Tumgik
#ce film était si doux <3
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14 / 02 / 2024
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Chers lecteurs ! Joyeuse Saint-Valentin 🌹💞
Vous ne le savez peut-être pas mais je n'ai jamais célébré cette journée en couple, alors j'ai imaginé une histoire sur ce que j'aurais aimé vivre, comme je l'ai fait les années précédentes.
Aujourd'hui je publie une histoire inspirée par "l'art" (illustrations créées par Intelligence Artificielle) de @dragonslayher sur Deviantart. Il a représenté le chanteur / acteur Ross Lynch (âgé actuellement de 28 ans) et l'acteur Tom Holland (âgé de 27 ans) étant en couple au lycée. Si cette histoire vous plaît je publierais certainement ce qui s'est passé avant (Chapitre 1) et après (Chapitre 3) cette histoire (Chapitre 2).
Dans cette histoire, c'est un univers parallèle où Tom âgé de 17 ans et Ross âgé de 18 ans, avec leur différence de taille actuelle, auraient été ensemble au lycée et amoureux. Il est plus facile pour moi d'imaginer Tom Holland comme un mignon garçon dominé plutôt que comme un dominant, même si je l'ai déjà décrit ainsi dans des histoires précédentes.
Je suis également excité par Ross Lynch et je l'ai décrit ici comme un sportif géant et dominant. Vous pouvez également imaginer cette histoire comme ce qu'aurait été un film entre ces deux magnifiques acteurs.
J'ai mis cette histoire parmi celles sur les CÉLÉBRITÉS AMOUREUSES mais ce ne sont pas ici les réelles stars qui sont mises en scènes mais des variants de réalités parallèles, c'est-à-dire dans un autre monde.
Je dédie cette histoire à tous les célibataires, en vous souhaitant de passer une bonne soirée seul et en espérant que mon histoire vous apportera de la joie. 😊
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
CÉLÉBRITÉS AMOUREUSES #16
ROSS LYNCH x TOM HOLLAND
LE GRAND SPORTIF ET SON PETIT GARS
CHAPITRE 2 - SAINT-VALENTIN AU LYCÉE
Tom Holland était un joli pompom boy de son lycée. Il n'avait d'yeux que pour son amoureux, le quaterback Ross Lynch. Ross Lynch était le plus bel homme du lycée, car il était le plus grand et le plus musclé. Avec son long nez droit, son sourire étincelant, son odeur chaude de sueur masculine, ses doux cheveux blonds magnifiquement coiffés, ses yeux bleu charmants, il avait tout d'un prince. Capitaine et quaterback de l'équipe de soccer du lycée, il était littéralement le Roi du lycée, car il dépassait tout le monde de minimum une tête, alors personne n'osait le contredire ou lui manquer de respect. Et pourtant, cet homme magnifique, naturellement autoritaire et qui n'avait pas besoin d'élever la voix pour être obéi des professeurs comme des élèves, était bisexuel.
Oui, et il était depuis récemment le fier petit ami de Tom Holland, un garçon cheerleader! Celui-ci ne pouvait y croire : depuis son premier jour au lycée, il était immédiatement tombé amoureux de Ross Lynch sans même avoir entendu le soix de sa voix, n'avoir respiré l'odeur de sa sueur, goûté à son corps, masser ses muscles ou tout simplement avoir pu lui parler ou l'écouter. Depuis, Tom Holland avait fait toutes ces choses, et personne n'avait plus jamais embêté le mignon petit garçon depuis qu'il était officiellement l'amoureux de Ross Lynch. Car, quel contraste il y avait entre eux !
Âgé d'un an de moins que Ross Lynch, Tom Holland était un joli garçon de 17 ans, un peu musclé mais avec un petit cul rond, alors que Ross était très musclé et avait un gros cul ; des cheveux bruns quand ceux de Ross sont blonds ; des yeux marrons alors que ceux de Ross sont noisettes... Mais la différence notable et majeure est la taille : même si Tom Holland mesure 1 m 69, ce qui est raisonnable, il a l'air minuscule comparé à Ross Lynch, qui mesure 1 m 83, donc plus d'une tête de plus que son amoureux.
Ross Lynch étant désiré de la quasi totalité des lycéens, beaucoup avaient espéré qu'un grand mâle blanc dominant et sportif, bon élève et séducteur, ne soit pas intéressé par ce garçon insignifiant. L'inverse s'était produit. C'est justement le caractère discret de Tom Holland, son aspect de mignon petit garçon doux et rieur qui avait plu à Ross Lynch. Il voulait être protecteur envers son garçon, qui, quoiqu'agé d'un an de moins que lui seulement, était son bien le plus précieux. Par amour et adoration envers, Tom Holland avait rejoint l'équipe de cheerleaders dans l'unique but de pouvoir admirer la musculature de son gigantesque petit ami.
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Voir et entendre son petit ami donner des ordres à ses coéquipiers émoustillait toujours Tom Holland, qui savait qu'il était la petite chose de son mec. Pouvoir respirer l'odeur de sa chaude sueur virile était une belle récompense pour toutes ces heures dépensées à apprendre des chorégraphies et des chansons dont le seul but était de glorifier la puissance et la beauté des athlètes dont Ross Lynch était le capitaine. Devenu le petit-ami du roi du lycée qui était candidat à sa propre réélection pour le prochain Bal de Promo, Tom Holland avait gagné en popularité auprès des lycéens.
En ce 14 février, jour de la Saint-Valentin, Tom Holland était dans un couloir, vêtu de son uniforme de pompom boy composé dun tee-shirt moulant aux manches courtes et d'une jupe plissée arrivant bien au-dessus des genoux. Ce contraste entre la masculinité des bras musclés de son petit ami et sa féminité par sa jupe excitait Ross Lynch, ouvertement bisexuel. Cela avait pour effet que les garçons et les filles du lycée rêvaient presque tous d'être en couple avec lui. Mais, même si certains espéraient toujours qu'ils rompent, la beauté du couple que formaient Ross et Tom avaient fini par les convaincre de la sincérité de leurs sentiments.
Des pas affirmés retentirent dans le couloir. Ross Lynch, l'homme le plus grand du lycée, était gigantesque pour son âge et tout le monde baissait la tête en signe de respect ou alors osait admirer la perfection de son visage. D'une allure assuré et un peu arrogante, Ross Lynch arriva au niveau du casier de son grand amour.
ROSS LYNCH : "Comment va mon bébé aujourd'hui 😏 ?"
Tom se retourna et sourit immédiatement en voyant son divin amoureux. Le haut de la tête de Tom arrivait à peine au-dessus des impressionnants pectoraux de son amant. Pour se regarder les yeux dans les yeux, Ross Lynch devait baisser la tête et Tom devait la lever.
TOM HOLLAND : "Mieux maintenant que je te vois 😁."
ROSS LYNCH : "Bonne réponse, bébé."
Vêtu de son teddy en cuir, d'un jean qui moulait son gros cul rond et son immense bite juteuse et ses couilles pleines, Ross Lynch avait un bras posé contre les casiers, empêchant des losers de s'en approcher tant qu'il se trouvant devant. Il adorait contempler son garçon de haut pour le voir le regarder avec adoration.
ROSS LYNCH : "Viens là, tu mérite ton bisou."
Ross Lynch prit Tom Holland par la taille, et le colla contre lui pour embrasser son front, son nez et ses oreilles, faisant rire son petit ami.
TOM HOLLAND : "Et moi ? 😅"
ROSS LYNCH : "Quoi, "toi" ?"
TOM HOLLAND : "Je n'ai pas le droit de t'embrasser, s'il te plaît ?"
ROSS LYNCH : "Je vais devoir y réfléchir... Mais non je rigole, ne fait pas cette tête, bébé ! Tu as le droit à un baiser !"
Tom embrassa le cou chaud de son amoureux et en profita pour respirer l'odeur de sueur masculine.
ROSS LYNCH : "Viens, on doit aller en cours."
Ce matin là, Tom avait le bonheur d'avoir un cours commun avec Ross Lynch, qui avait un an de plus que lui. Les deux amants en profitèrent pour s'asseoir l'un à côté de l'autre. Tout au long du cours, Tom Holland regardait, admiratif, la perfection du visage de Ross Lynch, se demandant pourquoi il ne lui avait encore rien offert en ce jour particulier de la Saint-Valentin, leur première ensemble. Autour de lui des roses et des boîtes de chocolats, des cartes et des ballons, des bonbons et des peluches étaient échangés entre les amoureux. Lui n'avait rien reçu.
Ross Lynch avait-il oublié ? Impossible, car en temps que Président des élèves - un de ses innombrables titres au lycée - il dirigeait le comité d'organisation des fêtes du lycée : les ballons et les guirlandes roses et rouges ornaient les portes et les plafonds du lycée.
Tom se demandait s'il était puni d'une quelconque désobéissance envers Ross, s'il avait manqué de respect, s'il n'avait pas assez bien massé ses longs pieds ou sucé sa belle bite la dernière fois qu'ils avaient passés un moment intime.
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Perdu dans ses pensées, Tom Holland n'entendit par la professeur dire : "Tom, je sais que Monsieur Lynch est le plus bel homme qui ait jamais vécu sur Terre, que MichelAnge doit être triste de ne pas l'avoir eu pour modèle et que nous passerions tous nos journées entières à admirer sa magnifique splendeur, mais, mais, tu dois te concentrer un peu plus sur le cours et un peu moins sur la perfection de son visage !"
Cette intervention provoqua un léger rire, mais respectueux, sans moquerie, car quiconque aurait manqué de respect au petit ami aurait définitivement perdu l'usage d'un bras ou d'une jambe. Ross Lunch prit la douce petite main de Tom dans la sienne qui en mesurait quasiment le double pour le rassurer.
Après une journée à espérer n'importe quel cadeau de la part de l'homme de ses rêves, Tom se résigna, craignant que Ross Lynch, fidèle à sa réputation de séducteur, ne le quitte le jour de la Fête des Amoureux. En sortant du lycée, il vit Ross appuyé contre sa voiture.
"Monte.", lui dit Ross d'un ton calme mais qui ne supposait aucune réponse.
En petit ami obéissant, il voulait plaire à son géant. Il monta en voiture, et Ross lui claqua ses petites fesses avant de fermer la portière. Il aimait cette sorte d'androgynie chez Tom, le fait que Tom soit petit et mince avec une jupe courte comme une fille, musclé aux cheveux courts comme un gars. Il posa son long bras musclé derrière la nuque de Tom et l'embrassait sur la joue de temps à autre. Tom Holland ne savait pas à quoi s'attendre de la part de Ross Lynch.
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Ils arrivèrent dans une forêt, et, avant qu'ils ne se garent, Ross mit un ruban sur les yeux de Tom. Il lui demanda de s'habiller sans regarder. C'était un pantalon, un tee-shirt blanc et un gilet en cuir.
Une fois arrivés à destination, Ross guida Tom, lui mit une chaîne autour du cœur dont il se servir comme une laisse pour guider Tom Holland derrière lui comme s'il était son toutou. Tom Holland se considéré comme la propriété de Ross, il voulait lui appartenir pour l'éternité, alors être son animal de compagnie ne le dérangeait pas.
Pourtant lorsqu'il sentit les bras puissants de Ross le porter pour les derniers mètres, il comprit. Oui, la surprise. Celle qu'il espérait tant. Ross le posa à terre, retira le ruban et Tom découvrit une table sut une plate-forme recouverte de pétales de roses rouges, des bougies cachées dans des buissons, des plats délicieux les attendaient. Ross avait envoyé ses serviteurs préparer le lieu, mais c'est lui qui l'avait conçu et choisi le menu que ses cuisiniers personnels avaient faits. Tom eut les larmes aux yeux en voyant ça : jamais personne ne lui avait aussi élégamment témoigné de l'amour !
Ross prit la laisse de Tom et le guida à table, où les deux amoureux dégustèrent les mets fins, s'amusant à se mettre les plats dans la bouche de l'autre.
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Ross se leva, embrassa son mignon petit garçon et l'emmena regarder la nuit étoilée. Ross s'allongea contre un arbre. Il prit Tom dans ses bras, si fort qu'il pouvait aisément supporter le poids du corps du léger et mignon Tom sur lui, lui caressant ses cheveux bruns. 
TOM HOLLAND : "Merci de m'avoir emmené voir les étoiles, mais j'ai la chance d'en admirer une tout les jours : toi."
Narcissique, Ross aimer la flatterie. Surtout si elle venait du mignon petit garçon qui le voyait comme un dieu vivant et pour qui il aurait tué sans remord. 
ROSS LYNCH : "C'est bien. Continue." 
TOM HOLLAND : "Je n'ai pas besoin d'être éclairé par le Soleil si tu es face à moi." 
ROSS LYNCH : "Pas mal. Ne t'arrête pas." 
TOM HOLLAND : "Je mourrai si je ne pouvais pas te voir. Je t'aime plus que tout au monde, tu es un diamant, rien ni personne ne t'égale, je t'aime, merci d'être mon amoureux..." 
ROSS LYNCH : "Ça va, bébé, ça va ! Gardes en pour la prochaine Saint-Valentin. D'ici là tu auras le temps de t'améliorer en flatterie. Quand on est le petit ami d'un dieu on doit être reconnaissant."
 TOM HOLLAND : "Je le suis ! Je ferais tout pour toi !"
 ROSS LYNCH : "Tommy, mon bébé, tu es le plus mignon, le plus doux des garçons qu'un roi comme moi puisse désirer. Quiconque te fera le moindre mal subira d'atroces représailles. Tu es plus précieux à mes yeux que le plus pur des diamants."
Tom s'en voulait d'avoir voulu un cadeau : Ross Lynch est à lui-même un cadeau ! Celui-ci se pencha pour embrasser Tom Holland quand...
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Un rot tonitruant sentant la viande et le chocolat souffla sur le visage de Tom, dont la joli petite mèche se retourna en raison de la puissance du rot. Ross Lunch hurla de rire d'avoir roté au visage de son garçon, mais Tom respirait l'odeur de la bouche de Ross et le remercia pour son rot : tout ce qui venait de Ross Lynch était précieux et devait être apprécié.
Le beau maître gazeux, tenant toujours la chaîne en main, admira les étoiles en compagnie de son adorable petit garçon, et Tom s'endormit dans ses bras musclés, au comble du bonheur en cette Saint-Valentin.
 FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
Dear readers ! Happy Valentine's day 💞🌹
You may not know it but I've never celebrated this day being in couple, so i imagined a story about what I would have liked to live, as i did in the previous years.
Today I'm publishing a story inspired by the "art" (illustrations created by Artificial Intelligence) of @dragonslayher on Deviantart. It depicted singer/actor Ross Lynch (currently 28 years old) and actor Tom Holland (aged 27) being a couple in high school. In this story, it's a parallel universe where Tom aged 17 and Ross aged 18, with their current height difference, would have been in high school together and in love. It's easier for me to imagine Tom Holland as a cutie boy dominated rather than as a dom, even though I've already described him that way in previous stories.
I am excited by Ross Lynch too, and I've described him here as a giant dominant jock. You can also imagine this story as what a movie would have been between these two gorgeous actors 🥵.
It's a story about CELEBRITIES IN LOVE but it's not the real versions of the stars here, more variants from a parallel universe.
I dedicate this story to all the single persons, wishing you to spend a good evening alone and hoping my story will bring you joy. 😊
If you like this story I will definitely post what happened before (Chapter 1) and after (Chapter 3) this story (that's why it's already Chapter 2).
PERSONAL FICTIONAL STORY
CELEBRITIES IN LOVE #16
ROSS LYNCH x TOM HOLLAND
- THE TALL JOCK AND HIS SMALL BOY - CHAPTER 2 - HIGH SCHOOL'S VALENTINE'S DAY
Tom Holland was a pretty cheerleader at his high school. He only had eyes for his lover, quarterback Ross Lynch. Ross Lynch was the most handsome man in school because he was the tallest and most muscular. With his long straight nose, his sparkling smile, his warm smell of male sweat, his soft, beautifully styled blond hair, his charming blue eyes, he had everything of a prince. Captain and quarterback of the high school soccer team, he was literally the King of the school, because he was at least a head taller than everyone, so no one dared to contradict him or disrespect him. And yet, this magnificent man, naturally authoritarian and who did not need to raise his voice to be obeyed by teachers and students alike, was bisexual.
Yes, and he was most recently the proud boyfriend of Tom Holland, a boy cheerleader!
Tom couldn't believe it: since his first day in high school, he had immediately fallen in love with Ross Lynch without even having heard the six of his voice, having breathed the smell of his sweat, tasting his body, massaging his muscles or simply being able to talk to him or listen to him. Since then, Tom Holland had done all these things, and no one had ever bothered the cute little boy since he was officially Ross Lynch's love interest. Because what a contrast there was between them!
A year younger than Ross Lynch, Tom Holland was a pretty boy of 17, a little muscular but with a small round ass, while Ross was very muscular and had a big ass; brown hair when Ross's is blond; brown eyes while Ross's are hazel... But the notable and major difference is the height: even if Tom Holland measures 1 m 69, which is reasonable, he looks tiny compared to Ross Lynch, who measures 1 m 83, so more than a head taller than her lover. Ross Lynch being desired by almost all high school students, boys and girls, many had hoped that a tall, dominant and athletic white male, a good student and seducer, would not be interested in this insignificant boy.
The opposite had happened. It was precisely the discreet character of Tom Holland, his appearance as a cute, sweet and laughing little boy that appealed to Ross Lynch. He wanted to be protective of his boy, who, although only a year younger than him, was his most precious possession. Out of love and adoration, Tom Holland had joined the cheerleading team for the sole purpose of being able to admire the muscles of his gigantic boyfriend.
