#cette scène était tellement... BELLE
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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The Alchemy

♡ Ship: Jason Mendal x Ysaline
♡ résumé : Ysaline se réveille dans le même lit que Jason Mendal...
♡ words: 1283
♡ ps : Bonjour! Avec la sortie d'Amour sucré NewGen, j'ai eu une envie d'écrire quelque chose sur Jason Mendal et... j'en suis plutôt fière de ce one shot ^^ qui continuera peut être ou peut être pas. Il n'y rien d'explicite. Merci de prendre le temps de lire ! <3
♡ ps 2: je l'ai écrit en écoutant Fortnight et The Alchemy de Taylor Swift ^^ beaucoup de mes écrits seront inspirées de ses chansons :D
♡ ps 3: Pas besoin d'avoir joué au jeu pour lire ;)


Le doux soleil de printemps caressait avec délicatesse le visage d'Ysaline. Elle ouvrit légèrement ses yeux avant de les refermer aussitôt à cause de la lumière vive. La brune se retourna avant de cacher son visage du soleil et de gagner quelques minutes de sommeil en plus.
Néanmoins, elle heurta un mur. Enfin, ce qu'elle pensait qui était un mur n'était autre que le dos d'un homme, torse nu à côté d'elle. Aussitôt elle se souvint.
Pourquoi avait-elle fait ça ? La personne avec qui elle partageait ce lit, n'était autre que Jason Mendal, qu'elle avait rencontré la nuit dernière. Enfin, " rencontré " si l'on peut dire... Jason l'avait invité à dîner dans un restaurant privé d'Amoris.
Ce qui était étrange, c'était les circonstances de leur rencontre. Les deux amants travaillent dans des boîtes concurrentes dans l'événementiel. Ysaline, suite à sa démission dans son ancienne boîte, a déménagé chez sa mère et a posé ses bagages dans cette ville. Bien vite, la jeune femme a retrouvé du travail, avec un entretien téléphonique d'à peine dix minutes. À l'entreprise Devenementiel.
Ysaline s'est très vite accommodé à cette entreprise et ses collègues plus... loufoques qu'elle n'ait jamais eu ! Elle les appréciait énormément.
Elle sentit une pointe de culpabilité lui provoquer une douleur à son cœur à cette pensée, ses yeux ambrés toujours fixés sur le dos nu de Jason, qui semblait dormir à poing fermés.
Que penserait ses collègues en la voyant ainsi ? Dans le lit de leur concurrent ?
Contrairement à ce que la scène pourrait laisser croire, il ne s'était rien passé entre les deux tourtereaux. Enfin, hormis des baisers langoureux, rien de plus. Ysaline ne souhaitait pas franchir ce pas, ça rendrait sa trahison trop... réelle pour elle.
Et Jason l'avait compris, sans qu'elle n'ait eu besoin de le verbaliser. Ils avaient un lien particulier où ils semblaient se comprendre par un regard, sans parole.
Après une longue contemplation de ce dos nu, Ysaline se tourna et regarda l'heure du le réveil high tech à sa droite. 8h13.
Elle pourrait s'éclipser discrètement, en laissant un petit post-it... ou rester ici et faire la grasse matinée, c'était Mercredi, elle ne travaillait que d'après-midi. Sa mère était en déplacement en Allemagne et sa sœur chez leur père. Personne ne l'a dérangerait.
L'idée de s'éclipser discrètement lui semblait être une bonne idée, elle se décala doucement du matelas afin de ne pas réveiller Jason. Elle rattrapa ses vêtements éparpillés dans la pièce et les enfila à une vitesse impressionnante. Ysaline remit son pantalon en état et s'arrêta à l'encadrement de la porte.
Pendant quelques secondes, elle ne bougea pas et réfléchit. Elle ne pouvait pas laisser Jason dans ce si grand lit. Elle mordait sa lèvre inférieure de culpabilité, décidément elle ne savait pas s'y prendre.
La brune se rapprocha donc du lit et se glissa par-dessus la couette, s'approchant du jeune homme. Son visage fin et séduisant semblait tellement… apais�� quand il dormait, Ysaline se surprit à apprécier cette moue. Elle passa une douce main dans les cheveux décoiffés de Jason, jouant délicatement avec les mèches grisées.
— La belle au bois dormant... on se réveille... Roucoula Ysaline, un sourire taquin aux lèvres.
La dite belle au bois dormant, grimaça un peu et ouvrit difficilement les yeux. Jason n'était pas quelqu'un de matinale, et encore moins avec quelqu'un qui partage son lit. Il mit quelque secondes à émerger de son réveil, Jason remarqua enfin Ysaline, qui était quasiment allongée sur lui.
— Bonjour à toi aussi chaton... Croassa Jason en glissant avec tendresse sa main droite dans les mèches rebelle de la femme au dessus de lui. Tu es déjà habillé ? Dit-il en baissant les yeux sur les vêtements d'Ysaline.
— Hmm hmm. Répondit la brune, sans entrer dans les détails. Avec son majeur et son index, Ysaline traça très délicatement les traits de Jason, partant de l'implantation de ses cheveux à la naissance de son oreille gauche, puis glissa avec douceur sur les traits fins de sa mâchoire avant d'arriver à ses lèvres, sans qu'elle ne le contrôle, son pouce passa instinctivement sur les lèvres légèrement rosées de Jason, celui ci l'a regardait avec tendresse.
— Je sais que je ne devrais pas mais... j'ai très envie de t'embrasser. Murmura Ysaline, de façon si discrète que Jason ne l'aurait pas entendu s'il n'y avait pas toute son attention sur elle.
Un sourcil levé, un petit air de défi sur son visage et Jason renchérit.
— Il n'y personne pour te retenir. Pendant qu'il parlait, les mains qui s'était, plus tôt, glissé dans la chevelure de Ysaline, descendirent sur les hanches de la jeune femme, les mains de Jason s'était refermé sur leur prises, tenant fermement la brune.
Ysaline hésita quelques secondes. Ce n'était pas du tout correct ce qu'elle faisait...On ne fricote pas avec l'ennemi... Enfin, dans ce lit, les deux n'étaient plus concurrents... Non ?
Ysaline se positionna correctement, enroula ses bras autour des épaules de Jason, une de ses mains passa derrière la tête de son compagnon et attrapa ses cheveux, elle faisait ça pour ne pas perdre pied, et puis ça ne dérangeait pas du tout Jason.
— Ferme là et embrasse-moi. Répondit Ysaline, ses lèvres frôlant celle de Jason, leurs souffles étaient liés. Elle avait bien senti que le corps de Jason s'était crispé à sa phrase. Il pouvait dire ce qu'il voulait mais il aimait bien quand Ysaline lui donnait des ordres.
Ni une ni deux, Jason suivit les ordres de son amante et l'embrassa. Il avait dû se relever et était désormais assis avec sa bien-aimée sur lui. Pendant une quinzaine de secondes, leurs baisers se contentaient d'être des baisers vifs. Mais Jason n'était pas satisfait, il en voulait plus, il était complètement addict à ses lèvres.
Sans hésitation, Jason attrapa la nuque de la brune et l'allongea rapidement sous lui. Leurs lèvres ne se quittant jamais. Désormais, Ysaline était sous lui. Sa main toujours sur sa hanche, se décala sur le côté de sa cuisse et la souleva doucement.
Jason allait retirer le t-shirt de son amante pour couvrir son ventre de baisers. Mais la poigne d'Ysaline dans les cheveux du brun se fit plus forte, lui disant d'arrêter
— Jason... avertit Ysaline. Jason releva la tête et eut un petit rire nerveux, heureusement qu'elle était là pour le ramener à la raison.
— Désolé...Répondit Jason, avec un petit sourire désolé, en remettant le t-shirt de la femme sous lui. Elle lui était reconnaissante de ne pas tenter plus. Jason se leva et s'allongea juste à côté d'elle. Il la contempla quelques secondes.
— Je peux t'embrasser ? Demanda Jason sa main droite caressant la joue d'Ysaline qui accepta d'un geste de la tête. Elle aimait qu'il lui demande son autorisation.
Après une longue séance de baisers humide, Jason allait renchérir pour un nouveau baiser quand une Ysaline essoufflée et rouge bloqua les lèvres de Jason avec sa main, il était presque 9h00 elle devait d'abord rentrer chez elle se changer et prendre une bonne douche.
— T'es mignon Jason mais je vais devoir y aller. Dit Ysaline un petit sourire aux lèvres. Jason fronça un peu les sourcils, il aurait voulu rester toute la matinée dans ce lit avec elle.
— Un dernier ? Demanda Jason en enlevant la main de la brune. Elle soupira, il avait le comportement d'un enfant de huit ans. Mais Ysaline lui posa un baiser vif sur ses lèvres avant de se lever. Elle caressa doucement les cheveux de Jason avant de s'en aller.
— Passe une bonne journée. Rit Ysaline en voyant la moue de Jason, puis elle s'en allait enfin.
Quand la porte d'entrée claqua, Jason tomba dans son grand lit vide qui sera froid dans quelques minutes. Il soupira. Elle lui manquait déjà.
#amour sucré new gen#eldarya#amour sucré#Jasonasng#jason mendal#devon okere#roy aquino#thomas rheault#amanda de lavienne#beemoov#otome game#Spotify
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Au Canada, l'équivalent des Victories de la musique sont les Junos. Ils récompensent depuis les années 70 la musique canadienne et ses créateurs. Mais dans un pays à majorité anglophone, il peut être difficile pour le bastion francophone de faire entendre sa voix.
Malgré quelques clins d'oeil au Québec, soulignons entre autre l'animation de la cérémonie par Célin Dion en 1993, le belle province s'est toujours sentie boudée par l'académie canadienne.

C'est donc pour cette raison qu'en 1978 est créée l'ADISQ (Association québécoise de l'industrie du disque, du spectacle et de la vidéo). L'année suivante, un gala est mis en onde afin de souligner le talent de chez nous.
Le trophée
Le prix Félix, nommé en l'honneur de Félix Leclerc ayant reçu le premier prix "hommage" lors du tout premier gala en 1979, représente une femme assise en position du lotus se coiffant d'un tiare. Le lien avec la musique? Il n'y en a pas. ^^
Les nominations
Ce sont les membres de l'ADISQ qui choisissent les nommés ainsi que les gagnants, sauf dans les catégories:
-> Atriste masculin de l'année
-> Artiste féminine de l'année
-> Chanson de l'année
où les gagnants sont choisis par un vote populaire.
Sans surprise, c'est Céline Dion qui possède la plus grande collection de Félix avec un total impressionnant 47 trophées, suivi des Cowboys Fringants avec 29.
SCANDALE!
Rien de mieux qu'un scandale, une prise de position ou une gaffe pour voler le show! Au fil des ans, quelques moments mémorables ont marqués les mémoires.
-> En 1982, Céline Dion perd dans la catégorie "révélation de l'année" face au groupe de la comédie musicale "Pied de poule". Qu'à cela ne tienne! On l'a remise dans cette catégorie l'année suivante où (oh surprise!) elle a gagné!
-> En 1983, Robert Charlebois gagne le Félix de la chanson de l'année pour "J't'aime comme un fou", écrite en collaboration avec Luc Plamondon. Le grand parolier en a gros sur le coeur et décide de régler ses comptes, dénonçant les maigres redevances des droits d'auteur.
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-> 1990! C'EST CÉLIIIIIIIIIIIIINE! La consécration de Céline se poursuit en 1990 où elle remporte le Félix de l'artiste anglophone de l'année... qu’elle refuse! C'est probablement le plus gros scandale de toute l'histoire de l'ADISQ parce qu'un Félix tu ne refuses pas ça et parce que... elle avait raison! Tellement que, l'année suivante, la catégorie a changé de nom pour: l'artiste québécois s'étant le plus illustré hors Québec.
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(Laure je ne m'excuse même pas pour le C'EST CÉLIIIIIINE)
-> En 2004, Richard Desjardins brille par son absence au gala. Recevant 2 prix, c'est l'animateur Guy A Lepage qui "accepte" les trophées à sa place. Dans un discours cinglant, ce dernier accuse le chanteur de manque de respect envers le public, ses pairs et l'industrie. Hors, il s'avère que Desjardins avait une bonne raison!
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-> L'année 2005 en est une toute en couleur pour Isabelle Boulay. Elle remporte le prix de l'artiste québécois s'étant le plus illustré hors Québec. Dans son élan vers la scène, elle s'arrête pour embrasser son ami Corneille, lui aussi nommé dans cette catégorie. Le problème c'est qu'Isabelle arrive ensuite sur scène avec la moitié du fond de teint de Corneille! Les joies du direct!
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Le gala cette année eu lieu dimanche dernier. Grand gagnant, les Cowboys Fringants sont repartis avec 6 Félix (dont 3 hors d'onde). Seul à leur échapper est celui de l'album succès populaire, à l'étonnement de tous, même d'Alexandra Stréliski, la gagnante!
Parlant d'étonnement, devinez qui qui était là aussi? Éh ouais! J'me la pète avec les VIP!




