#comment éloigner une femme de mon mari

[iletaitunefoismonjournalintime]

Chère Sandra

Il y a 34 ans bientôt que nous sommes amies toi et moi. Pas une dispute, pas une querelle, tu as toujours été la sœur que j'aurais aimé avoir. La vie nous à éloigner car si tu es toujours resté dans cette ville où nous nous sommes rencontrés, j'ai quitté le sud de la France il y a bien longtemps pour aller vivre à 1200 km de chez toi. Malgré tout, notre amitié est resté la même. Nous nous voyons quelques fois par an, quand je retourne voir ma famille dans le Var. Nous nous suivons sur les réseaux sociaux et nous nous téléphonons. Et justement, ce matin, j'ai eu envie de t'appeler. Mais comme souvent ces dernières années, j'ai vite réalisé pourquoi je le fais de moins en moins souvent. Avec le temps, nos conversations légères, agréables et drôles ont fait place à nos soucis familiaux, puis à nos soucis de santé. Enfin surtout les tiens. Mais s'il n'y avait que les tiens, cela ne serait pas un souci. Le problème vient que tu m'énumères aussi ceux de ton mari et de tes enfants ! Au final, sur 1 heure de conversation, j'ai pu parler moins de 10 mn. Alors certes, j'ai moins de soucis de santé que toi, moins de soucis tout court et je sais que c'est important que tu puisses te confier à moi. Mais est-ce que tu te rends compte que moi aussi, j'aimerais te parler, rire avec toi, te confier mes petits secrets et que tu ne m'en laisses pas le temps ? Quand tu commences ton monologue, je pose mon téléphone, j'allume le haut-parleur et je vaque à mes occupations en lâchant un "han han" où un "ha bon !" de temps à autre. Je regarde l'heure qui tourne, je ne fais pas attention à ce que tu dis, j'oublie le reste parce que c'est trop ! Le nom de tes maladies, le nom de tes traitements puis ceux de tes enfants qui sont tous aussi grand que les miens désormais. J'ai souvent envie de t'interrompre, de te demander de changer de sujet, de parler de chose plus gaie. Mais y a-t-il encore des choses gaies dans ta vie ? J'ai l'impression que tu ne vois que les problèmes. Et quand par miracle tu es dans une période plus légère, tu me parles de ceux de tes voisines dont je n'ai que faire. Chaque été, nous nous accordons une journée entre filles, pour faire du shopping et passer du temps toute les deux. Mais c'est la même chose. Nous ne nous amusons plus comme avant, tout est sérieux et tes enfants et ton mari téléphonent toujours. C'est pour cela que, comme pour nos appels téléphoniques, je finis par écourter. Parce que je m'ennuie, tout simplement. Comment te faire comprendre que les problèmes ont l'importance qu'on leur donne ? Que malgré les noms savants de tes problèmes de santé pour le moment il n'y a rien de grave. Que ta fille est une chieuse depuis sa naissance et que tu devrais lui mettre des coups de pied au cul au lieu de l'amener voir des psys et lui faire faire des tests qui remplissent les caisses des médecins peu scrupuleux ? Comment te dire que la Sandra drôle que j'ai connue et avec qui j'ai passé tant de bons moments me manque cruellement ? Nous avons changé et nous avons vieilli, je ne le sais que trop bien. Et ça ne va pas aller en s'arrangeant. Va-t-on passer les prochaines années à énumérer nos bobos ? N'y-a-t'il rien de mieux à faire ? Je suis restée la femme insouciante que tu as connue, toujours drôle et ayant besoin et envies de partager des moments joyeux. Et sans toi, je n'ai personne avec qui les partager. Dans quelques semaines, nous allons nous revoir. Cela me laisse le temps de voir comment je peux te parler de tout ceci. En espérant que je puisse le faire sans te blesser.

Je t'aime et cela ne changera jamais .

Ta sœur de cœur.

Le 03 Juillet 2024

[christophe76460]

SÉRIE - LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRES

#Série_La_Vérité_vous_rendra_libres #Samuel_Matthews #Exhortations Qc_0375

Partie 20 : DEVRAIS-JE ÊTRE LUTHÉRIEN ?

« Frères, j'ai usé de ces images à propos d'Apollos et de moi, à cause de vous. Vous apprendrez ainsi, en nos personnes, à ne pas aller au-delà de ce qui est écrit, et nul de vous ne s'enorgueillira en prenant parti pour l'un contre l'autre.

Car qui est-ce qui te distingue ? Qu'as-tu que tu n'aies reçu ? Et si tu l'as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l'avais pas reçu?

Déjà vous êtes rassasiés, déjà vous êtes riches, sans nous vous avez commencé à régner ! Et puissiez-vous régner en effet, afin que nous aussi nous régnions avec vous !

Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes. » I Corinthiens 4:6-9 (KJV)

Mes chers amis, Martin Luther était un prêtre catholique d'Allemagne qui, affligé par la dérive de ses pairs religieux, a tenté de réformer la hiérarchie papale à Rome.

