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#contre-plongée
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André Steiner :: Contre-plongée, Roscoff, 1933; tirage argentique. | Ce qu’on n’a pas fini d’aimer @ Musée Nicéphore Niépce
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André Steiner [Andor Steiner] :: Sans titre, Roscoff, 1933. Tirage argentique. | src Binoche et Giquello
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jhesite · 2 months
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brilag · 1 year
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Doux soleil d'hiver sur les murailles par brigitte lagravaire Via Flickr : 2016-02-06-Baïse (77)
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spottys-rathole · 1 year
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Jour 1 : Pluie/Orage
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Jour 2 : Maladie
J'ai participé à la RPZ Sapphic Week cet été organisée par @massivefanmilkshake J'ai dû rater 2 jours mais j'ai quand même tenu le reste donc lezgo et bravo les lesbiennes
Lien vers les prompts
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horyia · 28 days
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Idée forum :
Calydria, un monde en proie à un conflit séculaire entre deux continents hostiles, Erydor et Solastria. Au cœur de cette lutte incessante, le continent d'Erydor abrite trois prestigieuses académies, chacune formant une élite de combattants et de savants destinés à servir dans l'armée de défense contre les forces ennemies de Solastria.
Académie des Chevaucheurs : Cette académie forme les Chevaucheurs, des guerriers spécialement entraînés pour être les cavaliers des Éthéria (des dragons, des griffons, des wyverns, des aigles etc).
Académie des Élémentaires : Ici, les étudiants apprennent à maîtriser les éléments primordiaux : l'air, le feu, la terre, l'eau, la lumière et l'ombre. Les Élémentaires seront des guerriers capables de manipuler leur élément de prédilection pour des usages offensifs et défensifs.
Académie des Alchimistes : Les Alchimistes étudient les mystères de la science et de la magie pour créer des potions, des poisons et des artefacts magiques.
L'admission à ces académies est ouverte à tous ceux qui ont atteint la majorité et qui sont prêts à s'engager à servir dans l'armée d'Erydor. Contrairement à d'autres institutions, les candidats ne sont pas sélectionnés en fonction de leur origine sociale ou de leur statut familial, mais plutôt de leur volonté de défendre leur patrie. Ceux qui préfèrent ne pas suivre la voie des combattants peuvent opter pour des parcours administratifs, contribuant ainsi à la gestion et à l'organisation de la société et de l'armée d'Erydor.
Dans les profondeurs d'Auroria, le royaume des Éthéria, une alliance de créatures mythiques s'est effectués quelques centaines auparavant face à la menace grandissante des Dévoreurs d'Ombre, des abominations nées des expériences désastreuses des humains de Solastria, émergent des ténèbres pour semer la destruction sur leur passage. Les Éthéria ont décidés de s'allier avec les humains d'Erydor et de se liés à seulement certains d'entre eux qu'ils considèrent comme méritant.
Sur les continents en guerre d'Erydor et de Solastria, les tensions séculaires alimentent un conflit sans fin. Les deux factions se disputent le contrôle de Calydria, tandis que les champs de bataille sont le théâtre de combats acharnés pour la suprématie.
Ainsi, sur fond de conflit entre continents et de lutte pour la survie des peuples magiques, Calydria est plongée dans une bataille épique entre l'équilibre et le chaos. Le destin de chacun repose sur l'issue incertaine de cette guerre sans merci, où se joue l'avenir même de leur monde.
J'aimerais, peut-être, me lancer dans ce projet. Toutefois, je ne veux plus faire de projet seule alors si certains d'entre vous sont inspirées par ce début de contexte n'hésitez pas à me contacter par mp ! Repartage très fortement apprécié ♥
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Photo
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Prière sous les étoiles 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 C'est toujours un émerveillement que d'observer la nature et ses plus incroyables représentants. Parmi eux, ce phasme, qu'on croise plus souvent qu'on ne le voie 😅😅😅 Pour le distinguer parmi le fouillis des herbes hautes, je l'ai pris en photo en contre plongée. 🇬🇧 It is always a wonder to observe nature and its most incredible representatives. Among them, this stick insect, that we cross more often than we see it 😅😅😅 To distinguish it among the tangle of tall grass, I photographed it from a low angle. https://ift.tt/ePC2Yl6
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swedesinstockholm · 2 months
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20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
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auboutdespages · 2 months
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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2023 - Elle
Une nouvelle fois pénétrer cette pièce plongée dans la pénombre. Saluer, me défaire, puis me laisser surprendre par la douceur de cette voix grave. Rejoindre la méridienne couverte de coussins pour m’y enfoncer lentement avant de lutter contre la torpeur inévitable. L’écouter un peu et parler beaucoup. Soudain, abandonnant tout contrôle, me vider d’années lourdes. Essuyer mes joues, payer, sortir et enfin respirer sous le ciel gris de mon Paname. Il y a longtemps que je n’avais pas vu ma psy, moi.
