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#chapitre1
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Quentin Bordage,Pdg de Kolsquare.(Chapitre1):Niche et micro-influenceurs.
L’une des tendances les plus notables du marketing d’influence est l’essor des micro-influenceurs de niche et des micro-influenceurs qui ont un public plus petit mais plus engage’ et fidele que les mega-influenceurs.Les influenceurs de niche et les micro-influenceurs sont plus authentiques,plus pertinents et plus dignes de confiance et ils peuvent offrir des taux de conversion et un retour sur…
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alexar60 · 3 years
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L’hôtel particulier (1)
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Chapitre 1 : Le domaine
Face à la façade, mes amis restèrent bouche-bée. Leurs yeux exploraient les murs en se posant de nombreuses questions. Déjà, ils durent traverser un jardin immense, mais là ! Ils s’attendaient à voir une jolie maison bourgeoise et ils faisaient face à un bâtiment plus proche du manoir !
Ayant les clés, j’entrai le premier suivi de Tatiana et Léopold. Ils furent sidérés de découvrir une frise juste au-dessus de la porte.
-          Qu’est-ce que ça raconte ? demanda Léo.
Je ne répondis pas, en fait, je ne le savais pas. La frise ressemblait à une bande dessinée. Elle rappelait la tapisserie de Bayeux ou les dessins volés de l’Acropole. J’observai attentivement. Elle représentait des femmes et des hommes dansant avec des animaux, certainement des divinités. Le groupe faisait la fête, certains buvait, j’eus du mal à y croire mais quelques couples semblaient copuler. Et le dernier personnage marchait avec la tête entre ses mains. A côté, une espèce d’hybride bouquetin sur deux pattes que je reconnus être Pan marchait en bombant le torse.
Dans le hall, la lumière permettait d’apercevoir voltiger de nombreuses particules de poussière. Tatiana pouffa de rire en m’imaginant en train de passer ma vie à nettoyer ne serait-ce que cette partie de la demeure. A notre gauche, la porte à double battants permit de constater une salle immense et vide. Moi-même, je ne savais pas quoi faire dedans. De l’autre côté, les appartements étaient aménagées. C’était là que vivait l’ancien propriétaire après s’être retrouvé paralysé. Il vécut une dizaine d’année en fauteuil roulant sans pouvoir entretenir la maison. Lorsque je racontai ça à mes amis, ils me fixèrent de leur regard interrogateur.
-          Mais pourquoi tu as acheté cette baraque? demanda Marc.
-          C’est immense, c’est trop grand pour toi, remarqua Léo.
-          Je sais, répondis-je. Je ne sais pas…Quand j’ai vu l’annonce, j’ai eu comme un coup de cœur en regardant la photo. Alors, je suis venu visiter et le coup de cœur s’est confirmé.
Je fis visiter la partie aménagée. A cet endroit, j’avais suffisamment de place pour vivre. Une cuisine, une salle à manger, un salon, deux chambres et une salle de bain. Quoi que petit, l’ensemble était aussi grand que n’importe quel F3. Tatiana habituée à mon ancien appartement, eut un large sourire après un long soupir. Elle observa les plafonds, on pouvait même ajouter une mezzanine. C’était trop grand, répétait-elle en soufflant.
Au bout de cet espace habitable, j’ouvris une porte fenêtre donnant sur le jardin arrière. Ils restèrent ébahis en découvrant le jardin aussi grand qu’une forêt. Il y avait de nombreux arbres fruitiers, des cerisiers, des pommiers, des noyers, un prunier et même un bananier. Nous étions en août et l’on pouvait voir le sol jonché de mirabelles sous le prunier. Quelques oiseaux s’en donnaient à cœur joie. Léo signala qu’il s’agissait surtout de corneilles et de corbeaux.
-          Tu vas être bien là ! C’est clair, bredouilla-t-il.
-          Et ça va loin. J’ai mis dix minutes pour atteindre le mur du fond. Après, ce sont des champs et la forêt.
-          Ça t’a coûté combien tout ça ? questionna Léo
-          Presque rien, c’était aux enchères. L’ancien proprio n’avait pas d’héritier et il était endetté. Alors, ça a été mis en vente…. Je n’ai pas compris pourquoi personne n’a vraiment surenchérit.
