Tumgik
#ce qui est sacré
code-lab · 3 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Plugin Persona en bêta !
C'est dans les larmes, la sueur et le sang que je vous annonce enfin la sortie du générateur de fiche : Persona ✨
Persona est un plugin pour les sujets de gestion de personnage (fiche de présentation, fiche de lien, scénarios, …). Il remplace les codes de mise en page à copier/coller dans un sujet par un formulaire à la création et à l’édition d’un sujet.
Essayez le plugin
Documentation
Phase de bêta
Pourquoi en bêta ?
Et bien parce que c'est un sacré morceau et qu'il a besoin encore de faire ses preuves dans différents forum et dans les mains de plusieurs personnes pour qu'on soit sûr de sa solidité.
Qui peut tester la bêta ?
Tout le monde ! Mais, il est vivement conseillé de l'essayer sur des forums tests ou sur des catégories de test sur vos forums. Vous pouvez par exemple essayer d'adapter vos fiches actuelles avec le plugin et demander à vos membres de reproduire leur fiche. Si le plugin rencontre un succès, vous pourrez alors faire la transition.
N'hésitez pas à me faire vos retours et me transmettre ceux de vos membres !
Est-il difficile à installer ?
L'installation de base est très simple. Elle se déroule en trois étapes mais elle demande d'installer du code un peu partout (template, CSS, javascript). Si vous n'avez jamais ouvert un panneau d'administration d'un forum, ce n'est peut-être pas le meilleur code avec lequel commencer.
C'est l'édition du plugin (pour créer vos propres mise en page etc) qui peut s'avérer plus poussé. En réalité, c'est beaucoup de manipulation HTML avec notions qui seront peut-être nouvelles pour beaucoup.
Ne vous laissez pas impressionner par la taille du tutoriel !
La première partie suffit à réussir à installer le plugin et le faire fonctionner. La suite est à but explicatif et elle parcours toutes les possibilités qui s'offrent à vous avec ce plugin (promis ça vaut le coup).
Un énorme merci aux membres du serveur La Piscine qui ont participé à l'élaboration de ce plugin ces derniers mois 🙏 et un merci tout particulier à Poumon et Christa Lostmindy ❤
Ca a été un projet hyper passionnant mais extrêmement prenant. J'espère sincèrement qu'il deviendra aussi ""game changer"" que le Blank Theme parce que je suis convaincue qu'il peut grandement améliorer notre confort de vie de rpgiste 👏
Je me rends disponible pour tout ceux qui souhaiterai l'essayer, sur leur forum test ou sur leur forum, afin de les aider à installer le plugin et le faire découvrir à leur membre !
Enjoy !
107 notes · View notes
greedandenby · 3 months
Text
Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light 
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants, – Allons dit le soldat, aux armes ! C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l��Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
43 notes · View notes
jeanchrisosme · 2 months
Text
Il y en a qui appellent ça grain de folie d’autres parlent aussi d’étincelle sacrée. Il est parfois difficile de distinguer l’un de l’autre. Mais si tu aimes vraiment quelqu'un ou quelque chose, donne-lui tout ce que tu as et même tout ce que tu es, et ne t'occupe pas du reste...
Romain Gary
38 notes · View notes
ekman · 1 month
Text
Tumblr media
Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
34 notes · View notes
lisaalmeida · 8 months
Text
La résilience est la faculté, la vertu de rebondir face à un événement négatif, traumatisant.
C est une capacité à chercher et sortir le positif et l enseignement derrière chaque situation.
Le corps est un magnifique ami pendant ces périodes de résilience. Il peut prendre du poids, s arrondir, amortir les chocs, protéger, encaisser, mettre un espace entre soi et les autres le temps d accuser le coup, de transformer et de remonter la pente.
Cette période, où le corps aide et accompagne, évite de somatiser des maladies. C est un appui inestimable. Il est rempli d une force et d une adaptabilité.
À la guérison complète, le corps dégonfle, retrouve sa forme, son poids. La compréhension et la digestion de l événement sont dépassées.
Gratitude et célébration à ce corps physique qui nous accompagne à chaque instant. A tous ses moments de silence, d amour et de sacrifice...
