, il est en train d’observer, d’écouter. Son écoute devient de plus en plus fine, plus sensible. Alors, à l’intérieur de lui-même, et aussi à l’intérieur de nous-mêmes (car nous amenons notre présence à sa présence) une nouvelle présence apparaît entre nous tous, une présence naît. »
"Tout ce dont nous parlons, et cette analyse que nous faisons, ne concerne que la préparation. C’est le travail de l’étudiant (de l’apprenti). C’est très important, mais il s’agit seulement de la préparation. N’importe quel danseur pourrait vous dire que s’il pense en dansant à ce qu’on lui a dit pendant les classes ("fais-ceci, fais pas ça"), tout s’effondre. Le moment est perdu. On danse avec la joie de la liberté. Mais quelqu’un qui regarde, peut être touché profondément s’il y a de la proportion. Il ne faut même pas penser à cela. Si la proportion est en vous grâce à votre préparation, alors elle va vous guider. Si elle n’est pas en vous, vous ne serez pas guidé."
"Un artiste "mauvais" n’a que des idées, des règles, des techniques. Un "bon" artiste se trouve dans un état d’ouverture-disponibilité. Les gens accordent leur crédit aux créateurs, ils croient en eux. Mais la création n’émerge pas de la personne du "créateur", la création passe à travers sa personne… si elle trouve en elle la préparation et l’espace nécessaires. »
"Ce processus est identique en musique ou s’agissant du théâtre, etc. L’acteur, par exemple, a son espace intérieur plein d’ambitions, de peurs, d’enthousiasme, tout ce genre de choses. Mais son espace n’est pas vide, il n’est pas disponible. Tout ce que nous devons faire, c’est dépouiller, déblayer le chemin, créer un espace vide, plein d’un vide vivant, vibrant."
"Il y a quelque chose en nous qui correspond à ce mot qualité qu’aucun dictionnaire ne peut expliquer, mais dont nous savons ce qu’il signifie. Quelque chose qui a plus de cette qualité et quelque chose qui a moins de cette qualité. Et cela, seule l’expérience peut nous le montrer. Il n’y a aucune utilité à parler d’art, de musique, de n’importe quelle forme de théâtre si nous ne reconnaissons pas les différents degrés de cette qualité. Ceci est essentiel."
"La forme vient en deuxième place. C’est aussi simple que cela. Et ce qui est terrible dans les universités et les écoles d’art, c’est qu’elles commencent toujours par la forme. Ce que nous cherchons (toujours avec l’aide de la forme), c’est trouver ce qui peut illuminer la forme. Et c’est ce qui peut illuminer la forme qui est vraiment valable. Si nous sommes attentifs à la vie, nous pouvons sentir que la vie est en mouvement permanent et, par conséquent, ses formes changent aussi tout le temps. Les grands artistes de toutes les époques sont conscients que la vie et ses formes changent constamment. Et c’est pour cette raison que pour un compositeur de notre temps écrire de la musique à la façon de Stravinsky ou de Bach, n’a aucun sens. Ces formes-là étaient très justes à leur époque. Plus tard, on les reconnaît, on les enregistre et on les inclut dans ce qu’on appelle "Histoire de l’art". Plus tard, il arrivera un moment où l’artiste sentira le besoin d’un changement et, comme Picasso, il dira : "Non, nous ne pouvons pas continuer à faire les choses de la même façon qu’il y a 50 ans, nous ne pouvons pas continuer à faire des peintures naturalistes parfaites, il y a quelque chose de nouveau qui doit être révélé et il faut essayer de chercher quelle est la forme adéquate pour cela".
"Essai et erreur, essai et erreur… et vous recommencez"
"Essai et erreur", ce que nous appelons processus d’essai (…) Ce que nous devons tenter encore et encore, c’est une perception de la qualité : vous faites un geste, que vous soyez acteur ou peintre, puis vous l’observez et vous dites : "Oui, c’est l’idée, mais la qualité n’est pas là". Et vous recommencez."
"Nous avons vu des œuvres d’artistes hautement appréciés, de peintres très cotés et pourtant ils ne nous touchent pas. Nous pouvons dire : "Oui, c’est bon". Ils essaient de faire de leur mieux, mais à l’intérieur - de l’intérieur qui guide la main, à l’intérieur de leur regard - cette sensibilité prudente et aimante n’est pas là. Car, c’est à partir de l’amour que ce que nous cherchons émerge..."
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ppwbm-blog · 15 days
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LA CULTURE ET LE CONTENU SONT DEUX DESCRIPTEURS TRANSVERSAUX QUI PEUVENT NOUS AIDER À IDENTIFIER L'ÉCART DE VALEUR COMMERCIALE ENTRE LES ŒUVRES CRÉÉES PAR L'HOMME ET CELLES GÉNÉRÉES PAR L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE.