La vente s’était déroulée devant l’entrée. Le commissaire-priseur annonça le prix. Je fis un geste pour débuter. Il y a eu une femme d’une soixantaine d’année qui leva la main offrant un prix supérieur. Elle leva deux fois la main avant d’arrêter. Pourtant, il y avait du monde mais personne ne chercha vraiment à s’imposer dans la vente ; comme s’ils étaient statufiés ou tétanisés. Lorsque la phrase : « Adjugé, le domaine va M. Lantier » sortit de la bouche du huissier, un notaire m’agressa gentiment en me fournissant les papiers de propriété, genre il était content de se débarrasser de l’affaire.
Nous retournâmes dans le hall et commençâmes à grimper l’escalier. Ses marches légèrement abimées avaient besoin d’une réfection pour une seconde vie. Nous arrivâmes au premier des trois étages. Deux portes ouvertes se proposaient accédant à un couloir. Durant ma visite, je ne me souvenais pas qu’ils donnent accès à plusieurs portes.
-          Mais, en fait, tu as acheté un hôtel ? interpela Marc.
Encore une fois, je ne répondis pas. Et en effet, chaque salle était la même. On trouvait une place suffisante pour un lit et une armoire ainsi que les restes d’un évier bouffé par la crasse et les toiles d’araignées. Tatiana éclata de rire lorsque mes potes me charrièrent. Ils me connaissaient suffisamment pour savoir que je ne suis pas du tout une fée du logis. Dès lors j’expliquai mon projet. Ils écoutèrent avec attention.
-          J’ai envie de réaménager tout ça. De toute façon, je n’ai que ça à faire depuis que j’ai gagné au loto. J’ai l’intention de faire des appartements. On n’est pas loin de la ville et le côté campagne pourrait plaire. Ensuite, la salle de réception pourrait servir pour nos soirées. Je n’ai pas tout en tête mais je sais déjà comment transformer tout ça.
En visitant les chambres, nous découvrîmes quelques meubles oubliés. Bien entendu, c’étaient surtout des armoires ou des lits aux matelas moisis. Je devinai retrouver des vêtements ainsi que des objets personnels dans les tiroirs. Le second étage offrait le même paysage ; des chambres de chaque côté de l’escalier. Enfin le troisième ne fut pas accessible à cause d’une porte fermée dont je n’avais pas la clé. J’essayai en vain de l’ouvrir mais je me résignai à la laisser en état. Dès lors, nous retournâmes dans le vestibule.
-          C’est quand même pharaonique, me dit Tatiana. J’espère que tu ne comptes pas sur moi pour tout laver.
-          Je vais employer des gens pour ça. N’oublie pas que maintenant j’ai les moyens.
Elle eut un sourire crispé. Je pense qu’elle n’aimait pas me parler argent. On était ensemble depuis deux ans et il n’a jamais été question de ça. Depuis mon ticket gagnant, je sentais qu’il existait une certaine tension entre nous. Il n’y avait pas qu’elle. J’ai vite dégagé les vautours qui se disaient être mes amis si bien qu’il ne restât plus que Léopold et Marc, deux potes d’enfance…Et Tatiana pour qui l’argent n’a aucun intérêt.
Nous discutâmes encore de la maison. Le camion devait apporter mes meubles le mois prochain. En attendant, je comptais venir en apportant quelques affaires. C’était des outils, de la peinture, de quoi donner un souffle là où cela en avait besoin.
-          Tu en as pour des siècles, réagit mon ami Léo.
Sans leur demander, ils acceptèrent de venir donner un coup de main. Pas grand-chose de dur mais juste de quoi s’occuper. Car finalement, malgré mon portefeuille garni, je restai comme eux, quelqu’un de simple et même si j’avais ‘la folie des grandeurs’ avec cet hôtel particulier, je comptais d’abord le moderniser pour le faire revivre.
Nous quittâmes la maison en riant. Un nuage noir cacha brusquement le soleil qui rayonnait depuis son lever. Soudain, il se mit à pleuvoir abondamment nous obligeant à courir pour nous protéger dans la voiture. Mais avant, lorsque je me retournai afin de fermer la porte, celle-ci claqua brutalement devant moi faisant sursauter mes amis. Ils se mirent à rire du fracas et de la pluie qui commençait à tomber en disant que la maison me souhaitait la bienvenu. De mon côté, je me sentis légèrement troublé car juste avant que la porte ne se referme tout seule, il m’avait semblé voir une ombre descendre en glissant sur les escaliers.
