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#communautarisme
hcdahlem · 7 months
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Extrême paradis
Clovis Goux imagine la sécession de la Floride pour y établir les VUF, les Villages-Unis de Floride. Dans cet État réservé au plus de 55 ans, le narrateur vient enterrer son père qui avait choisi ce petit paradis. Une dystopie habilement construite.
  En deux mots Après le décès de son père en Floride, le narrateur se rend dans cet État qui a fait sécession pour tenter de comprendre ce qui s’est passé dans ce paradis réservé aux personnes âgées. Il va finalement découvrir que derrière les bonnes intentions se cache un monde beaucoup plus sombre. Un monde qui obsédait son père. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique Le paradis des vieux est un…
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observatoiredumensonge · 11 months
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Vaincre ou disparaître
Notre devoir de vérité face à la barbarie.  Le Redoutable et le Terrible Continue reading Untitled
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a-room-of-my-own · 1 month
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Je viens de croiser un groupe de mômes d’une colo de vacances, tous noirs y compris les animateurs. Conversation entre les gamins
- Tu veux vendre du shit mais c’est haram de vendre du shit
- Je veux juste avoir de l’argent
- Ben si tu veux avoir de l’argent tu peux être banquier
- C’est haram d’être banquier
- Ou avocat
- C’est haram d’être avocat
Qui lave le cerveau de ces enfants et pourquoi les animateurs ne disent rien ?!
Ils marchent dans des paysages superbes, sont à la mer, et au lieu de leur montrer, je sais pas, la faune, la flore et compagnie on les laisse pérorer sur ce genre de conneries tout en sachant très bien que c’est justement le genre de choses qui fera que les gens vont les regarder de travers.
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fnielaubin · 9 months
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https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-du-lundi-18-decembre-2023-5871595  Je cautionne aussi cette analyse là, celle qui affirme que le wokisme fabrique, et induit le ...
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girafeduvexin · 2 months
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@keylawd J'allais répondre sous mon post mais en fait c'est relou à écrire ahah.
Pour Houria Bouteldja qui dit que l'antisémitisme d'État n'existe plus et que c'est du philosémitisme d'État : pour moi, c'est une erreur. Quand Macron diminue le rôle de Pétain (symptôme du rapport plus que problématique de la France par rapport à Vichy et son passé), quand des h/f politiques se revendiquent ouvertement catholiques alors qu'un h/f juif.ve politique ne pourrait revendiquer sa religion sans être taxé.e de communautarisme, quand on sait que la discrimination à l'embauche touche aussi les Juif.ve.s... non, je ne peux pas dire que l'antisémitisme d'État ait disparu. Il est peut-être plus subtile, il prend d'autres formes que l'islamophobie, oui, mais il est bien présent.
Pour être plus précise, la droite catholique, càd, la droite qui s'appuie sur un électorat catho, sur une famille française depuis des générations, la droite qui se dit attachée au "terroir", elle est autant antisémite qu'islamophobe dans ses codes. Quand Valérie Boyer porte ostensiblement une grosse croix à la télé, quand Fillon, Wauquiez, Bellamy, revendiquent d'être chrétiens, il y a ce sous-texte, cette idée que le président ne peut être que catholique, que la France est avant tout un pays chrétien, avec des crèches dans les mairies (cf les propos de Wauquiez et Fillon dans ma compilation de propos antisémites). On tolère les Juifs s'ils pratiquent en privé, s'ils taisent leur religion et on ne les veut surtout pas à la tête de l'État. Et avec Wauquiez président du groupe LR à l'AN, Bellamy qui prend de plus en plus de place dans la sphère médiatique, cette droite a encore de beaux jours devant elle.
(PS : je ne dis pas qu'être catholique fait forcément de vous un antisémite. Je parle de la droite qui s'appuie sur le catholicisme pour défendre des idées réactionnaires. Ce sont les mêmes qui disent que les Juifs ont tué Jésus...)
Aussi en désaccord quand HB semble sous-entendre que l'antisémitisme n'est plus qu'à l'extrême-droite et dans les quartiers populaires : de mon expérience personnelle, les bobos de gauche parisiens sont capables comme les autres d'être antisémites.