Je vous laisse sur la chanson de l'année en citant Jean-François Pauzé "tu nous manques mon Karlo!"
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenêtre du salon, sa cigarette lui brûlait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensées.
Il s'assit sur le canapé, puis vérifia son sac de voyage remplit de ses dernières emplettes. Gabin vérifia encore une fois ses papiers d'identité. Tout était en ordre , il était prêt à partir, il n'avait plus qu'à poser les charges d'explosif, bien réparties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il était content de son dernier repas , il l'avait dégusté avec ferveur, il savait que c'etait sa dernière tranche de foie avant de tout faire péter.
Gabin se souvint soudainement du soir où ils avaient fait l'amour sous une porte cochère, c'était à l'initiative d'Amelie, il avait cèdé volontiers à ses désirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les caméras au-dessus de leurs têtes.
En pensant à cette soirée, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congélateur où se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- à l'avenir ! dit-il en levant un verre à nouveau remplit
C'était en novembre denier, ils avaient loué une maison pour quelques jours, arrivés là-bas, trempés par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient très bien qu'il s'était demandé si elle allait lui arracher ses vêtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle à cet instant là.
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait très bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouï peut-être
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en écartant une mèche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce séjour qu'il avait pris la décision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'était pas sûr d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus être quitté, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvé très belle, il avait préparé un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'était l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tête de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment là, Gabin pensa à sa mère, étant sûr que le dragon c'était elle. Petit il sentait les muscles de sa mère quand elle le serrait très fort. Elle lui transmettait certainement ses désirs, son amour. Il se rappelle qu'il étouffait dans ses bras là . il aurait aimé être à la place de l'homme sortit de l'ombre mais à l'époque il était trop petit.
Un autre personnage assistait au loin à la scène mais on le distinguait très mal.
La vidéo avait connu un succès d'estime , elle était virale sur le net. Grâce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restèrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas être quitté, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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J'ai terminé Hadès et Perséphone, tome 1. Alors comme j'avais déjà dit, je ne suis pas le public ciblé par cette New Romance. J'ai trouvé les personnages trop clichés. Le grand beau à la sale réputation mais finalement plutôt sympa, la blonde insecurisée par sa mère, intelligente mais plutôt godiche dès qu'elle voit l'Homme, parce qu'il est omniscient et irrésistible. Et mystérieux, et si beau ohlala. Jamais fâchée très longtemps tellement ce mec a un physique qui l'électrise. Certains signes sont clairement des red flags, ce type veut la posséder mais comme il est beau, ça passe. Pour vérifier si un comportement est toxique, au cas où certains laisseraient un doute, toujours se demander si on l'accepterait de la part d'une personne très moche. Le pire étant que finalement on se rend compte qu'il avait ses raisons d'être toxique vu qu'il était amoureux et bon hein bien sûr en amour on a tous les droits (ironie bien sûr).
Autre raison pour laquelle je ne suis pas le public cible : la demoiselle est en conflit avec sa mère. Non merci, moi c'est fini tout ça, j'ai dépassé la crise d'ado, la crise de pré adulte (quand on quitte le nid pour les études), la crise d'adulte (quand on quitte le nid pour de bon) et j'ai même dépassé la crise de "j'ai un gosse, et je ne ferai rien comme ma mère a fait" du coup voilà je suis un peu passée à côté de cet aspect de l'histoire, qui pourtant donne lieu à une belle évolution de la demoiselle. J'ai apprécié cette évolution mais j'aurais préféré qu'un homme hyper cliché n'en soit pas à l'origine. On y lit quelques citations inspirantes sur les personnes qui évoluent et apprennent à s'affirmer, comme "personne n'a jamais guéri en regardant vers le passé" et je ne me souviens plus de l'autre citation inspirante, c'était à propos de l'amour et je me suis dit "ah wé, pas faux".
On y voit une version totalement décalée de l'enfer et ceux dont on attendait les vertus sont plutôt vicieux et vice-versa. Donc je n'ai pas été touchée, ni par les personnages, ni par l'histoire, ni par le dénouement, ni par les scènes un peu érotiques. Beaucoup trop de fois le mot "titiller" à mon goût. Si j'étais parfaite bilingue, je l'aurais lu en anglais, je suis persuadée (ou optimiste) que le vocabulaire anglais est plus fourni que la traduction française.
Par contre, ça se lit vite, c'est plutôt fluide et bien rythmé, voilà voilà. Ça plait à beaucoup de personnes et c'est normal, ça touche à des sujets importants comme l'amour, le doute, l'intégrité, le développement personnel. Petit bonus que j'adore, l'autrice a commencé à poster ses textes... Sur Tumblr ^^
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Journal du vendredi 11 Août 2023 / Le bal des voisines.
Une si longue absence. Journal d’Auvergne.
Dix photos à choisir sur plusieurs semaines de travail. Il y a forcément de la casse. Il y a des photos oubliées, mais aussi les voisines, parfois aussi bien, sinon meilleures que la photo sortie gagnante. D’obscurs calculs ont fait qu’elle restera…oubliée. Enfin pas tout à fait, puisque l’on a toujours la possibilité de revenir sur certains choix. Pour la photo d’aujourd’hui, c’est évidemment trop tard pour le travail commandé.
Retour sur un extrait de mon journal publié le 7 octobre 2022, avec la photo « d’à côté *».
« Samedi 12 mars 2022.
J’essaie généralement d’éviter de montrer dans ce journal deux photos du même sujet ou d’un même événement en même temps. Je l’ai tellement vu dans des magazines qui croyaient en insistant lourdement que ces parutions mettaient en valeur leur sujet, alors que je pense que cela ne faisait que l’affaiblir, par cette insistance qui ne finirait qu’à ne convaincre personne, médiocrité du traitement de l’information qui a contribué à la discréditer : lourdeur contre finesse. Je le fais parfois, comme avec des images de souvenirs personnels, mais le propos est différent. Trop de photos ne tuent elles pas la photo ?
Hier je publiais la photo du maire de Montaigut en Combraille posant au milieu des pompiers de la petite ville, une photo peut-être un peu à l’ancienne, quand poser pour le photographe était un honneur, ce qui n’est plus forcément le cas aujourd’hui. Cette scène fut suivie d’un défilé menant à la caserne des pompiers, défilé que je suivais en prenant des photos comme l’aurait fait peut-être un correspondant local, peut-être pas conscient que ces photos d’un quotidien à priori « banal » sont des photos décrivant la vraie vie de ces lieux un peu retirés du monde et qui se battent pour exister économiquement, pour exister tout court, tentant de survivre grâce à des hommes comme ce maire, par ailleurs ouvrier dans une usine qui, par ses emplois a sans doute permis d’éviter une descente aux enfers de cette localité.
Bref, tout cela pour vous dire que non seulement je raffole de cette démocratie locale, sans doute la plus vraie, la plus sincère, mais aussi de ses habitants qui se battent à leur manière pour que leur monde ne sombre pas avant la fin de notre monde.
Le défilé nous mena à la salle des fêtes avec des discours, des décorations et…de la musique de fanfare, et c’est là ou je voulais en venir. J’écrivais hier : « défilé en partant de la place de la mairie vers la salle des fêtes, avec au centre la fanfare. J’ai toujours aimé les fanfares depuis mon plus jeune âge. Cette musique me mets de bonne humeur, avec ses personnages qui la compose, ses percussions, parfois des fausses notes vite oubliées »…
Mais aujourd’hui, même si l’on a l’impression que la fanfare est joyeuse, je la trouve souvent triste, essayant de cacher cette tristesse en se donnant des airs de fête. C’est mon ressenti en écoutant cette musique belle et triste à la fois ».
* Photo publiée le 7 octobre 2022 et retenue dans les dix !https://alain-keler.tumblr.com/post/697431687295074304/après-une-si-longue-absence-journal-dauvergne
"Cette photographie a été produite dans le cadre de la grande commande nationale "Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire" financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BNF", sous le titre « Une si longue absence. Journal d’Auvergne ».
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Quand j'écris des histoires dans mon sommeil...
Aujourd'hui, je voulais vous montrer comment mes rêves m'aident pour écrire mes histoires, plus particulièrement les Chroniques de Tuzi.
6 janvier 2024
En pleine réflexion entre choisir La fiancée de l'hiver ou La fiancée du printemps, cette partie est devenue un prequel de 100-year-old rabbit spirit.
C'est la deuxième fois que mes rêves me soufflent des idées pour 100-year-old rabbit spirit. La première fois, c'était à propos de la réincarnation de Tianyang.
25 janvier 2024 :
Encore une illumination en rêve : Dans 100-year-old rabbit spirit, quelqu'un (Jiamin ou Yixuan) trouve une perle de jade et se demande quels pouvoirs cette acquisition va lui apporter. Vu le ton sur lequel ça a été dit, je dirais plutôt qu'il s'agit de Yixuan. Ce qui voudrait dire que la pierre de lune est en réalité une perle de jade, de couleur blanche. Suite à ça, j'ai fait des recherches. Il existe belle et bien du jade blanc, avec une symbolique intéressante : pureté, harmonie et noblesse. Quant aux bracelets de couleur verte, ils apportent harmonie et chance.
30 avril 2024 :
Le rêve que j'ai fait cette nuit est très intéressant, surtout le motif : Jiamin tient un éventail noir, tout en positionnant ses mains dans différentes positions, avec deux doigts dépliés. Elle porte une robe rouge dont le bas est un voile où sont brodés des croissants de lune superposés, et d'où partent des fleurs jaunes, à la verticale. Le tout forme plusieurs attrape-rêves. Il est dit que Jiamin est la personnification de la lune, d'où les motifs. Ça m'a tout de suite fait penser à 100-year-old rabbit spirit, puisque le motif de la lune y est récurrent.