Dans son analyse et entrevue avec MBW (*) Sarah Williams PDG d’IMPEL, l’agence internationale de licences collectives représentant les droits d’édition musicale numérique indique que l’industrie musicale est confrontée à un débat crucial autour de l’intelligence artificielle (IA), oscillant entre défis et opportunités. Alors que les discussions se poursuivent, une voix s’élève pour mettre en…
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deepthinker-society · 1 month
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Goût. Récemment, je cherchais à lire. N'ayant pas d'inspiration, je me suis tournée vers les livres considérés comme les meilleurs livres de tous les temps. Oui, rien que ça. J'ai très vite déchantée quand j'ai vu que j'en connaissais déjà plusieurs et que, malheureusement pour moi, je ne les avais pas aimés. Pas faute d'avoir essayé. C'est à partir de là que je me suis demandé ce qui faisait le goût. Déjà comment sont évalués les meilleurs livres ? Quels sont les critères ? J'ai toujours trouvé ça étonnant qu'il n'y ait pas de critères explicites sur les listes des meilleurs œuvres ou sur les récompenses en tout genre. Prix Nobel, étoile Michelin, Oscar/César, récompenses musicales... Où sont donc les critères d'évaluation ? Et s'il n'y en a pas, alors ne serait-ce que le bon jugement des votants qui serait considéré ? Encore faudrait-il savoir ce qu'est-ce fameux bon jugement. Et s'il a rapport au goût. Quelle est la valeur d'un vote si on ne sait pas pourquoi on vote ? Mais reconcentrons-nous sur les livres. Il est possible que le travail de littérature soit pris en compte dans les évaluations en plus de l'appréciation globale. Si c'est le cas, je reconnais que certains bouquins ont un style bien à eux et très travaillé. Je confirme aussi leur expertise sur certains domaines. Par exemple, le réalisme de Zola ou Hugo démontre un travail d'analyse pharamineux. Pour autant, ça ne me suffit pas toujours pour apprécier l'œuvre. Je reconnais le travail, mais le rendu ne me plaît pas. J'ai un fonctionnement inverse avec les articles scientifiques. Pour eux, je ne juge pas le rendu. La forme est volontairement réduite à peau de chagrin pour ne conserver que la matière qu'on souhaite analyser. Je reconnais d'ailleurs volontiers que ce n'est pas toujours folichon à lire. En terme de qualité littéraire, on repassera. Pour conclure sur la liste des meilleurs livres, il est probable que le goût ne soit pas vraiment juge pour déterminer si le livre doit ou non faire partie des meilleurs. C'est sûrement pour ça que je préfère dans le fond les listes de personnes individuelles, dont les préférences font parfois écho aux miennes. #liste #livre #gout #preference #critere
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ivoiremelody · 1 month
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CSCH#1
Mesdames medemoisielle et monsieur bonsoir
Et bienvenu dans comme si c'etait hier
Votre nouvelle emission 100 musicale destiné à tous les amoureux et les nostalgiques de la vrai et de la bonne musique ivorienne.
Chaque semaine, nous allons nous essayer de vous replonger dans les grands moments de notre musique grace à des elements d'archives inédit
qui seront traiter à travers des decryptages, des analyses le tout calé sur la periode
Pour cette première émission nous allons parler de l'impact des artistes internationaux sur la musique ivoirienne.
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mednum · 2 months
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Les biais des plateformes musicales
« [...] Spotify recueille nos données, nos préférences et nos habitudes d’écoute. Ensuite, les algorithmes procèdent à ce qu’on appelle le filtrage collaboratif, c’est-à-dire qu’ils regroupent des chansons jugées similaires. Cette association est basée sur plusieurs critères, par exemple, le fait que deux chansons soient souvent écoutées conjointement ou se retrouvent souvent ensemble dans des listes de lecture en constitue un.
Ensuite, il y a le plus simple filtrage basé sur le contenu, ou les intelligences artificielles analysent les données de chaque chanson. Les algorithmes prennent en compte, entre autres, la date de lancée de la chanson, le nom de l’artiste, le genre de musique, la durée, le tempo, la langue et le langage, etc. Combiné à l’autre type de filtrage, les algorithmes sont capables de proposer des recommandations personnalisées à chaque utilisateur.
Ces façons de faire sont efficaces et moins dispendieuses, mais elles font monter en surface certains problèmes. Par exemple, les chansons nouvellement ajoutées sur Spotify ne bénéficient pas du filtrage collaboratif. Cet enjeu s’applique aussi aux utilisateurs qui viennent d’arriver sur la plateforme, ou qui n’écoutent pas beaucoup de musique.
