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Les Reines de l'Affiliation : La Formation Ultime pour Réussir en Affiliation en 2024

Avez-vous déjà rêvé de générer des revenus passifs depuis chez vous, simplement en recommandant des produits ou services que vous aimez ?

L'affiliation est l'une des méthodes les plus puissantes pour y parvenir, mais encore faut-il savoir comment s'y prendre ! C'est là que la formation "Les Reines de l'Affiliation" entre en jeu.

Ce programme révolutionnaire vous promet de maîtriser les secrets de l'affiliation et de transformer votre vie. Si vous êtes prêt(e) à monter en puissance et à bâtir un véritable empire d'affiliation, continuez à lire !

Présentation de la Formation :

"Les Reines de l'Affiliation" est une formation complète, créée par l'experte du marketing d'affiliation, Emma Ambitions Féminines destinée à ceux qui veulent générer des revenus significatifs en ligne.

Derrière cette formation se trouvent des affiliées de renom qui ont prouvé leur succès avec des résultats impressionnants.

Leur objectif ? Vous transmettre leurs stratégies gagnantes et vous aider à devenir à votre tour une "Reine de l'Affiliation".

Cette formation se distingue par sa capacité à simplifier des concepts complexes.

Vous apprendrez non seulement les bases de l'affiliation, mais aussi des techniques avancées pour attirer un trafic de qualité, convertir vos prospects en clients fidèles, et maximiser vos gains.

Et le plus beau ? Pas besoin d’avoir un budget énorme pour commencer. Cette formation est conçue pour être accessible, même en plusieurs paiements mensuels.

Caractéristiques et Avantages de la Formation les Reines de l'Affiliation :

1. Modules de Formation Détaillés et Progressifs :

Les Reines de l'Affiliation vous offrent des modules structurés, allant des bases de l'affiliation aux stratégies avancées de conversion. Que vous soyez débutant ou que vous ayez déjà une certaine expérience, chaque leçon est pensée pour vous faire progresser étape par étape.

2. Stratégies pour Générer un Revenu Passif :

L'un des plus grands avantages de cette formation est son approche sur le revenu passif. Apprenez comment construire des systèmes automatisés qui continuent de générer des commissions même pendant votre sommeil. Cela inclut l'utilisation des plateformes comme YouTube, les blogs, et les podcasts pour monétiser votre contenu de manière durable.

3. Mise en Pratique Immédiate :

La théorie, c’est bien, mais la pratique, c’est mieux ! "Les Reines de l'Affiliation" inclut des exercices pratiques et des études de cas concrets pour vous permettre de mettre en œuvre immédiatement ce que vous apprenez. Vous pouvez commencer à voir des résultats en un rien de temps.

4. Accès à des Outils de Marketing Performants :

La formation inclut une introduction à des outils tels que Systeme.io | La plateforme marketing la plus simple au monde, un logiciel tout-en-un qui facilite la création, le lancement, et l’automatisation de votre business en ligne. Cet outil propose même un accès gratuit à vie, ce qui en fait une solution idéale pour les débutants.

5. Communauté Engagée et Support Permanent :

En rejoignant "Les Reines de l'Affiliation", vous ne serez jamais seul. Vous aurez accès à une communauté d'affiliés motivés, prêts à partager leurs astuces et à vous soutenir. En plus, l’équipe de formation est disponible pour répondre à vos questions et vous guider.

Prêt(e) à devenir une pro de l'affiliation et à générer des revenus en ligne ? Découvrez dès maintenant la formation 'Les Reines de l'Affiliation' et accédez aux stratégies les plus efficaces pour réussir ! Cliquez ici pour en savoir plus

Témoignages des anciens élèves :

Les résultats parlent d'eux-mêmes ! De nombreux participants ont vu leurs revenus exploser en quelques mois seulement. Comme en témoigne Claire, une membre de la formation : "Avant de suivre 'Les Reines de l'Affiliation', je peinais à gagner quelques euros en ligne. Aujourd'hui, je réalise plus de 2000 € par mois, et ça ne cesse de croître !"

Les chiffres ne mentent pas : plusieurs membres ont transformé leur activité secondaire en véritable business à temps plein, grâce aux stratégies enseignées dans cette formation. Le succès des participants est la meilleure preuve de la valeur de ce programme.

Points Faibles ou Limitations :

Aucun programme n’est parfait, et "Les Reines de l'Affiliation" ne fait pas exception. Le contenu de la formation est dense et demande de l’engagement. Ce n’est pas une solution miracle où l’on gagne sans effort. Si vous n’êtes pas prêt(e) à investir du temps et de l’énergie, cette formation n’est peut-être pas pour vous. Cependant, ceux qui sont prêts à s’investir verront des résultats impressionnants !

Comparaison avec d’Autres Formations :

Contrairement à d’autres formations en affiliation qui se concentrent uniquement sur la théorie ou les bases, "Les Reines de l'Affiliation" propose une approche holistique et pratique. Comparé à d'autres programmes, ce cours met l'accent sur l'application concrète des stratégies, l'accès à des outils innovants comme Systeme.io | La plateforme marketing la plus simple au monde, et l'accompagnement personnalisé. Il n’y a pas de contenu redondant ou superficiel ; tout est pensé pour maximiser vos chances de réussite.

Conclusion

En résumé, "Les Reines de l'Affiliation" est bien plus qu’une simple formation ; c’est une opportunité de transformer votre passion pour le marketing en une source de revenus fiable et continue. Avec des modules clairs, un accompagnement dédié, et une communauté active, vous avez toutes les clés en main pour réussir.

Ne laissez pas passer cette chance ! Rejoignez dès aujourd’hui "Les Reines de l'Affiliation" et prenez le contrôle de votre avenir financier. Pour en savoir plus sur l’offre, cliquez ici. Découvrez comment les stratégies d'affiliation peuvent transformer votre vie et commencez à bâtir votre succès dès maintenant !

Anselm Winner

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La colère des assistés

Attention : ça va parler de politique, aka LE meilleur moyen de s'engueuler avec des inconnus. Du coup j'ai un peu peur de me faire pourrir, ou de heurter des gens. Mais puisque je n'ai encore presque personne qui me suit sur Tumblr, c'est le moment de poser ça là et de partir en courant.

J'ai retrouvé ce texte que j'ai écrit d'une traite, dans un coup de colère, et jamais publié. Trop dur de dépasser ma propre honte, j'imagine... C'était à l'époque où je me suis retrouvée très précaire, au RSA avec mon compagnon. C'était avant l'élection de Macron et les Gilets Jaunes. A l'époque où j'avais l'impression d'être très seule avec ma colère.

Aujourd'hui, j'ai un CDI, le Graal suprême. Et ma conclusion reste exactement la même. Et à la lumière des évènements récents, prend encore plus son sens.

 J'ai envie d'écrire cette note suite à une énième conversation, avec une amie d'amie que je connaissais peu, sur les assistés. Je suis une assistée qui survit grâce à l'argent que me donnent les aides de l'Etat. Mon compagnon aussi. Et toutes les discours sur pourquoi ce sont des parasites qui n'en ont rien à foutre de rien ni de personne et qui n'ont même pas honte de ne pas bosser comme des gens honnêtes, bien sûr, ça me blesse. Et comme d'habitude, je n'ai rien dit. Qu'est-ce que je peux dire ? "Ben si, j'ai honte ! Mais je le fais quand même, parce que c'est ça ou rien, et que rien, ça veut dire finir à la rue. Donc j'ai honte mais je prends. Et à ma place tu ferais pareille."

Parce qu'en même temps que j'ai envie de dire ça, j'ai aussi envie de dire "On ne devrait pas avoir honte. Ce sentiment nous pourrit la vie et ne sert à rien. Et si vraiment comme tu dis il y a des gens qui arrivent à prendre l'argent et à s'en foutre, et bien je les admire, parce qu'ils ont réussi à passer au-dessus de tous vos jugements, et c'est ce que j'essaye de faire - parce que franchement, essayer de ne pas fondre en larme à chaque fois qu'on m'explique que je suis une merde de parasite, ça n'apporte absolument rien à ma vie. Et non, ça ne me "motive" pas plus à cherche du boulot, non. On est plutôt sur de l'enfonçage violent dans la dépression".

Donc, en plein conflit entre moi et moi-même et ne voulant surtout pas plomber l'ambiance de la soirée avec mes états d'âmes et me mettre à pleurer (ou crier. Je ne l'ai jamais fait, crier devant des gens. Mais un jour ça va sortir), je n'ai rien dit. A coté de moi, mon copain laissait couler. Il a juste, à un moment, fait une correction. La fille en question parlait des montants pharaoniques des aides, à coup de 2000 euros par mois. Je me suis un petit peu étranglée, et mon copain a demandé, tranquillement, comment on pouvait réussir ça, parce qu'on était en pleine demande de RSA et qu'à nous deux on ne pourrait pas avoir plus de 650euros pour le coupe, et qu'ils enlèveraient de cette somme les APL et tout ce qu'on pourrait gagner en bossant à droite à gauche. Et elle d'expliquer que "c'est normal". Ben oui. Normal qu'on considère qu'un quart du seuil de pauvreté c'est déjà bien. Normal qu'on te demande de déclarer toutes tes économies pour te retirer 3% de celles-ci. Normal qu'on te retire l'argent que tes parents pourraient t'envoyer pour t'aider. Normal normal normal... quand on trouve que l'idée de base, payer les gens à ne rien faire, c'est déjà généreux, alors que chacun est responsable de lui-même et n'a qu'à travailler.

Revenons donc un peu sur le "y a qu'à travailler" et sur la motivation.

Déjà, pourquoi est-ce qu'on n'est pas motivé à travailler, comme ça, spontanément ? Parce que nous avons la paresse chevillée au corps ? Dans ce cas, pourquoi autant de gens font tant de choses sur leurs temps de repos ? Alors, parce que les boulots sont chiants ? Allez, prenons comme idée de départ "les boulots sont chiants". On la retrouve beaucoup chez les gens qui estiment que tous ceux qui ont un métier-passion n'ont pas à prendre de pause ni à se plaindre de quoi que ce soit, puisqu'ils ne font pas un vrai travail, puisque le vrai travail est chiant. Donc, si on part de ce principe, on est motivé à faire ce truc chiant parce qu'on veut gagner de l'argent. C'est le contrat social de base de notre société : tu travailles en échange d'argent. Avec sa sous-règle officieuse : tu peux mépriser tous ceux qui gagnent de l'argent à ne rien faire et ceux qui gagnent beaucoup par rapport à ce qu'ils font comme travail, parce que quand même c'est de la triche. Sans oublier que ceux qui en gagne en aimant leur travail, et bien c'est aussi de la triche puisque ce n'est pas du vrai travail qui fait souffrir !

Du coup, on se secoue les puces les paresseux, y a qu'à travailler, et toutes les aides sociales ne font que briser l'unique motivation qui pousserait les gens vers le travail ! Donc autant qu'elles restent faibles, voir même qu'on les supprime. Comme ça, plus de tricheurs, tout le monde bosse et on respecte notre contrat social sain et égalitaire. D'ailleurs, les personnes qui défendent la suppression des aides sont en général d'accord pour garder tout ce qui peut aider les personnes qui ne sont pas en état de travailler (retraites, femmes enceintes, maladies, handicap...), parce que ça c'est normal. Ce n'est plus de la triche, c'est de la solidarité. Alors qu'on refuse d'être solidaire des tricheurs. On se fait arnaquer, si on est solidaire des tricheurs. Et ça nous ulcère et on leur crache dessus.

