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#confinement des juifs
aurevoirmonty · 5 months
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«La principale épreuve des JO: la schizophrénie»
«Dans la logique du CIO, nager dans une eau dont la pureté est comparable aux eaux usées est beaucoup moins dangereux que le drapeau tricolore russe», raille l’éditorialiste Elena Karaeva pour RIA (https://ria.ru/20240429/olimpiada-1942950166.html).
Notant que le CIO avait détruit de manière irréparable la devise «Citius, Altius, Fortius – Communiter» (Plus vite, plus haut, plus fort – ensemble), la journaliste rappelle que des croix gammée flottaient à chaque coin de rue lors des JO de 1936.
«Il était interdit aux Juifs allemands d'utiliser des symboles nationaux», poursuit-elle, soulignant que, si la situation est évidemment différente, les intentions politiques sont comparables.
L’objectif – celui d’hier comme d’aujourd’hui – est de diviser le monde du sport en «bon» et «mauvais»
«Leurs actions ne ressemblent pas seulement à une maladie, la russophobie, mais confine à la schizophrénie», trouble psychotique qui se caractérise par une perte du contact avec la réalité.
Et de conclure:
«On dit que Macron est prêt à se jeter lui-même dans la Seine. La mascotte non officielle des Jeux actuels pourrait donc être une ambulance avec une camisole de force.»
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Il y a 3 ans, le 1er août 2020 (carnet)
Pour la première fois depuis mon retour, je me suis fait dénoncer au Carrefour pour "non port du masque", le vigile qui était désolé m’a dit que des clients étaient venus le voir pour me signaler, ils étaient horrifiés que je rentre comme ça...
(j’ai quand même discrètement vérifié que je n’avais pas oublié de mettre mon pantalon...)
— Et vous venez me demander de me mettre un slip sur la face parce que sinon on va dire que vous ne faites pas votre métier?
Large sourire, il baisse le masque:
— Voilà, c’est ça !
— Bon je vais obtempérer, parce que j’ai mes courses à finir, mais sachez que ceux qui sont venus vous trouver, comme ceux qui silencieusement les approuvent, ce sont les mêmes qui dénonçaient les juifs en tant de guerre...
— Oui je sais... Mais le masque vous n’êtes pas obligé de le mettre sur le nez...
Il me montre. Ses yeux rient.
— Dites tout de suite que j’ai un gros nez !
Gros éclat de rire de ce type sympathique aux dents si blanches qu’on aurait cru qu’il avait mordu dans un piano. Je ris aussi.
Puis à la caisse, ça m’a fait penser à la banalité du mal de Hannah Arendt, à son erreur théorique sur la définition de la perversion... lorsqu’elle avance qu'Eichmann n'était pas un "pervers sadique", cette considération fait référence à une notion encore pré-psychanalytique, une représentation de sens commun où le sadique est quelqu'un qui inflige et jouit des souffrances qu'il fait subir aux autres.
Lacan insiste sur la position subjective du pervers qui est une radicale attitude d'auto-instrumentalisation, le pervers se faisant lui-même le pur objet-instrument de la jouissance de l'Autre.
Le véritable pervers sadique est donc tout le contraire de la figure passionnée d'un "mal diabolique", c'est plutôt un exécutant dépersonnalisé, un "bureaucrate du mal", sans profondeur psychologique, sans complexe spécifique, sans motivation d'ordre traumatique.
Loin d'une extravagance à la Milton ou du sublime Méphistophélès gœthéen, le bureaucrate qui s'abrite derrière son prétendu "devoir", voilà la vraie figure contemporaine du Mal.
Les dénonciateurs de juifs et plus récemment des joggers en période de "confinement" sont les véritables incarnations du mal absolu.
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Entre nous, on avait un peu oublié David Duchovny. L’acteur américain est célèbre pour ses rôles dans X-Files et Californication. Les deux séries cultes sentent fort leur époque, chacune à leur manière. La première, les années 90, lorsqu’on regardait tous les mêmes programmes à la télé et que l’on pouvait faire semblant de croire aux extraterrestres et à toute sorte de complots sans que cela débouche sur une attaque du Capitole. La seconde, la fin des années 2000, lorsqu’être un homme blanc hétéro, écrivain alcoolique et priapique de Los Angeles, était encore le summum du cool.
David Duchovny, donc, n’était plus trop dans nos radars, même si on se souvenait l’avoir aperçu dans la Bulle de Judd Apatow, comédie satirique sur un Hollywood covidé physiquement et surtout mentalement à la sortie des différents confinements. Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle. «Done some good, I’ve done some bad, like any man I bet» : «J’ai fait des choses bien, d’autres mauvaises, comme tous les hommes je parie», et on veut bien croire que c’est vrai tandis que l’on se met mentalement à marcher le long d’une longue route droite en mâchonnant un brin d’herbe. Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times. Après un premier où ce végétarien se mettait dans la peau d’une vache nommée Bovary, un deuxième vient d’être traduit en français, la Reine du Pays-sous-la-terre. Dans cette fantasy urbaine, une jeune femme se bat pour son amour contre des créatures mythologiques et folkloriques diverses, sur fond d’hommage au métro new-yorkais (le nom original étant Miss Subways) et de débats sur le melting-pot, l’éducation, la culture.
Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille. «L’idée qui m’est venue est celle d’une sorte de bataille culturelle, raconte-t-il, les yeux encore un peu embrumés mais tout à fait sympathique. Vous prenez un immigrant français qui arrive avec son folklore gaulois. Il essaye de s’assimiler ou il est forcé de s’assimiler à une culture américaine judéo-chrétienne plus importante. Qu’est-ce qui arrive si ses références de départ s’anthropomorphisent, prennent vie, ont une personnalité et une identité ? Est-ce qu’elles auraient une forme de pouvoir ? Je trouvais que c’était intéressant par rapport à toutes les discussions que l’on a aujourd’hui, par exemple sur l’appropriation culturelle.»
On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir.
Avec la Reine du Pays-sous-la-terre, qui déborde de références, anciennes et modernes, Duchovny voulait rendre hommage au New York bordélique de son enfance, celui de sa mère, une institutrice protestante, qui vivait encore dans la 9e rue, à West Village, jusqu’à ses 91 ans. L’homme qui a des lettres s’est inspiré de la Seule Jalousie d’Emer, une pièce de théâtre de l’Irlandais Yeats, à qui il voue une admiration jamais démentie depuis ses années étudiantes. Qu’il se soit mis à écrire des romans est tout sauf un hasard. Un de ses grands-pères était un écrivain et journaliste juif, originaire de Berdytchiv, en Ukraine. Un errant, parti en Palestine avec sa famille puis expulsé vers l’Egypte par les Ottomans au début de la Première Guerre mondiale, avant de traverser l’Atlantique en 1918. Son père publia de nombreuses biographies et enquêtes. A la fin de sa vie, il sortit enfin une fiction et mourut d’une crise cardiaque à Paris, où il avait décidé de passer sa retraite.
David Duchovny nous en parle d’emblée. La capitale française reste intimement liée pour lui à ce drame. Et à Samuel Beckett, son dieu personnel. En fac de lettres à Princeton, il écrit un mémoire sur le nobélisé. A l’époque, il s’imagine prof profitant de ses vacances d’été pour rédiger des nouvelles. Mais sur les conseils d’un ami, il passe une audition pour une pub, enchaîne avec des petits rôles, croise Brad Pitt dans l’oublié Kalifornia, jusqu’à devenir Fox Mulder dans X-Files en 1993.
