Tumgik
#associés contre le crime
suburbangothic-rp · 1 month
Text
Tumblr media
suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
35 notes · View notes
lepartidelamort · 7 months
Text
C’est désormais officiel : en Palestine, les juifs affament les enfants à grande échelle
Les juifs, le peuple qui a organisé l’Holodomor en Ukraine, a décidé de revenir aux formules qui ont fait son succès du temps de l’Union Soviétique.
Désormais, ils affament les enfants de Gaza.
La situation est si répugnante, que CNN a dû se résigner à en parler pour ne pas perdre le peu de crédit international qui lui reste.
« La mort, c’est mieux que ça ».
Des images choquantes d’enfants affamés et émaciés provenant de l’intérieur de Gaza mettent à nu le désespoir qui règne dans la bande de Gaza, comme le rapporte @nadaabashir.
Tumblr media
Tout le monde peut admirer la nature des juifs à l’oeuvre.
Tumblr media
Depuis le lancement de leur campagne d’extermination à Gaza, des milliards de personnes ont découvert les juifs tels qu’ils ont toujours été.
Tumblr media
Ils en sont très fiers, au plus haut niveau.
Kay Burley : « Que faites-vous au sujet des enfants qui meurent de faim ?
Porte-parole du Premier ministre israélien : « Tout d’abord, permettez-moi de dire que le problème humanitaire numéro un dans la bande de Gaza en ce moment et depuis le 7 octobre est le sort de nos otages. C’est le problème numéro un »
Tumblr media
La bande de Macron semble ne pas vouloir être associée de trop près à ces crimes de masse. La chaîne du milliardaire israélien Patrick Drahi a inhabituellement reçu l’ordre d’en parler.
Tumblr media
C’est purement formel, mais ce recul macroniste indique que même les shabbat goyim les plus serviles commencent à pressentir que suivre aveuglément les juifs aura un coût colossal.
Tumblr media Tumblr media
En dernière instance, peu importe leurs hésitations, ils devront suivre leurs maîtres jusqu’à la catastrophe finale.
Les juifs ne sont pas seulement en guerre contre la Palestine, ils sont en guerre contre l’humanité entière et si cette guerre était froide avant le déclenchement des hostilités en Ukraine, puis à Gaza, elle est désormais ouverte. Pour les juifs, c’est une question de vie ou de mort. Perdre en Palestine et en Ukraine entraînerait la désintégration rapide du système démocratique occidental, donc leur ruine.
C’est la raison de leur acharnement à vouloir déclencher une nouvelle guerre mondiale. Le temps joue contre eux. La vengeance des peuples contre eux sera terrifiante, inédite, ils le savent et prennent directement les choses en mains. Contrairement aux guerres mondiales passées où ils tiraient les ficelles dans les coulisses, les juifs ne se dissimulent plus, ils sont en première ligne partout pour retarder l’inévitable.
C’est ce qui fait de cette Troisième Guerre Mondiale la plus juive de toutes les guerres.
2 notes · View notes
lephenixkurde · 9 months
Text
"Le gouvernement des Kurdes, le gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs", un livre recommandé par l'Institut kurde de Paris
Joyce Blau - cofondatrice de l'Institut kurde de Paris - ne tarit pas d'éloge sur l'ouvrage collectif "Le gouvernement des Kurdes, gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs" qui vient de paraître aux éditions Karthala, sous la direction de Gilles Dorronsoro. Un gage de sérieux pour un livre qui n'a pas d'équivalent jusqu'ici.
Tumblr media
Joyce Blau a introduit la conférence de Gilles Dorronsoro, Olivier Grosjean, Hardy Mède et Nicolas Ressler-Fessy. / Photo B. D.
Les nombreux auditeurs de la conférence donnée le 16 décembre à l'IKP ont été particulièrement attentifs aux propos de Gilles Dorronsoro, professeur de science politique enseignant à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et de trois des co-auteurs (1) venus présenter le livre avec lui, samedi : Olivier Grojean, maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Hardy Mède, associé à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne mais aussi enseignant à l’Institut catholique de Paris; et enfin Nicolas Ressler-Fessy, chargé de cours à l'Institut national des langues et civilisations orientales, par ailleurs membre du programme Turquie de Noria-Research.
Tous se sont penchés sur une période exceptionnelle depuis la fin de l'Empire Ottoman, les trois décennies qui ont vu "la pointe de fer des Etats régionaux" desserrer leur étreinte autour des Kurdes qui sont des dizaines de millions répartis sur l'Iran, la Turquie, l'Irak et la Syrie depuis le Traité de Lausanne signé en 1923. Comme le rappellent les auteurs dans leur quatrième de couverture, cela fait donc un siècle que les Kurdes "se mobilisent régulièrement pour obtenir des droits culturels, une autonomie régionale, voire l'indépendance".
Lire mon article : "Un génocide oublié, 100 ans de solitude pour les Kurdes"
Si la perspective d'un Etat kurde n'a jamais été aussi lointaine pour des Kurdes en partie lâchés par leurs alliés occidentaux après la victoire contre Daesh, toutes les années de lutte n'ont pas été vaines, que ce soit celles du PDK et de l'UPK à Bashur (Kurdistan Sud, au nord de l'Irak), celles du YPG/PYD au Rojava (Kurdistan Ouest, au nord de la Syrie), ou encore celles du PKK à Baqur (Kurdistan Nord, est/sud-est de la Turquie) et chez ses voisins.
Une date constitue à cet égard un moment de bascule, la résolution 688 du Conseil de sécurité des Nations Unies, adoptée le 5 avril 1991, qui crée une "no-fly zone" au-dessus du Kurdistan irakien victime d'un terrible génocide pendant les années Saddam, l'opération Anfal.
Commander mon livre "Un génocide oublié, la voix brisée du peuple kurde"
Protégés des bombardements chimiques et des crimes de masse, les peshmergas des deux principaux partis se livrent bientôt une guerre fratricide, jusqu'à ce que la guerre civile entre PDK et UPK débouche finalement sur un accord signé en septembre 1998 sous l'égide des États-Unis, prélude à la création de la Région autonome du Kurdistan irakien.
La guérilla du PKK qui s'étend de son côté au Rojava ainsi que les interventions américaines en Irak et en Syrie vont par ailleurs favoriser le PYD, fondé en 2003 par des membres syriens du PKK à Qandîl, dans les montagnes du Kurdistan irakien.
Résultat, pour la première fois, des populations kurdes sont gouvernées par des mouvements kurdes. Et c'est bien là l'objet du livre dont il est question ici.
A rebours d’une conception romantique et loin des clichés sur les tribus kurdes, les auteurs montrent la centralité des partis politiques dans l’organisation des ordres sociaux alternatifs en vigueur au nord de l'Irak et de la Syrie mais aussi en Turquie, notamment à Baqur qui va bénéficier entre 2013 et 2015 des bienfaits d'un cessez-le-feu entre le PKK et le pouvoir, au bénéfice du HDP pro-Kurde créé en 2012.
A partir de données originales tirées de temps longs passés sur le terrain en Turquie, en Irak et en Syrie, les auteurs analysent ces «gouvernements partisans» dans toute leur complexité. Un travail d'autant plus intéressant que les mouvements kurdes se trouvent confrontés à la gestion de minorités non kurdes, notamment en Irak et en Syrie, provoquant une adaptation du programme politique ou la mise en place de régimes discriminatoires, selon les cas.
Pour en savoir plus, il faut lire "Le gouvernement des Kurdes, le gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs", sous la direction de Gilles Dorronsoro, Paris, Karthala, 2023, 368p. Vendu au prix de 30€. Gilles Dorronsoro qui a annoncé que l'ouvrage allait être traduit en anglais très bientôt.
(1) Ont aussi contribué à cet ouvrage : Yohanan Benhaïm, Boris James, Sarah Guillemet, Patrick Haenni, Felix Legrand, Jean-François Pérouse, Cléa Pineau, Arthur Quesnay, Clémence Scalbert Yücel.
2 notes · View notes
a-room-of-my-own · 11 months
Note
C'est fou à quel point les filles du dit-"Tiers-Monde" sont américanisées à fond. Il y a deux jours, une femme sur twitter avait rédigé un tweet qui expliquait pourquoi elle était anti-immigration et toutes les féministes ont révoqué sa carte en la traitant de raciste, de suprémaciste blanche et en lui demandant pourquoi elle ne s'autoflagelle pas sur les connards profitant du tourisme sexuel. C'est fou à quel point la vision LFIste est présente...
 C’est certainement américanisé,  mais ce que je remarque dans les tentatives de faire systématiquement du relativisme culturel, c’est avant tout que les hommes issus de l’immigration ne sont pas vus comme des sujets, ou en tout cas comme des adultes, capable d’adhérer à une idéologie ou de faire leurs propres choix.
Ce que je trouve assez drôle avec nos féministes locales et celles qui sont influencé par l’idéologie identitaire à l’américaine, c’est qu’elles sont à la fois capable d’identifier des résidus de patriarcat dans l’éducation des hommes occidentaux et en même temps incapables de penser qu’une culture infiniment plus patriarcale, misogyne et violente, puisse avoir des conséquences sur le comportement des hommes élevés avec ces valeurs.
Elles voient ces hommes fondamentalement comme des victimes, et leur vision de la victime n’est pas une personne autonome, douée de libre arbitre à qui il est arrivé quelque chose, mais une identité. Ainsi à partir du moment où une personne est victime, elle ne peut pas mal faire. On lui retire sa complexité. On lui retire son individualité et elle devient une espèce de figure christique, sacrificielle qui ne peut pas faire ou penser le mal. Si elle commet des actes violents, c’est parce qu’elle y a été poussée. Si elle adhère à une idéologie meurtrière, c’est probablement qu’elle ne l’a pas comprise.
Associé à de l’égoïsme fondamentalement bourgeois, dans le sens où elles ne sont que très peu confronté à ces hommes, c’est très facile d’ignorer les violences commises et leurs causes tout en s’insurgeant sur le non-respect de l’écriture inclusive.
Pour les femmes issus de ces communautés, le problème est différent. Je pense que dans une large mesure c’est une question de loyauté et c’est une question de double contrainte. Dénoncer ce qui se passe dans sa propre communauté peut déclencher un rejet de la part des siens et peut aussi alimenter des stéréotypes. C’est une crainte qui n’est pas du tout sans fondement.
Il y a des femmes qui ont le courage de le faire forcé de constater que souvent elles le payent extrêmement cher. Déjà ça ne les immunise pas contre les réflexes racistes de certains mais en plus elles se retrouvent mises au ban. Et de la même façon, il ne faut pas voir une femme vivant à l’intérieur d’une société très patriarcale comme une victime sans complexité et il est tout à fait possible pour une femme dans une société de cette nature, d’être victime d’une oppression qu’on pourrait, dans ce cas, qualifier de systémique, tout en y participant activement.
C’est d’ailleurs de cette façon que ce système perdure pendant des générations, puisque les femmes qui sont victimes, peuvent, à leur tour, endosser un rôle d’oppresseur envers des femmes plus jeunes, envers leurs belles filles envers leurs propres filles.  C’est comme cela effectivement qu’on retrouvera des femmes qui défendrons les comportements de leurs frères, quand bien même ces comportements seraient d’une extrême violence.  Ce sont les mêmes qui se feront gardiennes de l’honneur de la famille, les mêmes qui feront la police de l’habillement auprès de leur petite sœur ou de leurs cousines.