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rayondelun3 · 6 months
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Elle l'attend sans lui dire
Il dort à côté d'elle
Elle regarde ses épaules
Voudrait goûter la chair
Mais elle n'ose pas
Éveillé il se tournera vers elle
Passera un bras autour de ses hanches
Pour ramener son corps amincie
À sa merci toute entière
Contre lui
Mais il dort
Et elle attend
Elle attend sans être sûre
Elle veut le séduire tout entier
Elle cache son corps à tous les autres
Elle ne le voit pas beaucoup
Hier soir il l'a emmené à la mer
Elle a pleuré car son cœur saigne
Il aurait voulu la transpercer
Mais pas ici, pas sur cette plage, pas maintenant
Plus tard.
Elle fumait une cigarette
Il n'aimait pas ça
Mais elle ça lui plaisait
Elle se trouvait plus elle-même
Une cigarette aux lèvres
Et puis il est trop pudique pour l'embrasser là dehors
Même s'ils sont seuls dans la nuit
Le vent souffle dans sa coupe en carré
Elle sait qu'il la regarde en silence
« Je vais prendre des photos pour montrer qu'ici c'est plus beau [à un tel] de ma classe »
Il a sorti son téléphone
Et elle restait appuyée sur la barrière,
Le regard plongé dans la mer, dos à lui
Puis il s'est mis à tourner autour d'elle
Son sujet préféré
Elle n'en revenait pas
Les larmes coulaient encore sur ses joues
Elle se vidait du mal qui lui prenait aux tripes
Elle jette sa cigarette
Ils ne disent rien
Il la regarde encore
Elle sent ses yeux, son regard, son désir
Posés sur elle qui ne se retourne pas
Elle laisse tomber son corps en arrière
Se recroquevillant sur elle-même
Il la prend contre lui, tête sur jambe
« Je pourrais te transpercer »
Elle le sait, elle aimerait en secret qu'il la prenne
Parce qu'elle est à lui et qu'elle en besoin
Besoin de sentir ses lèvres sur elle, d'être transpercée
Il bouge dans le lit
Elle arrête d'écrire
Elle a honte
Elle est amoureuse et folle, anéantie aussi
Elle n'aime pas son corps
Mais lui c'est un des délices qu'il préfère
Elle n'arrive pas à se rendormir
Pensant à ce qu'elle voudrait faire à son corps à elle
Les coupures, le sang, l'encre, la magie, la destruction, la réparation...
Il n'aime pas ce genre de choses
Mais elle est ainsi
Comme une cigarette elle flambe et se réduit en cendres
C'est son addiction à lui
Alors elle ne bouge plus
Se munit d'un livre qui parle de cannibalisme et autres mignonneries
Et espère qu'il voudra encore aujourd'hui
Du corps qu'elle voudrait tuer.
Elle repense au moment où il a embrassé tout son visage malgré la nicotine
Puis ses lèvres à elle
La nicotine
Il souriait
S'était à nouveau rué sur ses lèvres fermées
Par peur de l'empoisonner.
Elle se dit qu'il l'aime
Elle aimerait que ça dure éternellement
Y croire c'est dangereux
Ne pas y croire...
Alors qu'il se donne tout entier à elle seule
Et répare sans trop faire exprès
Tout ce que les autres brisent
De sa petite amie morcelée.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 66
La vie a repris son rythme habituel. Les mercredis, j'emmène Jean à ses rendez vous. Ses " clients " sont très chauds. Avec les vacances, ils ont tous sauté leur tour !
