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#arménien
hcdahlem · 1 year
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Azad
Dans ce roman poignant Mélanie Croubalian mêle deux récits, celui de Nayef fuyant Alep en 2015 et celui d'Azad l'arménien fuyant les massacres de 1915. En découvrant ce qui lie leurs destins, on comprend aussi le déchirement qui habite tous les migrants.
  En deux mots Après avoir perdu toute sa famille dans les bombardements qui ont détruit Alep, Nayef prend le chemin de l’exil. Avec deux amis, il part pour l’Angleterre. Dans ses bagages, il emporte le journal intime d’Azad qui a lui aussi été contraint à l’exil en 1915. Deux histoires qui se croisent à un siècle d’écart. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique L’Odyssée de Nayef et celle…
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lolasahar · 10 months
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Les carreaux, 2023
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anchesetuttinoino · 3 months
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La dichiarazione finale del G7 è composta di 19.842 parole. Apro il mio tablet sul bordo del lago di Sevan. Sono venuti a trovarmi alcuni amici cacciati dall’Artsakh (Nagorno-Karabakh), desertificato della sua popolazione indigena dagli invasori giunti dall’Azerbaigian tirando cannonate su Stepanakert e su tutti i villaggi abitati. Una espulsione totalitaria equivalente al genocidio, qualcosa di così disumano da spaccare le ossa della mia anima.
Ma so che tutto questo è stato vissuto dolorosamente anche da tanti italiani, a differenza del loro governo e del Parlamento (maggioranza e opposizione, presenzialisti e assenteisti). Tutti adoratori della Costituzione, questi politici, e tutti a citare l’articolo 11 che «ripudia la guerra». Ma ci dev’essere un post-scriptum riservato, che si passano tra loro le generazioni di potenti: non c’è scritto che bisogna ripudiare chi fa la guerra e annienta poveri cristi, purché in cambio stipino di gas
i nostri serbatoi, e di caviale certi tipetti, e di denaro le nostre fabbriche di cannoni e aerei militari per trasferire paracadutisti di reparti d’assalto sui tetti di sciagurate minoranze cristiane…
Sono ingiusto a non fare distinguo. Non tutti i parlamentari e i ministri e i sottosegretari hanno sacrificato gli armeni dell’Artsakh alla ragion di Stato (ma val la pena sopravviva uno Stato che ha ragioni così miserabili per campare, al punto da accarezzare massacri e pulizie etniche purché gli autori siano bravi fornitori?); non tutti hanno chiuso gli occhi, ci sono pochi meravigliosi deputati e senatori coraggiosi, oltre a qualche Nicodemo che nel silenzio dissente. Oso qualche nome: Centemero, Formentini, Zampa, Pozzolo, Orsini, Malagola, Fassino e se dimentico qualcuno, scriva che – se sono ancora vivo – rimedierò.
Speranze tradite
Ho letto la dichiarazione finale firmata da capi di Stato e premier del G7. Ho usato i dispositivi dell’intelligenza calcolatrice che permettono di scrutare il succo dei testi. Avevo moderate speranze di trovare un impegno per tutelare la piccola culla delle memorie cristiane, un luogo che non è simbolico e basta, ma palpitava. Uso il passato! Il Nagorno era abitato da centoventimila cristiani. Nel settembre del 2020 l’Azerbaigian sostenuto dai turchi si era già preso metà del territorio. Russia e Bielorussia, che avrebbero dovuto intervenire in base ai trattati sottoscritti con l’Armenia, hanno lasciato fare. Nel 2022, quattro giorni prima dell’aggressione all’Ucraina, Putin e il dittatore azero Ilham Aliyev hanno firmato un trattato che ha consentito alla Russia di triangolare gas e petrolio con l’Occidente tramite il simpatico tiranno il cui padre Heydar fu vice di Breznev e colonna asiatica del Kgb. Nel 2023, dopo uno stillicidio di attacchi e assassinii, e l’assedio utile per far morire i bambini di fame, il colpo finale. In centomila espropriati della loro essenza furono costretti, per non essere schiavizzati o appesi ai pali, ad andarsene in Armenia. L’Italia era corsa in soccorso del vincitore sin dai primi giorni del 2023 firmando un accordo per la “modernizzazione” (dichiarazione ufficiale del governo di Baku) delle forze armate azere.