Le second défi est la présence involontaire de biais culturels dans les recommandations. En effet, les algorithmes peuvent favoriser certains genres ou tendances culturelles sans en être conscients. Spotify pallie ce problème en réévaluant constamment les critères de ses algorithmes.
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SÉANCE #10 — Écoutons-nous la musique qui nous plaît ou celle que Spotify choisit pour nous?
Qu’on le veuille ou non, les algorithmes dictent notre vie numérique. Il n’y a qu’à penser aux recherches Google basées sur nos préférences ou aux publicités ciblées selon les sites que l’on consulte.
Il en est de même pour la musique. Les plateformes de diffusion musicale regorgent d’algorithmes qui facilitent le travail d’employés qui seraient autrement débordés par la charge de travail. Leur mission : offrir aux usagers des choix musicaux personnalisés.
Le présent billet s’inspire de cet article de Digital HEC Montréal, ou l’auteur évoque les différentes stratégies utilisées par Spotify, géant de l’industrie du streaming, pour proposer du contenu personnalisé à chaque usager. Cette tâche n’est pas simple et les algorithmes se basent sur une méthode nuancée plutôt que sur une approche rigide typique des intelligences artificielles.
D’abord, comme toute bonne plateforme numérique qui se respecte, Spotify recueille nos données, nos préférences et nos habitudes d’écoutes. Ensuite, les algorithmes procèdent à ce qu’on appelle le filtrage collaboratif, c’est-à-dire qu’ils regroupent des chansons jugées similaires. Cette association est basée sur plusieurs critères, par exemple, le fait que deux chansons soient souvent écoutées conjointement ou se retrouvent souvent ensemble dans des listes de lecture en constitue un.
Ensuite, il y a le plus simple filtrage basé sur le contenu, ou les intelligences artificielles analysent les données de chaque chanson. Les algorithmes prennent en compte, entre autres, la date de lancée de la chanson, le nom de l’artiste, le genre de musique, la durée, le tempo, la langue et le langage, etc. Combiné à l’autre type de filtrage, les algorithmes sont capables de proposer des recommandations personnalisées à chaque utilisateur.
Ces façons de faire sont efficaces et moins dispendieuses, mais elles font monter en surface certains problèmes. Par exemple, les chansons nouvellement ajoutées sur Spotify ne bénéficient pas du filtrage collaboratif. Cet enjeu s’applique aussi aux utilisateurs qui viennent d’arriver sur la plateforme, ou qui n’écoutent pas beaucoup de musique.
Le second défi est la présence involontaire de biais culturels dans les recommandations. En effet, les algorithmes peuvent favoriser certains genres ou tendances culturelles sans en être conscients. Spotify pallie ce problème en réévaluant constamment les critères de ses algorithmes.
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s12023artnum · 5 months
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 L'Harmonie entre l'Art et l'Intelligence Artificielle : Une Ode à la Création Musicale Moderne
L'intelligence artificielle (IA) a révolutionné de nombreux secteurs, et la création musicale ne fait pas exception. Définie comme la simulation de processus intelligents par des machines, l'IA offre un éventail de possibilités infinies dans le domaine musical, allant des algorithmes de composition aux instruments intelligents en passant par le marketing ciblé pour les musiciens.
Avant de plonger dans l'utilisation de l'IA dans la création musicale, il est crucial de comprendre ce qu'est réellement l'intelligence artificielle. Il s'agit d'un ensemble de technologies et de techniques permettant aux machines d'imiter certaines fonctions cognitives humaines, comme l'apprentissage, la résolution de problèmes et la reconnaissance de motifs.
L'une des façons les plus intrigantes dont l'IA impacte la création musicale est à travers les algorithmes de composition. Ces algorithmes analysent d'innombrables données musicales, identifient des motifs et génèrent ensuite de nouvelles compositions. Ils offrent aux compositeurs une source infinie d'inspiration et peuvent même contribuer à créer des pièces musicales uniques et innovantes, comme par exemple le Google's Magenta Studio.
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Les instruments intelligents exploitent l'IA pour améliorer les performances musicales. Des pianos qui ajustent automatiquement la tonalité aux guitares capables de générer des accompagnements en temps réel, ces instruments révolutionnent la manière dont les musiciens interagissent avec leur art.
Des entreprises telles que Yamaha, avec son Disklavier Enspire, ont introduit des pianos intelligents capables de reproduire fidèlement les performances humaines tout en offrant des fonctionnalités supplémentaires. Ces pianos peuvent être connectés à des logiciels d'IA pour générer des accompagnements, des variations stylistiques, voire des compositions originales en temps réel.