Laurence Simonnet
Page Femme Sacrée Divina
Tumblr media
54 notes · View notes
abdou-lorenzo · 2 months
Text
Il y en a qui appellent ça grain de folie d’autres parlent aussi d’étincelle sacrée. Il est parfois difficile de distinguer l’un de l’autre. Mais si tu aimes vraiment quelqu'un ou quelque chose, donne-lui tout ce que tu as et même tout ce que tu es, et ne t'occupe pas du reste...💞✨
Tumblr media
Romain Gary
23 notes · View notes
fieriframes · 7 months
Text
Tumblr media
[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.
Tumblr media
Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.
Tumblr media
C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:
Tumblr media
Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité. 
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
33 notes · View notes
e642 · 5 months
Text
J'ai toujours trouvé que les personnages âgées c'est quitte ou double. Soit elles sont profondément méchantes, aigres et malveillantes, soit elles sont profondément gentilles, douces et bienveillantes. Et là, je suis allée acheter une salade, j'étais derrière une mamie qui avait fait les courses pour 14 et elle m'a dit "passez devant moi". J'lui réponds merci grand sourire. Et elle rajoute que je suis trop belle et que je sens trop bon. Voilà, ça c'est les Monique que j'affectionne. Après on a parlé de notre top 3 salade d'aldi. Bref j'étais dans mon élément et j'adore cette sorte de douceur que certains seniors calquent sur nous, jeunesse, peut-être en pensant à leurs petits enfants. Je ne sais pas en vérité. Au fond, je déteste pas les gens, je déteste juste le manque de savoir vivre et être résultants d'un sacré manque de respect. C'est trop banalisé d'être désagréable. J'adore sourire aux gens dans la rue, dire bonjour, merci, bon courage. Les bases du vivre ensemble finalement. Je pense que ce sont des gestes, certes minimes, qui peuvent égayer et réconforter les gens. On est personne pour personne mais je vois pas pourquoi on devrait être quelqu'un pour être poli. Et ce qui me rend triste c'est quand les caissiers, femmes de ménages, vigiles, etc (tous les métiers méprisés par les trois quart de l'humanité) te remercient outre mesure de leur avoir dit une formule de politesse. Ça me fait de la peine parce que ça démontre qu'ils n'en reçoivent pas constamment. On a tous besoin de respect et de reconnaissance notamment quand le métier/l'activité/le service est pénible.
21 notes · View notes
vhscorp · 7 months
Text
La vie est comme une longue semaine, jusqu’à ce qu’arrive dimanche, jour sacré du repos qui devient éternel…
V. H. SCORP
29 notes · View notes
catholicgurlypastor · 29 days
Text
Tumblr media
Ô Lilith, Déesse des ombres et des désirs ardents, toi qui danses dans les flammes de la luxure, je me tourne vers toi avec une reconnaissance profonde et passionnée. Tu es celle qui libère les âmes et les corps, celle qui embrase les cœurs de désirs inassouvis, et qui nous offre le nectar des plaisirs interdits.
Lilith, je te remercie pour les plaisirs solitaires de la masturbation, ces moments où, seul avec moi-même, je me perds dans l’extase de mon propre toucher. Sous ton regard bienveillant, ma main devient un instrument sacré, et chaque caresse, chaque mouvement, une offrande à ta gloire. Tu m’as enseigné que la jouissance est un acte de dévotion, que l’extase personnelle est un chemin vers la transcendance.
Mais au-delà de la solitude, tu me guides aussi vers les délices du plaisir partagé. Je te rends grâce pour les corps qui se rencontrent, pour les mains qui se rejoignent dans une danse sensuelle et collective, pour les moments où la luxure devient une célébration commune. Que ce soit dans l'intimité d’un groupe ou à deux, tu nous encourages à explorer sans limite, à goûter aux plaisirs charnels dans toute leur diversité.