Sauf qu'on est pas en plein emploi. On est même en période de chômage structurel. Ce qui veut dire : de plus en plus de boulots ont été remplacés par des machines. Une seule personne peut faire un travail qui aurait demandé dix personnes dans les années cinquante. Les dactylos ont été remplacées par des logiciels, les voitures sont montées par des robots, etc... Parce que si les salariés restent dans le contrat travail = argent, pour les employeurs travail = production. Et du moment qu'ils ont exactement le même nombre de produits finis à revendre à la fin (ou plus, ou moins, bref ce qu'ils peuvent écouler), les propriétaires d'entreprise ne vont pas en faire faire plus pour le plaisir de payer toujours le même nombre de personnes. Ils n'y ont aucun intérêt (et notre planète non plus, mais ça c'est un autre débat). Sérieusement, il n'y a que moi que ça choque que quand on parle de licenciements économiques, on dise toujours que virer des gens permet de gagner de l'argent, comme si c'était une évidence ? Sauf que virer des gens ne fait gagner de l'argent que si on a trouvé le moyen de payer moins cher la même production (oui, ça peut aussi être de délocaliser dans le tiers-monde), vu que sans production il n'y a pas d'argent qui rentre du tout (bon, je vais laisser de coté les particularités des services publics, et rester de la règle très générale). Il faut être logique. Les entreprises ne font pas de la magie.

Du coup, il y a moins de boulots, par rapport au nombre de personnes qui les demandent (et ne les veulent pas, mais il faut travailler pour gagner sa vie, donc ils les demandent quand même). Mais il y en a. Donc il est POSSIBLE de travailler. On n'est plus tout à fait dans le yaka, mais ça reste la solution. Sauf qu'il va quand même falloir marcher un peu sur les autres en mode compétitif, mais la compétition c'est sain, c'est naturel, comme ça on n'a que les meilleurs qui sont récompensés, donc c'est juste. Ben oui. Sauf qu'on ne parle pas de petite médaille ou de valorisation sociale. On parle de gagner de quoi vivre. Si seuls les meilleurs ont un travail, les autres doivent avoir de quoi vivre autrement.

(je dis "les meilleurs" pour simplifier. Vu l'importance du réseau (nom politiquement correct du piston), la sélection est quand même de plus en plus biaisée à mesure que le nombre de places diminuent. Mais ils restent "les meilleurs" dans le discours valorisant le travail, ce qui est important pour la suite de la démonstration).

Et là, on a un premier paradoxe : on récompense les meilleurs d'un travail, et on assure aux autres de quoi vivre sans travailler. Si le travail est chiant et motivé par l'argent, on renverse totalement l'échelle de valeur, et la récompense devient une punition ! A l'échelle morale, si on reste sur bon comportement = récompense et mauvais comportement = punition, tout le système des aides sociales se plante donc violemment. Et on parle d'une échelle évidente, de celles qu'on utilise pour apprendre la vie aux petits enfants de trois ans. Personne ne pense à le remettre à en question.

Supposons qu'on garde le système actuel, en supprimant les aides parce qu'elles ne seraient pas justes. Nous avons donc les meilleurs qui sont sélectionnés pour les postes. Et les autres ? Ils deviennent quoi ? Parce que par définition, tout le monde ne peut pas être le meilleur. J'insiste, parce que j'ai l'impression que les gens ont du mal avec cette notion. TOUT LE MONDE NE PEUT PAS ETRE LE MEILLEUR. Cette place est ouverte à tous. Et un seul l'aura. Sinon, tout le monde est identique. Et même les clones de Star Wars ne sont pas identiques à ce point.

Les autres, ceux qui sont refusés pour le poste donc, vont tenter leur chance ailleurs. Il y en a d'autres, des places. Mais il y a toujours une sélection. Au fil du temps, de nouveaux postes se libèrent ou se créent. Et au fil du temps, de nouveaux concurrents sont formés ou prennent de l'expérience. On essaye de se placer au-dessus des autres : on fait des stages, du bénévolat, on se forme, on soigne son réseau, sa garde-robe... Et tous les autres font pareils. A la fin, que ce soit le plus compétent, le plus expérimenté, le plus charmant, le plus docile, peu importe : il n'y en aura qu'un de pris. Et les autres ? Il y a de moins en moins de places, je le rappelle. Mais on n'est pas de moins en moins nombreux. Qu'est-ce qu'on en fait, des autres ?

C'est assez révélateur de voir à quel point cette question est occultée. On dirait qu'elle ne peut pas prendre forme dans la tête des gens. Peut-être parce qu'ils n'ont pas en tête les échelles de valeur dont je viens de parler. Ou ils ne veulent pas l'avoir en tête. Les chiffres du chômage par rapport au nombre d'emplois, c'est un couperet qui fait mal : ça ne passe pas, peu importe comment tu tournes ça, ça ne rentrera jamais. Du coup, on dit oui à tout ce qui pourrait changer ces chiffres, sans se demander pourquoi on ne nous parle jamais de chômage structurel ou de délocalisation. Pourquoi plus on applique des politiques libérales, pire c'est. Pourquoi les pays où ces lois sont déjà passées sont en train de crever.

En attendant que la fée Économie nous ait résolu ce malheureux problème de chômage, donc, on bricole. Et on reproche aux chômeurs ne pas faire mieux. Après tout, on est chacun responsable de sa vie, il faut s'accrocher, se donner à fond, et si on joue le jeu honnêtement, au maximum de ses capacités, on y arrivera.

C'est là que je vais faire le lien avec la fiction (oui, je l'annonce dans le titre mais ça n'arrive que maintenant) : cette histoire-là, elle est partout. Le héros ou l'héroïne, peu importe ce qu'il ou elle affronte, y arrivera. (ou sinon c'est une tragédie ou un drame. L'échec, c'est une tragédie ou un drame. Mais on prévient les gens avant qu'ils aillent voir le film, pour ne pas qu'ils soient choqués). On est tous invités à se voir comme les héros de nos propres histoires. Et pourquoi pas ? Quoi de plus cool que d'être le héros ? Même pour faire des choses de bien moins épiques que de sauver le monde voir la galaxie, juste arriver à trouver sa place, construire son foyer, gagner sa vie. Si on fait ce qu'il faut faire, on ne peut qu'y arriver. Non ?

Ben non. Il y a moins de places et toujours autant de gens.

Car la différence majeure avec les héros des histoires, c'est que soit ils sont adaptés au monde qui les entoure - leurs attentes, leurs désirs sont accessibles et valorisées dans leur environnement immédiat, une place où ils seront heureux les attend - soit ils sont libres. Et nous, si nous n'arrivons pas à atteindre cette place qui nous semblait bien pour nous (gagner de l'argent, avoir un toit, se mettre en couple et faire pousser des tomates, par exemple), on est coincé. Tu n'arrives pas à trouver un travail qui te permet de gagner de l'argent, ni dans ta branche ni dans une autre : tu fais quoi ? Tu ne vas pas attraper ton épée et passer à la taverne chercher des quêtes. Tu ne peux pas te poser sur un terrain et y construire ta maison de ton mieux avec quelques copains : le terrain n'est pas à toi, et vu que tu n'as pas d'argent les matériaux de construction non plus, et de toutes façons tu ne sais pas construire une maison vu que ce seuls les gens qui vont travailler à construire des maisons apprennent à construire des maisons. Tu ne peux pas bricoler des trucs dans ton coin et les vendre, c'est illégal - ou entre les taxes et les normes, tu es mal barré pour que ce soit rentable. Et même en illégal, pourquoi on voudrait de tes petits trucs fait maison quand on a de l'industriel bon marché de tous les cotés ? Quand à cultiver sa terre pour se nourrir (en supposant que tu choppes de la terre), tout seul sans argent et à la main : bon courage. On ne peut pas papillonner, saisir des opportunités à droite et à gauche, donner un coup de main ici et là, puisque le travail est déjà fait.

On nous laisse croire que si, on a des opportunités qu'il suffit d'avoir le courage de saisir. Tu n'as qu'à créer ta propre entreprise, dans ton domaine ! Oui, tu n'as toujours pas d'argent, mais fait un prêt, convainc les business angels ! Sauf que si le domaine n'embauche pas plus, c'est un peu parce qu'il est déjà saturé, hein. A part des dettes, il y a peu de chances que tu en récoltes quoi que ce soit. Et si tu y arrives, que tu réussis à partir de rien à te faire ta place au soleil et à embaucher, c'est que d'autres boites ont coulés car tu les as dépassées. Donc bravo à toi, mais du point de vue global, on reste sur le même problème. Même en créant artificiellement de l'envie, il y a une limite au nombre de vêtements qu'on peut porter, de produits qu'on peut se mettre sur le visage, de divertissements qu'on peut pratiquer, etc... On ne peut pas faire monter la consommation à l'infini (sans même parler du fait que ça n'a rien de souhaitable...).

Ou alors tu peux tenter ta chance comme artiste, créer de la valeur à partir de rien ? Mais même en changeant de milieu, on retombe sur le "tout le monde ne peut pas en vivre". Surtout que si tous les chômeurs sont sans argent, les produits culturels sont bien la dernière chose qu'ils vont acheter, et les secteurs artistiques vont passer par une sacrée crise. Avoir l'idée du siècle qui deviendra une start-up prometteuse, pareille. Ce qui peut marcher pour les uns ne peut pas marcher pour tous. Et les petits boulots, la précarité des mini-contrats qu'on tente d'enfiler comme des perles, ça peut aider, par ci par là. Pas sauver tout le monde.

Bref, quand on ne trouve pas de travail, on est coincé. D'où les aides sociales. Soit on aide les gens coincés, soient ils font péter toute la structure pour se sortir de là. Les gens restent rarement coincés sans rien faire. En achetant la paix sociale, le système garde le statu quo. Ceux qui sont hors-sytème le resteront. Ils n'ont plus qu'à s'y faire et ne pas en plus avoir le culot de se plaindre.

Je sais qu'il y a d'autres personnes qui savent tout ça depuis longtemps, et qui ont déjà totalement laissé tomber l'idée de réinsertion. Ils savent qu'ils n'y arriveront pas, et que de leur position économique, ils n'obtiendront jamais une identité considérée comme ayant de la valeur, ni de la reconnaissance de ce qu'ils font. Donc non, ils ne font pas d'efforts pour se conformer à ce qui est présenté comme le modèle d'une société qui les rejette. Au contraire, ils se feront un plaisir de cracher sur toutes les valeurs mises en avant par le modèle. Ils sont des marginaux, des cassos, souvent nés dans une famille de cassos, n'en ont plus rien à foutre de rien. Ils prennent ce qu'ils peuvent prendre. Et ceux qui sortent de ce milieu, malgré tout, ont intérêt à être à la fois souple et avec un mental d'acier. Parce qu'eux qui ne savent pas comment parler comme il faut, comment proposer son aide ou l'accepter comme il faut, comment marcher dans la rue comme il faut, il falloir qu'ils apprennent. Être "bien élevé", quand on ne t'as visiblement pas élevé bien, ça demande un sacré travail d'adaptation. Basé sur l'observation, parce qu'autant on peut avoir une formation diplômante, autant pour avoir les bons codes sociaux, personne ne t'aidera. Et ils le savent.

Moi je fais parti de l'autre groupe d'assistés : ceux qui débarquent. On est de plus en plus nombreux dans ce cas là, mais on le cache. On a honte, on est mauvais, on a échoué. Et pourtant, on avait tout bien fait comme on nous avait dire de faire. Milieu plutôt éduqué, diplômes, on sait bien parler et bien écrire, on se tient bien et on est charmant. Bien élevés, bien formatés, prêts à se plier en quatre pour rentrer dans le moule du marché du travail.

(Ce qui me rappelle une blague que j'adore : "A force de vouloir rentrer dans le moule, on a l'air d'une tarte."

J'y pense à chaque fois que j'ai l'expression "rentrer dans le moule" qui me vient en tête. Et maintenant vous aussi.