Autres détails de ce rêve :
XueCong est présente aussi. Elle a également un éventail noir et une robe rouge, mais en plus moderne/contemporaine.
À un autre moment, on voit Yixuan et Tianyang (assistantes, portent des robes rouges). Elles se croiser pour dévoiler Jiamin.
Vers la fin, on aperçoit Yuling s'en aller, de dos.
21 juin 2024 :
J'ai rêvé que Yuling tenait le même accessoire que Li Hui. Malheureusement, ce n'arrivera jamais, puisqu'elle a quitté le groupe 🙃 Ça m'a quand même donné quelques idées : • Yuling trouve cet objet par hasard et comprend que Li Hui n'est pas celle qu'elle prétend être. Peut-être même que Yuling a compris qu'il s'agit en réalité de Yixuan, car elle a reconnu cet objet. • L'histoire de réincarnation n'a jamais existé, du moins pas pour Yuling, puisqu'elle vit encore. Ça marchera mieux ainsi, tant que je n'aurai pas trouvé une "fin" pour Yuling 🤔
24 juin 2024 :
Il y a un rêve que j'ai fait la nuit dernière et auquel je n'arrête pas de penser. Ça ressemblait à la performance de Ning Ke et Jiamin sur Strong wish, mais du point de vue de Yuling. Comme j'ai très peu de détails en mémoire, c'est difficile à décrire. Mais j'aimerais tellement m'en servir pour 100-year-old rabbit spirit ! Je me souviens que Jiamin a deux tenues différentes : une similaire à celle de la performance d'origine, et une autre beaucoup plus raffinée. Il y a aussi le rêve de cette nuit, "La légende de Ning Ke" (oui, je donne des noms à mes rêves !) :
La servante courre au milieu de deux rangées de lances noires. Les lances s'évaporent en fumée noire et deviennent des soldats qui se lancent à sa poursuite.
La maîtresse de maison rejoint la servante qui lui glisse discrètement une bague dans sa main.
Alors, la maîtresse de maison s'arrête et brandit la bague à la lumière.
C'est en particulier cette scène qui a rendu célèbre la légende.
Une sorte de génie à la taille démesurée apparaît devant la maîtresse de maison. Elle salue la divinité en lui disant « Nous sommes honorés de vous voir. »
Et c'est ainsi que le nom de Ning Ke fut donné.
16 septembre 2024 :
J’ai rêvé que dans Strong wish, la tenue de Ning Ke était blanche avec des motifs de pivoines violet pâle.
27 septembre 2024 :
« Jiamin just fox. Ning Ke a choisi. » Ces mots sont apparus cette nuit, entre deux rêves. Leur signification est encore obscure.
J’ai deux hypothèses : soit Jiamin est le renard et Ning Ke doit décider si elle reste ou non avec elle ; soit Ning Ke doit choisir entre Jiamin et Yixuan (le renard).
Après, je ne suis même pas sûre de la ponctuation. Ça pourrait tout aussi bien être « Jiamin. Just fox. Ning Ke a choisi. » Un peu comme un télégramme.
En tout cas, c’est intéressant et intriguant à la fois.
J’ai aussi fait un rêve où il est question de renoncules :
Jiamin et Yuling se croisent. Chacune soulève les pans de sa robe pour saluer, puis poursuit son chemin.
Soudain, Jiamin se sent mal et est obligée de mettre un genou à terre. Alors qu'elle tousse, elle entend Yuling faire demi-tour.
Gardant la main sur sa bouche pour masquer son problème, Jiamin lève les yeux vers Yuling. Celle-ci écarte la main de Jiamin.
Gênée, Jiamin détourne le regard. Yuling devine tout haut que le problème de Jiamin vient des épines des renoncules. Elle sort alors un morceau de coton enveloppé dans un tissu pour soigner la blessure située au creux de la main de Jiamin.
Là encore, le mot est sorti de nulle part. mais ce qui est intéressant c’est qu’en réalité, les renoncules ressemblaient plus à des pivoines. Et où est-ce qu’on trouve une pivoine ? Dans le mini-drama « A flower in three lives » qui m’a inspiré le spin-off sur Xiaoai (l’esprit de la jacinthe)
De plus, dans mon rêve, les robes de Jiamin et Yuling sont de style traditionnel ancien.
A l’état sauvage, les renoncules ressemblent aux boutons d’or. La couleur jaune peut soit être associée à la jalousie, ou alors au dragon jaune, ou le centre de la rose des vents…
Dans 100-year-old rabbit spirit, c’est surtout la couleur de Yuling.
Aussi, j’ai l’impression que cette histoire aurait sa place dans « A travers les saisons » (voir le sommaire). Sauf que Yuling a pris la place de XiaoHui !
29 septembre 2024 :
Dans ce rêve, Jiamin voit Yuling se promener avec une fille sur un pont, le genre de pont arrondi qu’on trouve dans les jardins japonais. Les habits sont de style traditionnel.
En les observant de loin, Jiamin se revoit à cet endroit, marchant elle aussi en compagnie de Yuling.
Pourquoi est-ce que ce n’est plus le cas ? Je ne sais pas exactement. Peut-être que Jiamin n’est plus de ce monde, ou peut-être qu’elle a rompu avec Yuling. Toujours est-il qu’elle est jalouse vis-à-vis de l’autre fille.
Jiamin réussit à l’attirer dans un endroit sombre (du coup, Jiamin est peut-être belle et bien vivante…) et lui dit que si elle (l’autre fille) disparaissait, on croirait qu’elle est soit morte, soit enfermée quelque part car elle est devenue folle.
Et si ces hypothèses reflétaient en réalité la situation de Jiamin ? Ce serait logique qu’elle souhaite la même chose pour sa rivale.
1er octobre 2024 :
Dans le rêve de cette nuit, Jiamin était une magicienne. Mais elle était aussi magicienne dans le sens où elle avait des pouvoirs magiques qu’elle utilisait pour se défendre. Son nom de scène/surnom était Tuzi. Et détail qui a toute son importance : Jiamin était blonde, comme dans les Chroniques de Tuzi !
3 octobre 2024 :
Le nouveau rêve s’appelle Rashomon (rapport à la chanson qui est utilisée)
(De gauche à droite) Yuling, Ning Ke, Jiamin et Xiaoai sont debout devant un rideau (voile épais noir). Yuling et Ning Ke ont un micro sur pied pour deux ; idem pour Jiamin et Xiaoai.
Xiaoai est blonde et porte une robe rouge. Ses cheveux sont ramenés sur le côté gauche avec un chignon.
Jiamin a les cheveux noirs et ondulés. Sa robe est couleur sable, avec une veste transparente assortie. La robe est également décorée au niveau du col avec une broche ronde et blanche avec un centre noir en relief. Elle a également un col blanc typique des tenues de la dynastie Qing.
Jiamin se détourne pour aller derrière le rideau. Xiaoai est sortie par les coulisses. Entre alors Ruiqi, habillée d'une robe violet pâle, de style Qing.
À travers une fente dans le rideau, apparaissent deux papillons fixés au bout de tiges métalliques. L'un est jaune, l'autre est bleu azur. Ruiqi les observe d'abord avec joie, puis semble remarquer quelque chose d'étrange à leur sujet.
À l'autre bout de la scène, Yuling apparaît entre deux pans de rideau avec un pipa. Le manche de l'instrument est décoré d'une fleur blanche. Les cheveux de Yuling sont rassemblés en une tresse sur le côté droit.
Alors que Yuling tient son instrument à hauteur de regard, on voit la main de Jiamin (cachée derrière le rideau, à gauche de Yuling) faire baisser l'instrument.
Comme vous pouvez le voir, je suis tellement investie dans mes histoires que j'en rêve la nuit !
#fiction#fanfic#fanfiction#imagination#ecrire#ecriture#snh48#team sii#100 year old rabbit spirit#plum rêve#rêve#toujours prendre les rêves au sérieux
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**La Maison de Poupée**
Émilie, une jeune fille de huit ans, adorait les poupées. Sa chambre était remplie de poupées de toutes sortes, mais sa préférée était une maison de poupée ancienne que sa grand-mère lui avait offerte. C'était une belle maison en bois avec des fenêtres finement sculptées, des meubles en miniature et des petites poupées en porcelaine, toutes parfaitement placées dans chaque pièce.
Un soir, Émilie remarqua quelque chose d'étrange. Les poupées à l'intérieur de la maison semblaient avoir changé de position. Elle était sûre d'avoir laissé la poupée du salon assise sur le canapé, mais maintenant elle se tenait debout près de la cheminée. La petite fille pensa d'abord qu'elle avait oublié de la remettre à sa place, mais cela se reproduisit plusieurs fois au cours de la semaine. Les poupées changeaient de position sans qu'elle les touche. Curieuse, elle décida de veiller tard pour voir ce qui se passait.
Cette nuit-là, elle se cacha sous ses couvertures avec une lampe de poche et attendit patiemment. L'horloge de sa chambre indiquait minuit quand elle entendit un léger grincement venant de la maison de poupée. Lentement, la porte de la maison s'ouvrit toute seule. Émilie retint son souffle alors qu'elle regardait les petites poupées en porcelaine se déplacer d'elles-mêmes. Elles marchaient et interagissaient comme de véritables personnes, vivant leur propre vie en miniature.
Émilie, effrayée mais fascinée, n'osait pas détourner le regard. Elle regarda une petite fille en porcelaine se balancer doucement sur une balançoire dans le jardin miniature, tandis qu'une autre poupée arrosait des fleurs avec un minuscule arrosoir. C'était comme une scène tirée d'un conte de fées.
Soudain, une des poupées se tourna lentement vers Émilie, ses yeux en verre brillant d'une lueur étrange dans la pénombre. La petite fille en porcelaine sourit, un sourire qui n'avait rien d'amical. C'était un sourire glacial, un sourire qui semblait savoir plus qu'il ne devrait.
Émilie sentit un frisson lui parcourir l'échine. Elle voulut fermer la porte de la maison de poupée, mais quelque chose l'en empêcha. Ses mains tremblaient tellement qu'elle ne pouvait pas bouger. Les poupées commencèrent alors à marcher dans sa direction, leurs petits pas résonnant étrangement fort dans le silence de la chambre.
Elle voulut crier, appeler à l'aide, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Les poupées grimpaient maintenant sur le rebord de la maison, s'approchant dangereusement d'elle. Juste avant qu'elles n'atteignent le bord, un cri strident retentit à travers la chambre.
Les lumières s'éteignirent brusquement. Émilie ferma les yeux, terrifiée. Quand elle les rouvrit, tout était redevenu normal. Les poupées étaient de retour à leur place, immobiles, sans vie. La maison de poupée était silencieuse et sombre, comme si rien ne s'était passé.
Émilie s'efforça de respirer calmement et se dit que tout cela n'était qu'un cauchemar. Elle se tourna pour allumer sa lampe de chevet et vit quelque chose qui lui glaça le sang.
Sur sa table de nuit, juste à côté de son lit, il y avait une nouvelle poupée en porcelaine. Une poupée avec de longs cheveux bruns et des yeux bleus. Une poupée qui portait une robe de nuit identique à celle qu'Émilie portait.
Mais le plus effrayant, c'était le visage de la poupée. Un visage figé dans une expression de terreur, une terreur qui ressemblait étrangement à celle d'Émilie elle-même.

