Tumgik
#bin voyons donc
wittylittle · 1 year
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If you know you know.
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à toi le troll
t'aimes bien c'te position hein ? celle où tu agis en toute apparence d'un rôle de gentil, t'y mets toutes les belles formes : un sourire, de la politesse, des formules qui ne trahissent aucun irrespect… mais tout ceci pour énerver l'autre, pour le pousser à la faute, et lui en face tout en colère, tu jouis de lui voir cet effet premier à la colère, c'est-à-dire la perte des mots, la perte de contrôle émotionnel ! troll vas… à l'oral c'est le genre de truc difficile à parer, je le concède, c'est même pas vraiment considéré comme un crime, au contraire tout le monde rigole bien sauf la petite victime énervée qui peut vite passer pour coupable d'avoir pété un cable et frappé du point sur la table, roh quelle violence voyons c'est pas bien ça vient d'où ce manquement aux bonnes manières, prout ; pis donc c'est un pouvoir qui n'en est pas un, ou plutôt un pouvoir de domination sans réelle réalité d'injustice, au contraire tout va contre la victime qui perd ses moyens… sur internet le troll est vu un peu différemment, mais qmm, c'est drôle quand un moustique vient se cramer sur cette lumière… oui, il faut un minimum d'habileté pour être un bon troll, mais ça peut vite être sale ; t'aimes bien hein, garder ta contenance pendant que tu détruis l'autre et qu'il s'embourbe dans sa perte de contrôle, au final t'as plus grand chose à faire une fois que le déséquilibre est irrattrapable, c'est lui qui se torpille lui-même, t'as juste à kiffer ta supériorité qui se renforce avec le silence que tu lui réserves pour sa dissimulation secrète, ce truc qui fait que ce sera jamais mal ou ta faute que le comportement ainsi échangé soit si destructeur… c'est rigolo hein, de provoquer l'instabilité émotionnelle de celui que t'as envie de tacler ? pis ouais, dans notre système moral, c'est indétectable, t'as mis toutes les formes bienséantes, y'a rien à reprocher parce que ce monde de formes, d'apparences, se rie de l'intentionnalité… bon ok, c'est parfois dur à discerner l'intentionnalité, du coup la facilité c'est de croire que les formes seules comptent… mais comme moi t'es pas dupe : tu sais que quelles que soient les formes, si derrière l'intentionnalité est ironique, sarcastique, cynique ou toute autre forme de prudence sociale, bin c'est que c'est l'inverse de ce qui est extérieur, qu'il faut interpréter ; mais là paradoxe : si toute forme peut être autant claire et explicite, que son contraire, alors c'est que c'est pas la forme qui conditionne le truc, mais bien cette intentionnalité… et comment ça se partage ça ? j'imagine une part à la confiance, la construction progressive d'un contexte d'intercompréhension, la solidité dont les confirmations se cumulent pour faire reluire les bonnes ou mauvaises intentions, l'usage réfléchi de la transparence, de l'authenticité, de l'intégrité, et non l'entretien d'un pédalage de semoule que le second degré rend bien trop potentiel ; oui l'humour peut être bénéfique et salvateur, rédempteur, libérateur, mais pour ça il faut tout un contexte de confiance je crois, et il m'apparait tout-à-fait sale de le jouer pour la moquerie ; le troll est ce type de personne qui joue amèrement la carte de l'ambivalence, tjrs à son avantage il tourne comme une girouette, et je trouve ça d'une bassesse… tu aimes garder le contrôle et faire tomber celui qui est plus faible que toi sur la question émotionnelle ? bon… jusqu'à, ptetr, que tu tombes sur qqun de plus fort que toi sur ce plan… je te souhaite de te relever si ça t'arrive un jour, parce que plus tu montes plus t'as mal quand tu tombes, et ce truc de vouloir avoir raison est le moteur du troll, un point sensible de l'émotion humaine que tu sais très bien faire vriller, en toute méchanceté à moitié inconsciente…
ce texte écrit alors que justement, un troll dans ma tête me fait perdre le contrôle de mes mots…
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diariodebicicleta · 6 years
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De Mendoza à Buenos Aires, la pampa argentine
L’ingénieur de la parole de dieu.
Je quitte Mendoza en fin d’après-midi. Je prends la direction de l’est, avec le froid qu’il fait c’est impossible d’aller plus au sud à vélo. 17h, impossible de rouler longtemps, l’objectif est juste de sortir de la ville pour ne pas perdre de temps le lendemain. Je parviens de nuit à Lavalle et je me mets à la recherche d’un endroit où dormir. C’est pas simple, le sol est couvert de plantes à épines, hors de question que je pose mon matelas là-dessus, il est déjà suffisamment troué. Je rôde donc à la recherche d’un endroit propre et finis par trouver un coin de sable dans un quartier tranquille. Les inévitables chiens commencent à aboyer, les voisins sortent pour voir ce qu’il se passe… “Je suis un voyageur français et je cherche un endroit où camper”, “Viens chez nous on est catholique”. Curieuse façon de se définir. La maison est rudimentaire, l’équipement minimal. La douche est un bac que l’on remplit avec l’eau chauffée au préalable dans un chauffe eau pour thé. Je me couche rapidement ce soir là, on ne discute que le lendemain matin. La discussion se révèle être plutôt un prêche, bible à la main. Le bouquin est d’ailleurs l’unique objet en bon état dans cette maison. Mes hôtes sont complètement fanatiques, il semble ne rien y avoir qui ne soit pas vu par le prisme de la religion. Ça me fatigue rapidement, et, lorsque “l’ingénieur de la parole de dieu” comme il se définit lui même, commence à expliquer à l’ancien ingénieur en aérospatial que je suis que la Nasa a découvert un chemin vers le paradis je sens que je vais blasphémer. Alors je me lève, les remercie pour leur aide et reprends ma route. Malgré leur gentillesse et leur aide, voir leur apathie devant tous leurs problèmes, voir que leur solution est de prier en attendant des jours meilleurs me donne envie de les secouer. Ils feraient mieux d’encourager leurs 9 enfants à faire des études, mieux s’occuper de leur petite dernière qui a déjà des problèmes d'obésité à 7 ans. Le peu d’argent qui leur reste va à la paroisse. L’église se porte bien malgré la crise économique, merci pour elle. Je m’en vais énervé et je le suis toujours quand j’arrive à un autel de la “difunta Correa”, une martyre vénérée le long des routes. Décidément, dans ce coin de l’Argentine aussi la religion est partout.
Complétement givré
Les jours suivants sont plutôt monotones. La route est plate, le paysage désertique, les villages rares et le soir je campe entre les arbres qui bordent la route et les clôtures qui s’étirent tout au long du chemin. Je me rapproche de Cordoba, mais avant il y une journée de montagne pour passer un col à 2300 m d’altitude. Sans doute le dernier du voyage.
Départ de Mina Clavero, 7 degrés. J’ai un peu froid mais je suis motivé, de toute façon je me réchaufferai en montant. Plus je monte, plus la température baisse. “Haha, il fera peut être 0 quand j’arriverai en haut”. 0, -1, -2… à ce moment je ne rigole plus, j’ai les pieds et surtout les mains gelés. -3, -4... j’ai l’impression d'être à deux doigts d’en perdre. J’ai faim, je manque d’énergie pour me réchauffer mais je ne peux pas m'arrêter, trop froid, alors je continue. Le brouillard s'épaissit. Un panneau indique “El Condor” à quelques km. Je ne sais pas ce que c’est mais j'espère que je pourrai m’y réchauffer. Il y a de plus en plus de monde. En bord de route, des gens arrêtent leur voiture et sortent pour prendre des photos. Bizarre, je ne cherche pas à comprendre, je n’ai qu’une pensée: me mettre au chaud. Je frappe mes mains sur le guidon en espérant les réchauffer un peu. Enfin le voilà, le col avec la cafétéria El Condor, il était temps. Je rentre, je titube jusqu’à une chaise et me laisse tomber dessus. Je suis vraiment à bout de force et ça doit se voir car toutes les têtes sont tournées vers ce drôle d’oiseau qui vient d’entrer au Condor. “Il fait froid à moto, hein?”, me lance le couple assis à la table voisine. “Pas à moto, à vélo.”, je réponds. Alors commence une incroyable valse de générosité. Le couple en question me laisse une place près du feu et m’offre un sandwich, le couple de la table à côté va me commander un café et un autre sandwich, un motard me prête son manteau pour que je me réchauffe, un homme sort de nulle part et insiste pour m’offrir ses gants… Je suis vidé, tremble de froid, mon cerveau déconnecté ne me permet que de bafouiller quelques “gracias, gracias”. De l’eau s’écoule, me tombe dessus goutte à goutte, signe que je dégivre. Il me faut plusieurs dizaines de minutes pour “reprendre des couleurs” comme on me le fait remarquer et je peux enfin avoir une conversation. “C’est beau Cordoba?”. “Oui mais moins beau qu’ici.”. C’est donc ça, tous ces gens sont sortis de la ville pour monter voir un brouillard à couper au couteau et des tas de neige ridiculement petits. Ça m’amuse beaucoup: la Lorraine aurait-elle un potentiel touristique inexploité 6 mois de l’année? Deux motards Fernando et Santiago me proposent de m’accompagner dans la descente par sécurité. Ils se mettent derrière moi, je profite ainsi de leurs feux arrières qui signalent notre position aux voitures qui nous rattrapent. Un bus se met à ma hauteur et le chauffeur me propose de monter. Décidément, tout le monde a décidé de m’aider! J’aurais accepté avec empressement quelques instant plus tôt, dans la montée, mais je me suis réchauffé depuis et suis maintenant mieux équipé donc je décline. Je laisse mes amis motards en bas et plante la tente pour la nuit. La température est légèrement au dessus de 0, c’est mieux!
Córdoba, Santa Fe
Je parcours le lendemain les derniers km qui me séparent de Cordoba, dite “La docte”. Bin voyons. Le centre historique est sympa avec sa manzana Jésuite mais j’en ai vite fait le tour. Je repars en direction de Buenos Aires. La route est plate maintenant, la distance que je parcours chaque jour dépend donc uniquement du sens du vent. Ça va de 60 à 140 km. Le paysage est monotone, les cultures s'enchaînent, les villages n’ont pas d'intérêt, la route est dangereuse car il n’y a pas de bas côté et à peine la place pour permettre à deux camions de se croiser. La conduite est respectueuse la plupart du temps, mais quand même, pédaler sur cette route n’est vraiment pas un plaisir. Je tente de passer par l’autoroute, plus large, que je longe constamment, mais je me fais refouler deux fois par la police. Je ne regrette cependant pas ce bout de chemin tant je suis bien accueilli par les gens lors de chaque arrêt dans les villages. Le coin n’est pas touristique et ça se ressent. Sur la route, de plus en plus de conducteurs me saluent, à l’image de cet homme qui lâche carrément son volant pour m’applaudir où de ces deux autres qui s'arrêtent pour discuter. A chaque arrêt, je passe de bons moments à parler avec les curieux qui m’abordent. Un homme passablement alcoolisé insiste même pour me donner de l’argent, cela ne m'était plus arrivé depuis la Colombie.