Seeing and hearing his boyfriend giving orders to his teammates always excited Tom Holland, who knew he was his boyfriend's little thing. Being able to breathe in the smell of his warm virile sweat was a great reward for all those hours spent learning choreographies and songs whose sole purpose was to glorify the power and beauty of the athletes of which Ross Lynch was the captain. Having become the boy of the high school school's king, who was a candidate for his own re-election for the next Prom, Tom Holland had gained popularity among high school students.
On February 14, Valentine's Day, Tom Holland was in a hallway, dressed in his cheerleader uniform consisting of a tight-fitting short-sleeved T-shirt and a pleated skirt reaching well above the knees. This contrast between the masculinity of his boyfriend's muscular arms and his femininity through his skirt excited Ross Lynch, openly bisexual. This had the effect that the boys and girls in high school almost all dreamed of being in a relationship with him. But, even if some still hoped that they would break up, the beauty of the couple that Ross and Tom formed had finally convinced them of the sincerity of their feelings.
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Assertive footsteps sounded in the hallway. Ross Lynch, the tallest man in school, was gigantic for his age and everyone either bowed their heads in respect or dared to admire the perfection of his face.
With a confident and slightly arrogant look, Ross Lynch arrived at his great love's locker.
ROSS LYNCH: “How is my baby today 😏?”
Tom turned around and immediately smiled upon seeing his divine lover. The top of Tom's head barely came above his lover's impressive pecs. To look each other in the eye, Ross Lynch had to lower his head and Tom had to raise it.
TOM HOLLAND: “Better now that I see you 😁.”
ROSS LYNCH: “Good answer, baby.”
Dressed in his leather teddy, jeans that hugged his big round ass and his huge juicy cock and his full balls, Ross Lynch had one arm resting against the lockers, preventing losers from approaching him as long as he was finding in front. He loved looking down on his boy to see him look at him with adoration.
ROSS LYNCH: “Come here, you deserve your kiss.”
Ross Lynch grabbed Tom Holland by the waist, and pulled him close to kiss his forehead, nose and ears, making his boyfriend laugh.
TOM HOLLAND: "And me? 😅"
ROSS LYNCH: "What, 'you'?"
TOM HOLLAND: “Am I not allowed to kiss you, please? 😊”
ROSS LYNCH: "I'll have to think about it... 🤔But no, I'm kidding, don't make that face, baby! 😂 You have the right to do one kiss!"
Tom kissed his lover's warm neck and took the opportunity to breathe in the scent of male sweat.
ROSS LYNCH: “Come on, we have to go to class.”
That morning, Tom had the pleasure of having a joint class with Ross Lynch, who was a year older than him. The two lovers took the opportunity to sit next to each other. Throughout the class, Tom Holland stared in awe at the perfection of Ross Lynch's face, wondering why he hadn't given her anything yet on this special Valentine's Day, their first together. Around him roses and boxes of chocolates, cards and balloons, sweets and stuffed animals were exchanged between the lovers. He had received nothing.
Had Ross Lynch forgotten? Impossible, because as Student President - one of his countless titles at high school - he headed the organizing committee for the high school celebrations: balloons and pink and red garlands decorated the doors and ceilings of the high school.
Tom wondered if he was being punished for any disobedience to Ross, if he had been disrespectful, if he hadn't massaged his long feet well enough or sucked his beautiful cock well enough too, the last time they hung out.
Lost in his thoughts, Tom Holland did not hear the professor say: "Tom, I know that Mr. Lynch is the most beautiful man who ever lived on Earth, that Michelangelo must be sad not to have had him as a model and that we would all spend our entire days admiring his magnificent splendor, but, but, you need to concentrate a little more on the lesson and a little less on the perfection of his face!”
This intervention provoked a slight laugh, but respectful, without mockery, because anyone who had disrespected the boyfriend would have definitely lost the use of an arm or a leg. Ross Lunch took Tom's soft little hand in his, which was almost twice the size, to reassure him.
After a day of hoping for any gift from the man of his dreams, Tom resigned himself, fearing that Ross Lynch, true to his reputation as a seducer, would leave him on Lovers' Day. As he left the school, he saw Ross leaning against his car.
"Come up.", Ross told him in a calm tone but which did not assume any response.
As an obedient boyfriend, he wanted to please his giant. He got into the car, and Ross smacked his little butt before closing the door. He liked this kind of androgyny in Tom, the fact that Tom was short and thin with a short skirt like a girl, muscular with short hair like a guy. He put his long muscular arm behind Tom's neck and kissed him on the cheek from time to time.
Tom Holland didn't know what to expect from Ross Lynch. They arrived in a forest, and, before they parked, Ross put a ribbon over Tom's eyes. He asked him to dress without looking. It was pants, a white t-shirt and a leather vest.
Once at their destination, Ross guided Tom, put a chain around his heart which he used as a leash to guide Tom Holland behind him as if he were his dog. Tom Holland considered himself Ross's property, he wanted to belong to him for eternity, so he didn't mind being his pet. Yet when he felt Ross' strong arms carrying him for the last few meters, he understood.
Yes, the surprise. The one he hoped for so much. Ross put him on the ground, removed the ribbon and Tom discovered a table on a platform covered with red rose petals, candles hidden in bushes, delicious food waiting for them. 🌹
Ross had sent his servants to prepare the place, but it was he who had designed it and chosen the menu that his personal cooks had made. Tom had tears in his eyes when he saw this: no one had ever shown him love so elegantly!
Ross took Tom's leash and guided him to the table, where the two lovers tasted the fine dishes, having fun putting the dishes in each other's mouths.
Ross got up, kissed his cute little boy and took him to watch the starry night. 🌌
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Ross lay down against a tree. He hugged Tom, so tight that he could easily hold the weight of the light, cute Tom's body on top of him, stroking his brown hair.
TOM HOLLAND: “Thank you for taking me to see the stars, but I have the chance to admire one every day: you.”
Narcissistic, Ross loves flattery. Especially if it came from the cute little boy who saw him as a living god and for whom he would have killed without remorse.
ROSS LYNCH: "That's good. Keep going."
TOM HOLLAND: "I don't need to be lit by the Sun if you're facing me."
ROSS LYNCH: "Not bad. Don't stop."
TOM HOLLAND: "I would die if I couldn't see you. I love you more than anything in the world, you are a diamond, nothing and no one equals you, I love you, thank you for being my lover.. ."
ROSS LYNCH: "It's okay, baby, it's okay! Save some for next Valentine's Day. Until then you'll have time to get better at flattery. When you're the boyfriend of a god you have to be grateful."
TOM HOLLAND: "I am! I would do anything for you!"
ROSS LYNCH: "Tommy, my baby, you are the sweetest, sweetest boy a king like me could want. Anyone who does you the slightest harm will suffer terrible retaliation. You are more precious to me than the purest of diamonds."
Tom was angry with himself for having wanted a gift: Ross Lynch is a gift to himself! He leaned over to kiss Tom Holland when...
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A thunderous belch smelling of meat and chocolate blew into Tom's face, whose pretty little locks flipped due to the power of the burp. Ross Lunch howled with laughter for burping in his boy's face, but Tom breathed in the scent of Ross's mouth and thanked him for the burp: anything from Ross Lynch was precious and should be appreciated.
The handsome gassy master, still holding the chain in his hand, admired the stars in the company of his adorable little boy, and Tom fell asleep in his muscular arms, at the height of happiness this Valentine's Day.
END OF THE STORY
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ernestinee · 1 year
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Chroniques de l'oiseau à ressort, Murakami
Le chant d'Achille, Madeline Miller
1q84, tomes 2 et 3, Haruki Murakami
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Rocky, dernier rivage, Thomas Gunzig
Les déraisons, Odile d'Outremont
Envol, Kathleen Jennings
Fables livre 1, Bill Willingham et Mark Buckingham
La danse des damnées, Kiran Milwood Hargrave
Un apprentissage ou le livre des plaisirs
Terminées:
1. Le soleil, la mer et les étoiles, Iulia Bochis
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C'est poétique et c'est plein de bons sentiments si tu n'as jamais mis un pied dans le développement personnel, l'introspection ou les phrases motivantes sur Pinterest. Sinon ça se lit trop vite, et personnellement ça n'a pas eu grande utilité sur moi. C'est super joli par contre, un dessin simple et frais, et si on est d'humeur contemplative, ça mérite vraiment de réfléchir la petite phrase en se remplissant de l'ambiance de la page.
2. Le livre des soeurs, Amélie Nothomb
Depuis Hygiène de l'assassin en 1992, j'avais donc 12 ans, j'ai lu religieusement tous les livres d'Amélie Nothomb, je me souviens avoir entendu une interview et avoir été frappée par la clarté et la musique de sa voix, et depuis toutes ces années, c'est sa voix que j'entends lorsque je la lis, et ça donne à ses livres une dimension qu'il n'y a pas avec les autres, alors je ne suis peut-être pas objective dans ce que j'en dirai, et évidemment j'ai aimé ce livre. C'est l'histoire d'une famille, en particulier de deux sœurs qui s'adorent et grandissent très autonomes dans un contexte où les parents sont tellement amoureux l'un de l'autre qu'ils ne s'occupent pas de leurs deux filles. Tout gravite autour de ces deux soeurs que l'on voit grandir à travers tout ce qu'il peut se passer dans une vie, et en particulier autour de l'aînée qui grandit avec la certitude d'être terne.
3. Ciao bella, Serena Giuliano
On suit Anna, et ses craintes, ses doutes, ses phobies, ses angoisses et sa psy, dans une vie chamboulée dès l'enfance. On suit les moments de réflexion et de révolution dans sa vie, le pardon, les amies, la famille, les enfants. C'est doux et drôle comme les confidences d'une amie, c'est émouvant comme d'être face à ses propres solutions. Je l'ai lu vite et pourtant j'ai la sensation de l'avoir savouré.
4. Une cosmologie de monstres, Shaun Hamill
C'est l'histoire d'une famille narrée par le fils. Pendant la moitié du bouquin, il raconte des choses qui se déroulent alors qu'il n'est pas encore né. La rencontre de ses parents, la naissance de ses soeurs, la vie quotidienne dans une ambiance un peu particulière car les parents sont amateurs de films, de livres et de bd d'horreur. Il y a des petits signes paranormaux par moments mais qui s'intègrent bien dans cette ambiance et qui permettent d'entrer doucement dans l'angoisse car on finit par trouver ces indices plausibles, et s'identifier un peu. Des malheurs leur tombent dessus, comme si la famille était touchée par une malédiction. La folie de la grand-mère, la maladie du père dont le cerveau déraille petit à petit à cause d'une tumeur.
Ensuite le narrateur, Noah, nait, le père meurt peu après et les malheurs continuent. L'autre partie du livre commence, celle où tout se noue, se dénoue pour mieux s'emberlificoter encore. La pression est plus intense, les évènements sont de plus en plus paranormaux et j'ai tourné les pages avec impatience, j'ai lu de nuit, en voiture, dès que je pouvais, mon doigt était prêt à tourner la page de droite alors que je commençais seulement la page de gauche, pour ne pas interrompre le flux de lecture.
Et pourtant j'avais eu du mal à entrer dedans, j'ai plusieurs fois dit "bon allez je vais lire pcq ça me saoule j'ai envie de l'avoir fini et de changer de bouquin" mais ce n'est pas dû à l'histoire. C'est parce que j'ai essayé de lire le soir et je tenais 5 pages et clairement pour ce livre là, ce n'est pas suffisant. Il faut s'y plonger, y rester, vivre avec les personnages pour s'attacher à eux. Un jour j'ai pris le bouquin alors que je prévoyais d'attendre longtemps mon tour chez le coiffeur, et il m'a happée et j'ai ensuite attendu mon temps libre avec impatience.
Et du coup j'ai envie de lire encore ce style un peu angoissant.
5. Moi, Malala. Malala Yousafzai.
J'ai commencé à le lire pour pouvoir en parler avec l'ado, parce qu'il devait le lire pour l'école et les interros sur les livres se font sans pouvoir consulter les livres - je trouve ça un peu dommage parce que dans le cadre d'une longue lecture, je trouve plus important de comprendre, situer puis pouvoir retrouver les informations plutôt que de retenir les informations. Mais bref - et l'ado a un peu de mal à différencier ce qui est important de ce qui ne l'est pas.
Et puis finalement je l'ai dévoré. C'est une histoire vraie. C'est facile à lire, écrit par une adolescente, mais quelle vie, quelle force, quel combat, comme elle est inspirante !
Malala est la personne la plus jeune à avoir reçu le prix Nobel de la paix, pour son combat pour les droits des filles et des enfants, droits à l'éducation dans un pays où les talibans terrorisent la population. Mais pas elle. Elle, elle fonce, elle porte sa voix pour ceux qui ne le peuvent pas. Ce sera au péril de sa vie vu qu'un attentat dirigé contre elle la laissera avec 3 balles dans la tête. Mais c'est sans compter sur sa combativité. Elle est transférée à Birmingham où elle combat pour sa vie avant de reprendre de plus belle son combat pour la vie des autres.
Le récit est cru et naïf, celui d'une enfant dont les droits sont rabotés, la vision de l'injustice par le prisme d'une enfant curieuse, ses amis, sa famille, surtout son père, sa vie, son école, puis les talibans.
Des infos ici, concernant son prix Nobel
6. Moi, Tituba sorcière, Maryse Condé
L'histoire de Tituba, accusée d'être l'une des sorcières de Salem. 1690, en pleine colonisation. C'est un récit sur l'horreur de l'esclavage et aussi sur la condition de femme. Celles qui ont moins de valeur, celles qu'on ne croit pas, celles qui sont diabolisées, celles dont on dispose. Je me suis rendue compte avec effroi que certaines situations que je lisais pouvaient être facilement transposées aujourd'hui. On change le contexte, on change les personnes et les femmes ne sont pas moins diabolisées, j'ai en tête des exemples concrets tirés des actualités récentes.
J'ai apprécié l'histoire comme un hommage à ces femmes qui avaient l'audace de ne pas entrer dans le rang.
7. Vaisseau fantôme, Olivier Barrot
Déçue. L'histoire aurait pu être une chouette épopée, des rebondissements, des personnages intéressants, des façons de vivre l'annonce d'une pandémie et le confinement sur un bateau qui voit fermées toutes les frontières où il voulait accoster. Et puis non. Les actions sont bâclées, l'univers intérieur est bâclé, au profit d'un auteur qui se la raconte, qui multiplie les références et des longues phrases qui expliquent les références. C'est blindé de phrases non verbales, j'ai parfois eu l'impression qu'il s'enregistrait et retapait sous la dictée (voir le hashtag vieux chiant ci dessous).
8 et 9 Arbos anima, Tomes 1 et 2/5 Kachou Hashimoto
Du manga parce que ça faisait longtemps ! On est dans un seinen assez sympa qui m'a attirée avec sa couverture, puis le résumé m'a plu parce qu'il est question de botanique. Un jeune garçon, Noah, possède le don de lire la mémoire des plantes, ce don est vécu comme une malédiction par sa famille, qui l'enferme pendant 15 ans dans la serre. Sympa sympa. Il devient "collecteur botaniste", il reçoit des missions pour lesquelles il doit chercher et collecter des plantes rares. Au fil des chapitres du premier tome, on fait la connaissance du personnage central ainsi que de ses deux acolytes : un ancien pirate qui lui sert de garde du corps,et une jeune fille qui souhaite venger sa forêt, brûlée il y a longtemps par un autre collecteur. Le tome 2 voit l'arrivée de l'ennemi principal, qui est justement le type qui a brûlé la forêt, c'est fou les hasards de la vie, sauf qu'il s'en fout de cette forêt, pour lui c'est de l'histoire ancienne, il veut juste tout savoir sur le don de Noah parce qu'il est un tantinet jaloux. Et manifestement, il est plutôt belliqueux.
J'aime bien, c'est rythmé, c'est pas gnangnan comme certains shonen en mode "je suis un adolescent qui a perdu ses parents mais j'ai un pouvoir magique et des grands yeux clairs", les fleurs sont divinement bien dessinées et les missions sont variées, ça donne envie de savoir quelle sera la suivante et comment évoluera le fil rouge de l'histoire.
10. Donjon Zénith 1 : Coeur de canard (relecture)
Ca se passe dans un donjon, et comme dans tous les donjons il y a des monstres, des richesses que des gens tentent de voler et un maître, qui a des sbires.
Un jour deux types (qui sont des espèces de trucs tentaculaires déguisés en types) essaient de venir attaquer le donjon, et après s'être débarrassé d'eux, le maître réclame son plus féroce monstre pour aller voir ce qu'il se passe dans le village des trucs tentaculaires et pourquoi ils en veulent à son donjon. Sauf que le plus féroce monstre est tué et c'est Herbert, un canard, qui va prendre sa place. Il fait semblant d'être balèze, fake it till you make it, et avec Marvin (qui lui est vraiment balèze) ils partent mener l'enquête.
11. Donjon Zénith 2 : Le roi de la bagarre.
L'histoire se déroule dans un donjon. Herbert le canard a gagné sa place comme "monstre" du donjon parce qu'il a réussi une première mission dans le tome précédent (voir le 10eme bouquin) mais il n'a rien d'un monstre, et il perd systématiquement tous les trésors qui lui sont confiés. Du coup il est convoqué chez le maître du donjon et il doit suivre un entraînement. Et le tome 2 raconte cet entraînement, et renforce par la même occasion les liens entre Herbert et Marvin, son pote dragon qui le coach un peu (et plein de rebondissements mais je ne veux pas spoil) On va finir sur ces belles paroles de Marvin "Chacun de nous est mû par une chimère. Quand tu sauras reconnaître la tienne, tu seras un guerrier"
12. Donjon Zénith 3: La princesse des barbares
Pour remonter la côte du Donjon, Herbert imagine une lettre faisant croire qu'une Princesse est retenue prisonnière dans le château. L'idée n'est pas mauvaise sauf que cette princesse existe vraiment et si j'en dis davantage ça spoile un peu trop donc voilà voilà. J'ai bien aimé le petit côté vaudeville de ce tome ci.