Alex@r60 – janvier 2021
Photo : Clermont (Oise) dans les années 1970
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frenchhobbit · 3 years
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Entre rêve et cauchemar
A Sirius Black’s simp fanfic
Chapitre 1
Chryséis Daley avait onze ans. Comme tous les autres enfants, elle était impatiente mais terrifiée d'aller à Poudlard, l'école de magie dont elle avait tant entendu parler depuis deux mois. Deux mois seulement me demanderez-vous ? Eh oui, Chryséis était une née-moldue, aussi elle découvrait ce monde. 
Ses parents l'accompagnèrent jusqu'au train. Elle n'avait pas vraiment envie de les quitter, mais il le fallait. Au loin, elle repéra un jeune homme bruyant. Elle le regarda, se dit qu'il était probablement l'élève le plus beau de tous. Puis elle vit sa famille : lugubre, toute de noir habillée, aux allures royales. Ce devait être une famille importante. 
"Honore les Black," dit soudain la mère. "Va à Serpentard. Ne me déçois pas !"
Le jeune garçon souffla et rentra dans le train, claquant presque la porte au nez de sa famille. 
Cela amusa Chryséis. Elle se dit qu'il devait être drôle, mais qu'il devait aussi être un nid à problèmes. Elle eut pourtant envie de faire sa connaissance...
Ses parents lui dirent au revoir, puis elle monta dans le train. 
 ******
 Chryséis ne savait pas trop où s'installer. Elle ne connaissait personne et était en train de développer une timidité presque paralysante. Elle décida donc de se raccrocher à la seule idée qu'elle pouvait encore formuler : rejoindre le jeune garçon Black. 
Elle parcourut les couloirs en faisant mine de chercher quelque chose de précis pour ne pas avoir l'air trop perdue. Puis enfin elle le trouva. Il était nonchalamment installé dans un compartiment, côté fenêtre, mais évidemment ils n'étaient pas seuls. Un grand blond, hautain, ainsi que trois jeunes filles étaient avec lui. Le garçon avait l'air ennuyé au possible tandis que les quatre autres discutaient. 
Mais alors qu'elle réfléchissait entre faire demi-tour et tenter sa chance, le grand blond la vit : elle était restée figée à les regarder.
"Qu'est-ce que tu veux la binoclarde ?" dit-il d'une voix agressive. 
"Regarde, Androméda... qu'elle est moche !" se moqua l'une des filles.
Chryséis ne sut quoi répondre. Elle était humiliée et elle n'avait pas pu prononcer un mot. Elle chercha dans sa mémoire une insulte de sorcier à répliquer, mais elle n'en connaissait aucune. 
Le jeune garçon Black tourna alors la tête vers elle avec un regard curieux et elle sentit les larmes lui monter aux yeux. 
"C'est vous qui êtes moches !" cria-t-elle alors avant de se retourner et de partir en courant.
Les larmes débordaient déjà sur ses joues. Plus jamais elle n'irait du côté de ces ignobles personnes ! Elle s'en faisait la promesse !
 *****
 Poudlard était magique. 
Cet endroit était si merveilleux qu'elle en oublia rapidement sa mésaventure du matin. Enfin, c'est ce qu'elle pensait.
Arrivée dans la Grande Salle avec les autres élèves, elle fut incapable d'échanger un mot avec un autre élève. Elle resta seule dans son coin. 
Puis vint la cérémonie de répartition des maisons. Elle se maudit d'avoir un nom commençant par la lettre D, si proche du début de l'alphabet. Peu d'élèves avaient été répartis, tous les regards étaient braqués sur elle. Elle devint écarlate lorsqu'on prononça son nom. 
Elle s'avança dans l'allée en espérant disparaître dans le sol. A la place, elle disparut sous un grand Choixpeau. 
"Hum... Je vois de la ruse, de la persévérance, un brin de méchanceté même. Mais un coeur tendre, et déjà meurtri. Que veux-tu ?" lui demanda le Choixpeau. "Apprendre à surpasser les épreuves avec douceur et gentillesse ? Ou bien affronter tes ennemis pour les détruire ?"
Chryséis hésita. Sous le grand revers du Choixpeau, elle observa le regard dédaigneux du grand blond et de ses trois acolytes qui dans le train l'avaient humiliée. Elle était en colère.