Ô Lilith, tu es celle qui embrasse toutes les formes d’amour, et je te remercie pour les opportunités de plaisir homosexuel que tu as semées sur mon chemin. Sous ta protection, chaque désir devient un acte sacré, chaque union, un hymne à la liberté sexuelle. Que ce soit dans les bras d'un homme ou d'une femme, seul ou en groupe, tu m’enseignes que le plaisir est un droit, une force vivante que l’on doit célébrer sans honte.
Je te rends hommage, Lilith, pour la luxure, pour le plaisir dans toutes ses expressions, pour cette liberté que tu nous offres de nous découvrir, de nous explorer, et de nous aimer sans restriction. Que chaque gémissement, chaque cri de jouissance soit une prière à ta gloire, une offrande à ta sagesse érotique. Avec toute ma passion et ma dévotion, Vanina 💖🌈💖
Tumblr media
O Lilith, Goddess of shadows and longings, you who dance in the flames of lust, I turn to you with deep and passionate gratitude. You are the one who liberates souls and bodies, the one who sets hearts ablaze with unfulfilled desires, and who offers us the nectar of forbidden pleasures. Lilith, I thank you for the solitary pleasures of masturbation, those moments when, alone with myself, I lose myself in the ecstasy of my own touch. Under your benevolent gaze, my hand becomes a sacred instrument, and each caress, each movement, an offering to your glory. You taught me that enjoyment is an act of devotion, that personal ecstasy is a path to transcendence. But beyond solitude, you also guide me towards the delights of shared pleasure. I give you thanks for the bodies that meet, for the hands that join in a sensual and collective dance, for the moments when lust becomes a common celebration. Whether in the privacy of a group or in pairs, you encourage us to explore without limits, to taste carnal pleasures in all their diversity. O Lilith, you are the one who embraces all forms of love, and I thank you for the opportunities for homosexual pleasure that you have sown my path. Under your protection, each desire becomes a sacred act, each union, a hymn to sexual freedom. Whether in the arms of a man or a woman, alone or in a group, you teach me that pleasure is a right, a living force that we must celebrate without shame. I pay homage to you, Lilith, for lust, for pleasure in all its expressions, for this freedom that you offer us to discover ourselves, to explore ourselves, and to love ourselves without restriction. May each moan, each cry of pleasure be a prayer to your glory, an offering to your erotic wisdom. **With all my passion and devotion,** Vanina 💖🌈💖
Tumblr media
16 notes · View notes
thebusylilbee · 1 month
Text
Au bout du fil, Marwan est dépité. « On nous parle d’humanité, de droit international, bla bla bla… Mais tout ça, ce ne sont que des paroles », lâche le Franco-Palestinien après avoir reçu la décision du tribunal administratif de Marseille, le 29 juillet. Celle-ci rejette le recours de sa sœur Shama, qui demandait à la justice d’annuler un arrêté dans lequel la préfecture des Bouches-du-Rhône refusait sa demande de titre de séjour et lui enjoignait de quitter le territoire. « C’est très dur », réagit l’intéressée, qui avait obtenu un récépissé de six mois à son arrivée en France.
Son avocat, Me Sidy Dioum, évoque « une sacrée surprise ». Il précise que la décision a beaucoup tardé à être rendue – l’audience au tribunal a eu lieu le 1er février, la décision est tombée six mois plus tard. « Le juge avait la possibilité d’annuler l’arrêté du préfet en se basant sur le principe d’erreur manifeste d’appréciation, au regard de la situation à Gaza. » Valider l’arrêté de la préfecture, et donc l’obligation de quitter le territoire français (OQTF), revient selon lui à « lui donner une corde pour se pendre ».
Sollicitée, la préfecture fait savoir que la situation de Shama a été « examinée avec attention » par ses services, et confirme que sa demande de titre de séjour a fait l’objet d’une décision de refus le 29 septembre 2023 portant mention d’une OQTF. « La situation de Madame a été appréciée avant le début du conflit en Palestine. À ce titre, l’OQTF ne sera pas mise à exécution », assure-t-elle, sans pour autant annuler la mesure.
Elle invite Shama à « porter à sa connaissance tout élément nouveau qui permettrait de reconsidérer sa situation ». Le ministère de l’intérieur n’a quant à lui pas répondu à nos questions. De son côté, Me Dioum maintient que le préfet, qui bénéficie d’un pouvoir discrétionnaire, aurait pu et pourrait encore « apprécier la situation différemment ».