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Le plan à 4 du métro
Le plan à 4 du métro
(100% histoire vraie)
Je viens vous raconter une histoire totalement rocambolesque qui m'est arrivée il y a environ 13 ans, alors que je passais encore beaucoup de temps dans le métro parisien.
J'avais pour habitude de traîner deux fois par semaine dans un bar qui s'appelle le Pop In, dans le 11ème.
Des groupes venaient jouer quasiment tous les soirs, et j'y ai découvert pas mal de pépites.
Là bas, j'y ai aussi baisé, dans la salle de concert, en plein show, quand tous les regards étaient tournés vers la scène. Mais ça, c'est une autre histoire...
Je me rendais donc là bas, nous étions en plein hiver (décidément j'adore l'hiver pour faire des rencontres!) et j'étais affublée d'un de mes fameux bonnets aplatisseur de cheveux (laissez tomber, truc de fille). Mais pourquoi je parle de ça me direz vous?
Je regardais dans le vague au travers de la fenêtre de la rame, rêvassant à je ne sais quelle partie de baise à venir. Oui parce que mes motivations étaient claires: pourquoi je traînais seule dans un bar si ce n'était pour me faire baiser...?
Je n'ai pas eu besoin d'aller jusque là ce soir là ...
Sorti de nulle part, un type je dois dire assez original s'assit en face de moi et me sortit une des disquettes les plus drôles que j'ai jamais entendu:
"Salut! J'ai trente secondes pour te dire que je te trouve magnifique et que la vie est courte et que j'adore ton sourire! Je descends là et on ne se reverra sans doute jamais"
Comme il me plaisait et que son approche était hyper directe comme j'aime, je lui ai bien sur donné mon numéro en lui disant que je me rendais au Pop In.
Par sms, il me dit que ce n'était pas son coin, que c'était dommage.
Le temps de commander un verre là bas et le voila qui débarquait! Monsieur était joueur visiblement...
La première chose qu'il me dit était que j'étais beaucoup plus belle sans mon bonnet!
J'ai beaucoup ri, sa remarque était tellement naturelle!
Nous prenions un verre à une table et je sentais déjà ses yeux me déshabiller.
Il était grand, brun, avec une barbe, et semblait tout froissé, tout abimé. J'appris plus tard qu'il était totalement défoncé, mais ça c'est encore une autre histoire.
L'excitation était montée très rapidement. Ce mec avait annulé sa soirée pour me rejoindre dans ce bar à l'opposé de là où il était censé aller; il avait déjà gagné.
Je n'ai jamais su son nom. Ou peut-être que si. Mais je l'ai oublié. Pourtant nous nous sommes revus après ça. Plusieurs fois. Mais il restera le mec du métro.
Parce que, bien sûr, il vivait près de chez moi!
Mais nous ne sommes pas allés chez lui ce soir là. Il ne m'emmena pas très loin, chez deux amis à lui.
Mes souvenirs sont plutôt flous, comme un grand brouillard. J'avais bu plus que de raison.
J'étais très excitée, et je me foutais de savoir ce que je faisais là, chez ces types.
Je voulais juste écarter les cuisses et prendre du plaisir.
Assis tous les quatre sur un grand canapé, tout le monde avait l'air bien défoncé, qu'on se le dise.
Cette soirée allait partir totalement en couilles jusqu'au bout!
Le type du métro me collait comme pas possible, à m'embrasser dans le cou, à mettre ses mains partout sur moi.
Nous avons alors commencé à nous embrasser passionnément. Je grimpais sur lui.
Comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe. Je me frottais contre son sexe en érection pendant qu'il me caressait les fesses.
La température montant très vite, il voulu qu'on se mette à part.
Cétait sans compter sur mon mal de cœur dû à l'excès l'alcool: j'eus besoin de m'allonger.
J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. Il m'allongea sur un autre canapé (Oui. C'était la maison des canapés là bas).
Le haut de ma robe remontait pour laisser entrevoir une certaine partie de mon anatomie.
Les deux autres types que je ne saurais nommés s'approchèrent alors et s'assirent au niveau de mon bassin.
Ils passaient leur temps à s'échanger des regards affreusement lubriques.
L'un d'eux remonta un peu plus ma robe et se mit à me caresser très doucement.
D'abord la cuisse. Puis il remonta lentement et passa un doigt entre mes lèvres.
"Regarde comme elle est belle!" dit-il à son ami, qui avait déjà sorti son sexe de son pantalon.
Ils se léchaient les lèvres comme des animaux assoiffés, tout en me caressant chacun leur tour.
Ils prirent chacun une de mes jambes pour la mettre sur eux et pour m'écarter au maximum.
Ils passèrent tour à tour leurs doigts sur moi, puis en moi. Je n'en pouvais plus, j'avais trop de désir et je ne savais pas quoi en faire.
Le mec du métro leur murmura un truc à l'oreille, et ils se mirent alors à se masturber en me regardant. J'étais là, je ne faisais rien si ce n'est comater à moitié les cuisses écartées, et eux se branlaient en me regardant.
Ils s'étaient agenouillés entre mes jambes et aimaient chacun leur tour enfoncer leurs doigts en moi et écarter mes lèvres. Ils me regardaient gigoter dans tous les sens, ça leur suffisait.
Tour à tour, ils se vidèrent sur mon bas ventre très rapidement. Quelle excitation! J'adorais ça
Le mec du métro, visiblement heurté, s'interposa et m'attrapa violemment par le bras pour me lever de là.
Dans la salle de bains, il me sortit un truc du genre "non, il n'y a que moi qui peut t'avoir"
Il me pencha sur le rebord du lavabo et remonta ma robe pour admirer mes fesses qu'il se mit à caresser puis à embrasser.
Il déboutonna son pantalon et me retourna pour que je le suce. Je m'exécutai...
Très vite, il me remonta à son niveau et me souleva contre le lavabo. Il s'enfonça en moi presque immédiatement.
Il était dur. Nous étions très excités tous les deux. J'aimais être un tel objet de désir que trois hommes bandaient pour moi en même temps.
Ses gestes étaient frénétiques, trop excité par ce qu'il venait de voir, il jouit en quelques mouvements.
Et je m'écroulais épuisée, entre fatigue, alcool et excitation.
Plus tard, ils me ramenèrent tous les trois à la gare de Villiers. Sur le chemin, le type du métro n'avait de cesse de garder sa main sur ma cuisse. Comme pour dire, celle là elle est à moi.
Arrivés à destination, nous sortîmes tous de la voiture, nous embrassant langoureusement pour nous dire aurevoir. Puis les deux autres types voulurent prendre mon numéro.
La soirée partit en bagarre générale quand le type du métro refusa que je le leur donne.
Coups de poing et engueulade totalement ridicules pour une affaire encore plus ridicule.
Heureusement, ils se calmèrent rapidement.
Je ne revis jamais ces deux types là.
Par contre, le type du métro et moi avons commencé à développer une relation un peu particulière...
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Scène 11 "Une femme mure sur la plage"
Je me délectais de cet instant, la vision de ses fesses découvertes, son maillot que j’avais repoussé si haut à force de masser ses fesses, ses hanches formaient une protubérance qui retenait l’élastique de son maillot qui se limitait plus qu’un triangle coincé profondément dans sa raie. Quel privilège pensais-je, de pouvoir contempler sa croupe en la surplombant, admirant sa chaire intime qui ondulait sous mes doigts pressants et caressants.
Je me retenais pour ne pas me hasarder entre ses cuisses jointes, glisser mes pouces dans cette intime partie lorsqu’elle bougea en tendant son bras vers ses fesses pour poser sa main sur la mienne, mêlant ses doigts aux miens. Je stoppais ma main à plat sur sa fesse droite, ses doigts se refermaient entre les miens
- Quel délice mon prince ! c’est plus qu’agréable ce massage, tu as des mains merveilleuses, quelle sensualité ! Elle s’exprimait en tournant la tête vers moi, avant d’ajouter en cherchant à taton la couture de son maillot
- Oh je pensais pas que c’était autant ! tu as largement dépassé le « un peu » petit coquin ! Son intonation était bienveillante malgré sa remontrance
- J’ai pas pu résister Julie, j’ai pas fais exprès, c’est tellement beau ! Je répondais en m’excusant d’avoir outrepassé sa consigne
- Comment ça tellement beau Titouan ? Tu trouves mes fesses si belles que ça ? Elles sont grosses plutôt ? Elle semblait surprise par mon propos plein d’enthousiasme
- Elles sont magnifiques Julie, j’aurai pu les caresser … masser encore des heures en les contemplant
- Elles sont encombrantes, pas si belles que ça mais merci Titouan, c’était très agréable vraiment. J’avais oublié cette sensation et si elles te plaisent tant, ça m’étonne mais ça me flatte ! Ajoutait-elle en donnant une tape sur sa fesse
- C’est du solide en tout cas ! Et elle se mit à rire en voyant mon air médusé par le claquement de sa main sur sa fesse
J’étais terriblement excité, l’entendre parler de ses fesses, voir sa main la claquer. Elle tenta de se retourner mais mes jambes la bloquait. Avant de libérer ses jambes, je ne pu résister à l’envie de me pencher sur ses fesses, les presser pour les réunir avant de poser mes lèvres sur sa raie profonde en l’embrassant avec gourmandise. Ce fût furtif, inattendu, je me redressais pour dégager ses jambes en voyant ma bosse qui faisait pointer mon short, elle se mit à glousser
- Oh ! Et bien j’ai vraiment l’impression que mes grosses fesses te plaisent Titouan ! Elle leva les yeux sur moi en rajoutant
- Je ne savais pas que je pouvais faire autant d’effet à un jeune homme ! C’est troublant mon prince !
Elle s’était retournée, allongée sur le côté, j’étais toujours à califourchon sur ses jambes, les genoux enfoncés dans le sable. Elle pouvait découvrir mon érection qui pointait fièrement dans mon short. Sa hanche encore dénudée paraissait si large, sa fesse si charnue. De profil, son maillot relevé au plus haut sur sa hanche dévoilait les bourrelets de son ventre, un ventre mature et douillet, des poils pubiens foncés s’en échappaient. J’étais en extase devant ce que je découvrais le temps qu’elle se tourne, elle cherchait une position, les jambes posées l’une contre l’autre, son corps en Z, elle repliait son bras pour poser sa tête dans sa paume
- Vous me faites rêver Julie ! si vous saviez à quel point je vous trouve belle, vous me faites fantasmer, je n’aurai jamais imaginé vivre ce … ! Je m’arrêtais net en voyant son bras s’étirer vers moi, posant sa main sur ma bosse.
Elle me regardait avec des yeux tendres, encore embrumés par mes caresses
- Mon pauvre Titouan ! Ca doit te faire mal d’être serré comme ça … elle poursuivait en ajoutant
- Tu sais, moi aussi j’en ai très envie …
En découvrant son maillot relevé sur ses hanches, elle se redressait pour s’assoir en repliant ses jambes. Après avoir réajusté son maillot pour couvrir ses hanches et son ventre, plus pour cacher ses bourrelets qu’elle trouvait « disgracieux » disait-elle en tirant sur son maillot.
Je l’écoutais les yeux pétillants en m’asseyant en face d’elle, toujours gêné par cette érection qui ne me quittait pas. Elle avait raison ça me faisait presque mal, j’avais besoin de me donner de l’air dans ce short. Elle me répétait qu’elle ressentait elle aussi cette envie d’aller plus loin. Prenant un air compatissant, elle m’expliquait qu’il lui fallait un peu de temps et puis même si la plage était déserte, elle se sentait mal à l’aise pour faire l’amour sur la plage.
J’étais attentif et troublé par ce qu’elle m’avouait, l’envie de faire l’amour avec moi ! Jamais je n’avais ressenti une telle émotion, mon coeur cognait dans ma poitrine, mes yeux brillaient. Elle aussi, je la sentais émue en me parlant. Elle me disait combien ça lui faisait drôle, de ressentir ce désir pour un si jeune homme, elle s’excusait comme si mon âge lui paraissait bien trop jeune mais finissait par me faire comprendre que jamais elle n’aurait imaginé avoir une relation aussi intime avec un homme de 30 ans de moins qu’elle. Depuis quelques jours, elle s’interrogeait sur ce que ça pouvait signifier, ce qui se passait entre nous, cette attirance ébranlait ses principes et pourtant elle me confiait que depuis son divorce, elle ne s’était pas sentie aussi proche d’un homme.
J’osais à peine lui avouer ce fantasme qui me tenait depuis des années, encore moins avec une femme de 58 ans, ni une telle femme que je trouvais de plus en plus belle, avec autant de classe et de douceur. Je la rassurais en lui confiant que je n’aurai jamais imaginé non plus avoir une relation avec une femme de son âge, qui paraissait aussi inaccessible quand j’évoquais notre première rencontre. Je finissais par lui avouer que je vivais un rêve et que je serai patient même si je ne pouvais m’empêcher de la désirer et même si j’avais 31 ans de moins qu’elle, puisque depuis aujourd’hui »hui nous avions 31 ans d’écart.
Elle en riait presque nerveusement, réagissant à ma remarque. Malgré tout, elle se sentait rassurée par ma compréhension et ma patience tout en me confiant qu’elle préférait que notre relation reste entre nous, me disant à demi-mot de n’en parler à personne. Je lui promettais que jamais je ne ferai quoique ce soit qui puisse la contrarier et puis si elle évoquait mes amis, je savais qu’ils ne comprendraient probablement pas ce que je pouvais ressentir.
Elle me tendit la main, pour que je l’aide à se relever, elle enchaina d’un ton plus léger
- Allez mon prince, on va aller se baigner ça va nous faire du bien à tous les 2 je crois ! Elle regardait mon short en se levant
- Si tu veux te baigner nu je comprendrais mais je préfère garder mon maillot si ça te dérange pas !
Je n’insistait pas, évidemment je ne l’obligeais en rien et gardait sa main dans la mienne.
Elle m’embrassa et me flatta en m’avouant qu’elle me trouvait très mignon. C’était la première fois qu’elle me faisait un compliment sur mon physique. J’étais aux anges en lui rendant son compliment une nouvelle fois. En approchant de l’eau elle me demanda
- Quand est-ce que tes parents vont rentrer Titouan ?
Sa question me laissait imaginer tant de choses. Je lui répondais qu’ils étaient absent une petite semaine, sans savoir exactement quand ils reviendraient mais que de toute façon, à mon âge j’étais libre de faire ce que je voulais. Elle ne répondait pas mais je sentais qu’elle organisait les choses dans sa tête.
Une fois dans l’eau, je lui disais qu’elle avait raison, ça me faisait beaucoup de bien. Je me sentais bien, la fraicheur venait calmer mon ardeur, je sentais mon sexe se relâcher, retrouvant enfin un peu de place dans mon short que j’avais finalement gardé. Avec la différence de température, je réalisais que pendant tout ce temps, mon dos était resté en plein soleil. Elle le remarqua quand elle posait sa main sur mon dos, le trouvant chaud et me remit en garde en me faisant promettre de faire attention à l’avenir, comme le ferait une maman
On était serein, proche l’un de l’autre, complice même. On nageait tranquillement en silence, chacun dans nos pensées et après quelques brasses je lui demandais
- Ca vous dérange Julie, si j’enlève mon maillot, ça va mieux mais j’ai très envie de me baigner sans rien ! Je me sentais gonflé comme un coq après tout ce qu’elle m’avait dit
- Non ça ne me dérange pas Titouan, mais où vas-tu le mettre ? On nageait à quelques mètres du bord, la mer était remontée nous n’avions plus pied