Luther a proclamé que les Écritures, et non le pape ou les prêtres catholiques, avaient l'autorité finale en matière spirituelle.

Pour ceux qui veulent s'appeler luthériens, nous laisserons Martin Luther, (1483-1546) répondre à la question du sujet avec quelques mots de bon sens tirés de sa propre plume et de son plaidoyer lors de son sermon de l'année 1522.

"À tous ceux qui désirent devenir "luthériens", sachez qu'ils pervertissent le saint Évangile pour le mettre au service de leur propre orgueil. Vous ne ferez jamais entrer l'Évangile dans le coeur des hommes de cette façon.

Vous êtes plus à même de les en éloigner en les effrayant, et vous devrez alors porter l'horrible responsabilité de les avoir éloignés de la vérité.

Imbéciles, ce n'est pas la bonne méthode ; écoutez et prenez conseil.

"En premier lieu, je demande que les hommes ne fassent pas référence à mon nom ; qu'ils se disent chrétiens, pas luthériens. Qu'est-ce que Luther ?"

"Après tout, l'enseignement n'est pas le mien", (Jean 7:16). "Je n'ai pas non plus été crucifié pour quelqu'un". (I Corinthiens 1:12, 13).

"Notre bien-aimé apôtre Paul, dans (I Corinthiens 3:3-5) ne permettrait pas aux chrétiens de s'appeler Paul ou Pierre, mais chrétien. Avez-vous été baptisé en mon nom ? Ai-je été crucifié pour vous ?"

"Comment donc devrais-je, pauvre chair à asticots puante que je suis, en venir à ce que les hommes appellent les enfants du Christ par mon misérable nom ?

Il n'en est rien, mes chers amis ; abolissons tous les noms de parti et appelons-nous chrétiens d'après Celui dont nous tenons l'enseignement".

"Les papistes ont bien raison d'avoir un nom de parti, parce qu'ils ne se contentent pas de l'enseignement et du nom de Jésus-Christ, et qu'ils veulent aussi être papistes. Qu'ils soient catholiques, puisque le pape est leur maître.

Je ne suis ni ne veux être le maître de personne. L'Église appartient au Christ et à l'unique doctrine du Christ, qui est notre seul maître". (Matthieu 23:8). [Oeuvres de Martin Luther, vol. 45, p 50].

Des paroles similaires pourraient et devraient être prononcées à l'égard de chaque homme ou femme : (John Calvin, Joseph Smith Jr., Mary Baker Eddy, Charles Westley, Charles Russell, le roi Henry VIII, etc.) qui ont fondé des églises autres que celle que Jésus construit à chaque jour : L'Église du Christ.

Le Dieu du Ciel est si bon. Nous vous aimons tous avec l'amour du Seigneur.

(Jean 13:34, 35).

Samuel Matthews

ORIGINAL ENGLISH LESSON : 19 (The Lord’s church) and 20 (Should I be a lutheran ?)

Pour rejoindre toutes les parties : #Série_La_Vérité_vous_rendra_libres

Texte traduit avec DeepL traduction

Texte édité et adapté par Gilles Boucher

Groupe Facebook : Chantez à Dieu de tout votre coeur

[babavigantrom1]

Comment réussir à convaincre celui que vous considérez comme votre moitié. Faire revenir l'être aimé grâce à la volonté. Je connais des femmes qui, après avoir subi une rupture, publient des photos. Sa curiosité sera aussi piquée. Rituel de magie noire pour faire rompre un couple - retour de l'être aimé en 24h gratuit - rituel retour de l'être aimé gratuit - retour de l'être aimé avis, retour de l'être aimé prière - rituel d'amour qui fonctionne avis, rituel retour amoureux à faire soi-même - retour affectif immédiat gratuit, faire revenir l'être aimé par la pensée.

Comment réussir à convaincre celui que vous considérez comme votre moitié. Faire revenir l’être aimé grâce à la volonté. Je connais des femmes qui, après avoir subi une rupture, publient des photos. Sa curiosité sera aussi piquée. Rituel de magie noire pour faire rompre un couple – retour de l’être aimé en 24h gratuit – rituel retour de l’être aimé gratuit – retour de l’être aimé avis, retour de l’être aimé prière – rituel d’amour qui fonctionne avis, rituel retour amoureux à faire soi-même – retour affectif immédiat gratuit, faire revenir l’être aimé par la pensée.

Comment réussir à convaincre celui que vous considérez comme votre moitié. Faire revenir l’être aimé grâce à la volonté. Je connais des femmes qui, après avoir subi une rupture, publient des photos. Sa curiosité sera aussi piquée. Rituel de magie noire pour faire rompre un couple – retour de l’être aimé en 24h gratuit – rituel retour de l’être aimé gratuit – retour de l’être aimé avis, retour de…

[vinon0]

témoignage de retour d'affection-medium marabout toulouse

témoignage de retour d’affection-medium marabout toulouse

bonjour tout le monde moi c’est Mélanie depuis la France j’ai fais un appel avec un medium marabout puissant qui est au bénin avec ces génies,ce monsieur est le numéro un retour d’affection qui a fait revenir mon homme pour moi en trois jours,j’ai été arnaquer pas des faux maîtres spirituel qui disent qu’il son marabout pour tant il connais rien j’ai juste payer 1500 euro pour mon travail et ce…

[cinqminutesdepause]

Méga TW de ouf violence physique psychologique sexuelle - skipper le post si humeur sensible (ie 90% du tumblr village).