Les samedis matins je reprend le chemin de la boite du père de Jean pour le coacher. Si je ne crache pas sur un deuxième salaire officiel, la partie sexuelle de notre contrat me laisse de plus en plus indifférent. Après le sport, je dois le sauter dans la salle d'eau de son bureau, le plus souvent en levrette ou plié sur le lavabo. Pas d'imprévus, de situations excitantes, je dois imaginer de quoi bander suffisamment pour pouvoir l'enculer. Lui se satisfait de cette situation, c'est le principal. Heureusement que de temps à autres je peux faire une halte plus intéressante au poste de garde ! le jeune garde est toujours aussi chaud et quand nous pouvons, j'arrive même à l'enculer derrière les vitres sans tain. Il adore, même si il reste un bi convaincu.
Avec Emma, j'ai attendu le jeudi matin pour lui téléphoner. Elle semblait heureuse que je la re contacte et me demanda si je passais la voir dans l'après midi. Je dis Ok.
Vers 16h je garais ma moto dans son jardin. J'ai eu juste le temps d'ôter mon casque et mes gants qu'elle écrasait sa bouche sur la mienne. Je la serrais dans mes bras et on s'est rouler un patin bien profond. J'en bandais grave dans mon cuir. Une mains partie vérifier son état d'excitation m'appris qu'elle ne portait pas de culotte sous sa robe. J'ouvrais alors ma combi jusqu'à pouvoir sortir ma bite et vite kpoté, debout, ses jambes autour de mes reins, plaquée contre le premier mur venu, je l'ai prise. Elle était bouillante, ma queue s'est retrouvée plongée dans son vagin brûlant. Sensation intéressante mais surtout très excitante. Elle m'aidait dans mes va et vient en prenant appuis sur mes épaules. Est ce le manque, le frottement avec le cuir de ma combi, la situation ou peut être moi, mais elle s'est mise à jouir rapidement, contractant son vagin. J'étouffais ses cris par un baiser, nous étions dehors et elle risquait d'être entendue de la rue ! Je restais en elle le temps quelle se calme puis nous avons émigré vers sa chambre. nos vêtements indiquant le chemin comme les cailloux du petit poucet. Je lui fis la remarque que j'avais l'impression de lui avoir manqué. Elle me donna un claque avant de m'embrasser de nouveau ! avec un peu de chance ça voulait dire oui. Comme j'avais pas joui et que je bandais toujours, à genoux devant moi, elle m'a taillé une pipe. Correcte même si la position ne me permettais pas d'enfoncer ma bite au plus profond de sa gorge. Je la couchais sur le lit et lui plaçais la tête hors du matelas pour pouvoir la pousser (la tête) vers le bas. A genoux je lui mis mon gland dans sa bouche puis tout le reste. La tête bien en arrière, j'ai pu m'enfiler dans sa gorge. J'adore sentir mon gland compressé par un larynx. En faisant attention à lui laisser assez d'air, les mains en appuis de chaque coté de ses hanches, en position de pompes, je lui ai limé la gorge. Quand le mouvement me faisait reculer et que mon gland se retrouvait dans sa bouche, elle aspirait et faisait tourner sa langue d'une façon telle que ça m'envoyait des décharges dans tout le corps. Je m'arrachais d'elle avant de juter dans sa bouche. A mon tour, j'utilisais ma bouche pour l'exciter. Couché sur elle, après un baiser appuyé, je suis descendu m'occuper de ses seins, aspirant, léchant et mordillant les tétons. Puis j'ai laissé courir ma langue par son nombril jusqu'aux lèvres du bas. Tenant ses jambes écartées, j'ai fait gonfler ses grandes lèvres puis je me suis attaqué à son clito. Ma façon de faire a du lui plaire car malgré mes bras en travers de ses cuisses, j'ai eu du mal à la maintenir au contact du matelas. Vite je me suis redressé et me suis de nouveau enfilé en elle. Pas besoin de précautions particulières vu comme elle mouillait. Nous nous sommes déchaînés. Elle répondait à mes assauts, accrochée à mes épaules, elle donnait des coups de reins pour m'enfoncer encore plus en elle. Comme je la prenais en levrette, elle profita d'un mouvement m'ayant fait sortir de sa chatte pour placer mon gland sur son anus et que je l'encule. Emporté par l ;"élan, je l'ai sodomisé brutalement. Elle a accusé le coup mais d'elle même a initié les va et vient. Je fouillais dans sa table de nuit pour y trouver le gode et lui en remplissais le vagin. Sous la double stimulations, elle ne fut pas longue à jouir, entraînant ma propre éjaculation par les nombreux spasmes qui ont agité ses muscles anaux et vaginaux. Il nous a bien fallut 1/2heure avant que l'on reviennent à la réalité. Je sautais sous la douche et vu l'heure ne m'attardais pas.