La vérité est ailleurs, mais la carrière est à Hollywood pour les trente années qui suivent. Elle est faite de hauts et de bas, tant à l’écran que dans sa vie privée. Onze ans de mariage avec l’actrice Tea Leoni, deux enfants, et plusieurs séparations-réconciliations sur fond de tromperies et d’addictions sexuelles dont les tabloïds font des gorges profondes jusqu’en 2014… David Duchovny ne s’en cache pas et a fait d’une réplique de Beckett populaire chez les sportifs et les businessmen de la Silicon Valley son mantra : «Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore. Echoue mieux.»
Les stars parfois vieillissent mal. David Duchovny aurait pu tourner réac. On le sent parfois au détour de certaines lignes sceptiques sur la tournure que prend la société. L’anti-Trump viscéral, qui a composé une chanson contre l’ancien président, se la joue avant tout sage, en universaliste curieux. «La beauté d’une culture, c’est qu’elle en rencontre une autre et se mélange, dit-il, revenant à notre sujet du jour. Bien sûr, c’est d’un point de vue optimiste, il ne faut pas oublier des facteurs comme la colonisation ou les violences politiques en général qui rendent la question bien plus compliquée.» On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»
«On est au milieu du pont, il est trop tôt encore pour juger», note-t-il. Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard. Peut-être que l’on se trompe. David Duchovny le dit : «La vérité est toujours beaucoup plus nuancée.»
par Quentin Girard
publié le 6 avril 2023
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christophe76460 · 1 month
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Les gens parlent de Dieu comme si ils peuvent obtenir plus de Dieu, avoir plus de l'Esprit Saint. PLUS? Si nous sommes dans l'océan, nous sommes mouillés. Nous ne pouvons pas devenir encore plus mouillés. Nous sommes mouillés avec l’Océan Pacifique entière, la vaste Océan Atlantique de l'Esprit, et en pouvons pas être humidifiés par une goute du seau de plage d’un enfant. L'humidité, cette eau sur notre peau, s'étend jusqu'aux confins sans rivages de Dieu. Nous sommes l'un dans l'Esprit avec tous ceux qui se baignent dans ces eaux. “En effet, que nous soyons juifs ou grecs, esclaves ou libres, nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps et nous avons tous bu à un seul Esprit” (1 Corinthiens 12:13). Que Dieu te bénisse.
#ReinhardBonnke #HePreachedJesus #LivingALifeofFire
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lepartidelamort · 10 months
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Revenir à une France blanche à 90% avec un PIB inférieur de 70% et infiniment préférable à une France « riche » sur le papier où les smicards blancs vivent terrorisés, assiégés par des dizaines de millions d’envahisseurs venus des confins de l’Afrique et de l’Orient.
La dictature du PIB est un prisme juif qui doit être intégralement jeté aux ordures, avec les juifs eux-mêmes.
C’est la dictature de l’homme blanc tout court qui doit être le nouveau prisme.
Nous en revenons à la formule originelle du national-socialisme, c’est-à-dire de la subordination de l’économie à la pérennité du peuple.
En réalité, c’est l’esprit petit-bourgeois qui est la cause du désastre actuel. La très nette majorité de la population veut le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière, c’est-à-dire cette société juive, sans ses effets.
Elle fermente dans sa pourriture, sans force vitale, vieillissant à vue, cacochyme.
L’Italie ne pourrait se redresser que sous la direction d’un homme fort, exceptionnellement capable, qui renverse la démocratie, ses partis, abat le féminisme d’état, règne par une dictature masculine impitoyable avec ses ennemis.
100,000 hommes suffisent pour tenir un tel régime, 10,000 révolutionnaires suffisent pour l’organiser, 100 hommes suffisent pour le diriger et un homme suffit pour le guider.
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lautone · 11 months
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⭐⭐⭐⭐⭐✊🏾👏🏾👏🏾👏🏾👍🏾LES KHAZARS ET L'INVENTION DU PEUPLE JUIF
Extrait du Discours de Benjamin Freedman en 1961 sur le sionisme
LES KHAZARS ET L'INVENTION DU PEUPLE JUIF
Quels sont les faits au sujet des juifs ?
Je les appelle juifs juste pour vous ; car ils vous sont connus comme juifs. Mais je ne les appelle pas juifs moi même ; je m’en réfère en tant que ’’soi disant ’’ juif. Tout simplement parce que je sais qui ils sont réellement. Les juifs d’Europe de l’Est -composant 92 pourcent de l’entière population s’auto désignant ’’juif’’ sont à l’origine ’’Khazar’’. C’était une tribu belliqueuse vivant aux confins du territoire asiatique. Un peuple si hostile que même les asiatiques les chassèrent hors d’Asie vers l’Europe de l’Est. Là, ils établirent un grand royaume Khazar de plus de 1 300 000 kilomètre carré.
En ce temps là, la Russie n’existait même pas ; pas plus d’ailleurs que la plus part des pays d’Europe. Le royaume Khazar était le plus grand pays d’Europe ; si grand et si puissant que les autres monarchies voulant entreprendre une guerre s’appuyaient sur les Khazars qui pouvaient leurs louer une armée de soldats. C’est vous dire combien ils étaient puissants. Ils étaient païens et exerçaient le culte Phallique ; ce qui est immonde et répugnant et de ce fait je ne voudrais plus m’avancer sur ce sujet maintenant. Mais c’était bel et bien leur religion, ainsi qu’elle fut la religion d’autres païens et barbares en ce temps là.
Le roi des Khazars devint tellement dégoûté de la dégénérescence de son royaume qu’il se résolut à adopter une soi disant confession monothéiste. Entre la Chrétienté, l’Islam, ou ce qui est connu sous le nom de Judaïsme qui en est vérité est le ’’ Talmudisme’’. En choisissant par pur hasard le choix du roi se porta sur ce qui est communément appelé le Judaïsme qui advint la religion d’Etat. Il envoya donc des gens étudier aux écoles talmudiques de Pumbedita et Sura et fit ramener des milliers de Rabbins, ouvrit des synagogues et des écoles et son peuple devint ce qu’on appelle maintenant ’’juif’’.
Mais il n’y avait parmi eux aucun qui n’eut jamais mis le pied en terre sainte. Il n’y avait parmi ce peuple aucun dont l’ancêtre appartenait à l’histoire du vieux testament. Absolument pas un. Et il ont l’audace de s’adresser aux chrétiens et de leur demander de supporter une invasion armée en Palestine en prétendant : ’’Vous voulez aider à rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur foyer ancestral, n’est ce pas ? C’est votre devoir de chrétien. Nous vous avons donné un de nos enfants comme votre Dieu et Seigneur ; vous allez à l’église tous les Dimanches et vous vous agenouillez pour adorer un juif et nous sommes juifs’’.
Alors que ce ne sont que des païens convertis au Judaïsme ; comme les irlandais se convertirent au christianisme. Il est juste ridicule de les appeler ’’peuple de terre sainte’’ ; comme il serait tout aussi stupide d’appeler les quelques 54 millions de chinois musulmans, des ’’Arabes’’. Mahomet mourut en 632 et depuis ce temps donc, plus de 54 millions de chinois à présent ont acceptés l’Islam comme foi. Maintenant imaginez que ces plus de 54 millions de musulmans de Chine soudainement décident de s’autoproclamer ‘‘Arabe’’ ; vous diriez qu’ils sont lunatiques. Quiconque penserait que ces 54 millions de chinois sont arabes, ne pourrait être que simplement dérangé. Parce que tout simplement ils n’ont fait qu’adopter la foi qui prend origine à la Mecque en Arabie. Tout comme l’avaient fait les irlandais quand ils devinrent chrétiens ; personne ne les avait jetés à l’océan ou bien avait importé une nouvelle espèce d’habitant. Ils ne devinrent en aucune façon un peuple différent. Mais seulement le même peuple ayant accepté le christianisme comme confession.