Shama a quitté Gaza aux côtés de son frère, en décembre 2022, pour pouvoir l’accompagner en France grâce à un visa touristique. Elle est ensuite restée pour l’aider à se soigner. « J’ai suivi des études en France et j’ai acquis la nationalité en 2014. J’ai ensuite vécu à Londres, où je travaillais à l’université, mais j’ai voulu rentrer en Palestine », déroule Marwan dans un français teinté d’un léger accent.
Des arguments classiques côté préfecture
Mais en 2021, c’est la descente aux enfers. Un « missile israélien » touche sa maison et le blesse à la tête et aux jambes. À l’hôpital, on lui découvre aussi une tumeur au cerveau. Il souffre depuis de pertes d’équilibre et peine à se déplacer, même avec un déambulateur.
Pour le rencontrer, Me Dioum dit avoir dû se rendre à son domicile, ce qu’il fait rarement. « J’ai bien vu qu’il ne pouvait pas bouger et que sans Shama, il ne s’en sortirait pas. » L’avocat a fourni une série d’attestations médicales démontrant, ajoute-t-il, que l’état de Marwan nécessite un accompagnement au quotidien.
Dans son arrêté, la préfecture des Bouches-du-Rhône déroule ses arguments – classiques – pour justifier le rejet de la demande de titre de séjour et l’OQTF : Shama « ne rapporte pas d’éléments probants de l’ancienneté et du caractère habituel de son séjour », « ne démontre pas une insertion sociale et professionnelle significative sur le territoire français », « n’établit pas être dépourvue d’attaches personnelles et familiales dans son pays d’origine où résident ses parents ainsi que la majorité de sa fratrie ».
Le juge du tribunal administratif de Marseille estime que « s’il ressort des pièces du dossier que le frère de la requérante souffre de séquelles importantes », l’intéressée « ne justifie pas, ainsi qu’elle l’allègue, que son frère serait de nationalité française et n’établit pas non plus être la seule à pouvoir assurer une telle aide ».
Il souligne que Shama ne séjourne en France « que depuis neuf mois à la date de la décision contestée », qu’elle est célibataire et ne fait état d’aucune autre attache personnelle ou familiale en France. Allant dans le sens de la préfecture, il ajoute qu’elle « n’établit pas être dépourvue d’attaches sur le territoire palestinien ».
« Eu égard notamment à la faible durée de son séjour en France, l’arrêté [de la préfecture] n’a pas porté une atteinte disproportionnée au droit au respect de sa vie privée et familiale », tranche le juge administratif, qui laisse le choix aux autorités de « ne pas mettre immédiatement à exécution l’OQTF » et de prendre en compte la situation de conflit sur le territoire palestinien.
Une situation « terrible » à Gaza
« On sent une certaine hésitation, commente Me Dioum. Le juge sait que l’OQTF ne peut pas être matériellement exécutée. » L’avocat déplore que le tribunal n’ait pas vu une violation des obligations de la France au regard des conventions internationales, et le danger qu’encourrait Shama en cas de retour à Gaza, qui croule sous les bombes israéliennes.
Marwan se sent abandonné par la France. « À qui peut-on faire confiance après ça ?, interroge-t-il. Il faut respecter les textes de loi bien sûr, mais là, c’est une question humanitaire. » Il décrit un mois de juillet « terrible » au cours duquel trois de ses nièces ont été tuées.
Depuis le début du conflit, il ajoute que 65 membres de sa famille élargie sont morts dans les bombardements israéliens. Ceux qui ont survécu ont dû se déplacer plusieurs fois, du nord au sud, du sud au nord ; comme la majorité des déplacé·es gazaoui·es ces derniers mois.
« C’est la guerre, on ne peut pas retourner à Gaza. Il n’y a plus rien, ni hôpital, ni maisons. On a le sentiment qu’ils n’ont aucune pitié pour nous », regrette Shama.