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bibliobouc · 1 year
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Il reste des batailles à mener
Trop de richesses, trop de profits, trop d'argent, trop de chiffres, trop de précarité, trop d'inégalités, trop de déréglements climatiques et trop de violences
La Bataille de la décroissance est à mener
Trop d'ignorance, trop de bêtise, trop de préjugés, trop de racisme, trop d'homophobie, trop de communautarisme, trop d'individualisme et trop de violences
La bataille de l'éducation est à mener
Trop d'écrans, trop de rapidité, trop de publicité, trop de réseaux sociaux, trop d'addiction, trop de bruit, trop d'algorithmes, trop d'avis, trop de selfies, trop d'égos exacerbés et trop de violences
La bataille de l'attention est à mener
Toutes ces batailles à mener
Pour ne pas tomber en déshumanité
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claudehenrion · 8 months
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J'aime la France, tout simplement.
Harcelés par les bêtises et les mensonges du discours officiel, nous avons perdu de vue la différence qui existe entre “la République”, ce lieu imaginaire dans lequel vivent, en vase clos, nos élites… et “la France”, notre “Mère-Patrie”, dont ils ont égaré l'adresse dans le désordre de leur pensée aussi bobo-clonée que gaucho-normalisée. Il n'y a rien à redire contre une république (qui gagnerait tout de même à être plus amicale, moins dogmatique et moins liberticide …), à la seule condition qu'elle sache rester à la place qui devrait être la sienne : un régime politique au service de la France et des français, pas un rêve insurpassable...ce qu'elle n'est pas.
L'enfant de la guerre que j'ai été a appris à aimer la France plus qu’il ne m’est possible de le dire. D''un amour passionné et raisonné tout-à-la-fois, qui puise ses raisons d'être dans “la légende des siècles” autant que dans leur vérité historique. J'aime tout : sa langue, sa culture, son histoire, ses habitudes, ses us et ses coutumes, ses habitants lorsqu'ils le méritent, ses réussites et même ses échecs quand elle en a (un peu moins fort, peut-être). Et s'il faut vraiment choisir... je garde tout.
 J’aime ses architectures traditionnelles si différentes, la diversité de ses paysages, son climat, ses campagnes, ses accents régionaux menacés par une unification aussi appauvrissante que télé-fabriquée, ses mers et ses montagnes, ses plaines et ses lacs, son unité dans sa diversité, ses traditions (NDLR - Au premier rang desquelles, en cette Chandeleur où on les ''démonte'', nos crèches… si jolies qu'elles en deviennent dangereuses aux yeux de soi-disant “libres penseurs” qui ne sont, évidemment, ni libres ni -surtout- penseurs !), ses beffrois carillonnants, ses clochers graciles et ses cathédrales puissantes, les milliers de petits calvaires perdus au creux des chemins, témoins si émouvants de la foi de nos ancêtres depuis son baptême chrétien en l'an de grâce 496, son histoire, les valeurs millénaires qui ont structuré sa belle œuvre coloniale si abîmée dans et par des mensonges à dormir debout, ses révoltes parfois et ses “coups de gueule”, souvent… et –je l'ai dit, je le répète-- ses habitants, avec leurs qualités profondes et tous leurs défauts, soulignés avec complaisance par ceux qui ne veulent voir que ce qui est un peu moins beau… tout, j'aime tout !
 Et plus que tout, j’aime ce que fut la France, MA France admirée et respectée, car admirable et respectable… même s'il m'arrive de plus en plus souvent de regretter qu'elle soit devenue… ce qu’elle est : un peu moins de tout ce qui la définissait et la rendait aimable, au point de risquer en permanence de perdre son âme, à jamais… Et au premier chef, ce qui fut, jusque il y a peu de temps encore, la plus belle langue du monde. Tout ce que chacun de nous peut penser ne peut s'exprimer que parce que nous partageons cette langue merveilleuse que l’on nous a enseignée, avec et dans un système clair et précis de références historiques et de valeurs structurées. Chacun de nous n’est que le produit de tout ce qui vient d’elle : idées, réflexes, opinions, jugements, pensées, musiques, souvenirs, sens esthétique, goûts, culture, notre “esprit gaulois”, nos raffinements culinaires… et jusqu'à notre penchant parfois exagéré pour la critique… et, ces derniers temps, pour la repentance, surtout lorsqu'elle est sans sujet et sans objet...