13. 1q84, livre 1
TW: 🟣
Je l'ai lu sur mon tél dans une appli du coup l'expérience de lecture n'est pas fofolle, je crois que je prends moins de points de repère si c'est par écran. J'ai besoin de me répérer à l'épaisseur du livre, au numéro de page etc. Là je me suis vue avancer en pourcentage de lecture. Ce n'est que lorsque j'ai vu les livres dans une librairie que je me suis rendue compte qu'il y avait 500 pages pour chaque. Sinon j'ai adoré l'histoire, ou plutôt le début de l'histoire vu qu'en ayant terminé ce livre, je suis au premier tiers. On rencontre d'une part Tengo, qui réécrit l'histoire biographique d'une demoiselle de 17 ans. D'autre part Aomamé, tueuse à gage et prof de gym. Pour l'instant, leurs histoires sont séparées mais on devine qu'elles vont se rejoindre. Sans spoil, il est question de secte, de viol, de pédophilie et d'une pincée (pour l'instant) de paranormal. La biographie de la demoiselle est un succès, et va permettre (je suppose, j'espère) de démanteler la secte dont elle s'est sauvée des années plus tôt. Aomamé va (je suppose, j'espère) tuer le type qui est à l'origine de cette secte.
14. Le bal des folles, Victoria Mas. TW 🟣
Un coup de poing. La vie d'Eugénie, jeune femme de bonne famille. Elle a un don et en fait part à la personne en qui elle a le plus confiance. Mais elle est trahie et envoyée à la Salpêtrière. Là, on rencontre en même temps qu'elle Louise, qui survit tant bien que mal après avoir été abusée par son oncle à 14 ans, Thérèse qui est internée depuis plus de 20 ans pour avoir poussé dans la Seine l'homme qu'elle aimait et qui la prostituait, elle veille sur les plus jeunes, et Geneviève, infirmière qui voit ses convictions ébranlées. 1885, les femmes ne peuvent pas sortir des rangs, leur place est discrète, transparente et le moindre écart fait peser sur elles des termes comme l'hystérie ou la mélancolie. J'ai lu rapidement, dans une sorte d'apnée. Les larmes plusieurs fois, l'empathie surtout, parce que je suis toutes ces femmes, nous sommes toutes ces femmes, et une grande respiration à la fin, un grand silence, une grande douleur et un sentiment pesant, 1885 et 2023 ne sont pas si différents. Comme le dit Thérèse, "Tant qu'les hommes auront une queue, tout l'mal sur cette terre continuera d'exister"
15. Hadès et Perséphone, Scarlett St Clair
Alors clairement comme j'avais déjà dit, je ne suis pas le public ciblé par cette New Romance. J'ai trouvé les personnages trop clichés. Le grand beau à la sale réputation mais finalement plutôt sympa, la blonde insecurisée par sa mère, intelligente mais plutôt godiche dès qu'elle voit l'Homme, parce qu'il est omniscient et irrésistible. Et mystérieux, et si beau ohlala. Jamais fâchée très longtemps tellement ce mec a un physique qui l'électrise. Certains signes sont clairement des red flags, ce type veut la posséder mais comme il est beau, ça passe. Pour vérifier si un comportement est toxique, au cas où certains laisseraient un doute, toujours se demander si on l'accepterait de la part d'une personne très moche. Le pire étant que finalement on se rend compte qu'il avait ses raisons d'être toxique vu qu'il était amoureux et bon hein bien sûr en amour on a tout les droits (ironie bien sûr).
Autre raison pour laquelle je ne suis pas le public cible, la demoiselle est en conflit avec sa mère. Non merci, moi c'est fini tout ça, j'ai dépassé la crise d'ado, la crise de pré adulte (quand on quitte le nid pour les études), la crise d'adulte (quand on quitte le nid pour de bon) et j'ai même dépassé la crise de "j'ai un gosse, et je ne ferai rien comme ma mère a fait" du coup voilà je suis un peu passée à côté de cet aspect de l'histoire, qui pourtant donne lieu à une belle évolution de la demoiselle. J'ai apprécié cette évolution mais j'aurais préféré qu'un homme hyper cliché n'en soit pas à l'origine. On y lit quelques citations inspirantes sur les personnes qui évoluent et apprennent à s'affirmer, comme "personne n'a jamais guéri en regardant vers le passé" et je ne me souviens plus de l'autre citation inspirante, c'était à propos de l'amour et je me suis dit "ah ouais c'est pas faux".
On y voit une version totalement décalée de l'enfer et ceux dont on attendait les vertus sont plutôt vicieux et vice-versa. Donc je n'ai pas été touchée, ni par les personnages, ni par l'histoire, ni par le dénouement, ni par les scènes un peu érotiques. Beaucoup trop de fois le mot "titiller" à mon goût. Si j'étais parfaite bilingue, je l'aurais lu en anglais, je suis persuadée (ou optimiste) que le vocabulaire anglais est plus fourni que la traduction française.
Bon ça arrive de passer à côté d'une lecture. Par contre, ça se lit vite, c'est plutôt fluide et bien rythmé, voilà voilà. Petit bonus que j'adore, l'autrice a commencé à poster ses textes... Sur Tumblr ^^
16. Passion simple, Annie Ernaux
C'est joli, j'ai trouvé ça doux. Le ton monocorde et détaché contraste avec la force de son attente. L'histoire est autobiographique. Elle attend un homme bien plus jeune qu'elle (elle a 50 ans au moment de l'histoire), elle attend son appel, sa venue, et quand il vient elle pense déjà à quand il repartira et à l'attente qui suivra. J'ai eu la sensation d'attendre avec elle.
Le récit a donné lieu à une réflexion sur l'écart entre la personne et la situation. Et finalement, est-ce vraiment une personne qui nous manque ? N'est-ce pas plutôt la situation dans laquelle cette personne nous met ? N'est-ce pas plutôt comment on se sent en sa présence ? N'est-ce pas plutôt la sensation d'exister, de ressentir quelque chose très fort ? Et s'il revient des années plus tard? Et s'il fait comme si rien n'avait changé, malgré que tout aura changé ? Est ce qu'on sera déçus ? Quel sera le décalage entre les retrouvailles fantasmées et la réalité ?
J'adore comme avec la simplicité, la justesse et la rapidité de ce récit (70 pages), elle réussit à m'emporter et à lancer mes pensées au delà de son histoire. J'aime me dire que la passion est universelle.
17. L'ami" de Tiffany Tavernier.
J'ai adoré. L'histoire a mis un moment a démarrer, si bien que j'avais entamé le bouquin puis je l'avais déposé le temps de le prêter et le récupérer.
Puis je l'ai ouvert de nouveau et je ne sais pas, je suis en permanence d'humeur à lire pour l'instant, et l'histoire a coulé toute seule
Ce n'est pas un hasard si l'histoire a mis du temps à démarrer. Au début, on est dans la vie sans grand éclat de Thierry et sa femme Lisa. Couple de cinquantenaires, leur enfant est devenu adulte, a quitté le nid et vit très loin, le temps s'écoule doucement mais avec un bonheur tranquille, avec leurs voisins Guy et Chantal qui sont aussi leurs meilleurs amis. Et voilà l'histoire s'écoule tranquillement comme leur vie.
Puis un jour, ils sont réveillés par un brouhaha. Police, forces spéciales, la maison des voisins est prise d'assaut, les voisins sont arrêtés et là l'horreur. Son cher ami Guy est accusé d'avoir enlevé, séquestré, violé et tué des jeunes filles, avec la complicité de son épouse. L'histoire est très médiatisée, des fouilles et des reconstitutions prennent place dans le jardin des voisins. Tout s'écroule, chacun vit cette nouvelle différemment. Guy essaie de faire comme s'il ne s'était rien passé et va travailler, mais les collègues, les journalistes, Lisa qui va mal...
Le récit donne encore volontairement la sensation de stagner et cet immobilisme c'est Thierry. Thierry dans sa carapace, qui refuse de réagir.
Dans la deuxième partie de l'histoire, les choses s'accélèrent, un événement pousse Thierry à réagir. J'ai adoré sa façon de réagir parce que je pense que c'est exactement ce que j'aurais fait.
J'ai beaucoup apprécié le jeu de rythme du récit qui finalement permet d'accentuer l'empathie qu'on a pour Thierry.
J'ai beaucoup aimé le personnage, le contraste entre le détachement qu'il montre et ce qu'il pense réellement, les questions qu'il se pose, son amour inconditionnel pour Lisa, ses démons, sa rage lorsqu'elle éclate enfin. La fin m'a laissée réellement émue et apaisée. Je crois que je le relirai.
18. Psychopompe, Amélie Nothomb
Cette fois, c'est un roman autobiographique particulièrement intime. L'histoire commence avec un conte japonais qui met en lumière l'oiseau sublime qu'est la grue, et introduit la passion qu'a Amélie Nothomb pour les oiseaux. Elle parle ensuite de ses nombreux voyages (elle est fille de diplomate belge, sa famille a beaucoup voyagé), de son observation des oiseaux, et cette deuxième partie se termine par un évènement majeur et traumatisant qui donnera lieu à plusieurs années d'anorexie. Elle en avait parlé dans certains livres, je connaissais cette partie de sa vie mais je n'en connaissais pas l'origine. On comprend alors la quatrième de couverture "Écrire c'est voler" lorsque l'écriture l'aide à quitter le sol et l'anorexie. Les métaphores entre l'écriture et les oiseaux se suivent. Sa vision de l'écriture est envoûtante pour moi qui l'admire depuis longtemps.
La dernière partie du livre est la plus intime, elle y parle de la mort, en particulier de la mort de son père et de leur conversation posthume. J'ai été assez émue. A plusieurs moments, l'histoire fait le lien entre certains de ses livres, des pièces s'ajoutent petit à petit dans un puzzle entamé depuis plusieurs années. J'ai encore du mal à dire si j'ai aimé ou pas le livre, en fait. Hygiène de l'assassin, Mercure, Métaphysique des tubes, Cosmétique de l'ennemi, Antéchrista, Biographie de la faim, Stupeur et tremblements : je pourrais relire ceux-là plusieurs fois sans m'en lasser une seconde. Ce n'est pas le cas de Psychopompe, même si j'ai adoré l'impression d'en savoir un peu plus encore sur un personnage omniprésent chez moi depuis plus de 30 ans.
19. Un sale livre, Frank Andriat.
Une histoire dans une histoire. Une classe d'ados doit lire un livre pour le cours de français, c'est un livre qui parle du conflit en Syrie, de l'immigration, d'un jeune gars qui arrive en France avec son père et sa sœur après que sa mère ait été tuée dans une raffle. On lit cette histoire dans les yeux des élèves, on participe à leurs débats sur ce que doit apporter un bon livre.
C'est mon ado qui me l'a conseillé tellement la lecture l'a remué.
19,5. Au delà du mal, Shane Stevens
Eww. Pas lu jusqu'au bout. Le récit commence de façon intéressante, l'enfance d'un psychopathe en devenir.
Et puis ça se transforme en branlette de gros pervers. Toutes les femmes de l'histoire sont faibles ou vénales, vues comme des proies par absolument tous les hommes de l'histoire, y compris ceux qui ne sont pas des psychopathes. L'auteur bande en écrivant certains passages ce gros porc.
J'ai lu la moitié et j'ai passé un mauvais moment, sensation d'étouffement, d'être entourée de pervers. Impossibilité de retrouver un lien d'amitié avec la personne qui me l'a offert, qui a beaucoup aimé ce bouquin et s'est dit que j'aimerais aussi. Des pervers.
Au moins le psychopathe a l'excuse de son enfance.
20. Manifeste d'une sorcière d'aujourd'hui, Odile Chabrillac
Philosophie et féminisme. Sympa, sans plus. J'avais envie d'un peu d'ésotérisme pour cette fin d'année et c'était un peu trop philo à mon goût. Mais sympa.
21. Les neiges de l'exil. Lian Hearn.
Quelle douceur de lecture, quelle beauté du texte, des descriptions, des héros. Que l'héroïne est douce et puissante. Je me suis plusieurs fois demandé comment un homme avait pu toucher de si près la puissance d'une femme dans le caractère de Kaede. Ensuite j'ai appris que Lian Hearn est une femme.
On est dans le Japon féodal, entre luttes de pouvoir, guerres de territoire, pouvoirs spéciaux liés aux Invisibles... La série du Clan des Otori est mon livre "où je me sens bien" depuis plusieurs années tant je lis et relis certaines pages exactement comme lorsque l'on s'emmitoufle dans une vieille couverture. Le rythme est parfait, les personnages sont incroyables de sincérité, la lecture est parfois méditative, avec la sensation de contempler la beauté des paysages, d'être percé par le froid, d'entendre tomber la première neige, d'attendre le printemps...
22. Memento Mori, Solédad Cayuela
Des explications sur les objets magiques, les sorts, les encens, etc etc, issues de la pratique de plusieurs années de sorcellerie. J'ai bien aimé cette lecture, cette plongée dans la pratique, même si je ne pense pas en être capable.
C'est dans le cadre d'une recherche spirituelle qui continue son chemin. Ça m'a remis des souvenirs en tête, c'était sympa.
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double-croche1 · 1 year
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[CANNES DAILY #3] VENDREDI 19 MAI
‘Lost in the Night’ d’Amat Escalante Cannes Première, sortie le 04/10
Troisième passage canneois pour le réalisateur méxicain Amat Escalante avec ‘Perdidos En La Noche’ (‘Lost In the Night’), thriller esthétisant autour d’une histoire de mine, d’infiltration et de représentation (artistique et sur les réseaux sociaux). Si la mise en scène et le casting sont plutôt satisfaisants, c’est du côté de l’histoire que cela pèche : capilotractée tout en étant prévisible et aux enjeux peu intéressants, la trame n’est pas parvenue à nous captiver. Le résultat est donc décevant sans être totalement raté. ‘Jeunesse (Le Printemps)’ de Wang Bing Compétition, sortie le 03/01/24
De 2014 à 2019, le documentariste chinois Wang Bing s’est installé dans la petite ville de Zhili pour filmer les jeunes employés d’ateliers de confection travaillant à la chaîne dans des conditions très dures (paiement dérisoire « à la pièce », horaires étendues et congés presque vécus comme une punition). Un microcosme où la « compétence » de travail des uns et des autres ne se mesure que par la « vitesse » d’exécution de ces tâches répétitives et fatigantes. Avec sa durée de 3h27, le format du film épouse habilement son propos en faisant ressentir au spectateur l’usure qui pèse sur ces jeunes de la façon la plus organise (bruit incessant des machines, fatigue physique). S’approchant au plus près de ces individus à la vitalité vibrante (humour et chamailleries, drague plus ou moins insistante mais toujours bienveillante), ce superbe documentaire nous immerge de façon poignante dans une machine à broyer impitoyable. La dernière partie sidère par son contraste. Une couturière s’exprime alors : « C’est super, il y a de l’air. » Tout est dit. Un plaidoyer des plus éloquents sur le besoin de consommer de manière plus éthique. ‘Simple comme Sylvain’ de Monia Chokri Un Certain Regard, sortie le 08/11
La canadienne Monia Chokri est de retour sur la Croisette dans la sélection Un Certain Regard avec ‘Simple comme Sylvain’, chronique sur la vie amoureuse d’une femme de quarante ans. Frais et souvent drôle, le film parle avec malice de la complexité de la question amoureuse. L’interprétation est de très bonne facture, notamment celle de l’interprète principale récemment vue chez Xavier Dolan dans sa série ‘La Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé’. La mise en scène n’est pas en reste, fourmillant d’idées esthétiques intéressantes. Si le film s’étire trop sur la longueur et nous a moins conquis que ‘Julie (en doux chapitres)’ de Joachim Trier auquel il pourrait être comparé, il demeure une réussite plaisante. ‘How to Have Sex’ de Molly Manning Walker  Un Certain Regard, sortie le 15/11
Titre accrocheur, premier long-métrage britannique, labels Condor et Mk2, musique de Romy de The xx : les signaux semblaient au vert pour ‘How to Have Sex’ de la réalisatrice Molly Manning Walker. D’une originalité très limitée aussi bien dans son intrigue que dans sa mise en scène, le film ne mérite pas la hype qui l’entourait. Dans la droite lignée de la série ‘Skins’, qui était bien plus radicale en soulevant des thématiques générationnelles fortes, ‘How to Have Sex’ peine à émouvoir, même lorsqu’elle traite du tabou. Petite déception donc mais on suivra la réalisatrice pour son prochain essaie qu’on espèrera plus concluant. ‘Strange Way of Life’ de Pedro Almodovar  Hors Compétition, sortie le 16/08
31 minutes et pas une de plus pour le nouveau court-métrage de Pedro Almodovar produit par Yves-Saint Laurent. Western gay à l’esthétique chère à son réalisateur (couleurs vives, plans rapprochés avec un fond flottant), ‘Strange Way of Life’ est un bonbon sucré pétillant. Quelques scènes pour mettre en place une ambiance et un amour homosexuel confronté au poids des années, entre un Ethan Hawke meurtri et un Pedro Pascal enamouré. Mineur dans la filmographie de son auteur, ce court-métrage y trouve néanmoins sa place plus vite que son ombre. ‘Vincent doit mourir’ de Stéphan Castang  Semaine de la Critique, sortie le 15/11
La violence du quotidien comme virus de notre société, tel est le postulat de ‘Vincent doit mourir’ qui suit Vincent (Karim Leklou) dont tout le monde veut la peau. Jouant avec les genres, entre survival, film paranoïaque, comédie et romance, le long-métrage détonne dans la production française. Poussant loin le filon, sans éviter quelques redondances et des scènes attendues, et bien redynamisé à mi-parcours par la talentueuse Vimala Pons, ‘Vincent doit mourir’ capte un air du temps anxiogène avec un résultat à la hauteur de ses modestes ambitions. A&B
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beatlesonline-blog · 1 year
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MARDI 27 SEPTEMBRE 2022 (Billet 3 / 4)
« REVOIR PARIS » (1h45)
Un film de Alice Winocour, avec Virginie Efira, Benoît Magimel et Grégoire Colin…
Nous y sommes allés 1 ou 2 jours après avoir vu « Chronique d’une liaison passagère ». Deux films très différents mais, après discussion entre nous, nous avons préféré « Revoir Paris » au premier et lui avons donné tous les deux 4 cœurs ? Bien sûr nous vous le recommandons chaleureusement.