Je pense que même nous, en tant que féministes, on doit comprendre que les femmes d’une manière générale peuvent être victimes d’un certain nombre de choses, mais que le statut de victime ne fait pas disparaître pas la complexité des individus. On aura toujours des femmes qui soutiendront des hommes misogynes, qui seront misogynes elles-même, qui se réjouiront de crimes commis sur d’autres femmes, et ce ne sera pas une erreur ou une incompréhension de leur part. Ce sera un choix.
6 notes · View notes
kalyria1674-blog · 2 years
Text
Itachi n'est vraiment pas une bonne personne :
J’ai... des sentiments compliqués pour Uchiha Itachi. Je ne l’aime pas, je ne pense pas que je le ferait jamais. Mais je ne le déteste pas non plus. Je déteste ses actes et je les considère comme absolument impardonnables et, surtout, injustifiables. C’est pourquoi ses fans m’agacent autant, je suppose. Car, sous couvert de parler d’actes impardonnables, ils continuent d’essayer de justifier ce qui ne peut et ne devrait jamais l’être.
Vous avez beau être dans une situation de merde rendant vos actes compréhensibles, le génocide et le lavage de cerveau ne sont pas justifiables. Jamais.
Peu importe combien j'essaie, en analysant concrètement ses actes et ses paroles, je ne parviens jamais à comprendre les raisons derrières ces actes. A mes yeux, elles semblent toutes se contredire ou n'avoir, de base, aucun sens :
Il est le pire frère que je connaisse et de loin : Il dit vouloir protéger Sasuke... mais n'a eu de cesse de le traumatiser. Il a tuer sa famile devant lui et l'a forcer à vivre et revivre l'expérience. Il lui a dit de tuer son meilleur ami. Il a faillit le tuer (lors de leur première confrontation après les examens chunins) et l'a littéralement plongé dans le comas. Il a forcé sa dernière famille à le tuer. Il a mit en place tout un plan pour laver le cerveau de son petit-frère et lui retirer tout sens du lire-arbitre si celui-ci se rebellait contre ses idées à lui. Il n'avait aucun plan à proprement parler pour contrer la tentative d'Orochimaru de voler le corps de son frère. Du moins, aucun qui ne s'activerait à moins d'avoir les propres mangekyô d'Itachi. Il dit vouloir faire de Sasuke un héros... avant de (toujours dans cette rencontre post-chunin) réitérer ses paroles à son frère en lui demandant de tuer son meilleur ami, le jinchuriki et atout du village. Où est la putain de logique ?!
Il est présenté comme un pacifiste : Mais soutient pleinement le génocide de sa propre famille. Alors qu'il était formé par son père comme futur chef de clan, il n'a même pas essayer de trouver une autre solution, se contentant d'accepter passivement l'ultimatum du conseil. Il n'a pas prévenu son père (sans forcément dire que la source était lui-même) que le Coup d'Etat avait été éventé. Il n'a pas chercher d'autres solutions avec le Conseil. Il n'a prévenu aucune des deux parties qu'il existait un Uchiha dissident (qu'il a pourtant rencontré à plusieurs reprises !) qui était un bien meilleur candidat pour l'assaut de Kyubi. Quand le clan Uchiha s'est insurgé d'être associé à un crime qu'il n'avait pas commis, la réponse d'Itachi fût de s'associer au véritable coupable pour génocider sa famille, civils et enfants compris. Apparemment, pour lui, massacrer les dissidents de l’État est honorable et justifié car ''ils n'ont pas voulu changer leur position''. A mes yeux, il est donc très clair que, pour lui, le mot ''paix'' rime davantage avec ''absence d'opposition'' que ''coopération/entente mutuelle''.
Les gens l'appellent un héro ayant grandement souffert : Donc cela devrait l'absoudre de ses péchés prit volontairement ? Le Sandaime l'a dit lui-même, tout à été laisser à l'initiative d'Itachi. Il avait le choix (pourri, certes, mais toujours là) et a décidé de commettre un génocide sans même essayer de trouver une voie alternative. Il a adhérer aux politiques ségrégationnistes des anciens du village sans remettre en question ce que cela pouvait causer comme souffrance à sa famille, détestée dans leur propre maison et pour laquelle nombre d'entre eux sont morts. Il a torturé son petit-frère de sept ans (sept ans, putain !!!) après avoir sauvagement assassiné leur clan sous prétexte de le rendre plus fort, soi-disant pour faire face à ''Madara'' sans pour autant se fatiguer à alerter ses patrons. Et les gens qu'il a tués au nom de Konoha comme shinobis et ANBU ? Ceux qui sont morts sous ses coups en tant que membre de l'Akatsuki ? Son clan, son petit-frère, certains de ses ''camarades shinobis'', les jinchuriki qu'il a traqués, ils n'ont pas souffert, eux ?!
Ses fans disent souvent qu'il a empêcher la guerre : Il est présenté comme le héros prêt à tout pour empêcher une nouvelle guerre mais n'a jamais proposer de solutions tout en ne fournissant aucunes informations réelles sur Akatsuki qui était un danger déclaré sur son village (tu parles d'un espion !). Tout comme il a ouvertement soutenu que le massacre du clan Uchiha était nécessaire. Il est dit qu'il voulait empêcher les autres villages de se retourner contre Konoha... mais même après que le village fût détruit à trois reprises (Kyubi, Orochimaru, Pein), cela ne s'est jamais produit car... les autres avaient leur propres soucis à régler. Alors elle est où cette fameuse menace de guerre totale ?! C'est Kiri et ses problèmes de Brûme Sanglante qui aurait attaqué ? Iwa et les fortes contraintes économiques sur son village qui l'ont obligés à recourir à l'Akatsuki en premier lieu ? Kumo malgré ses soucis à formé entièrement son jinchuriki pour qu'il devienne un ''jjinchuriki parfait'' ? Suna qui a toujours eu de gros soucis en matière de ressources ? Ame malgré que Nagato soit sous la coupe d'Obito ? Ben voyons ! Qu'a t-il empêché par son si noble sacrifice si ce n'est une putain de guerre civile dû aux clans qui n'auraient jamais accepté une telle solution ? Parce qu'il ne faut pas se leurrer, si le Conseil était capable de programmer tranquillement le génocide d'un clan fondateur, la question qui demeurerait pour les autres clans serait : Qui sera le prochain ?
Je ne pense pas avoir jamais vu un espion aussi mauvais : Je n’ai jamais pu comprendre comment, en ayant été planté des années à l’avance par le village (enfin... techniquement Obito l’a invité en connaissance de cause pour le manipuler mais bref.), il a réussi à foirer son espionnage au point où le village ignorait la plupart des informations de bases sur Akatsuki. Car oui, j’ai vu de nombreux fans tenter de le défendre à ce sujet, notamment avec les arguments ‘’il se serait fait tuer s’il avait été soupçonné’’, ‘’il ne s’est pas sciemment attaquer à des camarades shinobis’’, ‘’il n’avait aucun moyen de contacter le village’’, ‘’il leur a dit ce qu’il savait’’ et autre... sauf qu’au final, ce ne sont que des excuses. Soupçonner ? Le véritable leader était au courant depuis des années et a estimer que c’était un risque acceptable. Attaquer ses camarades ? Discutables (Kakashi...) mais admettons. Manque de moyens de communication ? Son inaction ne les a pas aider non plus. Il aurait pu contacter Konoha anonymement ou avec ses corbeaux. Leur dire ce qu’il savait ? Cet argument m’a sidéré car, justement, la raison principale de la mort d’Asuma et Jiraya était leur manque d’information. Itachi était là depuis des années mais, visiblement, il ne pouvait ni transmettre l’existence de ‘’Madara’’, ni les plans de Pein (que celui-ci leur avait donner comme il le dit lui-même à Hidan), ni l’immortalité du duo s’en vantant à tout va, ni sur leurs cachettes et pas même sur leur tendance à se déplacer en binôme (utile si Konoha veut mettre en place des embuscades). Alors, au final, qu’a gagner Konoha de l’infiltration d’Uchiha Itachi ? Eh bien... rien. En fait, c’était même plutôt une perte, à la fois de ses capacités globales et de ses yeux mais également du fait que, pendant ce temps, il a aider à la réalisations des objectifs ennemis, faisant ainsi le jeu d’Obito. Et encore... si ce n’est pas un silence volontaire par défiance envers les anciens à l’avoir mis dans cette situation pour commencer.
Génocide, tentative de meurtre, fratricide, tentative de lavage de cerveau, torture physique et psychologique, trahison potentielle de son village... plus j'y réfléchis, et moins il ressemble à un héros et davantage à un salaud. Pour autant, ça ne veux pas dire que je le considère comme une sorte de diable. Je suis consciente que lorsque c'est arrivé, Itachi n'avait que treize ans, ce qui est un âge bien trop jeune pour se voir imposer une telle situation/pression.
Je suis en fait honnêtement surprise qu'il ait trouver la force d'agir plutôt que juste se laisser mourir/se suicider. Le fait qu'il l'ait fait car il pensait sincèrement aider/protéger son frère est un crédit supplémentaire qui lui est dû.
Mais voilà... au final, même s'il pensait faire au mieux, ce n'était pas le cas. Même s’il se considérait comme aimant profondément Sasuke, il n’a manifestement pas prit en compte le fait qu’il aurait été plus miséricordieux de le tuer cette nuit-là que de le laisser (forcer, vraiment...) vivre comme ‘’Dernier Uchiha’’, sans famille, manipulé de toute part et avec le fardeau de la vengeance de sa famille sur le dos et la culpabilité du survivant en prime. Il pensait aider mais il n'a fait qu'empirer les choses. Il pensait sauver mais il n'a fait que détruire (Sasuke/Konoha).
Ainsi, même si ses actes provoquent mon mépris (car rien ne peut faire pardonner un génocide, jamais.), je n'oublie pas que l'on parle d'un adolescent acculé de seulement treize ans, si hors de sa profondeur que c'en est douloureux à voir (et ce quoiqu'en dise Sarutobi Hiruzen qui... a beaucoup de mal avec la prise d'initiative et la prise de responsabilité pour ses erreurs), comme le démontre son peu d'efficacité en tant qu'espion et son désespoir de suivre sa ligne directrice fixée depuis près de dix ans malgré la prise en âge et les nouvelles informations en sa possession. Il était démuni, isolé, et s'est vu proposer comme seules solutions : la trahison, le génocide ou le lavage de cerveau.
Alors oui, il a choisit le pire... mais le truc, c'est que ce choix n'aurait jamais dû lui revenir pour commencer. Il n'aurait jamais dû se retrouver décisionnaire de la marche à suivre, pas même pour les meilleures raisons du monde, sans parler de la lamentable volonté gouvernementale d'ordonner un génocide tout en gardant les mains ''propres'' et ainsi étouffer toute rébellion potentielle. Sans mentionner... non, en fait, disons-le franchement, la partie sur le fait d'envoyer un Uchiha tuer d'autres Uchiha rajoutait doublement à la cruauté.
En premier lieu car ils ont été mis à mort par un membre de leur famille. Pire encore, celui qui était censé représenter leur espoir.
En second lieu car, se faisant, ils ont pu continuer la mascarade des Uchiha assoiffés de sang et de pouvoir au reste du village (et peut-être entre eux dans une sorte d'auto-glorification, qui sait...) et ainsi continuer à leur cracher dessus par-delà la tombe. Il est où l'honneur du clan, là-dedans ?! Putain, Kakashi... sur le coup, tu étais une telle déception... bref.