De rien.)

Quand tu as bien suivi toutes les instructions pour trouver du travail et que tu n'en trouves pas, la chute est rude. Alors qu'on le sait tous, on nous le chante sur tous les tons, qu'il y  a plus de chômeurs que d'emplois... Mais on est tous le héros de nos propres histoires et on garde tous au fond du cœur cette petite certitude que ça ira, pour nous tout se passera bien.

Personnellement, je pensais surtout échouer beaucoup plus tôt. Je n'aurais pas cru réussir la sélection pour entrer en master 2, ou valider mon master. Je savais qu'il y avait beaucoup de chômage dans ma branche et j'ai tenté de multiplier mes chances : stages en rab, bénévolat, plein de formations supplémentaires (au fait : être étudiant, même pour un DU à deux jours par mois, ça supprime ton RSA. Normal !!!). J'ai accepté tous les boulots liés au milieu de près ou de loin, sous-payés, payés juste assez pour me rembourser le trajet, et surtout j'ai fait tout ce que j'ai pu pour m'y faire bien voir (y compris revenir bénévolement, six mois après la fin de mon CDD, passer l'après-midi à régler un truc plus ou moins lié à mon CDD et pas de ma responsabilité, même à l'époque). J'ai sollicité mon réseau, j'ai essayé de le développer avec des associations. Et franchement, je ne pense pas être mauvaise. Tous ceux qui ont travaillé avec moi m'ont dit que j'étais plutôt bonne. Mais je ne suis pas la meilleure (ou la plus solide, ou la plus grande gueule, ou la plus assurée, ou quel que soit le critère des recruteurs).

Je n'ai plus d'allocations chômage. Je me suis lancée en indépendante (pardon, auto-entrepreneur, super classe) pour gratter quelques sous, et en enlevant les frais j'arrive à me faire entre 200 et 300 euros par mois. Ben oui, il n'y a pas assez de clients pour que mon activité soit rentable. Je le savais en la lançant. Je n'ai pas trop eu le choix. Et sans aides, je n'ai pas de quoi vivre. On n'a pas de quoi vivre. Je tente de me reconvertir, mais ça va prendre du temps. Et si j'échoue encore... Je tenterai autre chose ? Avec, à chaque fois, re-formation mais en attendant il faut bien vivre. Jusqu'à ce que je réussisse à me caser quelque part. Et si jamais je suis virée, on recommence tout depuis le début. Parce que le problème de base n'est pas résolu. Et que j'aurais beau me contorsionner dans tous les sens, me plier et me déplier et faire ma plus belle danse du ventre, même si j'arrive à avoir un putain de job, le problème de base ne sera toujours pas résolu, j'aurai juste piqué la place de quelqu'un d'autre qui restera un peu plus sur le carreau.

 Bref, je suis une assistée mais ce n'est pas de ma faute (en résumé). On est nombreux à être des assistés et on sera de plus en plus nombreux, et réduire nos aides, pourrir nos conditions de vie ne fera que faire exploser tout le système.

Ce qui ne veut pas dire que j'ai super envie de rester dans ce système. Parce que franchement, si le contrat social qui dit travail = argent ne fonctionne plus, ce ne sont pas les gens qu'il faut briser. C'est le contrat social. Pour en proposer un autre, mieux adapté.

[ginobusiness]

Affiliation automatisée : avis sur la cash machine de David Pontoizeau

Tu dois IMPÉRATIVEMENT lire ceci avant de lancer ton business en ligne entièrement automatisé.

C’est quoi la cash machine 2.0 ?

La cash machine de David Pontoizeau est un système entièrement automatisé qui permet à toute personne désirant démarrer un projet de business en ligne de se lancer en seulement quelques jours pour un investissement relativement abordable mais un potentiel infini.

Il est basé sur le business de l’affiliation destiné à vendre principalement des produits numériques en ligne.

Qu’est-ce-que l’affiliation ?

Prenons un exemple. Un expert créé un e-book sur une thématique qu’il maîtrise visant à aider des entrepreneurs à développer leur activité. Pour le vendre, il propose à des entrepreneurs experts dans la vente de commercialiser ce produit numérique pour lui. En contrepartie, une partie de la vente est versée sous la forme d’une commission sur vente.

Dans ce schéma ainsi défini, le revendeur qui touche une commission sur chaque vente s’appelle affilié. Plus il met de produits en vente, et plus il touche de potentiels clients, plus il vendra et plus il aura de commissions.

Et c’est là qu’intervient la Cash Machine.

Que fait David Pontoizeau dans cette affaire ?

Expert de l’affiliation et de l’automatisation, David Pontoizeau a imaginé dans un premier temps un système automatisé qui permet de mettre en vente, de promouvoir et de relancer les clients pour un produit numérique ; un seul à la fois.

C’était déjà une révolution. Mais il ne s’est pas arrêté là.

Il vient de lancer une V2 qui permet de lancer non pas un, non pas 2, non pas 3 mais la bagatelle de 40 produits numériques en même temps.

Que contient cette cash machine 2.0

Le système qui a coûté très cher à son créateur est composé donc de :

plus de 30 produits numériques à vendre en affiliation

un tunnel ou entonnoir de vente sous la plateforme LearnyBox avec 25 pages de capture déjà en place pour alimenter votre site web en quelques heures de montages seulement

111 séquences mails entièrement rédigés par des copywriters pour garantir un taux de conversion significatif

et surtout une formation 100% en video pour accompagner chaque heureux propriétaire à monter sa machine à cash.

Je m’inscris à la conférence en ligne pour en savoir plus

  Voici un aperçu de l’espace Formation avec plus de 14 h de formation en vidéo par David Pontoizeau lui-même.

Mais comment ça marche ce business entièrement automatisé ?

C’est là que cela devient génial. Rien de plus simple.

Concrètement, une personne qui s’intéresse à un de tes produits numériques va s’inscrire sur une des 25 pages de capture de mails. Qu’il achète ou non ce produit, il va rentrer dans une séquence dans laquelle, toutes les semaines, pendant 9 mois, un produit lui sera proposé à l’achat de manière entièrement automatisé. Tu n’auras rien d’autre à faire si ce n’est d’attendre le jour où un produit répond à son problème et qu’il décide d’acheter. A chaque fois que cela se produira et qu’il en achètera un, tu toucheras la commission prévue à cet effet. N’est-ce pas magique.

Je sais ce que tu te dis. C’est trop beau pour vrai.

Back Office de mon business en ligne entièrement automatisé

Pour avoir ton business automatisé, tu achètes un nom de domaine pour avoir un site Internet. Tu prends un abonnement pour héberger (domicilier) ton petit site Internet chez LearnyBox (tarif négocié par David Pontoizeau) et vous vous laissez guider par la formation pour configurer en moins d’une semaine votre site Internet d’affilié ainsi que les 25 pages de capture et les 111 mails.

Comme je ne te vends pas du vent, je te montre ci-dessous :

Sur cette image ci-dessus, tu peux voir les 5 premières pages de capture et à gauche, sous le texte “Principales”, il est indiqué un total de 25 pages.

Sur celle qui va suivre, je te fais un aperçu qui montre que tu vas avoir 111 mails à distribuer.

Combien ça coûte ?

Chez nous, la transparence est notre force. Je vais donc tout vous dire.

Nature du coût Valeur Achat de la cash machine entre 497 et 2000 € selon les options choisies et le mode de paiement retenu Achat de nom de domaine 15 euros max (à renouveler chaque année) Abonnement LearnyBox 27 € TTC par mois Publicité / Trafic cela dépend de vous et de vos objectifs. Pour gagner beaucoup, il faut compter au moins 5 € par prospect qualifié (lead) acquis

Aucun autre frais ne sera déboursé.

Je veux en savoir plus sur la cash machine

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YouTube: Investir Au Pays - Comment gagner 2000€ par mois grâce à youtube EN 2020

YouTube: Investir Au Pays – Comment gagner 2000€ par mois grâce à youtube EN 2020

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Sais-tu que tu peux gagner tous les mois plus de deux mille euros nets grâce à Youtube. Le meilleur dans tout ça, c’est que tu n’es même pas obligé de montrer ta tête à la caméra si tu n’es pas à l’aise avec ça, je connais personnellement beaucoup de gens qui font aujourd’hui le tour du monde entier qui se promènent sans sous les cocotiers et…

[zonedederaison]