Ces Khazars donc, ces païens, ces asiatiques, ces turcos finnois étaient une race à la base mongoloïde qui fut chassés d’Asie vers l’Europe de l’Est. Après que leur monarque épousa la confession judaïque, ils n’avaient plus de décision en la matière et durent se soumettre à la même foi. Comme en Espagne, si le roi était catholique alors tout le monde devait l’être ; sinon il fallait quitter le territoire espagnol. Voila comment les Khazars devinrent ce qu’on appelle aujourd’hui ’’juif ’’. Maintenant imaginez combien cela est ridicule pour les grandes nations chrétiennes du monde d’affirmer : « Nous nous engageons à utiliser notre pouvoir et notre prestige afin de rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur ancestral foyer. »
LE CONTROLE DE LA PRESSE, DES MEDIAS, DU CLERGE, DE L'ETAT...
Peut-il y avoir un plus grand mensonge que celui là ? Tout simplement parce que contrôlant les journaux, les magazines, la radio, la télévision, l’imprimerie du livre, et surtout parce qu’ils dictent le prêche du clergé ainsi que le discours politique, qui d’ailleurs ont le même langage. Ce n’est donc pas étonnant que l’on croie ce genre de mensonge. Pareillement vous croiriez que le blanc est noir si vous l’entendiez assez souvent ; vous ne pourriez plus appeler noir, le noir ; vous accepteriez d’appeler le noir, blanc. Et personne ne pourrait vous le reprocher. Ceci est un des plus grands mensonges que l’histoire ait jamais connu. C’est la base de la misère qui dévore le monde.
Extrait du Discours de Benjamin Freedman en 1961 sur le sionisme
IMPORTANT : Benjamin Freedman est né en 1890 de parents juifs
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news24fr · 2 years
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Plus les choses changent en Israël, plus Joe Biden travaille dur pour s'assurer qu'elles restent les mêmes.Le nouveau gouvernement d'extrême droite du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui comprend des racistes ouvertement anti-arabes, suscite déjà des inquiétudes à la Maison Blanche avec des engagements à étendre les colonies illégales dans les territoires occupés et à annexer des terres palestiniennes.Le ministre des Finances et leader du Parti sioniste religieux, Bezalel Smotrich, qui répudie la création d'un État palestinien, a rapidement monté une confrontation avec l'Autorité palestinienne en saisissant une partie de ses fonds et en la qualifiant d'« ennemie ».Le ministre de la sécurité et chef du parti Jewish Power, qui a appelé à l'expulsion du pays des citoyens arabes « déloyaux » d'Israël, Itamar Ben-Gvir, a commencé une répression sur des manifestants anti-gouvernementaux israéliens tout en ordonnant à la police d'arracher des drapeaux palestiniens comme "identification avec le terrorisme".Le propre parti du Likud de Netanyahu a déjà lancé des lois pour limiter le pouvoir du pouvoir judiciaire de bloquer les politiques gouvernementales.Aaron David Miller, qui a travaillé pour six administrations américaines, notamment en tant que conseiller pour les négociations israélo-palestiniennes, a déclaré que Biden était en territoire inconnu.L'extrême droite israélienne frappe le sol et les effets d'entraînement se font déjà sentirLire la suite"Aucune administration n'a jamais rencontré un gouvernement israélien comme celui-ci", a-t-il déclaré.Miller a déclaré que bien qu'il y ait des lignes rouges pour la Maison Blanche - y compris si Israël exploite la faiblesse croissante de l'Autorité palestinienne pour annexer un territoire - la réponse immédiate de l'administration est le confinement.« Ils vont se donner beaucoup de mal pour éviter une confrontation soutenue avec les Israéliens », a-t-il déclaré.Il y a déjà une vague d'activités diplomatiques. L'homme de confiance de Netanyahu avec les États-Unis, le ministre israélien des affaires stratégiques, Ron Dermer, est arrivé à Washington pour des entretiens en début de semaine. Le conseiller à la sécurité nationale de Biden, Jake Sullivan, devrait se rendre en Israël la semaine prochaine avant l'arrivée du secrétaire d'État Antony Blinker, à Jérusalem à la fin du mois. Ensuite, Netanyahu doit se rendre à Washington en février.Là où les Palestiniens étaient autrefois au centre des discussions, ils figurent désormais aux côtés du programme nucléaire iranien, de la réticence d'Israël à se tenir aux côtés des États-Unis contre la Russie sur l'Ukraine et des relations de l'État juif avec le monde arabe au sens large.Mais les Palestiniens figurent toujours dans les pourparlers, du moins dans la mesure où la Maison Blanche ne veut pas qu'Israël fasse quoi que ce soit qui forcerait Washington à prendre position. Comme Sullivan l'a dit à NPR la semaine dernière, la politique américaine est fondée sur le maintien de ce que certains disent être l'illusion d'un "processus de paix".« Nous continuons à soutenir la solution à deux États, et nous nous opposerons aux politiques et pratiques qui compromettent la viabilité de la solution à deux États ou qui vont à l'encontre du statu quo historique à Jérusalem. Et je serai clair et direct sur ces points », a-t-il déclaré.Miller a récemment co-écrit un article appelant Biden à menacer de couper les fournitures d'armes à Israël si le nouveau gouvernement les utilise pour annexer des terres palestiniennes, expulser des Arabes ou finalement tuer la possibilité décroissante d'un État palestinien. Mais il ne voit pas le président prendre de telles mesures.« Biden est pro-israélien surnaturel. Biden connaît Netanyahu, il a été humilié par Netanyahu. Mais en même temps, il a un profond, profond sentiment d'engagement envers Israël », a déclaré Miller."Numéro deux, je pense que Biden comprend que c'est de la mauvaise politique. La
dernière chose dont il a besoin est d'être pris en sandwich entre le parti républicain qui lui martèle pourquoi il critique Israël et son propre parti démocrate, qui est de plus en plus divisé sur le sujet.Khaled Elgindy, ancien conseiller des dirigeants palestiniens pour les négociations avec Israël, a convenu que Biden n'avait pas envie de se battre, en partie à cause de la retraite humiliante du président Obama après avoir tenté d'imposer un gel de la construction des implantations à Netanyahu en 2009.Des bulldozers israéliens ont démoli mardi une maison palestinienne dans le village de Kafr al-Dik, près de la ville cisjordanienne de Salfit. Photographie : Xinhua/Rex/Shutterstock« Obama s'est attaqué au problème palestinien, s'est immédiatement brûlé puis a reculé. Cette Maison Blanche est très averse au risque et il est assez clair qu'elle ne veut pas investir de véritable capital politique sur les Palestiniens. Ils ont clairement indiqué dès le début qu'ils allaient être en attente », a-t-il déclaré.« Ils le voient comme un problème perdu parce qu'il ne se prête pas à des solutions faciles. Tout progrès nécessiterait un soulèvement politique assez lourd. Ils vont devoir se préparer à des confrontations avec le gouvernement israélien et avec les républicains au Congrès – et aussi avec l'establishment actuel au sein de leur propre parti.Elgindy a déclaré que la Maison Blanche établissait des lignes rouges sur le bouleversement du statu quo, "bien qu'elles ne soient pas d'un rouge très vif"."En même temps, ils poursuivent cette approche que l'administration a toujours eue d'exprimer tout désaccord sérieux en privé", a-t-il déclaré.Miller décrit la question palestinienne comme "pas prête pour les heures de grande écoute"."C'est un gâchis et le mieux que Biden puisse faire est d'empêcher que de mauvaises choses, de très mauvaises choses, ne se produisent", a-t-il déclaré.« Mais j'ai du mal à imaginer que tout cela soit géré au cours des prochaines années. Il y a tout simplement trop de pièces mobiles.En haut de la liste des préoccupations figure une montée de la violence et la possibilité d'éclatement d'une troisième Intifada palestinienne. Ensuite, il y a l'effondrement du pouvoir de l'Autorité palestinienne.Certains dirigeants israéliens considèrent l'AP comme un outil utile pour administrer les principales villes palestiniennes et agir comme un bras de l'occupation israélienne. Mais d'autres à droite, comme Smotrich, sont instinctivement opposés à tout ce qui sent le nationalisme palestinien ou la construction d'un État.Ensuite, il y a l'agitation sur le droit israélien d'annexer des parties des territoires occupés.Elgindy a déclaré que l'un de ces événements pourrait forcer Biden à affronter Israël, mais il soupçonne qu'ils sont plus susceptibles de se produire furtivement et ainsi permettre à la Maison Blanche d'éviter toute action."L'effondrement de l'AP n'est pas quelque chose qui se produira du jour au lendemain... Ce sera une désintégration lente et fragmentaire", a-t-il déclaré.« C'est pareil avec, avec l'annexion. Ce ne sera pas une déclaration formelle en faveur de l'annexion de la Cisjordanie. L'annexion de facto se produit chaque jour avec chaque route, chaque colonie. Cela va se passer beaucoup plus au coup par coup. Donc je ne vois pas Biden faire grand-chose du tout.