Cette fois-ci, c’est l’avis d’une spectatrice trouvé dans l’appli « Allo Ciné » et non pas la critique d’un « pro » que nous reproduisons ici. Nous partageons le même avis qu’elle, à la virgule près, et de plus, il est très bien écrit !
_____________________________
Vu au ciné "REVOIR PARIS" de Alice Winocour, histoire librement inspirée des attentats qui ont frappé Paris en 2015 (le propre frère de la réalisatrice était au Bataclan le 13 novembre) mais ici pas de point de vue sur les terroristes ni sur l'enquête (à part une brève mais terrible et glaçante séquence) car tout est centré sur les victimes et leur suivi. C'est à la fois extrêmement documenté et en même temps subtilement intimiste.
On suit plus particulièrement l'itinéraire de Mia, une traductrice pour qui, en un instant, la vie va basculer dans une brasserie un soir de pluie... Blessée et ayant tout oublié de ce terrible moment elle va tenter de se souvenir... reconstituer le puzzle de ces instants dramatiques pour tenter de se reconstruire.
Un fonds lourd, un sujet sombre et encore si présent dans notre histoire et notre mémoire pour un film qui réussit à rester à la fois doux et douloureux, profondément humain et, surtout, au plus près des corps meurtris dans leur chair et dans leur âme, la mise en scène s'attardant avec une belle pudeur et une touchante délicatesse sur les visages, sur les plaies, sur les traumatismes. Un film profond et éprouvant qui parle de reconstruction post-traumatique mais qui ne verse jamais dans le pathos, tout en laissant effleurer naturellement l'émotion.
Cette femme qui erre comme un fantôme dans un Paris qu'elle revoit à présent différemment, va à la rencontre de ces gens qu'elle ne connaissait pas et qu'elle a dû côtoyer juste dans ces instants d'horreur, à travers aussi cette association qui réunit sur les lieux du drame les survivants et les familles des victimes comme cette très jeune fille (bouleversante actrice) qui, pour faire son deuil, veut refaire le dernier trajet, revivre les derniers instants de vie de ses parents.
Si tous les rôles sont intéressants et prenants, vibrants, car toujours remplis d'une belle humanité, si Benoît Magimel est une nouvelle fois lumineux dans un rôle certes secondaire mais si important dans le chemin de résilience de Mia, lui redonnant le sourire, c'est Virginie Efira qui porte tout le film sur ses épaules : d'une douloureuse sobriété, d'une sombre mélancolie, la comédienne, sans artifice, est bouleversante de justesse et dégage une magnifique puissance d'émotion. Elle trouve ici certainement son rôle le plus intense. On sort du film secoué, ébranlé, un vrai coup au coeur et aux tripes pour ce premier grand film de la rentrée...
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J’ai regardé Un Divan à Tunis de Manele Labidi hier soir, avec Golshifteh Farahani en rôle principal. C’était franchement cool, et je vous le recommande chaudement si vous ne l’avez pas vu.
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Mais surtout, ce film montre que l’administration Tunisienne est toute aussi pétée que l’administration Française, ce qui implique que l’aspect “tout pété” des services administratifs est inhérent à la profession. Ce que je trouve rassurant, presque. :3
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belphegor1982 · 3 years
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OR DONC. *claps hands* La BO de Kaamelott Premier Volet. Petit regard post-film.
Lire la liste de morceaux avant et après avoir vu le film, ça me rappelle quand un livre Harry Potter sortait et que je commençais par aller voir la table des matières : les titres de chapitres sans contexte, les mots et les noms inconnus, c’était pas vraiment du spoiler étant donné que je ne comprenais pas grand-chose. Une fois le livre fini, forcément, c’était “Aaaah, bon sang mais c’est bien sûr” et on voyait ces mots d’un autre œil :D C’est ce que je fais ici.
Comme non seulement je n’ai pas la science infuse mais qu’en plus j’ai une fâcheuse tendance à louper des trucs, je risque de beaucoup demander “et vous, vous avez compris quoi?”
Déjà, la musique est superbe. Ça brille, c’est profond, c’est narquois, c’est épique, et il y a des côtés Star Wars ou Le Seigneur des anneaux sans copie ni clin d’œil appuyé. J’ai adoré et il me tarde de pouvoir décortiquer les thèmes avec le contexte avec des petites impressions de temps en temps (histoire de me les rappeler plus tard).
A propos de contexte, voyons la liste morceau par morceau:
1. Abordage en Mer Rouge
La musique du teaser, super build-up, et mine de rien ça rappelle où l’action se passe. Et quand !! On a une date :D C’est en 434, donc.
LES CORS AU TOUT DÉBUT. Je les attendais si fort au cinéma et ça a fait TELLEMENT de bien 😭
2. Le Péché de Lancelot
Quel est le péché de Lancelot, d’abord? D’avoir abusé du pouvoir qu’Arthur lui a confié? De ne pas avoir “péché”, justement, avec Mevanwi? (je suis d’avis qu’il ne l’a jamais touchée - parallèle avec Arthur et Guenièvre, peut-être pour presque les mêmes raisons! - et que c’est pour ça qu’elle n’a pas de descendant.) D’avoir livré le Royaume de Logres aux mercenaires saxons?
Quoi qu’il en soit, on sent bien la mélancolie de Lancelot, la dépression qui le guette. Ce n’est pas un tyran qui profite, c’est un tyran triste qui gueule sur ses sous-fifres qu’il traite avec bien moins de patience qu’Arthur.
3. Sept Jours de Marche
Quarto et ses deux Wisigoths dans le désert à la recherche du gars à qui il avait vendu Arthur. Au passage, la discussion sur les godasses entre les deux rigolos c’est vraiment du pur Kaamelott et c’est parfait.
4. Le Wadi
Un wadi c’est un oued, un cours d’eau d’Afrique du Nord, et l’image qu’on a dans le film (le moment où Algazar va chercher Arthur chez Damian le Sassanide) c’était pas forcément celle que j’en avais, mais bon - Arthuuuuur ;___; Les quelques notes du thème du Livre V pour suggérer son personnage m’ont descendue.
5. L’Augure de Fraganan
Franagan, c’est la sœur de Leodagan ! Le nombre de personnages dont on découvre une sœur, un frère, et qui disent “ben ouais, je l’avais juste pas dit” - mdr monsieur Astier, ce serait pas un petit message aux fans? :P Super personnage, cela dit, j’ai bien aimé. Et sa dynamique avec son frère et sa belle-sœur était chouette.
6. Hydromancie
Continuation de la scène avec Franagan où Elias la backup sur l’hydromancie. Et elle a raison - le roi Arthur (enfin, “le fils Pendragon”) va bien revenir au Royaume de Logres.
7. Sous la Bretagne
Mes émotions ;___; Le tavernier qui revient sur les ruines de sa taverne, où on a passé tant d’heures avec Perceval et Karadoc, qui était le nœud de tout ce qui concernait le petit peuple, la vie quotidienne, les paris à la con, tout ça. Mais la mélodie et le rythme changent quand on se rend compte qu’il y a une trappe qui permet d’accéder aux souterrains que Karadoc et Perceval font creuser depuis 10 ans ! Et mine de rien, ce morceau (si je ne me goure pas trop c’est un de ceux qu’on entend dans la bande-annonce), il claque. Même si les deux couillons restent nos deux couillons, ils ont quand même droit à de la dignité à travers la musique (donc la narration) et ça c’est super.
En plus le morceau en lui-même a un petit côté Lac des cygnes dans les premières secondes (les cinq notes vers 0:12) et j’aime beaucoup ce genre de musique qui commence tout doux et prend de l’envergure. En plus avec les cordes qui arrivent au changement de rythme, accompagnées ensuite par les cuivres et les percussions pour montrer que ces gars, THEY MEAN BUSINESS, c’est génial 💜💜💜
8. Les Héros de la Résistance
On continue avec le thème des souterrains et de la Résistance (dirigée par Perceval et Karadoc.
9. Merlin le Cartographe
OK, là la musique s’ouvre et prend de l’ampleur. Vous devriez écouter Merlin quand il vous dit qu’il faut cartographier les souterrains, les gars ! En même temps, les cartes ça n’a jamais été le fort de Perceval (ou Karadoc)...
10. Marche Aquitaine
Sans doute mon morceau préféré. Je l’ai eu dans la tête on et off depuis le film mardi soir ^^ Il va tellement bien au Duc! Pour celleux qui connaissent Carmen, je lui trouve un petit côté “La garde montante”, militaire mais avec de la fantaisie, des jolis violons, des clarinettes et des clochettes. Et ce qui me tue, c’est que c’est une marche (“Musique au rythme régulièrement cadencé, permettant de régler ou d'accompagner le déplacement d'un cortège lors d'une procession, d'un défilé ou d'une parade”, dixit le Wiktionnaire), mais mine de rien si je me plante pas ça illustre aussi une marche - celle du Duc et d’Arthur à travers l’Aquitaine, vers Gaunes :D GIMME ALL THE PUNS PLEASE
11. Furadja !
Alors. Personnellement, les flashbacks je les ai trouvés esthétiquement très plaisants, les couleurs chaudes sont magnifiques et les costumes superbes, mais ils m’ont bien, bien perdue. On manque cruellement de contexte. Qui est Furadja? Une cheffe locale? (politique, religieuse, les deux?) Visiblement elle a du pouvoir, puisque les deux officiers romains qui supervisent Arthur et ses jeunes collègues obéissent (en râlant, mais tout de même) à ses ordres. Et qui est-elle envers Shedda? Est-ce que Shedda est son esclave, sa fille, sa pupille, sa future successeuse?
En tout cas, le dépaysement sonore est complet. On sait qu’on est dans un univers différent aux premières secondes rien qu’aux instruments. BTW, la Maurétanie césarienne correspond à une zone géographique à cheval entre le Maroc de l’est et l’ouest de l’Algérie.
12. Une Clairière près de Gaunes
...où la nouvelle garde des Chevaliers a installé une nouvelle Table Ronde 💜 La musique les traite avec tendresse, même si on peut sourire, parce que dans leur genre ils font autant bras cassés que la Résistance en souterrain (mais ils essayent, aussi !!). Et on en parle, des nouveaux chevaliers? Bédivère! Lucan (le Bouteiller dans la légende arthurienne, Chevalier Seiche ici), qui est effectivement un frère de Bédivère! Gareth, frère de Gauvain et fils de Loth et d’Anna d’Orcanie! A un moment Astier va nous dropper Galahad (et Mordred) sur le coin du museau et ça va faire bizarre XD
13. Une Attaque Burgonde
Vous les aviez vus venir (à Kaamelott), les Burgondes? Ben pas moi! Je pensais qu’on allait chez eux, pas l’inverse - mais j’avais oublié que le Roi Burgonde essayait régulièrement d’envahir le Royaume de Logres. “Artooouur! La guerre est une illusion! ...Artooouuur! La guerre est un salsifis!” ...never change, dude.
14. L’Intrigante à Bouclettes
Mevanwi, of course. Avec des coups de cloches qui font penser au glas. Au passage, je note que “intrigante à bouclettes” c’est le MEILLEUR terme pour décrire Mevanwi et que le Jurisconsulte traite Lancelot de “gros (/vieux?) lézard tout moisi” et c’est tellement parfait :P Les méchants ont de chouettes répliques, hein ?
15. La Nouvelle Table Ronde
Comme la clairière, c’est doux, timide, hésitant, comme les premiers pas d’Arthur vers son rôle de roi. Parce que oui, elle ne paye pas de mine, cette table ronde, mais qu’elle est touchante. Pour moi on peut placer les personnages de Kaamelott sur une échelle de “is trying” à “gives no fuck/a arrêté de give des fucks” et Arthur est toujours touché par la première catégorie même quand il tombe dans la deuxième.
Et le scare chord quand les Saxons débarquent, ça fait très très penser à un mélange de cartoon Tex Avery et le sketch “The Spanish Inquisition” des Monty Python :D
16. Les Jeunes Aventuriers
Okay, j’avoue, le jeune moustachu qui se la joue résistant en braillant qu’il veut résister je lui trouve un peu une tête à claques. ‘Tit peu. Mais c’est logique, c’est son défaut personnel :P
17. Léodagan et l’Arsenal
Stop the presses, c’est la scène romantique ultime. (ok, je déconne, mais pas tant que ça, en fait.) Leodagan qui retrouve des armes de jet en mode 🥺 c’est émouvant et tellement parfait ^^
18. Les Ravins de la Mort
Les retrouvailles Arthur & Perceval ;____; La musique est toute douce, on sent vraiment l’émotion de Perceval et des autres qui se rendent compte que c’est Arthur, là, devant eux, dans la cage. Le thème de la résistance revient faire un clin d’œil, mais dans l’ensemble ça reste solennel et plein d’émotion.
19. Mevanwi aux Geôles
Who comes to gloat? Mevanwi! Et récupérer ses filles dans le plus grand des calmes (filles qui refusent tout net, bravo les petites). Je peux pas m’empêcher de penser que la cloche qu’on entend ici et dans “L’intrigante à bouclettes” est du foreshadowing.
20. Le Talent de Iagu
...est visiblement d’être un pickpocket tout à fait efficace! Man after my own heart :D Iagu chope les clés de la cage à un sbire de Mevanwi et permet de libérer le roi. Good for you, dude 👍
21. Kolaig l’Étrangleur
Kolaig (et sans déconner, j’ai compris “collègue” la première fois) s’est donné comme noble tâche de courtiser Guenièvre et de la libérer de la tour où l’a enfermée Lancelot. Et comme on est dans Kaamelott, l’amour courtois c’est une jolie idée en théorie mais un peu merdique en pratique, et le Kolaig en fait les frais. Manque de motivation pour grimper à la tour, même si ça ferait plaisir à Guenièvre (qui à force n’y croit plus vraiment, mais ça fait passer le temps).
22. L’Épaule de Shedda
Ça commence par un flashback d’une douceur 💜💜💜 Un peu amère, parce que l’épaule de Shedda est abîmée et qu’on se rend compte qu’elle est battue. On revient au “présent” avec la cloche et le thème de la résistance, et si je me souviens bien c’est le moment où Arthur monte les escaliers pour demander à Guenièvre si elle veut être libérée (et tant pis pour le boulet qui essaye de grimper aux racines et qui n’y arrive pas, y a plus le temps!).
23. Robobrole !
“Robobrole” c’est un de ces jeux du Pays de Galles dont Perceval (et son frère Lamorak!) ont le secret, et j’avoue que je suis un peu déçue qu’Arthur ne sache pas y jouer, étant donné qu’on sait qu’il connaît des jeux gallois! C’est très court, juste l’ouverture façon cuivres qui claquent, l’entrée des gladiateurs/le début du match de Quidditch, juste avant le gros bordel.
24. Excalibur Morte
Arthur retirant Excalibur du rocher - une nouvelle fois. On retient toustes son souffle ^^ Mais cette fois, elle s’enflamme, puis elle s’éteint. Ma théorie? Arthur ne croit plus suffisamment à sa tâche, à son rôle et en lui-même. Il faudra qu’il fasse un travail sur lui-même, qu’il se remette psychiquement de sa dépression et de sa tentative de suicide, pour qu’Excalibur retrouve sa couleur d’origine.
25. Arthur et les Musiciens
Là c’est marrant, parce que dans cette scène/ce morceau (Arthur qui a un moment “Eurêka” en regardant jouer les musiciens burgondes - en fait ils sont bons en musique, donc ils sont capables d’opérer en rythme!), on a un mélange de musique diégétique (à l’intérieur de la narration, donc ce que jouent les musiciens à l’écran) mélangée à de la musique extradiégétique (à l’extérieur de la narration, les cordes qui soulignent ce qu’Arthur pense à ce moment). Et puis il est sympa, ce morceau. Petit côté hippie des années 1970.
26. La Martyre
La martyre, c’est Shedda, qu’Arthur découvre blessée et battue dans les flashbacks. Je ne sais pas quel instrument est utilisé ici, mais c’est le même que dans “Furadja !” et c’est cool, parce que ça te place immédiatement dans un autre temps et un autre lieu. Et on sent, à la fin du morceau, que ça ne va pas bien finir, cette histoire...
27. Arthur à la Tour
Look, I’m basic. Donnez-moi un morceau au piano solo et je suis aux anges. Et “Arthur à la Tour”... C’est délicat, c’est doux, c’est grave, on sent le poids des années de complicité et d’intimité émotionnelle avec Guenièvre, pour qui il a fini par ressentir de la tendresse, et pourquoi pas plus? Cette scène, mes aïeux. J’avais les mains sur le cœur bien après le fondu au noir 🥰
28. Une autre Attaque Burgonde
Qui commence comme la première, sauf que là il y a du changement - c’est moins bordélique ! Et on passe direct à -
29. Désenchevêtrement
Now we’re cooking with gas, comme disaient les Angliches il y a cent ans. Le rythme est pareil que la précédente (et il me semble qu’on l’entend dans le trailer), mais là on va quelque part et ça s’entend :D
30. Excalibur Noire
Arthur vs. Lancelot. Et Excalibur qui flamboie froid. Pourquoi, ma foi, ça j’en sais rien...