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L'intelligence artificielle (IA) fait désormais partie intégrante du domaine du marketing musical. En analysant les performances passées des artistes, elle est en mesure d'anticiper les préférences des auditeurs, facilitant ainsi une approche ciblée pour atteindre efficacement un public spécifique. Cette intégration ouvre des opportunités significatives pour l'expansion de la fanbase et la maximisation de l'impact artistique. De manière réciproque, les auditeurs bénéficient également de cette symbiose. D'une part, leur engagement avec la fanbase s'accroît, et d'autre part, ils découvrent de nouvelles musiques susceptibles de devenir de véritables coups de cœur. Ainsi, cette interaction mutuellement bénéfique renforce la connexion entre les artistes et leur public, créant un écosystème musical dynamique, grâce à cette intelligence.
Une prouesse fascinante de l'IA dans la musique est la capacité à recréer les performances de chanteurs disparus. Des programmes spécialisés peuvent imiter la voix, le style et même les émotions des artistes décédés, offrant ainsi une nouvelle vie à des chansons emblématiques.
Cependant, cette pratique peut être considérée comme illégale. Certains musiciens détiennent des droits sur leur voix, ce qui rend l'utilisation de celle-ci par ces IA potentiellement non conforme à la législation en vigueur. Ainsi, bien que l'IA ouvre des possibilités créatives passionnantes, elle soulève également des questions juridiques et éthiques quant à la propriété intellectuelle et aux droits d'exploitation des performances artistiques.
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Les artistes peuvent intégrer l'IA dans leur processus créatif en collaborant avec elle. De la génération d'idées à l'amélioration des performances, l'IA offre un potentiel immense. Les musiciens peuvent également exploiter les outils d'analyse pour mieux comprendre leur public et adapter leur stratégie artistique en conséquence. 
L’ia est utilisé comme un compagnon créatif et non un remplaçant de l’Artiste
Jeanne, une pianiste virtuose, partage son expérience : "Travailler avec l'IA a élargi mes horizons. J'utilise des algorithmes pour générer des motifs mélodiques uniques, me fournissant une base sur laquelle je construis des improvisations spontanées. C'est comme avoir un partenaire musical qui comprend instantanément mes intentions."
Elle ne nie pas cependant que cette intelligence ne pourra pas remplacer l’esprit artistique humain et son pouvoir de l'interprétation "Il y a quelque chose d'unique dans la manière dont un artiste humain peut ressentir la musique et lui donner vie d'une manière que l'IA ne peut pas encore pleinement égaler."
Des artistes tels que Francesco Tristano explorent activement les possibilités offertes par les algorithmes de composition. Tristano combine sa virtuosité au piano avec des programmes informatiques pour créer des œuvres novatrices, repoussant les limites de la musique classique contemporaine.
En 2018 , Tristano a collaboré avec Yamaha, pour créer un algorithme de performance d’intelligence artificielle du pianiste Glenn Gould. 
Lui aussi a son tour reconnaît des défis face à L’utilité de ces machines “ L’IA est un outil puissant, mais il nécessite une compréhension profonde de la musique pour être de manière significative. C’est un complément, pas un remplacement.”
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Malgré les avancées impressionnantes, l'IA ne peut pas véritablement remplacer la créativité et l'émotion humaine. Elle peut être un outil puissant pour inspirer et collaborer, mais l'essence de l'art réside toujours dans l'expérience humaine unique.
Dans le cadre de mon enquête sur l'utilisation de l'intelligence artificielle dans la création musicale, j'ai eu l'opportunité de m'entretenir avec M. Ehrhardt, un éminent professeur à l'Université d'Évry. M. Ehrhardt a entrepris une expérience novatrice en utilisant l'intelligence artificielle pour générer une symphonie dans le style de Mozart. Bien que l'IA ait réussi à produire une composition qui ressemblait à s'y méprendre à une œuvre de Mozart, M. Ehrhardt a souligné une lacune majeure. La mélodie, bien que techniquement correcte, manquait de profondeur harmonique. Il a décrit la composition comme fade et plate, déplorant l'absence d'une harmonie riche et d'une originalité mélodique.
En résumé, l'intelligence artificielle n'a pas réussi à capturer l'essence artistique et le génie créatif de Mozart, soulignant ainsi les limites actuelles de l'IA dans le domaine de la composition musicale. Ce témoignage renforce l'idée que, malgré les avancées technologiques, l'intelligence artificielle ne peut pas encore remplacer pleinement l'artiste humain et ses compétences artistiques complexes.