"Je vois, tu as fait ton choix," déclara le Choixpeau, un rire dans la voix. "SERPENTARD !" cria-t-il à la foule. 
La table aux couleurs vertes se mit à applaudir : c'était la table du grand blond. Et dans sa mine déconfite Chryséis tira un peu de sa vengeance. 
Elle apprit un peu plus tard que le beau garçon s'appelait Sirius Black. Elle le regarda avec tendresse aller jusqu'à la table des Gryffondors où on l'acclama comme un héros. Elle l'observa pendant de longues minutes, mais pas une seule fois il ne tourna le regard vers elle. 
Tant pis ! se dit-elle. Elle se contenterait de l'admirer de loin. 
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obscenemadame · 4 years
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J'habite dans une petite cabane dans la prairie, viens la voir. Des ormes la reparent du soleil et de la pluie.
Il n y a pas grand chose dans la cabane: un lit et des tasses pour mes tisanes, des livres, mes habits. C'est mon nid d'oiseau.
J'habite ici depuis que je suis partie du village, quand je me suis aperçue que plus personne pouvait me comprendre, quand mon coeur a failli expliser et mes paroles sont devenues trop debordantes.
Mainteinant je vis sous un orme, presque seule. Des jeunes filles me rendent visite parfois.
Quand je retourne au village tout le monde a peur de moi, de mes cheveux, de mes habits, de mes yeux.
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vuelavuelabd · 4 years
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felixaimegregoiremulol · 10 months
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Met de pistache(CHAPITRE1).ingrédients:(1)650grammes de graines de courge écrasées.(2)500grammes de viande de boeuf cuite découpée en de's (3)900millilitres de bouillon de cuisson de la viande(4) 4oeufs (5) 3gousses d'ail hachées (6)50 grammes de crevettes séchées et concassées.(7) piment sec selon la tolérance(facultatif) (8)Sel,poivre noir du moulin.
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MDZS manhua, français, chapitre 1, 1/2
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zykatekb · 5 years
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Nés sous la même étoile - Chapitre 1
Le chapitre 1 est en ligne sur mon blog ICI
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Un grand merci a ma louloute @luna-igleo pour Lyna sa simette <3
J’espère que ce premier chapitre vous plaira, et je tiens aussi a m'excuser, j'ai employée des mots que je n'aime pas dans mon texte, (Ce qui ne correspond pas du tout a ma vision des choses je tiens a le signaler :) ) je les trouve injurieux et crus mais bon il me fallait les écrire pour l’histoire , bref vous êtes prévenus :)
Bonne lecture <3
Histoire Boy Love libre d’accès pour le moment :)
Écris en français.
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afterdawnrpg-blog · 6 years
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#Lecture #Roman #DavidMorrell #Rambo @editions_gallmeister #Chapitre1 https://www.instagram.com/p/B8lddnxI8MG/?igshid=1m8rsnb4gycx5
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vuelavuelabd · 4 years
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felixaimegregoiremulol · 11 months
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La problématique de la pauvrete' en Afrique(CHAPITRE1): Jadis les africains survécurent a' travers la pratique de la chasse et de la cueillette,en particulier les peuples vivant dans les zones forestières.Plus tard les populations blanches musulmanes manifestèrent le besoin d'acquérir des esclaves noirs,ce qui boostat l'avenement de razzias,de guerres tribales,permettant l'enrichissement  illicite et odieux de certains peuples et créant ce que l'écrivain Georges Conchon appelait dans un ouvrage rédige' en 1966:"L'état sauvage".Aujourd'hui,cette ère est presque révolue,la monnaie métallique et celle en papier ont été introduites dans notre sublime et merveilleux continent,les armées nationales,les forces de l'ordre arrivent tant bien que mal à contrer les conquêtes a' tendance deshumanisante.Toutefois,l'Afrique est confrontée de nos jours à la multiplication du nombre de sa population,la végétation se rétrécit de façon drastique,les animaux sauvages ont été decime's,la paysannerie villageoise croupit dans la misère et meurt,creve dans l'anonymat(il n'en a plus que pour les hyper diplôme's des grandes villes).Certains de ces érudits