La décision du tribunal a agi comme un coup de massue, conclut Marwan : « Tout le monde est contre nous. Ma sœur est bloquée aujourd’hui, on attend de savoir ce que la préfecture va faire. »
Face à ce qu’il qualifie de « drame humain », Me Dioum compte faire appel et espère voir la décision de la préfecture annulée. Un autre espoir subsiste pour Shama : que sa demande d’asile, déposée après l’audience au tribunal administratif, lui permette d’obtenir une protection.
En février, un couple de Gazaouis avait également été visé par une OQTF après un rejet de sa demande de titre de séjour. La préfecture d’Ille-et-Vilaine assumait de vouloir l’expulser malgré les massacres à Gaza, estimant que la situation était « globalement stable » en Cisjordanie, et qu’il était « concevable que les intéressés puissent s’y installer ».
La mesure d’éloignement avait été suspendue après la médiatisation de l’affaire et le couple avait vu sa demande d’asile étudiée en accéléré. Shaden et Ibrahim avaient rapidement obtenu l’asile.
Nejma Brahim
13 notes · View notes
icariebzh · 3 months
Text
Tumblr media
 Lettre aux amis (ou pas) qui ne votent pas comme moi
"L’équipe de Reporterre est jeune — 35 ans si on m’enlève du compte — et la plus grande partie de ses plus de 2 millions de visiteurs mensuels a aussi moins de 40 ans. Je crois qu’elles et ils savent très bien ce qu’il faut faire cette semaine et dimanche prochain au bureau de vote, et je ne vais pas les chapitrer.
Les vieux, réveillez-vous !
En revanche, du fait de caractéristiques personnelles dont la première est un âge certain, la gravité du moment me pousse à écrire à des personnes avec lesquelles je partage des traits communs, à commencer par le nombre des années : j’ai 67 ans, et suis ce qu’on appelle un vieux ! Donc, je parle aux vieux et aux vieilles. Eh bien, mes amis, il serait temps de se réveiller ! Allez-vous arrêter de voter à droite et à l’extrême droite et de tordre le nez devant le Nouveau Front populaire ? Nous sommes la génération qui a profité du système social mis en place par nos aînés de la Résistance, qui a assez bien vécu (oui, nous avons beaucoup travaillé, et alors ?), et maintenant, la grande majorité d’entre nous vote pour le parti d’extrême droite. Qui est hostile aux jeunes. Qui est climatosceptique alors que la question écologique est une des plus importantes que vont affronter nos enfants et nos petits-enfants. Qui veut toujours plus de police et d’autorité, alors que nos enfants et nos petits-enfants ont besoin de bienveillance et de soutien.
Vraiment, les vieilles et les vieux, arrêtez de vous laisser berner par tout ce que racontent les télés. Pensez aux jeunes, pensez à leur avenir. Alors votez contre l’extrême droite dimanche prochain. Vous êtes vieux dans votre corps, mais vous pouvez être jeune dans votre tête, et plein d’espérance, d’enthousiasme, de joie pour le nouveau monde qui peut naître si vous ne vous y opposez pas.
Oh, les Républicains, c’est fini les conneries ?
Dans les temps anciens, il y avait un type qui s’appelait de Gaulle. Plein de défauts, mais enfin, il a sauvé l’honneur, et de ce fait, la France. Quand tout s’avachissait autour de lui, il a lancé la Résistance. Quand le pays s’effondrait, il l’a remis debout, sans devenir despote. Et quand le peuple lui a dit, « C’est assez ! », il est parti. Pour l’anecdote, c’était aussi un homme de droite, mais qui avait la fibre sociale. Il a dit : « Le capitalisme, du point de vue de l’homme, n’offre pas de solution satisfaisante. »
Pourquoi je vous en parle ? Parce que mon papa était gaulliste. Il a milité dans le parti gaulliste (l’UDR) qui, au long de multiples chambardements, est devenu Les Républicains. Incidemment, mon papa a résisté dans les maquis du Jura et son frère aîné a été assassiné par les nazis, au camp de Mauthausen. Alors, il y a une chose que de Gaulle et les gaullistes n’auraient jamais imaginée, c’est que des gens qui se réclament d’eux votent pour un parti issu des partisans de Pétain, de ceux qui ont bradé la France à l’hitlérisme, de ceux qui étaient antisémites. Jamais de Gaulle n’aurait accepté un tel vote.