Ce n'est qu'arrivé à la maison que je trouvais l'enveloppe dans une des poches de ma combi. J'avais complètement oublier ce détail !
Le temps de sortir de ma combi et en shorty et Tshirt je rejoignais Marc au salon. Une petite pelle et il me poussait la tête vers son entrejambe. Je déboutonnais son jeans et ses 22cm m'ont sautés au visage, bien gonflés. Je les enfonçais aussitôt dans ma bouche. dans un premier temps je m'occupais du gland seul. Tournant ma langue autour de la couronne, agaçant le frein, râpant sa surface comme sur une glace. C'est Marc qui a cessé en appuyant fortement sur ma tête pour s'enfoncer jusqu'aux couilles. Son gland surexcité m'étouffait complètement. A la limite, il ressorti pour me laisser respirer puis recommença. Je sais qu'à chaque fois que je vois Emma, il est un peu plus brutal que d'habitude ! J'aime cette jalousie non déclarée ! De mon coté, j'aime quand il est directif et autoritaire. Je l'ai senti monter en régime et la tête maintenue, son pieu enfoncé, il s'est vidé les couilles directement dans mon estomac. Trop bon !! Je réussissais quand même à attraper les dernières giclées dans ma bouche, j'aime sons sperme sous ma langue. quand il est finalement sorti de ma bouche, j'avais nettoyé sa bite de toute trace suspecte. Par contre il bandait toujours. Il m'a poussé à genoux, le torse sur la table basse. Il a baissé mon shorty aux genoux et après avoir juste craché sur son gland me l'a enfiler entre les fesses puis dans le cul. Heureusement que j'avais mouillé d'excitation. Ses mains sur mes hanches, il m'a pénétré d'un seul mouvement. Pour gagner les derniers cm, il m'a écarté les fesses et j'ai pu sentir mon anus s'écarter sous la partie la plus grosse de sa bite. Il est resté sans bouger quelques instant puis m'a limé un bon moment, alternant petits coups rapides, grandes glissades, rotations... j'ai eu droit à une bonne démonstration de tout ce qui m'excite dans une sodomie. Alors que sans pouvoir me retenir, j'avais juté sur la table basse, il continua à m'enculer. Si la sensation juste après m'a semblé douloureuse, le plaisir est vite revenu et ses passages sur ma prostate m'ont fait vite rebander. Ses mains sur mes épaules il m'a donné de grand coups de bite annonciateurs de jouissance. Cette fois nous sommes venus ensemble lui dans mon cul et moi rajoutant une couche sur la table. Sans déculer, il se coucha sur moi et j'écrasais mon sperme sous mes abdos. J'ai serré les fesses quand il est sorti de moi et nous sommes allé nous doucher au sous sol. J'aime aussi c'est moments d'après l'amour. Là je ressens dans ses bras toute la tendresse qu'il a pour moi. Sous les jets d'eau, il me serre fort dans ses bras avant de me savonner et me laver tout en me massant. Je fais de même. Ces douches là nous prennent environ trois bons quart d'heure.
Nous remontons dîner avec juste une serviette sur les reins. Contrairement à certains autres soirs, nous passons notre temps collé l'un à l'autre.
Je l'aime comme ça mon jaloux qui ne veut pas se l'avouer !!
