Charles Klein
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Transformations silencieuses // Étude architecturale du bâti alpin
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DAM(N) - What a concret building!
Dystopie, densité, superstructure, superposition et répétition
A Lianghekou, en Chine, dans la province du Sichuan, la construction d’un barrage de 295m va engloutir des villages, des cultures, et des temples tibétains.
Le projet consiste en la création d’une ville en parallèle de la construction du barrage pour reloger les populations touchées. Cela prend la forme de 6 pans dans la continuité du barrage qui dessinent un énorme quadrillage.
Dans cette superstructure en béton aux allures de ville dystopique vient s’implanter une architecture vernaculaire et un aménagement organique suivant les principes culturels des différentes populations.
Il s’agit de réinventer les circulations, les méthodes de cultures et laisser la part belle à l’appropriation.
Logiciels utilisés : Rhino + VRay_AutoCAD_Photoshop_Illustrator_SketchUp
Projet réalisé en Licence 2 par Afsané Toussaint, Tom BELLANGER, Lorianne WOLFF, dans le cadre du studio de projet Situations Extrêmes, encadré par M. Bertreux et F. Bernard - ensa Nantes
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La campagne, terrain à défricher pour les architectes et urbanistes | Libération
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
Longtemps ignoré, le monde rural français commence à intéresser ces professionnels qui voient dans ce territoire un laboratoire de la transition écologique et de nouvelles pratiques agricoles.
par Eve Szeftel
publié le 3 mars 2024 à 14h30
"... le ZAN – pour Zéro artificialisation nette, qui impose de diviser par deux le rythme d’artificialisation des sols – constitue une opportunité historique pour changer de modèle agricole, au moment où la France cherche à reconquérir sa souveraineté alimentaire. Spécialiste d’agriculture, auteur d’un traité récent sur la permaculture, le philosophe Sébastien Marot en est convaincu : il est grand temps, au vu de la «terrible impasse environnementale», de «préparer l’exode urbain». Et cela passe par une réinvention de l’agriculture, avec la remise à l’honneur de pratiques vernaculaires «par rétro-innovation ou issues du champ de l’agroécologie»."
(...)
[Image] Quelques photos du bâtiment réversible construit sur l’Wcopole du val d’Allier à partir de bois, de paille et de matériaux de réemploi (tôles du toit, fenêtres, portes, mobilier…). (Martin Delarue architecte)
Bernadette Cassel's insight:
https://www.scoop.it/topic/les-colocs-du-jardin?q=architecture
https://www.scoop.it/topic/les-colocs-du-jardin?q=ZAN
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Chaque coup l’enfonce plus profondément dans la terre moite du jardin de son enfance. Chaque perforation de leurs chaussures sales à côté de son crâne font résonner dans ses tympans le tambour de sa marche funèbre.
Il a plu, hier.
Il veut vivre. Il cherche désespéremment une bouffée d'air dans le terreau humide où l'on a coincé son visage. Il distingue le cuir des mains gantées contre sa nuque. Un homme maintient sa bouche enfoncée dans le sol.
Ses inspirations maniaques remplissent ses joues de cette même terre presque noire qui avait porté ses premiers pas. Pas plus tard que la semaine dernière, il l'avait retournée pour y planter des fleurs.
L'humus serpente entre ses côtes. L'hôte est chaleureux. Il éparpille ses valises dans les appartements que font les alvéoles de ses poumons.
Faust étouffe. Il gigote, il gémit, il s'accroche à la vie. Faust agonise.
Son souffle mourant est submergé par le compost qui l'étreint et qui absorbe la dernière chaleur de son corps. La salive coule sous sa langue tordue, le long de son menton sale, puis le goût de la peur est la seule chose qu'il sent. Acide et sucrée comme la bile et le sang au fond de sa gorge.
Vient la fin. Ici, où le ventre du sol est si gorgé d’eau qu’il ne manque plus qu’une graine pour que la moiteur de sa peau provoque la naissance d'une pousse, d'un printemps nouveau. Cette terrifiante qualité qu'est la vie s'échappe par toutes ses fissures, ruines anciennes et nouvelles, pour nourrir les fleurs vernaculaires de son pays de cocagne.
Elles qui tardaient à prendre racine. Elles qui attendaient son retour.
Et alors, peut-être que cet homme que l’on assassine ne mourra pas pour rien.
La terre étouffe Faust. L'apothéose emporte sa carcasse, dévorée par l'écosystème écrasé sous sa chair. Il est bientôt anéanti par ces microvilles, ces architectures de calcium et de photosynthèse, cette civilisation patiente murmurant "J'ai toujours su que tu mourrais dans mes bras."
Un coup de genou plus violent que les autres précipite sa nuque en un angle bizarre. Puis résonne dans son esprit somnolant le craquement d'un crâne qui se fend. Et enfin, le silence.
(...)