L'intelligence artificielle a déverrouillé de nouvelles portes dans le monde de la création musicale. Des algorithmes novateurs aux instruments intelligents, en passant par le marketing ciblé, l'IA offre une palette d'opportunités pour les artistes modernes. Bien qu'elle puisse compléter et améliorer le processus créatif, l'essence de la musique demeure profondément humaine, soulignant ainsi la symbiose prometteuse entre l'art et la technologie.
Pour conclure il est importe de préciser que de nos jours et avec cet usage massif des intelligences artificielles dans les nouvelles productions musicales actuelles les musicologues doivent repensé leurs  définitions et concepts liés à la création artistiques et ses référentiels musicologiques et esthétique et ils doivent mettre en question l'ensemble des approches analytiques et socioculturelle dont les sujets traitent les productions musicales actuelles.
Sources:
https://www.rtbf.be/article/les-covers-ia-une-pratique-illegale-11242221
https://fr.yamaha.com/fr/products/musical_instruments/pianos/disklavier/enspire_st/index.html
https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/musique-connectee/les-algorithmes-de-recommandation-musicale-3838250
https://www.lm-magazine.com/blog/2017/12/01/francesco-tristano/
https://www.kulturlx.lu/francis-of-delirium-claire-parsons-et-francesco-tristano-laureats-du-global-project-grant-2022/
https://datascientest.com/algorithmes-generatifs-en-composition-musicale
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by Neirouz HAKIMA.
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artspaume · 5 months
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jubaunetwork · 7 months
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Le comité Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique « Li la » de Jemima Joseph. APPRÉCIATIONS La musique de Jemima Joseph est un enchantement pour les sens. Son style soul, à la fois intemporel et contemporain, captive l'auditeur dès les premières notes. Ce qui rend sa musique originale, c'est l'aspect simpliste, côté décor, renforcé par une attention méticuleuse qu'elle porte à chaque détail de sa performance. De sa tenue élégante, capable d'attirer autant enfants qu'adultes, à sa posture gracieuse, son apparence soignée ajoute une dimension visuelle à cette musique, créant ainsi une expérience sensorielle complète. Le concept piano, ajoute une touche de sophistication et de beauté à sa chanson. Les mélodies et les harmonies qui se dégagent de cette orchestration créent une bonne ambiance, invitant l'auditeur à plonger dans l'univers musical de Jemima. En somme, la musique « Li la » est une expérience à part entière. Bravo à Jemima Joseph et son équipe. CRITIQUES Cette nouvelle musique gospel de Jemima Joseph soulève quelques interrogations quant à sa représentation de l'essence même de ce genre musical. Nous entendons une chorale qui, à quelques reprises, amène une valeur supplémentaire à l'harmonisation. Il est déconcertant de ne pas les voir dans la vidéo. Un autre aspect qui peut laisser perplexe est le faible nombre de références au nom de Dieu, et lorsque celui-ci est évoqué, il ne semble pas être positionné de manière stratégique dans le texte pour porter un impact significatif. Dans un style musical qui vise à célébrer la spiritualité et à transmettre un message divin, il est primordial de mettre en avant la présence et la grandeur de Dieu de manière claire et puissante. Bien que le style de décor choisi par Jemima semble adapté à une comédie musicale, il est décevant de constater le manque de démonstration des histoires bibliques évoquées dans le texte. Le gospel est traditionnellement un moyen de raconter et de partager les enseignements de la Bible. Cependant, les gestes de l'artiste ne parviennent pas à créer une réelle mise en scène qui pourrait donner vie à ces récits sacrés. RECOMMANDATIONS Voici quelques recommandations à analyser pour un prochain projet. Les chorales sont souvent considérées comme un élément essentiel, surtout quand celles-ci sont bien présentes dans la structure de la musique. Être capable de voir les figurants, ajoute de la profondeur et de la valeur ajoutée à la vidéo. Explorer des moyens visuels pour accompagner sa musique. Cela peut inclure des scènes ou des diaporamas. Ces images aideront les auditeurs à comprendre et à se connecter plus facilement au message du texte. Travailler sur la conclusion des chansons : une conclusion satisfaisante en parole est encore plus importante dans le contexte spirituel. Cela garantit un impact durable sur les auditeurs. Utiliser, par exemple, des paroles significatives ou une performance émotionnelle pour laisser une impression durable. Telles sont nos recommandations. #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique #actualités #bgospelmagazine #bgospel