Les actes d'Itachi ont été en grande majorité une succession d'erreurs d'une grande gravité... mais, avant d'émettre un jugement moral, il est important de se rappeler de deux points :
Premièrement, on parle d'un adolescent de treize ans puis d'un jeune homme de dix-huit/vingt-et-un ans, d'abord prit dans les mailles de la machine de guerre implacable de Konoha, mise en marche par Danzô et supporté par le Sandaime... puis lié à une organistion criminelle (révolutionnaire/terroriste mais à objectif révolutionaire ? C'est encore flou pour moi si ce n'est que se fier aux dires des villages cachés en la matière est une blague dans le meilleur des cas) internationale qui l'aurait assassiné pour tout doute sur sa loyauté (minus Obito qui était déjà au courant et s'en servait allégrement) et traquer en cas de trahison/désertion et ce, alors qu'il était détester de toutes part, sans ressources ni aucune possibilité de faire marche arrière dû au manque de preuves.
Deuxièmement, je peux porter un jugement moral sur le personnage vis-à-vis de mes propres convictions, notamment celles sur le génocide ainsi que sur la trahison de sa propre famille. Néanmoins, cela ne le rend pas automatiquement bon/pertinent sachant que, d'une part nous n'avons accès qu'à une poignée d'informations (connaissance partielle donc.) et, d'autre part, nous placer dans une position moralement plus élevée est dangereux sachant que Naruto est un manga emprunt des idées d'un conservateur du système japonais et qu'à sa place, la quasi-totalité d'entre nous n'auraient probablement jamais pu supporter de nous voir imposer ça.
Donc, pour ses choix terribles, Uchiha Itachi à mon mépris... mais pour son âge et la situation impossible qui l'ont conduit à faire ces choix, il a aussi ma pitié, si inconvenant que cela puisse être de la part de quelqu'un qui ne comprend pas ce qu'il aurait jamais pu ressentir. Qui ne le pourra sans doute jamais. Et heureusement.
Mais, pour réaffirmer cette partie de mon avis, je ne peux pas passer outre les actes d'Itachi, peu importe la pitié que je peux avoir pour lui. Car, à ce qu'une autre utilisatrice de Tumblr a dit (traduit avec DeepL car je ne suis pas anglophone et c’est vraiment dommage que je ne me souvienne plus de son pseudo) :
''J'ai l'impression que beaucoup de gens ici pensent sincèrement qu'Itachi a tué son clan par plaisir, qu'il ne se souciait pas de ce qu'il faisait ou qu'ils veulent désespérément croire qu'il y avait une meilleure option. Et je trouve cela très hypocrite, car beaucoup de ces mêmes personnes sympathisent avec Obito. Obito n'a pas vraiment été forcé, oui il a été "pris/trouvé" par Madara et oui Madara a causé la mort de Rin, mais Obito avait le choix de rentrer chez lui ou de retourner chez Madara, il a choisi Madara. Alors qu'Itachi a été forcé de prendre une décision. Une décision qu'il n'aurait pas dû prendre et qu'il n'aurait jamais dû être mis en position de prendre. Toutes les options présentées auraient eu des conséquences terribles. Tuer Danzo n'est pas vraiment une option. Cela ne fonctionnerait pas car Danzo a Izanagi et pourrait l'utiliser pour "revenir", après quoi il se rendrait compte qu'Itachi est contre lui et demanderait à ses hommes d'attaquer les Uchiha eux-mêmes, y compris Sasuke. Ce qui pourrait soit se solder par la mort de tous les Uchiha, soit les Uchiha seraient capables de se défendre et d'autres personnes pourraient être prises entre deux feux. Même s'il avait été capable d'utiliser le Kotoamatsukami sur lui, il est probable que Danzo avait prévu cela et ordonné à ses hommes de gérer la situation s'ils soupçonnaient que ses opinions avaient soudainement changé. Les vraies options. 1. Tuer tous les Uchiha en n'épargnant que Sasuke, et le faire passer pour un traître et un criminel alors que le nom des Uchiha est protégé et que la nouvelle du Coup d'État ne se répand jamais. 2. Tuer seulement ceux qui sont directement impliqués et risquer que les autres deviennent comme Obito ou Sasuke ou Madara, et attaquent le village pour venger leur clan, ce qui les conduirait à être tués de toute façon. 3. Ne tuer personne et laisser le coup se produire, les Uchiha et les Konoha se font la guerre et de nombreuses personnes des deux côtés - y compris des civils innocents - seront tuées. Les nations ennemies profiteraient de ce qui se passe et attaqueraient, causant encore plus de morts. Les Uchiha survivants seront tous arrêtés, mis à l'écart et/ou exilés pour le coup d'État, qu'ils en aient fait partie ou qu'ils aient simplement eu la malchance d'appartenir au même clan. 4. Ne tuer personne et laisser Danzo et la Racine s'en occuper. Sasuke meurt également. Et soit Itachi meurt aussi, soit il est piégé de toute façon. Toutes les options sont nulles. Mais l'option 1 a coûté le moins de vies.''
[Pour faire un apparté rapide, je ne suis pas d'accord avec l'auteur au sujet d'Obito qui est sous l'influence d'un sceau maudit faisant de lui la marionnette de Zetsu et Madara. Bien que je ne sois pas non plus pour l'hypothèse d'Obito étant sous contrôle plutôt qu’influencer (et donc ne pouvant être tenu responsable parce que... quoi ? Est-ce que ceux qui disent ça ont même lu l’intégralité de la partie sur Juubito ?) comme tout un chacun dans la vie au vu de ses actes en tant que Juubi jinchuriki une fois débarrassé du sceau. Maintenant, pour ce qui est d'Itachi...]
Non, bien sûr que non. Itachi n'aurait pas tuer son clan par plaisir. Et bien entendu que cela l'a traumatisé et rempli de regret, je ne dis pas le contraire. Il avait treize ans après tout. Treize !
Tuer Danzô n'était peut être pas une option mais avertir les Uchiha, si. Ils se seraient battu et, oui, d'autres personnes auraient sans doute été happée dans la bataille. Oui, ça aurait été un risque énorme et non, ce n'est certainement pas une bonne solution. Mais... entre ça et subir un génocide ethnique à l'intérieur même de leur propre maison, de la main de quelqu'un en qui ils avaient confiance, je pense que leur laisser l'occasion de se défendre est un minimum.
L'option 1 est ce qu'Itachi a finalement choisit. L'option 4 était sortit de base. L'option 3 ne vaut pas grand-chose car, même si cela dégénère en guerre civile et non pas en ''prise sans effusion de sang'' comme le voudrait Fugaku, il y aura de très nombreux morts, pour un résultat incertain. En revanche, cette menace de guerre mondiale est du flan et empire les choses.
[Autre chose qu'il aurait pu faire, c'est dénoncer Obito et son ''Akatsuki''. Cela n'aurait pas résolu le problème de base qui est la scission Uchiha/Konoha mais cela aurait permis de rediriger temporairement l'animosité des deux camps (oui, y compris Danzô qui n'aurait jamais négligé la réapparition de ''Madara'' associé au même nom que le porteur du Rinnegan qui a déjà fait échouer l'un de ses plans) sur un bouc émissaire pour l'attaque (qui est en fait le vrai coupable) et donner un prétexte aux deux camps pour s'unir et repousser leurs rancoeurs mutuelles, permettant ainsi de gagner du temps et rappeler à Hiruzen de déterrer sa tête du trou où il l’a fourrer pour agir comme il a dit qu'il le ferait. Ou, au minimum, faire autre chose que de s'allier aux vrais coupables (anciens + Obito) de la situation déplorable de son clan pour massacrer l'ensemble de sa famille et dans le dos des supérieurs hiérarchiques qu'il prétend servir avant de rejoindre une organisation criminelle et ne plus donner signe de vie pendant des années.]
Mais... et l'option 2, alors ? Faire exécuter les coupables serait mal vu et aurait son propre lot de conséquence, à commencer par sacrifier l'honneur du clan et la vie de ses parents. Mais le truc, c'est qu'aucune option (même la trois le laisse très incertain, au mieux) ne permet la survie du clan et encore moins son honneur. Car non, commettre un génocide et enterrer la vérité sous le tapis pour ne pas révéler l'implication de l'état quitte à user d'un bouc émissaire, ce n'est pas préserver l'honneur des victimes. C'est leur cracher dessus par-delà la tombe et ce quoique prétende Kakashi à ce sujet. Donc, foutu pour foutu et compte-tenu du fait que Konoha ne leur a pas laisser beaucoup ''d'honneur'' pour commencer...
Son clan se sentirait trahit et a raison. Ils ne pardonneraient jamais à Itachi sa trahison. Surtout, ils prendraient sans doute cela comme la preuve qu'il a bel et bien tuer Shisui et agirait sans doute envers lui comme ils l'ont fait pour Madara... au minimum. Sans compter qu'il n'est absolument pas prêt à assumer les responsabilité de chef de clan si tant est qu'ils le laisse faire ce qui serait au mieux risible et parodique.
Pour autant, ils vivraient. Quand aux coupables, une exécution publique (et donc une reconnaissance des crimes des Uchiha) ne serait pas nécessaire et il aurait pu être possible de négocier une exécution sommaire par les ANBU qui préserverait l'honneur des autres. C'est-à-dire si le but du conseil était vraiment de réprimer une insurrection menant à une guerre civile et non pas de conforter leurs lamentables préjugés en détruisant tout un clan, enfants compris, pour leurs propres objectifs de maintien de leur pouvoir personnel (Koharu) ou dissimulation de leurs crimes (Danzô).
Ce qui signifie donc que cette optique n’aurait jamais été accepté à moins qu’Hiruzen décide de développer une colonne vertébrale contre ses amis ce qui... ouais, non, oubliez ça. Mais il est néanmoins révélateur que cela (pas l’idée de dénonciation sommaire mais bien de redirection de l’animosité collective sur un bouc émissaire) n’ait même pas été considérée.
Sans doute parce que les Uchiha étaient historiquement le bouc émissaire parfait depuis des générations alors pourquoi louper cette occasion ?
Oui, bien entendu, il était toujours possible de créer d'autres Sasuke, Obito ou Madara mais c'était, au mieux, peu probable car aucun autre Uchiha n'aurait le pouvoir de se dresser contre Konoha.
Obito a été entraîner par une légende et génétiquement modifié pour cela, sans compter le soutien d'un utilisateur de Rinnegan, d'une tripotée de nukenin classé S, du Gedô Mazo, d'un réseau d'espionnage quasiment sans faille grâce à Zetsu et des décennies d'attentes à l'abri des investigations du village. Sasuke et Madara sont les réincarnations littérales d'une divinité (ou demi-dieu ou un quart extraterrestre ou peu importe comment vous l'interprétez !) fondatrice du chakra et de l'ordre des shinobis, ils sont donc eux aussi complètement à part. En comparaison, quel danger des Uchiha privés de leurs meilleurs combattants, acculés, sous surveillance constante et manquant de temps pourrait bien faire ?
Et c'est d'ailleurs le point le plus intéressant de la réflexion.
Le fait que, de mon point de vue, il était préférable pour Itachi de génocider sa propre famille plutôt que de risquer, même de façon incertaine, que l'ordre de Konoha soit à nouveau troubler par les Uchiha.
Je ne sais pas pour vous mais, en ce qui me concerne, je trouve que cela fait froid dans le dos.