De Thucydide à Varoufakis : leçons grecques sur l’Euro Et les faibles subissent ce qu’ils doivent ?, de Yanis Varoufakis, est un des meilleurs livres d’économie, dans ce genre particulier qu’est l’analyse de l’actualité, que j’ai lu ces dernières années. Economiste grec formé en Angleterre, enseignant dans plusieurs universités anglo-saxonnes, Varoufakis fut un observateur et un commentateur attentif des politiques économiques européennes avant de devenir le Ministre des finances du Premier gouvernement formé après la victoire électorale du parti Syriza– et à ce titre chargé des négociations avec l’Eurogroupe au premier semestre 2015. Avec ce double regard, et une belle culture historique, politique et littéraire, il montre de façon convaincante pourquoi la stratégie économique que suit actuellement l’Europe la conduit au désastre. Le livre commence par cette scène stupéfiante où le tout niveau Ministre des Finances grec vient rencontrer à Berlin son homologue allemand. Il y vient en germanophile, avec les souvenirs d’une enfance vécue dans la Grèce de la dictature des colonels, où ses parents, sous une couverture rouge, écoutaient la Deutsche Welle en cachette. Cette Allemagne symbole de liberté qu’il retrouvait tous les ans en vacances, il y est cette fois en représentant du peuple grec, dans un couloir au bout duquel l’attend Wolfgang Schäuble, le gardien de l’austérité européenne. Varoufakis s’approche, lui tend la main, mais le Ministre allemand des finances la refuse et lui fait signe d’entrer dans son bureau. Commencent ainsi cinq mois de dialogue de sourd où, on le comprendra au cours de l’ouvrage (s’il fallait s’en persuader), l’objectif n’est pas de « sauver la Grèce » mais d’en faire un exemple visant à discipliner les autres « partenaires » de l’Euro, et en particulier la France. Varoufakis Y., 2016, Et les faibles subissent ce qu’ils doivent? Comment l’Europe de l’austérité menace la stabilité du monde, Paris : Les Liens qui Libèrent, 436p De la nécessité de la solidarité en régime de change fixe Quelques anecdotes, toutes aussi plaisantes, jalonnent le propos, mais cet ouvrage n’est pas la chronique de ces mois de « discussion » avec l’Eurogroupe (qui est l’objet d’un ouvrage paru au Royaume-Uni). Il fournit plutôt un cadre d’analyse économique, relativement classique, permettant d’interpréter cette stratégie d’humiliation. L’argument est connu, parfois un peu systématique, mais très bien documenté par une histoire économique qui conduit du système d’étalon or des années 1930 aux dernières mesures d’austérité imposées à la Grèce, en passant par les Accords de Bretton Woods et les différentes étapes de la construction de l’Union monétaire (où on apprend notamment que la France proposa à l’Allemagne une monnaie unique en 1964). Il peut être résumé ainsi : dans une zone économique où les taux de change entre monnaies sont fixes (et donc a fortiori dans une zone d’union monétaire), les pays dont la balance commerciale est déficitaire (les importations sont supérieures aux exportations) sont condamnés à une purge économique sans fin si aucun mécanisme de « recyclage politique des excédents » des pays excédentaires n’est mis en place à leur profit (sous la forme de transfert budgétaire, d’assurance chômage, de politique industrielle, etc.). C’est un résultat bien connu de la théorie économique : une monnaie unique (l’Euro, par exemple) ne peut fonctionner sans être une union de transfert, c’est-à-dire sans disposer de dispositifs de solidarité internes. En l’absence de tels mécanismes, dans un système de change fixe la complémentarité entre pays excédentaires et déficitaires tourne nécessairement à l’étreinte morbide. Illustration par la zone Euro Si chaque pays avait gardé sa monnaie nationale et que les taux de change entre ces monnaies avaient pu s’ajuster, les excédents commerciaux allemands des années 2000 auraient diminué sous l’effet de l’appréciation du Mark. En effet, un pays qui exporte plus qu’il n’importe voit la valeur de sa monnaie, et donc le prix de ses produits à l’étranger s’apprécier. Au lieu de cela, du fait de la monnaie unique, la valeur des produits allemands dans les autres pays de la zone Euro n’a pas bougé : ils ont pu alors se déverser de façon continue sur les pays déficitaires du Sud. Comment les consommateurs du Sud ont-ils pu les acheter ? A crédit, en s’endettant via leur système bancaire auprès des banques allemandes… Ce phénomène est bien connu, Varoufakis le qualifie de « recyclage par beau temps » des excédents commerciaux. Il conduit nécessairement à l’accumulation des dettes dans les pays déficitaires, et in fine, à l’explosion des bulles de crédit « aussi sûrement et brusquement qu’un tas de sable s’écroulera quand on lui ajoutera le grain de trop, le commerce fondé sur le crédit-vendeur se terminera dans un spasme violent et soudain » (38). C’est évidemment ce qui s’est passé au début des années 2010 en Irlande, Grèce, Espagne et au Portugal quand, suite à la crise américaine des subprime, les capitaux du Nord se sont massivement retirés. Dans une telle situation, si la valeur de la monnaie nationale est flexible, elle chute et sert, comme cela a été le cas en Islande en 2008, d’« amortisseur de chocs ». Mais en système de change fixe « une fois l’enchaînement des faillites enclenché, les revenus vont forcément s’effondrer, alors que les dettes privées et publiques à l’égard des banques vont rester les mêmes. Le prix d’un taux de change fixe, c’est une étreinte de la mort entre un Etat en faillite, des citoyens désargentés et un secteur privé insolvable. Une spirale d’effondrement, un hideux tourbillon, conduit la masse de la population à l’esclavage pour dette, le pays à la stagnation, la nation à l’ignominie » (39-40). La guerre du Péloponnèse Bien qu’étant animé d’une véritable volonté pédagogique (se traduisant par beaucoup de redites), l’ouvrage reste parfois technique, peut être un peu trop. Mais pour autant, la réflexion et la préoccupation de Varoufakis dépassent largement la volonté de contribuer aux débats entre spécialistes. Il a écrit un vrai livre politique, dans une posture d’économiste citoyen derrière laquelle on reconnait aisément la figure tutélaire de John Maynard Keynes qu’il cite tout au long du livre. Le Keynes théoricien bien sûr, mais surtout le penseur politique préoccupé de la fragilité des sociétés, qui dénonça dés 1919 le Traité de Versailles, qui se battit dans les années 1930 contre l’étalon-or et les désastreuses politiques d’austérité et qui après-guerre imagina un système monétaire international équilibré. Autant de combats qui résonnent bien entendu avec l’actualité européenne et les préoccupations de celui qui fut quelques mois Ministre des Finances grecques. C’est d’ailleurs un étonnant message envoyé à travers le temps par l’économiste anglais qui donne son titre au livre. En 1988, alors qu’il examinait les archives de Keynes au King’s College de Cambridge, Varoufakis trouva un exemplaire en grec ancien de la Guerre du Péloponnèse de Thucydide. Keynes y avait souligné ce passage où les athéniens supérieurs en force, justifient l’humiliation de leurs adversaires Méliens en ces termes : « les forts font ce qu’ils peuvent faire et les faibles subissent ce qu’ils doivent ». Ce à quoi les Méliens, cherchant à gagner leur clémence, répondent qu’ils doivent penser au moment où ils seront à leur tour en situation de faiblesse et où ils seront alors exposés à la « vengeance la plus terrible ». La mise en garde ne suffit pas, mais la destruction d’Athènes par les Spartiates sept ans plus tard leur donnera raison. Keynes pensait-il au Traité de Versailles lorsqu’il a lu ce texte ? C’est possible, lui qui alors qu’il était membre de la délégation anglaise du Trésor lors de la négociation de ce traité choisit de démissionner pour dénoncer les conditions économiques imposées à l’Allemagne. Il expliqua sa décision dans Les conséquences économiques de la paix, un pamphlet visionnaire paru en 1919 dans lequel il montrait que ce traité, par l’ampleur des réparations qu’il imposait au perdant, mettait en danger la paix future sur le continent européen. Varoufakis, pour sa part, pensait à coup sûr à Keynes et à Thucydide lorsqu’il a écrit ce discours pour sa première conférence de presse conjointe avec son homologue allemand, le Dr Schäuble : « Ministre des finances d’un gouvernement confronté à une situation d’urgence due à une terrible crise de déflation par la dette, j’estime que la nation allemande est celle qui peut nous comprendre, nous les Grecs, mieux que toute autre. Nul ne sait mieux que le peuple de ce pays comment une grave dépression économique associée à une humiliation nationale permanente et à un désespoir sans fin peut faire éclore les œufs du serpent dans une société. Quand je rentrerai chez moi ce soir, je me trouverai dans un Parlement où le troisième parti est un parti nazi » (22). Face à la loi du plus fort, Varoufakis propose en postface ses pistes de sortie de crise qu’il avait développées dans de précédentes publications : une « modeste proposition » pour le court terme permettant de sortir de l’austérité sans modifier les traités, et un « manifeste pour démocratiser l’Europe » qui se donne 2025 comme objectif. Chacun en appréciera les mérites, mais par ces propositions et cet ouvrage qui est aussi une histoire critique de l’Union Européenne, Yanis Varoufakis apporte une contribution importante au débat sur l’avenir économique et politique du continent. http://sms.hypotheses.org/9772

[formationonline]

Auto Affi : La formation qui vous arnaque ?

J’ai acheté et testé la formation Auto Affi

La réalité derrière cette méthode est choquante…

C’est quoi Auto Affi?

Auto Affi c’est une formation révolutionnaire en ligne, sur l’affiliation.

Sa promesse ?

Vivre totalement indépendant, en étant freelance.

Le plus étonnant dans tout ça ?

C’est qu’elle promet une réussite en partant de 0.

Sans connaissance, sans études au préalable, sans compétences techniques.

Bref encore une formation qui promet l’accessibilité et la facilité.

Mais qu’en est-il des résultats ?

Peut-on vraiment vivre de cette formation ?

J’ai testé Auto Affi, voici mon avis sincère.

Un escroc à l’origine de Auto Affi ?

Avant de commencer savez-vous qui est à l’origine de cette formation ?

Ce mec est bien connu d’internet.

Bien présent sur les réseaux sociaux même sur LinkedIn...

Mais la promesse à la clé était belle.

Quitter le monde du salariat, être beaucoup plus libre…

Alors j’ai décidé d’investi juste 47€.

Une fois entrée dans la communauté Auto Affi, j’ai pu rencontrer Romàn.

C’est un jeune entrepreneur qui a réussi sur internet.

Il vit du marketing digital depuis quelques années.

Voyant qu’il y a un vrai potentiel sur le marché, il a décidé de partager son expérience.

Il prétend avoir déjà généré plus de 3 000 000€ sur ses différentes formations marketing.

Mais la réalité est choquante…

Mais que cache Auto Affi ?

Méthode d'Affiliation Auto Affi

Auto Affi cache un potentiel énorme.

Cette formation n’est autre qu’une mine d’or.

Son contenu ?

On parle d’un système très simple et complet expliqué de manière très clair pour te permettre de gagner jusqu’à 2000€ par mois grâce à Auto Affi, qui publie automatiquement des articles sur les réseaux sociaux avec tes liens affiliés.

Il y a un même un BONUS caché (voir le lien à la fin de l’article).

On y trouve plus de 5 étapes explicatives, pour comprendre la méthode d’affiliation Auto Affi de A à Z jusqu’à son installation.

Les 2 premiers chapitres vont vous aider à comprendre comment choisir son programme d’affiliation et comment rédiger un article qui convertit avec Chat GPT, afin de vous initier avec cette notion.

Les 3 autres sont encore mieux.

Roman ne se contente pas de vous donner des ressources.

Au-delà des vidéos, des connaissances, et des outils qu’il met à votre disposition, il vous dévoile une méthode inédite.

Cette méthode vous aide à gagner des commissions jusqu’à 2000€ le mois en automatique.

On sait tous que le grand souci c’est comment trouver des personnes qui vont cliquer sur les liens.

Je ne suis pas commerciale, je n’ai pas un grand réseau…

J’avais peur de passer plus de temps à prospecter que de …

Tout est pris en compte, vous n’avez pas à vous plaindre, Google se charge de vous envoyer du trafic.

Finalement mes résultats ont été très différents…

Mes vrais résultats avec Auto Affi ?

Auto Affi m’a fait gagner de temps et de l’argent très rapidement.

Cela fait maintenant 4 semaines que j’ai commencé.

J’ai déjà généré des commissions récurrentes

Je ne suis pas allé à la recherche de client, ce sont eux-mêmes qui viennent grâce à l’autorité des réseaux sociaux et Google.

Et continuellement, une machine à sous vient de naître grâce à la méthode Auto Affi.

J’ai gagné déjà plus de 980 euros.

Le temps passé à travailler ?

Je dirais un maximum de 8H par semaine.

Auto Affi ça marche ?

OUI !

Je vous assure que cette formation est une mine d’or et très sérieuse.

Le comble vous avez une double garantie de remboursement, de 30 jours et de 60 jours. Donc vous n’avez plus de souci pour vous lancer.

Combien j’ai investi ? Juste 47€ qui reste encore temporaire, sous peu cela va rejoindre le coût normal c’est-à-dire 297€.

Mais attention.

Je dois quand même vous prévenir de quelque chose…

Il y a quelque chose que Romàn ne dit pas…

Si on bâcle des étapes, et qu’on ne regarde pas tout le contenu je pense que vous ne pourrez pas faire autant d’argent rapidement.

Il faut vraiment TOUT regarder, et TOUT appliquer.

Cette méthode inédite, est plus qu’une opportunité.

Un bonus caché juste ici (places limitées)

Cette formation cache un BONUS incroyable.

Pour les personnes de sa communauté Romàn a dévoilé un BONUS qui permet de découvrir les meilleurs programmes d’affiliation et de gagner les meilleurs taux de commission en affiliation.

Ce bonus m’a fait doubler mes commissions en un temps record

Il l’a dévoilé à nous, les premiers membres de sa formation.

Mais il ne donne plus l’accès au grand public.

Je ne sais pas si j’ai le droit de le faire, mais je pense que tout le monde devrait y avoir accès…

Cliquer ici pour avoir accès à la formation et au BONUS inédit de Romàn

[ilpleutducash]

Comment travailler sur internet ? 15 astuces conseils

Votre salaire est à peine suffisant pour vous permettre de subvenir aux besoins de votre famille et vous vous questionnez sur comment gagner plus d’argent en fin de mois afin d’être plus libre financièrement. Cet article fournit 15 astuces efficaces sur comment obtenir des gains conséquents en ne travaillant rien que sur internet.