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jakez19 · 7 months
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spiritgamer26 · 8 months
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Rhapsody Marl Kingdom Chronicles
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https://youtu.be/XkRt_gCHFmo
Rhapsody : Le Trio Enchanté
Commençons notre analyse par une considération assez évidente : le premier épisode de la série, "Rhapsody : A Musical Adventure", brille par son absence dans cette collection. Jusqu'à présent, seul ce premier chapitre avait fait son arrivée en Occident, avec une version originale sur PlayStation aux États-Unis, tandis qu'en Europe, seul le remake sur Nintendo DS était disponible. Récemment, il a été réédité dans "Prinny Presents NIS Classics Volume 3", que vous pouvez vous procurer sur Amazon. L'absence de ce premier volet s'explique probablement par sa récente réédition, ainsi que par le fait que bien que les trois titres partagent une intrigue, chacun peut être apprécié de manière indépendante, car chaque aventure est autonome. Cependant, nous devons admettre que ce choix nous a quelque peu surpris. Avoir les trois jeux de la série regroupés en un seul package aurait été idéal pour quiconque souhaitait les acquérir. De plus, le troisième chapitre perd un peu de son impact si l'on n'a pas eu l'occasion de jouer au premier épisode. Ainsi, notre conseil serait d'acquérir les deux collections afin de pouvoir pleinement apprécier toutes les références présentes dans les deuxième et troisième chapitres de la série. En ce qui concerne "Rhapsody II", il représente une suite directe du premier épisode. Nous prenons ici le contrôle de Kururu, la fille de Cornet, devenue reine du royaume de Marl après les événements du premier volet. La princesse mène une vie aristocratique au château, mais décide de s'échapper pour partir à l'aventure et, surtout, trouver le véritable amour. Les séquences musicales sont une particularité de cette série. Quant à "Rhapsody III", il adopte une approche différente de l'intrigue, proposant différents scénarios avec différents protagonistes. C'est un peu comme si le jeu servait à conclure toutes les intrigues et sous-intrigues introduites dans les chapitres précédents, nous permettant de découvrir le quotidien des personnages que nous avons appris à connaître. C'est pourquoi nous disions que cet épisode fonctionne moins bien si vous n'avez pas joué aux deux premiers chapitres. Dans les deux cas, nous sommes confrontés à des intrigues légères et divertissantes. En effet, la série "Rhapsody" est célèbre pour son ton léger et son récit qui, bien qu'il comporte des antagonistes, ne met pas en péril des mondes entiers ni ne sauve des vies. Un rôle crucial est attribué aux scènes musicales, qui donnent leur nom à la série. Dès les premières lignes, vous vous habituerez au fait que les personnages se mettent soudainement à chanter et à danser, un peu à la manière des comédies musicales. Cela peut sembler étrange au début, mais c'est l'une de ces caractéristiques qui confère à la série "Rhapsody" sa personnalité unique. Même si elle ne peut pas rivaliser avec les Final Fantasy de l'époque en termes de profondeur des personnages et d'écriture, ce sont ses bizarreries qui font que la série a encore quelque chose à dire plus de vingt ans après sa sortie originale. En conclusion de notre commentaire sur le plan narratif, nous tenons à souligner la qualité de l'adaptation en anglais, qui s'accompagne également d'un doublage de grande qualité. Vous avez toujours le choix entre l'audio original et l'audio anglais, mais le travail réalisé est vraiment remarquable. Sur le plan technique, aucun effort n'a été fait au-delà de l'amélioration de la résolution. Heureusement, les jeux n'ont pas pris une ride, en particulier "Rhapsody II", qui démontre à quel point le pixel art peut offrir des visuels merveilleux même vingt ans plus tard. Il est à noter cependant que le premier épisode manque à l'appel. Il serait donc judicieux de le récupérer en premier si vous en avez l'occasion. La donne change un peu pour "Rhapsody III" : le passage aux décors tridimensionnels fait perdre un peu de sa magie à l'esthétique du jeu. Le passage du temps est clairement perceptible, et ce qui aurait pu sembler novateur il y a vingt ans ne semble aujourd'hui que vieillot, avec une perte de personnalité significative par rapport à son prédécesseur. En ce qui concerne la conversion, un excellent travail a été accompli, et nous n'avons rencontré aucun problème sur notre Nintendo Switch (dont vous pouvez trouver la magnifique version OLED sur Amazon). La bande originale des deux chapitres reste cependant très bonne. Même si ce ne sont pas les meilleures musiques de jeu de tous les temps, il y a de nombreuses compositions agréables, en particulier celles des moments musicaux qui accompagnent nos aventures.
