#contreplongée

[jhesite]

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10. Exercice de création d’antagoniste partant d’un personnage existant (courage le chien)

Exercice de plongée/contreplongée à partir d’un premier dessin

Septembre 2023

[leblogdemarinaetjeanmarie]

MARDI 28 MARS 2023 (Billet 3 / 4)

« DE GRANDES ESPÉRANCES » (1h45)

Un film de Sylvain Desclous, avec Rebecca Marder, Benjamin Lavernhe, Emmanuelle Bercot, Marc Barbé…

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Deux jeunes gens ambitieux provoquent un accident et décident de se taire. Un drame qui rejaillit alors qu’ils font carrière. Sylvain Desclous signe un thriller prenant porté par une Rebecca Marder impeccable.

Son premier long métrage, « Vendeur », nous avait séduit tant le film semblait prendre à bras le corps une certaine vérité de terrain concernant le monde du travail. « De grandes espérances » confirme la sensibilité du cinéaste, qui prend un plaisir évident à observer à la loupe le corps social pour mieux ancrer son récit. Tour à tour thriller, histoire d’amour (compliquée), tableau d’une société bloquée et pamphlet politique, « De grandes espérances » est de ceux qui ne se laissent pas facilement cerner, et c’est tant mieux. Les retournements de situation mettent aussi en scène la sincérité et le mensonge.

Car les personnages existent, avec leurs contradictions, ils sont de chair et de sang plutôt que l’esquisse d’un pur fantasme de scénariste recraché par un ordinateur trop vite programmé. Il faut dire que Sylvain Desclous a trouvé des comédiens à la mesure de ses ambitions, qu’il s’agisse de Rebecca Marder et Benjamin Lavernhe en amoureux aux sentiments fragiles, ou d’Emmanuelle Bercot en ministre conquérante.

Mais le charme du film, sa puissance résident dans une ostensible absence de formatage. Le premier plan est explicite à ce sujet, qui nous laisse un moment dans l’incertitude de ce qui nous attend. On voit en contreplongée le corps d’une femme flotter à la surface de l’eau. Une certaine inquiétude nait aussitôt tant les codes des « Dents de la mer » sont vivaces (mais le drame surviendra sans crier gare, sous une autre forme). Puis la caméra remonte et l’on pense à l’une de ces comédies sentimentales d’été, souvent interchangeables… Avant de voir que notre héroïne prépare l’ENA, qu’elle est ambitieuse, et qu’elle n’est pas née du bon côté du fossé social. Mais aussitôt cette dimension se perd à son tour pour laisser la place à un drame impromptu qui débouche sur le thriller. Avant que le film ne prenne toute sa dimension dans une analyse socio-politique assez âpre. La partie policière est sans doute réglé par un tour de passe-passe qui semble un peu rapide (quoique…), mais le point de vue politique est d’une force remarquable, d’autant plus remarquable que le film ne se laisse pas aller une seconde à la tentation des raccourcis ou de la parodie. Au final, « De grandes espérances » (dont le titre renvoie, pas tout à fait innocemment, aux grands romans initiatiques du XIXe siècle) est un film d’une richesse absolument incroyable. D’ores et déjà l’un des meilleurs de l’année (pourtant débutante)…

Pas facile de tenir tête à cette Rebecca Marder qui est en train d’envahir les écrans français avec une fougue, une sérénité, un naturel qui confondent. Elle a du caractère à revendre. Elle a compris que le talent, comme la jeunesse, était un risque à courir. On vote pour elle.

(Source : « avantscenecinema.com »)

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Dimanche après-midi, la salle où nous étions à Beaugrenelle était ARCHI-PLEINE. Nous avons vérifié, il ne restait plus aucune place de libre, même dans les deux premiers rangs.

Nous avons beaucoup aimé. Le film est super classique dans la forme et le scénario tient la route, sans plus. Par contre Rebecca Marder qui est quasiment de tous les plans porte le film de bout en bout. Tous les acteurs qui l’entourent sont très bons, mais elle… retenez bien son nom, c’est la future « grande » du cinéma français !

Marina a donné ❤️❤️❤️❤️,5 à ce film, JM, ❤️❤️❤️,8 sur 5.

[matthiaslauber]

Prise de vue urbaine Palais royal en contreplongée deux points de fuite.

16 Février 2023

[benmuland]

Festival du cinéma du Lualaba : Le CT Alain Ket invite les réalisateurs locaux à quitter l’ombre du cinéma Tanzanien

Après 4 jours de festival du cinéma du Lualaba«FESLU MAADINI 3ème édition », le jury a remis ses prix lors de la traditionnelle cérémonie de clôture organisée le dimanche 27 juin dans l’enceinte de la Radio Télévision le Palmier, à Kolwezi .