«Les gens soutiennent souvent que des personnages comme Itachi ou Tobirama ont fait des choix difficiles, mais ce n’est pas vrai. Ils sont mesquins d’esprit, paresseux dans leurs pensées, et ils ont choisi la solution de facilité. Massacrer les gens n’est pas difficile. Ce qui aurait été difficile, c’est de naviguer dans une myriade de questions sociales et morales comme la gestion des rancunes historiques volatiles entre clans, l’intégration, le pluralisme, le partage du pouvoir, l’élimination progressive de l’esclavage et d’autres pratiques inhumaines, la recherche d’un modèle économique qui ne repose pas sur la fabrication de tueurs d’enfants et d’armes, et en même temps essayer de ne pas contrarier tous les traditionalistes et les parties intéressées. Ces choses sont vraiment difficiles, beaucoup plus difficiles que de tuer des gens. Cela nécessiterait en fait du talent politique et du leadership.» - Romance, Politique et le Problème Uchiha, Chapitre 1 par Daastan-Go. Bien qu’il s’agisse de sa citation de quelqu’un d’autre... si quelqu’un sait à qui appartient l’original, faites-le moi savoir, stp.
Je ne suis pas d’accord avec tout ce que l’auteur dit mais il y a plusieurs bons points dedans, c’est indéniable.
Bien entendu, tout ce qui concerne le fait que l’ordre du village devrait être troublé vu la merde qu’ils tirent entre en considération ici... mais j’ai un peu trop développé ce post et si je pars sur ce terrain, j’attendrais bientôt la limite de caractère, zut ! Mais je ne ferme pas à revenir sur ce sujet particulier et, surtout, particulièrement important plus tard.
Et oui, je sais que cette opinion va sans doute m’apporter les foudres de ses fanboys mais, juste pour info, comme je le disais plus haut, si vous venez à moi dans l’optique de tenter une justification d’un génocide ou d’un lavage de cerveau, abstenez-vous. C’est une attitude lamentable à avoir. Il n’est pas nécessaire de vouloir racheter à tout prix un personnage selon notre morale personnelle pour l’aimer.
5 notes · View notes
profitpivot · 3 years
Text
FTX
La bourse de crypto en faillite FTX, a informé ses clients, créanciers et la communauté le 25 août que son agent de réclamation, Kroll, avait subi une cyberattaque. L’incident a compromis des données client « non sensibles », selon FTX, de certains demandeurs dans le cadre de la procédure de faillite en cours.
Nouveau coup dur pour les anciens clients FTX victimes de l’arnaque
Les données des anciens clients de FTX compromises dans un incident de sécurité chez Kroll
Ce qui pourrait être considéré comme « non sensible » dans des contextes traditionnels peut, dans le domaine de la cryptographie, avoir des répercussions sur les utilisateurs individuels, les opérations d’échange et sur l’industrie crypto elle-même au sens large.
Les données divulguées aux pirates sont les suivantes et apparaissent plutôt comme très sensibles :
 Nom et Prénom
 E-mail adresse
 Adresse postale
 Solde du compte FTX (cryptos et Fiat)
FTX a déclaré que Kroll informe actuellement les personnes affectées par l’incident de cybersécurité des mesures à prendre pour se protéger. L’échange en faillite a précisé que ses mots de passe de compte et ses systèmes étaient en sécurité.
FTX met actuellement en garde sa communauté contre les acteurs malveillants qui pourraient tenter de profiter de l’incident. FTX a officiellement confirmé l’incident de cybersécurité sur la plateforme de médias sociaux X dans un post du 25 août.
L’échange en faillite n’a pas fourni d’informations supplémentaires sur les demandeurs touchés. Cependant, il a assuré à la communauté que Kroll informait directement les demandeurs impactés des mesures à prendre pour se protéger.
Pendant ce temps, FTX a conseillé à ses utilisateurs de rester vigilants face à d’éventuels courriels frauduleux ou escroqueries qui pourraient se faire passer pour des parties impliquées dans la faillite. Kroll a de son côté fourni des informations aux utilisateurs pour se protéger contre les acteurs malveillants tiers et FTX a quant à lui garanti aux clients que leurs comptes, leurs fonds et leurs systèmes restent intacts après l’incident.
Scandale FTX, encore une faille qui sème le trouble
Cette énième faille qui touche le secteur crypto renforce encore une fois le sentiment d’insécurité qui anime les membres de la communauté. Non seulement les clients de FTX se sont fait voler leurs économies par Sam Bankman Fried et ses associés en crime mais ils doivent maintenant subir le vol de leurs données personnelles comprenant le solde de leur avoir par des pirates informatiques.
C’est à se demander de qui se moque-t-on lorsque FTX déclare : « Kroll a assuré aux [demandeurs] de FTX qu’il a rapidement contenu et remédié à l’incident, et les [demandeurs] de FTX surveillent de près la situation.��» En effet, au moment d’écrire ces lignes des milliers de créanciers ont déjà reçu plusieurs spams de phishing leur proposant de retirer leurs cryptos depuis leur compte FTX en cliquant sur le lien dans les emails envoyés
1 note · View note
confettibd · 1 month
Text
Exploration de l'Impact Culturel de la Cocaïne en Europe : Tendances et Opinion Publique
Tumblr media
Au cours des dernières décennies, l'Europe a été témoin de changements significatifs dans les tendances liées à la consommation de cocaïne, avec une évolution constante de l'opinion publique et des réponses politiques à cette substance.
Ce phénomène n'est pas limité à un seul pays ; il englobe une vaste région comprenant des pays comme la France et la Pologne, où l'impact de la cocaïne est devenu un sujet majeur de préoccupation. Dans cet article, nous explorons les tendances européennes de la cocaïne, l'opinion publique sur la cocaïne, et l'impact spécifique de la cocaïne en France et en Pologne.
En France, par exemple, les évolutions du trafic de cocaïne en Europe et leur impact en France ont suscité des débats intenses et des actions politiques visant à contrôler et à réduire la consommation de cette drogue illicite. Mais qu'est-ce qui a conduit à ces évolutions et comment ces dynamiques influencent-elles l'ensemble de la région ?
1. Tendances Européennes de la Cocaïne : Une Augmentation Inquiétante
L'Europe a vu une augmentation notable de la consommation de cocaïne au cours des dernières décennies. Les routes du trafic ont évolué, et les modes de consommation se sont diversifiés, rendant la cocaïne plus accessible à un plus grand nombre de personnes. L'Espagne, les Pays-Bas et la Belgique sont devenus des points d'entrée clés pour la cocaïne en Europe, en raison de leurs ports et de leurs liens historiques avec les routes de trafic.
Les statistiques montrent que les saisies de cocaïne en Europe ont considérablement augmenté, ce qui reflète non seulement une augmentation de l'offre, mais aussi une demande croissante. Les jeunes adultes sont particulièrement vulnérables à cette tendance, avec une augmentation de la consommation chez les 18-25 ans dans plusieurs pays européens.
2. L'Opinion Publique sur la Cocaïne : Un Phénomène Divisé
L'opinion publique en Europe sur la cocaïne est complexe et divisée. D'une part, il y a une prise de conscience accrue des dangers de la drogue, alimentée par des campagnes gouvernementales et médiatiques visant à dissuader l'utilisation. D'autre part, dans certaines sous-cultures urbaines, la cocaïne est perçue comme un symbole de statut et de réussite, ce qui contribue à sa popularité continue.
En France, par exemple, la cocaïne est souvent associée à l'élite et aux cercles d'affaires, tandis qu'en Pologne, la perception peut être plus associée à l'underground et aux cercles criminels. Cette dichotomie dans l'opinion publique influence non seulement la consommation, mais aussi les réponses politiques dans chaque pays.
3. L'Impact de la Cocaïne en France : Une Lutte Contre le Temps
La France est l'un des pays européens les plus touchés par l'impact de la cocaïne, tant sur le plan social qu'économique. Le pays a vu une augmentation alarmante des cas liés à la consommation de cocaïne, y compris des problèmes de santé, des surdoses et des crimes liés à la drogue.
0 notes
shalomelohim · 3 months
Text
La Parachah « Qorah » (Koré)
Pensée
« Au matin, YHWH fera connaître qui est à Lui et qui est consacré, IL le fera approcher de Lui ; Celui qu’IL choisira IL fera approcher de Lui »
Tous ne sont-ils pas saints disait Qorah ! Toute l’assemblée ! La réponse est non.
Seul Celui et ceux que YHWH désignent sont en « sanctification » pour pouvoir approcher.
Il ne suffit pas de penser croire et dire je crois. Mais être agréé en Yahshua et trouvé fidèle dans l’obéissance. Qorah et les autres croyaient-ils en YHWH ? Certes. Étaient-ils conforme en obéissance ? Non.
Tumblr media
Lectures Bémidbar : Nombres 16:1 à 18 fin Haftarah : Shémouel A / 1 Samuel 11:14 à 12:22 Bérith Hadachah : Yohanan / Jean 18:28 à 19:16  
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous  permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yéshoua.
Résumé de la parachah     Une révolte est fomentée contre Moshéh et Aharon. A travers la double épreuve de la présentation des brasiers et des bâtons, Élohim conforte son choix sur Moshéh, Aharon et la famille de Lévi. Les murmures ne cessent pas pour autant et une plaie mortelle éclate dans le camp. Aharon intervient, la plaie est stoppée. A la suite de ces évènements YHWH Élohim rappelle à Aharon sa charge, la charge des lévites, leurs droits et leurs spécificités.  
Révolte, coup d’état, ambition…
« Qorah, fils de Yitséhar, fils de Qehath, fils de Lévi, Datân et Aviram, fils d’Éliav, et On, fils de Pélèth (Éliav et Pélèt étaient fils de Réouven) furent orgueilleux ; ils se dressèrent contre Moshéh, ainsi que deux cent cinquante des Israélites, princes de la communauté, considérés dans les solennités, hommes de renom. Ils s’attroupèrent alors contre Moshéh et Aharon… » (Nombres 16)
Le chapitre 16 de Bamidbar contient le récit d'une double révolte contre Moshéh et contre Aharon :
celle du Lévite Qorah contre le sacerdoce d’Aharon et,
celle de Dathan et Aviram contre la souveraineté de Moshéh, accusé d’avoir privé le peuple de tous les avantages de sa situation en Égypte pour le faire vivre dans le désert.  
Tous deux petits-fils de Qéhath, il faut noter que Moshéh et Qorah sont cousins germains et par ailleurs mis à part et rachetés comme tout lévite parmi le peuple.
Toutefois, Qorah est l’aîné de sa branche alors que Moshéh n’est que le 3ème de la sienne. Un traditionnel conflit de type « droit d’ainesse » est dès lors perceptible.
Pour donner de l’écho à son entreprise de rébellion organisée, de putsch ou de coup d’état, Qorah n’hésite pas à associer à sa démarche des fils de Réouven, les ainés de Yaaqov destitués de leurs droits d’ainesse pour un crime, comme pour signifier au peuple que Moshéh a lui-même outrepassé le droit coutumier des peuplades sémites.
« C'en est assez, vous avez assez longtemps usé de ce pouvoir usurpé… ». Telle est en substance la réaction politique qui opposent Qorah et ses 250 hommes de renoms, choisis parmi toutes les tribus, à Moshéh et Aharon, choisis quant à eux par Élohim.
Mais la querelle politique, qui cherche le pouvoir et les richesses matérielles, ne peut s’embarrasser des élections d’Elohim qui invite ses fidèles à la recherche d’une spiritualité authentique et à un culte agréable.
Ces deux conceptions de la « gestion de la Cité » et de l’exercice du pouvoir associé renvoient à deux conceptions distinctes et inconciliables du monde futur.
Qorah et ses gens ne veulent pas d’un royaume où ils n’auraient pas leur place en haut de la pyramide. Sortir d’Égypte, oui, mais avec toutes ses richesses et ses modèles à reconstruire.
Ce potentiel « royaume » ils veulent le posséder à leur façon, à ce stade ils ne furent pas différents de trop nombreux futurs rois qui prirent bien des libertés de type humain en s’éloignant des préceptes d’Élohim.