Je ne répondais pas et en m’arrêtant pendant qu’elle nageait, je retirai mon short et le mettait en boule dans ma main
- Voila je vais nager avec, c’est pas très encombrant ! Répondais-je en revenant à sa hauteur
Elle tournait la tête vers moi en souriant, me demandant si c’était agréable. Je lui vantais la sensation de nager sans rien, c’était malgré tout naturelle et agréable avec la liberté des mouvements sans la contrainte d’un tissu.
Elle acquiesçait de la tête en disant « surement oui ! ». Après quelques brasses qui nous éloignaient, on décidait de revenir tranquillement. Elle parlait en me posant des questions, sur ma vie comme si elle voulait apprendre tout de moi, je lui répondais docilement en lui retournant certaines de ses questions. On s’arrêtait de nager à quelques mètres du bord, l’eau au niveau des pectoraux pour moi, au dessus de sa poitrine pour elle, je devais mesurer une petite 20aine de centimètre de plus.
On restait un moment en continuant à discuter, elle était curieuse dans ses questions, je l’étais aussi. Elle se tenait en face de moi, bougeant les jambes par moment en se laissant flotter tout en continuant à parler quand elle me demanda si ça allait mieux et si j’étais bien comme ça, tout nu !
- Oh oui ça va beaucoup mieux Julie, c’est très agréable oui, sentir le courant sur son corps nu ! Vous n’avez jamais essayé ? Posant naïvement la question à laquelle elle me répondait
- Non j’ai jamais essayé, j’ai pas souvenir d’avoir eu l’occasion, et encore moins pour pratiquer du naturisme mais je crois que j’ai envie d’essayer ! Lâchait-elle soudainement, commençant à baisser ses bretelles, dégageant ses bras pour finir par se recroqueviller pour faire glisser son maillot jusqu’à ses pieds.
Je voyais son menton se relever, pour rester à la surface avant de se redresser en sortant son maillot de l’eau, en me le montrant comme si elle tenait un trophée.
- Et voilà ! J’ai envie de découvrir cette sensation de nager sans rien, sans contrainte mais je vais avoir du mal à nager avec mon maillot dans la main, tu veux bien aller le déposer Titouan ? Me demandait-elle alors que j’étais resté bouche bée en la voyant faire.
Je prenais son maillot et rejoignais le bord en marchant dans l’eau jusqu’à sortir tout nu avant d’abandonner nos maillots sur le sable. En me retournant, je la voyais un grand sourire sur les lèvres, avec cette expression qu’elle prenait quand elle me taquinait « hum Titouan ! Tu as une sacré marque blanche et de belles fesses dis donc ! ».
Je rigolais de satisfaction en l’entendant avant de la remercier « pas autant que les vôtres Julie ! » et elle se mit à rire comme si elle n’y croyait pas une seconde. Elle bougeait ses bras en reculant, visiblement ses jambes pédalaient sous l’eau je pouvais voir ses seins blancs en surface tels des bouées qui flottaient au rythme du clapot de la mer. En la rejoignant je pouvais apercevoir ses tétons qui émergeaient au rythme de ses mouvements.
- Allez ! on va nager, j’ai envie de découvrir cette sensation ! Disait-elle en se mettant sur le ventre pour commencer quelques brasses.
Je la voyais déjà partir et pouvait voir ses fesses blanches qui émergeaient à chaque brassée, elles ressortaient toutes arrondies, luisantes, ses jambes s’écartaient et se refermaient. Je me mettais à nager arrivant à sa hauteur après avoir profité de sa nudité pendant quelques brasses.
En la rejoignant, elle me confia en parlant comme en appartée « Tu as un beau sexe Titouan ! ». Je restais sans voix, ne m’attendant pas à cette réflexion à retardement. En l’entendant me dire ça, j’en déduisais que ses pensées étaient tout aussi coquine que les miennes. A part la remercier je ne savais quoi lui répondre, la seule réponse qui ne venait à ce moment sortait presque malgré moi « Vous êtes coquine Julie ! ». Elle se mit à rire en me répondant du tac au tac « Je crois bien que oui mon prince ». J’avais tellement envie de découvrir le sien à ce moment, je me retenais pour ne pas glisser ma main entre ses cuisses et sentir son intimité nue qui s’ouvrait et se refermait au rythme de ses brassées mais je me disais que ma patience serait récompensée et je craignais de la refroidir plus qu’autre chose en étant trop entreprenant. Encore une fois je décidais de lui laisser l'initiative et puis j’adorais cette intimité, je trouvais ça tellement érotique
Je me contentais de profiter de sa nudité à peine voilée par les ondulations de l’eau. Elle souriait par moment en remarquant mes regards sur son anatomie dénudée. Nous nagions en papotant, en jouant de ces regards et de ce halo d’érotisme qui nous entourait.
Une fois qu’on avait pied, on continuait à papoter debout dans l’eau, ses seins flottaient au rythme des vaguelettes. Malgré la fraicheur de la mer mon sexe était à nouveau en érection depuis un moment. Elle devait s’en apercevoir ou le deviner sans même baisser le regard, tout comme je voyais furtivement les parties de son corps dénudées. Elle baissait la tête sur sa poitrine nue en disant
- C’est vrai que c’est agréable d’être sans maillot, ma poitrine flotte, elle se ballote toute seule ! Elle en parlait comme si elle s’en amusait
- Vous voyez j’avais raison Julie ! Ajoutais-je en regardant ses seins sans détour. Ses tétons étaient dressés, presque provocants
- Ca te plait on dirait Titouan ! Les prenants dans ses mains en me regardant
Je ne pouvais quitter mon regard, la voir prendre ses seins en les soulevant comme pour les sortir de l’eau me troublait terriblement, j’en avais rêvé durant mes moments solitaires
- Oh oui Julie ça me plait beaucoup, ils sont remuants comme des bouées, j’adore c’est très troublant !
Elle lâcha sa poitrine et tendit ses bras vers moi en répliquant
- Viens dans mes bras mon prince, j’ai envie de te serrer dans mes seins ! Elle m’attirait vers elle, contre ses seins en m’ouvrant ses bras.
J’étais terriblement ému en sentant ses bras se serrer autour de moi pour m’amener sur sa poitrine. A mon tour je passais mes bras autour de sa taille et calait ma tête dans ses seins. Mon visage était à moitié immergé sous l’eau, sans rien dire je la soulevais délicatement pour amener sa poitrine à hauteur de mon visage, je m’y plongeais en me délectant de leur volume, leur douceur maternelle. Je sentais ses tétons dressés par la température de l’eau mais probablement excités par la situation. Ses aréoles étaient pigmentées de frissons, je sentais leur dureté sur ma joue, sur mes lèvres, je me plongeais dans ses seins en lâchant des « hum ! » de plaisir. Elle serrait ma tête dans ses bras en la pressant dans ses seins, j’étais enveloppé de douceur, de ses formes charnues et accueillantes. J’aurai voulu que le temps s’arrête pour profiter de cette douceur incomparable
- Tu es bien dans mes seins mon bébé ! Demandait-elle de sa voix douce et enveloppante
Elle m’appelait « mon bébé » ! j’en étais sur-excité, en l’entendant j’ouvrais mes lèves pour lécher son téton gauche, y frotter mon visage avant de prendre son autre mamelon pour le téter comme un bébé.
Comme lors de son baiser, sa main venait prendre l’arrière de mon crâne. Ce geste me troublait énormément, comme si elle m’encourageait à profiter de ce moment en me maternant, comme si elle me disait « tu aimes mes seins mon bébé, ils sont pour toi si ça te fait plaisir »
A ce moment elle ouvrit ses jambes pour les serrer autour de mon bassin, instinctivement ma main la souleva en se posant sous ses fesses. Je laissais ma main ouverte sur ses fesses pendant que ses cuisses se calaient sur ma taille. Ses seins comprimés sur mon visage, ma paume pouvaient sentir sa raie profonde, ses fesses s’écartaient en même temps qu’elle remontait ses cuisses pour se lover sur moi. Je ressentais son intimité, sa pilosité sous mon petit doigt, je n’en pouvais plus je me sentais proche de l’éjaculation. Le simple contact de mon gland sur mon bras et ses fesses me procurait une sensation nouvelle, jamais ressentie
- Oh Julie, vous m’excitez tellement ! Éructais-je bêtement, la bouche presque écrasée dans ses seins matures
En m’entendant, elle lâcha une main pour passer son bras dans son dos et poser sa main sous mon sexe en le calant contre ses fesses. Ma main la soulevant était en contact avec mon sexe, dressé comme un bâton. Sans rien dire elle gardait mon sexe bloqué sous sa main et sa raie ouverte tout en commençant à onduler langoureusement comme pour nous masturber. Je savais qu’elle sentait que j’étais proche de la jouissance
- Moi aussi mon bébé ! Laisses toi aller, ne te retiens pas Titouan …
En goutant ces paroles, cette douceur, le contact de sa main qui maintenait mon sexe dans ses fesses, ma main plaquée sur son cul mature, mes doigts qui glissaient dans son intimité, la sensation de sa pilosité naturelle et ses seins qui enfermait mon visage je n’allais pas résister longtemps. A peine une vingtaine d’ondulation de nos bassins suffisaient à me faire éjaculer, au même moment je la voyais mordre ses lèvres en crispant son visage pour retenir un cri de jouissance …
On restait plus d’une minute sans bouger, serrés l’un contre l’autre, sexe contre fesse, visage contre sein, paume ouverte sur mon crâne avant de relâcher l’emprise de cette pure jouissance qu’on terminait par un baiser amoureux qui dura un temps indéfinissable.
Tout à coup je sentais son poids, bien que soulagé par l’apesanteur de l’eau, mon biceps se tétanisait. Je libérais ses fesses, elle se recula en se laissant flotter sur le dos, en faisant la planche bras ouvert, jambes écartées comme une étoile de mer. Je la regardais enivré par ce moment d’intimité et de jouissance qui n’avait pas du durer plus de 5 minutes. Pour la première fois je découvrais son intimité, ses jambes écartées laissaient apparaitre sa toison fournie, encore plus large que je l’avais imaginé. Je m’approchais d’elle en la soutenant sous le dos pour la faire tourner lentement autour de moi et admirer son corps mature.
Après ce moment de plaisir intense, inattendu, comme une sorte de prémisse, nous sortions de l’eau enlacés comme 2 jeunes amoureux ne voulant plus se séparer. On était serein en se reposant sur nos serviettes, les doigts croisés dans la main de l’autre, proche et nu sur cette plage, s’assoupissant ensemble sans besoin de parler avant de se réveiller dans la même position, tournés l’un vers l’autre, ses jambes repliés dans le creux de mon bas ventre.
J’ouvrais les yeux et la regardais un instant, quand je caressai ses cheveux elle se réveilla en me faisant un sourire de contentement. On ne parlait pas de ce qui s’était passé, ce moment de communion n’avait pas besoin de justification, on avait vécu ce moment d’osmose et nous savions tous les 2 qu’il y en aurait d’autres encore.
Il était plus de 16h, le temps de rentrer me suggérait-elle avec regret. N’étant pas joignable depuis le matin, Julie voulais retrouver du réseau et consulter sa messagerie qui devait contenir des messages et des sms reçus pour son anniversaire. En reprenant le chemin du retour, je sentais déjà la nostalgie de cette journée, je me retournais en grimpant la dune comme pour graver ce paysage à jamais. Durant tout le trajet du retour, nous échangions sur cette merveilleuse journée. Julie me remerciait encore et adoptait mon point de vu sur le bien-être d’être nu même si elle ne s’imaginait pas le faire avec du monde autour d’elle.
Plus on avançait, moins on parlait comme si cette journée nous avait marqué tous les 2. En retrouvant la route, son portable n’en finissait plus de biper, elle recevait en cascade tous les messages de ses proches et amis lui ayant probablement souhaité son anniversaire.
Après un moment passé à consulter ses messages, elle prit l’initiative en me demandant qu’une fois arrivés chez elle, de lui laisser 2 heures pour se reconnecter au quotidien et prendre le temps de passer quelques appels, répondre à ses sms avant de se retrouver pour profiter de cette journée qu’elle voulait nous accorder
- Si tu n’as rien de prévu Titouan, tu voudrais venir diner avec moi ? Me disait-elle en posant sa main sur ma cuisse
J’étais le plus heureux des hommes en l’entendant en lui répondant que je comprenais, j’avais accaparé sa journée d’anniversaire et que même si j’avais eu quelque chose de prévu, j’aurai annulé préférant son invitation à tout autre chose. Je rajoutais que c’était la meilleure journée de toute ma vie. Elle en rigola en ajoutant
- Tu exagères mon prince ! On retrouvait cette légèreté rassurante
J’exagérais peut-être mais après cette journée, j’étais sincère et lui confirmait que je n’avais pas de souvenir aussi heureux en tête que cette journée à la cote sauvage en sa compagnie
- Je suis votre bébé Julie, ça me rend heureux je n’y peux rien ! Ajoutais-je en la regardant avec un air naïf
Elle souriait sans rien ajouter et elle prit ma main pour la poser sur sa cuisse pour garder un contact physique pendant qu’on roulait
- J’ai hâte qu’on se retrouve ! Lâchait-elle en approchant de sa maison
Je caressais sa cuisse en guise d’approbation en ajoutant « Oh moi aussi Julie ! ». En la quittant devant le portail, mon vélo à la main je lui demandais si elle voulait que j’amène quelque chose ?
- Non mon bébé, tu es mignon ! Ta présence me suffira largement pour passer un bon moment ! Elle approcha ses lèvres et les posa quelques secondes sur les miennes en ajoutant « à très vite mon prince ! »
A suivre ... (Scène 12 le 31 mars 2024 à 6h00)
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Retour à nos racines
Lors d'une soirée spéciale, j'ai décidé de faire un saut dans le passé culinaire de mes origines, en préparant le fameux "Grand-père au sirop d'érable". Pourquoi ce plat, me demanderez-vous ? Eh bien, dans le coin d'où vient mon père, Paspébiac, les gens ne rigolent pas avec les desserts. Ils adorent tellement cuisiner qu'ils pourraient presque faire sauter des crêpes en dormant !
Ma grand-mère me le servait souvent, et chaque bouchée était un aller-retour direct pour l'enfance. Mais d'où vient donc cette douceur sucrée ? C'est un savoureux mélange de cultures entre les colons européens et les autochtones. Quand les premiers ont posé le pied sur ces terres, ils ont découvert non seulement un nouveau monde, mais aussi des habitants qui avaient déjà tout un savoir-faire culinaire.
Imaginez la scène : les colons, un peu perdus avec leur pâte à pain, rencontrent les autochtones qui, entre deux conseils de survie, leur montrent la magie de la sève d'érable. Et voilà comment le sirop d'érable a fini par se frayer un chemin dans leur pâte ! Depuis, cette recette se transmet de génération en génération, tel un secret de famille bien gardé. Elle est devenue une fierté québécoise, au point que même les écureuils en sont jaloux.
Ainsi, chaque fois que je prépare ce dessert, je rends hommage à cette belle histoire de partage et de gourmandise. Et je vous assure, il n'y a rien de mieux pour sucrer une soirée entre amis !
Recette : 1 ½ tasse de farine 3c. à thé de poudre à pâte ½ tasse de beurre ½ tasse de lait 1 ½ sirop d’érable 1 tasse d’eau