C’est cette certitude calme et réfléchie que j’appelle “patriotisme”, avec tout ce que ce mot comporte de bon et de beau a mes yeux, et de moins bon, paraît-il, aux yeux de ces gens qui se sentent intelligents uniquement parce qu’ils pensent ''contre'' plutôt que ''avec'', et disent tous les mêmes contre-vérités au même moment, entre eux : la preuve est faite qu'ils n'ont à offrir que désordre, utopies mortifères, désolation, violence, repentance imméritée, multiculturalisme chimérique, communautarisme létal et rejet du beau, du bon, du juste, du vrai… en un mot, cette sinistrose qui est le seul “bien” (un bien vraiment très mauvais !) que le fisc nous permette de garder encore.
  ’‘Attaché a ma patrie par une tradition familiale déjà longue, nourri de son héritage spirituel et de son histoire, incapable en vérité d’en concevoir une autre ou je puisse respirer a l’aise, je l’ai beaucoup aimée et servie de toutes mes forces’’ . C’est de Marc Bloch, que l'on ne citera jamais assez. Dans une dernière lettre a ses parents, il ajoutait :  “Vous m’avez appris à mettre certaines choses au dessus de la vie même”, écrivant ces mots pendant les drames sans nom de la  guerre et de la folie des hommes… où, seulement parce qu’il s’appelait Bloch, il allait quitter cette vie moins valable à ses yeux que son amour pour sa Patrie… fidèle perinde ac cadaver, comme disait Ignace de Loyola (voulant dire : jusqu'à la mort). Prémonition, ou beauté d'une âme ?
Le très républicain Ernest Lavisse écrivait, dans la préface de son “Histoire de France” : “Tu dois aimer la France parce que la nature l’a faite belle, et parce que son histoire l’a faite grande”… Les modes changent, pas comme il faudrait, hélas. Mais comme j’ai honte des fausses pudeurs et des repentances compulsives actuelles, toutes à contre-vérité, toutes perverses et nocives, réinventées et déconnectées de toute vérité autre que “la doxa officielle” –qui ne sont que partisanes... je reste , en bon républicain et contre vents et marées, à contre-rythme de tout le mal que se donnent ceux qui, au prétexte de la faire aimer, ne savent que la rendre haïssable au point de mettre ''vent debout'' tous les braves gens du pays, tous les deux ou trois ans...
Car la France, après seulement 325 ans ''avec'', contre plus de 1500 ans ''sans'', se proclame et se répète républicaine… au point qu'il semble obligatoire à ses leaders de répéter cette particularité à chacun de leurs discours, ce qui est tout-à-fait redondant et quelque peu ridicule : imagine-t-on tous les royaumes du monde chanter à la fin de chaque prise de parole les mérites de la royauté, à temps et à contre-temps ? La République, chez nous, n'est plus en danger, et depuis fort longtemps. Arrêtons ce faux culte qui force ses promoteurs et ses thuriféraires à renier tout autre culte responsable de son ''être'' et de son ''avoir été'' –au profit, même pas reconnu comme tel, d'une soumission aveugle à des rites qui ne sont inscrits ni dans nos gênes, ni dans notre Histoire, ni sous nos climats, ni dans les attentes de nos citoyens contraints d'en accepter les conséquences dont, massivement et avec juste raison, ils ne veulent pas... Alors… “Vive la France”, un point, c'est tout ! Et s'il faut –comme le disent certains-- s'appuyer sur l'Europe... faisons-le, dans des limites où le rôle principal ne perd pas ses prérogatives au profit d'un ''second rôle''.