31. Juste Judex
Mélange du flashback où Arthur découvre Shedda morte sous les coups de Furadja et tue Furadja pour la venger, et du présent où il se bat contre Lancelot en duel et décide de l’épargner. Autant je ne suis pas fan du flashback et en particulier de sa résolution, autant cette musique claque méchamment. @nael-opale​ m’a très justement (hah) fait remarquer que le texte vient du Dies Irae, un texte liturgique longtemps chanté dans la messe de Requiem. Les paroles en latin ça donne :
Juste Judex ultiónis, donum fac remissiónis ante diem ratiónis
Ce qui donne traduit littéralement,
Juste Juge de votre vengeance, faites-moi don de la rémission avant le jour du jugement
et si on préfère une traduction plus littéraire :
Tu serais juste en me condamnant, mais accorde-moi ton pardon lorsque j'aurai à rendre compte.
Arthur n’a pas pu/voulu pardonner Furadja pour le meurtre et le martyre de Shedda, et il ne l’a pas épargnée ; pas sûre qu’il veuille/puisse pardonner Lancelot, mais - comme Lancelot qui vient pour le tuer à la fin du Livre V et qui finit par le sauver - il refuse finalement de le tuer/juger.
Pour moi cette musique à ce moment c’est l’équivalent du “Duel of the Fates” de l’épisode I de Star Wars. En plus, juste avant on a les quatre notes qui font penser au générique de début du Livre V, histoire de bien enfoncer le clou dans nos cœurs 😭
32. La Mor le Roy Artu
Le moment qui fait mal ;___; D’abord parce que ce n’est pas la première fois qu’Astier utilise ce titre qui vient du Lancelot-Graal. Le Lancelot-Graal, ce sont des textes du 13ème siècle, d’auteur inconnu, racontant le roman de Lancelot, Arthur et Guenièvre, et l’effondrement final du royaume de Logres. D’après la version anglaise de la page Wikipédia, “The ruin of Arthur's kingdom is here presented as the disastrous direct consequence of the sin of Lancelot's and Guinevere's adulterous affair. Lancelot dies too, as do the other protagonists who did not die in the Queste, leaving only Bors as a survivor.” Whohoo! 🙃 Donc AA avait utilisé ce titre dans le Livre I, quand pour renflouer les caisses du royaume le Père Blaise faisait visiter “le tombeau” d’Arthur Pendragon, qui avait moyennement apprécié la blague. Là, le morceau est sombre, doux, et on voit qu’Arthur n’en a pas fini avec sa dépression, il ne s’est pas débarrassé de ses démons personnels pendant ses années d’exil, et la mort le taraude et le tente toujours. Il est sauvé in extremis par une des filles de Karadoc (Mehgan ou Mehben?) et son prétendant à moustaches et barbichette. La petite se doute visiblement qu’il y a quelque chose qui ne va pas (”Vous foutiez quoi, couché sur la table [avec la forteresse qui s’écroule sur vous]?”) mais pas le temps de tergiverser, il faut se casser, là, tout de suite.
La mort le Roy Artu raconte, ben, la mort d’Arthur, tué par Mordred. J’ose espérer qu’AA n’utilisera pas ce titre une troisième fois... 😬
33. Horsa !
Sting était super dans ce film 🥰 Même si des fois fallait un peu s’accrocher pour comprendre les dialogues. Si je me souviens bien, ce morceau correspond au moment où Horsa (et Wulfstan) négocient pour récupérer/garder l’Île de Thanet qui leur a été promise par Lancelot. Fun fact : d’après la page Wikipédia, “L’île fut cédée en 449 par le Britto-romain Vortigern aux chefs Jutes Hengist et Horsa, qu'il appela à l'aide contre les incursions destructrices des Pictes et des Scots. Ayant voulu les en chasser, Vortigern fut battu à Aylesford en 455.” On ne sait pas si Horsa (et Hengist) ont vraiment existé ou pas. Mais bon, ça fait des belles histoires !
34. Prêts pour l’Aventure
La fin du film, où on fait le point sur les personnages. On a de nouveaux Chevaliers de la Table Ronde, on a Arthur et Guenièvre unis, Lancelot qui se réfugie dans la tour en ruines où il avait enfermé Guenièvre et tombe sur... le fantôme de son père ? Et PAF, c’est là-dessus que le film se clôt. Mi-inquiétant, mi-triomphant, et la musique s’arrête net. J’aurais préféré un petit truc qui enchaîne avec le générique :-/ Mais ça donne sacrément envie de voir (d’avoir) KV2 😁
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lucileaa · 3 years
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POST KV1 (fanfic)
Après avoir vu le film, il fallait que je comble “les trous” de l’histoire d’Arthur et Guenièvre. Je n’ai écrit que des moments qui les concernent. Je suis même allée un peu plus loin pour la fin... Certains diront trop, mais peu importe ! :) Bonne lecture.
1.    INT. TOUR DU ROI BAN – NUIT
ARTHUR et GUENIÈVRE échangent un baiser. Ils entendent du bruit à l’étage. ARTHUR prend GUENIÈVRE par la main et ils s’enfuient.
2.    EXT. FORÊT – NUIT
ARTHUR et GUENIÈVRE courent et s’enfoncent dans la forêt.
GUENIÈVRE (essoufflée) : On peut faire une pause ?
 Ils s’assoient côte à côte.
ARTHUR : Venez là, vous tremblez de froid.
GUENIÈVRE : Je peux vous poser une question ?
ARTHUR : Allez-y.
GUENIÈVRE : Vous avez eu pitié, c’est ça ?
ARTHUR : Pitié ? De ? … Attendez, pas du tout.
GUENIÈVRE : Alors, vous avez voulu me faire plaisir.
ARTHUR : Quoi ? Absolument pas. Enfin si, mais c’est pas…
Cris d’animaux.
GUENIÈVRE : C’était quoi, ça ?
ARTHUR : C’est rien, c’est un ours. Écoutez…
GUENIÈVRE : Mon dieu, un ours ?
ARTHUR : Oui, ou un loup, ou les deux, peu importe.
GUENIÈVRE est terrorisée.
ARTHUR : Qu’est-ce qu’il y a, vous voulez rentrer ?
GUENIÈVRE acquiesce, inquiète.
ARTHUR : Allez, venez… Vous avez vu, je râle pas.
3.   INT. CHÂTEAU DE CARMELIDE – NUIT
Le lendemain, après la fuite de LANCELOT. GUENIÈVRE est dans sa chambre, devant sa coiffeuse. On frappe.
GUENIÈVRE : Qui est-ce ?
ARTHUR : C’est moi.
GUENIÈVRE : Entrez… Vous non plus, vous arrivez pas à dormir ? (Timidement) Vous voulez qu’on discute ?
Ils s’assoient sur le lit.
ARTHUR : Quand vous étiez dans la tour, comment vous avez fait pour pas…
GUENIÈVRE : Pour pas devenir folle ou pour pas me jeter par la fenêtre ?
ARTHUR : Oui. Enfin, les deux, quoi.
GUENIÈVRE : Je sais pas trop. Je me récitais des poèmes, je lisais. Je discutais avec la petite. Je pensais à ma famille, à la Carmélide, à… (elle le regarde) À des choses. Et vous, là où vous étiez, vous pensiez à quoi ?
ARTHUR : À rien. Je tannais des peaux, je graillais, je dormais. C’est tout. Je réfléchissais pas.
GUENIÈVRE : Vous vous êtes jamais dit que, peut-être, vous pourriez revenir ?
ARTHUR : Non. Je vais pas vous mentir.
GUENIÈVRE : À aucun moment ?
ARTHUR secoue la tête.
GUENIÈVRE : Et maintenant ?
ARTHUR : Maintenant, je sais pas... Ce qui est sûr c’est qu’il va me falloir du temps.
GUENIÈVRE : Oh vous savez, je sais ce que c’est d’attendre, j’ai eu des années pour m’habituer.
ARTHUR : Justement, après tout ce que vous avez vécu, vous avez pas envie de, je sais pas, moi, de tout envoyer balader et de ficher le camp ?
GUENIÈVRE : Vous savez de quoi j’ai envie ?
ARTHUR (déglutit) : Dites toujours.
GUENIÈVRE : J’ai envie de vivre comme je l’entends, de me lever le matin et d’aller où bon semble, de parler à qui je veux, de faire ce que je veux, sans avoir peur, ni la gorge nouée. Je veux plus avoir à m’inquiéter pour quelqu’un. J’ai envie de faire des choses utiles, d’avoir des responsabilités, de rendre service aux gens. Mais surtout, j’ai envie de faire des choses pour moi, pour une fois.
ARTHUR : Vous avez raison. Je sais qu’on peut pas tout effacer ni revenir en arrière. Par contre, on peut aller de l’avant. On peut essayer, en tout cas. A notre rythme.
GUENIÈVRE : Ensemble ?
ARTHUR : Ensemble.
Ils se sourient.
GUENIÈVRE : Bon, ben je… Je vais aller me coucher.
ARTHUR : Oui, oui. Tout à fait. Moi aussi.
Ils se lèvent d’un bond, un peu intimidés.
GUENIÈVRE : Vous…
ARTHUR : Je… ?
GUENIÈVRE : Non, rien.
ARTHUR : Vous voulez que je parte ?
GUENIÈVRE : Non. Vous pouvez rester. Enfin, si vous voulez, je vous oblige pas.
ARTHUR : Non, non. Mais oui, je peux rester. Si c’est ce que vous voulez aussi, bien sûr.
GUENIÈVRE : Oui, vous… Vous pouvez peut-être m’aider à dénouer ma robe ?
ARTHUR : Je peux.
Il défait les lacets de sa robe, embrasse son épaule et l’enlace, de dos.
ARTHUR : Vous avez un truc dans les cheveux, là.
GUENIÈVRE (se retournant) : Ah bon, où ça ?
ARTHUR l’embrasse. GUENIÈVRE se laisse aller. Ils s���allongent sur le lit.
4.   INT. CHÂTEAU DE KAAMELOTT – JOUR
Deux semaines plus tard, les anciens et les nouveaux chevaliers attendent le roi autour de la Table Ronde.
LEODAGAN : Mais qu’est-ce qu’il fabrique encore celui-là, nom de nom ? C’est pas possible. Ça fait trois plombes qu’on attend.
LIONEL : En effet, avec tout le respect que je dois au Roi Arthur, ce serait bien qu’il se hâte.
CALOGRENANT (à Merlin) : Dites, on va devoir encore attendre longtemps ?
MERLIN : J’en sais rien, moi. Il m’a juste dit qu’il venait aujourd’hui.
CALOGRENANT : Non, parce que j’ai promis à ma femme que je rentrerais ce soir. On prépare les festivités d’hiver.
LEODAGAN : Y a des fêtes chez vous, maintenant ?
CALOGRENANT : Oui, enfin moi, j’y vais juste pour picoler.
YVAIN  : Ça commence sérieusement à me saouler d’attendre.
BOHORT : Notre bon Roi a beaucoup à faire. Il est occupé.
LEODAGAN : Vous rigolez ? Occupé à quoi, à pioncer ?
MERLIN : C’est vrai que ça fait deux semaines qu’on l’a pas vu. Il sort pas de sa piaule.
BOHORT : Il est avec la reine. J’imagine… (gêné) qu’ils ont beaucoup de choses à se dire.
LEODAGAN : Ah ben, c’est nouveau ça ! C’est vrai que ma fille non plus, je l’ai pas vue depuis 15 jours…
KARADOC : L’autre jour, on est allés frapper à la porte de leur chambre. On s’est fait carrément rembarrer. Arthur nous a dit d’aller voir ailleurs s’il y était.
PERCEVAL : Et il y était pas.
MERLIN : La 5e fois, il nous a même balancé une bassine en pleine tronche.
LEODAGAN : C’est dingue cette histoire, qu’est-ce qu’il fichent tous les deux ? Ils écrivent un bouquin ou quoi ?
GAUVAIN : Mon oncle compose peut-être un recueil de doux poèmes en l’honneur du retour de la reine.
BOHORT (romantique) : Ils rattrapent certainement le temps perdu…
PERCEVAL : Ou alors, ils rédigent les règles d’un nouveau jeu. Une fois, mon frère a mis deux mois à m’expliquer les règles de la Tariscouète. Ça se joue avec une balle et on doit décaniller 328 pots en terre.
KARADOC : Ou alors, ils parlent de bouffe.
HERVE DE RINEL : Non, mais je les ai vus sortir y a une heure. Ils allaient dans le jardin.
ARTHUR entre enfin, décoiffé, des fleurs dans les cheveux.
LEODAGAN : Ah ben, enfin ! C’est pas trop tôt. On a failli attendre.
LIONEL : Bonjour, Sire.
ARTHUR : Excusez le retard. J’avais une affaire urgente à régler.
BOHORT (lui faisant des signes) : Sire, vous avez… des pétales de rose dans les cheveux.
ARTHUR : Ah, oui. C’est rien, ça. Laissez. Alors, de… De quoi vous causez ?
LEODAGAN : Ben, ce serait plutôt à vous de nous le dire, non ? C’est pas comme si ça faisait une heure qu’on vous attendait.
GUENIÈVRE entre. Elle aussi est décoiffée, avec des fleurs dans les cheveux.
GUENIÈVRE : Bonjour, bonjour ! Pardonnez-moi d’interrompre la séance, mais vous avez oublié ça et quand on… discutait, j’ai cru comprendre que c’était important.
ARTHUR (prenant le parchemin) : Ah oui, merci.
Tous se regardent et sourient, sauf LEODAGAN.
GUENIÈVRE : Bon, ben, j’y vais. Travaillez bien !
GUENIÈVRE sort.
LEODAGAN : C’est moi ou on dirait deux ados complètement idiots ?
ARTHUR : Ça va bien aller, oui !
LEODAGAN : Bon, vu que vous daignez enfin nous faire l’honneur de votre présence, on pourrait peut-être commencer ?
ARTHUR : Vous, vous avez de la chance que je sois de bonne humeur ce matin.
MERLIN : On sait pourquoi…
Ricanements.
ARTHUR : Bon, allez, allez. Au boulot !
5.   EXT. CLOÎTRE DE KAAMELOTT – JOUR
Trois ans ont passé. ARTHUR revient d’une bataille. Un petit garçon court à sa rencontre.
LOHOT : Papa ! Papa !
ARTHUR : Eh ! Comment ça va, mon grand ?
L’enfant se jette dans ses bras.
ARTHUR : Tu vas bien, mon chéri ?
LOHOT dodeline de la tête.
ARTHUR : Où est maman ?
LOHOT montre du doigt GUENIÈVRE qui vient vers eux en souriant.
GUENIÈVRE : Il court plus vite que moi ! Vous voilà enfin de retour…
ARTHUR et GUENIÈVRE s’embrassent. LEODAGAN et SELI marchent pour les rejoindre.
LEODAGAN : Je sais pas si je préférais pas quand ils se gueulaient dessus jour et nuit.
SELI : Ben, quand même. Vous êtes heureux de l’avoir, votre petit-fils, non ?
LEODAGAN : Oui, bien sûr, ça, je dis pas ! Mais toutes leurs embrassades sucrées et leurs roucoulades mielleuses, ça me file du diabète. J’ai envie de gerber. Pas vous ?
SELI : Bof, non. J’ai enfin quelqu’un qui apprécie mes tartes et qui les mange.
LEODAGAN grimace.
6. INT. CHÂTEAU DE KAAMELOTT – NUIT
Quelques semaines plus tard. ARTHUR se prépare à aller se coucher. Alors qu’il entre dans sa chambre, il trouve GUENIÈVRE appuyée contre une commode, en robe de nuit.
ARTHUR : Ah ben, vous êtes là ? Je croyais que vous deviez partir quelques jours en Carmélide avec le petit ?
GUENIÈVRE : Ma mère est déjà là-bas avec Lohot. Je partirai demain. Je me suis dit qu’on pourrait passer une nuit tous les deux tranquilles, sans le petit. Ça fait longtemps qu’on n’a pas eu un moment rien qu’à nous.
ARTHUR : C’est vrai. Mais là, honnêtement, je rentre de mission, je suis crevé.
GUENIÈVRE : Vous êtes fatigué ?
ARTHUR : Je suis mort.
GUENIÈVRE (riant) : Non, pas encore… Il vous reste bien encore un peu de forces, non ? Oh non, zut, j’ai déchiré ma robe.
GUENIÈVRE dévoile ses jambes.
ARTHUR : OK, bon… Je peux peut-être faire un tout petit effort. Mais vraiment un tout petit…
ARTHUR caresse ses jambes et fait asseoir GUENIÈVRE sur la commode. Celle-ci ferme les yeux et quand elle les réouvre, une lumière étrange brille dans son regard. Elle ne sourit plus. Le visage d’ANNA apparaît l’espace d’un instant.
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Loki Saison 1 Épisode 3 [1x03] Streaming Série tv VF Complet Gratuit VOSTFR
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Si la première de Loki canalisait le Brésil de Terry Gilliam, ce deuxième épisode m'a vraiment rappelé Mindhunter de David Fincher – et pas seulement parce que Tom Hiddleston et Jonathan Groff peuvent tous deux abandonner absolument le look cravate et coupe-vent. Cette série Netflix criminellement sous-estimée a également suivi deux agents des forces de l'ordre enquêtant sur un coin sombre de l'humanité (des tueurs en série dans ce cas). Et comme Loki, il a pris la décision inattendue de se pencher sur une dynamique étonnamment ensoleillée et optimiste dans la solide relation de travail de ses deux personnages principaux. Mindhunter était assez intelligent pour voir que la collaboration peut être aussi intéressante qu'un conflit, et Loki a la même sensibilité - même si cet épisode se termine finalement par Loki se tournant (enfin, elle-même) contre son nouvel allié TVA.