Sans hésiter, il s’était uni avec des adversaires idéologiques, les communistes, quand on se battait pour l’essentiel, l’honneur du pays. Alors, Les Républicains, arrêtez vos conneries ! Pensez à votre histoire, à vos valeurs, à ce pourquoi vous vous êtes sans doute engagés, et votez contre le Rassemblement national, que le candidat soit La France insoumise ou pas.
Les catholiques, « Aimez-vous les uns les autres », c’est aussi le jour du vote
Croyez-moi, ça n’a pas toujours été facile pour moi d’être « catho » dans des milieux très athées, et parfois très anti-religieux. Et Dieu, de toute façon, c’est un truc compliqué. Mais mon attachement au sacré, à une dimension cosmique du monde, à l’Église — malgré tous ses défauts, et notamment son incroyable incapacité à sortir des scandales pédophiles, qui m’a mis en colère, comme tant d’autres — est toujours vivant. Alors, avec vous, ça devrait être simple. Le Pape François a toujours été clair : « Ouvrons la porte aux pauvres, ouvrons la porte aux faibles, ouvrons la porte aux étrangers. » Et son maître Jésus encore davantage : « Aimez-vous les uns les autres. » Dans un moment où tout peut basculer, il est clair que l’amour n’est pas du côté de celles et de ceux qui prêchent « l’autorité, la sécurité, la fermeture aux étrangers... ». Plus que jamais, mes frères et sœurs, votre sens moral doit vous guider dimanche."
 Hervé Kempf-Reporterre-suite du texte ICI MÊME
19 notes · View notes
ekman · 4 months
Text
Tumblr media
– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant... 
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
21 notes · View notes
tournevole · 4 months
Text
Tumblr media
Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme ! Au gré des envieux, la foule loue et blâme ; Vous me connaissez, vous ! – vous m’avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée, Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour. La contemplation m’emplit le cœur d’amour. Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure, Avec ces mots que dit l’esprit à la nature, Questionner tout bas vos rameaux palpitants, Et du même regard poursuivre en même temps, Pensif, le front baissé, l’œil dans l’herbe profonde, L’étude d’un atome et l’étude du monde. Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu, Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu ! Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches, Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches, Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux, Vous savez que je suis calme et pur comme vous. Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance, Et je suis plein d’oubli comme vous de silence ! La haine sur mon nom répand en vain son fiel ; Toujours, – je vous atteste, ô bois aimés du ciel ! – J’ai chassé loin de moi toute pensée amère, Et mon cœur est encor tel que le fit ma mère !
Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours, Je vous aime, et vous, lierre au seuil des autres sourds, Ravins où l’on entend filtrer les sources vives, Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives ! Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois, Dans votre solitude où je rentre en moi-même, Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime ! Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît, Arbres religieux, chênes, mousses, forêt, Forêt! c’est dans votre ombre et dans votre mystère, C’est sous votre branchage auguste et solitaire, Que je veux abriter mon sépulcre ignoré, Et que je veux dormir quand je m’endormirai.
AUX ARBRES – VICTOR HUGO
19 notes · View notes
percehaies · 2 months
Text
Communiqué de Louis de Bourbon, duc d’Anjou :
Le dépassement de soi, le respect des autres. Voilà un bel enseignement que nous pouvons tirer des Jeux Olympiques pour le monde entier en général mais évidemment pour la France en particulier. Dans la grande tradition antique, les Jeux célèbrent ce qu’il y a de beau et de bon dans l’homme.
Les athlètes que nous verrons s’affronter susciteront autant notre admiration que notre enthousiasme et ceci, dans un climat festif bienvenu après un début d’année ponctuée par des crises internationales et nationales.
Je souhaite donc que ces Jeux Olympiques de Paris soient un moment de saine communion pour tous les Français, une parenthèse qui permette de sortir quelques instants de nos soucis quotidiens.