Notre patrimoine est là… reprenons notre destin en mains ! “N’ayez pas peur”, recommandait Jean-Paul II… Tout est ouvert, tout est prêt à renaître… Le futur sera ce que nous en ferons… espérons-le différent de tout ce qu'ils ont fait de notre présent. Et aujourd'hui, alors que la France est diaboliquement menacée dans son essence autant que dans son existence, et que les ultimes patriotes tentent une dernière fois de la sauver des miasmes mortifères de Bruxelles, j'avais envie de partager tout ça…
H-Cl
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skopostheorie · 1 year
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Personne sait épeler gueule évidemment. Je le vois bien dans mes notes. Mais par contre en ce moment même je tente de mémoriser comment épeler communautarisme. Je me dis commun... Ô.. tarre... isme...
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Quelques mots sur l’idéologie à l’époque du covidioclimatisme…
«Everything has to change so that nothing changes.» Giuseppe Tomasi di Lampedusa
Comment se manifeste l’idéologie aujourd’hui?
Au plan le plus basique, l’idéologie c’est ce qui laisse croire au sujet que:
– les hommes peuvent tomber enceints
– rester chez soi, c’est sauver des vies
– une guenille faciale peut protéger d’un virus respiratoire
– un produit génique expérimental qui n’empêche ni la contamination ni la transmission peut être appelé "vaccin"
– une firme déjà condamnée à plus de dix milliards de dollars d’amendes en vingt ans pour escroqueries et mise en danger de la vie d’autrui est fondée à devenir le partenaire privilégié des gouvernements pour la santé publique
– "croire à la science" est une proposition scientifique
– tout russe sans discernement doit être considéré comme un ennemi potentiel (remplacez "russe" par ce que vous voulez…)
– il y a des "élites" qui gouvernent la France dans l’intérêt des français
– … (liste non exhaustive)
Écologisme... féminisme... lgbtisme... homosexualisme... collapsologisme... antisexisme... antiracisme... antifascisme... pourtoussisme... communautarisme... progressisme... gauchisme... les -ismes ne contiennent aucun connecteur logique complexe, ce qui les rend inaptes à la dialectique et donc en fait les contreforts objectifs indéfectibles du capitalisme.
L'efficacité de l'idéologie (discours dominant) repose sur l'industrie du divertissement culturel, dont les médias dits "d'information" constituent la force de frappe la plus massive, imposant un "bruit de fond", qui au contraire de proposer au sujet un repli hors des déterminations de la réalité sociale, a fait de la réalité "sociétale" elle-même une échappatoire à son réel ; le sujet (symbolique) se trouvant dès lors ravalé à son identification imaginaire (l'un des "camps" de l'opinion), tenu éloigné du seul lot de savoir susceptible de lui fournir les clés de son émancipation, l'inconscient dont il est affligé.
L’idéologie libérale de la victimisation réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option "la moins mauvaise" – et encore est-ce sans compter que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif, l'a amèrement noté, notre survie se paie généralement au prix de notre vie... Ou pour paraphraser Hannah Arendt: à force d’être endoctriné à choisir le moindre mal, l’électeur en oublie qu’il a choisi le mal.
Le capitalisme repose sur le discours dont il s’ordonne: le Discours Capitaliste, le seul "discours" à ne pas faire lien social, inscrit par Lacan "alla lavagna" à Milan en 1974, qui inverse le rapport du sujet au signifiant.
L'idéologie n'est pas, comme on le croit souvent, un procédé discursif second et insidieux qui te forcerait à t'identifier à un rôle ou à une fonction sociale déterminée à l’avance pour toi, l'idéologie en tant que telle, c'est l'inverse: le premier discours dans lequel ton sujet est pris, que tu le veuilles ou non, et qui te permet d'avoir une fausse distanciation avec ton véritable rôle social effectif, ce qui te fait croire qu'il y a au-delà (ou en deçà) de toi, indépendamment de ce que tu fais dans ta vraie vie avec les autres, quelque chose "en plus", un mystère insondable qui te rend digne d'être aimé.