(Je suis tombé par hasard sur des publications de migrants sur le compte de Jb Del Amo - il faut que je le lise d'ailleurs - et je ne sais pas comment on fait pour continuer à vivre normalement comme si de rien était - à retourner à mon insomnie de petit bourgeois à la con complètement inutile - je sais que la culpabilité n'ajoute rien au bonheur du monde - mais c'est impensable. J'ai toujours été hanté depuis que je suis petit par la question de la torture je ne sais pas pourquoi je crois que je n'ai jamais écrit ca nulle part parce que c'est louche et dark comme question - mais la possibilité de la torture m'effraie infiniment. Plus que sa possibilité sa prévalence, et la jouissance du bourreau. Moi dans un autre système de vie serais-je la personne qui accrocherait les éléctrodes sur la chair du migrant en appelant sa famille au téléphone pendant qu'ils le grillent pour leur rançonner quelques dollars. Tu lis ces témoignages et la seule question qui vient c'est un immense Pourquoi.

La torture systématique à des niveaux de brutalité abysmaux en Lybie (même combat chez les Ouïguours - et dans mille endroits du monde) et encore je comprends le pourquoi dans le cas chinois y'a une velléité d'ecrasement politique derrière mais quand tu lis quelques récits de survivants de ces camps de migrant les morts jonchant le sol, les hurlements partout qui saturent les oreilles, le récit du viol de cette femme devant tout le camp et son mari installé sur cette chaise comme un théâtre de l'horreur obligé de regarder pistolet sur la tempe tu te dis Aucun sens aucune utilité sauf celle de faire régner la terreur et la douleur la plus pénétrante possible - je n'arrive toujours pas à savoir le statut que j'accorde à la pulsion d'agressivité freudienne le besoin intime dans chacun de nous de briser son prochain au moins juste un peu mais dans des cas comme ça je ne sais pas si c'est plus effrayant qu'elle existe ou non car si Non ce Pourquoi reste simplement suspendu dans l'air sans plus aucune parole possible en retour. Au moment où j'écris ça des personnes vivent ces situations impossibles et ca n'affecte pas mon existence. Je peux continuer à taper ce message sans discontinuité - ces images mentales peuplent mon film intérieur mais peu à peu quand je cesse d'y penser leur acuité s'estompe, leur impensable s'estompe et déjà l'oubli arrive un peu. L'oubli qui est sûrement l'une des facultés les plus précieuses pour permettre la vie vivable. Dans quelques heures je vais me lever, raler d'avoir trop picolé un lundi, me demander pourquoi j'ai quasi embrassé la joue dd ma collègue sorti de nulle part parce que j'ai cru qu'elle me tendait son visage pour me dire aurevoir alors qu'on était en train de parler je n'ai rien compris à ce moment et pourquoi il faut que je tombe quasi amoureux d'une fille en relation depuis 3 ans qui vit avec son mec - je dis "quasi" parce que je ne veux pas m'avouer que je le suis déjà depuis la première fois où je l'ai vue dans le couloir avec ses yeux d'un bleu si clair qu'il touche au blanc, son bleu Baïkal que je n'ai vu qu'en elle, qui irradiaient au-dessus du masque je les voyais dans toute la pièce de notre rencontre - je n'arriverai jamais à séduire une fille comme elle - enfin à séduire si, c'est rarement difficile de séduire qui que ce soit si tu es prêt à t'éloigner de toi-même suffisament - mais disons pas à rendre heureuse une fille comme elle (manquerait plus que je me mette à sortir avec des personnes d'action respecte-toi ça fait 35 ans que je méprise ceux qui se trémoussent sur leur siège en agitant les bras pour se donner l'impression d'exister) alors flute et ça y est je m'éloigne du sujet de départ et ça y est je n'y suis plus du tout à ces geôles perpétuelles et ces temples de la douleur à ces malheureux parmi tous et comment peut-on s'en éloigner sans indécence et laisser l'oubli s'installer ... Aller dormir, dormir, sombrer dans le sommeil. Et compter sur les gens d'action pour que demain le monde change, et me mépriser de les mépriser car je ne serai jamais eux.)

[navisseli]

L’Aliéniste

Auteurice : Caleb Carr

Maison d’édition : Pocket

Date de publication : 1995

Nombre de pages : 576

Genre : Policier, Thriller, Historique

Ce qu’en pense Seli :

Sans préambule, cette lecture n’a pas été très agréable. J’ai traîné le bouquin trois semaines, à lire trois pages par ci, trois pages par là... pour au final terminer le dernier tiers en quelques heures... Pourtant, une trame policière sur fond historique avait tout pour m’attirer, surtout que je connais mal la sphère spatio-temporelle traitée : le New York du fin du XIXème siècle. Alors pourquoi ?  La raison est très simple...