s'accaparent des biens rares(deniers publics),a' travers des détournements d'argent astronomiques,mirobolants;le lumpenproletariat et des masses de diplôme's sans emploi écument les villes en quête de travail salarie' et de pitance quotidienne.Il y-a très peu de création d'emplois,en tout cas elles sont loin de pouvoir juguler les besoins titanesques de travail salarie'.Que faire et comment le faire?Quel est le modèle d'organisation permettant une meilleure répartition des fruits de la croissance et des fonds rares?comment éviter les extorsions du bien public?Qu'elle doctrine économique adopter?une politique monétariste?une politique basée sur la consommation?un accent a' outrance sur l'agriculture?mon très microscopique cerveau ignare m'oriente vers les conseils de certains américains célèbres.Le chanteur senegalo-americain Akon affirme que l'Afrique a besoin d'organisation et de stratégie.Le président Barack Obama dit que les africains devraient commercer beaucoup plus entre eux.Le président Bill Clinton insiste sur le commerce et le business en lieux et places de l'aide économique.J'estime que tout cela est vrai,toutefois ne nous y trompons pas:l'enrichissement des peuples et des nations est également tributaire du savoir et du savoir-faire:comment bâtir des barrages hydrauliques,des stades,des ponts,etc...sans automatiquement faire appel à des expatriés?D'autre part,la vulgarisation des méthodes et procédés techniques commerciaux s'avere être d'une grande importance:Nous pourrions nous inspirer des méthodes techniques américaines publiées dans des brochures pour démystifier les technologies et miniaturiser les entreprises.Le grand goulot d'étranglement en Afrique reste la gestion opaque, tribaliste,clienteliste de l'Etat,la corruption.Quel type d'organisation peut permettre d'éradiquer tout cela?that is the question.Aufwiedersehen.
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MDZS manhua, français, chapitre 1, 2/2
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De tous les hommes vivant sur cette planète, de toutes les âmes qui auraient pu être la mienne, il fallait que ce soit toi. Je me rappelle de notre première entrevue comme si c’était hier, tes grands yeux levés vers moi, ta façon de prendre des notes alors que je faisais le résumé de ma triste vie, de chacune de mes cicatrices. Ta façon de bouger, de respirer, si organique, si évidente. Je me disais que sur tous les êtres que j’avais croisé, tu étais si particulier, si différent. Cette déferlante d’émotions diverses qui me parcouraient et qui semblaient jaillir de moi me laissais penser que te laisser partir à la fin de cette bière hors de prix commandée dans un café de Montparnasse était une erreur. Je ne sais pas pourquoi mais tu as accepté de passer l’après midi avec moi. De tout, je me souviens de tout. Des détours que l’on a dû faire parce que tu ne savais pas lire ton plan, des gargouillis tantôt causés par la faim, tantôt causés par l’émotion, de tous ces CDs que tu critiquais chez ce disquaire de saint Michel avec un cynisme si séduisant, de moi, suspendue à tes lèvres, ne voyant rien d’autre que ton âme qui semblait danser au fil des minutes que nous passions ensemble. De cet au revoir entre deux quais de métro ou je me surprise à penser « ce qui viens de se passer était spécial et je ne le comprendrai jamais. » de ces deux semaines ou j’attendais de te revoir , comme perdue entre deux mondes, des mondes étranges auquel je n’appartiendrais jamais. C’est curieux mais maintenant que j’y repense je crois bien que dès le début je savais que quoi qu’il advienne de nous, ça allait changer ma vie de toute façon, et je n’avais pas peur de ce changement. C’était un vendredi soir, tu venais dormir chez moi, afin que l’on profite de la soirée. Tu rencontrais une de mes amies puis nous restions seuls. Enfin je t’aurais rien qu’à moi pour quelque heures. Là encore ton humanité face à elle m’avais émue car je ne voyais ni pitié ni doute dans tes yeux, que de la compassion. Tout le temps qu’a duré cette soirée j’ai voulu te séduire, toi tu voulais nous protéger et après une discussion qui aura duré pas loin de dix heures si courtes et si précieuses, alors que tu dormais en me serrant dans tes bras, que tu m’embrassa sur le front, toujours endormi et resserrant ton étreinte j’arrivais enfin à la conclusion qu’il ne agissait pas de tes sentiments envers moi mais