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loupcurieux · 3 months
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Je suis allé voir a tunnel to summer, et il est vraiment cool. Un bon film ressourçant que j'ai bien aimé. Dommage que je fus seul dans la salle
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rabiot-magazine · 1 year
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Barbie (2023), de l'huile sur le feu
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Poupée vaudou du modèle culturel américain, Barbie est célèbre, entre autres, pour avoir été la mascotte en plastique des 30 glorieuses. Indispensable fétiche fait d’hydrocarbures, elle entra comme un cheval de Troie des standards de beauté surréalistes dans la panoplie de millions de gamines. Si on le compare à ses voisins jouets, l'apparence de cet objet dénote très clairement avec les autres. Quand un jouet se veut sympathique, rigolo, coloré et original: la Barbie nous montrait tout l'inverse : un corps filiforme, froid et policé, étrangement réaliste parmi des bibelots absurdes; un corps d'adulte, mais qui pourtant ne se voyait nulle part. Le modèle d'un corps calibré et asexué dans son plus simple appareil dont l'unique intérêt était qu'il pouvait porter des vêtements.
Durant la première semaine d'exploitation des films, on voyait ça et là dans les rues des femmes habillées entièrement en rose. Le film suscitait un véritable engouement parmi les spectateurs, c'est donc dans une salle pleine que la rédaction du Rabiot Magazine a pu assister à sa séance. Et d'emblée, on peut considérer cela comme un point positif : il est rare pour un film de parvenir à faire sortir le public de son canapé sur lequel il est vissé depuis maintenant des années, à manger des chips devant des séries médiocres qu’il paye pourtant à prix d’or. Se rendre au cinéma en 2023, c'est souvent se retrouver dans une salle vide aux trois quarts, un peu comme lorsque l'on prend le dernier train du soir pour rentrer dans sa province désertique. Or, avec Barbie, la salle était comble et le public conquis d'avance : c'est donc non sans une certaine nostalgie teintée de naïveté que l'on se dit qu'on va passer un bon moment.
Produit par Warner Bros, avec un budget estimé à cent millions de dollars, le film Barbie se présente comme une comédie, interdite pourtant au moins de 13 ans. Et dès les premiers plans, on sent que la réalisation se cherche une certaine légitimité cinématographique: une reprise de 2001, L'odyssée de l'espace, comparant la poupée Barbie au monolithe dans un effort affichant la volonté de s'inscrire dans l'histoire de l'humanité et de son rapport à la poupée. Rien que ça. On rigole un peu à la rédaction, car c’est surtout dans l’histoire de l’idéologie qu’il faudrait lui trouver une place, à cet objet. 
Les premières minutes du film en mettent littéralement plein la vue. Décor très travaillé et très coloré façon Squid Game, enchaînement de séquences frénétique et peu cohérent alterné de passages chorégraphies, nous voilà propulsés dans l'univers de la poupée Barbie, incarnée par l’actrice Margot Robbie. Un univers qui, dès le départ, semble habité par un conflit ouvert, une inégalité entre la femme et l’homme. Largement minoritaire et reléguée au rang d’accessoire, la figure masculine n'apparaît comme un pion dans le jeu d'une Barbie qui est le centre de toutes les attentions.
Le pitch est assez simple : le personnage de Barbie devient dysfonctionnel et doit se rendre dans la réalité pour régler son problème. Directement on pense à Soul de Pixar, à The Matrix encore à Toy Story. Le film se présente donc, comme une sorte de voyage initiatique au féminin, visant à sonder les profondeurs de son âme et à en explorer les zones d’ombre en passant entre les mondes. Sur le papier, on trouve quand même cela intéressant: utiliser une icône aussi clivante de la féminité pour provoquer une remise en question identitaire, interroger la figure féminine qui, par les évolutions sociétales est en pleine recomposition. On se dit alors que les spectateurs et spectatrices seront confrontés à des questionnements qu'ils n'attendaient peut-être pas en se rendant à cette séance de cinéma.
Mais très vite, tout dérape. Barbie, rejointe par Ken qui est incarné par le brillant Ryan Gosling, partent à l’aventure dans le monde des humains. Dans une réalisation qui rappelle celle des pranks sur YouTube, les deux personnages sont confrontés à une réalité, celle de la Californie. De surprises en désillusion, on nous montre très vite un monde qui serait intégralement régi par les hommes. Le patriarcat, puisqu'il est nommé ainsi dans le récit, est ici exposé de manière didactique et claire. Musculation, cols blancs et police montée jusqu’aux visages des pères fondateurs des USA sur les billets de banque, on nous dépeint une caricature de la société qui veut déclencher un ressort comique en nous montrant un Ken en extase devant ce monde clairement opposé au sien. Mais cela sonne déjà faux, même si c’est un peu drôle. Tout spectateur qui aura un minimum d’auto-dérision sera amusé par ce montage soviétique habilement exécuté par le monteur du film et le talent d’un Ryan Gosling que l’on ne reconnait pas tant il n’avait jamais souri dans Drive.
En réalité, le patriarcat en tant qu’idée est directement incarné par le groupe de dirigeants de la société Mattel, qui occupent une place importante dans ce récit de fiction. Un peu comme Néo qui retourne à la ferme des machines dans Matrix: Revolutions, le récit va amener Barbie dans le bureau du PDG de sa propre compagnie. On aurait aimé y voir Le parrain ou le Docteur Folamour, mais en réalité ni Disney, ni Marvel n’avaient osé se mettre en scène dans leurs propres fictions et cela de manière si importante pour le récit. Après la leçon, le cas pratique : une réunion d’hommes en costume, tous ridiculement soumis à un PDG tyrannique et farfelu, vient parfaitement illustrer cette vision diluée et manichéenne d’un monde exclusivement gouverné par les hommes.