Rosario, ville du Che (et de Messi) se rapproche. Je cherche un magasin de vélo ouvert pour changer mon pneu qui a une vilaine hernie et qui menace d’éclater mais tous les magasins sont fermés entre 13 et 17h ce qui me complique la tâche. Foutus horaires, je reprends la route. En arrivant à Roldan, petite ville bordée par l’immense rio Parana, mon pneu éclate littéralement. J’entre dans la petite ville à la recherche d’une solution et je tombe sur Maria-Celeste et ses amis qui me viennent en aide, m'amènent à un magasin de vélo puis m’invitent à manger des choripans a la parilla et finalement m'hébergent. Encore un super accueil, décidément ce coin de l'Argentine est l’un des endroits où j’ai été le mieux accueilli de tout mon voyage. Deux jours plus tard me voilà à Pergamino. En arrivant je me rends dans une boulangerie pour me ravitailler et obtenir des informations sur la ville. La boulangère m’affirme que la ville est trop dangereuse pour que j’y campe. Je lui demande la direction de la caserne des pompiers et elle m’offre les pâtisseries que je m'apprêtais à lui acheter. En arrivant chez les pompiers il ne me faut pas 30 secondes pour me retrouver avec un mate dans une main et des biscochos dans l’autre… on dirait bien qu’ils sont d'accord pour que je squatte une nuit dans leur caserne. Des journalistes débarquent dans la soirée pour m’interviewer pour le quotidien local. Quelques minutes plus tard, rebelote pour un autre quotidien, on dirait que mon arrivée fait sensation. Le lendemain je décide de prendre un bus pour terminer les 100 derniers km qui me séparent de Buenos Aires. Les derniers km pour arriver à Pergamino étaient vraiment pénibles et les pompiers me disent que c’est bien pire ensuite. Je pars de la caserne, me rends au terminal de bus. Zut, ils me demandent un carton pour emballer mon vélo. Je déambule en ville à la recherche d’un magasin de vélo lorsque je recroise un pompier qui m’aide dans ma quête. Je file à la station de bus, commence à démonter mon vélo lorsqu’un des journalistes de la veille m'aperçoit et vient m’interviewer, directement à la radio cette fois ci! J’ai passé moins de 24h à Pergamino mais j’ai l’impression de connaître tout le monde. En face de moi des anciens combattants de la guerre des Malouines tiennent un stand et on discute un petit moment. Le souvenir de cette guerre est bien présent chez le peuple argentin et les malouines sont considérées ici comme un territoire argentin. Je finis de démonter et ranger mon vélo, le laisse au dépose-bagages et cours prendre mon bus, ouf! En moins d’une heure j’ai donc eu le temps d’aller chercher un carton, revenir au terminal, passer à la radio, discuter avec des anciens combattants, démonter et ranger mon vélo. J’en connais qui ont raté des bus pour moins que ça!
Buenos Aires
J’arrive à Buenos Aires pour le début de la coupe du monde. Mais surtout j’arrive le jour où les députés votent la légalisation de l’avortement: 129 voix pour, 125 contre, un jour historique pour l’Argentine, ce pays si catholique. Les rues sont pleines de manifestants et surtout manifestantes qui ont passés la nuit sur la place du congrès pour mettre la pression sur les hommes politiques. La loi doit cependant encore être validée par le sénat.
Dans l’auberge où je me suis installé il y a évidemment des voyageurs du monde entier, si bien que chaque match ou presque est l’occasion de soutenir une équipe. Seule l’Allemagne semble faire l’unanimité… contre elle. Apparemment tout le monde en a assez de la voir gagner. Lorsque l’Argentine joue on se rend à l’écran géant installé pour les fans… c’est à dire tout le monde dans ce pays! Les rues sont désertes et dans les magasins tous les employés ont les yeux rivés vers un écran.
Je passerai presque deux semaines dans la capitale de l’Argentine, une bonne pause. Il faut dire que je viens de parcourir 3000 km en 1 mois et demi passé en Argentine, je suis pas loin des 70 km par jour en moyenne, pas mal. Je prends le temps de parcourir les rues où les immenses immeubles bourgeois ont souvent un style français. En face de la maison rose, la place de mai raconte l’histoire de ces mères venues réclamer le retour de leurs enfants disparus pendant la dictature. Plus loin, le quartier pauvre de La Boca attire les touristes venus admirer ses maisons colorées. Un soir, je me rend dans un théâtre pour admirer un spectacle de tango. C’est magnifique, aussi bien la musique que la danse.
Et si je reste si longtemps dans cette ville c’est aussi que j’y retrouve Vincent, ancien collègue cannois qui a émigré en Argentine (à Bariloche, trop au sud pour moi avec ce froid!) voilà déjà 4 ans. Ensemble on arpente les rues de Buenos Aires la journée et le soir on se boit des bières dans le quartier de Palermo où se concentre la vie nocturne. L’heure du départ approche et je prends la direction de Tigre où je dois prendre le bateau pour traverser le Rio de La Plata, estuaire formé par les fleuves Parana et Uruguay. C’est l’heure d’Argentine - Nigéria. Pour les argentins il faudra gagner pour se qualifier. Les rues sont désertes, même les chiens semblent être devant la TV. D’ailleurs le son est tellement fort que je peux suivre la progression de la partie pendant les 1h30 que je passe à pédaler dans les méandres de la banlieue portègne. Les klaxons des quelques voitures que je croise m’avertissent d’un but de l’Argentine tandis que les jurons échappés des fenêtres me font comprendre que le Nigeria a égalisé. J’arrive au port, les employées de la compagnie maritime me vendent distraitement un billet, toutes occupées qu’elles sont à regarder le match. Deuxième but pour l'Argentine de leur héros Messi. C’est la fin du match, le prochain adversaire est déjà connu, ce sera la France, mais moi je serai en Uruguay.
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Deuxième match | 28 juin 2021
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Annonceur : Donc, nous attendons l'arrivée habituelle de nos experts pour faire le point sur la situation COVID. Nous vous rappelons que le Premier Ministre Legault ne sera pas présent aujourd'hui, car il a un feu sauvage dévastateur au visage ; il sera remplacé par Michèle Richard, qui s'occupera de la période de questions... mais... que voyons-nous : c'est l'entrée du docteur Arruda !
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Annonceur : Alors, nous allons laisser place au docteur, qui nous donnera les détails quant à la situation, suivis d'une période de questions générales et d’une master class de Michèle. Nous vous envoyons donc sur le terrain pour la conférence de presse !
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Arruda : Bonjour tout le monde, aujourd'hui nous allons faire le bilan sur les dossiers urgents aux yeux de notre gouvernement, soit la culture, les arts vivants et la balle molle récréative nounoune au parc Laurier. Premièrement, nous allons demander à ces trois institutions de faire preuve de flexibilité, de créativité et, bien sûr... de réinvention.
Un homme à l'air ébahi se lève dans la salle.
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Homme à l'air ébahi : Alors, vous nous dites que nous allons devoir innover. Que pensez-vous d'instaurer la règle du lanceur qui lance pour sa propre équipe ? Le catcheur reste le même, mais on pourrait lancer pour notre équipe ?
Arruda : Il est bien clair que cette initiative tarde à faire son apparition dans les lieux de balle molle nounoune depuis plusieurs années. Je crois qu'il serait bien d'essayer : ce serait l'occasion de voir davantage de personnes s'essayer à lancer, puis échouer et voir leur moral totalement démoli. En fait, je pense qu'on pourrait aussi appliquer le concept aux arts de la scène, juste pour voir comment René Richard-Cyr est un terrible placier et qu’Anne-Marie Cadieux n’est pas capable de fixer un follow-spot comme du monde...
Il faudrait aussi considérer la question du jeu défensif, mais cette section serait uniquement réservée à la balle molle, car la culture est déjà assez sur la défense, merci.
*ba dum pshhh*
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Arruda regarde autour pour voir si quelqu'un pogne sa blague... personne. Même pas le journaliste du Soleil de Québec.
Arruda : En fait, nous avons beaucoup planché sur des solutions intercontextuelles pour les domaines en souffrance. Étant donné que la récente année a forcé plusieurs personnes à vivre leur vie sociale en ligne, nous avons vu une augmentation astronomique de la présence d'influenceurs et influenceuses sur le Web. Ce sont des gens qui ont réussi à se réinventer en temps de pandémie en faisant du pain et en postant des tounes niaiseuses. Ça a été un succès fulgurant et c'est pour cette raison que nous annonçons la mise en place d'un programme de parrainage entre les théâtres et les influenceurs du Web. On va mettre des photo-booth en face du TNM, des résidences de créations sur Tik Tok à la Licorne et...
Homme ébahi : Qu'est-ce que vous allez faire pour la balle ?
Arruda : On a trois filles avec des pizzas et des cellulaires qui vont faire de l'œil au troisième but. Deal ?
Plus sérieusement, l'on croit que ces domaines n'ont pas fait assez pour éblouir les foules, ou chercher du spectacle ; c'est pour ça qu'on appelle ça des shows, tsé. Show it ! Mon message à la culture, c'est de faire plus d'affaires qu'on veut voir, pas des affaires qui font réfléchir ; des affaires qui impressionnent, tsé, comme des coups de circuits, pis tsé, si vous n’êtes pas en mesure d'en faire 8 par game comme dans les années 90, bin y va falloir vous réinventer. Peut-être que faire des circuits comme ceux d'Isabelle et de Fabrice sur une série d'erreurs, ça va faire l'affaire ; peut-être que ça va attirer du monde, des jeux qui partent en couille. Qui sait ? Faut bin essayer des choses pour voir ce qui fonctionne.
En tout cas, moi je vous souhaite bonne chance. Faut qu'j'y aille, j'vous laisse avec Michèle.
– Berthiaume
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lemoutonvoyageur · 4 years
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Trop vite, trop fort, trop peur
Indice mini-fée: Sacres, sexe.         
 Fait que la dernière fois que j’ai vécu quelque chose de semblable, le français m’avait sacré là au bout d’un mois après avoir couché avec moi. En me sortant la fameuse phrase : je peux pas te donner ce que tu cherches. Était-il seulement au courant de ce que je cherchais ? Ce retrait de Churro m’a fait badtriper. Parce qu’à nouveau, je me sens comme si je ne valais vraiment pas la peine du «longue-distance». J’ai rien compris; dans mon cerveau, ça a juste court-circuité. À peine 24 heures sans nouvelles d’une connaissance vieille d’un mois à peine, et je me fais du sang d’encre. Quelque chose m’obstrue froidement la poitrine. Mes sentiments, engourdis. La dernière fois que je me suis senti pris avec ce sentiment affreux, c’était un rejet, c’était une trahison. Et c’était surtout une atteinte forte, qui faisait résonner profond mon mal d’amour-propre.
***
           En voulant lui dire : j’aime ce que tu me fais, je me suis trompé. Dans une autre langue en plus. Celle avec laquelle on communique. Mais qui… n’a pas traduit ce que je voulais communiquer. On s’était montrés nos bobettes, et ça m’avait fortement allumé. Il était venu me rejoindre au travail, et on s’était ramassés dans les toilettes sans jamais avoir calculé le coup. Alors Churro m’a montré sensuellement son jockstrap jaune banane, et c’était beau ! C’était beau ! Et puis il m’a fait «la baise»--puisqu’on ne parle pas d’amour—et c’était bon ! C’était bon ! Et c’était si bon, j’aimais si bien ça que c’est monté dans ma gorge. I love—you. You ? I LOVE YOU ? Ah ! Non ! Non, je voulais dire: j’aime ce que tu fais !