Gameplay
Passons à l'analyse du gameplay de "Rhapsody : Marl Kingdom Chronicles". Les deux titres inclus dans cette collection présentent des distinctions notables tout en restant fidèles à l'expérience du "JRPG classique" des années 90. Nous évoluons donc dans des jeux en 2D avec une perspective descendante, des quêtes à suivre, un groupe à entraîner, des mondes à explorer, ainsi qu'un système de combat au tour par tour, conforme aux attentes d'un jeu de cette époque. Il y a donc peu à dire sur le gameplay de base. Il est plus pertinent de se concentrer sur d'autres aspects, notamment le système de combat ainsi que la complexité et la durée de l'aventure. Le système de combat, en effet, subit des changements significatifs d'un chapitre à l'autre. Dans "Rhapsody II", nous avons affaire à des combats classiques au tour par tour : vous pouvez utiliser les attaques et compétences spéciales de votre personnage, faire usage d'objets, de magie, et tout ce que l'on pourrait attendre d'un JRPG. Pendant les combats, vous avez également la possibilité d'utiliser les "Puppets", des créatures qui accompagnent Kururu dans son périple et qui fonctionnent essentiellement comme des invocations à la manière de Final Fantasy, pour ainsi dire. Le troisième épisode opte pour un système de combat différent, plus complexe, qui pourra certainement séduire les amateurs de cette formule de jeu spécifique, de moins en moins répandue de nos jours. Chacun des deux jeux inclus propose ainsi un système de combat qui lui est propre. Dans "Rhapsody III", la structure est légèrement révisée. Désormais, un plus grand nombre de personnages sont déployés au combat, divisés en grilles de quatre. La grille principale est celle que nous contrôlons directement, tandis que l'arrière-plan est assigné à un rôle de soutien, mais reste prêt à reprendre l'action si un personnage est vaincu. Il s'agit d'une variation qui apporte une complexité supplémentaire, bien que la commande directe soit limitée à certains personnages uniquement. Nous avons personnellement préféré la variante plus classique proposée par "Rhapsody II", mais les deux systèmes de combat sont tout à fait valables et la préférence pour l'un ou l'autre ne dépend que des goûts personnels. En somme, nous sommes en présence de deux expériences JRPG qui ne révolutionnent pas le genre en proposant quelque chose de radicalement différent. La proposition de "Rhapsody : Marl Kingdom Chronicles" vise plutôt à offrir aux joueurs une expérience JRPG solide, sans artifice mais aussi sans soucis ennuyeux. Deux éléments distinguent la série de la concurrence : la complexité et la durée. En effet, "Rhapsody" est réputée pour son accessibilité, une caractéristique qui provient d'une époque où de nombreux JRPG étaient réputés pour mettre les joueurs à l'épreuve. Les deux titres sont peut-être légèrement plus exigeants que le premier épisode et offrent un niveau de difficulté réglable, mais dans l'ensemble, ils conviennent toujours aux débutants, avec une durée nettement plus courte que les standards du genre. Ajoutons que la collection n'apporte pas d'améliorations notables en termes de gameplay. Toutefois, on peut compter sur la possibilité de sauvegarder à n'importe quel moment et d'accélérer les dialogues, des éléments qui peuvent sembler anodins mais qui peuvent se révéler utiles. En résumé, "Rhapsody : Marl Kingdom Chronicles" propose deux jeux qui n'ont pas marqué l'histoire du genre, et l'on comprend pourquoi. D'un côté, il y a une intrigue légère et réussie, mais peu mémorable, et de l'autre, un gameplay qui ne cherche pas à révolutionner la formule classique du JRPG. Cependant, revenons à notre point de départ : ce sont toujours deux jeux dotés d'une personnalité unique qui, sans prétendre être des chefs-d'œuvre incontournables, parviennent tout de même à offrir une expérience solide dans leur genre. Cela est dû à leur caractère unique, à leurs bizarreries et, oui, même à leurs défauts. En fin de compte, c'est précisément cela qui compte. Read the full article
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ppwbm-blog · 23 days
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Analyse du Rapport Annuel d'Universal Music Group : Dépendance à l'Amérique du Nord et autres éléments clés sur l'Industrie Musicale en 2023
Dans l’analyse complète et détaillée du rapport annuel 2023 d’Universal Music Group , TIM INGHAM, pour Music Business Worldwide (*), présente neuf points clés : Répartition des revenus par région : 51 % des revenus de musique enregistrée ont été générés en Amérique du Nord, soulignant la forte dépendance d’UMG à ce marché. Expansion internationale : UMG continue son expansion mondiale avec des…
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pdj-france · 9 months