Cette propension bien humaine est toujours et encore présente et c’est avec la mémoire de ses conséquences qu’il nous faut juger aussi aujourd’hui les tendances et les décisions des hommes de « pouvoir ».
Nous constatons évidemment que l’heure où Israël et les nations s’aligneront sur les directives du Seigneur est loin d’être la vision politique en vigueur ! Y compris et surtout en Israël qui souhaite encore être une nation comme les autres (dans la veine d’Egypte).
La chrétienté historique est, de ce point de vue, représentative du « syndrome Qorah ». Elle-même « rachetée à grand prix et mise à part », elle monopolise et usurpe le sacerdoce d’excellence défini par Elohim aux vrais sacrificateurs de Yéshoua selon 1 Pierre 2:9-10. Elle convoite une place plus élevée et ne peut ou ne veut se contenter de son propre appel. Elle acceptait de sortir de son Égypte, mais pour la ré-matérialiser aussitôt sous une forme connue qui l’avantage et flatte son besoin de pouvoir.  
N’en est-il pas également ainsi au sein de quelques-unes de nos propres assemblées ? N’y-a-t-il pas ici et là dans nos communautés quelques Qorah, riches, puissants, intrigants, pour s’opposer aux oints d’Élohim ? Ne faisons-nous pas partie nous-mêmes des 250 rebelles qui s’opposent dès lors à la volonté de notre Élohim, rebelles attirés par les flatteries, le goût de l’argent, du pouvoir, de la notoriété, de la superbe humaine et de la façade ? Que chacun se pose la question et y réponde !  
La sainteté requise
La démagogie politique de Qorah consiste à utiliser et à détourner une sentence d’Elohim pour mieux imposer son propre modèle humain : Toute l'assemblée, tous sont saints. Élohim l'avait dit :
« Vous me serez un royaume de sacrificateurs et une nation sainte » (Exode 19.6)
Pour Qorah, tous les Israélites sont consacrés et par conséquent égaux. Qorah, le lévite, n’accepte pas d’être au service des kohanim, les sacrificateurs fils d’Aharon.
Piège classique de l’utilisation d’une partie seulement de la Parole. Il est si facile de déceler une phrase qui flatte ses propres instincts et d’oublier la sentence qui suit mais qui les condamne.  
Les rebelles lévites et non-lévites pensent ici pouvoir accomplir la fonction propre au sacerdoce aux lieu et place des kohanim désignés par Élohim. Qorah est à leur tête et il a pris sur lui de convoquer le peuple à l'entrée du parvis, ce qui est une usurpation manifeste du pouvoir politique, car seul Moshéh a le droit d’effectuer une pareille convocation.
Les 250 rebelles meurent par le feu d’Élohim (châtiment analogue à celui de Nadav et d'Avihou, Lévitique 10) et les familles de la tribu de Réouven concernées sont englouties dans le sol.
Au final, plus de 14 700 Israélites disparaissent suite à cette rébellion politico-religieuse. Élohim ne peut en effet laisser profaner impunément ce qu’Il a sanctifié. Le profane ne peut survivre face au sacré : ainsi en est-il de notre engagement personnel à servir.
Que chacun mesure donc en conscience s’il veut et peut s’approcher davantage du sacerdoce, sans crainte d’y être « étranger » ou « profane », sans rien y introduire d’extérieur à la sacralité d’Élohim.  
La relation intime à Élohim le Père ne se décrète pas ! Elle se construit sur son autorisation expresse, par le Fils, et ne dépend donc pas de l’homme qui la sollicite avec violence à ses risques et périls.
« Nul ne va au Père que par Moi, et nul ne vient à Moi si le Père ne l’attire ».
Salut d’Élohim et choix d’Élohim
Notons que très pédagogiquement, ce n’est pas Moshéh qui intervient pour stopper la plaie mais Aharon, en sa qualité de Grand Sacrificateur.
Il agit comme médiateur entre Élohim et le peuple. Aharon va se placer avec le parfum au milieu de l’assemblée qui a péché pour officier en dérogation aux rites ordinaires. Le Kohen HaGadol quitte exceptionnellement le sanctuaire pour aller sauver le peuple en se plaçant en son sein et au contact de la plaie. C’est à cette seule condition que s’arrête la colère d’Élohim.
Une épreuve de foi qui nous rappelle l’action même de Yéshoua, notre “HaKohen HaGadol”, qui se place au milieu des siens pour stopper la malédiction de la mort. N’avait-Il pas quitté exceptionnellement le Sanctuaire avant de le retrouver ?
Quand l’homme pécheur est trop éloigné du sanctuaire pour effectuer son propre rachat selon le rite, alors le Kohen haGadol sort au péril de sa propre vie pour aller le chercher malgré lui : voilà ce que nous enseigne l’action sacerdotale d’Aharon.
Une action prophétique et messianique qu’assurera Yéshoua le Mashiah d’Élohim.
Nous faisons également une relation à la fonction du sacrificateur qui « sépare » ce qui est pur de l’impur pour stopper la contagion, et déclarer apte au service, et à l’intégration de la communauté (qéhiyllah-assemblée). N’est-ce pas ce rôle qui lui est confié dans le Lévitique, aux chapitres 13:14, parashah Thazria Métsora ?
Le bâton fleurissant, la confirmation du sacerdoce d'Aharon et de la prérogative de la tribu de Lévi
Ce récit se rattache indirectement à ce qui précède : Élohim veut prévenir toute nouvelle tentative de révolte contre Aharon en confirmant solennellement, et aux yeux de tous les chefs de tribus, les attributs de la tribu de Lévi. Il ne s’agit plus ici de défendre la position des sacrificateurs vis-à-vis des lévites, mais celle de toute la tribu de Lévi vis-à-vis du reste du peuple.
Boutons, fleurs et amandes : les boutons n’ont pas fait place aux fleurs et les fleurs aux fruits ; les trois manifestations chronologiques de la vie végétale furent simultanément visibles sur le bâton choisi.
Tel est le signe de l’élection et de la primauté du sacerdoce sur toute autre considération d’ordre politique. Les bâtons des princes - symbole de commandement terrestre - n’ont pas fleuri ni porté de fruits. Le sacerdoce d’Aharon semble s’affranchir des lois temporelles et des saisons : il échappe au cycle classique de l’homme terrestre, il est déjà témoin et révélateur d’une nouvelle nature à venir.
La révolte de la veille et sa finalité dramatique semblent ne pas avoir suffi. Il faut encore désigner concrètement l’élection par un signe visible et placé au sein du sanctuaire. Une dérogation supplémentaire accordée par Élohim à un homme qui a besoin de voir et de toucher, pour se souvenir et respecter les commandements.
Ainsi tout le peuple craint que la plaie de la veille ne soit pas complètement stoppée et s’engage à ne plus s’approcher du tabernacle, laissant enfin la primauté de l’élection au regard du sacerdoce à la lignée d’Aharon.
Cet épisode, qui réunit puis distingue le bâton d’Aharon du milieu des bâtons des princes de tribus, nous enseigne que le sacerdoce n’a rien à faire avec le politique et que le politique ne saurait s’occuper du sacerdoce.
Elle nous apprend aussi qu’on ne peut penser et vivre en profane tout en prétendant pouvoir s’occuper du sacré.
Cela le peuple dans le désert l’a compris. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Ce n’est pas en vain que le Seigneur dira :
« si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le Royaume… »
Avons-nous bien compris et appliqué cet enseignement dans nos assemblées ?
===== Nos prêtres-pasteurs-rabbi sont-ils bien consacrés et mis à part ou s’occupent-ils de leurs communautés en pensant à ne pas fâcher les pouvoirs temporels en se soumettant par idéologie ou par intérêt au « politiquement correct » ? =====
Soyons assurés qu’ils ne détiennent alors dans leurs mains aucunement le bâton vivant du sacerdoce, celui de Yéshoua Grand-Sacrificateur, mais le bâton mort d’un prince politique, et qu’ils n’ont dès lors, devant notre Adon, plus aucune prérogative sur les brebis.
Les Kohanim et les lévites
Ce chapitre institue une garde au sanctuaire pour ne plus revivre d’autre profanation comme celle générée par la révolte de Qorah.
C’est au terme de cette garde permanente, que la colère d’Élohim s’estompe. Mais pour assurer cette tâche au service d’Élohim et sous la direction des kohanim, les lévites ne peuvent se consacrer à aucune autre tâche. Il leur est désormais interdit de posséder terres et héritages. Par contre, ils vivront de la dîme et veilleront à faire vivre les sacrificateurs de la dîme de leur dîme.
Il est utile de souligner que l’usage de la dîme est directement et uniquement lié à « l’économie du sanctuaire » et aux sacrifices. La dîme systématique prélevée sur le peuple n’a pour seule vocation que de permettre à la loi mosaïque, dans sa partie sacerdotale et sacrificielle, de fonctionner.
Elle n’a pour seconde fonction que de permettre la garde permanente jour et nuit du sanctuaire en permettant aux lévites de ne pas avoir à chercher terres et héritages pour assurer leur subsistance. La dîme ne consiste qu’en produits alimentaires.
A ceux qui aujourd’hui pratiquent dans leur propre intérêt le prélèvement de la dîme, la parachah Qorah leur intime alors de restituer tout héritage et toute possession et de ne vivre que pour la seule garde du sanctuaire.
Être Kohen donne des droits… et des devoirs, des obligations et des interdictions : ceux de ne plus vivre pour soi et de ne plus s’appartenir.
A ceux qui se présentent au peuple comme lévites et kohanim, qui réclament la dîme et l’exercice du sacerdoce, souvenez-vous de Qorah le lévite qui réclama toutes ces choses pour lui-même.
Ne disons pas comme Qorah : mais toute l’Église est sainte ! Il y aura certes des sacrificateurs et des lévites parmi les nations, mais ils seront choisis et oints.
« Et ils amèneront tous vos frères, d’entre toutes les nations, en offrande à YHWH sur des chevaux, et sur des chars, et dans des voitures couvertes, et sur des mulets, et sur des dromadaires, à ma montagne sainte, à Jérusalem, dit YHWH comme les fils d’Israël apportent l’offrande dans un vase pur à la maison de YHWH. Et j’en prendrai aussi d’entre eux pour sacrificateurs, pour Lévites, dit YHWH. » (Isaïe 66:20)
Par contre, que chacun dans l’assemblée-qéhiyllah se présente lui-même comme « sacrifié » et comme offrande : dans ce sens, nous sommes alors tous prêtres du Très-Haut. Nous sommes dès lors tout à la fois objets et acteurs du sacerdoce, à l’image de notre Seigneur Yéshoua, Agneau d’Élohim et Grand Sacrificateur… et ROI.
Que chacun puisse opérer cela pour lui-même avant de songer et prétendre édifier une économie sacerdotale pour le compte du frère, en destituant l’Israël d’Élohim, le reléguant à la tribulation de l’angoisse de Jacob, en estimant que la révélation (Torah) qu’il a reçue n’a plus la capacité de nous instruire.
Ne nous regardons pas comme supérieurs en évoquant une sainteté douteuse, à la manière d’un Qorah qui dit : tout le peuple est saint, en criant à notre tour : nous sommes les héritiers des apôtres, nous avons le Saint-Esprit !
Nous risquerions alors d’en entrainer plusieurs dans l’erreur de l’usurpation rebelle et de la désillusion qui en résultent.