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franckdoutrery · 2 years
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Les Rois Mages
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Sur les quatre évangélistes, Mathieu est le seul à raconter l’histoire des rois mages arrivés dans l’étable à Bethléem pour présenter leurs devoirs à l’enfant Jésus et lui offrir ses cadeaux de Noël. C’est grâce à lui qu’on est dument informés sur leur périple (ils venaient d’Orient, d’où jaillit toute lumière), leur bonne étoile (un GPS avant la lettre, peut-être la comète de Halley, ou de Léonard ?) et le nom de leurs présents (de l’or pour papa, de l’encens pour maman et de la myrrhe dont les bébés raffolaient à l’époque, mais à laquelle ils préfèrent de nos jours une Playstation). On apprend aussi que quand les rois mages débarquent à Jérusalem, ils vont voir leur collègue Hérode. Lequel consulte ses augures et cartomanciens pour savoir où est né ce nouveau roi des Juifs. Hérode est en réalité un roi très sournois et cruel. Il se dit en lui-même (dans l’Antiquité les rois parlaient souvent en eux-mêmes pour cacher leurs projets criminels) : « Ce petit roi qui vient de naître, je vais me le faire fissa. Car comme roi des Juifs, je ne connais que moi ! » 
Les historiens de l’Antiquité ont trouvé à redire à ce récit, au motif que la rencontre évoquée par l’évangéliste n’a pu avoir lieu, puisqu’à l’époque, Hérode le Grand était déjà mort depuis quatre ou cinq ans. Or nous, on ne nous la fait pas. Nous, on ne mange pas de ce pain-là. Nous, on veut que ce soit du vrai de vrai, que ce soit de la vérité historique. On fait donc confiance à un historien spécialiste des rois de France, un nommé Jean-Christian Petitfils, qui accorde volontiers sa caution d’historien catholique à l’évangéliste Mathieu, en y consacrant tout un chapitre de son best-seller Jésus. Et qui persiste dans son Dictionnaire amoureux de Jésus. Car contrairement à d’autres, il a fait et refait tous les calculs d’astronomie : les équinoxes, les solstices, les précessions absidales, les périastres. Il a convoqué des astronomes comme Kepler, des rabbins, des Pères de l’Église. Il a consulté des papyrus égyptiens et des tablettes cunéiformes. Et toutes ces références abondent dans le même sens : il y a eu une conjonction de Jupiter et Saturne dans la constellation du Poisson en l’an 7 avant Jésus-Christ. En cette année de grâce, le phénomène s’est produit trois fois, le dernier en décembre. La convergence des sources rend donc vraisemblable l’histoire des mages qui suivent la trajectoire d’un astre très lumineux. A condition de situer l’événement sept ans avant l’ère chrétienne, à une époque donc où le méchant Hérode était encore de ce monde.
Reste un petit problème pour donner à cette vérité d’évangile « un fond historique », pour parler comme Petitfils, . Et d’abord, mettons-nous à la place de ces rois mages. On est à la tête d’un royaume oriental (chinois, indien, perse ?) et on apprend (par quelle source et par quel canal ?) qu’un roitelet vient de naître dans un bled perdu de Palestine, qui n’est qu’un pays minuscule d’Occident. Bien entendu, on n’est pas seulement roi, on est aussi mage, c’est-à-dire astrologue, devin, spécialiste de l’horoscope et de l’alfridarie. Pourtant pour entreprendre un périple au long cours, on doit être sûr de son fait. Ce serait bête de laisser son royaume à l’abandon et de traverser mers et montagnes pour aboutir au milieu de nulle part. Il faut non seulement avoir fait une analyse fiable, mais encore connaître l’itinéraire à suivre pour arriver à ces confins occidentaux. Or on n’a pas encore de boussole, pas de cartes géographiques ou routières, encore moins de GPS. Heureusement il y a l’étoile, qui devient doublement lumineuse – c’est la fameuse conjonction de Jupiter et Saturne – fin mai, fin septembre et vers le 15 décembre. Mais comment fait-on pour « suivre une étoile » ? Est-ce un astre qui se déplace d’orient en occident ? De nos jours les enfants apprennent à l’école que les planètes tournent en ellipses autour du soleil et qu’une de ces planètes, la Terre, tourne sur elle-même. Ce qui donne sinon le tournis, du moins des trajectoires difficiles à calculer. Les mages y sont-ils arrivés ? En plus, la conjonction de deux planètes donne un éclat très intense, certes, mais à condition que la météo soit au beau fixe. Ou bien qu’on scrute la vaste voûte nocturne. Or pour se mettre en route, les mages attendaient-ils donc un ciel sans nuages ou voyageaient-ils de préférence la nuit ?
On le voit, Gaspard, Melchior et Balthasar ont dû résoudre pas mal de problèmes pour aboutir à Bethléem. Mais ils y sont arrivés, pas de doute ! Avec leurs chameaux et dromadaires, sans parler de leurs malles pleines de cadeaux. Et tant pis pour les exégètes protestants – surtout américains ! – qui classent ce récit parmi les légendes dorées. Nous, on possède la vérité historique, grâce à un historien de la trempe de Petitfils, ce qui est normal pour les habitants d’un pays de tradition catholique. Car enfin, si c’était seulement un conte merveilleux, comment leurs reliques seraient-elles conservées dans la cathédrale de Cologne, hein ? Et pourquoi tirerait-on les rois à l’Épiphanie, hein ?
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Le Journal D'Anne FRANK de Abi FOLMAN et David POLONSKI
J’ai eu l’idée de changer de support et essayer de renouer avec ce personnage historique. Cependant, cela ne m’a pas aidé. Décidément, je n’arrive pas à m’attacher à ce personnage. Elle m’a permis de faire abstraction de ces réflexions désobligeantes.