Le métier de rédacteur web

L’écriture est un de vos talents et vous avez une certaine passion pour la rédaction ? ce métier est alors celui qui vous convient. Parmi les activités qui rapportent le plus sur internet, cette activité figure parmi le top. Ce serait d’ailleurs une fierté pour vous que vos articles soient lus un peu partout dans le monde sur internet. Vous pouvez effectuer ce travail en freelance, ou monter votre propre entreprise. La possibilité que vous effectuez ce travail dans une entreprise n’est pas à exclure. Le mode de rémunération se fait souvent au nombre de mots et la rédaction  d’un article de 1500 mots est payée à peu près à 60 euros. En étant employé dans une entreprise, vous pouvez être rémunéré environ 1500 euros chaque mois. Ce métier n’est pas sans exigences. Il vous faudra justement avoir un certain degré de compétence et être discipliné. Afin de percer dans ce métier, vous devez avoir une large culture générale et ainsi donc avoir la possibilité d’écrire un article peu importe le sujet. Il faut que vous soyez en mesure de travailler sans avoir besoin d’aide et ce depuis votre domicile, tout en respectant les consignes établies par le client. Vos articles devront être pertinents, avoir du style, un contenu unique et doivent être facile à lire. Evitez à tout prix le plagiat. A moins d’être doté d’un don pour l’écriture, pour effectuer ce métier, de sérieuses compétences en littérature et en journalisme sont requises.

Le métier d’agent immobilier en ligne

Dans le but d’accroitre vos gains mensuels, le métier d’agent immobilier en ligne est une option à prendre en compte et sérieusement. L’avantage majeur est que vous n’avez pas besoin de bureau pour commencer le travail. Tout ce qu’il vous faut, c’est d’un téléphone et d’un ordinateur muni d’une connexion internet. Vous pourrez des lors fixer tous vos rendez-vous depuis votre maison. Vous percevrez des commissions sur toutes les ventes que vous réalisez. Celles-ci peuvent s’estimer à 1500 euros en moyenne en fin de mois et peuvent excéder les 3500 euros si votre activité marche bien. Plus encore, si vous avez beaucoup de talents en matière de vente, il vous sera possible de viser un salaire de cadre moyen exerçant dans la fonction publique. Le seul problème est que les vendeurs auront une certaine réticence à vous confier leurs biens, réticence due à un manque de confiance. Vous pourrez obtenir une carte d’agent immobilier. Ce n’est pas du tout facile, mais cela demeure possible.

Le métier de traducteur

Être travailleur indépendant est un très bon moyen de se faire de l’argent sur internet et il se peut que ce job vous fasse gagner votre vie convenablement. Si vous avez la maitrise d’une ou deux langues étrangères, vous avez là l’activité idéale pour vous aider à approcher de plus en plus votre liberté financière.   Internet regorge de ce genre de job puisque de nombreuses entreprises recrutent fréquemment des personnes pour effectuer des traductions. Vous aurez peut-être du mal à trouver votre premier client en vue de la signature d’un contrat, mais vous avez l’obligation de persévérer et de décupler les recherches sur internet. Des sites tels que domicile-emploi et Upwork vous seront très utiles dans ce cadre. Il vous faudra par la suite donner de votre meilleur pour que les clients puissent vous faire confiance. Ils feront la publicité de vos services en retour. Vous avez ici la réelle possibilité de gagner près de 4000 euros par mois. C’est une opportunité très rentable et non négligeable qui vous permettra d’arrondir convenablement vos fins de mois. La traduction d’une page est généralement facturée entre 20 et 75 euros.

Devenez photographe

Si vous avez un certain talent pour la photographie, vous pouvez utiliser ce talent pour vous faire un revenu complémentaire sur internet. En effet par le biais d’un site personnel, il est possible de faire la promotion de vos clichés et même les vendre. Mais pour que celles-ci puissent attirer l’attention, il vous faudra exposer des clichés d’une qualité irréprochable. Les lieux publics ou les bibliothèques sont d’excellents endroits pour exposer vos photos et créer de nouvelles relations par la même occasion.  Toutefois, la photographie fait partie des  marchés les plus attractifs sur intérêt. De nombreuses entreprises et des professionnels en design et en webmarketing récupèrent des photos et des illustrations en ligne pour monter des campagnes marketing et publicitaires. Ceux-ci sont donc très exigeants en ce qui concerne la qualité des images qu’ils demandent dans le but de préserver leur réputation et l’image de leur marque.  Le professionnalisme et le talent sont des arguments nécessaires si vous désirez faire de bonnes affaires sur internet. A cet effet, de nombreux sites sont disponibles sur internet et sont spécialistes en stockage et en vente d’images, de quoi vous donner de la visibilité et vous permettre de réaliser des ventes. Ces plateformes de stockage et de vente sont entre autres ; Photoshop, Fotolia, iStock et Shutterstock. Vous pouvez utiliser cette activité en tant que levier pour vous faire pas mal d’argent en fin de mois.

Devenez bloggeur

Le blogging  est une activité assez particulière car vous pouvez la pratiquer comme loisir, ou décider d’être rémunéré en retour. Mais votre rémunération dépend de votre habilité à produire des articles de qualité qui attireront de nombreux lecteurs et captiveront leur attention.  Si les lecteurs apprécient vos contenus, ils vous feront éventuellement de la propagande en partageant vos liens sur les réseaux sociaux, par mails, ou en les envoyant simplement à leurs proches. Pour finir, il est important que vous sachiez qu’un blog qui a du succès vous permettra de gagner environ 50000 euros par mois. C’est une source de revenus qui vous permet de gagner plus que vous ne vous imaginez.

Vendez vos créations via une boutique en ligne                           

Vous pouvez créer votre propre site internet et y vendre certaines de vos créations artistiques. Cette activité constitue une bonne alternative pour se faire un revenu complémentaire en fin de mois. Si vous avez un certain talent en ce qui concerne la conception de produits artisanaux de tous genres, exploitez ce talent et faites-vous connaitre sur internet pour vous faire de l’argent. De nombreux internautes amateurs d’authenticité sont à la recherche de ces genres de produits. Les sites suivants vous permettront d’ouvrir aisément votre boutiwue en ligne : eBay, DaWanda, Little Market, Etsy, Big Cartel et plein d’autres. Ces plateformes vous laisseront exploiter leur notoriété et leur visibilité pour commercialiser vos créations. Néamoins, elles percevront des dividendes sur chacune des ventes que vous réaliserez.

Le travail de community manager

Vous avez de la créativité, vous avez des talents en rédaction, vous avez une certaine des logiciels de graphisme et maitrisez l’intégration de contenu, ce métier est celui qu’il vous faut. C’est le job parfait pour un travailleur indépendant. Pour l’exercice de ce métier, il vous faudra un ordinateur et une connexion internet qui vous permettra de créer votre statut de travail et d’accompagner celui-ci d’une bonne publicité. Le rôle du comunity manager est de s’occuper quotidiennement de communiquer avec les clients d’une association ou d’une société sur les différents réseaux sociaux. Il pourrait aussi avoir pour mission de redorer l’image d’une ville ou d’une célébrité. Ce job est très rentable puisqu’il vous permettra de gagner près de 2000 euros pour juste 30 ou 35 heures de travail par mois.

Mettez au point un annuaire thématique

C’est un job qui paie bien à condition que vous déployiez toute la stratégie nécessaire pour vous constituer un portefeuille client adéquat.  Il vous faudra concevoir un annuaire thématique dédié à un sujet en particulier pour pouvoir gagner de l’argent sur internet. Il faudra ensuite monétiser celui-ci soit par un système d’affiliations, soit par un système de services payants que vous vendrez aux administrateurs qui feront usage de cet annuaire pour procéder au référencement de leur site web. De nombreux utilisateurs en quête de sites répondant à divers besoins spéciaux sont souvent attirés par ce genre de plateforme. Si vous mettez en place ce genre de plateforme, vous aurez surement des revenus assez importants en fin de mois.

Créer un jeu sur internet

Vous avez la possibilité de développer un jeu en ligne et de vous faire beaucoup d’argent. Vous aurez juste besoin à cet effet d’un site qui vous permet de développer des jeux en ligne, ou de recourir à l’aide d’un développeur web pour vous aider à le faire. C’est une activité très rentable car de nombreuses personnes apprécient les jeux. Celui-ci devra être très attrayant pour que les joueurs puissent y adhérer de manière durable. En matière de jeux vidéo en ligne, la concurrence est très rude, votre jeu devra donc faire preuve d’originalité. Si ce type de projet vous intéresse, cette idée en vaut surement la peine. 

Faites des vidéos intéressantes et mettez-les sur YouTube

C’est plutôt connu de nos jours, YouTube est un moyen très efficace pour faire des affaires sur internet et se faire beaucoup d’argent chaque mois. Tout ce que vous avez à faire c’est de créer votre propre chaine YouTube et d’y publier des vidéos aussi souvent que possible. Seul un fort taux d’audience vous permettra de vous faire suffisamment d’argent et de rentabiliser ce business. Comment faire alors pour attirer des visiteurs faire votre page ? Il vous faudra proposer des vidéos de bonne qualité sur des sujets auxquelles beaucoup de gens adhèrent et qui vont de pair avec les préoccupations de tous les jours. Servez-vous des youtubeurs populaires comme source d’inspiration et observez notamment leur manière de retenir l’attention de leur abonnés.  Il vous faudra beaucoup de patience au début et après que vous ayez acquis de l’audience, YouTube passera par votre chaine pour passer des publicités pour lesquelles vous serez rémunéré en retour sous forme de pourcentage sur les revenus publicitaires.

Créer un service de publicité pour les services et produits

Mettez votre temps libre à profit pour faire de la publicité à certains produits et services que proposent des entreprises. De nombreux sites d’affiliations sont disposés à vous rémunérer juste pour que vous affichiez une bannière de publicité sur votre site web. Vous aurez juste besoin d’un ordinateur muni d’une connexion internet et il vous faudra persuader les internautes d’acheter un produit donné. De nombreux sites d’affiliation tels que TradeDoubler, Netaffiliation, affilinet ou awin sont à votre disposition si vous êtes prêts à vous lancer dans cette activité. Vous aurez l’occasion de côtoyer de nouvelles personnes et de gagner des commissions sur les ventes en même temps.

Faites de la location sur le net

C’est une activité qui vous permettra de gagner près de 600 euros par mois. Les gens au lieu d’acheter des outils de bricolage, ils préfèrent juste en louer pour un usage rapide. De nombreux sites de location vous permettent de créer un compte et de commencer la location de matériel lorsque bon vous semble. En cas de destruction de vos outils, le site en assure la garantie. Les voitures, les poussettes, les perceuses, les appareils photos, les tondeuses, les shampooineuses et les matériels hi-fi sont autant d’objets qui se louent sur internet.

Faire des sondages rémunérés

Inscrivez-vous sur un site en ligne pour répondre à des sondages et être rémunérés en retour. C’est une activité extrêmement rentable qui vous fera gagner jusqu’à 4000 euros le mois. Certaines entreprises paient jusqu’à 40 ou 60 euros le questionnaire et votre participation à une campagne de sondage sur leurs services et produits. Vous n’avez pas besoin d’avoir des compétences exceptionnelles pour exercer dans le domaine. Tout ce que vous avez à faire c’est de cocher des cases en étant assis tranquillement derrière votre ordinateur.

Vendez sur Amazon

Si vous avez un certain capital et que vous désirez l’investir, achetez des produits en gros et revendez les en unités sur Amazon. La revente peut constituer une source de revenu non négligeable sur internet. Les articles à revendre sur internet ne manquent pas ; ce sont souvent des kits informatiques, des accessoires ou des textiles que vous pourrez revendre à n’importe qui n’importe où dans le monde. Ces produits sont à moindre cout et vos pourrez-vous faire de gros bénéfices juste en les revendant et Amazon est l’outil le plus populaire pour le faire. Vous pourrez par ailleurs créer votre propre politique marketing pour donner un coup de boost à vos ventes en créant par exemple une page destinée à la promotion de votre activité sur les réseaux sociaux. Cela vous permettra notamment de fidéliser vos clients sur le long terme.

