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#corvidé
wingedjewels · 2 years
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Le Messager (Corvus Corax)
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Le Messager (Corvus Corax) by Martial Kaczurak
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Pirolle à bec rouge - Malgré son plumage voyant, elle passe facilement inaperçue lorsqu'elle prospecte dans les feuillages. Elle signale sa présence aux potentiels partenaires par des cris d'appel.
Lieu : Zoo d'Amiens Métropole
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billyobilly · 2 years
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Paradisier Grand Émeraude. Dessin à l’I Pad - 2023. * * * * * * * * #oiseauduparadis #paradisier #paradisiergrandemeraude #oiseau #dessinoiseau #ornitology #ornithologie #corvidé #passereau #billyserib #dessin #ipad (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/CpiWs3PDZjR/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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philoursmars · 5 months
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l y a 15 jours, après le week-end narbonnais, j'invite Christine à passer quelques jours chez moi à Marseille, dans mon appart' de Montredon.
Ce jour-là, balade dans le massif de Marseilleveyre, au sein du Parc National des Calanques. Retour de la Sablière avec un dernier regard vers la Grande Candelle et sur les Cistes blancs ("blancs" du fait de leurs feuilles duveteuses et évidemment pas de leurs fleurs !) ou les corbeaux...
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associationraven · 2 years
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Quand on fait le tour des parcelles et des clôtures et que… Notre cher ami l’Ecureuil (ou serait-ce nos amis Corvidés?), bénévole émérite, a encore frappé!!! 2 nouveaux noyers ! Encore quelques années avant de pouvoir profiter des noix. 😏🤣 #RAVEN #association #sanctuaryoftheraven #associationraven #animaux #vimartinsurorthe #nature #mayenne #sarthe #orne #biodiversite #biodiversité #refuge #ecureuil #écureuil #squirrel #noyer #noix #corvidés (à Raven’s Sanctuary) https://www.instagram.com/p/Cj26O52Iith/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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badlydrawnjohn · 9 months
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hello there, mr. egbert! i'm quite familiar with your amoureux des corvidés and i feel it's only polite i say hello to you to.
-@aviansaffection
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EB: nice to meet you!
EB: i don't know french, that's more of a rose thing. but i'm guessing that means you're friends with one of my friends?
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ekman · 1 year
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J’ai divorcé d’avec les Français au moment du confinement. Quand je les ai vus accepter sans broncher d’être parqués comme du bétail. C’est donc qu’ils sont, factuellement, du bétail. En plus, ils sont aussi leurs propres matons, s’accordant scrupuleusement des dérogations de sortie motivées et conformes. Fascinant. À cette époque, je m’amusais à leur faire part de mes nombreuses et longues escapades, moments magnifiques dans un quartier offert au silence, sur les sentiers d’une forêt désertée où toute la faune, usuellement contenue par le passage des ploucs péri-urbains et autres retraités queshuaïsés, sortait de son contenant convenu et débordait sur les chemins, les parkings, les bords d’autoroute. Il fallait voir leurs gueules interdites. Comme si j’avais avoué la préparation d’un attentat ou l’élaboration d’un assassinat. Et pourtant... Il suffisait d’ouvrir sa porte, de marcher, de gagner les bois puis de s’arrêter et d’attendre quelques minutes à écouter tous les oiseaux – c’est à dire ceux que la rumeur humaine laisse habituellement inaudibles – pour apecevoir, loin des ombres forestières, renards et biches, et noter le comportement étonnamment entreprenant des corvidés, bien moins craintifs que d’habitude, employés à réinvestir les lieux à grands renforts de cris perçants et de disputes renouvelées. Pendant ce temps-là, claquemurés chez eux, les Français regardaient les chaînes infos avec leur compteur rouge sang indiquant le nombre de morts en cours. Extraordinaire ! Une mise en scène totalitaire, une pression visuelle constante, un univers sonore saturé de mises en garde, de menaces et d’invectives. Et le masque. Le masque ! Muselière de tissu bleu destinée à faire taire tous et chacun. Distanciation sociale aussi : pas de contact, pas même de frôlement ! Un mètre réglementaire, avec les marques au sol comme dans les dépôts ou les usines ! Et dans la queue aux caisses des magasins, les regards suspicieux à la première toux, au premier reniflement... Je pensais que les gens étaient devenus fous ; ils étaient juste livrés à leurs névroses. On voyait le conditionnement à l’œuvre. On mesurait le champ infini de leurs renoncements. Et je me suis mis à les détester, accrochés à leur bulle existentielle, tétanisés par l’idée de mourir, prêts à tout trahir, tout balancer, dans l’espoir de s’entendre dire “allez, c’est bon, vous allez vivre à nouveau, et tout sera comme avant”. Voix de l’État qui sait tout mieux que vous, qui a barre sur votre volonté, vos divergences, vos doutes raisonnables. La France, et son assourdissant récit révolutionnaire, les combattants de la Liberté, la patrie des Droits de l’Homme, tout ce folklore clinquant montrait avec éclat sa vacuité, son inutilité, son imposture pour tout dire. Les Français se tenaient depuis longtemps éloignés du sacré, à l’abri - pensaient-ils – de toute tentation de transcendance, sans aucune morale autre que républicaine, sans éthique mais avec l’état de droit. Ils voulaient, pour toujours, jouir sans entraves. Ils découvrent maintenant ce que signifie souffrir sans répit. J.-M. M.