Extrait pour vous donner un aperçu du livre : Des pensées crues et assez sexualisées pour une enfant. Mon avis : Après avoir lu le roman, j’ai moyennement adhéré aux caractères d’Anne Frank. J’ai eu l’idée de changer de support et essayer de renouer avec ce personnage historique. Cependant, cela ne m’a pas aidé. Décidément, je n’arrive pas à m’attacher à ce personnage. Elle m’a permis de faire…
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claudehenrion · 3 years
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Pourquoi il faut parler de l'islam...( III ) : le piège mortel de l'islam-isme
  Il y a des explications à la situation dramatique dans laquelle se trouve (ou plutôt : se perd !) notre pauvre France --si mal barrée, si on en croit les sondages. Toutes sont mauvaises, mais les médias les martèlent comme si le fait de répéter un gros mensonge suffisait à en faire une ‘’vraie vérité’’ ! Une idéologisation effrénée, des postures démagogiques et une cathophobie maladive rendent impossible toute approche raisonnable d'un problème qu'il est devenu interdit de poser dans des termes qui permettraient de le résoudre en tout ou partie… Ce problème a un nom : l'Islam. Ses dérives en ’’-isme’’ sont des menaces, et notre passivité est notre perte.
Dès avant ses décisions liberticides et inutiles de confiner la France en un énorme camp de concentration, notre Président avait commencé sa chevauchée solitaire contre les français en inventant, contre vérité et Histoire, ''la colonisation, crime contre l'humanité” (et il a commis ça à Alger en plus, càd. en terre plus ennemie qu'amicale, en plus soumise, à l'époque, à la perversité d'un psychopathe gâteux qui pourrissait dans sa haine). Croyant possible d'être excusé pour cette faute lourde, Emmanuel Macron avait surfé sur des abstractions impossibles telles qu'une ‘‘bienveillance exigeante’’ (sic ! Ça, au moins, c'est précis !). En fait, il vit dans le monde fantasmagorique (mais dangereux, car sans issue de secours ni ''plan 'B') d'une mondialisation heureuse faite d'accommodements raisonnables et de discrimination positive. Un cauchemar, pour ceux qui doivent supporter ça. 
Qu'il rêve, tout seul dans son coin autiste, d' “accompagner les mutations” d'un mondialisme dont ni la raison d'être ni les limites n'ont jamais été décrites (et pour cause : personne n'en a la moindre idée !), et dont aucun des dangers na été évalué… passe encore (même s'il y a beaucoup à dire et plus encore à redouter). Mais qu'il puisse s'imaginer une seconde que l'Islam pourrait faire partie de ce mouvement laisse pantois l'observateur qui sait de quoi il est question. Et plus grave encore : sans même le repréciser ni se donner le mal d'expliquer le pourquoi et le comment de l'élection truquée, tronquée et faussée qui arrive, c'est sur ces mots vides de tout sens qu'il veut qu'on en reprenne pour 5 ans. Le temps se resserre et il est urgent de nous ressaisir, vite : dans 18 jours, il sera trop tard...
  Allons plus loin : même si rien n'est jamais comparable, force est de constater que les chrétiens (surtout les catholiques, si largement majoritaires vers 1905) mais aussi les juifs --qui n'ont jamais fait état de visées hégémoniques, triomphalistes et “de remplacement”, eux--, ont dû se soumettre à la brutalité d'une République dont la soi-disant tolérance confinait au totalitarisme (par exemple : faire donner la troupe pour expulser quelques bonnes sœurs terrifiées). En revanche, l'islam, qui aime se définir lui-même comme conquérant et guerrier, a droit à un régime de faveur, tant au niveau national qu'au niveau de tels roitelets locaux qui entraînent leurs administrés dans toutes les conséquences dramatiques de leur absence de vision et de leur incroyable ignorance (notamment religieuse) : preuve de leur inculture abyssale, les laïcistes fondamentalistes prêtent à l'islamisme le plus perdu la vertu chrétienne de base : Aimez-vous les uns les autres, ce qui est faux !
‘’Paris vaut bien une messe’’, disait le bon roi Henri IV. Parions que d'aucuns ont théorisé que l'Elysée (ou la Mairie de Paris) doit bien valoir quelques prières dans les rues, quelques sinistres hululements de muezzins psalmodiant la Chahada... et quelques tirades ’'définitives” sur la tolérance, la laïcité positive, et ces fameuses ''valeurs républicaines” que tout le monde cherche et que personne n'a jamais trouvées : elles ne sont, comme le disait l'immense GK. Chesterton, que ''des valeurs chrétiennes devenues folles'' ! A force de chercher l'introuvable, ils ont dégoté... la mort de la France et de la civilisation française… (dont les naïfs et les cuistres s'imaginent qu'elle est pour plus tard !). Cette  ambiguïté érigée en système de gouvernement a permis de chasser des écrans la question identitaire (pourtant d’actualité : un sondage, aujourd’hui la met à 61,2 % des préoccupations !) et la fourrer dans les oubliettes de la “théatrocratie” au pouvoir, qui a l'air prête à payer une paix de plus en plus relative (et de plus en plus caricaturale) au prix d'une punition sans limite... dans un futur plus proche qu'ils ne l'imaginent dans leur manque d'imagination, leur technocratisme et leur soumission aux dogmes…
  Sans renier ses valeurs d'accueil (qui sont, il faut le  rappeler, aussi récentes que mal définies : la vérité est que l'Histoire a connu énormément d'invasions violentes... mais zéro accueil enthousiaste !), l'Europe doit éviter de présenter aux continents voisins l'image mensongère d'un Eldorado sans limites, ni frontières, ni histoire, ni traditions, en un mot d'une “terre à prendre” pour qui passe par là… Contrairement à ce que le bourrage de crâne dit ‘’politiquement correct’’ essaye de nous inoculer (parfois avec succès), les grands mouvements de populations n'ont jamais été plébiscités, dans l'Histoire, même pas bienvenus. Si l'on veut comprendre ce qui se passe sous nos yeux, une réflexion honnête s'impose, et la compréhension claire de ce qui est en cause… qui se résume en peu de mots (peu nombreux, mais cruels), la mort de tout ce que nous sommes : mort de la France, mort de tout ce que nous aimons, mort de ce qu'ont construit nos ancêtres, mort de notre langue, de notre mode de vie, de nos lois et de nos ‘’valeurs’’ (toutes issues de références chrétiennes : les ‘’républicaines’’ sont les mêmes, coiffées d'un bonnet phrygien. Et les salafistes seront sans pitié !).
  Devant cette menace qui se précise chaque jour, nous devons impérativement faire tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger ce qui reste à sauver de notre civilisation : renforcement d’une politique de retours-au-pays, investissements et développement pris en charge sur la rive africaine (même si on sait qu'ils sont très largement sans effet, hélas. Mais même l'impossible doit être tenté), sévérité “de temps de guerre” contre les traîtres, les “de retour de djihad'', les ’'fichés S” (plus “fichus” que “fichés” !) et les faux “migrants” qui sont de vrais “envahisseurs”…
La seule question qui vaille : jusqu'à quand et au nom de quoi allons-nous (ou devrions-nous) nous laisser submerger pas ces ‘’migrants’’ qui, en grande majorité, ne sont pas ce que leur nom laisse entendre ?  Parler de l’Islam, c’est parler d’une religion, mais de bien plus que cela, en ces temps où un avatar absolutiste s’acharne à détruire tout ce qui peut l’être, y compris lui-même ! Mais si l’on veut comprendre la causalité et la finalité des problèmes qui se posent aujourd’hui à nous et au monde, un retour à l'honnêteté s’impose : bon nombre des mouvements politiques, des flux de populations, des guerres, et jusqu’à la folie meurtrière qui traversent nos sociétés (et la planète)  ont là leurs racines.   D'un autre côté, il n'est plus possible de  prétendre traverser cette décennie en faisant abstraction de ce sujet, des problèmes qu’il soulève, des questions qu’il pose... et de notre devenir. Mais les petits malins ont fait passer les vrais soucis des français derrière les programmes présidentiels... qui mettent le fameux ‘’niveau de vie’’ en premier !)