JARDINIER
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Quand on a connu tout et le contraire de tout, quand on a beaucoup vécu et quand on est au soir de sa vie, on est tenté de ne rien lui dire, sachant qu'à chaque génération suffit sa peine, sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause font partie de la noblesse de l'existence. Pourtant, je ne peux me dérober et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci, en me souvenant de ce qu'écrivait un auteur contemporain : "Il ne faut pas s'installer dans sa vérité et vouloir l'asséner comme une certitude mais savoir l'offrir en tremblant comme un mystère". A mon jeune interlocuteur, je dirai que nous vivons une période difficile, où les bases de ce que l'on appelait la morale et qu'on appelle aujourd'hui l'éthique sont remise constamment en cause en particulier dans les domaines du don de la vie, de la manipulation de la vie et de l’interruption de la vie. Dans ces domaines de terribles questions nous attendent dans les décennies à venir. Oui, nous vivons une période difficile où l'individualisme systématique; le profit à n'importe quel prix, le matérialisme l'emportent sur les forces de l'esprit. Oui, nous vivons une période difficile où il est toujours question de droit et jamais de devoir et où la responsabilité qui est l’once de tout destin, tend à être occultée. Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela, il faut croire à la grandeur de l’aventure humaine. Il faut savoir, jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière heure, rouler son propre rocher. La vie est un combat le métier d’homme est un rude métier. Ceux qui vivent sont ceux qui se battent. Il faut savoir que rien n’est sûr, que rien n’est facile, que rien n’est donné, que rien n’est gratuit. Tout se conquiert, tout se mérite. Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu. Je dirai à mon jeune interlocuteur que pour ma très modeste part, je crois que la vie est un don de Dieu et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît comme l’absurdité du monde, une signification à notre existence. Je lui dirai qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves, cette générosité, cette noblesse, cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde, qu’il faut savoir découvrir ces étoiles, qui nous guident où nous sommes plongés au plus profond de la nuit et le tremblement sacré des choses invisibles. Je lui dirai que tout homme est une exception, qu’il a sa propre dignité et qu’il faut savoir respecter cette dignité. Je lui dirai qu’envers et contre tous il faut croire à son pays et en son avenir. Enfin, je lui dirai que de toutes les vertus, la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres, de toutes les vertus, la plus importante me paraît être le courage, les courages, et surtout celui dont on ne parle pas et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse. Et pratiquer ce courage, ces courages, c’est peut-être cela «L’Honneur de Vivre».
Hélie de Saint Marc (1922-2013)
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calydriarpg · 25 days
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Calydria
Calydria, un monde en proie à un conflit séculaire entre deux continents hostiles, Erydor et Solastria. Au cœur de cette lutte incessante, le continent d'Erydor abrite trois prestigieuses académies, chacune formant une élite de combattants et de savants destinés à servir dans l'armée de défense contre les forces ennemies de Solastria.
Académie des Chevaucheurs : Cette académie forme les Chevaucheurs, des guerriers spécialement entraînés pour être les cavaliers des Éthéria (des dragons, des griffons, des wyverns, des aigles, etc).
Académie des Élémentaristes: Ici, les étudiants apprennent à maîtriser les éléments primordiaux : l'air, le feu, la terre, l'eau, la lumière et l'ombre. Les Élémentaristes seront des guerriers capables de manipuler leur élément de prédilection pour des usages offensifs et défensifs.
Académie des Alchimistes : Les Alchimistes étudient les mystères de la science et de la magie pour créer des potions, des poisons et des artefacts magiques.
L'admission à ces académies est ouverte à tous ceux qui ont atteint la majorité et qui sont prêts à s'engager à servir dans l'armée d'Erydor. Contrairement à d'autres institutions, les candidats ne sont pas sélectionnés en fonction de leur origine sociale ou de leur statut familial, mais plutôt de leur volonté de défendre leur patrie. Ceux qui préfèrent ne pas suivre la voie des combattants peuvent opter pour des parcours administratifs, contribuant ainsi à la gestion et à l'organisation de la société et de l'armée d'Erydor.
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Dans les profondeurs d'Auroria, le royaume des Éthéria, une alliance de créatures mythiques s'est effectué quelques centaines d'années auparavant face à la menace grandissante des Dévoreurs d'Ombre, des abominations nées des expériences désastreuses des humains de Solastria, émergent des ténèbres pour semer la destruction sur leur passage. Les Éthéria ont décidé de s'allier avec les humains d'Erydor et de se liés à seulement certains d'entre eux qu'ils considèrent comme méritant.