L'illustration la plus élémentaire de l'idéologie est probablement celle proposée par Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente (par exemple le covidoclimatisme aujourd’hui...) la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique et subjective concrète…
L’idéologie c’est ce qui fait que, sous couvert de revendications, d’appels aux réformes, aux changements, rien ne change, et tout reste exactement comme avant, le discours dominant, qui pour le psychanalyste s’appelle "discours capitaliste", fonctionnant sur l’illusion de la maîtrise du signifiant par le sujet (alors que le sujet est un effet du signifiant, en tant que "rejet" de la chaîne signifiante…) le mettant dans une alternative d’être soit coupable soit victime, privant ainsi le sujet du signifiant de son authentique responsabilité dans ce qu’il se représente comme un "rapport au monde" et qui en vérité est toujours d’abord un rapport aux mots, un écart entre un énoncé et une énonciation.
"Evil is whatever distracts." (Franz Kafka)
Le capitalisme est une idéologie, un discours (dans son acception lacanienne) dont la structure est profondément religieuse, même si nous (les sujets du capitalisme) n'y croyons pas vraiment, nous en référons "aux chiffres" par exemple, car notre croyance n'a pas besoin d'être exprimée par des mots - elle peut même être déniée ! - elle est toujours déjà intégrée dans notre comportement social.
Nous imaginons que nous ne croyons pas vraiment à l'idéologie, mais nous continuons à agir conformément à l'idéologie, voilà le sens ultime de ce que Marx a appelé "fétichisme de la marchandise".
L'acte libre n'est atteint qu'à partir du moment où le fondement de mes actes sur les mots - et donc sur l'idéologie ! - échoue car ce fondement n'est tout simplement pas à la hauteur de l'abysse annoncé en lui…
«L'analyse a pour but l'avènement d'une parole vraie.»
Jacques Lacan (Écrits)
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made-in-haiti · 10 months
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Le Communautarisme Économique est une Idéologie, dont le mécanisme consiste à faire tourner l’argent Entre Nous!
C'est le seul moyen de pouvoir s'enrichir dans une communauté et dans un pays.
Consommons dans les petits magasins et les marchés. Surtout consommons ce que nous produisons.
👉Consommez ce que cos amis et votre pays produisent !
👉Si ton ami a une petite entreprise, un salon de coiffure, une alimentation, achètes chez lui.
👉Si ton voisin vend des vêtements, achètes-les!
👉Si ta voisine vend des chaussures, achète-les !
👉Si ton cousin vend de la pâtisserie, achètes-en !
👉Si ton ami dait des ongles, emmènes ta mère, ta sœur, ta femme. Même la petite du dehors, emmènes là-bas.
👉Si ton ami est comptable, avocat, va chercher conseil chez lui.
Siw gen yon Pwoblèm ! 👉Si wap chache yon Solisyon !
Kominote sila deja rezoud sa : Lien KATYE-NOU : https://chat.whatsapp.com/FlbWzFuoJrt12vTPbQOeqd
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hcdahlem · 8 months
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God Bless America
Le premier roman de François Ide nous entraîne à Cortez, Colorado au terme d'un Road trip qui va nous permettre de découvrir l'Amérique d'aujourd'hui, celle qui voit s'effacer le rêve américain derrière une nostalgie factice et le communautarisme.