Clima 53, Nagorno 0
Ed ecco il G7 a presidenza italiana. Speravamo in Giorgia Meloni, ma forse l’essersi affidata a Elisabetta Belloni come sherpa per fissare accordi, non è stata una grande idea, almeno per noi disgraziati cristiani del Caucaso. Avevamo sperato nella presenza al G7 di Borgo Egnazia dello Stato più amico di noi armeni che esista in Occidente, almeno sulla carta: in Francia circa 750 mila suoi cittadini sono “arméniens de France”; ma dovrebbero esserlo anche gli Stati Uniti e il Canada, nazioni in cui i miei fratelli assommano a un milione e mezzo. Risultati? Siamo invisibili, siamo inesistenti. Esiste anche un genocidio che passa attraverso la soppressione del problema, l’impiparsene.
Tra i circa 20 mila lemmi ho fatto contare al computer alcune parole chiave. Innanzitutto nomi di Stati o territori: Russia 61 occorrenze, Ucraina 57, Cina 29, Nord Corea 14, Palestina 13, Israele 11, Iran 11, Gaza 9, Libia 6, Armenia 0, Nagorno-Karabakh 0, Azerbaigian 0./
Nomi per problematiche: clima/cambiamento climatico 53, gender 25, diritti umani 24, dignità umana 3, migrazioni/migranti 38, inquinamento 12, plastica 9, libertà 13, libertà religiosa 0, persecuzione 1, persecuzione religiosa 0.
Come si vede, l’Armenia e la sparizione di una nazione cristiana dalle cartine geografiche in Caucaso non sono un problema che interessi i grandi. Qui batterò ancora qualche colpo in alfabeto Morse, o vi siete stancati anche voi?
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fraternoviril · 1 year
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Un soldat arménien nu dans son Caucase.
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ombre-originelle · 2 months
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Demain ... Tu dis toujours que tu vivras demain . Dis-moi, ce demain, Postumus, quand vient-il ? Qu'il est long ce demain ! Où est-il ? Où le doit-on chercher ? Se cache-t-il chez les Parthes et les Arméniens ? Ce demain a déjà l'âge de Priam ou de Nestor. Ce demain, dis-moi, combien peut-on l'acheter ? Tu vivras demain ? Vivre aujourd'hui, Postumus, c'est déjà vivre tard. Seul est sage celui, Postumus, qui vécut dès hier.
Martial. Épigrammes
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jloisse · 10 months
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Des colons sionistes extrémistes épaulés par la police israélienne prennent d’assaut ce soir le quartier chrétien arménien à Jérusalem occupée et demandent aux Chrétiens de partir après avoir obtenu l’autorisation d’un tribunal israélien de confisquer leurs terres.
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nietp · 1 year
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4 octobre 2023 | Par Mathieu Dejean
Alors que la gauche a noué des liens historiques avec la cause arménienne, son soutien au Haut-Karabagh s’est fait plus discret et tardif que celui de la droite, qui instrumentalise la situation au profit de la théorie du choc des civilisations. 
Le désarroi, la peine et une colère sourde. Ces sentiments mêlés animent les personnes issues de la diaspora arménienne et leurs soutiens depuis l’offensive éclair de l’armée azerbaïdjanaise dans le Haut-Karabagh le 19 septembre. Face à cette épuration ethnique comparable à un « génocide sans fin », selon les mots de l’historien Vincent Duclert, le constat d’une désaffection politique de la gauche se surajoute : « La situation, c’est que la gauche est timide dans sa réaction, malgré le fait que c’est une épuration ethnique », résume le sociologue Razmig Keucheyan, proche de La France insoumise (LFI).