Sur les continents en guerre d'Erydor et de Solastria, les tensions séculaires alimentent un conflit sans fin. Les deux factions se disputent le contrôle de Calydria, tandis que les champs de bataille sont le théâtre de combats acharnés pour la suprématie.
Ainsi, sur fond de conflit entre continents et de lutte pour la survie des peuples magiques, Calydria est plongée dans une bataille épique entre l'équilibre et le chaos. Le destin de chacun repose sur l'issue incertaine de cette guerre sans merci, où se joue l'avenir même de leur monde.
Informations complémentaires
Le jeu se situera uniquement sur le continent d'Erydor (une carte sera mise à disposition néanmoins pour, vous aidez à visualiser les frontières entre les deux continents et leurs provinces). Les académies seront le point central du jeu, toutefois ceux en dehors pourront également être jouable.
Pourquoi l'âge est à partir de 18 ans ?
Dans le contexte, la rentrée dans les académies se fait après les années d'école classique et cela se passe à dix-huit ans. Ce sera donc le minimum d'âge des personnages ! Le forum traitera forcément de sujet assez violent (tw : guerre, sang, mort).
En termes de contrainte, il n'y aura aucun minimum de mot ni de rp obligatoire par mois. Du loisir avant tout.
Recherche staff
Beaucoup d'idées pour ce forum qui m'inspire avec les thèmes abordés, malheureusement une grosse charge de réflexion, écriture sera nécessaire pour construire correctement cet univers (en gardant en tête que les annexes devront être assez claires et courtes, c'est souvent compliqué d'arriver sur un fantastique avec 15 annexes très longues). Le mot d'ordre, la simplicité ! J'aurais donc besoin d'aide pour la rédaction, je ne dis pas non pour le codage pour que ça aille plus vite tout simplement et surtout, il y aura tout ce qui est tâche administrative. N'hésitez pas à me contacter par mp si vous souhaitez vous lancer dans l'aventure avec moi.
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Sous la colline by Sabrina Calvo
goodreads
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Le 9 février 2012, un incendie accidentel défigure le visage de l’Unité d’Habitation Le Corbusier à Marseille, utopie sociale devenue Mecque d’un idéal de design. Au cours des travaux de réhabilitation qui ont suivi, un placard non-référencé a été retrouvé. C’est à partir de ce fait divers que Sous la colline déroule une intrigue labyrinthique, entre mythe, fiction et réel : la quête de la farouche Colline, archéologue claustrophobe, pour tenter de trouver les réponses à l’énigme du Corbu… et de sa propre identité. Plongée en apnée dans les “rues” et l’histoire de l’Unité d’habitation, Sous la colline est le récit fantastique d’un mystère aux multiples ramifications, antiques, politiques et sociales : au coeur des rêves érodés du Corbusier se joue un drame qui remet en cause la narration officielle de la fondation de Marseille. Sous la colline est une course contre la montre : pendant six mois en immersion totale dans le bâtiment, Colline devra faire appel à l’aide des enfants d’une étrange maternelle pour sauver le bâtiment d’un terrible destin — sa destruction, aux mains d’un ennemi invisible et sans pitié. Véritable fiction de “genre”, Sous la Colline est le portrait d’une femme hors-norme, à l’imaginaire placé sous le sceau de l’élément aquatique.
Mod opinion: As this is an untranslated french book I haven't read it, but it sounds interesting!
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Ailes dorées 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 Quand le soleil se met à briller, les ascalaphes ouvrent leurs ailes pour les faire sécher. J'aime bien me placer en contre plongée pour les mettre en valeur. 🇬🇧 When the sun begins to shine, the owlflies open their wings to dry them. I like to place myself in low angle to highlight them. https://ift.tt/ZAdiUeu
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alioversus · 1 month
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Baldr’s Nothern Saga
R$kp | 2024
1. La neige, évidemment. Pourquoi la neige est-elle aussi triste, d’ailleurs ? Où est passée la neige de nos jeux d’enfant ? La route, aussi, naturellement. À chaque pas, la rêverie ou la mémoire. Tu vois, on parle des âmes perdues dans les limbes… À quoi ressemble-t-on, nous, sur ce chemin ? Chevaliers d’une autre ère, ayant troqué la fourrure contre la veste polaire — ou bien fantômes ? Non, ce n’est rien… Le souffle blanc et une vague douleur dans la guibole… Approchons. 