Proposez vos services en développement web 

Ce métier marche bien sur internet et vous permettra surement de vous faire pas mal d’argent si vous avez des connaissances en programmation, en graphisme et dans le domaine des TIC. Vous pouvez travailler en freelance, ou vous faire embaucher par une entreprise. Inscrivez-vous sur des plateformes telles que codeur.com, freelancer.com, Odesk.com, Guru.com si vous désirez vous lancer dans cette activité, vous faire connaitre et vous faire recruter. En travaillant en freelance, vous pourrez gagner près de 1500 euros par mois et plus si vous êtes salarié.

Conclusion

15 astuces vous sont offertes, soit 15 alternatives pour vous faire un revenu complémentaire en fin de mois. La balle est désormais dans votre camp. Read the full article

[callmerenat]

Le désespoir d'etre pauvre

Ces derniers temps, avec ce qui s'est passé avec les gilets jaunes, j'ai regardé comme d'habitude les posts hystériques de mes “amis” sur facebook. Depuis l'élection de Macron je m'étais jurée de prendre des distance avec ce réseau social, qui n'est devenu finalement qu'un repère à militants grincheux incapables de faire avancer la société et de pensées populistes à la limite de fake news. Je me suis jurée de ne plus commenter les conneries postées par mes proches car je les trouves déjà pathétiques de se défouler sur facebook alors qu'ils sont incapable de s'engueuler pour de tels sujets dans la vraie vie. Je n'avais plus envie de perdre mon temps à m'engueuler avec des lâches. Le but de cet article n'est pas de faire un résumé des inepties pro ou anti gilets jaunes que j'ai pu voir, des articles putes à clic sur internet font déjà très bien le job, et je leur laisse volontiers connaissant la rémunération des pigistes au lance-pierre.

Non aujourd'hui j'écris car j'ai eu un déclic assez bête en lisant un portrait de jeunes dans un magazine local, gratuit et sponsorisé à mort par les commerces de l'île. Ce portrait sentait tellement le malaise qu'il aurait pu figurer dans le recueil “La vie secrète des jeunes” de Riad Sattouf. Je vois la photo d'un couple d'ados, et en dessous en italique, comme dans les romans-photos, il est expliqué que ce couple va faire face à un dilemme. La jeune fille va rejoindre l'armée et ils ne savent pas si leur amour va survivre à la distance. Le journaliste demande à la jeune fille pourquoi elle s'engage, et elle répond de façon fataliste “Pour espérer avoir une retraite.”

Si jeune et déjà défaitiste. Cela m'a mis en colère. Qui a inculqué dans la tête de ces jeunes que leur avenir était déjà mort avant qu'ils l'aient commencé ? Qui leur a dit que le seul moyen d'en avoir un était de renoncer à leur bien le plus précieux, leur libre-arbitre ? L'armée comme seul avenir, je l'ai vu malheureusement trop de fois moi aussi dans ma jeunesse. Je venais d'une ville ou déjà les seuls petits boulots que l'on proposait aux étudiants était le conditionnement à l'usine et ramasseur de déchets à la mairie. Il fallait être pistonné pour avoir un petit job à la mediathèque ou être caissière. Et pendant que je révisais mon bac, je voyais les cancres de mon quartier revenir le week-end avec leur surplus militaire de la base aérienne de la ville. L'armée était le seul recours pour ces personnes en échec scolaire, et ils étaient content d'être payés 2000 euros par mois, car aucun job dans le coin pour leur âge, même en intérim n'aurait été aussi grassement payé. Dans la tête de mes parents, l'armée aussi était une solution, une solution de roue de secours. Mon frère et moi-même avons baigné dans ce discours que si l'on ne réussissait pas dans nos études, et qu'on échouait dans les concours de la fonction publique, il restait l'armée pour nous en sortir. Mais cela m'a toujours effrayée. Déjà parce que je n'avais pas envie d'obéir aveuglément à des ordres, je n'ai jamais été patriote et l'idée de servir mon pays en tant que possible chair à canon me glaçait le sang.

Quand je suis arrivée à la Réunion, j'ai vu à quel point la région faisait tout pour pousser les jeunes à partir de leur île pour étudier et se former (le Cnarm, les bourses étudiantes, les programmes d'échange entre universités). Il n'y a pas assez d’écoles pour se former à tous les corps de métiers et la solution que les autorités ont trouvé, plutôt que de créer de nouvelles écoles est de faire du brain-drain. Ils font partir les jeunes pour qu'ils étudient ailleurs et ils espèrent que ceux ci reviennent pour relancer l’économie avec leur savoir faire (ou au pire ils restent en métropole et ça fait diminuer les chiffres du chômage dans l'île). Mais malheureusement il reste encore des jeunes sur le carreau qui croient que la seule solution pour résoudre leurs problèmes et de rejoindre l'armée. Un jour que j'étais de passage à la Grande Chaloupe, nous avons pris en stop deux charmantes jeunes filles qui avaient raté leur bus. Ces deux ados étaient sur le point de s'inscrire elles aussi à la caserne d'à côté. Évidemment je n'allais pas leur faire la morale ne les connaissant pas personnellement. Je leur ai juste demandé si elles étaient motivés et qu'elles étaient sûre de ce qu'elles faisaient. Comme elles le désiraient je les ai déposés et c'est comme si j'emmenais des bêtes à l'abattoir. Je me sentais si mal.

Pour en revenir à cette phrase “rejoindre l'armée pour espérer avoir une retraite”, j'ai voulu comparer avec mon propre désespoir quand j'étais jeune je me suis demandé: comment en sont ils arrivés à des décisions aussi radicales et pas moi? Est-ce qu'il a vraiment aucune porte de sortie pour ces gens pour s'engager dans de telles décisions? Je viens d'une ville ou le chômage était important, ou comme je l'ai dit, les jobs pour les jeunes étaient minces. Ma mère avait un salaire et 3 enfants à charge. Ma sœur, mon frère et moi n'étions pas bénéficiaire de la bourse car son salaire était à peine dans la tranche au dessus. J'étais donc mal partie dans la vie. Et pourtant j'ai suivi mon cursus dans un BTS public, ou j'ai pu grâce à ça faire mes stages, mon réseau et travailler dans un grand groupe TV alors que personne dans ma famille ne travaille dans l'audiovisuel. J'ai réussi pendant mes courtes études à toucher des APL pour me loger toute seule, sans avoir besoin d'avoir un job à côté pour payer mon loyer car ma mère, en effet a pu prendre en charge une partie. L'année précédente je logeais chez ma grand-mère et une amie de la famille. Et pendant les 1 an et demi ou j'avais du mal à trouver un emploi stable, je suis retournée vivre chez ma mère. Tout ça n'a pas été facile et ce n'est pas fait en un jour, mais j'ai réussi à être autonome sans jamais avoir de crédit sur le dos. J'ai toujours eu ce caractère persévérant, je ne me suis jamais lamenté sur mon sort. Bien sur que j'ai eu peur pour mon avenir quand j'étais jeune, je me souviens avoir manifesté contre le CPE croyant que ça allait être la porte ouverte à toutes les dérives pour l'emploi des jeunes. Et bien devinez quoi? le CPE n'a pas été voté, mais ça n'a pas empêché ce qu'on redoutait. Et finalement on s'en est sorti. Je viens d'une génération qui a subit la crise financière de plein fouet, on était à peine diplômé que toutes les boîtes dans l'audiovisuel se cassaient la gueule. Et bien on s'est battu, plus que les anciens confortablement assis pour avoir une place et on l'a eu. Et finalement je l'ai laissé cette place, parce que je trouvais qu'il était plus important de se concentrer sur son cadre de vie que sur un job. Toujours est-il que je m'interroge, d'où vient t'il ce désespoir, de ces jeunes qui ne payent pourtant pas plusieurs années pour rembourser des dizaines d'années un crédit étudiant comme dans les pays anglo-saxons? S'ils trouvent leur avenir bouché dans leur ville, qu'est-ce qu'ils attendent pour trouver les moyens de partir comme je l'ai fait? Il existe toujours des solutions pour ceux sans ressources : des bourses, de la colocation, des foyers de jeunes travailleurs, des associations d'aide d'urgence pour ceux qui viennent d'être mis à la porte. Et cette peur de ne pas avoir de retraite…faudrait déjà penser à savoir comment tu vas profiter de ton argent dans l'instant présent avant de penser à ta retraite, vu qu'il est possible que tu meures avant, surtout si tu rejoins l'armée. Ma retraite je sais déjà qu'elle sera maigre, alors j'ai choisi d'épargner, et je sais que je finirais par placer une partie dans une assurance vie pour mes vieux jours pour compenser.

Il est loin le temps où les ados se tatouaient en secret “carpe diem” un jour de beuverie entre potes. Ça me rend triste, de savoir que certains ont déjà perdu cette part d'insouciance. Les soucis c'est quand tu as en charge des enfants et un crédit à rembourser sur vingt ans, pas quand tu as toute la vie devant toi. Est-ce à force de regarder le miroir déformant de la TV et les influenceurs avec leur vie mis en scène, où gagner de l'argent paraît aussi facile que de cliquer sur une vidéo que certains ont développé un complexe d'infériorité? Il a été prouvé plus on passe du temps sur les réseaux sociaux, plus nous devenons dépressifs. Normal, à force de contempler des vies qui ont l'air géniales, on à l'impression que la nôtre est pauvre en comparaison.

J'aurais une autre idée, sur ce fatalisme des jeunes car je l'ai moi-même expérimentée : les parents qui transfèrent leurs angoisses. Quand j'ai eu du mal à trouver un emploi dans ma branche ma mère m'a fortement conseillé de faire les concours de la fonction publique, et quand elle voyait que ça n'aboutissait pas, elle m'a parlé de l'armée. Il y a une peur du chômage pour cette génération qui est assez irrationnelle. C'est sans doute la peur de se retrouver sans rien, de manquer de tout “comme à la guerre”, qu'ils n'ont pourtant pas connu. Revenons à cette histoire de gilets jaunes, j'ai vu à la télé des portraits de beaucoup de gens de cette générations, la mine dépitée parce qu'ils ne s'en sortait plus. Des gens de la france péri-urbaine qui font plus de 100 km par jour pour se rendre sur leur lieu de travail, possédant donc tous une voiture, qui parfois étaient filmés avec une cuisine flambant neuve ou le dernier iPhone en main et qui se plaignaient de manger des pilons de poulet en batterie au supermarché parce qu'ils n'avaient pas les moyen de se payer du poulet bio. Alors c'est donc ça les grandes angoisses du peuple? On est loin de la crise du pain lors de la Révolution Française. On est même loin des crises de certains pays, la Grèce par exemple, endettée jusqu'au cou, le smic fixé à 300€ par mois parce que tout le monde s'arrangeaient pour ne pas payer de TVA. Je pense sincèrement que le pouvoir d'achat nous est tous monté à la tête, nous faisant complètement perdre notre échelle de valeurs. Ces gens se sentent pauvre parce que cette société de consommation frénétique leur fait croire qu'il est normal de manger de la viande tous les jours, acheter de nouvelles fringues tous les mois, des téléphones tous les ans, des TV tous les deux ans, des voitures tous les 5 ans. Ma mère porte les mêmes vêtements depuis que je suis née et ils n'ont pas de trous, quand je revois mes grand-parents, la décoration de leur maison est certes vieillotte mais leurs meubles en bois massif et leurs canapés en cuir sont intact 30 ans après contrairement aux meubles IKEA et made.com. À l'heure ou les GAFAM sont devenus aussi riche que le PIB de l'Arabie Saoudite, que notre consommation de produits fait suffoquer la planete. Que des grosses fortunes comme Xavier Niel ou Michel Edouard Leclerc sont vus comme des Robins des Bois parce qu'ils font baisser le pouvoir d'achat des français alors qu'ils les poussent toujours plus à consommer. Il serait temps que ces gens qui se sentent démunis réfléchissent à acheter moins mais mieux, à des entreprises qui paient leurs impots en France et à se débarrasser du superflu. Ça résoudrait leurs problèmes de trésorerie, ferait du bien à la planète, et aiderait vraiment leurs enfants à avoir un avenir meilleur.