« Moi, je rends témoignage à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre, que si quelqu’un ajoute à ces choses, Élohim lui ajoutera les plaies écrites dans ce livre ; Et que si quelqu’un ôte quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Élohim ôtera sa part de l’arbre de vie et de la sainte cité, qui sont écrits dans ce livre. » (Apocalypse 22:20)
Ne pas ajouter signifie : ne pas inventer ! Ne pas ôter signifie : ne pas déclarer caduque et obsolète !
En son temps, Qorah a opéré ces deux déviances :
il a inventé une « sainteté immédiate du peuple » en lieu et place « d’une sainteté à venir » et,
il a déclaré caduc « le sacerdoce d’Aharon » qui n’avait pas encore atteint son objectif.
Shabbat Shalom véshavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
0 notes
infosisraelnews · 6 months
Text
L'épouse d'un chef du crime tué par balle à Ashdod, son mari a survécu.
Nouveaux détails sur la fusillade à Ashdod : la femme de 33 ans qui a été abattue était l’épouse du criminel notoire Shaul Peretz, qui a accepté de témoigner devant le tribunal contre ses associés. L’incident s’est produit dimanche dans un immeuble de grande hauteur de la rue Shai Agnon à Ashdod. Peu de temps auparavant, Shaul Peretz, 38 ans, avait été libéré du centre de détention provisoire et…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
coziimode · 11 months
Text
Comment romantiser sa vie ?
Tumblr media
Qu’est-ce que le romantisme ?
Le romantisme est apparu en réaction contre le rationalisme des Lumières, et le classicisme.
Les écrivains romantiques prônent la valorisation du « moi », l'expression des sentiments et des passions de l'individu pris dans les tourments de son destin.
Le romantisme est associé à plusieurs thèmes tels que la nature, le désir de solitude, le rêve, la mélancolie des émotions tendres, le sublime, le mystère et l’amour.
Tumblr media
Romantiser sa vie, qu’est-ce que c’est ?
Le concept de "romantiser sa vie" est une tendance basée sur la célébration de soi et le fait de transformer le jour le plus ordinaire en une journée extraordinaire.
Romantiser sa vie veut dire prendre soin de soi, devenir sa priorité, avoir une vie plus douce et belle.
Ce concept nous demande de traiter notre vie comme un roman ou un film et de se voir comme le personnage principal.
Tumblr media
Il y a des gens qui peuvent penser que c’est un concept futile et débile, mais dans une société où l’on met sur un piédestal les individus avec le plus de richesse et le statut sociale le plus élevé, et où l'on dévalorisent les autres, jugés en dessous.
je pense que c’est bénéfique, (à l’échelle individuelle) que chacun puisse se donner l’importance qu’il mérite, car ce n’est pas parce que l’on est pas un milliardaire ou une célébrité que l’on devrait se sentir insignifiant dans sa propre vie.
en plus cela ne blesse littéralement personne et c’est amusant.
Tumblr media
Pourquoi romantiser sa vie :
Je ne sais pas pour vous, mais , j’ai souvent l’impression de subir ma vie et de me sentir impuissante plutôt que de la vivre pleinement.
Romantiser sa vie permet d’apprécier sa propre compagnie, aimé être seule, apprendre à se connaître, accepter sa vie actuelle, relativiser ses problèmes, reprendre le pouvoir.
Si le fait de romantiser votre vie, vous donne envie, continuez à lire cette article. J’ai créé une liste de conseils simples et d’activités que vous pouvez tester pour devenir la star de votre vie – et profiter de chaque instant.
Les 23 conseils pour romantiser sa vie :
1. Voit ta vie comme un film
change la manière dont tu vois ta vie, imagine être filmé car chaque moment que tu vie est un moment extraordinaire.
Tumblr media
2. Comprend que l’on est tous le personnage principal de sa vie
Souvent, on ne réalise pas que l’on est la star de notre vie, mais nous n’avons qu’une seule vie et on ne peut la voir qu'à travers nos propres yeux. Tu es le personnage principal de ta vie.
Le but n’est pas de prétendre être meilleur que les autres, mais plutôt de reconnaître que l’on devrait être la personne la plus importante de notre vie car imaginons que l’on passe 100% de notre temps à nous préoccuper des autres tout en délaissant la totalité de nos besoins (nourriture, habitation, amour, attention etc…) on finirait par mourir.
Ce n’est pas un crime de se faire passer en premier.
3. Accepte ta vie
Nous n’avons pas tous la chance d’avoir la vie que l’on rêve, mais on peut toujours accepter chaque situation que l’on traverse tout en aspirant à avoir plus.
Cela nous permet d'arrêter de nous battre contre notre réalité et de travailler avec elle.
4. Relativise tes problèmes
Tu peux prendre du recul sur tes problèmes en te disant que ce n’est qu’une étape et que cela ne va pas durer indéfiniment.
Transforme toi en téléspectateur qui sait que tout va bien se passer à la fin du film.
5. Être ouvert aux miracles
Il y a des miracles qui se produisent chaque jour. Le fait d’avoir de l’espoir peut changer ta vie.
Tumblr media
6. Crée des routines du matin et du soir
Avoir des routines simples peut permettre d’apporter plus de conscience dans ses journées.
7. Pratique la gratitude quotidiennement et la positivité.
Prends conscience de toutes les bonnes choses que tu as dans ta vie. tu peux voir ta vie sous un jour plus romantique si tu apprends à reconnaître et à célébrer les aspects positifs!
8. Écrire dans un journal intime
C’est tellement romantique d’écrire dans un journal : écrire ses pensées, exprimer ses sentiments, décrire sa journée, etc…
9. Lire
Il y a quelque chose de classique et de romantique dans la lecture.
La lecture peut également réduire le stress, améliorer tes fonctions mentales à long terme et faciliter le sommeil la nuit.
Personnellement j’aime lire avec du jazz en musique de fond.
Tumblr media
10. Crée une playlist pour ta vie.
Il est temps de devenir la star d’une grande comédie musicale et de créer une playlist pour se remonter le moral ou pour être plus productive.
11. Danser
Parce que ça fait du bien. peu importe si tu es bon danseur ou pas.
Tu peux aussi apprendre des chorégraphies .
12. Aller dans un café ou une bibliothèque pour travailler
que ce soit pour l’école, le travail ou juste pour lire.
13. Manger seule
Je l’ai déjà fait et tout le monde s’en fout, et ça permet de gagner en confiance en soi et d'apprécier sa compagnie sans honte.
14. Se promener dans la nature
Si tu as la chance d’avoir accès à de la verdure près de chez toi, profites-en.
15. Profite du coucher du soleil
Quoi de plus romantique que le moment où le ciel prend une couleur parfois rosée, parfois mauve. Profite de cette occasion pour t’arrêter un instant et admirer la beauté de la nature.
16. Devenir photographe
Prendre des photos de la nature ou de choses intéressantes dans ton quartier peut te permettre de plus apprécier ton environnement et de le voir sous un nouveau jour.
17. Apprendre un nouveau hobby.
Fais une liste de tous les passe-temps que tu veux essayer, et lance toi.
Les passe-temps sont une excellente façon de s’amuser et de prendre soin de soi en même temps.
Tumblr media
18. Porte tes tenues préférées.
Il y a pas besoin d’excuse pour porter des vêtements que l’on aime, même si on reste chez soi.
19. Se maquiller
Apprends de nouvelles techniques de maquillage qui mettent en valeur ton visage.
20. Range ton espace de vie.
Notre espace de vie peut refléter ce qui se passe dans notre esprit, alors c’est important de mettre de l’ordre dans ses affaires de temps à autre.
21. Prépare de délicieux repas maison
Apprend de nouvelles recettes que tu peux faire dans le confort de ta cuisine, et utilise ton côté artistique pour le dressage de tes petits plats.
22. Brûler des bougies parfumées
Le bon parfum des bougies peut te remonter le moral et ramener de bons souvenirs.
23. Vivre dans le moment présent
Arrête de te sentir mal par rapport au passé et de stresser pour le futur. La seule chose qui existe maintenant est le moment présent.
Tumblr media
En ce qui me concerne, je souhaite vivre ma vie de la manière la plus douce et belle possible et j’espère que toi aussi!
youtube
Merci d’avoir lu cet article!!! 💕💕💕
XOXO, Cozii.
1 note · View note
pdj-france · 1 year
Text
LE CAIRE (AP) – Le nombre de morts dans les affrontements de cette semaine entre milices rivales dans la capitale libyenne est passé à 45 mercredi bien que les troupes se déployaient à travers Tripoli pour rétablir le calme après un bataille de 24 heures qui a été la violence la plus intense de la ville cette année. Les affrontements ont démarré lundi soir entre des miliciens de la brigade 444 et la Force spéciale de dissuasion, et se sont poursuivis jusqu'à mardi soir. Les tensions ont démarré après que Mahmoud Hamza, un commandant supérieur de la brigade 444, aurait été arrêté par le groupe rival dans un aéroport de Tripoli, ont rapporté les médias locaux. Hamza a ensuite été libéré dans le cadre d'un accord visant à réprimer la violence, ont rapporté les informations. Le nombre de morts s'est élevé mercredi à 45, contre 27 morts signalés mardi, bien que d'autres victimes ont été confirmées, a affirmé Malek Merset, porte-parole du Centre libyen de médecine et de soutien d'urgence. 146 autres personnes ont été blessées, contre 106 mardi. On ne sait toujours pas combien de morts étaient des miliciens ou des civils. Les forces de sécurité libyennes ont patrouillé dans les rues et se sont déployées à travers Tripoli mercredi. Le ministère de l'Intérieur du pays a affirmé que les forces de sécurité avaient été déployées dans les zones où les confrontations étaient les plus intenses, notamment le quartier sud de Fernaj et la route al-Shouk. Une salle de crise avait été mise en place pour suivre l'évolution de la situation, mais mercredi, un calme provisoire était revenu dans la ville. LIRE LA SUITE: Preuves de crimes contre l'humanité en Libye, d'après des experts La violence a souligné la fragilité de la Libye déchirée par le conflit après le soulèvement de 2011 qui s'est transformé en guerre civile, qui a renversé puis tué le dictateur de longue date Mouammar Kadhafi. Au milieu du chaos, les milices ont gagné en richesse et en puissance, en particulier à Tripoli et dans l'ouest du pays. Depuis 2014, la Libye est divisée entre des administrations rivales à l'est et à l'ouest, chacune soutenue par un éventail de milices bien armées et différents gouvernements étrangers. Les deux chambres législatives libyennes ont appelé mardi à la fin de l'effusion de sang dans des déclarations séparées. Dans une déclaration publié mercredi, l'Union européenne a appelé "toutes les parties à continuer à s'abstenir d'hostilités armées et à engager un dialogue afin de désamorcer la situation et de rétablir le calme". Tripoli a connu des épisodes de violence similaires ces dernières années, même si la plupart n'ont duré que quelques heures. En août dernier, des affrontements entre deux autres milices actives dans la capitale avaient fait au moins 23 morts. "Nous avons entendu de nombreuses promesses a propos des efforts imminents pour promouvoir une véritable réforme du secteur de la sécurité et le désarmement des milices", a affirmé Jalel Harchaoui, spécialiste de la Libye et scientifique associé au Royal United Services Institute. "Aucun progrès n'a été fait sur ces fronts." La brigade 444 et la Force spéciale de dissuasion sont deux des plus grandes milices opérant à Tripoli. Tous deux étaient auparavant soutenus par l'administration qui y est basée. L'écrivain d'Associated Press, Jon Gambrell à Dubaï, aux Émirats arabes unis, a contribué à ce rapport.