envers toi même, envers le monde. Deux mois se sont écoulés, deux mois de bonheur, où je brillais à travers ton amour, ou je me sentais entière et en harmonie avec moi même. Où tu me fit regarder des films magnifiques qui me firent pleurer des heures durant, où tu m’appris tant de choses sans même t’en rendre compte. Les deux mois les plus heureux de ma vie. Ces deux mois, un cadeau inestimable de ta part, pour rien au monde je ne voudrais m’en défaire car ils sont tout ce qu’il me reste de nous. Même si j'avais pû savoir ce qui allait nous arriver, j’aurais quand même voulu vivre ça car, comme l’a dit un jour un homme savant «  mieux vaut avoir aimé un jour et avoir perdu cet amour que de vivre toute une vie sans jamais le connaître ». Ce n’est sûrement pas la bonne formulation mais peu importe la forme tant que le fond est clair… Malheureusement, comme tu le sais, la fin n’est pas si belle. Là encore je me rappelle, de ton silence et de tes excuses, de mes larmes et de mon angoisse, de l’envie de te faire mal pour avoir plus mal encore car tout ce qu'il restait c’était la douleur de t’avoir perdu. Mon estomac avide d’explications, le tien avide d’alcool, une fin aussi passionnée que le reste. Notre première conversation post rupture s’était faite au téléphone un dimanche orageux d’été, fin juillet je cois. J’étais là, sous la pluie et l’orage qui reflétait à merveille ce que je ressentais, à essayer en vain de te convaincre de revenir à moi, de me laisser souffrir pour toi encore, de me laisser t’aimer toujours. Si j’avais du trouver pire que ce que le fait de te perdre m’avais fait ressentir… bien je cherche encore à vrai dire… je ne sais pas…. je ne vois pas. La mort? La maladie? On peut faire le deuil de ce qui meurt, les gens, l’amour, les relations, mais toi, et mon affection pour toi ne peuvent  pas mourir , alors je continue à avancer, les jambes liées mais j’avance. Sans handicap, juste avec le souvenir qu’un jour la vie a été à la hauteur de ce que j’attendais d’elle, mais que cruellement elle nous a reprit le cadeau qu’elle nous avait fait. Je ne t’en veux pas à toi, je ne m’en veux pas à moi même, j’en veux à l’univers qui, par un milliard de petites équations sournoises nous a brisés à jamais. A cet amour que l’on nous a repris sauvagement et que l’on nous a demandé d’oublier . Comment je pourrais oublier ça? Comment oublier le fait d’avoir été cette femme? C’est absurde. La vie est absurde. Mais pas nous. Nous? Nous étions les deux corps étranges lâchés dans la nature contre notre volonté, destinés à servir de cible pour une humanité solidarisée par sa décadence. J’étais la petite fille qui pleurais, tu étais le petit garçon qui m’offrit une jolie fleur pour me réconforter. Notre histoire était un roman de gare, comme sur la route de Madison, séparé pour des raisons justes mais si injustes. Peut être est-ce de là que vient la réelle douleur, celle qui m’oblige à sourire faussement comme pour m’intégrer à cette folie. Celle qui sans toi m’oblige a refaire ma vie. Et alors que je hurle à l’injustice, encore et toujours comme prisonnière d’une faute que nous n’avons pas commise , j’espère un jour que tu liras cette lettre, sans croire que je l’écris pour t’avoir encore, mais simplement pour te dire quelle vision, mon âme, je te porte. Quoi qu’il en soit, pour conclure cette courte poésie, je n’aurais qu’une chose à te dire, merci. Pour toute cette histoire qui m’aura apporté tant d’humanité, pour m’avoir faite me sentir si spéciale, pour m’avoir aimé, moi. Un jour on se recroisera dans une gare ou sur un lieu de passage et je te regarderai, et tu me regardera, et dans un souffle je te redirai tous cela, encore une fois. Avec affection, L .
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aficia · 7 years
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Plaisir du jour : avoir #LeaPaci en interview sur aficia pour nous présenter #Chapitre1 👉 http://ow.ly/5Um930cOtT8
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nurse-and-student · 3 years
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Week 5 - Ethics and Clinical Research
     This week we learned about research ethics and the importance of it during clinical trials. In week 2 we discussed some of the unethical experiments done in the past but today we will focus on the ethical principles and the reason behind its importance, let’s get started.