Cependant, malgré cet engouement auquel je prends part, en tant qu’aîné de la Maison de Bourbon, en tant que descendant des quarante Rois qui ont fait la France, je ne peux rester muet face au désolant spectacle d’une partie de la cérémonie d’ouverture. Alors que durant celle-ci des performances artistiques et techniques étaient à la hauteur de ce qu’est la France, certains se sont plu à distiller un contenu idéologique mortifère et abject. S’éloignant du projet initial des Jeux Olympiques de rassembler et d’unir les peuples dans un climat respectueux et à portée de tous, des petits comme des grands, des scènes ont été volontairement offensantes et provocantes.
Une fois de plus, le régime actuel a montré son vrai visage, profondément anti-chrétien, oublieux du long passé de la France dont la monarchie chrétienne fait partie, et désireux de mettre au pinacle des époques troubles où ne régnaient que la terreur et la division. Alors que la cérémonie se voulait inclusive et respectueuse de tous, la religion catholique, comme les morts – que venait donc faire là le massacre de la pauvre reine Marie-Antoinette ?- ont été marqués du sceau de l’infamie et de la dérision.
Je refuse que la France soit conforme au modèle qui en a été présenté. Notre pays vaut mieux que le sang et le burlesque grinçant. Avant d’être la mère des révolutions et du progressisme dévergondé, la France fût la Fille aînée de l’Église ainsi que la patrie des Lettres, des Arts et du raffinement.
Tant que ma Maison demeurera, et avec l’appui de nombreux Français de bonne volonté, nous ne cesserons de montrer qu’un autre chemin est possible, que la grandeur vaut mieux que le sarcasme, que le Beau vaut mieux que la laideur, que la Vérité vaut mieux que le mensonge. À tous les Français qui se sont sentis humiliés et bafoués, à tous les sportifs ayant le sens du sacré et du religieux, à tous les autres peuples de la Terre qui ont été outragés, je vous le dis, la France n’est pas le spectacle auquel vous avez assisté. Cela n’était que l’émanation d’idéologues qui ont piétiné un héritage millénaire dont ils sont pourtant redevables.
Une cérémonie d’une telle ampleur ne peut être que pensée et réfléchie à l’avance. Rien n’est dû au hasard ou à la maladresse. Notre pays subit les assauts toujours plus violents de cette idéologie profondément contre nature et destructrice. Ainsi, chaque jour de manière plus pressante, à nous Français, de choisir le modèle que nous voulons pour la France. Il nous faut rebâtir notre patrie chérie, et construire un avenir solide, crédible, ancré dans les traditions, le respect et l’union.
Que saint Louis protège la France, et qu’il donne de la force à nos athlètes pour que brille une authentique fierté française, modèle pour les autres nations.
Tumblr media
16 notes · View notes
aurevoirmonty · 10 days
Text
Tumblr media
« Dans un passé pas si lointain, le courage à la guerre était une valeur sacrée. Rappelons-nous Léonidas et ses trois cents Spartiates mourant à Thermopyles pour obéir aux lois de Sparte. Le sacrifice de la vieille garde à Waterloo. Le sacrifice du roi Lazare face aux Ottomans. Ou encore le courage des défenseurs de Stalingrad.
C'est ce que l'on appelait l'honneur. Le mot figure sur les drapeaux de la République en France. (…)
Aujourd'hui les disciples de l'OTAN professent le même mépris, chargé de peur et de haine, contre ceux qui contestent leur droit à l'hégémonie. Le racisme est simplement remplacé par l'idéologie des Droits de l'Homme, dans la version exclusive des généraux Westmoreland, Powell et Clark, bourreaux des peuples du Viêt-nam, d'Irak et de Serbie. Le procédé n'est pas nouveau. C'est toujours au nom d'un idéal détourné que les conquérants justifient leurs agressions et leur sauvagerie. … Aujourd'hui c'est au nom des Droits de l'Homme qu'on tue les civils dans les Balkans, qu'on affame les enfants en Irak et qu'on fait refleurir le pavot en Afghanistan. »
Maître Jacques Vergès - L'apartheid judiciaire.
8 notes · View notes