Bien entendu, on doit regretter que notre connaissance de l’Islam soit à la fois imparfaite et fantasmagorique : pour de nombreux non-musulmans, l’Islam se résume à d’immenses foules de candidats à l’émigration hébergeant des terroristes potentiels, et de barbus roussis au henné régnant sur des spectres noirs transpirant dans leurs tchadors inesthétiques et si peu pratiques… (NDLR : et le pire, c’est que c’est vrai, par certains côtés !).  Il est donc sage de sortir du piège où nous nous sommes laissés enfermer : d'un côté, des fantasmes et des craintes qui dépassent les limites du mot ''religion''... celle-là étant perçue “violente dans son essence et dans son projet affiché”... ce qui est vrai aussi, vu sous certains angles. Et d'un autre côté, une volonté systémique d’ignorer ou d’excuser par avance tout excès, toute attitude inacceptable, tout comportement intolérable de ceux qui disent se recommander de cette foi... où on ne peut plus voir qu'un amalgame contre nature de toutes les vertus christiques, au lieu de textes dont on parle sans en avoir le mode d’emploi… ce qui ressemble à une autre forme de discrimination raciale.
“Parler de l’Islam" n’est pas un projet facile et j’ai besoin de toute votre indulgence pour avoir essayé de le faire : leur pratique religieuse étouffante contre la nôtre (en voie de disparition totale)... les évolutions prévisibles de notre futur proche et du leur... ou leur possible adéquation avec la poursuite de la recherche d’un mieux-être terrestre (en attendant la félicité éternelle, qui se compose surtout, pour eux, de soixante-douze houris éternellement vierges, assorties d’autres aménités qui récompensent les ex-mérites sur terre de l’élu... ce qui n'est pas neutre, au fond des choses !). Décidément, rien n'est simple, ici-bas ! Et même dans l'au-delà...
H-Cl
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gwenndael · 3 years
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L'autre jour dans le train, un type expliquait bruyamment le pourquoi du comment du Covid-19 à deux dames mi-médusées mi-conquises. Bien qu'ayant pris sa logorrhée en cours, je dispose d'assez d'éléments pour parfaire votre éducation :
Le coronavirus, c'est un complot des juifs pour se venger des pays collaborateurs des nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale - vu qu'ils ont beaucoup souffert, à notre tour  ;
Macron ayant travaillé pour la banque Rothschild, il est dans le coup! La preuve, le confinement est venu juste après les mouvements de Gilets Jaunes, afin de domestiquer le peuple ;
La vulnérabilité au virus n'est pas le fruit du hasard : les avions qui nous aspergent de produits chimiques depuis des années ont préparé le terrain en affaiblissant nos défenses immunitaires ;
D'ailleurs dans le vaccin il y aura des nanomachins qui nous transformeront en robots qui bosseront gratuitement, dès que Bill Gates appuiera sur le bouton ;
Comment il sait tout ça? Il l'a vu aux actualités polonaises sur YouTube... Evidemment dans les médias français on ne parle jamais de ça, hein! En France on est sur une autre planète.
Oui, gars : tu es sur une autre planète. Dommage que tu sois descendu à Orange! Si tu avais poussé jusqu'à Avignon, j'aurais peut-être appris le rôle des aliens et des francs-maçons dans cette conspiration cosmique.
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«Le nazisme s'insinua dans la chair et le sang du grand nombre à travers des expressions isolées, des tournures, des formes syntaxiques qui s'imposaient à des millions d'exemplaires et qui furent adoptées de façon mécanique et inconsciente. On a coutume de prendre ce distique de Schiller, qui parle de la "langue cultivée qui poétise et pense à ta place", dans un sens purement esthétique et, pour ainsi dire, anodin. Un vers réussi, dans une "langue cultivée" ne prouve en rien la force poétique de celui qui l'a trouvé; il n'est pas si difficile, dans une langue éminemment cultivée, de se donner l'air d'un poète et d'un penseur.
Mais la langue ne se contente pas de poétiser et de penser à ma place, elle dirige aussi mes sentiments, elle régit tout mon être moral d'autant plus naturellement que je m'en remets inconsciemment à elle. Et qu'arrive-t-il si cette langue cultivée est constituée d'éléments toxiques ou si on en a fait le vecteur de substances toxiques?
Les mots peuvent être comme de minuscules doses d'arsenic: on les avale sans y prendre garde, ils
semblent ne faire aucun effet, et vodà qu'après temps l'effet toxique se fait sentir. Si quelqu'un, au lieu
d'"héroïque et vertueux", dit pendant assez longtemps "fanatique", il finira par croire vraiment qu'un fanatique est un héros vertueux et que, sans fanatisme, on ne peut pas être un héros. Les vocables "fanatique" et "fanatisme" n'ont pas été inventés par le Troisième Reich, il n'a fait qu'en modifier la valeur et les a employés plus fréquemment en un jour que d'autres époques en des années. Le Troisième Reich n'a forgé, de son propre cru, qu'un très petit nombre des mots de sa langue, et peut-être même vraisemblablement aucun. La langue nazie renvoie pour beaucoup à des apports étrangers et, pour le reste, emprunte la plupart du temps aux Allemands d'avant Hitler. Mais elle change la valeur des mots et leur fréquence, elle transforme en bien général ce qui, jadis, appartenait à un seul individu ou à un groupuscule, elle réquisitionne pour le Parti ce qui, jadis, était le bien général et, ce faisant, elle imprègne les mots et les formes syntaxiques de son poison, elle assujettit la langue à son terrible système, elle gagne avec la langue son moyen de propagande le plus puissant, le plus public et le plus secret.
Mettre en évidence le poison de la LTI et mettre en garde contre lui, je crois que c'est plus que du simple pédantisme. Lorsque, aux yeux des Juifs orthodoxes, un ustensile de cuisine est devenu cultuellement impur, ils le nettoient en l'enfouissant dans la terre. On devrait mettre beaucoup de mots en usage chez les nazis, pour longtemps, et certains pour toujours, dans la fosse commune.»
(Victor Klemperer, LTI La langue du IIIe Reich)
Pandémie, Covid-19, test PCR, cas-contact, cluster, confinement, distanciation sociale, gestes barrières, sanitaire, masque, complotiste, vaccin, dose, vie normale, science, cas, hospitalisation, forme grave, réanimation, chiffres, sauver des vies, irresponsables, citoyen, protéger les autres, couvre-feu, restrictions, non-essentiel, soignant, à risque, fragile, hydroalcoolique, gouttelettes, malade, asymptomatique, sécurité, taux d’incidence, ARN messager, pass sanitaire, attestation, contrôle, immunitaire, obligatoire, amende, 135 Euros…
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reseau-actu · 3 years
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Ministres ou pas ministres ? M6 a révélé que des repas étaient organisés dans plusieurs salles chics parisiennes. L'un des organisateurs affirme que des ministres dînent dans des restaurants clandestins. En attendant des « conférenciers » vendaient leur sauce pendant des repas au Leroy's Business Club. Révélations.