Dans tout roman policier ou thriller, quand la première mort survient, il y a toujours ce temps de latence où le personnage principal (un enquêteur) se rend compte que le meurtre est étrange et prend donc la décision de mener l’enquête... Soit parce que le meurtrier essaie de faire passer son acte pour un suicide ou un accident, soit parce que le meurtrier est un psychopathe, et donc il faut dresser un profil psychologique du serial killer. Nous sommes ici dans la seconde catégorie, car impossible de faire passer des meurtres gores pour des accidents. Nous avons affaire à l’un des premiers romans qui a sans doute voulu creuser la psyché du tueur, comprendre qui il est, ses motivations, quels événements dans sa vie l’ont mené à tuer, etc... Pour l’époque, ça devait donc être du neuf. Les deux tiers du roman consistent en les recherches des protagonistes pour dresser le profil psychologique du tueur alors que des membres de la police et des mafieux leur mettent des bâtons dans les roues. Même si les meurtres et leur exécution sont plutôt glauques, c’est très attendu et classique. Le but est de choquer le lecteur et donc l’intéresser au tueur. Moore (le narrateur) décrit alors à grand renfort de détails le cadavre des jeunes gens mutilés et humiliés par le tueur. C’est extrêmement gore, et les descriptions ont un côté très voyeuriste, Moore étant à la fois fasciné et dégoûté par tant de violence et de haine. 

Il y a une nette inspiration de Sherlock Holmes dans ce roman. John Moore, notre narrateur, raconte a posteriori les événements pour en tenir chronique, Lazlo Kreizler (le fameux aliéniste) est clairement un substrat de Holmes et le roman se passe peut ou prou à la même époque. Le soucis devient assez rapidement que si les personnages sont caractérisés, ils ont peu de saveur et d’intérêt, et il faut vraiment attendre d’être lancé dans l’intrigue pour commencer à les apprécier. Kreizler est presque un stéréotype du génie incompris : tout le monde le trouve bizarre, il a un passé deep dark, des soucis pour gérer ses relations affectives et une intelligence et une spontanéité très marquée. Il prend le temps (mais a posteriori) d’expliquer ses raisonnements, ce qui fait qu’on a souvent l’impression d’avoir compris une scène seulement bien après. Il nous laisse vraiment l’impression d’avoir sauté des lignes durant certains chapitres quand il récapitule ce qu’il a compris. De la même façon qu’il nous rappelle Holmes, Moore nous rappelle Watson : précisément le genre de type dont tu te demande ce qu’il fout là depuis le début car à part raconter il ne sert pas à grand chose. Moore est paumé presque en permanence, il faut tout lui expliquer, il traverse certains événements dans l’incompréhension la plus totale, même si ça s’arrange beaucoup par la suite. C’est clairement le vecteur du lecteur pour pénétrer l’univers du roman : un type lambda qui se retrouve embarqué dans l’histoire sans y être réellement connecté. Mais du coup, quand son vecteur est perdu en permanence, cela donne au lecteur parfois l’impression d’être largué aussi : Moore est le narrateur, il apporte son ressenti, si il ne comprend pas, nous ne pouvons pas comprendre, ou alors l’explication est tronquée. 

Du coup, le personnage qui ressort le plus dans toute cette histoire, car elle n’est pas inspirée d’un personnage existant, c’est Sarah. Sarah, c’est une femme en avance sur son temps : elle est forte, indépendante, déterminée, elle n’aime pas se laisser dicter sa conduite par les hommes, est une chasseuse et une tireuse accomplie et titulaire du premier poste féminin de la police de New York, secrétaire. Elle est a priori féministe, et dans le duo qu’elle forme parfois avec Moore, c’est elle qui dirige le plus. Et j’aime beaucoup Sarah. On nous raconte qu’elle a eu une éducation hors normes : fille unique, son père l’a alors élevée comme on éduquait un fils, et frustrée de voir toutes les portes se fermer, elle s’est jurée de devenir la première femme enquêtrice de police. C’est un modèle positif et stimulant, et pour un roman policier du début des années 90, voir une femme aussi inspirante qui n’a rien de la demoiselle en détresse, de la future amoureuse ou du faire valoir est agréable. A noter cependant qu’elle est la seule femme traitée ainsi. Mary est le love interrest de Kreizler (elle est en plus affligée d’un handicap qui l’empêche de parler malgré une grande intelligence, donc adieu test de Bechdel...) et Mrs. Roosevelt est... la femme de Roosevelt. Il y a bien les filles du couple, mais elles sont tertiaires et ne servent qu’à alléger un peu l’ambiance avant le dernier acte. Ajoutons à ça pas mal de propos essentialistes sur les femmes qui ont assez mal vieilli et voilà... C’est quand même mitigé...