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Comment dire non sans culpabilité et sans peur

Résumé

Dans cet épisode, je vous propose de découvrir 6 stratégies pour dire, non sans culpabilité et sans peur. On a tendance à parfois dire oui alors qu'on aimerait refuser. Mais éviter un conflit n'est pas sain pour une relation et on doit être en capacité de faire les choses comme on les ressent.

Prenez conscience que de nombreuses personnes savent dire non sans froisser l’autre, sans remettre en cause la dynamique de leur relation. L’idée est donc de réentrainer notre système nerveux à voir qu'il est possible de dire non de manière très saine. Essayez de gagner du temps pour sortir de l’impact émotionnel que la demande crée en nous : « Je dois voir mon agenda » ou « Je dois en parler à… » ou « Je dois y réfléchir et je te dirai. » Appuyez votre refus sur vos principes : par exemple, le vendredi soir est toujours consacré à votre famille et vous ne pouvez malheureusement pas venir à la soirée entre collègues. N’hésitez pas à répéter votre refus sans chercher de nouveaux arguments pour vous justifier. Non, c'est non. Vous avez argumenté une première fois, toutes les relances de votre interlocuteur resteront sans effet et n’auront pas d’autre réponse que la première. Invoquez vos priorités relationnelles. Entretenir une relation de bonne qualité avec nos proches demande temps, énergie argent, que nous ne pouvons pas offrir à tout le monde. « Je te remercie de ta demande que j’apprécie, mais ma priorité ce sont mes enfants. » Faites une contre-offre : acceptez partiellement la demande, une heure au lieu de 6, 500 euros au lieu de 2000, etc. ou encore proposez quelqu'un d’autre ou une autre ressource pour cette tâche.

Prenez le temps de pratiquer ces refus, apprenez à être à l’aise, tout d’abord avec ceux qui vous aiment puis ensuite vous serez en mesure de refuser à votre chef de travail ou à des connaissances éloignées. Ces stratégies sont très puissantes et peuvent grandement améliorer votre vie !

Texte intégral

Dans cet épisode, je vous propose de découvrir 6 stratégies pour dire non, sans culpabilité et sans peur. Parce que la vie est bien trop magique pour être petite et que nous avons tous besoin d‘une prescription pour grandir en conscience et faire que nos rêves dévorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue à un nouvel épisode d’Une Grande Vie. Vous le savez, chaque semaine, je vous propose des stratégies pratiques, pragmatiques, pour grandir en conscience, qu’elle soit d’ordre physique, émotionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui est au cœur de notre évolution en tant qu’être humain et d’une vie pleinement vécue.

Cette semaine, j’ai décidé de partager avec vous quelques conseils pour mieux pouvoir dire non, sans sentiment de culpabilité et de peur. Je ne sais pas si ça vous arrive à vous, peut-être pas, mais moi, ça m’est arrivé de nombreuses fois de vouloir éviter les conflits ! Notamment quand quelqu'un nous demande quelque chose, par peur peut-être de le blesser ou qu'il nous rejette ou je ne sais pas quelle autre émotion passe à travers nous à ce moment-là, on a tendance à dire oui alors qu'on avait peut-être envie de dire non.

La notion de vouloir éviter les conflits, ce n'est pas vraiment le signe de relations saines. C'est plutôt le signe de relations dysfonctionnelles. Donc, c'est vraiment important d’apprendre à reconnaître son ressenti et puis de pouvoir l’exprimer aux autres, de ne pas finalement prendre des décisions ou faire des choix sur la base de l’influence extérieure des autres, mais sur la base de ce que l’on ressent et de ce qu'on a vraiment envie à l’intérieur. C'est pour ça que si l'on n’a pas envie, il faut pouvoir dire non, sans peur et sans culpabilité. Entrons dans le vif du sujet.

Recommandation 1 : Prendre conscience

Première recommandation pour pouvoir dire non sans peur et sans culpabilité, c'est de prendre conscience. Une des raisons pour lesquelles on a peur très souvent, c’est qu’on a peur que les gens nous rejettent ou ne nous aiment plus. Mais ce genre de situation, c'est vraiment la minorité des cas ! La première chose à faire, c'est de prendre conscience des dynamiques relationnelles qui se passent entre d’autres personnes. Si vous commencez à mettre ça dans votre conscience et à observer ce qu'il se passe vraiment, vous allez voir que dans la vie de tous les jours, il y a beaucoup de situations, de ces dynamiques interrelationnelles où les gens se disent non dans le calme et ça ne pose aucun problème. Vous allez voir que si vous regardez autour de vous, ça se passe beaucoup plus souvent très bien que très mal. Donc l’idée ici est de prendre conscience et de réentrainer notre système nerveux à voir qu'il y a possibilité que le fait de dire non se fasse de manière très saine. Bien évidemment, si vous vivez dans un environnement un peu toxique et que vous êtes toujours exposé aux 2 mêmes personnes qui, elles, à chaque fois qu’elles se disent non, elles se prennent par le col, regardez ailleurs ! Ne focalisez pas juste sur ces 2 personnes. Étendez vos horizons. Donc la première conscience, c'est : commencez à observer ces dynamiques relationnelles et comment les gens se disent non autour de vous. Si vous voyez des exemples très concrets qui se sont bien passés, ça va aussi vous donner une base pour apprendre, en tirer quelque chose, voire même imiter cette manière de faire. La deuxième prise de conscience qui est très importante, c'est de connaître ses valeurs, connaître ce qui est vraiment important pour vous, parce que si vous savez ce qui est important pour vous, ça va être beaucoup plus facile de vous positionner, de prendre une décision parce que vous savez que, comme ces choses sont très importantes pour vous, vous avez envie de les protéger. Prenons un exemple. Si vous avez des collègues de travail qui sont très engagés dans l’associatif et qui viennent régulièrement vous demander si vous ne voulez pas y participer, ça va être beaucoup plus difficile de dire non si vous n’êtes pas très clair dans vos priorités, par rapport à si vous savez que votre priorité à vous, c'est votre famille avant tout le reste, ce sera beaucoup plus facile pour vous de vous positionner et de dire non à ces invitations à venir dans l’association, puisque vous savez que votre priorité n°1 est votre famille. Donc stratégie 1 : prendre conscience. Observez autour de vous et soyez très clair de ce qui est important pour vous, de votre hiérarchie de valeurs. Si vous ne la connaissez pas, tapez « Yannick Pauli hiérarchie de valeurs » dans YouTube, j’ai un processus qui va vous aider à découvrir comment découvrir vos valeurs.

Recommandation 2 : Gagner du temps.

La plupart du temps, lorsqu'on nous demande quelque chose, on est un peu mis dans la situation, et parfois, simplement pour ne pas se sentir mal à l’aise vis-à-vis de la personne ou si on sent des émotions contradictoires, c'est-à-dire que quelque part, on n’a pas envie de le faire, mais on n’a pas envie non plus de décevoir la personne, on a tendance à répondre oui rapidement. Pour éviter cela, gagnez simplement du temps. Vous n’avez pas besoin de répondre immédiatement. Ce que je vous conseille de faire, c'est de mémoriser ces 3 phrases. Mémorisez-les, pratiquez-les, de manière assertive, c'est-à-dire que lorsque vous allez les dire à quelqu'un, ce n'est pas une question, c'est vraiment affirmé. • La première de ces affirmations pour gagner du temps est « Je dois voir mon agenda et je te redirai. » Comme ça, ça vous laisse du temps, ça vous laisse le temps de la réflexion, un jour ou 2, voire peut-être même plus. Ça vous donne aussi le temps de développer un argument ou d’utiliser les autres stratégies que je vais vous présenter ici quand vous reviendrez vers la personne pour donner votre réponse. • Deuxième phrase : « Je dois en parler à… » À mon époux/se, à mon frère, à mon coach, etc. Peu importe, mais vous pouvez utiliser cette phrase pour gagner du temps. • Troisième phrase : « Je dois y réfléchir et je te redirai. », tout simplement. Ça nous permet de gagner du temps et de nous sortir de cette dynamique émotionnelle du moment qui nous fait souvent dire oui alors qu'on aurait envie de dire non.

Recommandation 3 : Avoir une « politique » / principe

C'est très certainement une des plus puissantes. Je vous conseille vraiment de prendre le temps de faire cet exercice, parce que c'est très important. Ça veut dire quoi, avoir une politique ? Une politique est en fait une forme de principe que vous avez développée, sur la base de vos expériences passées. Lorsque vous dites à quelqu'un « Non, parce que voilà ma politique… », d’un, c'est beaucoup plus facile pour vous, parce que finalement, ce n'est pas juste basé sur votre ressenti, mais c'est basé sur un principe qui vous dépasse, et de 2, la personne va aussi se sentir moins rejetée personnellement parce qu’elle sait que vous dites non sur la base d’un principe et pas sur la base de la relation que vous avez avec elle. Si vous dites simplement non sans évoquer un principe, la personne peut percevoir que vous lui dites non à elle et peut-être direz oui à une autre, alors que si vous évoquez ou que vous prenez votre décision à partir d’un principe ou d’une règle ou d’une politique, la personne va savoir que vous allez finalement dire non, non pas juste à elle, mais à tout le monde. Donc c'est quoi, cette politique ? C’est une règle que vous avez. Avoir ce principe est vraiment quelque chose de très puissant. Par exemple, si un de vos collègues vous dit « Mais pourquoi vous ne venez jamais l’after-hour le vendredi soir avec nous à la sortie du travail ? - Parce que dans ma famille, c'est notre politique, notre principe de manger en famille tous les vendredis. » Ça n’a plus rien à voir avec eux, ça a voir avec un principe que vous avez, et ça rend vraiment les choses beaucoup plus faciles. C'est également beaucoup plus facile au niveau de votre décision parce que, de nouveau, ce n'est plus une chose que vous inventez sur le moment, c'est quelque chose de très réfléchi. En fait, quand vous évoquez un principe ou une politique, ça montre à la personne que ce n'est pas une décision que vous prenez juste à ce moment-là, mais c'est quelque chose qui est important pour vous, qui touche à vos valeurs et sur laquelle vous avez pris le temps de la réflexion. Comment travailler cette notion de principe ? Prenez un moment, réfléchissez à toutes ces expériences où vous avez dit oui par le passé, et finalement où vous auriez préféré dire non, mais pour des raisons professionnelles, vous n’avez pas pu à ce moment-là. Pensez, faites la liste de toutes ces expériences et tirez-en une conclusion. Tirez-en une règle, un principe, une politique. Par exemple, si quelqu'un vous a demandé de l’argent, un collègue vous a demandé de l’argent, que vous lui avez prêté et que pour une raison ou pour une autre, il ne vous l’a jamais rendu, si quelqu'un vient de nouveau vous demander de l’argent, au lieu d’hésiter, vous voudriez dire non, mais vous vous sentez mal à l’aise, vous pouvez dire : « Écoute, sur la base de mes expériences passées, c'est ma politique de ne pas prêter de l’argent à mes collègues. » C'est amplement suffisant et c'est extrêmement puissant.