Le philosophe Pierre Tevanian abonde dans ce sens au moyen d’une question lancinante : « Pourquoi la gauche n’a-t-elle pas répondu, ni formellement ni par un changement de ligne, alors qu’on alerte dans le désert depuis au moins trois ans ? » En 2020, après la guerre lancée par l’Azerbaïdjan contre les Arméniens du Haut-Karabagh, il cosignait une tribune dénonçant le « silence de la gauche occidentale ». Il se désole aujourd’hui du peu d’impact qu’elle a eu : « S’il y a ce faible écho, c’est que les relais dans les partis, les syndicats et dans le mouvement social anti-impérialiste manquent cruellement. Ce sont eux qui font que, par moments, un soutien populaire arrive à se faire entendre. »
La solidarité avec le peuple arménien fait pourtant partie de l’histoire longue de la gauche. Aujourd’hui encore, des socialistes citent le discours de Jean Jaurès à l’Assemblée nationale en 1886, dans lequel il dénonçait déjà une « guerre d’extermination » contre les Arméniens. Ils omettent toutefois de rappeler que sa position était, déjà, loin de faire consensus : « S’il était aussi éloquent, c’est qu’il se heurtait à une realpolitik majoritaire dans les rangs de la droite et de la gauche de l’époque. Le point de vue adverse était dominant dans la grande presse », pointe Pierre Tevanian.
Une femme tient un drapeau arménien lors d'un rassemblement appelant à la paix, organisé par le CCAF (Conseil de coordination des organisations arméniennes de France) à Paris, le 15 septembre 2022. © Photo AFP
L’histoire du Parti communiste français (PCF) a aussi été marquée par le sacrifice du résistant Missak Manouchian, dont le groupe des Francs-tireurs et partisans – celui dépeint par la fameuse « Affiche rouge » – a été exécuté en 1944. Le cinéaste Robert Guédiguian, soutien indéfectible de la cause arménienne, en a tiré le film L’Armée du crime en 2009 : « On vénérait L’Affiche rouge quand j’étais petit. Avant le poème d’Aragon, avant la chanson de Ferré, avant mon film, les gens les plus au courant étaient les militants du PCF », note-t-il. Le PCF a d’ailleurs reconnu la République de l’Artsakh (Haut-Karabagh) en 2019, et préconise la protection de la population arménienne dans la région.
L’affinité entre l’idée de gauche et la cause arménienne s’est encore renforcée dans la foulée du cinquantenaire du génocide arménien, en 1965, qui a coïncidé avec l’ébullition pré-Mai-68. « Ce contexte socio-historique explique que les partis de gauche ont, beaucoup plus que la droite, accompagné les revendications arméniennes, explique Pierre Tevanian. Il y avait un mouvement social fort, une gauche dans l’opposition mais en expansion, et qui essayait par tous les moyens de se connecter aux mouvements sociaux. En 1981, Mitterrand est porteur des revendications des groupes dominés. »
L'« affiche rouge »
Dans les principaux foyers d’implantation de la diaspora arménienne – l’axe Paris-Rhône-Alpes-Bouches-du-Rhône, avec un crochet par Alfortville (Val-de-Marne) –, les collectivités territoriales socialistes ou communistes ont ainsi tissé des liens durables. En 2012, François Hollande avait tenu un meeting commun à Alfortville avec la Fédération révolutionnaire arménienne (membre de l’Internationale socialiste), qui appelait la communauté arménienne à se mobiliser pour lui.
Une défaite métapolitique
Pourtant le réveil de la gauche sur la situation dans le Haut-Karabagh, indépendamment de quelques individualités, a été timoré et tardif, au point de désespérer des membres de la diaspora. « On le ressent comme une vraie injustice, réagit ainsi Loris Toufanian, militant du mouvement Charjoum, en faveur des luttes d’émancipation arméniennes. Quand on prend une seconde de recul, il s’agit d’un peuple qui décrète son indépendance, qui s’affranchit de la domination coloniale du panturquisme, c’est le programme de la gauche depuis 150 ans, et pourtant, a-t-on vu en nombre des organisations de gauche dire : “Vive la résistance arménienne”, ou “panturquisme = fascisme” ? Non. » 
Pour expliquer ce délitement, beaucoup constatent d’abord une défaite métapolitique : la droite et l’extrême droite se sont emparées du sujet et bénéficient d’une plus grande couverture médiatique. « À longueur de journée, la défense des chrétiens d’Orient est instrumentalisée sur CNews à des fins de politiques internes à la France – l’opposition entre les bons immigrés intégrés chrétiens et les autres », analyse Razmig Keucheyan.