Mélanger la Farine, le sucre et la poudre à pâte. Ajouter le lait et le beurre pour faire une pâte.



Mettre dans un grand chaudron l’eau et le sirop d’érable, puis porter à ébullitions.


Avec une cuillère faire des boules de pâte et tremper la cuillère pour les relâcher dans le bouillon de sirop.

Après que 5 minute c'est écoulé ont peu les sortir un par un et les placer dans un bol résistant à la chaleur.

LAB NUMÉRO 4
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FIN DU SUJET SUR LA PATIENCE
Laisse Dieu agir
Si tu cherches à faire par toi-même, avec tes capacités pour avoir l’impression qu’aller plus vite sera le mieux, pense au fait que tu te limites. Parce que tu fais avec tes seules capacités limitées. Dieu peut tellement « au-delà de ce qu’on peut penser ou imaginer ». (Eph 4 :20) On a envie de plus, envie de beau, de grand, mais à vouloir tout, tout de suite, on risque de manquer des opportunités énormes. Qui ne sont pas à notre portée mais accessibles uniquement grâce à Dieu.
Dans l’épreuve monumentale qu’a traversé Job, Dieu a gardé le silence pendant les 37 premiers chapitres. Job n’a aucune explication. Il ne connait pas l’échange qu’il y a eu entre Dieu et Satan. Il ne comprend pas. Mais il reste patient. Confiant. Sans s’irriter. Sans douter. Sans accuser Dieu. Sans changer de route.
Ce qui te semble hors contrôle est entre les mains de Dieu. Romains 8 :28 dit que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. C’est parce qu’on ne connait pas le temps de Dieu qu’on a parfois du mal à accepter cette vérité. Mais quand Dieu entre en scène, quand il dévoile son plan, sa gloire se révèle. Job a reçu l’impensable, il s’est relevé comme personne n’aurait pu le pronostiquer.
Dieu n’a pas dit que toutes choses concourent à notre confort, à notre satisfaction. Il a des plans bien plus vastes. Il s’occupe avant tout de notre croissance spirituelle. Et si parfois les choses sont humainement difficiles, longues, inconfortables, c’est parce qu’on a un bénéfice spirituel et éternel à gagner.
Quand David était poursuivi par Saul, il aurait pu perdre patience. La poursuite a duré 7 longues années. A vivre dans la peur, dans le danger, dans l’inquiétude. A se demander pourquoi Dieu n’agit pas, pourquoi Dieu permet cela alors que David savait que Dieu l’avait choisi. Il aurait pu agir lorsqu’il s’est trouvé derrière Saül en position de faiblesse (en train de se soulager) mais il a laissé Dieu agir. Il lui a fait confiance même quand il avait une solution à la portée de sa main. Il a gardé foi en Dieu.
• Ecclésiaste 8 : 17 j'ai vu toute l'oeuvre de Dieu, j'ai vu que l'homme ne peut pas trouver ce qui se fait sous le soleil; il a beau se fatiguer à chercher, il ne trouve pas; et même si le sage veut connaître, il ne peut pas trouver.
Conclusion
Beaucoup de nos frustrations sont causées par de l’impatience.
On n’a pas la perception globale que Dieu a, ni accès à sa sagesse, on n’a pas la même notion du temps que Lui.
Tu ne sais pas ce que Dieu est en train de construire dans le temps qu’il utilise et qui te semble long. Mais plus c’est long, plus c’est profond. Dans la patience, tu te prépares à devenir un gratte-ciel qui pourra rayonner loin grâce à ce que tu traverses actuellement.
Si tu quittes par toi-même le chantier parce que tu t’impatientes, tu laisses tomber et tu vas chercher ailleurs, tu vas trouver un petit terrain sympa, tu poses ton mobil-home dessus. C’est vite fait, c’est facile. Mais tu as manqué la possibilité de construire une grande tour bien haute et bien solide qui aurait eu un impact sur tout ton entourage large.
Alors que, en restant fidèle à Dieu, et à ses plans, pendant ce temps d’attente, (ce qui te semble de l’attente mais qui est une préparation), tu t’appuies sur Dieu, sur Sa parole, tu apprends à lui faire confiance, tu solidifies ta proximité avec lui.
Si tu es dans une salle d’attente dans un ou plusieurs domaines de ta vie, mets-le à profit pour te poser des questions. Pour parler avec Dieu (pas parler À Dieu, mais avec Dieu = conversation, échange) chaque prière est une semence, qu’on doit laisser germer EN SON TEMPS. C’est dans la présence de Dieu qu’on peut trouver réconfort et force pour affronter le temps qui passe. Celui que nos yeux voient. Mais Dieu voit bien au-delà. Il nous prépare pour de belles choses à venir, mais aussi il prépare notre éternité.
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Voici le premier chapitre d'une toute petite histoire qui se situe dans le livre V (revisité à ma façon , trés tristre , desolé)
Comme d'habitude ecrit comme ça ...désolé d'avance.
Avertissement : angst (à mort) , tentive de suicide (vraiment désolé)
1ere partie : La fois de trop
Guenièvre était enchantée de faire cette cueillette avec son frère et son acolyte, les deux jeunes hommes expliquaient avec fierté à la jeune femme leurs astuces pour trouver toutes sortes de plantes et de « machin » extraordinaire. Ils furent interrompus par Merlin qui arrivait en trombe vers eux, inquiet apparemment qu’ils se soient empoisonnés.
« Pourquoi on se seraient empoissonnés, on n’a même pas commencé à cueillir quoi ce soit d’abord ! » dit la jeune la femme très surprise de l’attitude de l’enchanteur.
« Ben c’est le Roi ..enfin Arthur qui m’a dit que c’était hyper-urgent et comme quoi vous auriez bouffé des trucs vénéneux !! donc moi je me suis radiné au plus vite ! »
Guenièvre avait un mauvais présentiment, comment le Roi avait-il pu imaginer ça, peut-être s’inquiétait-il de l’avoir laissé avec les deux chevaliers et peut être craignait-il qu’il lui soit arrivé quelque chose de grave. Emue par ce sentiment, elle remercia la petite troupe et se rendit vers la cabane pour rassurer son époux.
Toute guillerette elle ouvrit la porte, délicatement, car elle ne voulait pas qu’elle lui reste dans les mains et s’élança dans la cabane.
« Ne vous inquiétez pas, nous n’avons pas.. »
Elle fut stoppée par la scène devant elle, Arthur qui remontait son pantalon et Démetra qui rajustait sa robe. La situation ne pouvait pas être plus claire. Encore ! Elle le surprenait encore dans cette situation, quoique la dernière fois ce n’était qu’un baiser dans une cuisine. Cependant cette fois ce ne fût pas la colère qui envahit son esprit, non ce fût son cœur qui se brisa, au vu du choc dans sa poitrine, elle se demanda s’ils n’avaient pas entendu le bruit tellement ce fût violent quand il se brisa. Elle ouvrit la bouche mais aucun son ne sorti, en revanche des larmes se mirent à couler sur ses joues. Toujours dans un silence pesant elle rouvrit la porte et s’en alla, les laissant seuls.
Elle se mit à courir droit devant elle à en perdre haleine, elle courait pour fuir.
Son cœur battait tellement fort, comme s’il voulait sortir de sa poitrine, son souffle était court, pas parce qu’elle courait, non, juste car elle n’arrivait plus à respirer normalement. Elle poursuivi sa course dans la forêt, toujours droit devant elle, se moquant totalement de se griffer aux branches sur le chemin. Aucune douleur n’était plus forte que celle qu’elle ressentait dans son cœur, il l’avait encore trompé, comme s’il elle n’était rien, de toute façon elle n’était rien pour lui ou peut être seulement un poids, un boulet qu’il se trainait et dont il rêvait de se défaire. Voilà pensa-t-elle, elle était un poids pour lui, il n’avait jamais voulu qu’elle vienne, elle s’était imposée, comme toujours.
Il ne l’avait pas seulement trahi, il l’avait humilié une fois de plus, il n’avait surement pas pensé un seul instant à elle alors qu’elle pensait à lui perpétuellement et cela depuis le début de leur mariage. Elle avait ralenti sa course et les larmes continuaient à s’échapper de ses yeux, elle avait si mal. Elle se stoppa devant un lac, s’adossa à un arbre et s’écroula sur le sol
Les genoux à terre, les larmes qui s’écoulaient toujours sur ses joues, elle revivait la scène. Elle n’était rien, ni pour lui, ni pour ses parents, ni pour personne de toute façon. Même celle qu’elle croyait son amie l’avait trahi, pourtant Démetra n’était plus la maitresse du Roi, il n’était plus Roi, elle s’était mariée à son frère, elle était devenue sa belle sœur mais elle l’avait trahi quand même.
Démetra aussi n’avait surement pas pensé à elle, personne ne faisait attention à elle. Elle se sentit brisée, pourtant très souvent, trop souvent, elle avait acceptée plus que cela, pourquoi maintenant, pourquoi craquait-elle maintenant, son armure d’optimisme avait fendu. Il ne l’avait pas suivi, il ne l’avait pas retenu, peut être s’attendait-il a qu’elle ne revienne jamais ? Jamais, le mot tournait dans sa tête comme pour la narguer, qu’allait-elle faire maintenant ? où aller ? Vers qui ? Qui avait vraiment besoin d’elle ? Personne !
Ses propres sanglots l’étouffaient, la douleur dans son cœur s’était propagée dans tout son corps, dans toute son âme, elle ne voulait plus de tout ça. Elle se leva doucement et machinalement s’approcha du lac, sans plus aucune pensée elle se dirigea vers le centre de l’étendue d’eau pure, des pétales de fleurs et des feuilles flottaient autour d’elle, une brise tiède vint lui caressait le visage comme pour lui essuyer ses larmes. Plus elle avançait, plus la douleur diminuait, un dernier sourire et elle plongea la tête sous l’eau. Le vide, le silence, afin l’apaisement, un dernier mot dans sa tête « au revoir ! » puis elle ferma les yeux pour se laissait emporter dans une quiétude qui l’empêcha d’entendre son nom qui avait été crié sur la berge, elle n’entendit pas non plus l’homme qui plongea.
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Journal de bord: jour 169
La folle épopée Aline del corazon al mundo!
5 mois plus tard et pourtant, c’est comme si c’était hier! Nous revoici sur les traces d’Aline, mais cette fois nous avons troqué l’infernal hiver québécois pour le chaud soleil d’Andalousie.
Le plan de match: plonger au cœur même de cette histoire d’amour improbable.
Prospectus en main, on ne sera pas déçue du voyage!