Recommandation 4 : Technique du vieux disque usé

J’en ai déjà parlé dans une autre vidéo, c'est très simple : lorsque quelqu'un vient, vous demande quelque chose et que vous lui dites non, mais qu’elle revient à la charge, il n’y a pas besoin d’être inventif ou créatif. On se sent un peu mal à l’aise alors on dit non la première fois « Non, je ne peux pas », et finalement il revient « Oui, mais par exemple, si on le faisait mercredi, est-ce qu’à ce moment-là tu pourrais ? » Vous pouvez être créatif parce que peut-être ça vous gêne, de trouver une nouvelle manière de répondre non. Inutile de faire ça, vous pouvez utiliser la vieille technique du vieux disque usé, qui est de répéter tout le temps la même chose. « Est-ce que tu pourrais venir me donner un coup de main pour déménager ? – Non, je ne peux pas. – Mais est-ce que si on le faisait mercredi matin, est-ce que tu pourrais ? – Non, je ne peux pas. – Mais s’il y avait d’autres personnes qui venaient avec nous ? – Non, je ne peux pas. » Donc, à la première réponse c’est « Non, je ne peux pas », et à la centième réponse s’il le faut, c'est toujours « Non, je ne peux pas. » Vous êtes un peu comme un vieux disque usé, mais comme ça, vous n’avez pas besoin de perdre des ressources au niveau créatif, vous avez juste à répondre « Non, je ne peux pas. » N’élevez pas le ton, restez posé, restez assertif et utilisez juste cette phrase « Non, je ne peux pas. »

Recommandation 5 : Les priorités relationnelles

Quand quelqu'un vous demande d’investir soit de votre temps, soit de votre énergie, soit de votre argent, vous pouvez utiliser l’argumentation que vous avez déjà des priorités sur d’autres relations et que, si vous attribuez du temps, de l’énergie ou de l’argent à cette personne-là, vous allez soustraire de ce temps, de cette énergie et de cet argent à d’autres relations qui sont la priorité pour vous. C’est aussi une stratégie très puissante. Par exemple, imaginez que vous êtes maître d’école, que vous avez plusieurs classes, ce qui représente une centaine d’élèves au total, et quelqu'un vient vous demander si vous pouvez donner du temps à une association qui aide les enfants en difficulté, par exemple à l’école. Vous pourriez très bien dire « Je trouve ta demande très louable, mais en fait, ma priorité, ce sont mes élèves. J’ai besoin de donner toute mon attention, tout mon temps, toute mon énergie à mes élèves et je ne peux malheureusement pas venir donner du temps à ces personnes-là. » C'est aussi une technique très puissante, parce que l’autre personne voit que ce n'est pas à propos d’elle ou à propos de votre « petit vous » qui n’avez pas envie de le faire, mais que vous avez déjà des priorités où vous vous engagez pour d’autres, qui sont très importantes pour vous et que si vous acceptez sa demande, ça va soustraire à ces priorités.

Recommandation 6 : La contre-offre

C'est très puissant si vous n’avez pas nécessairement envie de dire non intentionnellement, mais que la demande ne vous convient pas non plus. Ce que vous pouvez faire, c'est proposer une contre-offre. Si quelqu'un vient et vous dit : « Est-ce que tu pourrais me prêter 10 000 francs ? », vous pouvez lui répondre « Non, je ne peux pas, par contre je peux te prêter 500. » Ou si la personne vous demande « Est-ce que tu pourrais venir donner un coup de main à notre association pour un après-midi ? », vous pouvez lui faire la contre-offre « Non, malheureusement je ne peux pas, mais je peux venir pour une heure de temps. » Une autre manière de faire une contre-offre, c'est de proposer aussi une autre ressource ou une autre personne. Si quelqu'un vous demande « Est-ce que tu pourrais venir me donner un coup de main pour faire ça ? – Non, malheureusement je ne suis pas qualifié pour ça, ce n'est pas dans mes compétences, mais tu pourrais par exemple demander à cette personne ou t’adresser à cette organisation-là. » C'est encore quelque chose de très puissant, de nouveau à garder si vous ne voulez pas complètement dire non, mais que vous ne voulez pas non plus vous engager dans la demande complète de l’autre personne.

Voilà ces 6 stratégies. Utilisez-les, elles sont très puissantes. Dernier petit conseil : pratiquez, pratiquez, pratiquez ! N’hésitez pas à faire des jeux de rôle si vous avez besoin au début. Bien évidemment, ne pratiquez pas dans des circonstances extrêmes, ça veut dire que si vous devez apprendre à dire non à votre chef, au travail, n’allez pas mettre en place ces stratégies nécessairement avec lui ou elle, mais pratiquez-les par exemple avec les personnes qui vous aiment et avec lesquelles vous savez que vous aurez moins de risque d’être rejeté. Vous vous sentez plus dans une zone de confort et vous pourrez plus facilement travailler cette nouvelle compétence. Une autre situation qui est vraiment très bien pour pratiquer, ce sont les gens qui font des sondages ou qui vous téléphonent pour vous vendre des choses. Que fait-on la plupart du temps quand on voit quelqu'un qui fait un sondage dans la rue ? On a tendance à l’éviter en changeant de trottoir par exemple. Ou, si quelqu'un vous appelle pour vous poser des questions pour un sondage au téléphone, on a tendance soit à raccrocher soit à essayer d’éviter la situation. Non ! Utilisez ces situations pour développer cette compétence, utilisez ces stratégies, allez au contact pour que vous puissiez affirmer votre non. Ce sont d’excellents moyens de pratiquer, donc au lieu de voir ces gens comme des personnes qui vous importunent, voyez-les comme des coachs ou comme des entraineurs qui vous entrainent à devenir meilleurs à dire non, sans culpabilité et sans peur.

Mettez en pratique, faites-moi savoir comment ça fonctionne pour vous. Nous, on se retrouve bientôt pour une nouvelle vidéo. D’ici là, souvenez-vous : émerveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.

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L’objectif de la marketplace est de mettre en relation les vendeurs et les affiliés pour permettre aux vendeurs de faire plus de ventes et aux affiliés de gagner plus de commissions d’affiliation.

1. Pour les affiliés

Il suffit d’aller sur la marketplace, de parcourir les offres et de choisir une offre à promouvoir. Sur la page d’une offre, vous avez accès aux informations suivantes: – la description de l’offre par le vendeur – le lien de la page de capture – le lien de la page de vente Nous vous recommandons d’envoyer du trafic sur la page de capture quand vous envoyez du trafic depuis les réseaux sociaux ou depuis votre blog. Nous vous recommandons d’envoyer du trafic sur la page de vente lorsque vous faites la promotion sur votre liste email (cela dit, pour des offres d’appel à 7€ ou autre, vous pouvez envoyer du trafic directement sur la page de vente depuis les réseaux sociaux ou depuis votre site)

2. Pour les vendeurs

Sur n’importe quel tunnel de vente vous avez un bouton en haut à droite pour publier votre offre sur la marketplace. (vous pouvez publier une page de capture et/ou une page de vente) Consignes importantes: – vous ne pouvez publier sur la marketplace que des offres pour lesquelles vous donnez des commissions d’affiliation (car l’idée c’est d’apporter de la valeur aux affiliés) – prenez soin d’écrire une description complète expliquant bien les bénéfices de l’offre que vous proposez

Systeme io : Programme d’affiliation

Comment fonctionne le programme d’affiliation de Systeme.io?

Sur cette page nous allons voir comment fonctionne le programme d’affiliation de Systeme.io et comment vous pouvez toucher 40% de commissions à vie sur Systeme.io.

Ce dont vous aurez besoin:     • être inscrit au programme d’affiliation de Systeme.io

Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement et recevoir le lien à votre tableau de bord affilié

Comment ça fonctionne

– Vous n’avez qu’à envoyer des visiteurs et on se charge de les convertir en clients.

– Vous touchez 40% sur le montant HT de toutes les ventes de Systeme.io et de nos formations – C’est une affiliation à vie: les contacts que vous envoyez sont marqués dans la base de données avec votre identifiant affilié donc même si ils achètent dans 6 mois ou 1 an vous toucherez des commissions dessus. Pour faire la promotion en affiliation Systeme.io il vous suffit d’ajouter: ?sa=VOTREIDAFFILIE à n’importe quelle page créée avec Systeme.io (page de capture, page de vente, page de paiement, ça marche pour toutes les pages). Exemple: le lien affilié pour promouvoir la page d’accueil de Systeme.io Lien de l’offre: https://systeme.io/ Imaginons que votre identifiant affilié soit sa Votre lien affilié pour faire la promotion de cette page est donc https://systeme.io/?sa=sa0000711179d1d3b240508ac8a32f9fda011564e491

Pour retrouver votre identifiant affilié allez dans  » Tableau de bord  » ensuite  » Tableau de bord affilié «  (numéro 1 sur l’image)

Votre code affilié se trouve en haut de la page (numéro 2 sur l’image)

Lorsque vous vous inscrivez à un programme d’affiliation d’un vendeur (le nôtre y compris), les liens des offres que ce dernier publie sur la marketplace s’afficheront sur votre Tableau de bord affilié (numéro 3 sur l’image)

Paiement des commissions:

Pour cela veuillez aller dans «  Paramètres de l’affiliation  » (numéro 4 sur l’image), qui se trouve dans votre menu en cliquant sur votre photo de profil et là vous choisissez la méthode de réception de vos commissions.

Pour recevoir vos commissions il faudra d’abord choisir une méthode de paiement des commissions, soit par Paypal ou bien par virement sur votre compte bancaire (numéro 5 sur l’image)

Paiement par Paypal ou Virement

Le paiement des commissions se fait chaque 10 du mois et il faut bien remplir les conditions suivantes:

– Il faut que vous ayez bien rempli vos informations sur votre profil afin que Systeme.io puisse générer les factures.

– Le montant de vos commissions doit dépasser les 30 euros.

– Le délai des commissions doit dépasser les 30 jours après le paiement du contact envoyé.

F.A.Q Programme Affiliation:

Question: Est-ce que je dois avoir un abonnement à Systeme.io pour faire la promotion du programme d’affiliation ?

Réponse: Non pas du tout, il suffit simplement de vous inscrire gratuitement au programme d’affiliation pour recevoir le lien à votre tableau de bord affilié Question: Je suis client de Systeme.io et je reçois des commissions d’affiliation, est-ce que je continuerais à recevoir des commissions d’affiliation si j’arrête mon abonnement ? Réponse: Oui, la participation au programme d’affiliation de Systeme.io est totalement indépendante de si vous êtes client ou non de Systeme.io (voir réponse à la question précédente) Question: Peut-on avoir les coordonnées des contacts ou des clients que nous avons envoyés avec notre lien affilié ? Réponse: Désolé mais ce n’est pas possible, ces données sont confidentielles.

Systeme io : Blog

Depuis peu Systeme io a développé son propre Blog .

Allez dans l’onglet « Blog » (numéro 1 sur l’image), puis cliquez sur « Créer » (numéro 2 sur l’image) :

Remplissez les champs, nom et Chemin de l’URL , puis cliquez sur « Créer » (numéro 3 sur l’image)

Une fois que vous aurez créé votre blog, vous pourrez modifier les pages de ce dernier en allant dans « Pages«  (numéro 4 sur l’image)

Ensuite vous pourrez créer ou modifier vos pages (page d’accueil, liste des articles, contacts…) en cliquant sur « Créer une page de blog » (numéro 5 sur l’image), ou bien en cliquant sur modifier (numéro 6 sur l’image) pour modifier la page depuis l’éditeur

Lorsque vous créez une nouvelle page pour le blog, vous devez lui choisir un nom et sur le champ « Chemin de l’URL« , mettez le même nom défini, si vous laissez ce champ vide,ça sera automatiquement la page d’accueil de votre nom de domaine, 

enfin vous n’aurez qu’à cliquer sur « Créer » (numéro 7 sur l’image).

Si tu souhaites avoir des Templates de Blog déja conçue alors vient découvrir SIO TEMPLATES .

Regardes quelques Templates de Blog :

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