  En deux mots Parti sur les traces de l’Amérique originelle dans un Road trip qui va des Grandes Plaines au Colorado, le narrateur se retrouve dans un motel de Cortez. Là, il va se confronter à l’Amérique profonde, loin du rêve américain. À moins qu’il ne la rêve… Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Qu’est devenu le rêve américain? Le premier roman de François Ide nous entraîne à Cortez,…
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cakeandbabble · 1 year
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Dating While Black
ENG : Tinder, Bumble, OKcupid, and so on. So many dating sites and apps where you meet everyone for any type of relationship… And yet, I really have the impression that filtering is done from the moment you are a black woman . I don't want to believe that we as black women are full of gender stereotypes. No. I just think that, having experienced it, the white men in these dating apps do not tolerate the slightest claim from a black woman. We don't have the right to want a serious relationship, let alone say it loud and clear. We do not have the right to protect ourselves by avoiding going through the "sex" box too quickly. We simply don't have the right to have dignity. I sincerely believe that a solution must be found for me. That of doing communitarianism: that is to say, to only meet black men or men of African origin. My last Tinder date with a white man: a relationship that lasted almost 2 months. Everything was there: cinema, restaurant, drink on the terrace, tender kisses, promise of romantic trips. And as soon as I mentioned the subject of a serious relationship before going to see a movie at his house: I "cooled him down". And since, radio silence, no more messages on WhatsApp or others. Completely evaporated. I can't help but think that if I had been white, of European descent, none of this would have happened. The fact of associating this with the racial question, is not an excuse that I seek because a white man dumped me. It is quite simply the fruit of observation and experiences that I have had for almost 15 years of love life. Of all the white men I've had a crush with, almost none have wanted to pursue a serious relationship that includes: mutual introduction to parents, mutual introduction to friends, romantic trips, etc. All my serious romantic relationships have been with men of African descent only. Because there was more respect, more compassion, more love, more points in common, and above all the fact of belonging to the same continent: Africa. So I made the decision to close my Tinder account, and OKCupid since anyway, they are not made for serious meetings and even less, to embody a mixed couple with a white man. In conclusion, I thank this experience because it allowed me to realize my black condition and the fact that French society as we live it, is beautiful and well represented in these dating apps.
FR : Tinder, Bumble, OKcupid, et j'en passe. Autant de sites et apps de rencontres où l'on rencontre tout le monde pour tout type de relation... Et pourtant, j'ai réellement l'impression qu'un filtrage est fait dès le moment où l'on est une femme noire. Je ne veux pas croire que nous, en tant que femmes noires, sommes pleine de stéréotypes à connotation sexuelle. Non. Je pense simplement que, pour en avoir fait l'expérience, les hommes blancs de ces apps de rencontres ne tolèrent pas la moindre erreur venant d'une femme noire. Nous n'avons pas le droit de vouloir une relation sérieuse, et encore moins de le dire haut et fort. Nous n'avons pas le droit de nous préserver en évitant de passer par la case "sexe" trop rapidement. Nous n'avons pas le droit d'avoir une dignité, tout simplement. Je pense sincèrement qu'une solution doit être trouvée pour moi. Celle de faire du communautarisme : c'est à dire, de ne faire des rencontres qu'avec des hommes noirs ou ayant une origine africaine.
Mon dernier date Tinder avec un homme blanc : une relation qui a duré près de 2 mois. Tout y était : ciné, restaurant, verre en terrasse, tendres baisers, promesse de voyages en amoureux. Et dès que j'ai évoqué le sujet de la relation sérieuse avant d'aller passer voir un film chez lui : je l'ai "bien refroidi". Et depuis, silence radio, plus de messages sur WhatsApp ou autres. Complètement évaporé.
Je ne peux m'empêcher de penser que si j'avais été blanche, d'origine européenne, rien de cela ne serait arrivé. Le fait d'associer cela à la question raciale, n'est pas un prétexte que je cherche car un homme blanc m'a largué. C'est tout simplement le fruit d'observation et d'expériences que j'ai fait depuis près de 15 ans de vie amoureuse. Sur tous les hommes blancs avec lesquels j'ai eu une amourette, presqu'aucuns n'a voulu poursuivre vers une relation sérieuse qui inclut : présentation mutuelle aux parents, présentation mutuelle aux ami(e)s, voyages en amoureux, etc. Toutes mes relations amoureuses sérieuses se sont déroulées avec des hommes d'origine africaine seulement. Car il y avait plus de respect, plus de compassion, plus d'amour, plus de points en communs, et surtout le fait d'appartenir au même continent : l'Afrique.
J'ai donc pris la décision de fermer mon compte Tinder, et OKCupid puisque de toute façon, ils ne sont pas faits pour des rencontres sérieuses et encore moins, pour incarner un couple mixe avec un homme blanc.
En conclusion, je remercie cette expérience car elle m'a permis de me rendre compte de ma condition noire et du fait que la société française telle que nous la vivons, est belle et bien représentée dans ces apps de rencontres.