{SPOILER}

Quand l’équipe s’interroge sur le genre du tueur, Kreizler affirme que ça ne peut être qu’un homme. Sarah, qui n’a pas vu les cadavres, argue que les femmes autant que les hommes sont capables de violence et s’interroge sur les preuves dont il dispose. Plus tard, un nouveau cadavre est découvert, et alors que Moore reprend l’avis de Sarah pour le défendre, cette dernière, très secouée, revient sur son avis :

“ Mais moi, je peux te le dire, John. C’est l’oeuvre d’un homme, cette chose, là-bas. Une femme n’aurait jamais... [...] Les mutilations, la corde... ”

Vous me direz qu’il s’agit de considérations de l’époque, que Sarah, bien que féministe, est encore conditionnée par les injonctions sociales faites aux femmes. C’est juste, mais le soucis c’est l’auteur cautionne ce discours. Durant tout le roman, les personnages visitent des malades mentaux ou des psychopathes qui s’en sont pris physiquement à des enfants avec violence : tous sont des hommes. Les femmes abusives le sont à un bien moindre niveau et surtout très rares : le roman refuse de dire que les femmes sont capables de blesser, voire de tuer leur progéniture. De la même façon, Kreizler déduit de l’extrême perversité du tueur qu’il n’a jamais eu de femme dans sa vie, car selon lui :

 “Si il avait croisé le chemin d’une femme, nous n’aurions pas cette conversation”

Non, ce roman n’est pas le premier à montrer des femmes incapables d’extrême violence et forcément plus douces que les hommes, mais le soucis c’est que même dans les années 90, il y a des faits divers de femmes qui assassinent ou mutilent, même si les procès ont peut être été peu médiatisés. La maternité est considérée comme salvatrice, ramène les femme à une idée de douceur et de protection et nie toute violence ou folie, alors que l’hystérie était un “mal” extrêmement commun qui valaient à de nombreuses femmes de finir en institution. 

Donc là j’ai sans doute hérissé pas mal de gens avec mon discours, mais je ne l’ai pas fait sans raison. Ces partis pris tronquent le récit : inutile de préciser que ces déductions sont exactes et que le tueur a un délire bizarre avec les figures de féminité alternatives qui le fait cibler des jeunes prostitués travestis ou des jeunes filles trans (n’ayant que peu de connaissances sur le sujet, j’ai du mal à déterminer si le traitement de ces thématiques est bien abordé par le roman, donc si quelqu’un de concerné l’a lu, j’aimerai avoir vos avis...). 

{FIN SPOILER}

Il faut attendre le dernier tiers du roman (le moment où tout commence à se dénouer) pour trouver un réel intérêt à tous ces rebondissements. On a enfin une idée de la direction que prend le moment, alors que les 350 premières pages donne l’impression d’une série de tâtonnements un peu au pif malgré la rigueur de l’auteur pour nous livrer la méthode de Kreizler. On “comprend” le tueur, on découvre son histoire, ses motivations (ou plutôt ses pulsions), et l’équipe peut enfin tenter de le stopper et d’arrêter les meurtres. Les différents antagonistes secondaires en profitent pour venir faire chier au passage, si bien que leur seul intérêt scénaristique est de ralentir l’action plutôt que d’accentuer la tension, et la résolution est assez intéressante en bénéficiant de quelques rebondissements plaisants qui relancent l’intérêt. Le soucis, c’est que comme on n’a pas été intéressé parce ce qui s’est passé avant, la tension a du mal à monter, et on ne s’en fait pas tellement pour les personnages, même si j’ai eu pour ma part une forte affection pour Sarah. De plus, “l’excuse” trouvée pour éloigner Kreizler de l’enquête un temps fait vraiment capillotractée et feignante.  Il n’en demeure pas moins que c’est prenant, rythmé et accrocheur. Oui, si je me suis fais chier comme un rat mort pendant les deux premiers tiers, j’ai beaucoup apprécié la fin. 

Il y a cependant un autre point que je tenais à aborder, le contexte de cette oeuvre. Les victimes étant des jeunes gens prostitués issus de l’immigration, c’est l’occasion pour l’auteur de dresser un portrait de la société new-yorkaise de l’époque. Nos héros sont issus de milieux sociaux plutôt aisés, donc on nous parle de dîner mondains, de soirées au club Delmonico, et de belles résidences (Kreizler étant fils d’immigrés hongrois, on se demande tout de même comment sa famille a pu accéder à ce milieu après seulement une génération). A contrario, les victimes sont issues de quartier insalubres, dangereux, menaçant de s’effondrer, rongés par la maladie et la misère. Le portrait de ces quartiers est assez cru, de même que les mentalités de l’époque, même si le roman tombe presque dans le travers de montrer le racisme comme un truc de pauvres pas éduqués, car a contrario les personnages des milieux aisés sont tous montrés comme très tolérants. Il y a un portrait très binaire de New York, entre richesse et pauvreté, liés entre eux par le cynisme, la corruption et le crime, qui brouille les pistes. On a l’impression que tout est sale, noir, crasseux, alors même qu’il n’y a pas tant de descriptions. Si il y a l’excuse de faire le portrait d’une société passée, ce roman montre exclusivement le revers du rêve américain pour toutes les populations immigrées, forcées de vivre dans des taudis, méprisés ou utilisés comme marchandises. Mis à part Kreizler, les quelques personnages issus de l’immigration sont soit pauvres, soit ont réussi dans le crime. La seule chose dont je ne sais que penser est le fait que le tueur cible des jeunes immigré.es, car je trouve l’explication du traumatisme qui l’aurait rendu xénophobe très très bancal...