Cela ne pourrait pas être plus évident qu'avec le juge Renslayer et Mobius dans leurs chambres. C'est l'une des rares fois où nous avons quitté le dieu de la malice pour une conversation privée et bien que Loki soit manqué, les indices fournis dans cette scène sont au cœur du récit plus large de TVA. Nous avons également reçu notre première reconnaissance que l'énoncé de mission de cette organisation est profondément imparfait et extrêmement susceptible d'être endommagé. Une combinaison qui demande à être explorée comme Falcon et l'autorité corrompue du Soldat de l'Hiver n'ont jamais été. Renslayer mentionne que les gardiens du temps surveillent de près le cas de la variante et qu'il ne les a jamais vus aussi concernés. Le fait qu'une variante de Loki ait ces sorciers à cran est une perspective passionnante pour le conflit imminent de la saison. Cela ne fait qu'ajouter à l'intrigue que la majorité de TVA n'a pas encore rencontré les chronométreurs, y compris Mobius. Cela laisse beaucoup de place aux spéculations sur ces grands êtres, étant donné que nous n'avons que des mythes et des peintures murales comme preuve de leur existence. Mobius reste un écran de fumée louable, car il est impossible de croire qu'il nous trahirait. De nombreuses scènes tout au long de cet épisode vont jusqu'à suggérer qu'il est avec nous. Après tout, il est l'un des rares travailleurs de TVA capables de compassion. Cependant, Mobius rappelle cruellement à Loki qu'il dira au dieu tout ce qu'il doit faire pour réussir. Cela montre à quel point cette émission valorise la subtilité de Wilson et à quel point elle peut être utilisée pour développer l'homme de main à l'esprit doux de TVA. L'enthousiasme de Loki pour faire ses preuves auprès de Mobius, même lorsqu'il essaie activement de le poignarder dans le dos, est tout ce que vous pourriez souhaiter de ce maniaque fou. Loki chérie, tu ne peux pas annoncer que tu as dix longueurs d'avance sur quelqu'un et ensuite être surpris quand il te dit tout ton plan. Mais le fait que vous le fassiez nous apporte à tous une immense joie. Lorsque Kevin Feige de Marvel a récemment parlé de l'évolution de Loki, il a noté que "mettre Loki dans sa propre série procédurale est devenu le moment Eureka de la série". Cela est devenu un sujet de conversation parmi les fans parce que Loki a été simultanément promu comme un autre "film de six heures" et les deux concepts semblaient un peu s'opposer. L'histoire globale de Loki se marierait-elle bien avec les éléments d'un procès pénal ? Le premier épisode du dernier projet de petit écran de Marvel nous a donné un peu de trucs de bon flic / mauvais flic, avec quelques tactiques de salle d'interrogatoire entremêlées alors que Mobius M. Mobius d'Owen Wilson a pris la voie de " entrer dans l'esprit d'un meurtrier ", et le deuxième épisode de Loki continue d'adopter l'atmosphère procédurale. Un teaser assez traditionnel définit l'épisode 2 comme C-20 (Sasha Lane d'American Honey) et son équipe de TVA Hunters arrive à Oshkosh, Wisconsin au milieu des années 1980 pour enquêter sur une variante signalée en vrac lors d'une foire Renaissance. L'équipe est prise en embuscade par la variante de Loki tuant les Minutemen mentionnée par Mobius à la fin du dernier épisode, et "Holding Out for a Hero" de Bonnie Tyler accompagne le reste de la scène dans ce qui peut ou non être le plus profond. . en ligne. coupe que j'ai jamais vu. TERRIBLE IMPRESSION DE MISS MINUTES : Bonjour ! Vous vous demandez peut-être ce qu'est un « teaser » ou un « cold » ! Laissez-moi vous mettre au courant. Un teaser est une technique narrative utilisée au début d'un épisode télévisé pour intriguer suffisamment le public pour qu'il soit attentif. Dans les procédures pénales, c'est généralement le premier élément constitutif du mystère de cet épisode. Un bon rhume nous oblige à rester et à découvrir « qui est », pourquoi ou comment ! De retour à TVA, Loki apprend, ou apprend à moitié, ce qui se passe lorsqu'un événement Nexus passe la ligne rouge et qu'ils ne peuvent pas la réinitialiser : la destruction de la chronologie sacrée. Pendant le cours, Miss Minutes agit comme une Gal Friday que Loki apprécie peu malgré son enthousiasme, et finit par le traiter d'idiot. Ce qui est absolument. Cependant, la scène est délicieuse. S'il doit y avoir un Who Framed Roger Rabbit ? refaire dans notre avenir, mettez Tom Hiddleston là-bas en tant qu'Eddie Valiant et vous pourriez construire un pont solide avec ma suspension d'incrédulité.
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Humeur du dimanche soir en temps de pandémie à l’appareil bonjour !
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C’est comme si, j’étais au bloc opératoire et que je subissais une anesthésie…qui durerait depuis bientôt huit mois. Comme si les membres de mon corps entier étaient paralysés à mon insu, que seulement mon cerveau fonctionnait. Un peu comme dans un film que j’ai visionné il y a plusieurs années maintenant, où le mec est sur la table froide de métal à se faire ouvrir la cage thoracique, mais que son subconscient n’a pas ingéré la dose de morphine, donc il vit toute la douleur, mais ‘’en dedans’’ vu que son corps est inerte… je feel ça ouais depuis le début de cette putain de pandémie de merde. J’en suis à avoir la nostalgie de ma campagne française perdue du Centre, les champs de colza et de tournesol me manquent. Quand cela fait huit mois que tu veux rentrer, par pur égoïsme, parce que tu veux aller te faire cocooner chez tes parents, en espérant secrètement qu’ils vont te raconter un gros mytho à ton premier réveil en te disant que c’était juste un cauchemar et que tout va bien aller, qu’il ne faut pas que tu t’inquiètes, mais qu’en faîtes, tu ne peux pas parce que … 2e vague… pis certainement une 3e…jusqu’à la fin des temps ? Peut-être…peut-être pas.
Pendant ce temps-là, tu bouillonnes et tu hurles de l’intérieur quand tu vois sur les réseaux que certains vivent leur best life : influenceurs, vedettes de bas étages qui se font la main grasse en te refilant des codes promo de drop shipping, et qui eux se font des restos, BBQ au bord de leur piscine javellisée à foison, qui vont ‘’quad-der’’ dans le désert de Dubaï avec du gros son et qui s’en battent les corones du réchauffement climatique. Pas leur fucking problème… Au contraire, ils nous revendront des échangeurs d’air portables de poches avec boites en or strassée et mousqueton de ceinture pour le transporter ‘’facilement et sans soucis’’ lors de nos marches limitées autour de nos blocs de béton bientôt dans leur storys instagram et leur snapchat de shit.
Je bouillonne et je hurle parce que même si j’ai choisi ma vie d’expatriée, et que je suis frustrée de faire ce que je fais depuis 8 mois, et bien je me cantonne encore à ce que l’on nous insuffle : restez chez vous, pas de réunion, pas de rassemblement, pas de restos, pas de bars, pas de cinéma, pas de concert, pas de danse, pas de câlins, pas de ceci pas de cela : je me cantonne du mieux que je peux même si je suis rendue au point que je vais finir par parler à mes plantes dans pas longtemps parce que je suis plus capable de me parler à moi-même : je me supporte plus, je me radote les mêmes affaires, je casse trop les couilles : range ci, mange pas ça, oh...on pourrait redécorer la chambre hein ? pourquoi t’as pas mis tes chaussettes direct au sale là ?! T’as encore commandé des chaussures ? t’en a pas assez de paires dans l’armoire qui prennent la poussière ?? arf mais quelle plaie sérieux...et de deux : je voudrais bien, après un an et demi… VOIR MA PUTAIN DE FAMILLE !!! JE VEUX ÊTRE CAPABLE DE PRENDRE L’AVION ET DE RENTRER AUPRÈS DE MA FAMILLE C’EST TROP DEMANDÉ ???
 Et quand je vois que, malgré tous mes efforts et mon self-control dont je fais preuve et de la difficulté à ne pas sombrer dans une espèce de sale dépression dégueulasse qui frappe à ma porte chaque putain de matin que Dieu fait, je ne vais certainement pas pouvoir encore une fois rentrer voir mes proches : j’ai vraiment le bouillonnement qui devient sanguin et mes hurlements qui sont dignes de celui d’un démon de l’Enfer. Qu’est-ce qu’il m’avait expliqué l’autre déjà, qui se prenait pour la réincarnation de Gandhi là ? ah oui… Il faut arriver à faire le vide et trouver la paix en son soi intérieur. (des fois Tinder, ça a du bon).
Alors je ferme les yeux, je prends une grande respiration…je me concentre sur ma main qui tapote ma cage thoracique : toudoum, toudoum, toudoum… Je transporte mon inconscient et BIM !
J’atterris dans mon champ de tournesols…j’aperçois au loin une rivière…je me mets pieds nus et je marche dans l’eau froide. Le ruissellement fait des clapotis. Il est midi, le soleil chauffe, il est à son zénith. Je ferme les yeux et apprécie la chaleur sur mon visage. Au loin, j’entends les enfants qui rient et qui s’amusent.
J’atterris tout en haut du Mont-Eden. Je vois la Sky Tower émergente dans la brume de la ville. Le vent souffle fort, il assourdit tous les bruits autour. Le ciel est tellement bleu et sans nuage, qu’il se mélange au bleu de l’océan pour ne faire qu’un comme une infinité azure. Je prends une gorgée de mon Flat White double shot…et je souris.
J’atterris dans l’avion au-dessus de Cairns, avec le moniteur qui me pousse vers la porte et qui m’hurle : Come on Girl, it’s our turn to jump ! Ni une, ni deux le vide infini sous mes pieds, l’air qui me fait un lifting de la face et je plonge en position crabe, hurlant à pleins poumons, en kiffant cette adrénaline de liberté extrême qui te fais te sentir VIVANT.
J’atterris au milieu de la Médina…je respire les effluves d’épices et de thé à la menthe. On m’attrape les mains à chaque recoin des zouks : Madimoizelle…beau sac Channel !! Jus d’orange d’orange ? Viens voir mes belles babouches ! Cornes de gazelles bien poudrées de sucre dans la bouche et douceur de miel dans la main.
J’atterris dans le sable chaud corse, où les bateaux de pêcheurs sont ancrés et virevoltent au rythme des vagues. Bruccio sur mes papilles et chants de cristal dans mes oreilles. Marche dans le haut pays, calme et paix dans l’église du village et limoncello en fin de journée.
J’atterris à Paname, dans une voiture, ADO.FM à fond, dans les embouteillages du périph`, avec les remontées de gasoil dans le pif qui brûlent, à gueuler après tous ces cons qui ne savent pas conduire !
J’atterris en haut de la piste, poudreuse fraiche du matin…mes skis chaussés, mon masque sur le nez, descente à toute vitesse qui te met un coup de fouet.
J’atterris en haut du Stromboli. J’ai passé la nuit ici, à dormir dans le vent poussiéreux du volcan endormi, à la lumière des étoiles d’été.
J’atterris dans le fond de mon cœur : il y a une échelle qu’il faut grimper. À chaque niveau, je revis la passion à l’algérienne, la lasciveté à la brésilienne, la jalousie à la mexicaine, la dévotion à la portugaise, la galanterie à la française, et le bonheur doux à l’anglaise. Je décide de sauter de l’échelle avant le niveau du foutage de gueule à l’international. (J’ai le droit…c’est mon évasion psychologique de bien-être personnel…)
Cette putain d’échelle était haute…toi-même tu sais…mais j’atterris enfin dans une grande baignoire de nostalgie d’un monde que peut-être les moins de vingt ans ne pourront pas connaître, le temps où le monde accrochait ses lilas jusque sous nos fenêtres…oui je plagie Aznavour et alors quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? vous allez me dénoncer…pfff…comme je l’ai dit : C’EST MON ÉVASION PERSO…je suis libre ici, je peux faire ce que je veux c’est pourquoi : Merci d’être passé, mais la porte est derrière vous :  CIAO BYE ET BON COURAGE !!
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lamergelee · 4 years
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 42]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41] Le jour 42, Gustave fut à cheval avec Greta Garbo. Quand Gustave se réveilla, des rêves confus continuaient de tourbillonner autour de lui, comme un essaim de guêpes. Il sentait obscurément une menace dans l’appartement, dans la pièce d’à côté peut-être. Le corbeau venait-il l’insulter jusque chez lui ? Avait-il franchi sans encombre et sans bruit son verrou trois points à gros cylindre ? Il jugea plus prudent de se confiner sous la couette, pour commencer, après avoir poussé une chaise contre la porte de sa chambre. Il avait fait cette nuit le tour de ses nouvelles propriétés avec la voisine, qui avait pris les traits de Greta Garbo dans un film des années trente. Leurs chevaux allaient l’amble sur des sentiers jonchés de pétales roses, le long d’un large fleuve qui s’étalait paresseusement dans un suave crépuscule. Gustave se rappelait qu’il n’était jamais monté à cheval, il tremblait que Greta ne découvre la supercherie, il se souvenait d’avoir lu quelque part que la monture sentait les moindres frémissements des cuisses du cavalier, qu’elle pouvait se cabrer ou partir au galop si elle devinait sa nervosité, il mourrait bêtement dans la boue, son père en ferait des gorges chaudes au-dessus de sa tombe, mais il se calmait en prenant une large inspiration, il tâchait de se tenir droit, de porter son regard loin vers l’horizon comme Napoléon à Austerlitz, et justement, là-bas, oh ! là-bas ! un ravissant moulin de carte postale se dessinait dans la brume. À ses côtés, noble et tranquille, Greta portait une bombe de velours noir, caressait d’une main nonchalante la crinière tressée de sa jument, une fine cravache en bois de houx appuyée contre l’épaule. Oh, pensa Gustave, comme la vie mérite d’être vécue, quand on chemine à cheval avec Greta Garbo dans le domaine de chasse de Geoffroy Roux de Bézieux ! Ils l’avaient peut-être étranglé la veille avec un lacet de soie pourpre, d’un coup sec délicat qui lui avait épargné toute souffrance inutile. Il se souvenait mal. L’air était doux. « It’s good to be alive », disait Gustave à sa compagne, car ils échangeaient en anglais, plus adapté à la richesse, et qui leur venait naturellement dans la bouche au milieu des collines et des bois. Il avait tant de choses à lui dire, le temps pressait, il fallait vite l’inviter au pique-nique dans son couloir, décrire les oiseaux, nommer les arbres, l’éblouir enfin. Il pensait bêtement à son score de fragilité, il ne savait plus s’il devait être élevé ou non pour avoir droit à l’intubation, il pensait aux cellules éthiques de soutien, aux unités aiguës de soins palliatifs, à la main douce et chaude du docteur Rane, puis toutes ces choses lui parurent lointaines et futiles. Elles appartenaient à un monde confus de souffrance. Ici, dans le domaine, on respirait l’air pur des jours heureux. Alors ils échangèrent dans la langue du Financial Times sur le « relâchement de la vigilance des salariés », sur « la première et la deuxième ligne de front », sur le « dévouement des soignants ». « Ah les soignants, ce sont des saints ! » s’exclamait sa compagne en angliche. « They are saints ! » « On pourrait peut-être les béatifier collectivement », renchérit Gustave. Passé les premiers instants de crainte, il sentit ruisseler en lui la belle langue de « l’arbitrage entre contrainte sanitaire et libertés individuelles ». Au moindre début de tremblement, il prononçait tout haut en anglais : « Comité de suivi et de transparence », et toute sa vaine agitation disparaissait. « Conseil national de la résilience », murmurait Greta, et elle lui adressait un sourire doux et compréhensif. « Echanges concordants avec le souverain pontife », rétorquait Gustave, qui apprenait vite. Bien sûr, un petit caillou sur le chemin, une pente imprévue où la monture risquait de le faire culbuter et Gustave, qui ne changeait pas si vite sa nature nerveuse, se surprenait à penser : « Il existe encore des tensions d’approvisionnement », mais aussitôt la voix sonore et riante de Greta s’élevait dans les airs comme la Vierge Marie le 15 août : « Continuité d’activité, Cohérence et efficacité des mesures, Dévouement et gratitude, Comité de liaison avec la société ». Puis il songea malencontreusement à Tahar Azlout, agent d’entretien au Carrefour de Saint-Denis, à Aïcha Issadounène, caissière dans le même établissement, morts tous les deux du virus, et l’enchantement disparut. Quelqu’un avait dû le dénoncer car, contre la porte de sa chambre, il vit qu’un homme trapu aux petits yeux noirs et vifs, dans un complet gris clair, tambourinait avec un bloc-notes à la main. Assez curieusement, il était juché sur un poney Shetland à petite tête et large front. Deux policiers en uniforme se tenaient en arrière, l’air ennuyé. L’un deux bâillait en regardant sa montre. « Gustave F., je présume, vous reconnaissez votre identité ? » dit le trapu. « Oui, oui, bien sûr », marmonna Gustave, encore en slip. « Voici une sage décision, vous facilitez notre travail. Avez-vous des choses à avancer pour votre défense ? » « Si c’est à propos de Geoffroy… il me semble que c’est plutôt Greta qui a eu l’idée… » « Women, shit. Allez mon vieux, habillez- vous, on vous emmène. » (À suivre).
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Bilan Culturel Juillet 2020
Un autre mois, un autre bilan film ! J’espère, si quelqu’un lit ca, que vous serez inspiré pour regarder un film ou deux. N’oublions pas que les goûts son subjectifs et que mon avis ne compte pas plus qu’un autre :) Mes autres bilan ici : LIEN :)
Quand Harry rencontre Sally (6/10). C’est mon second visionnage. J’avais beaucoup aimé la premiere fois et ce second visionnage devait être pour moi la confirmation que se film soit dans mon Top films préférés. Bon donc non. Film sympa mais sans plus. 