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Le « chef » Christophe Leroy a donc visiblement fait la tambouille pour des salles parisiennes chic et chères. L'une des salles est le palais Vivienne, propriété de Pierre-Jean Chalençon. L'autre, le Leroy's Business Club. Avant de se dédire, Pierre-Jean Chalençon expliquait, comme le rappelle CheckNews : « J’ai dîné cette semaine dans deux ou trois restaurants qui sont soi-disant des restaurants clandestins, avec un certain nombre de ministres. Alors ça me fait doucement rigoler… ». Du coup, le hashtag #OnVeutDesNoms a envahi les réseaux sociaux. Des ministres dînent-ils dans des restaurants clandestins ? L'enquête le dira peut-être puisque la Justice est saisie. Au fil des heures, les sites Web pouvant montrer des traces de tous ces repas disparaissent, des flopées de tweets également. Reste des posts Facebook et le site Archive.org pour retrouver les sites débranchés à la va-vite.
En attendant que la Justice se penche sur ces agapes et démêle le fil de cette affaire picrocholine qui n'est que le reflet d'une époque, Reflets s'est penché sur les repas organisés par Christophe Leroy.
Le cuisinier exploitait pour sa part le Leroy's Business Club, « un appartement privé dans un immeuble haussmannien, derrière le George V et le Prince de Galles », selon les termes d'un critique gastronomique. Et au Leroy's Business Club, on organisait depuis plusieurs mois des conférences durant lesquelles des invités s'exprimaient face aux membres d'un club : le Go East Business Club. Reflets a pu consulter une liste non exhaustive de ces réunions au Leroy's Business Club. Le Go East Business Club est propulsé par Michel Soyer, « metteur en Fête des grands événements internationaux » et Elisabeth Visoanska, qui a reçu en 2016 « le prix prestigieux du "Polonais Remarquable dans le Monde" ». Contacté, Michel Soyer nous renvoie vers Christophe Leroy et Pierre-Jean Chalençon déclarant ne pas être un « organisateur » mais « uniquement un fournisseur ». « Je n'ai pas voix au chapitre sur ces problèmes », conclut-il. Pourtant, il est le co-président de l'association Go East Business Club. Difficile donc de soutenir qu'il n'est pas l'organisateur de ces rencontres.
La timeline des confinements et couvre-feux en France
Le 17 mars 2020 : la France est confinée jusqu'au 11 mai.
30 octobre au 15 décembre 2020 : deuxième confinement national.
3 avril 2021 : troisième confinement national pour quatre semaines au moins. Il avait démarré le 20 mars pour l'Ile-de-France et 15 autres départements.
Les restaurants ont été contraints de fermer leurs portes à deux reprises comme l'indique le déroulé temporel de Wikipedia ci-dessous. La dernière date de fermeture imposée remonte au 29 octobre 2020.
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Les deux fermetures des restaurants pendant la pendémie - Wikipedia
Le 29 octobre 2020, justement, le Go East Business Club convie ses membres à un « British High Tea » parce que « confinement ou couvre-feu, le talent est toujours ardent » C'est Willian Perkins, co-fondateur et directeur Général du Planethon 365 devait faire office de conférencier. Le logo de France Télévision s'est il égaré là où a-t-il une raison de se trouver sur cette invitation ?
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Apéritif, cocktail dinatoire, par Christophe Leroy, what else ?
Les gestes barrière sont bien respectés, comme le montre cette photo postée sur Facebook par Michel Soyer :
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On tousse dans son coude s'il vous plaît...
Le 30 octobre, date du 2ème confinement national, Michel Soyer poste sur son compte Facebook une série de photos du « diner de cons(finés) » organisé la veille.
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Le post Facebook des cons(finés)
Le 13 novembre, c'est un déjeuner qui est organisé avec comme invité de marque, Roberto Segre. Il devait disserter des « prochains métiers de l'après Covid » pendant un déjeuner. Il fallait évidemment espérer survivre en prenant le moins de risques possibles pour voir les prochains métiers après la pandémie...
Début décembre, petit diner pour écouter la présidente du cercle des cinéastes France-Chine.
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Faudrait pas se faire un film avec un petit virus...
Mais attention, fin décembre, on note une accélération marquée des sauteries, parce que... Noël et réveillon obligent !
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Mais que va donc apporter le père Noël dans sa hotte ? Un gros covid ?
En Janvier, le Go East Business Club annonce un nouveau rendez-vous tous les mardis. Et le 26 janvier, c'est Alain Malraux qui devait être le « guest speaker ». Fils adoptif et neveu d’André, Alain restera peut-être dans l'Histoire avec cette participation à un diner réalisé par Christophe Leroy ?
Le 28 janvier, c'est un mini Salon du Livre qui est organisé entre 10h et 18h au Conservatoire Russe de Paris Rachmaninoff.
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Une petite dédicace ?
Le 9 février, Christophe Leroy se remet aux fourneaux et prépare un déjeuner de folie pour les membres du Go East Business Club durant lequel le guest speaker Brice Paolo de Diesbach devait disserter sur le luxe qui adapte son marketing pour une sortie de crise. C'est beau.
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Par ici la sortie de crise ! Venez manger des crêpes...
Le 13 février, « que l'amour l'emporte » (c'est toujours mieux que d'être emporté par le covid) puisque c'est la Saint Valentin...
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A la Saint-Valentin, ne te découvre pas d'un fil (à peu près)
Le 18 mars, Ulysse Gosset éditorialiste politique étrangère sur BFM TV, régale de ses discours les membres du club réunis pour un déjeuner à 12h30 précises. On retrouvera également trace d'une table réservée à son nom au Palais Vivienne trois jours plus tard.
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Ulysse sur son 31 (blague de boomer)
Le 26 mars, c'est toujours la période des journalistes. Cette fois, Anne-Elisabeth Moutet (CNEWS, Valeurs Actuelles, notamment), gratifie les heureux participants aux agapes d'une conférence sur le thème : « Les Sussex, une torpille "woke" contre la couronne Britannique ». Mais comment survivre après avoir raté cette conférence ?
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Coucou, tu veux voir mon woke ?
Anne-Elisabeth Moutet expliquait le 28 mars sur Facebook comment rendre son masque glam...
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Portez un masque et allez déjeuner dans des restaurants chics fermés mais ouverts si vous êtes membre et glamour
1er avril, une petite blague : et si, alors que les services de réanimation explosent, alors que Gérald Darmanin s'illustre par des écrits sur les Juifs sous Napoléon, on organisait une petite sauterie autour de la collection Napoléon 1er de Pierre-Jean Chalençon ?
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Léon, mon Léon...
Le 8 avril, devait se tenir une conférence de Jean-Pierre Heim, architecte et urbaniste, designer à Shanghaï, New-York, Paris et Grèce sur le « tourisme organique durable qui intègre les sources de la biodiversité, la géographie, la culture, le climat ». Las... Entre temps, M6 a révélé les images des petites sauteries en plein confinement et alors que les restaurants sont fermés. Il est donc probable que cette conférence n'ai pas lieu demain au Leroy's Business Club.
MISE A JOUR Le domicile du chef Michel Leroy a été perquisitionné mercredi 7 avril dans le cadre de l'enquête ouverte par le parquet de Paris pour mise en danger d'autrui et de travail dissimulé. De son côté, la Société des journalistes des JT de M6 a publié un communiqué assurant qu'un membre du gouvernement était bien présent aux dîners au Palais Vivienne et se défend de propager des « calomnies ». « D'autres sources (que Pierre-Jean Chalençon) nous ont confirmé en "off" la présence d'au moins un membre du gouvernement à un de ces dîners », écrit-elle.