Il tombe du ciel. Pas comme Icare, ni comme Alice, mais telle une colombe à qui un chasseur aurait percé une aile. Sans paix pour fardeau, ni liberté pour drapeau, sans possibilité de retour.
La chute est longue mais Faust dort. Il flotte, paisible. L'air lui fait une longue cape dont les pans sifflent le long de ses membres et claquent parfois pour le réveiller. Dans son songe, il lui semble qu’il tourne sur lui-même avec la légèreté d’un pétale de cerisier, attendant l'onde d'un lac pour l'entourer d'un grand linceul blanc.
Son corps prend simultanément la forme d'une feuille d'automne mouvant au gré de la brise, comme le ferait un mobile d’enfant.
Il est aveugle et sourd au chaos qu'il quitte. Il n'a plus conscience de la rage qui régit le royaume d'en-haut. Il oublie tout : la peine, la solitude, l'aigreur, la déception qu'est sa vie. Peut-être qu'en trente ans d'existence, il a finalement gagné cette insouciance.
Il ne s'est jamais senti aussi vaste. Il ne s'est jamais senti aussi léger.
(trou à compléter)
Quand il ouvre les yeux, l’azur est zébré d’une cage blanche, polie comme un miroir. Le temps file entre ses doigts, mais il lui suffit de serrer le poing pour le rattraper et palper enfin les grains du sable du paradis.
(à compléter)
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Pour relever les défis de la conversion écologique en aménagement du territoire, il est urgent de réhabiliter une vision concertée de l’urbanisme.
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[𝐋𝐀 𝐂𝐈𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐌𝐄𝐓𝐈𝐄𝐑𝐒 𝐄𝐓 𝐃𝐄𝐒 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐄𝐓𝐄𝐍𝐂𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐆𝐔𝐄𝐋𝐌𝐈𝐌 𝐎𝐔𝐄𝐃 𝐍𝐎𝐔𝐍] [#projet_en_cours ] Heureux de vous présenter le projet lauréat du #CMC Guelmim par @orangeatelierofficiel La future Cité sera édifiée sur une #superficie totale de 4 hectares, plus précisément à la ville Guelmim, porte du Sahara #marocain. Le #concept du projet prend source de l’architecture #vernaculaire du sud marocain et des #ruches d’abeilles qui font la renommée de la ville porte du désert. -#Budget 90 MDH -Début des #travaux Décembre 2021 . . . . #formationprofessionnelle #OFPPT #moroccanarchitecture #saharadesertmorocco #sahara #guelmim #Maroc #details #wooddesign #architecture #design #urban #architecteurbaniste #maroc #openspace #architecturelovers #archilovers #architecture_hunter #architecture_view ture #arquitecturelovers (à Guelmim) https://www.instagram.com/p/CYD6fLsKrgl/?utm_medium=tumblr
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Repost • @artmur 15/01/2022 - 26/02/2022 David Umemoto : Vernaculaire Extraordinaire @david_umemoto Les œuvres en béton de David Umemoto se présentent comme des études sur les volumes. À la jonction de la sculpture et de l’architecture, ces pièces miniatures évoquent des bâtiments temporaires ou des monuments dressés sur des terres lointaines. Les images qui viennent à l’esprit devant ces œuvres sont multiples. Elles renvoient toutes à ce qui est archaïque et éphémère, malgré le caractère solide et moderne du médium. The concrete works of David Umemoto stand as studies about volume. At the juncture of sculpture and architecture, these miniature pieces evoke temporary buildings or monuments standing on far-away lands. The images conveyed in the mind by these works are numerous. They refer to the archaic and the ephemeral, despite the solidity and the modernity of the medium. #DavidUmemoto #artmur #concrete #concreteart #brutalism #brutalist #canadianart #canadiansculpture #beton https://www.instagram.com/p/CaVWsGbPdPk/?utm_medium=tumblr
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Quand l’architecture se meure. Le meilleur y renaît. #porto #igersporto #igersportugal #architecture #archi #student #travel #time #ruine #temps #crise #vernaculaire #architecturedutemps #jonatbounceday #grainedephotographe #photographie #photo #photooftheday #nikon #nikonfr (à Porto, Portugal) https://www.instagram.com/p/B2jxOVDpzW2/?igshid=8nq11adtbumj
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Désinences vernaculaires // Architecture alpine en Valais
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Superfurniture
Celia-Hannes
Le banc Superfurniture est un objet à la fois énigmatique et archétypal.
Le duo Célia-Hannes s’est inspiré des formes du mobilier rural vernaculaire de la région des Alpes autrichiennes, ainsi que des objets modernistes viennois de la Wiener Werkstätte. Faisant partie de la collection Superfurniture composée de meubles et de petits ensembles de vie architecturaux, ce banc se présente comme une mini-architecture à placer dans un intérieur.