Un monde pour nous (2/10). Second visionnage aussi. Je pensais ne pas avoir compris le film la première fois que je l’avais vu (car en VO et peut être mon anglais n’était pas top à l’époque) mais non c’est juste, pour moi, pas un bon film. Plus cliché romance ado on ne peut pas faire. 
2 automnes 3 hivers (7/10). J’ai aimé la façon dont était réalisé le film, j’ai aimé les acteurs, le fait que se soit un peu loufoque et drôle. Je n’en garde pas un vif souvenir (j’écris ceci 15 jours après l’avoir vu), mais je le conseillerais pour passer un bon moment. Vu sur Arte. 
La maison du docteur Edwardes (7/10). Un Hitchcock, j’aime toujours. C’est vraiment un bon film mais il est juste trop long. Il ne fait que 1h51 mais c’est trop, on rame par moment. Mais des personnages forts, dont le personnage principal qui est une femme, des plans suuublimes ! Vu sur Arte
Scout toujours (8/10) Bon là on joue sur mon enfance, film que j’ai vu trop de fois petite, revu en vacance à la TV et j’ai adoré revoir ce film des années plus tard. Ca me fait beaucoup rire. Drôle, joyeux, réconfortant. Vu à la tv.
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Pauline à la plage (7/10) Avec ce film je réalise que j’aime beaucoup les films de Rohmer, que je les aimerai encore plus en vieillissant. Mais que pour le moment ces sous entendus pédophiles me crispe. Bref Pauline à la plage comprend des plans magnifiques comme Rohmer sait en faire, des discutions sur la vie, l’amour auxquelles j’aimerai participer et de très bons acteurs pour incarner les personnages. Vu sur Arte. 
Certains l’aiment chaud ! (9/10) ADORÉ. Drôle, des plans incroyables, des répliques cultes, des acteurs de génie... ce film a changé ma vision du corps de la femme (mais ca c’est personnel). Rentre dans mes films préférés? À revoir !
Le genou de claire (7/10) Vraiment même avis que pour Pauline à la plage. Vu sur Arte. 
While we were here (5/10). Ce film est plein de potentiel! Il se passe en Italie, un couple qui ne s’entend plus, une rencontre.. Bref tout y est pour faire un bon film mais j’ai l’impression que tout est manqué. C’est un peu long, aucun dialogue interessant et l’Italie est mal filmé (je ne savais même pas que c’était possible de faire ca). C’est beaucoup de contemplation mais rrhh je ne sais pas comment expliquer mais je crois que c’est simplement pas bien fait. Il y a une bonne scène à mon sens dans ce film, une. Beaucoup de frustration.
Raging Bull (8/10). Mon premier Scorsese et c’était trop bien! La photographie, la bande son, les personnages, tout est tellement bien. Bon c’est du Scorsese donc à quoi je m’attendais aussi? Vu sur Mubi
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Tomboy (9/10). Nous suivons une petite fille qui se fait passer pour un garçon. On est donc entouré d’enfants, de leur innocence, de leur beauté. Les films qui suivent la vie des enfants me touchent beaucoup, celui ci ne déroge pas à la règle. Tous les personnages sont attachants, l’amour que l’on ressent en visionnant ce film est fou. Ce film c’est surtout l’histoire qui compte. Il n’y a pas de musique ou de plan devant lesquels on est ébloui mais l’histoire les amis ! l’histoire ! Bref allez regarder ca ! Vu sur FranceTV 
Little Miss Sunshine (8/10), un film feel good, parfait pour les vacances d’été. Une histoire de famille. Bon tout le monde connait ce film, j’ai beaucoup aimé. Vu à la TV
Il était temps (9/10). C’est mon second visionnage et c’est désormais un de mes nouveaux films préférés. Je pleure mais tellement pendant ce film. Tout me touche. C’est doux, c’est triste, c’est beau. Aussi une histoire de famille. Le réalisateur à fait plein de mes films préférés donc bon logique! J’adore! Vu à la TV
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merci si tu as lu ! Envoie moi les films que tu as aimé ce mois ci, je serai très intéressée! N’oublions pas que nous pouvons voir plein de films gratuitement! 
des bisous, portez vous bien :) 
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wlw asks tout doux
1. Depuis combien de temps sais-tu que tu aimes les filles ?
2. Parle d'une fille qui t'a fait réaliser que tu aimais les filles
3. Es-tu dans une relation de couple actuellement ?
4. As-tu un crush en ce moment ?
5. Décris ton crush!
6. Est-ce que tu aimes plus les filles masculines, féminines ou androgynes ?
7. As-tu une apparence plutôt féminine, masculine ou androgyne ?
8. Comment est ton gaydar ?
9. Filles grandes ou petites ?
10. Filles intimidates ou filles mignonnes ?
11. Câlins ou bisous ?
12. As-tu un "type" idéal ? À quoi il ressemble ?
13. Quel est ton trait de personnalité préféré chez toi ?
14. Quel est le trait de personnalité que tu préfères chez les autres filles ?
15. C'est quoi le meilleur dans aimer les filles ?
16. As-tu des amies qui aiment les filles ?
17. As-tu déjà été à une marche des fiertés ? Si oui, comment était ta première Pride ?
18. Aimes-tu le drapeau pour les lesbiennes ?
19. Comment était ton premier bisou avec une fille ?
20. Who was your fictional/celebrity wlw awakening?
21. Quel est ton film lgbt+ préféré ?
22. Qui est ta célébrité wlw préférée ?
23. Portes-tu du maquillage ?
24. À qui as-tu fait ton coming out en premier ?
25. Est-ce que quelqu'un a fait son coming out à toi?
26. As-tu trouvé une communauté lgbt+ ?
27. As-tu des personnes lgbt+ plus âgées que tu prends pour modèles ?
28. T'identifies-tu aux étiquettes butch/fem?
29. Quel personnage féminin qui aime les filles préfères-tu ?
30. Quelles expériences as-tu hâte de vivre (embrasser une fille, aller à la pride, etc)?
Traduit de @weisenbachfelded
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chaglt · 4 years
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Séville, mon amour (oui j’ai osé ce titre)
Soufflant.
J’ai cherché un mot qui résumerait mon voyage solo dans la magnifique Séville. C’est marrant, si je compare avec mon premier voyage solo pour mes 25 ans à Tenerife, je remarque l’évolution :)
Bref. Soufflant ça fait un peu penser à “soufflé” qui s’avère être un dessert. C’était si doux que ça pourrait l’être ma foi :) Peu d’heures de sommeil à la clé (-meilleure- auberge de jeunesse-du monde- oblige), mais reposant à la fois. J’ai rarement expérimenté l’instant présent avec tant de conscience. Oui je pars déjà en vrille, accrochez-vous. Charlotte la bouddhiste is back :)
Où commencer? J’ai tellement aimé TOUT. Allez, je commence par le début (petits chanceux que vous êtes).
- Méditer dans les jardins de l’Alcazar (quand je vous disais que mon self bouddhiste était de la partie).
- Manger des tapas complètement défoncés de fatigue (nous, pas les tapas), avec des gens du voyage. En l’occurrence une British-française ancienne auxiliaire de conversation au Japon (coucou Emma!), une Allemande trop choupinou qui veut apprendre à faire de l’ukulélé et un Irlandais bien sympatoche ma foi, qui essaye d’écrire des scénarios de films (si j’ai bien compris son accent un peu compliqué héhé). Le tout dans une petite ruelle de Santa Cruz SO Spanish.
- “Tomber” sur Plaza de Espana du haut de mon vélo (loué chez Bunny bike, ça rigole plus ici!) et avoir les larmes aux yeux. Littéralement. Oui, Charlotte l’émotive a rejoint la partie avec le DalaÏ lama, sinon c’est pas drôle.
- Me dire à maintes reprises “Qu’est-ce que je suis bien là :) Qu’est-ce que c’est doux.”
- Avoir du mal à me rendre compte de ma chance et sourire béatement. Tout le temps.
- Parler avec plein de gens de partout, se raconter nos histoires d’amour, de voyages, d’envies... Avoir des témoignages de voyageurs sur le long terme avec leurs histoires incroyables, comme cet Américain qui s’est retrouvé en auberge de jeunesse à Anvers avec les candidats pour la coupe du monde de breakdance. Normal.
- Avoir des conversations profondes avec des inconnus. Se sentir comme chez soi sans connaître personne. Cette liberté - wow.
- Parler allemand! J’ai enfin réussi à avoir une conversation, il est revenu! Merci les podcasts que j’écoute! YES.
- Dormir dans la meilleure auberge de jeunesse du MONDE!
https://www.labandahostel.com/
- Faire des selfies quand tu te balades solo dans de chouettes endroits et te marrer parce que c’est awkward.
- Tomber amoureuse de l’Alcazar. Te plonger dans l’histoire comme jaja.
- Avoir un premier “walking tour” (je sais pas combien de fois on a dit ce mot sur les 4 jours hahaha) du feu de dieu, avec un guide espagnol ayant grandi en Australie pour finalement revenir s’installer à Séville (tout ce qu’on aime).
- Apprendre des gros mots (que te den por culo, que te folle un perro) avec une Chilienne trop mimi et se marrer avec une British-française des traductions littérales françaises (”tirar” pour “baiser”, d’un cru! :D )
OUPS finalement je n’ai pas commencé par le début héhéhé!
Allez, après cette lecture iante-chi je vous mets quelques photos, vous l’avez bien mérité:
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Vue de la cathédrale pendant le “walking tour” (non je ne traduirais pas par “tour de marche”, même si j’en ai très envie).
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El Alcazar.
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Un de mes selfies awkward, dans un moment d’euphorie extrême. (Mais regardez tous ces détails! Non pas l’arbre, le reste! La belle plante à droite vous pouvez regarder, oui.)
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Mes toilettes.
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Le plafond de mes toilettes.
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J’aime tellement les palmiers. Je devrais peut-être en parler à un psy.
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Le fond de mon jardin.
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La cathédrale.
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La puerta del leon de l’Alcazar (non sans blague.. je me demande pourquoi elle s’appelle pas “la puerte del pingouin” tiens.)
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La tour Eiffel
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Un lapin sur un vélo.
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La Plaza de Espana. La photo ne rend rien du tout (oui, c’est le truc qui m’a émue de ouf, comme disent les petits jeunes)
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Angelina Jolie et sa moto.
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C’est pas trop moche ça va :)
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La terrasse du rooftop de l’hôtel en plein délire. Vous avez vu cette foule? (non en vrai c’est la vue qu’il faut regarder. Et le soir c’était blindé :) :) :) )
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Tadaaaaaaa!
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Vous n’êtes pas prêts pour ce qui va suivre.
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Tu m’expliques comment ne pas être euphorique devant tant de grandeur?
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Ils ont tourné un scène de Star Wars ici! y a Anakin qui s’y balade avec Leïla, dans le plus grand des calmes.
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Et la petite touche mignonne pour la fin :) Ils ont estropié mon nom, comme le Centro de Salud haha :) CUTE <3
Je n’ai pas mis de photos de mes rencontres car je n’ai pas leur autorisation. Du coup si ça tombe j’ai tout inventé et je n’ai rencontré personne. Et je me suis faite chier parce que la ville était pourrie et sentait le rat crevé. Vous le ne saurez jamais!!!
Je vais m’arrêter là pour reposer ce plein d’émotions et de sensations. Cette phrase ne veut tellement rien dire. J’ai tellement de choses à raconter, mais le cerveau tout serré comme dirait un de mes collègues espagnols trop chou.
Gros bisous! La bise! La baise!
Georges le magnifique.
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critiquequantique · 4 years
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Tops quantiques 2019 - CINÉMA
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J’espère que votre année a été fructueuse. De mon côté, malgré quelques complications, la décennie se termine de façon magique, avec une tête blonde sous notre toit. Le tempérament plutôt stable de cet heureux chamboulement (et surtout les mois qui ont précédé son arrivée, ne nous leurrons pas) m’ont tout de même permis de voir suffisamment de films pour concocter un top de cette cuvée 2019. Et elle s’est révélée tellement excellente que je double la mise de la fois dernière : vingt places pour autant de conseils-rattrapage. Let it snow !
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TOP 20 FILMS 2019
1. Midsommar de Ari Aster Un thriller anthropologique aussi ensoleillé qu’étouffant. Massif et sans concession, Midsommar engloutit nos représentations pour façonner une peur sophistiquée.
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2. Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma Tant de cruauté contenue dans un écrin si doux. La narration de cet amour impossible découle sur l’un des plus beaux plans de l’histoire du cinéma français. Encore plus beau depuis le combat, bien réel, d’Adèle Haenel.
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3. Parasite de Bong Joon-ho L’un des meilleurs cinéastes coréens accouche d’une fable sociale pleine de cynisme. Personnages féroces, intrigue acide, mélange des genres succulent.  
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4. Us de Jordan Peele Après le huis-clos Get Out, Us mise sur plus d’envergure. Le réalisateur chronique son continent à coup de symbolique souterraine. La première heure reste longtemps gravée en nous.
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5. Grâce à Dieu de François Ozon Le récit démarre en trombe : lettre d’un catholique père de famille abusé sexuellement par un prêtre quand il était enfant. L’horreur ne quitte jamais cette fresque glaçante tissée de faits réels. Ces trois portraits complémentaires mettent à plat la violence de l’immunité ecclésiastique. On en ressort lessivé, mais lucide.
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6. Long Shot de Jonathan Levine Une comédie romantique drôle, féministe, inspirée… Qui aurait cru qu’un film avec Seth Rogen pouvait se révéler aussi bon ? De surcroît, il incarne un personnage de journaliste bien écrit ! Un vrai miracle de Noël.
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7. Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino Lent, rempli de références et porté par un Brad Pitt au sommet de son art, le dernier Tarantino ne laisse aucun doute sur le plaisir qui a animé sa confection. À conseiller aux nostalgiques, à ceux qui n’ont pas peur de regarder le déclin droit dans les yeux.
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8. Yves de Benoît Forgeard Imparfait mais délicieux, ce nouveau délire de Forgeard reste en tête longtemps après son visionnage. Cette histoire de frigo qui fait du rap s’avère réjouissante, servie par une bande originale qui n’usurpe pas son qualificatif. Ça ne fera pas rire tout le monde, mais les amateurs d’absurde se régaleront.
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9. Marriage Story de Noah Baumbach Netflix produit parfois de bons films. Celui-ci brille par son casting impérial et son rythme maîtrisé. Les quelques scènes fracassantes sont diluées dans la lente agonie de l’idyle, et ce choix de structure renforce le propos.
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10. 90’s de Jonah Hill Un compte abrupt sur la propension à idéaliser qui traverse notre existence. Celle de l’enfance, du passage à l’adolescence, ici traité avec un recul touchant. Mais ce personnage de jeune skater illustre aussi la magnétisme inexplicable des durs-à-cuire plus âgés, l’envie hypnotisante de jouer les revêches.
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11. The Beach Bum de Harmony Korine Brûlant d’impertinence, comme d’habitude, l’instigateur de Spring Breakers rempile pour une nuit de débauche destructrice rappelant que l’argent n’a que trop d’odeur. McConaughey conjugue fond du trou et zénith intrépide.
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12. Sibyl de Justine Triet Triet et Effira, ça avait donné le génial Victoria, et on en redemandait. Sibyl plonge dans le cinéma, au propre comme au figuré, et tente l’auto-psychanalyse du triangle amoureux. Passionnant, mais juste un peu balourd sur son dernier quart d’heure.
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13. Le Daim de Quentin Dupieux Quentin sera toujours Dupieux. Aux commandes d’un Dujardin à dos de roue libre maîtrisée, il survole des landes mornes et les colore d’hilarants meurtres en série. Longue vie à ses délires millimétrés.
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14. John Wick 3 : Parabellum de Chad Stahelski Partie d’un nanard gentillet, cette franchise est en train de devenir une nouvelle référence du film d’action. Faussement pataude, l’intrigue a gagné en intérêt et dépasse le statut de prétexte aux chorégraphies armées, toujours somptueuses.
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15. Klaus de Sergio Pablos Ce long-métrage d’animation espagnol – très bien doublé en français, on retient Lutz, Viard et Berléand – se réapproprie la mythologie de Noël pour façonner un récit parfaitement ficelé. Réjouissant, original, parfait pour un réveillon en famille.
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16. Booksmart d’Olivia Wilde Surprise : le renouveau de la teenage comedy vient de Netflix. Authentiquement drôle, Booksmart renverse le genre et écrase ses pontes, Superbad en tête. Notamment grâce à sa galerie de personnages, jamais apocryphes.
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17. Synonymes de Nadav Lapid Un film sur l’immigration pas comme les autres, dans lequel le héros d’origine étrangère s’exprime dans un français extrêmement soutenu. Il reste démuni face à la complexité urbaine en dépit de sa verve et devient instrumentalisé par les solidaires d’apparence. Impitoyable démonstration.
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18. J’ai perdu mon corps de Jérémy Clapin Transi de mélodies célestes, ce dessin animé « pour les grands » déploie une expérience mi-flash-back mi-périple, et le tout sonne juste. Une courte escapade de poète, sensible mais pas fleur bleue.
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19. Mon inconnue de Hugo Gélin Bien plus incisif que le navrant Demain, tout commence, du même metteur en scène, Mon Inconnue comporte à la fois d’excellentes vannes et d’adorables séquences de romance. Benjamin Lavernhe s’y montre très en forme.
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20. Ralph Breaks the internet de Rich Moore et Phil Johnston Ce second volet élargit l’univers et en profite pour multiplier les clins d’œils malins, à des kilomètres des placements de produit putassiers du premier. Si on frôle parfois le gloubi-boulga numérico-GAFAM, la plupart des gags font mouche et le duo de pixels demeure plaisant.