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Par Chad Langen | Publié il y a 12 secondes Dans un monde où la science brise de manière perpétuelle les barrières, la fusion des neurosciences et de la musique a pris une tournure innovante. D'après Science Alert, les chercheurs ont pu reconstruire une version de "Another Brick in the Wall Part 1" de Pink Floyd à partir de l'activité cérébrale dans le lobe temporal des auditeurs. Ceci a été réalisé en étudiant le cerveau des volontaires alors qu'ils écoutaient la piste emblématique. Le classique de Pink Floyd "Another Brick in the Wall Part 1" est si accrocheur que les chercheurs pourraient étudier l'activité cérébrale et la recréer à partir d'ondes cérébrales. Des chercheurs de l'Université de Californie à Berkeley ont utilisé l'intelligence artificielle pour décoder les signaux du cerveau des auditeurs afin de recréer la chanson à réussite de Pink Floyd. L'équipe a souligné qu'il s'agissait du premier exemple de reconstruction d'une chanson à partir d'enregistrements d'activité cérébrale. Alors que de telles méthodes algorithmiques aient déjà recréé la parole à partir de scanners cérébraux, il s'agit d'un effort pionnier pour la musique. Ludovic Bellier, neuroscientifique à l'Université de Californie à Berkeley, et son équipe ont voulu explorer comment les schémas du cerveau des gens sont liés à des éléments musicaux tels que la hauteur et l'harmonie. Ils ont découvert que le gyrus temporal supérieur du complexe auditif du cerveau est relié au rythme. Cette zone apparaît comme essentielle pour la perception et la compréhension de la musique. Modèle du cerveau humain Pour collecter les informations requises sur l'activité cérébrale, Bellier et son équipe ont mené une étude où ils ont examiné l'activité du cerveau de 29 patients épileptiques au Albany Medical Center dans l'État de New York entre 2009 et 2015, qui avaient des électrodes implantées pour leur traitement. Cette situation unique a permis aux neuroscientifiques de capturer les réponses cérébrales quand les patients écoutaient de la musique. Sur les 2 668 électrodes enregistrant l'activité cérébrale, 347 étaient directement liées à la perception musicale. Ludovic Bellier, neuroscientifique à l'Université de Californie à Berkeley, et son équipe ont voulu explorer comment les schémas du cerveau des gens sont liés à des éléments musicaux tels que la hauteur et l'harmonie. Les chercheurs ont utilisé l'apprentissage automatique, en particulier un modèle de décodage basé sur la régression, pour analyser les informations du cerveau des volontaires. Des algorithmes informatiques ont déterminé des corrélations entre la musique jouée et l'activité cérébrale. Ils ont inversé ce processus pour identifier "Another Brick in the Wall" à partir des réponses cérébrales, ce qui a donné une interprétation reconnaissable mais légèrement déformée de la piste. Bellier et son équipe pensent que leurs recherches peuvent approfondir la compréhension de la façon dont le cerveau réagit à la musique et peuvent conduire à des prothèses améliorant la perception du rythme et de la mélodie dans la parole. Cette avancée est importante pour les professionnels qui aident les personnes souffrant de lésions neurologiques graves, comme la sclérose latérale amyotrophique, dont Stephen Hawking était atteint. Les résultats pourraient faciliter une communication plus naturelle grâce à des interfaces cerveau-ordinateur pour les personnes touchées par des accidents vasculaires cérébraux, la paralysie ou d'autres problèmes verbaux. Soleil éternel de l'esprit impeccable L'équipe de Bellier n'est pas la seule à exploiter l'intelligence artificielle pour la recherche sur le cerveau. Les Cortical Labs de Melbourne ont obtenu une subvention de 600 000 $ pour explorer la fusion de l'IA avec les cellules cérébrales. Adeel Razi, le chef du projet, envisage de remplacer le matériel à base de silicium par une technologie qui combine l'IA et des cellules cérébrales humaines cultivées en laboratoire.
Bellier et son équipe pensent que leurs recherches peuvent approfondir la compréhension de la façon dont le cerveau réagit à la musique et peuvent conduire à des prothèses améliorant la perception du rythme et de la mélodie dans la parole. Semblable au travail révolutionnaire de l'équipe de Bellier, où ils ont reconstruit la musique en analysant le balayage des cerveaux, de nombreux laboratoires à travers le monde exploitent la puissance de l'intelligence artificielle pour recréer des images que les sujets ont récemment vues, englobant tout, des visages humains aux paysages étendus. Une avancée notable dans ce secteur est l'algorithme Stable Diffusion AI, qui a été développé et publié en 2022 par un groupe de recherche allemand distingué. Bien que ces technologies continuent de mûrir, les scientifiques sont remplis d'optimisme, anticipant que de telles innovations élargiront considérablement leurs horizons et offriront de nouvelles pistes exploratoires dans le secteur dynamique de la recherche en neurosciences cognitives.
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