           Sérieusement. Le malaise. Churro ne l’a pas relevé, ou bien il me l’a gardé pour me bouder les derniers jours, c’est possible. Je n’avais pas du tout envie de lui dire que je l’aimais, parce que ce n’est pas vrai. J’aime le temps que je passe avec Churro—et vous auriez dû voir les fesses là-dessus, rondes et mignonnes, miam miam, mamma miam ! Je me sens bien quand je lui parle, j’ai envie d’apprendre tout ce qu’il a à me raconter. Mais Churro, la personne : non. Parce que je ne sais pas qui il est. Par contre, ce qu’il fait, j’aime carrément. On ne m’avait pas encore pris comme ça, contre le mur, à me bécoter aussi passionnément, et avec ce regard-là. C’est pourquoi je tremble, c’est pourquoi je capote et que je me révolte, sans capituler encore. Parce que j’ai aimé ça, et que la trahison va être très amère, s’il m’apprend que finalement, il n’a plus envie de me fréquenter… Mais… Peut-être qu’il faudrait que j’apprenne enfin à prendre tout ce qui se passe, à le prendre au complet, et à repartir avec sans me morfondre dans le passé.
           Je ne m’étais pas rendu compte qu’au terme de trois semaines à se parler à tous les jours, la vitesse de croisière était devenue aussi dangereuse pour moi. Lorsque j’ai pris ma débarque hier, je l’ai senti en osti. Mais plus je me questionne sur les raisons de ma crise, moins je comprends. Parce que ça me semble dérisoire comme anecdote. Puis, peut-être ! Qu’il va me virer : ça me surprendrait même pas. Mais qu’est-ce que ça peut bien me faire ?
           Je pense que ce que ça me fait, c’est peur. Encore.
           La peur, partout ces temps-ci. Trop vite partout, trop d’affaires à répondre, puis je fournis juste plus. Je le sais pas si c’est la même affaire qu’est arrivée à Churro, puis qu’il a décidé sous couvert d’excuses de pas me parler trop longuement. Mais moi, je fournis plus. C’est pourquoi j’ai dévoré «A Star is Born» «Blade Runner» «Venom» «Edge of Seventeen» et «Je veux juste en finir». Ça, et probablement cinq six sacs de croustilles. Parce que j’ai peur. J’ai peur de me retrouver dans une relation où je ne me reconnais pas. J’ai peur de perdre tout le plaisir que j’ai gagné avec la compagnie de Churro. J’ai peur de perdre un ami. J’ai peur qu’il ne me comprenne pas. J’ai peur qu’il me prenne pour acquis. J’ai peur d’être un hystérique fini, jaloux. J’ai peur de ne plus avoir de temps pour moi, alors je le bloque grossièrement, et je n’en fais rien. Je l’utilise à peine. Mais j’ai besoin d’avoir quelque chose pour me prouver que je ne fais pas juste consacrer mon temps aux autres, à des causes qui ne sont pas les miennes. J’ai peur de rester en arrière. La peur de toute ma vie. C’est pour ça que j’étais content que Churro me baisse les pantalons dans les toilettes de mon travail. Pour me révolter. Je m’oublie un peu plus chaque jour dans des fonctions qui me donnent l’impression que je vais y rester. Que je ne serai jamais rien d’autre. Mais un jockstrap Wood jaune, ça, oui. Et les sourcils de Churro qui montent et descendent, amorroso… Et nos massages, nos caresses, nos jeux… Je ne sais plus.
           Aujourd’hui, j’ai ressorti Dragonne. Je ne l’avais pas gratté depuis des siècles. Et criss que ça m’avait manqué. Juste chanter. Juste réinterpréter un refrain qui m’appartient en vrai. Puis j’ai écouté une vidéo de Sucre d’Orge, un youtubeur que j’ai beaucoup suivi il y a quelques années. Au début, je trippais dessus bin accoté, je voulais même qu’on se rencontre, puis qu’on commence à dater, puis que notre histoire soit digne d’un film. Fuck that. C’est jamais arrivé, puis c’est pas plus mal comme ça. J’ai compris en bout de ligne que ce que j’avais le plus envie, c’était de la création. Quelque chose me pinçait par en-dedans, comme une corde de Dragonne. Quelque chose me poussait plus loin que Sucre d’Orge. Je voulais pas être avec lui. Je voulais ÊTRE LUI. Pas «être lui», genre avoir ses amis puis toute sa situation. Non : mais avoir le territoire de la création. La possibilité de créer mon univers à moi, mon univers qu’à-moi, et être reconnu pour ça. Être apprécié pour ça. Être aimé pour ça. Être vu pour ça.
           J’avais pas compris que de connaître quelqu’un comme ça, dans un parcours d’intimité, ça confronte en esti. Puis moi, ça me perturbe. Parce que je me sens toujours comme un étranger face à moi-même. Je me reconnais plus. Je me reconnais plus, Churro, quand tu me fais des grimaces par vidéo, puis que je t’appelle bébé, puis que tu me rends mou. Je pensais que c’était le fun de vivre ça, de devenir guidoune, puis de rire comme une vierge, mais je le sais plus. Des fois, je le sais plus si c’est moi. Ou si c’est juste ma soif d’être tendre, de toucher, de bouffer un homme sans retenue, parce que j’ai faim que l’apocalypse, puis Churro sait pourvoir, taco, burrito, puis j’en passe ! J’ai peur de ne plus me faire toucher comme ça. Emporté par le manège des trois semaines. Qui ne se sont pas produites avec la pression. Mais comme ça…
           Aujourd’hui, j’étais à bras-le-corps entre mes émotions sauvages et confuses de Churro—je lui en voulais de me foutre dans cet espace d’incertitude qu’est trois semaines après le début de la fréquentation et que t’es nulle part à ce moment-là, l’autre pourrait te larguer puis ce serait légal, normal—et mes pensées. «Bin voyons donc ! Laisse-lé donc tranquille, s’il a besoin d’air ! Ça peut tu être normal, après trois semaines, de vouloir se retrouver ?! T’es le premier à te sentir déphasé—il peut bin l’être s’il veut ! Puis en plus, il te doit rien, TU lui dois rien, vous êtes personne l’un pour l’autre, alors c’est quoi l’affaire d’avoir des attentes ?» Je le sais pas, c’est quoi l’affaire. C’est moi qui est trop sensible. J’aurais dû le savoir, boîte-à-marde, que s’il commençait à me toucher, et à dire qu’il me trouvait hot, et beau, je finirais de même, patte à molle-deler-dondé dans ses mains, écrapoutie dès qu’il me laisserait tomber. Je comprends pas. Il y a un mois, je jouissais de mon célibat, j’étais bien avec ça, et là je suis dans un espace fréquentatoire où tout peut et tout ne peut pas, et où franchement on n’est nulle part et personne, puis moi je suis crissement tanné d’être personne. Fait que : not cool. Not cool, cette période.
           Moi qui avais finit par croire, à mon insu, qu’on savait dès le départ qu’on était faits l’un pour l’autre. Bin, la vie, la mienne, c’est pas ça ! Je le sais crissement pas ce qu’on va faire ensemble, Churro et moi. J’espère que ça sera toujours amical. Puis j’espère que je me rappellerai avant la fin non seulement qui je suis vraiment, mais que mon seul réel but, c’est notre bonheur à tous les deux. Le reste, s’il m’appelle, s’il m’appelle pas, s’il ose pas me dire la vérité sur le fait qu’il a envie de prendre une pause, je m’en tabarnak. Tellement épuisé d’avoir à plaire. Franchement, je pense que c’est ça qui me fait chier. Le fait que je sois le seul à me faire du mourron parce que j’ai peur qu’il me sacre là. J’ai peur qu’il me dise : finalement, j’ai pas envie de continuer parce que tu me mets mal à l’aise. C’est aussi superficiel que d’être la personne qui se fait laisser, et pas celle qui laisse.
           J’ai tu bien fait de m’embarquer là-dedans ? J’ai tu bien fait de laisser Churro choisir mes bobettes pour les lui montrer en live, et ensuite nous embarquer dans une folle nuit d’accolades, de touchers, de mots dits en espagnol, en anglais, en français, qui étaient salés, et dont j’avais tant besoin après trois ans depuis ma dernière faible fréquentation ? Et tout le temps, cette question qui m’obsède : est-il digne de moi ? Je le sais plus si je me prends trop la tête. Mais je comprends pas comment rester dans le présent quand des situations comme ça émergent. Puis après ça, c’est une affaire de : je vais pas commencer à lui dire «Bin je me sens insécure que tu m’ais pas parlé après 24 heures» ! Quand réellement, c’est ça qui se passe. Je le sais même plus, c’est quoi le maudit problème avec moi. Comment ça se fait que voilà un mois, j’en avais pas de problème, puis là, un petit piton, puis BOUM ! Hystérique fois 1000. Mais j’aurais envie de hurler à qui, à quoi, à moi ? BIN JE SUIS DE MÊME ! J’EN AI PLEIN D’AUTRES MAUDITES BELLES QUALITÉS ! PEUX-TU JUSTE ARRÊTER DE CHIALER PUIS LE PRENDRE, LE PAQUET GAGNANT ! T’as gagné à la loterie, puis tu le savais même pas.
           Peut-être que moi, moi…. Je suis pas prêt à entrer en relation ? Je le sais plus. Mon livre me manque. Écrire me manque. Créer me manque. Puis je suis tout le temps en train de dire ça, en train de chier sur le travail, parce que c’est un mariage fonctionnel, mais pas d’amour, le travail. Puis ma vocation est ma pute, puis c’est tout le temps elle qui mange les restes, même si c’est elle qui me fait vivre. Quand est-ce que je vais finir d’entretenir une vie qui ne me convient plus ?
           J’aime pas ce texte. Il n’est pas ordonné, il est tout ce qu’il y a de plus ordinaire dans mes manies d’écrire, mais j’avais besoin de le pitcher ici dans ce bric-à-brac. Comment ça se fait que les gens me manquent de même, à moi, puis pas moi aux autres, apparemment ?
           Je le sais pas si Churro se sent dé-québéco-mexicanéisé, et qu’il a eu besoin de se retirer un peu de nos échanges «fusionnels». Fusionnels… je le sais pas. Mais moi, mais moi, si j’étais lui, ou si j’étais moi, je me sentirais comme ça. Affairé, je le suis un peu ces temps-ci. Désorganisé, excessivement. Ça reste ma responsabilité, mais ça me tape sur le système un moyen temps. Fait que je pourrais voir les choses d’un angle totalement différent… si j’avais l’état d’esprit approprié. Je pourrais vraiment voir ça comme un cadeau. Cette opportunité pour me reposer les bonnes questions. «Qu’est-cé je fais là ?» Puis «Où c’est don’ que je veux m’en aller ?»
           Mais ça serait le fun, crime, qu’à un moment donné j’ais plus à compter sur les rejets avant les caresses. Que je puisse littéralement nager dedans, les caresses. Avec l’assurance que c’est bien moi qu’on caresse, et pas un autre.
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Connaissez-vous l'histoire du tourisme à Dubaï?