« L’extrême droite transpose dans le Caucase des questions qu’elle veut mettre à l’agenda en France », abonde la sociologue Marie Sonnette-Manouguian, ce qui explique que le sujet soit potentiellement devenu « radioactif » pour une partie de la gauche. « Le moteur du conflit est pourtant impérialiste : c’est l’expansion turque au détriment des peuples les plus faibles. En ce sens, ça devrait être porté par la gauche », ajoute-t-elle. 
Les mots de la droite et de l’extrême droite déterminent en effet fortement le débat public, participant ainsi à la marginalisation de la gauche. « Depuis 2019, au Sénat, on s’est entendu, on a fait deux résolutions, posé deux questions au gouvernement, mais comment faire partager un point de vue aux médias sur ce que nous disaient les Arméniens ? », s’interroge, impuissant, le sénateur socialiste Gilbert-Luc Devinaz, président du groupe d’amitié France-Arménie, ​​qui admet marcher sur des œufs lorsqu’il doit signer des textes en commun avec le sénateur Les Républicains Bruno Retailleau sur cette question. 
L’internationalisme n’est pas toujours une évidence comme il l’était pour des générations plus anciennes.
Clémentine Autain, députée LFI
La députée de La France insoumise (LFI) Clémentine Autain, qui fait partie des personnalités engagées sur le sujet, le constate aussi : « Il y a deux visions qui s’affrontent dans la défense du peuple arménien. Une vision de choc des civilisations promue par l’extrême droite et une vision humaniste reposant sur les principes du droit international. Il faudrait que notre voix recouvre la leur. » 
Encore faut-il pour cela que les directions d’organisations s’en emparent et fassent du bruit médiatique en dépit des vents hostiles. Jusqu’à présent, des personnalités ont pris position. L’eurodéputée écologiste Marie Toussaint plaide ainsi pour « des sanctions économiques et commerciales à l’égard d’Aliyev » : « On l’a fait pour la Russie, on peut le faire pour l’Azerbaïdjan. Si on veut être cohérent, il faut dénoncer l’accord gazier et envoyer des observateurs européens sur le sol arménien », détaille-t-elle, regrettant « une forme de reddition de l’Union européenne ».
La sénatrice socialiste du Val-de-Marne Laurence Rossignol défend, elle, la création d’un « comité de soutien exigeant la libération des prisonniers politiques » et l’envoi de fonds à l’Arménie pour l’aider à accueillir les 100 000 réfugié·es.
Des réfugiées à Kornidzor, première ville arménienne après la frontière, le 24 septembre 2023. © Photo Alex Lourie / REDUX via REA
Mais les partis de gauche eux-mêmes se sont souvent contentés de communiqués et de rassemblements tardifs qui n’ont rencontré qu’un faible écho. L’action de la maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, qui a projeté un documentaire le 3 octobre au Conseil de Paris, décryptant l’influence de l’Azerbaïdjan en Europe – La Caviar connection –, pointant au passage l’implication de son adversaire Rachida Dati comme relais d’influence de Bakou, a détonné dans ce paysage. De même que le déplacement en Arménie du député insoumis Sébastien Delogu (dont le père est d’origine arménienne), d’où il a dénoncé un soutien « trop timide et trop tardif » de la France.
Et si Jean-Luc Mélenchon a condamné sur X le 7 septembre le « blocus criminel infligé aux Arméniens du Haut-Karabakh », puis a réagi à l’agression azérie « en vue d’un nettoyage ethnique » le 19 septembre – tout comme le groupe parlementaire LFI –, l’action de solidarité envers les Arméniens reste limitée. L’affaiblissement numérique des vieux partis de gauche, PS et PCF, où le soutien aux Arméniens est le plus ancré historiquement, n’aide pas à l’extension de la mobilisation.
« D’une manière globale, je trouve que l’international est de moins en moins présent dans les discours de gauche. Chez les jeunes générations, l’internationalisme n’est pas toujours une évidence comme il l’était pour des générations plus anciennes », analyse Clémentine Autain.