0 notes
lepartidelamort · 4 months
Text
Le Joueur du Grenier vient d’enterrer les droitardés et leur soutien aux juifs tueurs de bébés
La droite a encore une fois été écrasée culturellement.
Le Joueur du Grenier a officialisé son soutien à la Palestine.
C’est peu dire que les droitardés ont été stupéfaits de réaliser que personne ne veut être associé à des assassins d’enfants.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Squeezie a fait de même, mais Squeezie n’est pas réputé être de droite, contrairement au JdG qui a parfois eu des déclarations politiquement incorrectes.
Tumblr media
Je ne crois pas que le JdG soit « de droite » au sens strict, mais disons qu’il est politically fluid. Ce qui en fait un type de droite aux yeux des marxistes.
Et ce qui devait arriver arriva.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le fait que Lannes ne réalise pas que le JdG est réellement influent, contrairement à lui et ses vidéos sur Napoléon, résume à peu près pourquoi la droite incarne irrémédiablement le camp de la lose auquel personne ne veut être associé, sous aucun prétexte.
C’est une réalité que tout le monde doit bien intégrer, que l’on aime les musulmans ou pas : personne ne veut être associé à des assassins d’enfants.
Je vous assure que c’est vrai.
Les gens normaux ne parlent pas aux assassins d’enfants, peu importe le contexte.
Même en étant extraordinairement hostile à l’islamisation ou à l’invasion afro-maghrébine, même en étant à 1000% pour la remigration, vous ne vous associez pas publiquement à des juifs qui brûlent vifs des nourrissons.
Vous ne le faites pas. Ça n’a pas besoin d’une longue explication.
La question, dans le cas de Squeezie comme du JdG, n’est pas de savoir pourquoi ils soutiennent la Palestine face aux génocidaires juifs, mais pourquoi ils ont attendu 8 mois pour le faire.
Poser la question, c’est déjà y répondre et c’est cette réponse qui échappe aux droitardés.
Dans les deux cas, ces influenceurs savent qui fait la pluie et le beau temps en France.
 (Et non, ce ne sont pas les musulmans)
Ils ont vu, comme tout le monde, la machine médiatique juive fonctionner 24 heures sur 24, pendant plus de 7 mois, sans aucune espèce d’obstacle sur sa route.
BFMTV, CNews, LCI, c’était un déchaînement encore plus massif et sauvage qu’à propos de l’Ukraine.
Ces influenceurs, qui connaissent deux trois choses dans le domaine de l’influence sociale, ne sont pas suicidaires. Ils ont attendu et observer. Après huit mois d’attentisme, ils ont réalisé que les juifs ont perdu la guerre. Tout le calcul s’inverse : chaque mois qui passe devient un peu plus intenable face à la victoire inévitable de la Palestine dans l’opinion globale et ils ont finalement pris le train en marche avant qu’il ne quitte définitivement la gare.
C’est ce qui devrait retenir l’attention des droitardés. Mais les droitardés croient que CNews est vraiment une chaîne d’information et que Meyer Habib est vraiment français.
Ils trouvent également pertinente Charlotte d’Ornellas, avec ses yeux dégoulinants de faon.
Tumblr media
Ils n’ont rien vu de la réalité. Ils ont consommé avec avidité les analyses de Julien Dray, de Gilles-William Goldnadel et de très nombreux autres juifs qui peuplent nos télévisions comme ils peuplent les colonies de Palestine et ont sincèrement cru que c’était le camp de la victoire.
Pourtant on ne peut d’ailleurs comparer CNews qu’à l’orchestre du Titanic.
Les droitardés sont justement occupés à embarquer sur le Titanic après qu’il a percuté l’iceberg. Le principal trait psychologique du droitardé est de commettre une erreur jusqu’au bout bout, peu importe les conséquences.
Ces gens pensent que s’associer à des dirigeants étrangers prochainement recherchés pour « crimes contre l’humanité », c’est gagner.
Ils sont si objectivement demeurés qu’ils vont jusqu’à penser que fricoter avec les prochains cités à comparaître du tribunal de Nuremberg, c’est se dédiaboliser.
Tumblr media
La droite américaine, pourtant sous la lourde influence des juifs, fait le chemin exactement inverse.
Nick Fuentes, Cage et bien d’autres ont compris qu’il n’y avait qu’un camp à soutenir et ce camp, c’est celui de l’opposition radicale aux juifs.
Israël ordonne aux civils palestiniens d’évacuer les lieux, puis les bombarde à l’intérieur de leurs tentes où ils se cachent. Ce n’est pas de la « légitime défense ». C’est un massacre.
Les États-Unis doivent mettre Israël au pas et faire cesser ces horribles crimes de guerre commis avec le soutien des Américains.
Tumblr media
Je ne pensais pas voir les droitardés fronssais adopter un virage outrancièrement pro-sioniste au moment où même la droite américaine déserte la Judée avec armes et bagages, mais c’est bien ce qui se produit.
Ils sont aussi débiles que ça, aussi irrémédiablement ringards que ça.
Heureusement que ces gens ne représentent que ce que les juifs veulent bien qu’ils représentent, politiquement et médiatiquement.
Hélas, ils ont une capacité de nuisance offerte par la surexposition que leur donnent les juifs, avec tous les désagréments que ça suppose. Elle ne durera pas, mais c’est tout de même pénible à subir.
Démocratie Participative
0 notes
uncertainblogue · 1 year
Text
Journal de bord 4
Le viol est utilisé comme un outil afin « d’annihiler la volonté de la victime. La réalisation de cet objectif est précisément signifiée par la perte de contrôle de la victime sur le comportement de son corps et la gestion de celui-ci par la volonté des agresseurs. Le contrôle de l'espace corporel de la victime est exproprié » (Segato 2010, 74). Au Mexique, les féminicides aggissent en tant que des « crimes de genre, de crimes misogynes, de haine contre les femmes, qui s’expliquaient aussi par la grande tolérance sociale envers la violence à l’encontre des femmes et d’autre part, parce que l’État n’agissait pas pour empêcher ces crimes ; une fois commis, l’État contribue à l’impunité des cas de féminicide » (Davineau 2012, 79). 
Il existe plusieurs explications pour décrire ce phénomène de violence commise envers les femmes. La présence d’inégalités entre les hommes et les femmes et « d’autre part, la violence, constitutive de la condition masculine qui expliquent que tant d’hommes puissent commettre des homicides de femmes. Il ne s’agit pas nécessairement d’assassinats liés au crime organisé ou au narcotrafic : ils ont été commis par des parents, des maris, des fiancés et anciens fiancés, des gens connus des victimes. Les victimes sont de tous âges : des adolescentes, des adultes, des vieilles femmes, etc » (Davineau 2012, 80). Ces crimes touchent essentiellement des femmes vivant dans « des conditions précaires et dans une situation d’exclusion sociale importante. Dans une moindre mesure, des crimes sont également commis sur les femmes de classes sociales élevées. L’analyse a également porté sur les femmes indigènes » (Davineau 2012, 80). De plus, les autorités ont une tendance à nier l’existence de ce phénomène, « à diminuer le nombre de femmes victimes, à ne pas répondre aux demandes (comme celles des proches des femmes tuées à Ciudad Juárez qui exigeaient la justice, la fin de l’impunité et la réparation du dommage) » (Davineau 2012, 80). Au Costa Rica, « 70 % des homicides de femmes sont commis par des hommes qu’elles connaissent ou lors d’agressions sexuelles. Dans le cas des hommes, seuls 8 % des homicides sont associés à des raisons de violence domestique ou d’agressions sexuelles » (Davineau 2012, 81). Dans ce pays, il parle plutôt du fémicide. 
Pour décrire ce type de violence envers les femmes au Costa Rica, Montserrat Sagot a divisé le fémicide en trois types de catégories. La première est celle du fémicide intime quand la femme « assassinée avait une relation intime avec l’agresseur (mari, conjoint, membre de la famille, etc » (Davineau 2012, 83). Le fémicide non intime se produit lorsque les victimes sont mortes « dans le contexte d’une agression sexuelle, quand cette relation « intime » avec l’agresseur n’existe pas » (Davineau 2012, 83). Le troisième est celui du fémicide par connexion dans laquelle les femmes sont mortes dans la « ligne de tir », c’est-à-dire essayant de défendre d’autres femmes de l’agression fémicide (une mère défendant sa fille, une sœur, une amie, une voisine qui essayent d’intervenir dans une situation où un fémicide était en train de se produire) et qui finissent aussi par être tuées » (Davineau 2012, 83). 
Pour le mouvement féministe mexicain, le but est de faire le pari de transformer l’État et d’établir une démocratie véritable. Les féministes mexicaines pensent aussi qu’il est  nécessaire de faire « le lien entre la démocratie et le type de développement social, parce qu’il n’est pas possible d’avoir des droits s’ils ne sont pas ancrés socialement dans la capacité et le potentiel de la qualité de vie, de l’éducation, de la santé, de l’emploi, de l’accès des femmes à la prise de décision, etc » (Davineau 2012, 84).Au Québec, notamment lors du confinement dû à la COVID-19, la province a vu une augmentation du nombre de féminicides à travers la province et de violences conjugales. Ce problème existait depuis des années, mais il a pris plus d’ampleur lors de cette période. Pendant des années, même avant la pandémie, des organismes disaient que ce problème doit être pris au sérieux, malheureusement, le gouvernement ne faisait pas assez pour contrer ce problème. En 2022, 13 femmes ont été tuées par la violence conjugale commise par une personne de proximité, c’est-à-dire un mari, un amoureux. C'est absolument déplorable que le gouvernement n'intervient pas davantage sur ce sujet, car pendant longtemps, le problème de violence conjugale était vu comme quelque chose de privé où le gouvernement n'avait pas sa place pour intervenir.