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christophe76460 · 4 months
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Voici ce que déclare le Seigneur, l’Éternel : En ce jour-là, des projets naîtront dans ton cœur, tu concevras un dessein criminel, et tu diras : « Je vais attaquer un pays ouvert, et j’arriverai chez des gens qui vivent tranquilles dans la sécurité, habitant dans des villes sans remparts, sans verrous, et qui n’ont pas de portes. » Tu iras pour piller et faire du butin, et pour porter la main sur des lieux auparavant désolés, maintenant habités, contre ce peuple rassemblé d’entre les nations, ayant des troupeaux et des biens, qui habitera à présent au centre de ce monde (Ezékiel 38:10-12).
Le centre du monde ou joyau de la terre est un nom qui sert parfois à désigner la Palestine à cause de sa situation géographique privilégiée. La mention de villes sans remparts, sans verrous et sans portes renvoie à la première période de trois ans et demi de la tribulation, temps durant lequel Israël se croit tellement en sécurité sous la protection de l’Antichrist, que la nation a renoncé à assumer sa propre défense à cause de l’énorme fardeau financier que constitue une armée suréquipée et constamment sur le qui-vive.
Mais tout de suite après la destruction de Gog, l’Antichrist rompra son alliance avec Israël. Alors commencera la grande tribulation avec des cataclysmes sur terre et une persécution contre les Juifs qui seront sans précédent, qui dureront jusqu’à la fin des sept ans de la tribulation et culmineront par l’immense d’Harmaguédon.
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Ceux de Séba et de Dedân, les marchands de Tarsis et tous ses princes te diront ce jour-là : « Est-ce donc pour piller, pour faire du butin, que tu as rassemblé tout cet amas de troupes et que tu es venu ? Est-ce pour enlever l’argent et pour emporter l’or, pour prendre les troupeaux et t’emparer des biens, pour faire un grand pillage ? » (Ezékiel 38:13).
Séba, Dedân et Tarsis représentent des peuples qui vivent du commerce. Ayant été avertis de l’invasion d’Israël, ils envoient des caravanes et leur flotte en Palestine pour acheter le butin que Gog va piller, du moins c’est ce qu’ils pensent.
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C’est pourquoi, toi, fils d’homme, prophétise et va dire à Gog : Voici ce que déclare le Seigneur, l’Éternel : Assurément, en ce temps-là où mon peuple Israël habitera là-bas dans la sécurité, tu te mettras en marche. Tu quitteras le lieu où tu seras alors aux confins du septentrion, toi et les nombreux peuples qui seront tes alliés, tous montés à cheval, grande coalition et armée innombrable, et tu viendras attaquer mon peuple Israël comme un nuage qui vient couvrir la terre. Je te ferai venir attaquer mon pays dans les temps de la fin afin que les nations apprennent à connaître qui je suis, quand par mes actes envers toi je démontrerai à leurs yeux ma sainteté, ô Gog (Ezékiel 38:14-16).
Les temps de la fin concernent l’avenir lointain par rapport à Ézéchiel. C’est l’Éternel qui aura orchestré ce jugement dans le but de révéler qui il est, sa grande puissance et sa souveraineté dans les affaires des hommes. Sachant cela, il ne faut pas avoir beaucoup de jugeote pour comprendre que s’opposer à Dieu est une attitude tout ce qu’il y a de plus suicidaire. C’est le bon roi Josaphat qui a dit :
Éternel, Dieu de nos pères, n’es-tu pas Dieu dans les cieux, et n’est-ce pas toi qui domines sur tous les royaumes des nations ? N’est-ce pas toi qui as en main la force et la puissance, et à qui nul ne peut résister ? (2Chroniques 20:6 ; comparez Psaume 76:7; 147:17).
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lepartidelamort · 10 months
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girafeduvexin · 4 years
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Pessah en confinement : mode d’emploi
(je ne suis pas rabbin, dois-je le préciser)
Bon les gens, c’est grave la déprime là, on va être en confinement pendant Pessah aka mercredi 8 avril ??? 
N o  w a y.
Juifs ou pas, je vous invite àààààà se faire soit (si on est moins de 8/10 je sais plus la limite) un discord OU (si on est plus) un skype pour faire un seder tous ensemble !
Mah zeh ? Qu’est-ce qu’un seder ?
Un seder c’est un repas organisé, ritualisé et celui de Pessah compte 15 étapes !! on chante, on dit des bénédictions, on fait bon nombre d’actions symboliques...
Mais je sais pas chanter en hébreu !
tkt, i got you :
Ha Lachma anya 
Ma nishtana
Dayenu 
Pessah ça célèbre quoi ?
La liberté ! Plus exactement, quand les Hébreux ont enfin pu partir d’Egypte, guidés par Moïse...
Cool ! On a besoin de quoi ?
Si tu veux vivre le truc à fond, il te faut un plateau de seder : un plateau rond où tu déposeras tous ces éléments (dans cet ordre, en cercle) :
Zeroa : un os d’agneau grillé OU une betterave rôtie. -> il rappelle le sacrifice animal que faisait autrefois les Juifs au temple de Jérusalem. 
Charoset : ->>> vous avez deux recettes ici, une séfarade, une ashkénaze (j’ai promis à ma copine de faire la sef mdr) ->> il a l’apparence du mortier, utilisé par les Hébreux en esclavage.
Maror : raifort ->>> wasabi ou autre herbe amère, on peut mettre aussi de la romaine, des endives. ->> amertume, souvenir de l’esclavage.
Karpas : du persil ou autres légumes (genre patates, mais pour ce qu’on va en faire, le persil, c’est plus simple). -> Pessah étant une fête printanière, rappel du printemps, des récoltes etc.
Beitzah : Œuf dur ou grillé. ->> il rappelle la destruction du temple de Jérusalem.
+ 3 matzot (du pain azyme) + un bol d’eau salé -> les larmes des Hébreux.
Mais on va manger que ça ?
Eh non ! Vous pouvez faire le repas que vous voulez - sauf qu’il ne doit pas contenir de hametz... le hametz est proscrit pendant toute la période de Pessah, jusqu’au 16 avril au soir ! Qu’est-ce que le hametz ? C’est un produit fait avec du blé, de l’orge, du seigle, de l’avoine ou de l’épeautre, et ayant fermenté en contact avec de l’eau. Donc pas de pâtes, pas de pizza, la plupart des gâteaux, pas de bières, et évidemment pas de pains... 
Et les boissons ?
Vin rouge ou jus de raisin ! En tout et pour tout, on boira 4 coupes symboliques (rien n’empêche évidemment d’en boire plus en dehors...)
LES ELEMENTS BONUS QUE J’AIME BIEN 
Initiative lancée par une lesbienne juive, on peut rajouter une orange sur le plateau pour symboliser les opprimés, les minorités au sein du judaïsme (et dans le monde au général).
La coupe de Miriam : pendant le seder, on boit une coupe pour Eli, le prophète. Des féministes juives ont rajouté la coupe de Miriam, une coupe d’eau qu’on boit juste avant le repas - on en parlera à ce moment là.
Trop super génial ! Comment je m’inscris ?
Signale toi en-dessous de ce post ou en message privé, que je puisse compte le nombre de personnes intéressées, pour voir où et comment on organise ça !
Bonus : si certains connaissent des trucs mieux que Skype ou Discord, je suis preneuse !
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