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solhrafn · 1 year
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J'ai croisé avec le gamin une corneille assise au milieu d'une route.
Sans blessure apparente le petit corvidé n'essaie pas de s'enfuir. Je mets mes gants, ceux que je garde dans la voiture en cas de pépin, je prends l'oiseau, le dépose dans une boite dans le coffre, et on rentre. J'essaie de lui donner à boire et à manger, mais la petite créature peine à respirer. Je la laisse tranquille sur ma pelouse. 30 minutes plus tard, elle n'est plus. Le messager du vagabond à rendu l'âme.
Je vais dans le coffre, je sors la pelle d'infantrie et je creuse dans un coin du jardin sans herbe. J'y dépose la carcasse et la regarde droit dans l'oeil, celui-ci encore humide mais déjà vitreux. Son expression me paraît triste. A défaut de bucher funéraire, petite bougie pour l'animal que j'ai nommé Muninn. Celui qui ne revient pas.
Demain je déposerait une grosse pierre sur la terre meuble, ou en tout cas quelque chose pour empêcher les charognards de le trouver.
Et dans environ un an j'aurai des petits ossements à blanchir.
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i read that wulong/oolong cha means tea of the black dragon or tea of the crow dragon (source : wikipedia) so here's a corvidae + long inspired thingy with a tea stem in it's beak. J'ai lus que wulong/ oolong cha signifie "thé du dragon noir" ou "thé du dragon corbeau" (source : wikipédia) donc voici une 'tite créa hybride d'un lung et d'un corvidé avec un rameau de thé dans son bec.
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zehub · 7 months
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Alsace. Face aux corvidés, la nécessité d’une coordination plus que rurale
Confrontés à des dégâts croissants, les agriculteurs interpellent les pouvoirs publics et les collectivités pour faciliter la régulation de
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argonnenature · 8 months
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yespat49 · 1 year
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La psychologie jungienne face à la figure d'Odin
Horst Obleser, psychiatre d’obédience jungienne, a sorti en 1993 un ouvrage entièrement consacré à Odin, le dieu dont personne ne sait où il va ni qui il est. Muni d’une longue lance, le doigt orné d’un superbe anneau d’or magnifiquement décoré, un corbeau perché sur son épaule, un autre corvidé évoluant au-dessus de lui, flanqué de deux loups gris foncé, chevauchant un destrier fabuleux à 8…
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unmotde · 1 year
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Samedi Il est arrivé une chose qui ne s'était pas produite depuis... depuis. Depuis M. et la pagaille qu'elle a mise dans notre couple avec l'aide de LeChat, depuis les blessures. Nous avons réparé autrement. Il n'y avait plus - on l'a bousculé seulement pour nos anniversaires respectifs. C'est arrivé comme ça, par la force des choses, parce qu'un besoin de temps, parce que l'habitude qu'on pourrait nommer routine, parce qu'une maison à construire ça fait ça sans doute - prendre le temps l'arracher et le rendre épuisé - parce que les enfants la vie la fatigue ma santé : il n'y avait plus de temps à deux. Ça a fini par manquer, ce temps de couple. Après les différents achats qui nous ont fait courir un peu partout, il s'est arrêté à une terrasse et autour d'un verre nous avons discuté juste lui et moi, pas d'enfants de soucis d'interférences, juste lui juste moi. Je me suis remise à respirer, à croire que j'étais en apnée. En repartant nous sommes passés devant chez une fleuriste et il est arrivé une chose étonnante : mon regard s'est accroché sur une succulente. Je n'apprécie que moyennement les succulentes. Il faut bien comprendre que c'est piquant et que je ne m'approche jamais volontairement de ce qui peut me blesser - principe de vie. Ce sont des plantes tout en retenue, elles coincent l'eau dans leurs feuilles pour survivre aux sècheresses. Je devrais à tout le moins me sentir solidaire - nous pratiquons à haut niveau, l'une et l'autre, la survie - mais ma nature profonde est plongée dans les montagnes et l'eau ruisselante, je suis loin des zones désertiques.