À lire aussiAu Haut-Karabagh, « une entreprise de destruction humaine »
« Dans les années 1970-1980, les Arméniens pouvaient être perçus à gauche comme un cas particulier de lutte anticoloniale, au même titre que les Kurdes. Cet imaginaire anti-impérialiste, tiers-mondiste, de lutte de libération, s’est affaibli à gauche. Les Arméniens ont fait les frais de cet affaiblissement », analyse Razmig Keucheyan. « La gauche française est très franco-française, il n’y a pas d’exception arménienne. On bute sur le fait que la France en général et la gauche en particulier n’est pas universaliste dans les faits, dans la manière de distribuer ses engagements », juge aussi Pierre Tevanian. 
Tout cela participe à instaurer un sentiment de manque de la part de la gauche. Ce sentiment taraude Robert Guédiguian, qui voit l’extrême droite monter au créneau : « J’ai du mal à côtoyer dans ce combat-là Zemmour, Pécresse et Wauquiez, trois personnes qui se sont rendues là-bas », relate le cinéaste. « Ce n’est pas une fatalité. Il faut créer de la confiance, des idées partagées. Ce n’est pas une guerre des civilisations. Les Arméniens veulent vivre en paix, et pas être la pointe avancée des croisades de Philippe de Villiers, Jean-Christophe Buisson et Sylvain Tesson », conclut Razmig Keucheyan. 
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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.
Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.
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Au Haut-Karabagh, « une entreprise de destruction humaine »Par Joseph Confavreux
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youtube
On le dit violoniste de génie. Ara Malikian est un Arménien qui a grandi au Liban, a étudié la musique en Allemagne et en Angleterre, et vit actuellement en Espagne. Il est récemment devenu premier violon dans l'orchestre Symphonique Royal de Madrid. Malikian parcourt le monde pour se produire dans les salles de concert, en soliste et dans des orchestres symphoniques. Fabuleuse représentation d'Ara Malikian…. Un virtuose du violon. Son look peut surprendre, mais quel talent. 🎻
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alain-keler · 1 year
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Journal d'un photographe
Samedi 30 septembre 2023.
Kornidsor. On ne va pas plus loin. La route est coupée. Je suis arrivé trop tard en Arménie, le gros des réfugiés est déjà passé, mais cela ne fait rien. Je suis allé au Karabakh en 1994, des photos de ce séjour ont d’ailleurs déjà été publiées dans ce journal mais je me devais de retourner voir. Les photos seront peut-être décalées, je ne suis plus dans l’actualité « chaude », mais il se passera encore beaucoup de chose, la petite actualité, le quotidien que vont devoir affronter les exilés d’une terre qui a été arménienne depuis plusieurs siècles.
C’est une triste fin pour ses habitants, pour l’Arménie.
Quelques lignes d’un article du journal Le Monde du 21 septembre dernier :
« Les Arméniens revendiquent une présence millénaire dans la région, mais l’Azerbaïdjan fait également valoir des liens historiques profonds et anciens. Intégrée au royaume arménien dans l’Antiquité, elle est passée sous influence arabe au Moyen Age, avant qu’une révolte ne la fasse revenir dans le giron d’Erevan. Le Haut-Karabakh est absorbé par l’Empire russe en 1805, puis l’Arménie et l’Azerbaïdjan se le disputent lors de la guerre civile qui suit la révolution bolchevique de 1917. En 1918, les deux pays proclament leur indépendance et les combats reprennent au Karabakh. Un an après sa « soviétisation », Staline tranche le contentieux en rattachant la région à l’Azerbaïdjan, malgré sa population arménienne. Elle obtient toutefois l’autonomie en 1923, statut qui restera inchangé pendant soixante-cinq ans ».
À côté de la route, quelques journalistes attendent. Il ne se passe plus grand-chose. Des enfants s’amusent. La lumière est belle. Au fond, les montagnes du Haut-Karabakh, territoire à présent interdit. 