25 films ont été en lisse et ont subis une critique robuste de professionnels du 7ème art.

Le cinéma de l’espace grand Katanga a encore le chemin à parcourir. L’influence des films Tanzaniens se fait sentir chez les réalisateurs locaux.

« Nous nous sommes rendus compte dans les Films, surtout en Swahili que l’on ne transmet pas la culture de Kolwezi, notamment dans la langue utilisée. On est entrain de s’évertuer d’utiliser le Swahili de Tanzanie, alors ce n’est pas notre culture», précise le chef des travaux Alain Ket

Cet enseignant du cinéma a révélé des couacs même dans le style :« Parfois même dans l’habillement on imite les films Tanzaniens. Celui qui passe, en voyant la projection se croirait déjà un film Tanzanien», déplore le CT Alain Ket alors que lui attendait voir les réalisateurs faire la promotion de la culture locale.

Les techniques de production cinématographiques notamment dans la prise d’images sont aussi à mettre à jour , estime le CT Alain Ket enseignant du cours de cinéma à L’université de de Kolwezi.

« Les techniques de cinéma doivent être améliorées notamment quant est-ce qu’on prend la plongée, contreplongée, la question de lumière », précise t-il

Au festival, le Lualaba s’est contenté d’un deuxième meilleur film réalisé par les Kolweziens. Les acteurs locaux doivent encore se surpasser afin de sortir le cinéma de sa coquille.

MULAND A KAJIT Ben

[francoise-larouge]

Détail sculpture de Jules Dalou 3©FrançoiseLarouge31/05/ 2021

[iso-flash-2020]

#37 - 27-08-2020 - Contreplongée - iPhone 8+

[gabrielleboyercossette]

1-Inspirations d’un matin urbain. 

2-Vue en contre plongée d’un fil électrique à la sortie du train.

[mathildegodde-blog]

L’image est composée de couleurs chaudes, soit d’une seule et même teinte de rouge. Ceci est une vue en contre-plongée où les escaliers forment des lignes de fuite vers le haut de l’image. Par ailleurs, on peut observer différentes textures (soit celle du métal et celle de la brique) sur cette photographie.

[shyphotomaker]

[pascalrenardartwork-blog]

Démarche: Une recherche image journalière est réalisée sur le moteur de recherche écosia à partir d’un mot choisi au hasard. Une production technique libre est effectuée à partir d'une des images proposées par écosia sur une durée de 45 minutes environ. Les productions sont ensuite postées sur divers réseaux sociaux et blogs afin les réinjecter dans le big data et ainsi boucler la boucle. Depuis 2020 mes encres s'enrichissent d'une collaboration littéraire avec mon ami @eric.ro.ma que je remercie chaleureusement pour ses textes. #20201228 #ecosiasearch #massif II#encre #encredechine #aquarelle #ink #instaart #contemporaryart #dessincontemporain #contemporarydrawings #dessindujour #pascalrenardartwork #igersdrawing #sculpture #contreplongée #muscle https://www.instagram.com/p/CJWYmaUhg0a/?igshid=1v5fzb41p4x81

[latenight-vibe]

IG : @tsunennemi

[johanneperrin-blog]

Quand je regarde Guillaume allongé par terre... ______________________________ Deuxième photo de notre escapade à l'hôtel dieu avec @guidrms_ il pleuvait des trombes d'eau. 🌧️🌧️ Mais à l'abris on a pu faire des photos plutôt cool ! Vous en pensez quoi ? ______________________________ #photomode#photolyon#lyonnais#lyon#lyoncity#hoteldieu#photomodeles#modelephoto#photoedito#mode#contreplongée#pose#posephoto#mannequin#modelelyon#lyonnaise#photographelyon#photographeamateur#photographerhonesalpes#photowomen#photofrance#modelling#posing#edit#editing#photoshop (à Grand Hôtel-Dieu) https://www.instagram.com/p/CAanMC9CZ-n/?igshid=1l2q8cuui17c5

[francoise-larouge]

Confinée : Garde robe n°2 ©FrançoiseLarouge

[justineparrot]

Photographe : Philippe Halsman

Titre : Dalí Atomicus

Date : 1948

Source : http://100photos.time.com/photos/philippe-halsman-dali-atomicus

Cette photographie de Dalí a pris pas moins que 26 prises avant de satisfaire le photographe. Sa femme et sa fille ont lancé les chats et un seau d’eau dans les airs pour donner le résultat final. Philippe Halsman a inspiré les autres photographes à collaborer avec le sujet. J’ai choisi cette image, car j’aime l’aspect plus abstrait qui est plus rare dans la photographie.