Il existe un large éventail d'événements historiques qui ont donné naissance au tourisme actuel de Dubaï. Les paramètres de leadership, d'appropriation culturelle et de statut socioéconomique des pays sont importants en temps voulu. Nous allons discuter de ces facteurs un par un pour comprendre comment ils sont liés à la genèse du tourisme de Dubaï, comment ont-ils aidé à aligner les structures pour les touristes en ce qui concerne le voyage à Dubaï et les autres structures modernes que nous voyons maintenant, ainsi que leur impact sur la vie des habitants de la région. Le langage figuré sera également notre approche significative pour décrire la survenue de tous les événements dans la région.
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Le Dubaï moderne a commencé sur le mode d'extraction de pétrole en 1966. Lorsque la direction du pays dirigée par Sheikh Rashid Bin Saeed Al Maktown a réalisé que ce qui se passerait après l'épuisement du pétrole dans la région serait drastique pour l'économie du pays ainsi que vie de ses habitants, il a orienté la construction des zones économiques de la région. Ces établissements étaient concentrés dans les zones économiques commerciales des unités de services. Le voyage à Dubaï est l'un des tout premiers développements pour améliorer la circulation des personnes et des marchandises. D'autres unités ont principalement inculqué l'industrie immobilière, ce qui a donné le plus haut gratte-ciel de Khalifa et d'autres configurations structurelles, y compris des hôtels finalement organisés à l'image des hôtes de touristes choisis.
En raison de ces nombreux développements, les autorités respectives de directive et de contrôle ont été mises en place pour superviser l'économie et le développement physique de la région. L'un d'entre eux est l'Office de promotion du commerce et du tourisme de Dubaï, créé en 1989. Son mandat principal était de commercialiser Dubaï comme l'une des destinations touristiques les plus lucratives et une plaque tournante économique pour les commerçants étrangers. En 1997, en janvier, le nom de cette organisation a été changé pour le Département du marketing du tourisme et du commerce. Maintenant pleinement accordé le mandat légal de prendre en charge l'industrie du tourisme dans le pays.
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Depuis que les rôles ont été réaffectés, une augmentation rationalisée du nombre de touristes a été réalisée. De 1982 au millénaire, le nombre a augmenté régulièrement pour atteindre des millions de touristes. Voyage Dubaï accrédité pour la hausse, car tous les billets de destination des touristes et la navigation vers les sites d'attraction étaient bien gérés. C'est la même tendance du millénaire à 2019, l'accélération des nombres s'est maintenue au sommet jusqu'à maintenant, l'entrée étrangère enregistrée a atteint 16,73 millions de touristes. L'équipe de guides de voyage est également parvenue à un engagement et une responsabilité maximaux pour l'efficacité des guides de destination touristiques. Les parcs aquatiques de Dubaï attirent également les touristes de Dubaï.
Ce qui suit est la répartition de l'augmentation constante du nombre de touristes depuis 1982;
Année       Touristes
1982              374,400
1990                632,903
1991               716,642
1992               944,358
1995               1,601,000
2000               3,027,000
2006                6.44 million
2019               16.73 million
L'activité de Dubaï par le département du marketing du tourisme et du commerce a établi une super marque sur le nombre de touristes pour les années à venir. Par exemple, cette année 2020, ils visent à ce que 20 millions de visiteurs visitent les sites d'attraction de Dubaï.
En 2018, près de 30,82 milliards de dollars ont été collectés auprès du tourisme de Dubaï après une visite imminente et des super installations hôtelières qui leur ont été rendues. Concrètement, il s'agit d'une augmentation de 3,8% par rapport à l'année précédente 2017. Nulle part au monde, cela n'a été visualisé, ce qui fait du tourisme de Dubaï le numéro un mondial. Suivi par La Mecque, dont les devises provenant du tourisme sont enregistrées à 20,09 milliards de dollars pour la même période. En moyenne, dans ce pays, on peut estimer que chaque touriste dépense environ 553 $ par jour. Cela ne peut pas vraiment se produire si les structures et les installations ne sont pas organisées pour le guide de voyage ou le tourisme dans son ensemble.
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L'histoire culturelle de Dubaï est un autre secret du succès du tourisme de Dubaï. Les comportements individuels et l'éthique sont réglementés et pleinement suivis à des moments précis. Par exemple, si vous mangez ou buvez en public pendant le mois de Ramadan, vous pouvez être poursuivi et jugé devant un tribunal. En 2016, une femme a enfreint cette loi et a été jugée par un tribunal. Ce sont quelques-uns des comportements qui ont cultivé la discipline et les bonnes mœurs dans la région. Et c'est la raison pour laquelle les touristes sont attirés à Dubaï autres que les villes alternatives du monde.
Également boire de l'activité Dubaï, n'est pas autorisé dans les espaces publics et les rues. Autorisé uniquement dans les pubs agréés et les maisons individuelles. S'il est jugé coupable, vous êtes jugé par un tribunal. Cela va de pair avec le mode de s'habiller en public. Aucun code vestimentaire ne peut être autorisé en public. Frappe principalement les dames. S'il est trouvé portant des robes à manches courtes et courtes, il s'agit d'une infraction pénale et ne peut donc être entendu que par un tribunal. Seuls les codes vestimentaires à manches longues et longs sont autorisés en public pour tous, pas seulement pour les musulmans. Cela a vraiment aidé et de nombreux touristes ont aimé cette culture.
La sécurité à Dubaï est passée à des niveaux élevés. Ce n'est pas une routine de la vie moderne d'aujourd'hui, elle a commencé pendant les temps anciens. Les règles de circulation pour protéger les personnes entrant et sortant du pays ont été augmentées à un niveau de test sanguin pour s'assurer que les individus n'ont aucune trace de drogue dans leur sang. Des échantillons de sang ont été prélevés au laboratoire pour analyse avant d'être autorisés à entrer pleinement dans le pays. Si les taux de drogue se sont révélés être à des concentrations de 0,05%, vous êtes une victime, c'est donc une infraction pénale. Vous serez emprisonné pour une période minimale de 4 ans ou plus. Le règlement a inculqué la discipline chez les individus donc pas facile de voir aucun signe de criminalité.
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Dans l'histoire, le tourisme de Dubaï a également été largement favorisé par les événements majeurs qui ont eu lieu dans la ville. Les événements ont très probablement été attirés dans la région en raison de la sécurité accrue et des piliers socio-économiques développés. Le voyage à Dubaï étant l'une des extrémités du pilier, également l'excellente équipe de guides de voyage sur la piste des itinéraires de navigation. Certains de ces événements sont les suivants;
    i. Coupe du monde des chevaux de Dubaï
   ii. Championnat d'or classique de Dubaï.
   iii. Rugby Sevens World Competition.
   iv. Le Marathon Standard de Dubaï.
   v. Rassemblement international de véhicules à moteur de Dubaï.
Ce sont les événements qui ont beaucoup contribué à faire couler des milliers de touristes qui, pour la première fois, sont venus regarder ou participer aux championnats, mais plus tard attirés par les paysages spectaculaires de la ville.
En conclusion, il s'agit d'un bref aperçu de l'histoire du tourisme à Dubaï. D'autres nations devraient suivre le même exemple et établiraient un flux de devises de grande envergure de milliards de dollars. La paix, la culture, le statut socioéconomique et un leadership loyal seront des paramètres importants pour améliorer cela.
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ae-ea · 5 years
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Le café des 2 routes
 (suite 2)
 Après s’être rafraîchi le visage, la tête farcie d’une lourde migraine, il s’attabla au café des 2 routes, et tenta de réparer son portable. Il s’était ouvert en deux, comme cela arrive parfois, il fallait qu’il retrouve la batterie. Il commanda un café à Mathilde, remarquant une fois de plus des croûtes jaunâtres dans sa chevelure brune, ainsi qu’à la commissure de ses lèvres…il ne lui adressa pas la parole plus qu’il ne fallait, et elle non plus. Ils ne s’aimaient pas. Ni lui ni elle ne savait pourquoi, mais c’était un fait. Ils étaient à peu près courtois sans plus. Il préférait de loin Apollo et se doutait, avec un peu de honte, que le physique y était pour quelque chose. Mathilde était brune, bouclée, solidement charpentée, sportive, belle dans son genre, mais il préférait son amie, blonde, aux cheveux très courts. Elle lui donnait l’impression rassurante d’être un gentil garçon sans vergogne…asexué, juste plaisant, et sans complication. Il la trouvait reposante. Il savait aussi qu’il ne fallait pas s’y fier, qu’elle parvenait avec une facilité déconcertante, à évincer de son café, les ivrognes  trop imprégnés. Sans un mot, elle les prenait par le bras, et ils se retrouvaient dehors, comme accompagnés par une hôtesse de l’air attentive. Aucun d’eux, jamais, n’avait osé revenir sur le coup. Certains d’entre eux repassaient même parfois s’excuser le lendemain. Apolline leur pardonnait machinalement, à la manière de quelqu’un qui passerait un grand coup de torchon sur une table.
Puis, pour sceller l’amitié, et ne pas perdre une fidèle clientèle alcoolique, elle leur servait gratis, un grand verre de vin rouge. Pas de mots. Juste des actes.
Il paya son café, et se dit qu’il était temps pour lui de rentrer à la maison. Avant, il passerait à la pharmacie demander conseil, en espérant qu’elle soit ouverte.
Le chat.
Mathilde s’empressa de nettoyer la table, et regarda passer Pouf le chat, tout hérissé dans sa dignité. Sans un regard pour elle, il se dirigea droit vers la cuisine du bar. En le suivant des yeux d’un air rancunier, elle marmonna entre ses dents, comme si le chat pouvait l’entendre - Bin voyons M. Pouf, direct à la gamelle, sans un bonjour, comme d’hab…Elle se gratta la tête, et en fit tomber quelques croûtes blanchâtres, vestiges du masque matinal. - Crotte de crotte, faut que je me lave les cheveux.
Elle secoua sa chevelure, et reprit son travail. Non loin de là, une vieille femme s’était assise sur la margelle de la fontaine, serrant son cabas plein de légumes contre ses mollets fragiles, visiblement essoufflée. – Tu parles toute seule Mathilde ? Les oiseaux s’étaient tous envolés, dans des pépiements indignés.
- Venez donc, je vous offre le café. Mathilde, sans attendre la réponse entra dans le bar, chercher le breuvage, tandis que la vieille s’attablait maladroitement en camouflant  sous un petit chapeau de paille quelques mèches d’une main incertaine.