J'ai donc un bout d'Afrique du Sud sur mon bureau, je n'ai pas très bien compris comment c'est arrivé.
Je ne suis pas certaine d'avoir choisi la plante, j'ai plus la sensation que c'est elle qui m'a choisie. Un appel qui a fait tourner ma tête. Lorsque je l'ai eue en main, je me suis aperçue qu'elle avait une petite hampe florale et que c'était la seule à en avoir une, j'ai souri de cette chance. Le plus amusant étant sans doute que cette Haworthia fasciata est surnommée Haworthia zebre - de circonstance, ailleurs.
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Samedi, prise de conscience Une conversation - ailleurs donc - a dévié ma route. Sur ce que je pensais de moi. Sur ma capacité à me jeter dans un domaine et apprendre "facilement". Toute ma vie, je me suis sentie pire que nulle, ma mère m'a toujours dit que je n'arriverais à rien et je lui ai donné raison. Je lui ai accordé ce pouvoir-là. J'ai raté mes études, raté la musique, raté tout ce que j'ai entrepris. Avoir touché un peu à tous les domaines n'a fait que confirmer ce fait, je n'arrive à rien, je ne suis nulle part, je ne fais rien de mes savoirs. Il y a également le poids familial, puisque mon grand-père était affligé du même sentiment de n'avoir aucun don, de ne rien valoir, d'être rien.
Sur cette conversation, quelque chose a cranté : j'y arrive à ce quelque part, seulement je n'approfondis pas, par peur sans doute de l'échec annoncé. Et j'y arrive rapidement, surtout. La phase "débutante" n'excède pas quelques semaines, j'obtiens des résultats - puis je claque la porte. La moindre difficulté de parcours me fait reculer, "je ne suis pas capable de le dépasser".
Je ne sais pas encore ce que je vais faire de cette prise de conscience, que j'apprends rapidement et que "je pourrais" aller plus loin. On n'efface pas quarante-six années de tête sous l'eau avec un boulet au pied sur lequel il est écrit "tu es nulle en tout". Je vais commencer par prendre le temps de savourer ce fait, j'apprends plus vite que la moyenne, particulièrement dans les arts. Un pas après l'autre.
Lundi Je me suis réveillée au cri étrange d'un oiseau assez proche de ma fenêtre encore ouverte, à la limite de la corneille sans être du tout ça. Je me suis demandé si c'était un corvidé inconnu de moi. Après recherche il s'est avéré qu'il s'agissait d'un Loriot d'Europe, un passereau… africain. Il n'est par ici que pour la reproduction, dans très peu de jours, semaines, il va repartir vivre en Afrique (centre et sud). Je me demande s'il est bilingue.
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zenon413 · 1 year
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Peter Wohlleben, La vie secrète des animaux, 2018
« Ce que je souhaite, c’est (…) que nous devenions un peu plus respectueux du monde animé qui nous entoure, qu’il s’agisse des animaux ou des végétaux.Cela ne signifie pas forcément renoncer à toute utilisation, mais accepter de limiter un peu notre confort, ainsi que notre consommation de biens biologiques. Quelle sera notre récompense ? Des chevaux, des chèvres, des poules et des cochons plus guillerets ; des cervidés, des martres ou des corvidés contents, qui se laissent observer, y compris, pour ces derniers, en train de crier leur nom...Et alors, notre système nerveux central sécrétera des hormones propres à répandre en nous un sentiment auquel nul ne saurait résister: le bonheur! »
Le respect et l’émerveillement devant le vivant comme prémisses d’une philosophie joyeuse…
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abbyew20 · 2 years
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gilda14 · 2 years
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Pour la 2ème fois
Pour la 2ème fois en une semaine, je me lève me prépare pour aller bosser et ... finalement pas. Je m'étais réveillée avec un rhume fuligineux, impossible d'aller bosser sans me faire tester. Le temps de marcher dans la rue jusqu'à la pharmacie => impossible d'y aller tout court. Allez, peut-être du télétravail si mon test est < 0 et puis en fait parler juste pour indiquer mes coordonnées était une souffrance et j'émettais des sons de corvidé. Alors malgré le test négatif (pas de Covid_19 du moins pour les variants détectables), je suis allée voir le médecin qui voulait m'arrêter 4 jours, j'ai négocier 2 puis 1 en télétravail et que promis si les symptômes ne diminuaient pas je reprendrais un test. Et puis à part ça dodo. Avec des sons de la ville dont je n'ai pas l'habitude car en semaine en journée je ne suis pas là : les machines de lavages de la rue, les poubelles en fin de journée. Et puis CERNO car écouter un podcast en restant allongée bien à plat sans bouger était à peu près la seule chose que je pouvais faire.
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