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a-room-of-my-own · 11 months
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Le Royaume-Uni c’est un autre level niveau antisémitisme quand même. Ça me fait marrer quand je repense à tous ceux qui disaient qu’ils avaient beaucoup mieux réussi l’intégration que nous parce qu’ils pratiquent le communautarisme et non pas l’universalisme et que c’était la faute à la laïcité… Que tout le monde vivait en harmonie et dans la tolérance… Tu parles. Londres n’a pas volé son surnom de Londonistan…
Ça fait des années que c’est assez visible. Je préfère honnêtement notre culture de l’engueulade permanente plutôt que de tout balayer sous le tapis en faisant semblant de ne pas voir le problème.
Aux États Unis c’est inquiétant aussi l’antisémitisme délirant dans les universités.
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lonesomemao · 23 days
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DORENAVANT
CSP 59
Avec Saïd Bouamama
Qui parle de Saint-Bernard
En 1997 puis des travailleurs
Sans-papiers d'Emmaüs
Qui clament victoire
Avec lui recule un racisme
De gauche mitterrandien
Lui vendu à Pasqua
Les grands frères il connaît
Indigène de la République
Il refuse les progrès à petit pas
De la France par rapport
A son ex-empire colonial
Pratiquant un islamo-gauchisme
Enclos dans le communautarisme
Dimanche 1er septembre 2024
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ZONE 93 (Part 1)
Non loin de la porte de Clignancourt, comme un totem, surgissent les deux tours Jumelles emblématiques des « Boute en train » Paradis perdu. Deux tours Twins Towers de type NYC, sauf qu’ici, c’est plutôt The Empire Drugs Building. Le désespoir d’une jeunesse oubliée, le désarroi des anciens qui se morfondent noyés naufragés des abîmes de la Caf, Assedic au milieu de la Jet Set du marché aux puces fréquenté par les bobos qui investissent au bonheur des promoteurs immobiliers en Seine Saint Denis.
Des décennies d’hypocrisie politique, de laxisme, de démagogie venant de l’état, des  municipalités, du département 93. De Communisme Stalinien, de Socialisme irresponsable, prometteurs d’avenir, marchands de sables pour les populations dans la dérive sociale.
L’odyssée du grand délire, le temple du sarcasme, dynastie de la propagande mensongère, l’empire de l’inconscience collective. L’émancipation de Mai 68, du « front populaire » des « trente glorieuses » à l’apocalyptique  2011, des valeurs humanistes de Marx, Jaurès, au salafisme des Wahhabites, entre Djihad de Daesh, du vivre ensemble au communautarisme. Faute de grives, on mange des merles. Nous avons été victimes de politiciens sans scrupules. Le multiculturalisme populaire est  mort et enterré.
En Mai 1981 François Mitterrand est élu Président de la république. Le Parti Socialiste, éternel rival politique des communistes montré du doigt comme un usurpateur d’identité de gauche. C’est à ce moment-là que vont émerger puis apparaître, les conflits au sein des prises de décisions. Les grands débats sur le logement social, la santé, la culture, l’éducation, les centres de vacances. Sous le second mandat de Mitterrand les choses se compliquent.
La ville de Saint-Ouen, comme la Courneuve, Villetaneuse, Aubervilliers, et tant d’autres, va soudainement basculer à travers des problèmes de délinquance, les prémices d’une incertitude économique, du chômage, d’une crise identitaire, de conflits internationaux, de la montée du racisme, une xénophobie naissante à l’égard des populations issues de l’immigration. La Banlieue Nord de Paris subit un processus de désindustrialisation, de discrimination, de ghettoïsation, laissant place au communautarisme, au repli identitaire.
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thierrylidolff · 1 month
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«En banlieue, le communautarisme et le clientélisme progressent à une vitesse folle» - Point de vue
Ève Szeftel: «En banlieue, le communautarisme et le clientélisme progressent à une vitesse folle» Par Alexandre Devecchio Mis à jour le 20/02/2020 à 16:52SUIVRE Lire dans l’app Copier le lienLien copié FIGAROVOX/ENTRETIEN – Ève Szeftel a enquêté sur la collusion entre islamistes, voyous et élus de la mairie de Bobigny. Elle souligne dans cet entretien le rôle particulièrement trouble du…
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