Petit bémol : la chronologie n’est pas du tout respectée! On passe de la demande en mariage, au casino, à la lune de miel en passant par la crise cardiaque. Non vraiment importe quoi! De plus, on se retrouve avec la même guide qu’à Montréal!!
Premier arrêt: y’a de l’amour dans l’air!
Resto El Jardin et les abords de la cathédrale où le pauvre GC fait de son mieux pour faire croire à Aline que l’âge ça compte alors que tout le monde sait que l’âge osef!


C’est devant la belle cathédrale de Naples (lol) que GC fait la grande demande. Stepettes sur la fontaine devant Antonio et sa femme qui captent rien parce que Jean-Bobin harcèle la pauvre madame avec son « biscuito » en simili italien. 🤦♀️ Hey même la guide avait l’air mêlée 🤣.

C’est là que le fun commence. Parce qui dit mariage dit nuit de noce rrrrrrrrrr !!! Le grand hôtel Miramar (5 ⭐️ GL… que nous avons changé pour MG… mieux goût) a gentiment accepté de nous ouvrir ses portes (gentiment ou à boutte de se faire gosser par notre guide ça s’pas encore clair). A nous la magnifique Suite Deluxe Sea qui n’a fait que nous rappeler la pauvreté de notre Airbnb.

Retour sur la plage avec Miguel en tête. Était-il dans le film? Non, mais il aurait dû!! Aline aurait peut-être changé de mari!!! Il est trop beau!! Mais ne nous égarons pas. La plage donc pour un petit snack de 55 grillades 🍖 question de faire une crise cardiaque en compagnie de GC.

L’excursion se termine au casino. Parce que la scène où madame Dieu mère pète une coche à GC au sujet de la vertu de sa fille reste iconique!
(Est-ce qu’on avait le droit de prendre des photos dans le casino? Nooooon!! Est-ce qu’on en a pris pareil? Évidemment! Méthode québécoise!)

Par contre, la chance ne sourit pas à tout le monde! Nous sommes reparties avec respectivement 0,24€ et 0,39€ et une mini crise cardiaque d’avoir perdu le portable alors qu’il était bien rangé dans le sac à main!! Trop émotion!


Les excursions Ascle Adventures tiennent à remercier @edith1962 de nous avoir faire encore une fois confiance pour ses vacances.
Merci évidemment à 🥰@valerielemercier 🥰 sans qui tout ceci aurait été impossible. Pas de film, pas d’excursion. Pas d’excursion, pas de palais. Pas de palais… pas de palais!
Le biscuito de Jean-Bobin
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Transylvanie express (50)

Précédents épisodes
- Je ne sais pas par quoi commencer.
Je regardai le spécialiste en histoire tout en remerciant une serveuse qui posa un pichet de vin sur la table. Elle repartit en cuisine après avoir souri et rougi. Puis, j’observai d’un œil curieux, l’assemblée qui se transformait lentement en poupée. Hommes et femmes n’étaient plus que des pantins assis ou debout, dont les visages se figeaient vers notre direction. Seuls leurs yeux basculaient de gauche à droite, comme ferait quelques spectateurs de match de tennis.
- Je ne sais pas par quoi commencer, répéta Klaus.
- Peut-être par le début. Comment avez-vous quitté le château ?
Il but une gorgée. Le vin était coupé. Il émietta un morceau de pain avant de se racler la gorge. La peau des paysans brunit de plus en plus jusqu’à prendre une couleur de bois. Le feu continua de crépiter dans la cheminée. Je ne remarquai pas la broche vide car les poulets rôtis garnissaient la table. Sans savoir comment, une cuisse découpée remplissait mon écuelle. Je la pris à pleines mains et dévorai la chair. Je trouvai la peau succulente.
- J’ai été mis sous surveillance dans une sorte de prison au village. Je pense que le comte avait encore besoin de moi. Sinon, j’aurais fini au bout d’une corde…voire pire. J’ai été libéré après l’annonce de son décès. Les villageois m’ont porté en héros.
Il sourit en visualisant la scène dans sa tête. J’imaginai le petit bonhomme sur les épaules de paysans gaillards ; lui ne comprenant pas et eux louant sa libération.
- Ensuite, je suis retourné au château pour récupérer quelques affaires dont ce livre qui a mystérieusement été préservé des flammes, alors que la bibliothèque a entièrement brûlé. J’ai vu quelques cadavres calcinés. Johann, je ne l’ai pas reconnu….Et je suis parti pour aller à Klausenburg, Kolozsvar si vous préférez. Là-bas, il y a un dirigeable qui m’amènera à Budapest. Aux dernières nouvelles, la région semble préservée du mal des méninges.
Il grignota la mie de son pain, puis il ajouta :
- Accompagnez-moi. Le voyage sera plus agréable à deux.
- Avant d’entrer, vous m’avez dit que vous saviez pour Ludmilla et que tout est dans le livre, murmurai-je.
Les villageois n’avaient pas changé. Ils ressemblaient toujours à des marionnettes sans fil. Ils ne faisaient rien, ne bougeaient pas. Ils demeuraient silencieux, roulant leurs yeux vers celui qui parlait. Soudain, je fus distrait par le crissement des freins d’un train. Il était dans la rue, roulant au ralenti. Le glissement de la bande de roulement sur le rail faisait vibrer le vin dans mon verre. Cependant, cela ne troubla point Klaus.
- En fait, j’ai appris qu’elle était un monstre par l’escorte du comte quand elle est revenue. Mais dans le livre, il était écrit qu’un être démoniaque de sexe féminin ferait son apparition.
Il attrapa le manuscrit, tourna les feuilles avant de poser son index sur l’une d’elle.
- C’est ici. C’est cette phrase, annonça-t-il en montrant la page.
Malheureusement, les yeux embrumés, je n’arrivai pas à lire. J’étais face à des gribouillis, des traits dont je ne comprenais pas la signification. Je fis la remarque à Klaus Möller, mais il persista à dire que c’était évident dès qu’on lisait. Lassé par ce quiproquos, je prétextai tomber de sommeil pour quitter la table. Dès lors, les villageois retrouvèrent leur apparence naturelle dans un violent brouhaha cachant le sifflement du train. L’aubergiste insista pour offrir sa plus belle chambre. Nous grimpâmes à l’étage par un escalier étroit et digne du pire guet-apens de roman.
Elle n’avait rien d’extraordinaire. C’était une banale pièce comme on pouvait en trouver dans les hôtels du XIXe siècle. Elle avait pour unique décoration des murs tapissés de planches cirés. Le plancher craqua sous mes pas. Je me dirigeai vers un lit haut et à baldaquin dans lequel je m’enfonçai, tellement le matelas fut moelleux. Cela suffit pour m’endormir.
Chaque fois, je ne comprends jamais comment je suis arrivé dans cette chambre entièrement blanche. Son éclairage m’éblouissait, toutefois, je pus facilement m’extraire du lit et trouver la porte pour sortir. Ainsi, je finissais dans un couloir de train. A ma gauche, les couchettes cloisonnées par des portes marron se succédaient. Tandis que de l’autre côté, je pouvais voir un paysage rempli de brume et d’humidité.
Le train avançait lentement. Curieusement, il ne faisait aucun bruit. J’observai chaque porte sans chercher à les ouvrir. Je marchai doucement. Je n’étais pas inquiet de porter juste une chemise blanche. Surement parce que j’étais seul. De temps en temps, je regardai défiler les arbres. Avec leurs branches sans feuille, leur tronc noirci et déformé, ils avaient un aspect humain, un aspect terrifiant.
Je continuai de marcher dans le couloir quand j’entendis tout-à-coup un bruit de tambour. C’était un son fort, intense qui gardait la même cadence. Plus j’avançais vers le fond du wagon, plus il battait la mesure tel un cœur qui s’affole. Le tambour frappait mes tympans au point de les faire saigner. Un filet de sang coula aussi de mon nez, jusqu’à tacher le col de ma chemise. Je titubai légèrement, certainement en raison d’un vif coup de frein de la locomotive.
Pour ne pas tomber, j’agrippai le bord d’une fenêtre. Le train s’arrêta au milieu d’une forêt de bois mort. On ne voyait rien d’autre que les silhouettes des arbres au milieu d’un nuage angoissant. Dès lors, je descendis du wagon et marchai pieds nus sur un lit de feuilles rousses et jaunes. Je n’avais pas froid. Le tambour continua de frapper mon cerveau. Quant au train, il s’éloigna m’abandonnant au milieu de nulle part.
Ne sachant où aller, j’observai la rame s’enfoncer dans le brouillard dans un profond silence, si l’on fit exception du battement dans ma tête. Je regardai à gauche, puis à droite. Tout se ressemblait et rien ne pouvait aider à me guider. Je restai immobile quand une lamentation résonna du fond de la forêt. Les sanglots attirèrent mon esprit ; je me dirigeai vers leur origine.
Plus j’avançai, plus les pleurs devinrent stridentes. Ils mêlaient voix de femme et cri animal. Je pouvais ressentir toute la sauvagerie qu’ils contenaient ainsi que leur détresse. N’importe qui aurait fui ou serait partir dans le sens inverse. Mais c’était plus fort que moi, je devais aller à cet endroit. Les jambes tremblotantes, le corps frigorifié par le vent et l’air humide, la peur au ventre, je marchai.
Elle était invisible à mon arrivée. Elle demeurait allongée sur le ventre entre les arbres noirs ; sa peau prenant la couleur brune des feuilles mortes. Lentement, elle se releva, soupirant un râle plein de tristesse. Les cheveux noirs recouvraient à peine son dos soudainement blanc. Elle garda la tête baissée, elle fredonna avant de sangloter à nouveau. Puis elle fredonna encore, pleura et ainsi de suite, rythmant au passage les battements de tambour contre mes tympans.
Je ne reconnus pas sa voix. Je ne reconnus pas le grain de sa peau presque écailleuse. Comme si elle se détachait de sa chair pour en créer une nouvelle. Je ne reconnus pas son visage quand elle tourna la tête. Je ne reconnus pas ses yeux rouge dû aux larmes ou à la colère. Je ne reconnus pas sa bouche monstrueusement déformée par des dents pointues et aiguisées. Je ne reconnus pas ses doigts armés de griffés acérés. Je ne la reconnus pas physiquement, pourtant c’était Ludmilla. Contrairement au train, elle avait réussi à m’appeler. Et j’attendais qu’elle vienne à moi. Car je ne pouvais pas bouger. J’étais à sa merci. Surtout lorsqu’elle reprit sa forme humaine et qu’elle approcha…nue fragile, triste, inoffensive pour me serrer entre ses bras. Son corps était gelé. Toutefois, il fit bouillir mon sang.
- Tu m’as manquée, murmura-telle.
Je n’ai rien dit. J’ai juste humé son parfum de vanille et de fleur d’oranger.
Alex@r60 – Janvier 2023
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donc alors oui william meyer. bon déjà il ressemble à ça :