0 notes
vidoggytv-blog · 2 years
Text
Combien de temps le jury délibère-t-il dans To Kill a Mockingbird
Dans le livre classique "To Kill a Mockingbird" de Harper Lee, découvrez combien de temps le jury a le droit de délibérer avant de livrer un verdict. Les informations sur ce processus et sur les implications qui en découlent sont analysées en profondeur à travers ce post meta. Ne ratez pas cette lecture intéressante !   Lors du premier procès des Scottsboro Boys - le cas réel sur lequel Harper Lee a basé son procès fictif - où il y avait neuf accusés, le jury n'a délibéré que pendant deux heures avant de rendre un verdict de culpabilité. Dans le roman de Lee, le jury délibère pendant environ six heures.   Cliquez pour voir la réponse complète Justement, pourquoi le jury prend-il autant de temps dans To Kill a Mockingbird ? Atticus dit à Scout et Jem que le jury a mis plus de temps qu'il ne s'y attendait à rendre un verdict car "il y avait un gars qui s'est considérablement épuisé - au début, il avait hâte d'être acquitté pur et simple". À la surprise des enfants, cet homme était un parent des Cunningham. Deuxièmement, quel verdict le jury a-t-il rendu dans To Kill a Mockingbird ? Scout décrit l'annonce du verdict comme suit : "Un jury ne regarde jamais un accusé qu'il a condamné, et lorsque ce jury est entré, aucun d'entre eux n'a regardé Tom Robinson. Le contremaître a remis un morceau de papier à M. Tate qui l'a remis au greffier qui l'a remis au juge... « Coupable... coupable... coupable. De même, vous vous demandez peut-être combien de temps le jury a-t-il été absent ? Ils étaient sortis trente minutes et c'est important car cela montre que le verdict n'était pas une décision immédiate. Comment Bob Ewell réagit-il au verdict ? Il blesse verbalement et physiquement toutes les personnes associées à la partie défenderesse du jury . Que comprend JEM de la durée des délibérations du jury ? Jem croyait naïvement que Tom bénéficierait d'un procès équitable. Cependant, Atticus a compris qu'en général, un procès impliquant la parole d'un homme noir contre la parole d'un blanc prend quelques minutes. Le fait que le jury ait délibéré pendant quelques heures est significatif car au moins un juré blanc a soutenu le témoignage de Tom. 30 réponses aux questions connexes trouvées Pourquoi le jury a-t-il condamné Tom ? La décision du jury de condamner Tom Robinson pour un crime qu'il n'a manifestement pas commis tourmente Jem (et de nombreux lecteurs) comme une erreur judiciaire intolérable. Une autre raison pour laquelle le jury déclare Tom coupable est que Mayella Ewell et son père, Bob, se sont tous deux parjurés à la barre. Pourquoi Boo Radley voudrait-il rester à l'intérieur ? parce qu'il veut rester à l'intérieur " (227). Boo Radley choisit de rester dans sa maison parce qu'il a peur d'en sortir. Ewell attaque Jem et Scout pour que Boo Radley sorte. Il sort finalement, mais même alors Scout a du mal à le voir quand il les sauve et quand il est dans leur maison alors que Jem est soigné. Que dit tante Alexandra à propos des Cunningham ? Alexandra mentionne ensuite que bien que les Cunningham soient de bonnes personnes, ils ne sont pas «notre genre de gens». Lorsque Scout continue de demander à sa tante pourquoi elle n'est pas autorisée à jouer avec Walter Jr., tante Alexandra dit finalement : "Parce qu'il est un déchet, c'est pourquoi vous ne pouvez pas jouer avec lui" (Lee, 228). Qui était la seule personne du jury qui voulait acquitter Tom ? Qui était la seule personne du jury qui voulait l' acquittement de Tom Robinson ? Un Cunninham qui était un cousin double. Que pense tante Alexandra des Cunningham ? Quand tante Alexandra vient rester avec eux, elle dit à Atticus que Scout doit être plus féminine; elle a besoin de l'influence d'une bonne femme dans sa vie. Quand Scout veut jouer avec Walter, tante Alexandra refuse catégoriquement. Elle pense que les Cunningham ne sont rien d'autre que des déchets et qu'ils n'ont pas une bonne influence sur Scout. Pourquoi Atticus ne se soucie-t-il pas que Bob lui crache au visage ? Atticus a déclaré que Bob Ewell lui avait craché au visage parce qu'Ewell avait besoin "d'avoir une sorte de retour". Ewell a estimé qu'Atticus lui avait fait du tort et afin d'évacuer sa colère, il a craché au visage d' Atticus . Quelle est la théorie de Jem sur la raison pour laquelle Boo n'a pas quitté sa maison depuis si longtemps ? La nouvelle théorie de Jem expliquant pourquoi Boo n'a pas quitté sa maison depuis si longtemps est qu'il ne veut pas traiter avec les habitants de Maycomb et à quel point ils sont méchants et jugent. Comment Maycomb réagit-il à la mort de Tom ? Au chapitre 25, il est dit: "Pour Maycomb , la mort de Tom était typique. Typique d'un ni ---- couper et courir. Typique de la mentalité d'un n --- de n'avoir aucun plan, aucune pensée pour l'avenir, juste courir aveugle première chance qu'il a vue Il voulait souligner comment le thème de tuer un oiseau moqueur correspondait à la mort de Tom . Combien de temps a duré le procès dans To Kill a Mockingbird ? environ 28 mois Pourquoi JEM pense-t-il qu'Atticus va gagner? Jem pense que les preuves présentées dans l'affaire démontrent clairement l'innocence de Tom Robinson. Il a raison de ce point de vue. C'est pour cette raison, aussi rationnelle soit-elle, que Jem pense qu'Atticus gagnera l'affaire. Son idéalisme et son innocence sont anéantis lorsque le verdict revient "coupable". Quel est le mobile de Mayella pour accuser Tom ? Mayella avait plusieurs motifs pour accuser à tort Tom Robinson de son viol. Mayella a accusé Tom parce qu'elle y a été forcée par son père, Bob Ewell et parce que cet homme est son père. Il est très clair lors du procès que ce n'est pas Tom Robinson qui a violé Mayella Ewell, mais plutôt son propre père. Comment l'aneth a-t-il réagi au verdict ? La réaction au verdict Dill répond en disant qu'il deviendra un jour un clown - un nouveau genre de clown qui se moque des gens - se séparant ainsi des autres habitants de Maycomb, en particulier de sa tante Rachel pour qui il a perdu tout respect. Comment Miss Stéphanie a-t-elle réagi au procès ? Elle a dit que les membres de la communauté noire "étaient bien au-dessus d'eux-mêmes" (247). Miss Gates s'avère être une femme très préjugée et raciste. Si tel est le cas, alors l'attitude de Mlle Stéphanie derrière le procès aurait été de nature préjudiciable et espérait voir Tom condamné. Pourquoi Jem tient-il tant à se débarrasser des systèmes de jury ? En particulier, Jem était contrarié que le jury ait autant de pouvoir. C'est pourquoi il a voulu supprimer le jury . Il s'est rendu compte que le citoyen ordinaire de Maycomb n'était pas fiable en ce qui concerne la couleur de la peau d'une personne. Atticus à ce moment-là a essayé d'expliquer à Jem qu'il y avait de bonnes personnes là-bas. Que dit la note de Calpurnia ? Que dit la note de Calpurnia ? Il dit que Jem et Scout avaient disparu. Pourquoi Jem est -il si certain que Tom Robinson serait acquitté ? Il pense que le jury déciderait de l'affaire sur la preuve, pas sur leurs préjugés. Que dit Miss Maudie à propos d'Atticus au chapitre 22 ? Sujet 7 : Au chapitre 22 , Miss Maudie dit des choses à Jem et Scout qui font vraiment réfléchir le lecteur. Elle dit : « Il y a des hommes dans ce monde qui sont nés pour faire nos travaux désagréables à notre place. Nous sommes si rarement appelés à être chrétiens, mais quand nous le sommes, nous avons des hommes comme Atticus pour nous accompagner » (Lee 288). De quoi témoigne Bob Ewell ? Quand Atticus interroge M . Ewell , Bob dit à Atticus qu'il avait l'impression qu'il n'était pas nécessaire d'appeler un médecin et est d'accord avec le témoignage de Heck Tate affirmant que Mayella a été battue sur le côté droit de son visage. Atticus demande alors à Bob Ewell de signer sa signature, ce qui révèle que Bob est gaucher. Read the full article
0 notes
etiennelouisjuste · 2 years
Photo
Tumblr media
Alexandre Bien-Aimé est devenu le plus jeune juge nommé par Ottawa à un tribunal québécois, de même que le premier homme noir nommé à la Cour supérieure du Québec.Membre du barreau du Québec depuis 2010, il est également membre du barreau de New York et du barreau de Trinité-et-Tobago. Il a été auxiliaire juridique auprès du juge Thomas A. Cromwell à la Cour suprême du Canada.Alexandre Bien-Aimé Bastien a ensuite exercé en droit criminel et pénal comme associé chez Shadley Bien-Aimé. Il a représenté des clients accusés de crimes économiques et financiers, en matière de fraude, de corruption de fonctionnaires publics, de fraude fiscale et de blanchiment d’argent. Il a aussi représenté des clients accusés de trafic de stupéfiants, de complot, d’agression sexuelle, et d’autres crimes contre la personne.L’Association des avocats de la défense de Montréal lui a décerné le prix Gabriel Lapointe en 2017, pour souligner le potentiel exceptionnel qu’il a démontré au cours de sa carrière.Le nouveau juge a enseigné en droit criminel à la faculté de droit de l’Université McGill. Il est coauteur de l’ouvrage Criminal Procedure: Cases and Materials. Alexandre Bien-Aimé Bastien a agi comme formateur pour l’Institut national de la magistrature et pour l’Association des avocats de la défense de Montréal (AADM).Il a été membre du conseil d’administration du Centre d’accès à l’information juridique (CAIJ) et de la section québécoise de l’Association des avocats noirs du Canada. Il a aussi siégé au conseil d’administration de Pour 3 Points, un organisme voué à la formation d’entraîneurs sportifs afin qu’ils puissent jouer un rôle transformateur dans la vie des jeunes.Alexandre Bien-Aimé Bastien détient un baccalauréat en droit civil et en common law de la faculté de droit de l’Université McGill. Il possède aussi un certificat en éducation juridique de la faculté de droit Hugh Wooding, ainsi qu’une maîtrise en droit de l’Université Harvard. Durant ses études, il a reçu le prix John E. Crankshaw soulignant l’excellence de ses performances académiques en droit criminel.Le juge Bien-Aimé Bastien, qui parle couramment l’anglais, le français et le créole Haïtien (at Québec) https://www.instagram.com/p/CoaZthoO1G3/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
news24fr · 2 years
Text
Un terroriste qui a été le principal tireur de l'attaque à la grenade contre le siège du renseignement de la police du Pendjab à Mohali l'année dernière a été arrêté dans l'Uttar Pradesh, a déclaré aujourd'hui un responsable de l'Agence nationale d'enquête (NIA). Deepak Ranga, un habitant de Surakpur dans le district de Jhajjar dans l'Haryana, a été arrêté mercredi matin à Gorakhpur, a déclaré un porte-parole de l'agence fédérale antiterroriste. Le responsable a déclaré que Deepak Ranga était en fuite depuis l'attaque à la grenade propulsée par fusée (RPG) contre le quartier général des renseignements à Mohali en mai de l'année dernière. "Ranga est un proche associé du gangster devenu terroriste basé au Canada Lakhbir Singh Sandhu alias 'Landa' et du gangster devenu terroriste basé au Pakistan Harvinder Singh Sandhu alias 'Rinda'. Outre son implication dans l'attaque RPG de mai, il a été impliqué dans un certain nombre d'autres infractions terroristes et criminelles violentes, y compris des meurtres", a déclaré le porte-parole. Le responsable a déclaré qu'il recevait activement des fonds pour le terrorisme et un soutien logistique de Rinda et Landa. La NIA avait enregistré l'affaire suo motu le 20 septembre de l'année dernière après qu'il soit apparu que des groupes terroristes et des éléments terroristes basés à l'étranger opéraient en tandem avec des dirigeants et des membres de gangs criminels organisés opérant dans les États du nord du pays pour commettre des assassinats ciblés et des crimes violents. actes. "Il est apparu que le réseau terroriste-gangster-trafiquants de drogue était également engagé dans la contrebande de matériel terroriste tel que des armes, des munitions, des explosifs, des engins piégés, etc. à travers la frontière par le biais d'un vaste réseau interétatique de trafiquants d'armes, de fabricants illégaux d'armes et de munitions et fournisseurs et trafiquants d'explosifs", a déclaré le porte-parole. La NIA a déclaré que depuis l'enregistrement de trois affaires pénales contre les réseaux de terroristes, de gangsters et de trafiquants de drogue, l'agence a déjà arrêté 19 dirigeants ou membres de divers gangs criminels organisés, deux fournisseurs d'armes et un financier clé lié au réseau dans le cadre des activités illégales. (Prévention). Arsh Dalla, basé au Canada, a été désigné comme "terroriste individuel" par le ministère de l'Intérieur le 9 janvier, a déclaré le porte-parole, ajoutant que de nouvelles mesures pour démanteler le lien terroriste-gangster-passeur et que l'infrastructure seraient intensifiées dans un proche avenir.  (À l'exception du titre, cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est publiée à partir d'un flux syndiqué.)
0 notes