     Research ethics is a field of ethics that examines ethical and legal questions generated by researchers that involves human participants (Parmar, 2020). Ethics in research main priority is to ensure that participants are protected from harm, coercion, exploitation, and any unfair treatments. Prior to this course, I was aware that there were ethics committees to safeguard participants before trials but I was not aware of how many. There are three councils in Canada which include the Canadian Institutes of Health Research (CIHR), Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada (NSERC), and the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada (SSHRC) (Parmar, 2020). Ethics in research never stops; in fact, participants should be safeguarded before, during, and after the clinical trials to minimize any harm (Parmar, 2020). The tri-council policy statement 2 (2010), released ethical principles all researchers and/or investigators should follow at all times. These include justice, respect for persons, and concern for welfare (Government of Canada, 2019). However, ethical principles of informed consent, privacy and confidentiality, integrity, and conflict of interest should be maintain at all times (Parmar, 2020). Now let’s look into further detail regarding these ethical principles.
     Justice refers to fairness, and requires one to treat people fairly, with respect, at all times. As a nurse, I am aware of this ethical principle because the College of Nurses of Ontario also has practice standards and frameworks nurses need to obligate to. Respect for persons means that the researcher must treat the participant with respect, kindness, and allow the participant to make their own choices. This is where autonomy relates as it focuses on individuals making their own free choice with all the required information provided. This means that the researcher must provide informed consent to the participant including the risks and benefits of the trial, and allow the participant to either continue or terminate their spot in the trial. Concern for welfare is similar as the researcher must protect the participate and their safety by being transparent and explaining any foreseeable risks in the research. This can be accomplished by completing a risk benefit assessment with the participants and ensuring that the benefits outweigh the risks associated (Parmar, 2020).  
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     Moreover, we learned about vulnerable populations for clinical trials, which includes, prisoners, pregnant women, the elderly, children, minorities, and individuals with disabilities (Parmar, 2020). These groups are considered vulnerable populations since they may not have the capacity to make formal decisions or may be coerced. For example, many trials provide compensation for clinical trials. Now to the average person $20 may not be considered a lot of money; however, to a prisoner, or an individual at risk or experiencing homelessness that may seem like a good amount of compensation. Now one can say that it is a type of coercion or injustice to offer such wages to vulnerable populations. 
      As learned this week, the researcher cannot just ask a random person on the street to join their trial because they must fit the eligibility criteria. The eligibility criteria is a set of factors that will distinguish whether one may be a match for the clinical trial. It is usually formed with very specific characteristics that one should pose to be considered for the trial. Some common characteristics include age, gender, type of disease and severity, and genetic factors. As part of the researcher roles, one must carefully access if a participant is eligible as it can compromise the entire trial/study.
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     The last topic that we covered in this weeks lecture was the types of ethic review boards. Now as mentioned earlier all trials that have participants involved need an ethics board. Some of the ethics board’s are the Research Ethics Board (REB) in Canada and the International Review Board (IRB) in the United States or globally (Parmar, 2020). These review boards examine the safeguard measures taken upon participants and may complete 1 out of 3 reviews if discrepancies are found. A delegated review is a minimal risk review that does not involve vulnerable populations. There are 2 levels to the review and in level 1 there is no interaction with the participants and only the documentation, database, and chart reviews are examined. In a level 2 review, the ethics committee may communicate with the participants through a group session, questionnaire, or survey (Parmar, 2020). A full board review may include minimal risk but is not limited to it and can continue to investigate further if not eligible for an expedited review. An expedited review is a review done in a quick manner, and may not involve the IRB/ERB; additionally, there may be no risk associated with this type of review (Lafayette, n.d.).
    All in all, I learned a lot about the ethics committees and the ethical principles grounded in research. As a nurse I am familiar with some of these ethical principles as I ensure that my patients are treated with respect, dignity, and compassion at all times. I have a great time learning about the ethics boards and the different type of reviews they offer. I do believe that the content this week will benefit me in my career as a nurse. Can’t wait to share more with you all! Until then, xo 
- Angelina K
                                                                                                              References
Government of Canada. (2019 September 23). TCPS 2 (2018) - Chapter 1: Ethics Framework. Retrieved from
          https://ethics.gc.ca/eng/tcps2-eptc2_2018_chapter1-chapitre1.html
Lafayette. (n.d.). The Three Types of IRB Review. Retrieved from https://irb.lafayette.edu/the-three-types-of-irb-review/
Parmar, N. (2020). Week 5: Ethics and Clinical Research [PowerPoint presentation]. BLG699. Toronto, ON, Canada. 
          https://courses.ryerson.ca/d2l/le/content/453175/viewContent/ 
          3357526/View
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