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aurevoirmonty · 7 months
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"Dans l’entre-deux guerres, les nationalistes français avaient déjà parfaitement conscience de la dégénérescence raciale imposée par le régime républicain : Drieu La Rochelle, Brasillach, Céline, Pierre-Antoine Cousteau, Henri Béraud, Lucien Rebatet et quelques autres s’étaient élevés contre cet envahissement des étrangers encouragé par le régime. Il s’agissait à l’époque des juifs, des Italiens, des Arméniens, des Noirs, des Algériens et des Annamites. C’était le début de la grande invasion que nous connaissons. Les intellectuels français avaient fait leur travail en nous mettant en garde contre ce qui se préparait."
Hervé Ryssen, X (anciennement Twitter), 22 février 2024.
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Le monde compte actuellement 7099 langues vivantes. Voici comment souhaiter à quelqu’un une bonne année !
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Afrikaans : Gelukkige nuwejaar ou Voorspoedige nuwejaar
Akposso : Ilufio ètussé Albanais : Gëzuar vitin e ri Allemand : Gutes neues jahr Alsacien : E glëckliches nëies ou Güets nëies johr
Anglais : Happy new year Antillais : Bon lanné
Arabe : Aam saiid ou Sana saiida
Arménien : Shnorhavor nor tari
Atikaekwa : Amokitanone Azeri : Yeni iliniz mubarek Bambara : Bonne année
Bas Saxon : Gelükkig nyjaar Basaa : ‘Mbuéé
Basque : Urte berri on Bengali : Subho nababarsho Berbère : Asgwas amegas Beti : Mbembe mbu Bioelorusse : Z novym hodam Birman : Hnit thit ku mingalar pa
Bobo : Bonne année Bosniaque : Sretna nova godina
Bulgare : Chestita nova godina
Breton : Bloavezh mat ou Bloavez mad
Cantonais : Kung hé fat tsoi ou Sun lin fi lok
Catalan : Bon any nou Chinois : Xin nian kuai le ou Xin nian hao
Coréen : Seh heh bok mani bat uh seyo
Corse : Pace è salute Cornique : Bledhen nowedh da
Croate : Sretna nova godina Danois : Godt nytår
Dari : Sale naw tabrik
Douala : Mbu mwa bwam Espagnol : Feliz año nuevo Esperanto : Feliĉan novan jaron
Estonien : Head uut aastat Ewe : Eƒé bé dzogbenyui nami Ewondo : Mbembe mbu Feroien : Gott nýggjár Finnois : Onnellista uutta vuotta
Flamand : Gelukkig nieuwjaar Frison : Lokkich neijier Frioulan : Bon an
Gaélique d’Ecosse : Bliadhna mhath ur
Gaélique d’Irlande : Ath bhliain faoi mhaise
Galicien : Feliz aninovo
Gallo : Bónn anaèy
Gallois : Blwyddyn newydd dda
Géorgien : Gilocavt akhal tsels Grec : Kali chronia ou Kali xronia
Guadeloupéen : Bon lanné Gujarati : Sal mubarak ou Nootan varshabhinandan Guarani : Rogüerohory año nuévo-re
Guyanais : bon nannen Haoussa : Barka da sabuwar shekara
Hawaiien : Hauoli makahiki hou
Hébreu : Shana tova
Héréro : Ombura ombe ombua
Hindi : Nav varsh ki subhkamna
Hmong : Nyob zoo xyoo tshiab
Hongrois : Boldog új évet Igbo : Obi anuri nke afor ohuru
Indonésien : Selamat tahun baru
Islandais : Farsælt komandi ár Italien : Felice anno nuovo ou Buon anno
Javanais : Sugeng warsa enggal
Japonais : Akemashite omedetô
Kabyle : Asseguèsse-ameguèsse
Kannada : Hosa varshada shubhaashayagalu
Kashmiri : Nav reh mubarakh Kazakh : Zhana zhiliniz kutti bolsin
Khmer : Sur sdei chhnam thmei
Kiembu : Ngethi cya mwaka mweru
Kirundi : Umwaka mwiza Kurde : Sala we ya nû pîroz be Kwangali : Mvhura zompe zongwa
Lao : Sabai di pi mai
Latin : Felix sit annus novus Languedocien : bona annada Letton : Laimigu Jauno gadu Ligure : Bón ànno nêuvo ou Feliçe annu nœvu
Lingala : Bonana ou Mbula ya sika elamu na tonbeli yo Lituanien : Laimingu naujuju metu
Luxembourgeois : E gudd neit Joër
Macédonien : Srekna nova godina
Malais : Selamat tahun baru Malayalam : Nava varsha ashamshagal
Malgache : Arahaba tratry ny taona