(matez moi cet HOMME premièrement. à la base moi je regardais la série que pour ses beaux yeux hein)
donc oui. william meyer. on va faire saison par saison si vous le voulez bien
saison 1 :
milliardaire suisse, il a investi 24 milliards d’euros dans une mission spatiale pour être le premier sur mars avec son équipe de scientifiques. sauf qu’ils sont pas les premiers. il lâche cette ligne de texte absolument incroyable « je pourrais vous dire que c’est un demi-échec, que ça fait partie du jeu, mais je préfère la franchise, et franchement on s’est fait baisés » i am in love with you. parce qu’en fait il a cette sorte d’arch nemesis en la personne d’un autre milliardaire américain, ivan goldstein, ils se tirent la bourre tout le temps. et c’est la mission envoyée par goldstein (bloqué sur terre par une maladie mortelle) qui arrive en premier. des gens viennent de mourir, plus de carburant, ils sont morts dans 24h si ils font rien, et ce CONNARD avec son petit sourire là « bienvenue sur mars ! » PTN TA GUEULE WILLIAM. ils trouvent un pelo russe qui date de 1963 et qui a pas vieilli et qui en fait a des super pouvoirs. c’est la merde tout le monde pète un câble l’informaticien essaye désespérément de faire remarcher l’AI et lui il est à faire du bruit en sirotant son café en lâchant « c’est toi le meilleur tkt poto ! par contre bouge ton cul mais genre vraiment ». c’est la grosse merde avec le russe qui révèle des trucs, on se rend compte que william est une petite salope qui ment à tout le monde. le truc à savoir vraiment en fait avec william c’est qu’il a de grosses control issues, ce qui est à la fois son pire défaut et son meilleur atout. il m’énerve avec son t shirt rolling stones de merde là si il consent à fermer sa grande gueule je pourrais l’aimer tranquille mais NON faut que ce soit un mec qui n’a aucune race. donc la psy qu’ils avaient emmené en gros c’est le jésus martien. il tente un move bien dans sa vie, il se prend une balle dans la jambe et j’ai en tête cette très belle scène où il a son t shirt à moitié ouvert trempé des pieds à la tête de sueur et whimpers. un grand moment de cinéma. il s’est pris un coup dans le bide, une balle dans la jambe et il a enfin avoué qu’il était un connard fini. donc bref tout ce petit monde repart sur terre mais sans jeanne la psy/jésus martien. pour conclure je l’adore il me fait trop rire c’est tellement un bâtard j’ai envie de le gifler. moi @ william dès qu’il parle : ferme ta gueule mon amour 🥰🥰🥰 s’il te plaît.
saison 2 :
donc bref tout ce petit monde repart sur terre mais sans jeanne la psy/jésus martien, ils décident de tous repartir sur mars aller chercher jeanne parce que depuis leur adn même à muté et eux aussi ils commencent à développer des sortes de connexions/super pouvoirs chelous. sauf que. et il est primordial ce sauf que. william a carrément merdé entre temps. il a eu une aventure y’a 21 ans avec une meuf a singapour, la meuf a eu une fille, il a jamais voulu la rencontrer, il a décidé de prendre contact avec elle devant sa porte d’appart le jour de l’enterrement de sa mère (bravo william le tact c’est vraiment ton fort). « alice je suis ton père » et il lui file une copie de l’odyssée d’homère parce que c’est hyper important pour lui parce que son propre daron lui avait donné après la mort de sa grand-mère donc c’est hyper symbolique pour lui. ils passent un contrat père-fille sur un an renouvelable je déconne même pas ET ILS NÉGOCIENT ENSEMBLE CAR ILS SONT TOUT AUSSI TARÉS L’UN QUE L’AUTRE. finalement ils finissent par s’entendre, sauf que. alice était malade d’une maladie orpheline qui l’a tuée pas si longtemps que ça après les retrouvailles avec son papa. on pensait que goldstein était crevé, oui et non. son vrai corps est crevé, mais il a réussi à transmettre sa conscience dans un corps « artificiel » qui n’en est pas vraiment un, c’est compliqué, car « personne ne devrait enterrer son enfant ». william « ah ouais j’suis pas PDG de la firme de mon ancien ennemi? dans trente minutes je le suis officiellement fdp » meyer. il fait la plus grosse connerie de sa vie, il tente de refaire ce que goldstein a fait pour sa gamine, sauf que comme elle est morte avant qu’il puisse transférer sa conscience, eh bah il s’est dit je garde le corps par contre j’implante l’IA super intelligente.
alexandra : vous êtes humain, finalement.
william, avec la voix qui craque : j’ai pas pu passer beaucoup de temps avec elle. la vie me l’a reprise. une maladie orpheline. elle m’a rien dit pour qu’on profite de notre temps ensemble. à chaque fois que je la regarde [alice IA], elle me rappelle que ma fille est morte.
WILLIAM STOOOOP AVEC LES PARALLÈLES AVEC TES PROPRES TRAUMAS. sauf que du coup alice IA devient hyper puissante et hyper méchante et elle bute la meuf qu’ils étaient venus chercher (c’était pas vraiment elle en fait) sur mars devant eux lui il détourne le regard en mode « putain… » BRO C’EST LES CONSÉQUENCES DE TES PROPRES ACTIONS. ils sauvent jeanne jésus martien, sauf qu’il tente de tuer alice IA pour la stopper, elle tente la carte le prendre par les sentiments dans une scène absolument déchirante, il tire, ça loupe, elle le FUCKING POIGNARDE. jeanne utilise ses super pouvoirs pour remonter dans le temps, comme elle sait qu’elle pourra pas empêcher william de faire ce qu’il a fait elle lui dit juste de leur donner un moyen d’arrêter alice IA, d’une façon ou d’une autre. il écrit une ligne de code qui basically la tue si on lui dit dans l’IA qu’il lui implantera, jeanne le dit, alice IA meurt, WILLIAM AUSSI. IL EST MORT EN MÊME TEMPS QUE SA FILLE JE VAIS M’EXPLOSER LE CRÂNE CONTRE UN MUR. ils. ils meurent côte à côte. leurs mains se touchent presque. i’m gonna go fucking insane. je l’ai tellement bien diagnostiqué depuis le début en fait il a tellement de control issues parce qu’il veut être le seul à blâmer pour tout sauf que quand ça sort de son contrôle il panique il fait de la merde et ça éclabousse tout le monde he has crippling depression and he’s the kind of man ready to burn the world for someone he truly loves (they are not many) i’m gonna fucking kill myself he’s just a silly little guy. i need a moment.
saison 3 :
saison 3 le seul qui a décollé de mars se retrouve dans une réalité alternative où personne n’est jamais allé sur mars, où tous nos protagonistes n’ont pas les mêmes vies. la vraie alice n’est jamais morte et a toujours connue son père, son père n’est pas fasciné par l’espace, ils n’arrivent plus à se parler, PEU IMPORTE L’UNIVERS LEUR RELATION N’EST PAS BONNE. et cette fois c’est william qui est mortellement malade. et il est pote avec l’arch nemesis. à partir de l’épisode 3 environ on comprend qu’il est complètement tarjmoule, mais en fait c’est pas trop sa faute. 2e jeanne dans cet univers alternatif, que j’appellerais evil jeanne, a merdé sévère parce que quand l’autre jeanne de la saison 2 a voyagé dans le temps pour demander à william d’aider à arrêter alice IA ça a créé cet univers alternatif. ce qui fait que william n2, que j’appelerais williain’t, a les souvenirs du vrai william. ce qui lui a filé une dépression depuis la plus tendre enfance, un don de prémonition + une tumeur au cerveau. il vrille assez fort en prenant en otage sa propre fille, son mec et evil jeanne pour qu’ils l’aident à faire disparaître la tumeur et qu’il arrête de souffrir deux minutes. evil jeanne a un flashback bonus de williain’t jeune qui a essayé de la tuer quand elle était gamine, elle veut se venger, elle apprend par le deus ex machina providentiel qu’elle doit accomplir son Destin™️ donc williain’t ne crève pas de suite. evil jeanne s’énerve sur des mecs et les tue violemment, williain’t prévient que ça va merder (et pour une fois dans sa vie il a raison). ils partent en mission spéciale avec evil jeanne, williain’t est bien engagé sur le chemin du décès. elle utilise ses pouvoirs pour buter les mecs qui sont après eux, sauf qu’en faisant ça elle influe directement sur le lien télépathique/super pouvoir entre elle et williain’t, et ÇA LE BUTE. DANS TOUS LES UNIVERS IL CRÈVE OU QUOI. on le laisse sur le bord de la route comme une vieille merde. evil jeanne ouvre un super portail, rencontre jeanne de la saison 2, elles « fusionnent », evil jeanne devient dieu, elle crée un trou noir qui détruit le monde voire même cet univers tout entier. fin de la série.

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