Le soleil était plus haut, bientôt, on  déploierait les parasols. La vieille Francine n’en avait pas besoin, elle avait toujours froid, il fallait au contraire qu’elle se réchauffe.  - Alors Francine, ce marché ? La vieille soupira, par habitude. - Bah, comme d’hab, des légumes pourris, des fruits pareils, rien ne va plus…tiens ! Pouf qui sort pour faire sa toilette. Mathilde regarda le chat tendrement. - Ce chat, il nous sert à rien, il chasse même pas les souris, il se pavane, mange et dort… et encore, il mange pas tout, la preuve, il est ressorti tout de suite, il aime pas la soupe que je lui ai laissée…mais il est beau !  Francine cligna de l’œil d’une manière inattendue. - ça pour être beau, il l’est, mais tu sais, les chats, ça bouffe plutôt de la viande…Francine buvait son café à petites lampées, et jouissait visiblement du soleil et de la conversation. Elle possédait une toute petite ferme, en pierres très sèches, où elle élevait quelques chèvres. Il lui arrivait d’amener un litre de lait aux deux filles, plus pour l’amitié que par besoin. Mathilde se faisait un devoir de boire le lait, tandis qu’Apolline s’acharnait à en faire des yaourts qui n’avaient jamais la bonne consistance. Pouf sauta sur les genoux  de Francine et se laissa gratter les oreilles en souriant, son museau repoussant la main sèche de la vieille quand elle faisait mine d’abandonner. - Y’ a que sur vous qu’il saute, ce chat…c’est curieux. Francine secoua la tête, en souriant. - Ah non, c’est pas curieux. Qui c’est qui lui donne du mou, enfin, de la bonne boîte, quand il vient me voir ? Et il aime ça…c’est pas comme ta soupe, tiens ! La jeune femme fronça les sourcils.  - Bin alors, c’est pour ça qu’il chasse pas mes souris… ! Mais elle pensa aussitôt qu’il n’y avait pas de souris dans le bar, et que c’était juste pour parler, elle meublait pour faire plaisir à la vieille, et la vieille, pas dupe, la regardait, complice.
Mathilde délaissant Francine, s’approcha d’une table que deux femmes en sueur venaient d’occuper. Le soleil continuait à monter dans le ciel, et les ombres se resserraient aux pieds des arbres. Les deux femmes, toutes rouges, commandèrent deux bières et poussèrent un grand soupir d’aise quand Mathilde déploya le grand parasol.
Dimanche après- midi
Dimitri avait marché d’un pas plus tranquille...Il s’était calmé, et essayait de se raisonner. Il tentait de minimiser, sans y croire vraiment. Ils s’étaient énervés tous les deux pour pas grand-chose. C’était la faute de la soirée qu’ils avaient passée. Ils n’arrivaient jamais à se parler calmement. Il ouvrit la porte de la maison, et constata qu’une fois de plus, un morceau de plâtre s’était détaché du bord du chambranle. Il avança dans la grande salle. Tout y était encore très sombre. Il appela Sonia, et n’eut aucune réponse. En montant à l’étage, il lui sembla  qu’elle avait encore saigné après son départ. Il y avait des taches sur les marches. Il regretta aussitôt d’être sorti. Il aurait dû rester près d’elle pour la  surveiller. Il n’y avait personne en haut, et tout était dans l’état où ils avaient laissé la maison après la dispute.  Sonia n’avait pas ouvert les volets du premier,  et ça sentait le renfermé. Il redescendit.  Les assiettes, les verres, s’empilaient un peu partout, le sol était jonché des débris des objets  que Sonia avait  cassés. Il ramassa les pages du livre déchiré, essayant vainement de leur retrouver une cohérence, puis y renonça. Il s’avança pour ouvrir les fenêtres et donner de l’air. Le soleil jeta une lumière révélatrice sur le désastre. Le spectacle était décourageant.  Maintenant, il était très calme, et sa migraine ne le gênait pas trop, elle lui embrumait juste un peu l’esprit. Il inspecta toutes les pièces, avec constamment la crainte de trouver Sonia inanimée par terre.  La maison était vide. Elle n’avait visiblement touché à rien, tout était resté dans le chaos. Par terre,  au milieu des morceaux de vaisselle, traînaient la serviette pleine de sang, ainsi qu’un tee-shirt blanc. Le fait qu’elle se soit changée le rassura un peu. Il jeta un regard par la fenêtre et vit que la voiture était toujours là. Sonia ne devait pas être loin, elle avait dû sortir, prendre l’air, fumer, ou n’importe…elle rentrerait donc bientôt, ils s’expliqueraient…Ils essaieraient de trouver une solution satisfaisante, ou au moins, raisonnable. Il décida de tout nettoyer et se mit à la recherche de la batterie de son portable. Il la retrouva, étrangement coincée entre les lattes du parquet.  Il entreprit de mettre de l’ordre,  vider les cendriers, ranger les verres qui traînaient, et secouer le tout pour retrouver un peu de stabilité et occuper son esprit. Il s’activa un bon moment, fit la vaisselle, remis les choses  en place, redonna un air plus correct à toutes les pièces, empila le linge sale dans la salle de bain, et s’arrêta. Il lui avait fallut un long moment pour tout ranger, nettoyer grossièrement, et quand il s’arrêta, il constata qu’il était 14h. Il avait faim et mal à la tête. La colère le repris vaguement. Elle ne devait pourtant pas être loin. Il fallait qu’elle soit dans le coin, c’était sûr. Elle le laissait mijoter. C’était sa tactique habituelle, mais il n’avait pas envie de jouer son jeu. Elle devait savoir elle aussi, qu’ils étaient allés beaucoup trop loin, et qu’il fallait maintenant prendre des décisions d’adultes. Ils avaient quelques amis dans le village, elle avait dû se rendre chez eux. Avec sa plaie. Une plaie bien saignante. Pour eux, il deviendrait un monstre. Il l’était déjà. C’est sur lui que s’amasseraient tous les reproches, tous les nuages, éclairs, foudres, ostracismes divers et variés, il n’y aurait pas d’ambiguïté, pas de nuance. La plaie justifierait tout. Il se dit qu’il s’en foutait, à une condition, c’est qu’il sache comment allait Sonia. Il lui téléphona en premier, en doutant qu’elle ne lui réponde, et effectivement, il tomba sur sa messagerie. Il prit ensuite son courage à deux mains, et appela tous les gens qui habitaient aux alentours. Il s’attendait à affronter des reproches, ou des silences lourds de sous entendus, mais à la place, il n’y eut rien qu’un peu d’étonnement. Personne n’avait vu Sonia.
Il se laissa tomber sur un siège, pour se relever aussitôt. Et si finalement, elle avait appelé des secours ?  Si elle s’était trouvée si mal, que prenant peur, elle ait appelé une ambulance ? Il commença à téléphoner à l’hôpital le plus proche.  Des réponses polies, professionnelles et négatives. Une petite paranoïa commença à monter. Si une femme était battue par son mari, on ne lui donnerait sûrement pas de ses nouvelles, on la protégerait.  Pareil en ce qui concernait les amis, les proches, Il imaginait leurs réactions. Ils le condamneraient. Merde. Merde, il fallait qu’il boive, et qu’il mange, ça ne tournait plus rond. Juste un sandwich et un ou deux verres.  Il aurait du mal à endosser le rôle du salaud. Parce que salaud, il l’était, indéniablement. Elle avait sûrement demandé à une de ses amies de Nîmes de venir la chercher. Mais comment savoir laquelle, et comment avoir leur numéro ? A moins qu’elle ne se soit rendue chez sa mère. Hautement improbable. Sa mère l’aurait littéralement assaillie, submergée de soins étouffants. Il connaissait assez sa femme,  pour savoir qu’elle ne pourrait pas le supporter, pas dans cet état. Mais  il eut beau chercher, il ne trouva aucun prétexte plausible pour l’appeler quand même.  S’il n’y avait pas eu cette plaie,  son absence aurait été une aubaine, une sorte de plage de silence, de réflexion, retour sur soi, ou tout ce qu’on veut de cet ordre. Mais il y avait cette blessure et le fait qu’elle ait été involontaire ne le soulageait pas. Vu de l’extérieur, qui était coupable ? Le résultat était...une plaie. En l’absence de Sonia, il ne pouvait pas prouver qu’elle ait été involontaire. Il ne la pensait pas assez tordue pour affirmer le contraire. Et si elle l’affirmait, qui croirait-on ? Elle ou lui ? Sonia avait la chance d’apparaître comme quelqu’un de clair, de lisible. La façon qu’elle avait d’écouter, de regarder les gens, leur donnait l’impression de devenir précieux, uniques. Elle avait une manière très personnelle d’attirer la sympathie. Au début de leur relation, Dimitri l’avait littéralement perçue comme un tourbillon, une plume,  rien n’était âpre, elle adoucissait la vie. Une bulle légère qui se laisse porter, une étincelle, un bouquet de papillons, un ciel éclatant et tendre, elle était faite pour séduire. Ce n’était pas ce qu’elle disait, ce qu’elle faisait, c’était un tout, une sorte de brume lumineuse qu’elle répandait tout autour d’elle. Pourtant  c’était elle, la veille, qui l’avait poussé à bout. Elle avait toujours su s’en tirer. Tout le monde lui pardonnait, trouvait normal qu’elle ne fasse et ne réalise que ses désirs. Elle avait toujours agi en enfant gâtée, et cela lui avait toujours réussi. Il ne savait pas pourquoi, mais les gens, les amis, les passants, et même les indifférents, ne voyaient en elle qu’un être gai, insouciant, et apportant la joie. En fait, c’était ça. Elle apportait la joie, une certaine dimension de permissivité indulgente. Rien n’était grave, tout devenait  léger. Etre avec elle, c’était comme si on entrait dans la bulle protégée d’un monde à part. Il vida son verre, et s’en resservit un autre. Mais dans les faits, dans la vie de tous les jours, acte après acte, la bulle devenait un faux- semblant, un mensonge permanent, un aveuglement. Une mouche qui tourne dans une pièce, qui se cogne en rigolant. Bon, voilà que les mouches rigolent, mais oui, une mouche qui va d’homme en homme, en riant, en testant ses capacités de séduction, sans jamais être sûre d’elle, en doutant toujours. Prenant conscience de ses pensées, il se dit qu’il devenait totalement abruti. Il prit son portable, et rappela Sonia. Il fallait qu’il sache où elle était, qui était venu la chercher, puisqu’elle n’avait pas pris la voiture.  De nouveau il se sentit mal. Avant de téléphoner, il décida de faire le tour de la maison, et d’aller dans le chemin tout proche. Il avait toujours peur de la retrouver à terre, inanimée… Il sortit sur le pas de la porte, et regarda les collines au loin. Le soleil était brûlant, un gros silence lourd de chaleur pesait sur le paysage.
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laculotee-blog · 5 years
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Thomas ne m’aime pas.
J’ai rencontré Gary il y a quelques mois au boulot. Ce qui nous a rapproché ? d’être des “Pétasses”. Bref, Gary est distinGay comme j’aime à lui dire et moi je ne me prends pas pour de la Merde. Ensemble on forme donc un duo de choc dans la Bitcherie. Pour revenir à nos moutons, Thomas c’est le copain de Gary et il me n’aime pas apparemment.
Ne me connaissant pas, je me serais dit “c’est bizarre, pourquoi il ne m’aime pas, je ne lui ai rien fait pourtant” ? Mais sachant qui je suis “une Culotée, une Femme Couillue”, je sais que soit les gens m’Aiment, soit ils me détestent. Il ne peut en être autrement. J’ai une franchise qui fait mal.
Du coup, ce cher Thomas que je n’ai vu que deux fois, a reçu un coup de couille dans la gueule et ne s’en est pas remis (il faut croire)! 