2. Nous voici au bord du ruisseau. Jadis, on y voyait des carpes, des libellules, du cresson, et sur cette partie de la berge, efflanquée, où se formait un bassin, des poissons rouges à taches sombres. Je suis sûre que cela reviendra un jour. On se croyait au Japon ou dans un film d’animation. Un rayon perce, le remous s’intensifie. Depuis quand n’ai-je plus plongé les pieds dans l’eau claire ? Nous continuons, longeons sur une centaine de mètres : une éternité. Mais rien dans les collets. 
3. Ici, le ruisseau se déverse et disparaît sous la dalle en béton. Plus rien ne roule là-dessus, plus rien ne roule nulle part. Je me souviens pourtant du son des roues, du son des trains, du son du caddie à moitié plein… Cette bagnole ensevelie, j’aimerais savoir si elle peut redémarrer. Bête espoir. Ce n’est sans nul doute qu’une enième carcasse calcinée. 
4. Je n’aime pas cette nostalgie. Je trouve qu’elle me rend mièvre. Je trouve qu’elle m’affaiblit. Et pourtant, c’est lorsque je suis dans cet état-là que je parviens encore à trouver de la beauté autour de moi. Les ruines sont si charmantes, parfois. Seulement parfois. Je ne suis pas si âgée. Je ne suis pas si sage. Je suis juste fatiguée. Les autres ont besoin de moi. 
5. La communauté a pris ses quartiers dans l’ancienne école. Je crois souvent entendre des rires dans la cour. J’observe les stalactites aux gouttières, aux barreaux de la cage à poule. Parfois j’y passe ma main gantée, je crois en la magie, au pouvoir de transformer la glace, de réveiller le soleil au son d’une harpe éolienne. 
6. Il m’attendait depuis une heure. Il a l’air sérieux, sévère, inquiet, le nez plongé dans le livre de compte. Ravitaillement, chauffage, vêtements, médicaments… Il faudra élargir le cercle, tout le monde le sait. Il faudra prendre des risques. Il faudra des volontaires. S’il le faut, il en désignera. J’aurais été amoureuse de lui, dans une autre vie. Dans celle-ci, c’est un glaçon. Il est dur, il est froid, il a raison. Je vide devant lui mon sac. Il opine, insatisfait. Il me montre la carte. 
7. Prendre à travers champs, gagner deux heures. Être à découvert. Ceci n’est pas notre territoire. On guette. On reste sur le qui-vive. Du bruit à gauche, du bruit à droite : des oiseaux, une fausse alerte… On arrive aux abords de la ferme, de ce qu’il en reste. Tout semble avoir déjà été pillé. Je trouve toutefois quelques conserves et me dépêche de les empaqueter. 
8. On entend aboyer des chiens. Je m’immobilise. Mon cœur s’emballe, chaque battement est comme l’éclatement d’un verre en cristal. Pulsation de frayeur. Fuir ou se cacher. On s’est éparpillés. L’air glacé emplit mes poumons. Mon espérance, c’est d’atteindre la lisière, de disparaître dans les buissons. 
9. J’ai su me retenir de crier, après avoir basculé dans la fosse. J’ai su me raidir, m’étaler — au milieu du charnier. Je doutais toutefois que les chiens s’y tromperaient. J'ai fait le mort, mais j’avais trop envie de survivre, et j'avais laissé une piste pour le prouver. J’ai attendu. J’ai écouté. Ils ne sont pas venus. La moitié d’entre nous ne sont pas revenus. 
10. Jamais je n’ai couru aussi vite, à la nuit tombée. Et jamais je n’ai ressenti un tel soulagement en retrouvant les miens, les rescapés — à cheval. Je suis monté derrière l’un d’eux. On est partis au galop. Où les avaient-ils trouvés ? Un miracle ! J’aurais aimé que tout le monde soit là pour le voir.
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