Maltais : Is-sena t-tajba Mangarévien : Kia porotu te ano
Maori : Kia hari te tau hou Marathi : Navin varshaachya hardik shubbheccha Martiniquais : Bon lanné Mauricien : Banané Marquisien : Kaoha nui tenei ehua hou
Mohawk : Ose:rase
Mongol : Shine jiliin bayariin mend hurgeye
Moré : Wênd na kô-d yuum-songo
Ndébélé : Umyaka omucha omuhle
Néerlandais : Gelukkig nieuwjaar
Ngombalé : Ngeu’ shwi p
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whencyclopedfr · 8 months
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Temple de Garni
Le temple de Garni (en arménien: «Garnu tacar») est situé dans le village de Garni dans la province de Kotayk, en Arménie. Il était autrefois un temple païen dédié au dieu solaire arménien, Mihr. Construit au milieu du 1er siècle ap. J.-C., le temple de Garni a remarquablement survécu à la période de destruction des temples païens suite à la conversion de l’Arménie au christianisme au 4e siècle ap. J.-C. Il a aussi résisté à d’innombrables invasions et tremblements de terre jusqu’à son effondrement en 1679. Suite à une période de fouilles arch��ologiques entre la fin du 19e siècle jusqu’au début du 20e siècle, le temple de Garni a finalement été reconstruit entre 1969 et 1975. Aujourd’hui, il s’agit de la seule structure gréco-romaine en Arménie. Il est considéré par beaucoup comme un puissant symbole du passé classique de l’Arménie, ainsi qu’un symbole de ses liens historiques avec les civilisations grecque et romaine.
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lepartidelamort · 6 months
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Macron concocte le déploiement de l’armée française à Odessa
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Macron devra être jugé pour crime contre la paix
Avouez tout de même que nous avons une bonne analyse de la situation.
Avant-hier, le 12 mars, dans notre article sur les projets de guerre de Macron, nous disions exactement :
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
Aujourd’hui, 14 mars, le journal Le Monde révèle le contenu des discussions de Macron avec son équipe de gangsters en vue du déclenchement d’une guerre généralisée en Europe.
Le Monde :
Emmanuel Macron trinque, un verre de whisky à la main. La nuit s’étire, ce 21 février, dans le salon des portraits, à l’Elysée. Le chef de l’Etat répond à ceux qui le félicitent pour son « beau discours » en l’honneur des résistants arméniens Missak et Mélinée Manouchian qu’il vient de faire entrer au Panthéon. Mais le président de la République est songeur. La situation en Ukraine, envahie par les troupes russes depuis deux ans maintenant, se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa », lâche, d’un air dégagé, le chef de l’Etat devant une poignée d’invités.
Si un journal juif comme Le Monde se met à diffuser ces informations, c’est pour préparer le terrain en vue de l’entrée en guerre de la France contre la Russie. Macron doit parler ce soir, il faut donc attendrir le gigot.
En prenant le contrôle d’Odessa, le but de Macron, ou plus exactement des juifs qui se cachent derrière lui, est de contrôler le flux de céréales qui va vers l’Afrique.
Ces juifs de Paris n’ont toujours pas digéré de s’être fait dégager en quelques mois de l’Afrique de l’Ouest. Ils veulent revenir en force en menaçant ces pays de famine. Le juif Attal l’a laissé transparaître dans son appel à la guerre, tout en justifiant cette pulsion d’agiotage par les intérêts de « l’agriculture française », pourtant menacée par la production à bas coût ukrainienne.
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Il y a un autre point, méconnu : Odessa est un repaire historique de la juiverie.