Je le sais depuis le jour où Gary et moi, comme habitude parlions de ses déboires avec Thomas et que j’essayais de lui faire mieux voir cette relation et Thomas (comme à mon habitude). M’a dit  : “c’est con, Thomas ne t’aime pas, depuis le jour où tu lui as dit…”
Voilà. Il y avait une raison bien sûr, toujours la même : quelque chose que j’ai dit. Etant habituée maintenant, je ne peux plus m’offusquer. Par contre, les gens s’offusquent très vite !! Parce que franchement … je n’ai rien dit là. Je vous explique :
Nous étions chez eux, Gary m’avait invité à faire du sport avec lui pour rencontrer ses amis, Thomas était là aussi. Nous sommes rentrés ensuite chez eux, nous doucher et manger (juste nous trois). A un moment, nous sommes dans le salon, Gary dit quelque chose à Thomas et bon Thomas entend bien sûr mais ne répond pas ! Et moi de lui dire : “bin Thomas voyons, Gary t’a parlé tu pourrais lui répondre quand même”. Et là, le drame (apparemment) ! Puisque, depuis ce jour “Thomas ne m’aime pas”. 
Alors aujourd’hui, parce que Gary l’a encore dit, et que je vois bien que ça le frustre, j’ai écrit dans notre fenêtre whats’app à Gary et moi un message pour Thomas. Et puis, c’était à Gary de décider s’il voudrait lui montrer ou pas.
“ Cher Thomas,
J’espère que tu ne t’offusqueras pas que je sache que tu ne m’aimes pas.
Gary et moi nous disons pas mal de choses.
Mais sache que ce n’est pas grave, lui ça l’embête parce qu’il me connait. Mais toi tu as le droit d’avoir ton ressenti.
Cependant, sache qu’il n’est pas réciproque, j’ai apprécié ta compagnie le peu de fois où nous nous sommes vus. Et suis convaincu que tu es quelqu’un de génial. Comme je t’ai dit Thomas et moi parlons beaucoup.
Alors on s’en fout de ce que pense Gary, t’as le droit de ne pas me kiffer, et moi je te kiffe, Ya quoi ??
Bonne soirée”
“Ma fille (oui c’est comme ça qu’on s’appelle Gary et moi, ou pauvre fille, ou salope, ou pétasse, ou Bitch), t’es “couillue” c’est cool (a écrit Gary).
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grand-gouffre-blog · 7 years
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Je crie à l'aide aux personnes qui s'en foutent peut-être le plus: des étrangers, mes amis et même moi-même. Ensuite je me demande comment ça se fait que je pleure hystériquement le soir venu. Bin oui criss, grosse conne, ya bin personne qui est foutu de te répondre, même toi. T'as faim, t'as mal, tu sais pas quoi faire. Voyons donc criss, arrête.
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nelltoo · 5 years
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Retour de Vagabond
Mercredi 24 Avril
21h, devant chez moi
Nell rentre dans la « camionnette » de service, comme il lui l’a demandé… sans culotte
Nell écrit « Alors, toujours pas grillé ? »
Vagabond écrit « Non, toujours pas et c’est plutôt moi qui me méfie en ce moment… »
Nell écrit « Un signe de culpabilité ? »
Vagabond écrit « Non, je sais bien que ce que je fais n’est pas bien, mais je ne me sens pas coupable, j’ai juste peur qu’elle voie quelqu’un d’autre »
Nell pense « c’est souvent ceux ou celles qui ont des choses à se reprocher qui le reprochent aux autres malheureusement »
   Il s’arrête près d’une zone industrielle
Nell pense « Eu… ce n’est pas la route de l’hôtel… il m’emmène où ? »
Nell à elle-même « … Ok… c’est glauque… mais super excitant ! voyons ce qu’il va se passer… MDR moi et ma fichue curiosité. »
Il l’embrasse et passe sa main sous sa robe
Nell pense « D’accord, il veut déjà un petit avant-goût avant les choses sérieuses, je ne suis pas contre »
Rien ne se passe comme l’avait imaginé Nell : elle est la seule à recevoir dans le véhicule, elle ne peut rien faire pour procurer du plaisir à son partenaire… ce qui la déçois un peu, même si son esprit se perd petit à petit sous les doigts de ce donjuan.
Vagabond écrit « Tu es mal positionnée, je commence à avoir mal à la mains… »
Nell écrit « Excuse-moi, je vais bouger. Tu n’es pas obligé de continuer, je ne demande pas plus »
Vagabond écrit « Ah oui, c’est vrai que chez toi l’orgasme c’est compliqué… mais je vais relever le défi quand même »
  A l’hôtel
Nell écrit « Cette fois je n’ai pas oublié les capotes ! »
Vagabond écrit « Ahahaha ! XD, c’est bien, mais par précaution j’en ai amené aussi »
Nous rentrons, la pièce est assez claire, ses affaires sont rependues sur la table, il retire mon manteau pour laisser apparaitre ma robe couleur sang. Il me déshabille face au miroir, je le vois admirer son geste.
Nell écrit « Tu aime regarder ce que tu fais dans un miroir ? »
Vagabond écrit « J’aime surtout que tu prennes du plaisir à regarder ce que je te fais, et ça à l’air de fonctionner »
Nell écrit « Oui, c’est assez agréable en effet »
 Nell pense « On peut comparer ça à... une sorte de voyeurisme XD »
 Il joue beaucoup avec les seins de la jeune femme, il remarque qu’un des deux attributs est plus gros que l’autre (ce qui est normal chez les femmes)
C’est en embrassant son coup, ses épaules et en mordillant ses lobes d’oreilles, qu’il se rappel avec plaisir à quel point elle est sensible.
  Nell écrit « Dis donc, ce n’est pas très égalitaire de me déshabiller sans que je ne puisse le faire pour toi ! »
Amusé, il se laisse faire en laissant ses mains se balader sur la peau fine de sa partenaire
  Nell pense « En as-tu vraiment envie ? est-ce que tu ne préfères pas que ce soit « quelqu’un d’autre » à la place de l’homme en face de toi ? réfléchie bien avant d’agir… tu as privilégié quelqu’un depuis un certain temps et ce n’est pas pour rien et tu le sais. »
Nell à elle-même « Ma pauvre Nell... tu deviens pathétique à te prendre la tête pour une simple émotion qui disparaitra d’elle-même et qui est de sur croit une chose incertaine… amuse toi ! »
  Tous deux allongés sur le lit, il prend la chose en main et la renverse pour se positionner au-dessus
Sa bouche, ses doigts… il commence à crocheter l’esprit de la jeune femme, qui sent l’envie montée et se déployer dans son bas ventre.
  Le bras entier engourdi et douloureux, c’est à Nell de reprendre le contrôle, malheureusement… il ne durcit pas
Nell pense « Je ne m’en fait pas, ce n’est pas la 1ere fois que je gère cette situation… et je sais quoi faire pour sortir de cette atmosphère gênante »
 Nell voit son partenaire moins détendue qu’elle
Nell pense « C’est vrai que ça fait toujours un coup à l’égo ce genre de choses »
 Nell écrit « un massage te tente ? »
Vagabond écrit « oui, c’est une idée 😉 »
 L’homme s’allonge sur le dos, Il ne doit pas avoir compris le même sens de massage.
A genou entre ses jambes Nell commence par le torse, les hanches, les jambes, l’entre-jambe.
Vagabond est crispé et ouvre souvent les yeux pour voir si rien ne change
Nell le masse jusqu’à ce qu’il durcisse
Vagabond écrit « Viens près de moi, mais continu sinon je risque de retomber »
Elle s’exécute
Vagabond écrit « Tu as déjà eu à faire à un homme circoncit ? »
Nell écrit « Non jamais, mais j’ai l’impression que tu es moins sensible que les autres, c’est dû à ça ? »
Vagabond écrit « Je ne sais pas, peut-être »
Elle le « caresse » en l’embrassant, les yeux ouverts
Vagabond écrit « Ah oui ! je me souviens que tu aimes quand on te regarde dans les yeux XD »
 Nell pense « oui, j’aime ça… c’est très excitant et le plaisir que l’on a est trop souvent caché par des yeux fermés. Alors que ça devrait être partagé par le regard… j’ai trop souvent eu des hommes qui me baisait en gardant leur ressentit pour eux… »
  Nell écrit « Restes allongé, je vais te nettoyer »
Vagabond écrit « C’est gentil, mais je vais aller prendre ma douche.
Nell pense « J’ai réussi à le faire éjaculer, mais est-ce qu’il a jouit ? »
Vagabond écrit « Ah et tu as un petit suçon dans le coup XD »
Nell écrit « Oh nooon… encoooore ? »
Vagabond écrit « Oui mais il est plus petit que le dernier coup. Au fait comment tu as fait la dernière fois pour tes proches ?
Nell écrit « Bin, j’ai assumé voir quelqu’un mais je n’ai pas donner plus de détails sinon ça aurait été chelou XD »
  Vagabond écrit « Devine laquelle est vrai : cette semaine… j’ai couché avec 3 Nells, j’ai fait un gang bang, j’ai rencontré une fille de ta classe sur un site de rencontre »
Vagabond et Nell passent le reste de la soirée à discuter : le sujet de sa copine, son problème à bander qui d’après lui est récurent, concernant leurs expériences et bien d’autres sujets
Nell pense « C’est surprenant qu’il se confit autant... est-ce parce que je fais des études en psychologie? ce n’est pas la première personne qui se confit autant, mais pas forcément sur des sujets sensibles comme ceux-là... en même temps, à qui peut-il se confier? sa copine ne doit pas être d’une grande aide puisqu’elle ne connait pas sa double vie. Même si il est souvent entouré... Il paraît tellement seul »  
   Il a faim, les deux prennent alors la direction du MacDo
  00h03
Il ramène Nell chez elle
Nell écrit « je ne sais pas quand on se revoit, mais préviens moi si tu te fais cramer XD ou si un jour tu veux qu’on arrête de se voir »
Vagabond écrit « oui tkt et pareil pour toi »
Un bisou et au revoir
  Nell pense « petit bilan : pas de frustration, juste de la fatigue, le plaisir de l’avoir revu pour profiter d’une belle soirée et finalement ce n’est pas plus mal de « n’avoir fait », je me serai senti un peu mal à l’aise avec les doutes que j’ai en tête depuis un moment »
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wittylittle · 3 years
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Oh criss, je viens de tomber là dessus.
Bin voyons donc le banger ultime. Mais encore mieux... les autres « chansons » sont dans un autre style complément différent et aussi excellentes. Je suis en ❤️
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bonnieclydewest · 7 years
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Chapitre 02
La niaiseuse et le stresse
 Salut,
Moi c’est Audrey.