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J’AURAIS AIMÉ VOIR : 
Les Misérables de Ladj Ly Deux Moi de Cédric Klapish Hors Normes d’Éric Toledano et Olivier Nakache Chambre 212 de Christophe Honoré Chanson douce de Lucie Borleteau
Et j’aurais préféré ne pas voir :
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FLOP 3 FILMS 2019
1. Captain Marvel de Anna Boden et Ryan Fleck Même en étant réceptif à l’écurie Marvel, cette proposition criarde s’avère insupportable. On n’avait pas vu une direction artistique aussi kitsch depuis Man of Steel, chez les zoulous d’en face.
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2. Glass de M. Night Shyamalan Il ne fallait pas placer beaucoup d’espoir dans ce cross-over qu’on rêvait pétaradant : il se révèle trempé jusqu’aux os. Fauché et soporifique, Glass sabote ses propres enjeux dès les premières minutes, et fait de même avec son climax. Quel gâchis.
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3. Yesterday de Danny Boyle L’inconstant Danny Boyle ne semble pas dans un bon jour ce coup-ci : il manque d’idées visuelles pour dynamiter ce what if paresseux. Reste quelques relectures jouissives des Beatles, pour peu qu’on se farcisse l’odieux imposteur qui les entonne.
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À très vite pour les tops Jeux vidéo, Jeux de société et Séries !
Boris Krywicki
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androzsandrez · 5 years
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Sheitan Café, nouvelle en 3 chapitres.
Sheitan Café
I
« Jean-Guy a récupéré ses oreilles, je répète : Jean-Guy a récupéré ses oreilles ! »
Branle-bas de combat au troisième étage de l’échec sûr, l’échec doux, l’échec tranquille. Les deux beaufs, comme toujours étaient prostrés debout, le corps raide et vouté, dans cette attitude naturelle de petits lèches-culs de merde. Étant obnubilés par l’écran de sélection de la machine à café de la mort, la créatrice de cancer liquide, leurs deux visages, mi-amorphes, mi-bovins, pivotèrent l’un en face de l’autre pour se rendre compte à quel point leur misérables vies étaient dans la merde. Ils se regardèrent à présent droit dans les yeux en haletant, leurs faces d’alcooliques notoires virèrent subitement au pourpre, et, pris d’un réflexe de survie, ils se mirent à courir dans le sombre couloir de type « enculé du tertiaire » non sans percuter à plusieurs reprises les murs, pour l’effet comique.
L’on pouvait entendre à présent, depuis la machine à diarrhée, en étouffé, « Putain l’connard y rentend ! » ainsi que des bruits de portes claquées en accompagnement.
C’est alors que le décor, matière inerte, comme si lui-même avait senti une présence capable à elle seule de pouvoir annihiler son existence, se distordu, se remodela pour accueillir un être singulier, une singularité dans notre monde physique : influençant de ses pas les glissements de plaques tectoniques, cet être lourd, cet être pesant le poids de cinq-mille ans de civilisation humaine, le poids du paradis, le poids de l’enfer, et qui, raconte-t-on, soulevait des typhons par sa simple respiration, pouvait changer n’importe quel homme en fric, et bien cette créature, à l’auguste visage taillé  dans un métal ésotérique arraché à quelque dieu obscur désormais oublié, dont les yeux fusillaient chaque atome de ce qui l’entourait, illuminés par la foudre, jugeant tous et toutes avec justesse, et bien cet être fait de feu lévitait à présent en direction de la machine à café.
Les deux malheureux beaufs eurent à peine le temps de se mettre à couvert en position de prosternation et regardaient maintenant le sol. Jean-Guy ne leur en tint pas rigueur, mais, continuant son chemin, une des météorites en orbite autour de sa taille entra en collision avec l’un des deux beaufs qui fut projeté sur deux mètres, mais, fort heureusement, (ou malheureusement, cela dépend de quel côté de la vie on a foutu ses pompes), il en ressorti indemne. Ce faisant, lui et son camarade redoublèrent de prosternations en psalmodiant une prière à la gloire du Juste Rédempteur avant de se faire immédiatement et pauvrement éjecter d’un simple mouvement de l’auriculaire de On-Sait-Qui-Oh-Oui-Putain-De-Merde.
Remettons cependant tout cela en contexte si vous le voulez bien : Jean-Guy aurait très bien pu se téléporter à la machine et se rendre invisible, etc…  Le fait est qu’il aime inspirer ses employés en se montrant de temps en temps, et sa surdité passagère n’est due qu’à un mauvais mouvement de ses divines mâchoires, rien de plus.
Il se prit un long sans sucre, le seul de la journée (les beaux gosses ne prennent pas de sucre et en plus ils prennent soin de leur estomac). Remuant son jus de déchets industriels à l’aide d’un de ces cotons-tiges supplément plastique qui trainent dans des conteneurs sous le soleil et la pisse de rats en Malaisie, le centuple dieu se dit pour lui-même : « Oh putain, je ne suis rien d'autre qu’une petite salope de bourgeoise de merde… Vite, je dois entretenir des rapports sexuels avec des bénéficiaires de la CAF pour me prouver à moi-même et au monde entier que je suis une personne hautement morale ».
La porte des toilettes s’ouvrit brusquement et l’on aperçut le visage du dénommé « Personnage A Haut Degré D’Identification Pour Le Téléspectateur » sortant des commodités en se reniflant l’index droit.
Ce faisant, il aperçut Jean-Guy, se stoppa net et esquissa un sourire des plus sadiques, des plus sidaïques, même. « Bah alors gros baltringue, on n’est pas en train de génocider la moitié de l’univers ? Dis-moi, le dieu de la merde, t’a pas envie de renifler mon doigt ? Je suis sûr que ta femme elle fait des pipes divines ! » .
Il n’avait pas fait attention aux avertissements de ses collègues.
« Oui ! Très bien et vous Personnage A Haut Degré D’Identification Pour Le Téléspectateur ! Les trois jours de congés dans les Vosges étaient-ils agréables ? Dit-il en simulant la surdité.
_ Bah écoutes Klaus Barbie, la prochaine fois que tu m’envoies couper du bois avec les gitans du 5eme, je te turbo-gode le cul avec une naine rouge. T’entends ça ? Connard !
_Oui ! Et bien figurez-vous que j’ai déjà testé, et qu’en réalité ce que l’on rapporte au sujet de cette pratique est  surfait, si vous voyez ce que je veux dire ! Haha ! » Il se retourne violemment devant l’autre gueule de dorade asphyxiée, le saisit par le col et se met à hurler : « POURQUOI, MALHEUREUX, AS-TU DÉCIDÉ DE RENIER TON PÈRE ET DE L’HUMILIER DE LA SORTE ? JE SAVAIS PERTINEMMENT QUELLES SERAIENT TES ACTIONS ET TU N’AS PAS DÉVIÉ DU PLAN QUE J’AVAIS ÉLABORÉ POUR TOI ! COMME TOUT A UN DÉBUT ET TOUT A UNE FIN, REJOINS A PRÉSENT LES TRÉFONDS DE L’ENFER CAR MA VOLONTÉ EST TOUTE-PUISSANTE ! » Jean-Guy plongea alors son regard de foudre dans celui de l’autre (trop chiant de dire son nom complait en vrai) ce qui fit prestement fondre ses yeux.
Beaucoup de cris, puis la musique du jingle retentit avec les crédits, le son s’atténue.
Dans une sorte de sursaut, le couloir de l’espace détente laisse place à une pièce aux dimensions fortement respectables selon les critères de notre temporalité (15m²). Les sources de lumières venaient principalement de la télévision et d’autre part par les rais de lumière des lampadaires perçants à travers les quelques trous du volet; ce jeu d’ombres et de lumières donnait du volume aux monceaux de détritus qui jonchaient le sol et les meubles de cette pièce lambda, telle une mer secouée par de mortifères vagues. Là se trouvait notre poisson rouge, presque camouflé par son habitat naturel.
Un jeune homme était affalé sur ce qui semblait être un canapé-lit déplié. Il s’esclaffait tout en tirant sur un appareil électronique qui émettait une fumée très opaque, très mate mais surtout orange.
Tranche de vie bon-enfant, normale, normative, adéquate, juste et qui sied à toute occasion chez la descendance en totale dégringolade d’une belle dame du temps jadis: notre très, très chère Rome, qui maintenant sait accommoder sa toilette de trois dents sur trente-deux, de cheveux dévitalisés et ébouriffés d’impotence sénile, du teint vert de l’ex ouvrier agonisant sur son lit d’hôpital, qui, prise de crises de folie dégénérative dans ce corps déjà atteint, on ne sait comment, de rugosité mortuaire, cherche désespérément l’air dans un râle de fin de race.
Il serait de bon aloi de nous concentrer sur le jeune homme en lui-même plutôt que de l’associer à son lieu de vie, ou bien serions-nous tentés de réaliser un Atlas de la chute de la civilisation en lieu et place de cette courte nouvelle.
Depuis la fin la fin du générique, une salve d’annonces publicitaires perçaient au travers du lobe frontal de notre échantillon, de notre boîte de pétri laissée à l’abandon dans un obscur tiroir d’une obscure commode. Trois minutes passèrent jusqu’à ce que des vêtements bariolés posés sur une enveloppe vide décidèrent de prendre vie et de saisir d’un téléphone. De même qu’un mouvement ascendant entraîne un mouvement descendant, un pantalon se baissait, puis un caleçon. Inutile d’expliciter la suite.
« Extrait de semence nouvelle mais pourtant passée » était le nom du désodorisant qui venait donner des notes de javel et de poiscaille dans un local très rarement aéré.
En ce début de soirée, au moment où la lumière donne à notre environnement des tons presque irréalistes, que l’on attribuerait à une représentation picturale d’un quelconque habitant de Bruges ayant les capacités techniques de donner forme aux pigments, au XIXe siècle, on a l’impression que le temps est suspendu, mais dans le mauvais sens du terme. Les atomes d’un lieu donné dans un contexte donné (celui du récit ci-présent, faut rester vigilant mais je sais que je m’adresse à des lecteurs intelligents, CQFD.) sont instantanément privés de leur liberté de mouvement et viennent figer l’air environnant, vos épaules, votre bassin et vos extrémités qui par la même occasion envoient à votre cerveau, non pas le message suivant : « Cerveau, je refuse de me mouvoir », mais : « Nous voulons bouger, Cerveau, mais sommes des corps étrangers non-reliés à ton système nerveux ».
Le fun commence précisément à ce moment. Car, prisonnier de vous-mêmes, vous vous servirez de cet état de faiblesse psychologique absolue qui ne concerne que vous, pour alimenter vos discussions vaseuses de tous les jours.
L’être humain est autocentré mais c’est dans ces moments-là, l’être humain pense à lui, et à sa place dans le monde, dans son monde. L’être humain est un animal social car il ressasse régulièrement sa petite vie de merde. Petite, rachitique existence de parasite social et donc émotionnel qui en vient à contempler son œuvre de destruction personnelle puis regrette au dernier moment, la même impression quand, devant un film que l’on ne qualifierait pas de « divertissement », donc de « sérieux », l’on se rend compte au cours des dernières trente minutes que l’œuvre en réalité ne fait que l’apologie d’un mode de vie basé sur la consommation et le jouir perpétuel.
Un chemin tracé à la bile et autres mauvaises humeurs se dévoile peu à peu au jeune homme, assoupi, membre flasque et poisseux à la main. De grandes batailles, la promesse d’atteindre une conscience de soi supérieure, une vie faite d’accomplissement personnel. Rien de tout cela, vous l’aurez compris. Seuls les derniers soubresauts d’un corps intoxiqué cherchant à repousser l’inévitable pour recevoir encore les mêmes stimuli dont il a été rendu dépendant toute sa vie, sur son lit de mort, telles seront les grandes batailles du jeune homme et ce qui influencera son chemin.
(Cela ne concerne en aucun cas le cerveau ensucré affalé sur son canapé, cependant, nous cherchons tous l’espoir, nous voulons tous voir l’espoir, nous voulons tous être positifs, au détail près que la marche de l’univers ne prend pas en compte ces menues considérations (vas-y, vas-y.). Un voile pire que sombre, flou, la promesse de lendemains toujours plus médiocres, et ces lendemains, entrecoupés par des signaux électriques nous tapant directement dans le fond de la rétine mettant en branle un système de récompenses hormonales couplé par la prise d’excitants et le tout saupoudré par de trompeurs moments de bonheur -car tout a une fin- et de pénibles interactions sociales, voilà ce qu’il nous est autorisé à éprouver dans l’ère de la régulation capitaliste de la population mondiale. Voilà la place de la descendance abâtardie du salaud de prolétaire européen, le cul large comme une bétonnière. Bien sûr que le peuple réclame, exige du pain et des jeux, des viles mains de ses maîtres.)
Les phares d’une voiture se garant viennent chambouler cette harmonie de stagnation. Le jeune homme, alors dérangé par une nouvelle salve de lumière artificielle, se tourne et continue à dormir cette fois dans une position cassée, bas du corps encore droit et solidement encré au sol et le buste, donc, torsadé sur son côté gauche, la main toujours collée à on sexe. Tableau résumant à la perfection l’état psychologique des masses présentes dans la temporalité de ce récit: les pieds scotchés à terre et le cœur se repliant sur lui-même.
Nous voyons la pièce dans laquelle trône le roi des connards en plongée et soudain ce spectacle, les détritus, le canapé, nous tape au nerf optique comme notre propre reflet dans un miroir de magasin de vêtements, calfeutrés que nous sommes, dans ces grotesques cabines d’essayage qui nous font découvrir de nouveaux aspects de notre laideur.
Vivre, la vivance équivaut déjà à la mort d’un homme dans l’univers, c’est à dire rien. La vivance dont il est question dans ce récit se rapporte donc au bruit que font deux grains de poussière lorsqu’ils s’entrechoquent dans un parking souterrain abandonné, dans une ville désaffectée, dans une région ayant subi un cataclysme. Qu’arrivera-t-il au jeune homme ? Nulle importance. Que représente le jeune homme ? Nulle importance. A-t-on besoin du jeune homme ? A-t-on besoin de toi ? Nulle importance ! Étant donné que ta dégringolade est assurée, ainsi que la mienne, et que les déceptions sont inévitable, et que par là même la fin de la race humaine est programmée, alors être optimiste dans la mesure où l’être mènerait à l’espoir, l’espoir à la croyance, la croyance à la certitude et la certitude au nazisme, alors pourquoi bon Dieu, Ô bon Dieu, le pessimisme mènerait au bonheur ? Du pessimisme à la dépression, de la dépression à la remise en question de soi, de la remise en question de soi la planification des actions et de la planification des actions à l’automatisme ? Nous serions tous employés de cafétérias dans ce cas.
Une personne censée ne doit pas chercher le bonheur comme but ultime à atteindre, personne n’en est capable. Elle devrait chercher à réaliser des actions qui la tiendrait au plus loin de la masturbation et d’un canapé-lit agrémenté d’un jogging de marque (de 2011 alors qu’on est en 2019) acheté en boutique de déstockage et d’un frigo rempli de soda, ou alors elle devrait commettre des actions qui l’auront poussé à finir comme dit plus haut. 
Petites morts sur petites morts nous nous désintégrerons quoi qu’il arrive et il n’y a pas en réalité de questions d’optimisme ou de pessimisme à nous poser dans la mesure où chacun fait comme il peut pour élaborer sa propre gymnastique mentale dans cet univers déjà absurde d’ordre, lui-même conquis par les gènes de la dégénérescence dont il nous a très « humainement » doté, offert.
Des chansons sur le suicide interprété par des pétasses de fashionistas espagnoles en « indé » sur youtube se masturbant sur mode.tv. et une parodie d’être humain sensé être à son apogée reprenant peu à peu conscience pour être enfin pris d’une peur panique, mortelle, qui lui fait se tenir la tête entre les mains, exécutant des mouvements de balancier avec son torse. Se remémorant alors, non, recollant les pièces du puzzle, il estime le degré de fumisterie de sa vie, et qu’il ferait mieux de se munir immédiatement du premier couteau qu’il trouve pour libérer quiconque, dans la rue, de cette funeste existence d’illusions. Soudain, avec tout le pathétique que l’on connait aux adolescents actuels en crise de mélancolie, il s’écrie de façon pitoyable : « Oh non, c’est vrai putain, j’suis une merde ». Il visualise alors tout ce qu’il pourrait changer en lui mais sa liste est trop douloureuse à énumérer et surtout à assumer.
Soudain, tel une alarme sonnant une attaque aérienne, le jingle de la fin des réclames s’impose ; à tous, et à lui; au début dans tout le bâtiment, puis dans tout le quartier et enfin dans l’Europe entière. Les frères beaufs sont en plein devant la caméra, la face fendue par un sourire de sacripant s’apprêtant à commettre quelque bévue. Le rythme cardiaque du jeune homme ralentit à mesure que les deux beauf entonnent leurs blagues bas du front, mais tellement très très l’humour.
«  T’en reprendrai bien un p’tit non ?
_Oh non arrête, dit-il en pouffant de rire, l’air gêné. »
Tirant alors sur son appareil, le jeune s’écrie : « Putain c’est quoi ce truc de merde là ? Allez lâche une caisse là! »
Beauf 1 présente subitement son index à beauf 2 : « J’te préviens Vévert, tu sais que t’as jamais résisté à l’appel ancestral hein ?!
_Oh et merde t’es con hein ! »
Une secrétaire s’avance en direction des deux comparses, des deux compadres, des deux couillasses au moment ou l’index est tiré. Bruitage de flatulence, la secrétaire (bonne au demeurant) qui se réfugie dans les toilettes après cette humiliation reçue, on ne sait comment, en plein visage puis enfin les rires gras des protagonistes se mélangeant avec ceux du jeune homme et de l’Europe, visages replets et gras.
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