Ce roman m’a énormément déçue, même si tout n’est pas à jeter, loin de là. Nombreux.ses sont celleux qui l’ont apprécié et vu qu’une adaptation sérielle existe, qui a eu aussi pas mal de succès, je pense être juste passée à côté du point qui rend le roman si populaire. Cependant, je suis curieuse de découvrir cette adaptation remise au goût du jour (le roman a quand même plus de vingt ans !), juste pour voir si les points qui m’ont dérangée ont été modifiés.

Ma note : 9/20

[grandmaitremediumlaterre]

Comment reprendre sa femme ou marie

RITUEL POUR REPRENDRE SA FEMME OU MARI PAR LA MAGIE

Bonjour, Moi je me nomme Maitre LATERRE ce qui signifie la solution a vos problème dans 7 jour, Je suis le grand marabout LATERRE , héréditaire de mon père très puissant donc pas de soucis à se faire, voici un peux ce que je fais comme travaille de rituels: Rituel pour devenir attirant(e) Rituel pour reprendre avec son ex Rituel pour en finir avec l'infidélité Rituel pour stopper la jalousie Rituel pour éloigner les rivales (ou rivaux) Rituel contre la jalousie matérielle Rituel pour stopper la malchance Rituel pour attirer l'argent Rituel pour réussir son avenir amoureux NB:je suis rigoureux dans mon travail et mes résultats sont concrets.Si vous êtes prêt à changer votre vie, contactez- moi. Sinon ce n'est pas la peine de me déranger.je n'accepte de travailler qu'avec des clients sérieux et responsables.Grace à mon travail sérieux, rapide,efficace et 100% garantie plusieurs personalités dans le monde entier me font confiance pourquoi pas vous?s a quitté.

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Tel: 0022998574889

Whatsapp : 0022998574889

[shalomelohim]

Etre une Femme spirituelle

Voilà un sujet que je souhaitais aborder depuis un certain temps car depuis mon appel, j’ai changé grâce à Père Céleste et j’ai mis du temps à trouver mon identité de femme spirituelle.

Père souhaite que je continue à travailler dans ce monde et je constate depuis de nombreuses années que la place de la femme a fortement évolué jusqu’à remplir des fonctions de leadership dans toutes les sphères de notre société.

Nous savons qu’en ces fins des temps LA FEMME a un rôle important à remplir, qu’elle soit du côté de la lumière d’Elohim ou qu’elle soit du côté des ténèbres. Nous avons un combat à mener, le tout est de savoir à quel camp nous appartenons.

Alors, qui sommes-nous ?

Que connaissons-nous de notre appel, de notre rôle, du plan qu’Elohim a érigé pour nous ?

Est-ce que nous sommes réellement des femmes spirituelles comme l’entend Père Céleste où sommes-nous des femmes de ce monde faussement déguisées ?

Bien évidemment, tout nous ramène au Jardin d’Eden.

Le serpent savait que la femme était la plus sensible et il a attendu qu’elle vienne à lui grâce à son vénéneux pouvoir de suggestion.

« Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que YHWH Elohim avait faits. Il dit à la femme : Elohim a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Elohim a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point… » (Genèse 3 :1-4)

C’est sciemment qu’il s’est adressé à elle et c’est au travers de cette faiblesse d’émotion et de pensée qu’il a réussi à lui faire croire qu’il lui manquait quelque chose et qu’Elohim ne lui avait pas tout dit.

Eve s’est donc faite piégée par l’ennemi à cause de ses émotions et ses pensées et c’est toujours d’actualité, cela nous concerne toujours aujourd’hui.

Alors comment identifier que la suggestion n’est pas divine et ne vient pas de Père Céleste mais qu’elle provient de la voix de l’ennemi ?

Premièrement, elle n’est pas conforme à la Parole d’Elohim. Deuxièmement, elle est toujours dévalorisante et suscite chez nous et en nous des sentiments extrêmes, engendrant un chaos intérieur et un comportement qu’en temps normal nous n’aurions pas.

La Parole nous dit :

« Et mon Elohim pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Yahshua. » (Philippiens 4 :19)

"Demandez et vous recevrez, afin que votre joie soit complète" (Jean 16.24).