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Ces juifs savent que le moindre kilomètre carré conquis par la Russie est un kilomètre irrémédiablement perdu. L’idée d’abandonner Odessa les rend totalement hystériques.
Nous sommes donc à ce moment charnière où, demain, pour les Ides de Mars, Macron organisera avec les Polonais le basculement exigé par la juiverie internationale, en présence de Scholz, pris en otage d’un train infernal qu’il ne maîtrise pas.
Dès cette époque, l’envoi de « troupes au sol » (« boots on the ground », dans le langage militaire) devient une option examinée par les autorités françaises, dans le plus grand secret. Elle est évoquée lors d’un conseil de défense, le 12 juin 2023 à l’Elysée. « Le rôle des militaires est de toujours préparer le maximum d’options possibles, de façon à aider à la décision politico-militaire du président de la République », explique Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, pour lequel il ne faut pas voir dans l’annonce de M. Macron une escalade improvisée sur un coin de table. « Ce que dit le président de la République est d’abord un message politique et stratégique. Le premier objectif est d’envoyer [à la Russie] un signal de volonté et d’engagement dans la durée », assure l’officier supérieur.
Depuis la fin 2023, les troupes de Kiev perdent du terrain dans le Donbass. « Il y a aujourd’hui en Ukraine deux lutteurs qui se tiennent à la gorge, assure le général Schill. Il est impossible de savoir lequel des deux va plier le genou le premier, mais il ne faut pas que l’Ukraine perde. C’est notre mission et notre intérêt. »
Les champs de patates de l’Ukraine, dont tout le monde se foutait en France jusqu’à ce que la CIA n’en décide autrement, ne font pas partie des intérêts de qui que ce soit en Europe de l’Ouest.
Du moins, pour ce qui concerne les goyim.
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Schill veut faire tuer autant de golems que nécessaire
Il faut partir du principe que l’oligarchie au pouvoir a définitivement perdu contact avec la réalité. La société française, criblée de dettes et racialement balkanisée, ne résistera pas à une grande guerre. Les émeutes raciales de l’été dernier ont démontré l’état de pourrissement profond qui prévaut.
Deux camps se forment donc, avec les bellicistes à la solde des juifs d’un côté et le peuple de l’autre.
Il faut quand même se rappeler qu’au départ, il y a deux ans, il n’était question que de livrer des gilets pare-balles à Zelensky. On voit où la passivité nous a menés. Le projet des juifs depuis toujours est une guerre contre la Russie, avec une inévitable escalade nucléaire au menu.
Poutine rappelle sans cesse aux peuples d’Europe la gravité de la situation, les médias juifs déploient tous leurs efforts pour rassurer les goyim afin qu’ils marchent aveuglément à l’abattoir.
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La formule gagnante ici et de désigner les fauteurs de guerre à la vindicte populaire en prévision des inévitables troubles révolutionnaires qui suivront.
L’objectif, une fois le régime éreinté par le conflit, est de détruire l’ordre démocratique par lequel les juifs nous oppriment.
Participez à cet effort en tractant autour de vous, selon les consignes connues.
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polemostasis · 2 years
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Soldats arméniens.
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L'arménien
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jloisse · 9 months
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Judéo-christianisme–Nouvelle attaque «massive et coordonnée» contre les prêtres du Patriarcat arménien de Jérusalem
«Plus de 30 provocateurs armés ont forcé l'entrée du Jardin des Vaches et ont commencé leur attaque vicieuse», dénonce le Patriarcat dans un communiqué.
«La menace existentielle qui pèse sur le Patriarcat arménien est désormais une réalité physique».
Les évêques et les prêtres luttent pour leur vie même
L'entité sionistes, qui a reçu carte blanche des Occidentaux pour prendre le contrôle de Gaza et de ses ressources, profite de l'occasion pour pousser ses positions dans la ville Sainte...
...en s'appuyant sur les hommes d'affaires Danny Rubenstein et George Warwar, qui tentent d'expulser la communauté arménienne du Jardin des Vaches en faisant valoir un controversé contrat.
Après les Palestiniens, «les racistes et les suprémacistes du sionisme s'occuperont des chrétiens», avait prévenu Maduro.
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