Composition: Chêne, cerisier
Dimensions: H.83 x 106 x 47 cm
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Anton Grot’s “Mystery of the Wax Museum”
La première version de « Mystery of the Wax Museum » / « Masque de cire » (1933) est moins connue que son remake « House of Wax » / “ L'homme au masque de cire ” (1953) tourné en 3-D et avec Vincent Price, mais nettement meilleur.
Dirigé par l’infatigable Michael Curtiz («Casablanca») qui n’a pas moins de 180 films à son actif, c’est une de ses rares incursions dans le monde de l’épouvante.
La réussite du film réside en partie dans la présence de la future « fiancé de King Kong » Fay Wray dans le rôle de Charlotte, première « scream queen » de l’histoire du cinéma.
Et de sa pétillante partenaire Glenda Farrell dans le rôle de Florence, une Tintin féminine, intrépide et drôle, déterminée à résoudre l’énigme du musée de cire. Girlpower of 1933.
Le film échappe à la censure du tout récent « Code Hays », ce qui permet au reporter Florence de poser des questions assez indiscretes aux policiers chargés de l’enquête
et d’exprimer le besoin d’un remontant après avoir vu lune étrange créature.
Mais ce qui nous intéresse surtout ici, c’est le travail d’Anton Grot, chef décorateur émérite de la Warner Bros., connu pour son penchant pour l’expressionnisme et ses architectures vernaculaires dans des drames sociaux.
Au lieu d’associer les éléments horrifiques du film avec des décors gothiques ou baroques alors en vogue (comme c’était encore le cas pour « Doctor X » 1932 du même Michael Curtiz avec le même Anton Grot comme chef décorateur), Grot crée ici des lieux résolument modernes et assez inhabituels pour un film d’horreur.
Ainsi la morgue de New York, lieu habituellement représenté lugubre et sombre, devient presque une cathédrale de lumière où les morts sont joliment disposés dans un cercle parfait.
Cela n’empêche pas d’utiliser aussi des éléments expressionnistes en abondance : des ombres menaçantes et des escaliers tordues suffisent à créer efficacement l’atmosphère nécessaire et renvoient directement au « Cabinet du Docteur Caligari » (1920) - le classique du genre.
Par le biais des perspectives inhabituelles, Grot renforce l’angoisse de notre héroïne perdue dans le musée à la recherche de son fiancé.
Telle Alice au pays des Merveilles, Charlotte s’enfonce sans hésitation dans les profondeurs d’un immeuble new yorkais.
Plus elle descend, plus les pièces s’enchainent et s’agrandissent
pour aboutir dans le laboratoire secret et souterrain du créateur des poupées de cire
qui étonne aujourd’hui encore par son design épuré, sa superstructure métallique élancée et ses passerelles suspendues.
Charlotte est capturé par le scrupuleux sculpteur Ivan Igor (Lionel Atwill) - sa fin semble proche.
Est-ce qu’elle sera transformée en poupée de cire ?
Et que fait la police ?
Quoi qu’il en soit, on peut considérer le laboratoire du musée de cire comme le chainon manquant entre le celui du Dr. Frankenstein
et de celui du Dr. No.
MYSTERY OF THE WAX MUSEUM 1933 Michael Curtiz / Anton Grot
FRANKENSTEIN 1932 James Whale / Herman Rosse
DR NO 1962 Terence Young / Ken Adam
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La Grande Arche. - Extrait de : Un Kilomètre, projet photographique. - https://unkilometre.com - - - Si vous êtes passés au travers, je vous propose à nouveau de découvrir la concrétisation de mon projet photo « Un Kilomètre ». Voici le site internet : www.unkilometre.com 1km, 1 heure par jour, contrainte libératoire pour explorer mon quotidien, mon vernaculaire. Se questionner sur l’essence de nos déplacements et de notre cadre de vie. Nous vivons une restriction de nos libertés individuelles inédite qu’aurait prédit Michel Foucault, voici comment je le vois en images ... La particularité de ce projet, réside dans le fait que tout le processus photographique est « confiné » et argentique. Prise de vue dans le cadre des déplacements autorisés, développement et tirage à la maison, en totale autonomie matérielle ou technique. Les séries sont en cours de publication, chaque jour est l’occasion de nouvelles photos. Le site est régulièrement mis à jour. Une publication papier paraîtra dans quelques semaines. Les photos du site sont toutes disponibles en tirage papier original, réalisé en chambre noire et à l’agrandisseur. Vos retours sont les bienvenus, À vous lire ! - - - #agmag #heyfsc #buyfilmnotmegapixels #boxspeedfeature #coronargentique #fisheyelemag #shootonfilm #film35mm #shootfilmunder1000 #documentaryphotography #documentingspace #thezonezine #kentmere400 #nightphotography #filmphotography #unkilometre #kilometre #analogphotography #analog #argentique #architecture #post_evidence #nikon #architecture #analognights #ig_onstandby #confinement #lockeddown #quarantine #quarantaine (à Niederhausbergen) https://www.instagram.com/p/CBBexUPHuHu/?igshid=pd6xq1udchg2
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