Père Céleste ne nous a pas créés pour que nous soyons perdus, dépressifs, désorientés, pauvres et limités financièrement, malades et malheureux. Non, il nous a créés pour que nous soyons heureux, en paix, dans l'abondance et victorieux.

Père ne nous a pas appelé afin que l’on échoue, il nous a donné des talents et il déverse sa grâce continuellement sur nous et n’avons aucune raison de douter.

S’il y a un doute, alors c’est que l’ennemi est derrière.

Père Céleste est précis et même si parfois il peut nous tester, cela ne dure jamais longtemps et surtout cela ne produit pas dans notre vie de mauvais fruits.

Yahshua, « Le Chemin, La Vérité, La Vie » passera à l’action pour nous montrer la voie à suivre, pour nous faire avancer et nous encourager.

Si des voix nous suggèrent que l’on est nul, qu’on n’y arrivera jamais, cela ne vient pas de Père Céleste, c’est l’ennemi qui essaie au mieux de nous décourager pour nous ralentir ou pire nous détruire.

Père Céleste booste nos capacités et on à l’impression que l’on prend un nouveau départ, on est davantage confiante.

Nous travaillons en binôme avec Père Céleste, à nous de prendre la décision ferme et déterminée de changer et à Père Céleste de façonner notre cœur de sa main car :

« Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres, les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. » (Marc 7 :21-22)

« Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? » (Jérémie 17 :9)

« Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est Esprit. » (Jean 3 :6)

Quand des pensées nous assaillent, il nous les faut passer au crible de la Parole : garder ce qui est conforme et rejeter le reste : ce travail difficile nous incombe.

Il est important de comprendre que la suggestion que l’ennemi met dans nos pensées et émotions germe en nous d’abord parce que nous l’avons accepté, puis nourrie afin qu’elle devienne une possibilité et enfin une réalité.

La suggestion en elle-même n’a aucun pouvoir si elle n’est pas acceptée et on en revient à notre libre-arbitre et à notre manque de sagesse.

Parfois, on a tendance à vouloir tester nos propres forces, notre propre puissance ; alors on accepte cette pensée en se disant que l’on est capable de la gérer.

Alors oui parfois on croit la repousser, mais elle est en sommeil en nous, prend racine, voire fait des ramifications et resurgira à un autre moment de notre vie pour nous mettre en échec et nous faire chuter.

Quand on n’est pas régulier dans notre vie spirituelle, l’ennemi peut entrer en nous, on laisse un passage ouvert et l’on n’a plus de protection.

Le changement de notre âme est un processus progressif, c’est un cheminement et un travail permanent grâce au Ruah Ha Kodesh qui nous aide à nous renouveler.

« Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre cœur, puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente d’Elohim. » (1 Pierre 1 :22-23)

On est protégée le temps de l’étude et de l’obéissance, mais si l’on n’est pas constant, la barrière d’Elohim représentée par sa Parole s’effrite et nous fragilise.

A nous donc de resserrer les maillages de notre vie spirituelle, d’être proche d’Elohim, de côtoyer des Frères et Sœurs dans la foi véritable, de s’entourer de la bonne atmosphère afin de devenir quasi imperméable à la suggestion de l’ennemi.

Ne jamais relâcher nos efforts parce que tant que nous serons sur cette terre, nous le serons toujours un peu car c’est Yahshua qui nous rendra parfait lors de son retour.

La femme notamment a besoin d’être consolidée dans ses émotions car elle a été la 1ère visée à l’origine du monde et pourtant elle avait l’abondance, tout était parfait et merveilleux dans le Jardin d’Eden et elle a été attirée par l’ennemi alors qu’elle ne manquait de rien.

Nous avons ainsi la démonstration que même si Père pourvoit à nos besoins, nous pouvons nous éloigner de lui.

Rappelons-nous de ce qu’Elohim attend de nous :

« Femmes, soyez de mêmes soumises (se mettre sous la protection) à vos maris, afin que, si quelques-uns n'obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, en voyant votre manière de vivre chaste et réservée. Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or, ou les habits qu'on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le coeur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'un grand prix devant Elohim. Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Elohim, soumises à leurs maris, comme Sara, qui obéissait à Abraham et l'appelait son seigneur. C'est d'elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte. Maris, montrer à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes, comme avec un sexe plus faible ; honorez-les, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu'il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières. Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d'amour fraternel, de compassion, d'humilité. Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c'est à cela que vous avez été appelés, afin d'hériter la bénédiction. Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie Et voir des jours heureux, Qu'il préserve sa langue du mal Et ses lèvres des paroles trompeuses, Qu'il s'éloigne du mal et fasse le bien, Qu'il recherche la paix et la poursuive ; Car les yeux du Seigneur sont sur les justes Et ses oreilles sont attentives à leur prière, Mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal. Et qui vous maltraitera, si vous êtes zélés pour le bien ? D'ailleurs, quand vous souffririez pour la justice, vous seriez heureux. N'ayez d'eux aucune crainte, et ne soyez pas troublés ; Mais sanctifiez dans vos coeurs Yahshua le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous, et ayant une bonne conscience, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ceux qui décrient votre bonne conduite en Yahshua soient couverts de confusion. Car il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté d’Elohim, en faisant le bien qu'en faisant le mal. Yahshua aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Elohim, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l'Esprit, dans lequel aussi il est allé prêcher aux esprits en prison, qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience d’Elohim se prolongeait, aux jours de Noé, pendant la construction de l'arche, dans laquelle un petit nombre de personnes, c'est-à-dire huit, furent sauvées à travers l'eau. Cette eau était une figure du baptême, qui n'est pas la purification des souillures du corps, mais l'engagement d'une bonne conscience envers Elohim, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Yahshua, qui est à la droite d’Elohim, depuis qu'il est allé au ciel, et que les anges, les autorités et les puissances, lui ont été soumis. » (1 Pierre 3)