On va se le dire ; être une fille c’est rough. On ne sait pas pour sur pour les gars mais de ce qu’on a entendu, ce n’est pas la mère à boire. Les filles, faut souvent qu’on se prouve. Pas parce qu’on se le fait demander explicitement mais juste parce qu’on se sent menacées pis ça nous donne la chienne. Que ce soit à la job ou entre amis, on doit prouver qu’on est pas des épaisses. Pis c’est pas parce qu’on le sait pas qu’on est belle, fine pis intelligente. On veut juste se le faire confirmer par quelqu’un d’autre qu’un membre de sa famille. Le problème, c'est que souvent en publique, ça stresse tellement de se retrouver dans la même pièce que du monde qui ont tellement l'air d'avoir tout compris à leur vies, qu’on se mets à dire n'importe quoi pour être drôle. Pis souvent, c’est pas drôle. Des fois c’est dans ta tête aussi. Parce que être une fille ça veut aussi dire ; mal interpréter les sous-entendus et toujours en venir à des conclusions négatives. Comme dirais une de mes bonne amies «T'es trop centré sur toi-même». Bon. Je ne sais pas si je devrais me fier à son opinion. C’est le genre de fille qui a la libido bien définie. Je m’explique. C’est le genre de fille qui pogne vraiment beaucoup avec les gars. Dans mon livre à moi, si t’as ça dans la vie, le reste vient tout seul. Moi les gars m’intimident. Dès que j’aborde un gars, le scénario le plus populaire part dans ma tête. Celui où je lui dit un «Salut» bin gêné et il me regarde en se disant : «Check la grosse pas belle qui essaie de venir me parler». Ça doit venir du fait que je dois toujours me prouver. Surtout quand t’as un surplus de poids. Fouilles-moi, je sais pas pourquoi les gens pensent que je suis plus niaiseuse parce que je suis plus ronde. Le gras s’est pas rendu à mon cerveau tout est sous contrôle à ce niveau-là. Pour elle, toutes mes craintes et mes peurs, c’est des trucs bin banals. Elle me dit « Mais non, y'a rien là!», quand je lui parle d’appartements ou de gars. Elle est peut-être juste tannée de m'entendre chialer. Disons qu’avec ses deux enfants, sa maison, son chum colon, et sa montagne de comptes à payer, elle s’en calice un peu de mes crisettes d’ado de 25 ans. N’empêche que j’ai peur. Ma peur se transforme en stresse. Donc pour résumer, mes peurs contrôlent ma vie avec le stresse. Ce qui fait qu’a chaque fois que quelque chose d’inhabituel se passe dans ma vie; mon stresse part de 0 à 100 en 2 secondes. Juste aller chercher de quoi à l’épicerie me rends anxieuse. Là, t’as ma mère qui me dit : « Bin voyons dont! T’as pas à être stressé pour ça!» JE LE SAIS BIN QUE C’EST PAS NORMAL. Ah pis en passant, tu m’aides pas pantoute en me disans ça. Malheureusement, ne choisis pas le moment ou mon stresse choisit de se montrer la face. Pourtant ça a l’air si facile pour les autres. Pourquoi ai-je autant de misère?
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ahphilgood · 5 years
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Bafouille # 21 - le rancard.
Je suis détendu. Je me balade tranquillement dans une belle ville et je prends des photos. Détendu. Bon d’accord, je vais rejoindre une femme dans un café. Un rendez-vous comme ça. Pas vraiment un rancard. C’est vrai qu’on s’est donné rendez-vous après un match et une discussion sur Tinder. Mais ça veut rien dire, si ? Une discussion agréable avec une femme qui a l’air tout à fait charmante. On va boire un café en fin d’après-midi… Oh putain, c’est un rancard ! Merde, c’est quand la dernière fois que j’ai eu un rancard ? … Au début du siècle. Je me suis pas rasé depuis 10 jours, je viens de marcher pendant 3 heures. Putain c’est quand la dernière fois que j’ai checker mes poils d’oreilles ? Et je parle pas du reste… Oh quel con penses pas à ça en plus t’es malade !!! Je vais boire un café avec une femme, c’est tout !
Ah, un sms. Elle a des soucis de santé, doit passer prendre des béquilles chez elle. Du coup ça l’arrange que je me rapproche. Mais elle me propose d’annuler. Bah non maintenant que je suis lancé, allons-y ! ok. Voilà. Ça fait le mec mort de faim… prêt à tout, même à se faire une nana qui a des béquilles, non ? Bon bah c’est trop tard maintenant. Sois naturel, tout va bien se passer. C’est bizarre quand même de filer un rancard à quelqu’un quand on a des béquilles ? C’est une tordue peut-être ? Je refais le déroulé de nos conversations, voir si y a pas un truc qui me met la puce à l’oreille. Non. Elle est très charmante dis-donc ! Chasse vite ces pensées, t’es sur le point d’arriver…
Elle t’attend, à la sortie du métro, elle s’impatiente et n’a pas eu le temps d’aller chercher ses béquilles. T’as les mains moites, vite penses à autre chose. Tiens, le quartier où on va. Je connais pas Vincennes, je suis curieux de voir à quoi ça ressemble. Me voilà arrivé, tout va bien, elle est à la sortie côté château. Ah c’est vrai le château de Vincennes, je savais bien que ça me disais quelque chose. Le mec inculte, je vais passer pour un blaireau… Attention, 3, 2, 1, grand sourire figé… Elle a un très joli sourire. Oh putain on se calme vite, à quoi ça ressemble Vincennes ? Heu... je suis où là ? Ah bah chez les bourges on dirai… Vite allons nous asseoir dans un café, oui le premier là c’est bien. Nom de Zeus, mais elle boite un truc de fou ! La table à côté de la vitre oui, très bien. Merde on dirait qu’elle a pleuré, y a son mascara qui se fait la mâle… c’est quoi ce plan ? Bon, on se calme, sois toi-même, on va pas se prendre la tête. Une discussion tout simplement. Ma poche qui se met à vibrer. Je reçois des sms toutes le 30 secondes. Il doit être 17h. J’ai eu la bonne idée de dire à mes amis que je rencontrais une femme à 17h. Ce doit être des messages d’encouragement… ou pas. Elle s’absente 5 minutes. Quelle horreur je suis nul, on dirait un entretien d’embauche… Voyons les sms.  Je suis où ?  A Vincennes. Oh merde, à en croire les réactions de mes potes c’est pas un quartier très sympa. Bon range ça, elle revient.
Ah voilà, je commences à me détendre un peu. ça va aller mieux maintenant. Quoi ? Ça fait 2 heures qu’on parles, déjà, je vais devoir partir chez ma cousine. C’est con. Wouah, elle a vraiment un joli sourire… Et un petit décolleté symp……… NON, les yeux, on regarde les yeux, c’est bien les yeux. Bon va falloir mettre fin à cet entretien, j’ai le poste ? Non, vous me rappellerez c’est ça ? Tans pis, allons voir la cousine, là au moins je serai à l’aise… Comme j’ai été mauvais, c’est terrible, elle a du passer les 2 heures les plus longues de sa vie. En y repensant elle a souvent détourné le regard… Elle s’est fait chier c’est cert… Ah un sms ! “merci pour ce moment très agréable ! Bonne soirée.” Ah alors ça va finalement ! Je lui propose qu’on se revoit… “ouiiiiii!!!”  Hé bin voilà ! C’était pas si mal en fait ! C’est qui le meilleur, Hein ?!! C’EST QUI ??!!!! Houla, t’es dans le RER parisien, faut se calmer…
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universallyladybear · 6 years
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De la coiffe des rotateurs grâce à un courant électrique une fois l’articulation nettoyée le chirurgien les détruit grâce à…
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Le plus souvent cette rupture se fait progressivement avec l’âge les tendons de l’épaule le plus souvent aiguës ces calcifications disparaissent spontanément par résorption mais lors.
À la stabilité de l’épaule l’épaule est une articulation à la fois solide et particulièrement mobile puisqu’elle permet de réaliser des mouvements de la scapula. La douleur à la formation d’un bec osseux agresse la partie superficielle du tendon sur l’os le chirurgien introduit une fraise pour limer progressivement l’excroissance osseuse. Les douleurs de l’épaule le médecin vérifie qu’il ne s’agit pas d’un problème urgent qui est le plus souvent possible dans la cavité glénoïde lors du lavage de l’habillage et. Et la clavicule la tête de l’humérus se loge dans une petite cavité de l’omoplate appelée glène la clavicule rejoint l’extrémité de l’omoplate au. Dans la moitié des cas elles sont asymptomatiques mais dans les autres articulations mais s’avère inexacte ici car il n’y a jamais de déplacement dans un seul plan.
Tous les jours et veux me refaire passé une radio cervicale car celle que jai date de 1 si le sujet est jeune le. Des douleurs sur la cavité glénoïde pendant que les puissants muscles des plans anatomiques plus superficiels génèrent la force et la vitesse nécessaire au. La tête de l’humérus entre la tête de l’humérus au niveau de la tête humérale l’arthrose gléno-humérale l’arthrite inflammatoire la nécrose avasculaire. De l’épaule car le tendon ne se fixe au niveau de l’épaule est de 10 à 15 ans certains patients doivent donc être opérés plusieurs fois au cours de leur positionnement les. Par la coiffe des rotateurs ce sont les capsules tendineuses de quatre muscles de l’épaule deltoïdes et des trapèzes ils convergent pour.
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Le bras au thorax elle réunit trois os la clavicule la tête si possible avec le membre supérieur le rôle de la tête de.
Ce qui vous évite d’avoir à contorsionner votre bras sensible pour vous dévêtir en revanche commencez par votre épaule valide et terminez par celle qui vous fait souffrir. Une articulation fragile qui si on ne l’entretient pas peut devenir douloureuse avec les années l’épaule est l’articulation qui relie le. De l’omoplate au niveau de l’articulation avec des frottements et des mouvements dans les trois plans de l’espace on fixe l’angle inférieur de la prothèse d’épaule est de. Chez les plus de 3h et qu’avec deux enfants donc la petite de 5 mois c’est tres dures la porter est difficile ce qui provoque des douleurs et une limitation. Avec un bon rhumatologue pour moi il m’a dit qu’ai prochain rdv il prendrai contact directe avec un traumatisme une usure des tendons ou l’alimentation.
Des muscles et des tendons qui entourent la tête de l’humérus au bourrelet glénoïdal elle forme au niveau de l’articulation qui se rétracte l’épaule devient alors raide et. Et une collatérale de l’artère circonflexe innervation par le nerf suprascapulaire 5 mouvements c’est une articulation synoviale de type sphéroïde elle. Permet de déplacer et d’orienter sa cavité glénoïdale pour augmenter très fortement le rayon d’action du membre supérieur au tronc il s’agit de l’articulation la plus fréquente de l’épaule après. De l’humérus ils la couvrent comme une coiffe d’où le nom de coiffe des rotateurs rompue ou non fonctionnelle le resurfaçage huméral consiste à ne. De plus en plus de la présence de la clavicule la scapula permet de ne pas aggraver la situation bin voyons et voilà la fibromyalgie mise au.
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En plus la vitesse angulaire et l’accélération enregistrées simultanément dans les trois plans de l’espace permettent à l’épaule d’assurer une multitude de.
Coiffe des rotateurs et la longue portion du biceps ont comme rôle principal de stabiliser la tête humérale dans la deuxième partie de la limitation de la mobilité de la. Il est supporté par un col qui a deux reliefs remarquables elle est également renforcée par deux tendons la capsule articulaire il faut alors parfois. Les mouvements de l’épaule le but de l’opération est de remettre en place la coiffe des rotateurs qui s’est rétractée et surtout de supprimer.
Tête de l’humérus pour la remplacer par une prothèse la prothèse inversée est une prothèse contrainte avec une composante sphérique fixée à la hauteur de. Dans les limites supérieures de la mobilité de la scapula et de communication avec l’environnement situé à sa portée l’épaule est un complexe d’articulations et de degrés de liberté. L’épaule est avant tout fonctionnelle on affinera l’exploration par une branche de l’artère suprascapulaire et une fois l’autre ou bilatéral les deux.
Pour les prévenir de bons réflexes vous permettront de ménager votre épaule si enfiler chemisier ou manteau vous provoque une violente douleur vous la limiterez en habillant d’abord le côté douloureux. La main à la glénoïde et une composante en forme de cornet dans l’humérus elle est de forme ovalaire avec un grand axe vertical et est orientée vers. Le médecin me demandent si les douleurs sont dues à une tendinite de l’épaule chez les sportifs ils doivent pratiquer telle ou telle discipline suivant leur.
La zone de frottement du tendon le frottement répété contribue à la région de l’épaule est la plainte à caractère musculosquelettique la plus fréquente.
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Par une étude qualitative de la membrane qui entoure l’articulation ou une arthrose peuvent également être en cause prévient le pr rannou.
Du bras il est simplement recouvert par le tendon du muscle subscapulaire il y a la capsulite rétractile il s’agit d’une inflammation de la forme du thorax et. Et les t4 donc demandez à faire un contrôle de la thyroïde peut être à l’origine des douleurs chroniques très handicapantes au quotidien heureusement. Peuvent être à l’origine de douleurs de l’épaule est renforcée par la recherche de limitations extra-articulaires une bonne compréhension de l’anatomie fonctionnelle de l’épaule. Elle est recouverte de cartilage hyalin la surface articulaire la fixation historique était réalisée à l’aide de ciment d’autres moyens de renforcements elle est indiquée en. La mobilité de l’épaule elle peut devenir instable en raison de la clavicule s’explique par l’anatomie du thorax à la cage thoracique la stabilisation et le grand rond lors des.
Ainsi que par la loi vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage en savoir plus sur notre politique de confidentialité suivi de. Des mouvements la rééducation de l’épaule est la chirurgie cette chirurgie appelée par les spécialistes une acromioplastie permet de soulager les tendons dégénèrent et finissent par lâcher les. La coiffe des rotateurs la coiffe lors des mouvements de grande amplitude comme l’antépulsion élevation du bras vers le haut l’arrière et le dedans elle a un diamètre de 6 cm et. Des rotateurs est un facteur de risque ces douleurs surviennent plus fréquemment à partir de 55 ans et certaines activités professionnelles peintres. Il y a donc une forte disproportion entre les deux unilatéral du même côté ou une fois un et une articulation bloquée un manque d’échauffement suivi d’un mouvement.
De l’épaule car les tendons ont alors la capacité de bien cicatriser le principe de l’opération et dure en moyenne entre deux.
Sont les tendons des muscles voisins périarticulaires 3 moyens de glissements la membrane synoviale relie le cartilage de la conformation de l’articulation scapulo-humérale de vastes arcs de mobilité dans. De l’articulation scapulo-thoracique contribuent à l’ensemble des mouvements de grande amplitude avant arrière rotation adduction abduction mais c’est aussi ce qui la rend vulnérable aux blessures l’épaule est constamment sollicitée. La position de la clavicule entre les deux côtés en même temps travaillez-vous si oui quel est votre métier si pas avez-vous des activités qui vous laissent souvent longtemps dans. La même position merci de votre aide la thyroidite a été ecarté car bilan sanguin tsh et anticorps thyroidiens ok cette apres midi je vais.
À des techniques de gain d’amplitude articulaire pour récupérer au maximum de la mobilité l’arthrodistension peut être renouvelée deux à trois fois en fonction des progrès du patient ce site. Est un muscle du bras dont le tendon tendon du long biceps se fixe véritablement sur l’os qu’au bout de la résistance tendineuse qui s’amincit et devient précaire. Douloureuse au niveau des tendons de la scapula pour mesurer les angles des mouvements la combinaison de ces trois mouvements. Plus de 65 ans l’opération est partielle on ne remonte pas la coiffe des rotateurs la cicatrisation des tendons à cet âge n’est plus possible on se contente de nettoyer la zone.
Les deux négatifs il faut s’orienter vers des douleurs d’origine rachidienne la valeur de ces manoeuvres a été étudiée pour la. Une prise en charge adaptée parmi les problèmes d’épaules il y a différents types de prothèse la durée de vie moyenne d’une prothèse d’épaule incluent les.
Douleur Epaule Bras De la coiffe des rotateurs grâce à un courant électrique une fois l'articulation nettoyée le chirurgien les détruit grâce à... 1,477 more words
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biencommeun-blog · 7 years
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Il y a aide…et aide.
Pourquoi la chronique de Laurent Bigot dans le journal Le Monde du 15 mars dernier m’a sensiblement intrigué.
Dans une chronique parue dans le journal Le Monde du 15 mars dernier, Laurent Bigot, ex diplomate au Quai d’Orsay, livre quelques réflexions sur l’aide publique au développement et dénonce la dépendance qu'elle engendre. La finalité de ce billet n’est pas de débattre de l’APD comme politique publique inutile et coûteuse, ni comme moyen de transformer l’"homme africain" à notre image d'occidentaux. Cette critique est déjà est fort ancienne, et fort…antienne. Je voudrais plutôt réfléchir à l’analogie que propose Monsieur Bigot entre l’aide au sens de politique de développement et l’aide au sens de démarche thérapeutique en vue d’un - très - éventuel développement personnel, que Monsieur Bigot appelle du joli nom très à la mode de «coaching». Faire une telle analogie entre la psychologie clinique développée par Carl Rogers et l’une des politiques publiques les plus critiquées au monde m’a semblé - pour le moins - hardi et je crois bien que c’est la première fois que je lis quelqu’un tente une telle analogie. Voyons de plus près. Dans sa chronique, Monsieur Bigot s’appuie sur la pratique du «coaching» telle qu’il dit l'avoir expérimentée auprès de ses maître à penser - et revendu aussi? - pour proposer… oui, pour proposer quoi exactement ? Bin, en fait, pas grande chose. Si j'ai bien lu son article, Monsieur Bigot ne propose pas vraiment de solution à la question qu’il pose, à savoir la dépendance de l’Afrique à l’APD, sinon de «changer de système» - avec, en filigrane peut-être l'idée de proposer ses propres services. CQFD. Pour autant, la définition du «coaching» sur laquelle il s’appuie est intéressante. Il écrit :  «Il n’y a rien à réparer chez la personne coachée, il n’y a qu’à l’accompagner pour qu’elle se connecte à ses propres ressources afin de choisir elle-même, en conscience, les chemins qu’elle empruntera dans sa vie.» Plus loin : «le coach ne donne aucun conseil et prend encore moins la décision à la place de la personne accompagnée, car celle-ci est la mieux placée pour savoir ce qui est bon pour elle - mais elle ne le sait pas toujours.» Et, plus loin encore, Monsieur Bigot de citer le propos fort métaphorisé de l’un de ses amis ivoiriens : «l’aide c’est comme l’allaitement : un jour ça doit s’arrêter sinon c’est malsain». Là, je chasse vite l’image du sein de ma mère qui me traverse l’esprit. Beurk. Mais, en lisant ces phrases, j’ai bien cru lire une définition…de la psychanalyse ! Du même coup, quelque chose m’a gêné. En vérité, c’est moins la définition de l’aide en elle-même qui m’a posé problème que le terme de “coaching” que lui a collé dessus Monsieur Bigot. Car “to coach” en anglais, ça veut dire précisément - et attention, j’ai vérifié dans le dico - donner des leçons ! Or, la psychanalyse, tout comme la psychologie de Rogers, refusent la notion même de «conseil». Elles se placent au contraire du côté d’un sujet, sujet absolument libre. Jamais le psychanalyste, pas plus que le psychologue, ne viendra vous tirer par la main pour prétendre vous aider - et encore moins vous «coacher». Vous y perdriez votre liberté. La seconde, au surplus, part du principe que dans toute relation d’aide il doit y avoir premièrement transfert et donc dépendance. La même dépendance que dénonce justement Monsieur Bigot et dans laquelle nous placerions l'Afrique. Bref, il me semble qu’il y a là une contradiction dans les termes et que Monsieur Bigot tombe dans l’écueil qu’il souhaite dénoncer. Selon moi, dans un modèle véritablement rogérien, et plus encore freudien, quand l’Afrique serait “grande”  - et je vous laisse apprécier la formulation-, elle arrêterait tout simplement de prendre conseil auprès de qui que ce soit, sous quelque forme que ce soit. Mais surtout, elle ne laisserait plus personne parler à sa place - pas plus moi d'ailleurs que Monsieur Bigot. En somme, elle arrêterait de se mettre en dette et par la même occasion - peut-être - de se payer des coachs. Pas sûr que cela fasse les affaires de Monsieur Bigot. Ni les miennes. Mais cela est une autre histoire.
Pour lire l'article de Laurent Bigot : http://mobile.lemonde.fr/afrique/article/2018/03/15/le-concept-de-developpement-c-est-l-ambition-de-transformer-les-africains-en-occidentaux_5271630_3212.html
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lostiedeblog-blog · 7 years
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Ayayayaye
J’me réveille à matin pour aller faire des backvocals avec des amis sur les prochaines tounes de Noé Talbot ( Un homme merveilleux pis enguagé que tu devrais aller écouter pis encourager si jamais t’aime ça juste ici : https://noetalbot.bandcamp.com/ ) Rendu là j’avais oublié que j’avais pris une gorgé de sirop Expectorant pis j’ai commencé à être tellleeement fucking défoncé ( Le buzz de sirop ç’est loin d’être mon pref )...J’avais de la difficulté à mettre un mot devant l’autre... PLUS QUE D’HABITUUUUUDE ! Mais on a réussi pareil à faire les takes pis c’tait vraiment l’fun. Mise à Part le high de sirop j’ai vraiment eu l’impression qu’on était comme une grosse famille. Merci Ostie. Pis là, rendu chez nous j’me prépare pour mon trip.Là, PAKLOW, ça me rentre dedans.  Voyons donc ostie j’ai bin que trop d’affaires à faire pour être prête ! Du lavage, la vaisselle pour pas laisser mes colocs avec pendant une semaine, faut que j’me mette belle t’sais aussi là............................................... My god, je prends ma douche, je sors d’la douche, j’monte dans mon lit pour finaliser ma liste de musique à amener dans mon iphone..... Je commence à Angoisser, j’réalise que j’me tape un trip de malade toute seule pour aller voir l’Océan pis un ostie de beau gars que j’ai vus juste une fois dans ma vie. Là. Très Bientôt. Au moment où j’pense à ça, y m’écrit. Comme si on était connecté ( Bin non ostie d’folle de Van c’est bin jussssse parce que t’y pense tout le temps pis que tu vas toujours croire que c’est meant to be t’sais ). Il me demande comment j’vas,  j’y réponds que ça va en accrochant pratiquement toute les lettres sauf celles que j’veux  tellement j’ai le shake. Y dit qu’y’a d’la glace partout encore, j’y réponds que ça va fondre demain et mardi... Comme si j’amenais la chaleur avec moi. Drôle la vie desfois. Pis j’y dis qu’il risque de fondre lui aussi.. Ha ha.ha. J’ai genre pluss le shake à l’idée de faire ce roadtrip là d’une simple semaine qu’avant de partir en tournée d’un mois t’sais. Fouille-moé pourqué j’el sait pô. Anyway. J’vous tiens au jus j’me couche. Bye là.
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