Dans ce verset, Père Céleste nous dit que nous sommes plus faibles. Il entend par là que nous avons une fragilité dans nos émotions qui, certes nous rend plus sensible au Ruah Ha Kodesh, mais qu’il nous est plus difficile à canaliser.

Au travers de l’histoire de notre Mère Eve, nous prenons conscience que nos émotions peuvent être utilisées par l’adversaire pour nous attaquer, nous piéger.

Ce qui est également difficile dans les révélations que nous fait le Ruah Ha Kodesh, c’est que cette lucidité, ce discernement précis et véritable peut susciter de la suspicion et surtout du jugement de notre part.

Et c’est le pas de trop que nous faisons souvent.

Parfois, je me dis que «  j’aimerai savoir, mais ne pas comprendre ce qui se passe actuellement » car la vérité crue et parfois insoutenable, intolérable.

Aidées des prophéties bibliques, nous savons ce qui va se passer prochainement et nous avons cette capacité à faire une projection de l’avenir sombre et nous avons tendance à vouloir juger les autres et à les condamner, oubliant un peu trop vite que nous étions comme eux il y a encore quelques toutes petites années.

Agir ainsi, c’est servir l’ennemi, réjouissons-nous de la finalité de cette histoire, à savoir le retour de Yahshua, la résurrection, la vie éternelle plutôt que de nous focaliser sur les guerres à venir.

Il s’agit d’un entraînement mental à faire comme un sportif, nous devons encore et encore muscler notre mental et notre vie spirituelle afin de l’orienter vers des choses agréables telles que nous le demande Père Céleste :

“ Et la paix d’Elohim, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Yahshua. Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées. “ (Philippiens 4:7-8)

Alors, nous devons APPRENDRE A AIMER comme Père nous aime plutôt que de VOULOIR CONVAINCRE PAR ORGUEIL ceux qui nous entourent.

Alors, nous devons APPRENDRE A NOUS FORTIFIER DANS LA FOI et NON PAS A NOUS ENDURCIR DANS LA CHAIR parce que l’on n’est pas compris et écouté par le plus grand nombre.

A nous de savoir qui nous sommes, dans la foi et la prière sans aigreur ou amertume, sans susceptibilité ou irritabilité, sans colère ni froideur.

Quand on prend conscience d’une situation, du vrai visage d’une personne, plutôt que de s’enliser dans un approfondissement psychologique, de perdre du temps à vouloir comprendre et creuser le pourquoi du comment, on prend acte de cette révélation que Père nous envoie et on revient à l’essentiel : La Parole, notre mission, les choses positives à venir.

“Les promesses n’engagent que ceux qui y croient” dit un adage bien connu, alors croyons celles de Père Céleste et consacrons-leur tout notre temps.

“Veillez et priez afin que vous ne tombiez pas dans la tentation ; l’esprit est bien disposée, mais la chair est faible ” (Matthieu 26:41 et Marc 14:38)

Ne nous laissons pas tenté par le jugement et la suspicion qui nous font semer dans le champs de Satan plutôt que celui de Père Céleste.

A nous de garder notre féminité, notre sensibilité, sans ressembler à toutes ces femmes du monde qui usent d’autoritarisme pour se faire respecter et qui sont parfois plus dures que certains hommes.

La femme spirituelle doit faire preuve de force, de ténacité et de détermination et cela est totalement compatible avec sa condition de femme, c’est ainsi que Père Céleste nous a créé et c’est ainsi qu’il souhaite que nous soyons.

Restons vigilantes car nous nous connaissons bien et savons que notre spontanéité peut facilement libérer des émotions négatives dont se servira l’ennemi.

A nous de savoir interpréter l’information que nous délivre l’émotion que nous vivons.

Une femme spirituelle peut être redoutable car elle ne sera pas la cible des mensonges de l’ennemi, elle saura les débusquer, les analyser et aura la bonne attitude pour vaincre.

« Dès le matin sème ta semence, et le soir ne laisse pas reposer ta main ; car tu ne sais point ce qui réussira, ceci ou cela, ou si l'un et l'autre sont également bons. » (Ecclésiaste 11 :6)

“ Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes. “ (Matthieu 10:16)

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