Et là, on peut dire que le film réussit un petit peu son coup: cette simplification parfois grossière nous permet en réalité de mieux comprendre les injustices ressenties par le genre féminin que Barbie prétend représenter. Tout comme un certain entre soi exclusivement féminin, attristait le personnage de Ken au début du film, cette inversion d’un monde à l’autre nous permet de comprendre les défauts d'une hiérarchie sociale qui aurait le genre comme principal indicateur.
Puis le film continue sa descente aux enfers : qu'elle est retourné dans le monde, imaginaire, avant Barbie, important avec lui, des livres théoriques sur le patriarcat. On pouffe, quand on voit que le seul rôle donné à l’objet livre dans ce film est celui de vecteur d'un dogme et de contenant idéologique. Barbie, revenant dans son monde accompagné d’humaines, découvre avec stupeur que Ken, jetant le patriarcat dans son monde comme un mauvais sort, a pris le pouvoir. Mais pas le pouvoir politique, celui d’être désormais le centre de l’attention du monde imaginaire de Barbie. Et là encore, le film nous montre une caricature du patriarcat encore plus difforme et absurde: les « femmes » de Barbie-land sont serveuses, idiotes et heureuses de l’être; et le monde de Ken ressemble à une fraternité étudiante de mauvais film hollywoodien.
On remarque que si toutes ces étapes permettent à Barbie d’évoluer sur sa condition et sa situation, l’homme est toujours aussi idiot et stupide. Sa prise de pouvoir ne lui a rien apporté et il parait plus simplet que jamais et les femmes, elles, sont les victimes d’un jeu idiot. 
L’enjeu principal du film se précise: il y aurait une guerre de pouvoir entre les hommes et les femmes, dans lequel l’homme (et avec lui le patriarcat) serait « le méchant » à anéantir pour espérer une fin heureuse. 
Et on se demande soudain à quel endroit le film a bien pu glisser: de divertissement édulcoré à brûlot idéologique, de fan-service à manuel de guérilla, de comédie décalée à manifeste politique. Ça sent pas bon. Regardons au-delà du film: un monde polarisé à l’extrême, qui oppose  la femme l’homme en les présentant comme deux communautés distinctes ayant leurs propres codes et valeurs, une société organisée autour d’un conflit, structurée par des barrières entre les gens. 
Une vision du monde que le Rabiot attribuera tout particulièrement à la population nord-américaine, dont l’histoire a prouvé que cette société s’est construite sur la division, la ségrégation et le communautarisme. Une vision du monde par la jeune société d’un pays si peu uni qu’il ne porte pas de nom, qui elle aussi se recompose et évolue par les réseaux. 
Depuis l’après-guerre,  le cinéma américain avait inondé les écrans de son modèle de société et de relations matrimoniales stéréotypées de romantisme. Voilà maintenant qu’on nous sert une pseudo-lutte des classes déguisée en guerre des sexes, prédigérée pour un public en déficit d’attention. 
Réussissant à jouer des stéréotypes en créant une confusion dans l’esprit du public, on ne sait plus qui est « le méchant du film » : est-ce Ken, le patriarcat, tous les hommes en général ? Pour résoudre la situation et sortir d’une catatonie éternelle, Barbie et ses complices doivent donc organiser un putsch politique. Pour procéder, elles devront exploiter les faiblesses de l’homme (jalousie, orgueil) pour créer un conflit entre eux afin de créer une diversion, qui leur permettra de reprendre le pouvoir. On nage en plein délire idéologique et on assiste à de véritables tutoriels pour semer la discorde entre les gens, ainsi qu’à la satisfaction des personnages devant leurs desseins accomplis. Inutile de préciser que l’homme-puisqu’il est ainsi caricaturé- est un benêt qui tombe dans tous les pièges qu’on lui tend, naïf avec un QI d’huitre. Heureusement que Ryan Gosling a du talent, sans quoi le malaise aurait été absolu. 
Puis vient le clou du spectacle, l’épilogue, dans lequel tous les personnages du films se retrouvent comme pour assister ensemble au happy ending. Comme annoncé, le pouvoir a été rétabli et Ken, désormais sortant, doit quitter Barbie dans un simulacre de rupture amoureuse. On était prêt à tout, mais pas à ça. Dernière balle perdue pour l’homme qui est maintenant présenté, de son propre aveu, comme n’existant que par et pour les yeux de sa partenaire, si dépendant d’elle qu’une séparation bouleverserait sa personnalité. En revanche, la femme est présentée plus heureuse et plus libre lorsqu’elle est seule: Ken est donc un boulet et Barbie, forte et indépendante, congédie Ken à son propre destin comme un malinois dangereux sur une aire d’autoroute.
Au générique, on a quand même un sentiment d’amertume. L’énergie du récit, son moteur principal, c’est un conflit entre hommes et femmes. La femme, sensible et profonde, y est inégale à l’homme, brutal et grossier. Cette logique trompeuse permet de justifier les curieuses valeurs politiques véhiculées par le film en posant une question piège: pourquoi devrait-il y avoir égalité entre des êtres par essence inégaux ? On réfléchit, puis on se souvient de l’histoire du pays de production du film, à laquelle la rédaction a fait allusion un peu plus haut.
Tout le film capitalise sur une guerre des sexes puérile, un conflit de cour de récréation entre filles et garçons qui serait devenu une généralité universelle. Les personnages nous embarquent donc avec eux dans leur lutte pour l’égalité qui est en réalité profondément manichéenne donc inégale par essence.  La victoire s’obtient par la suprématie de l’un sur l’autre: c’est donc d’un monde totalitaire et d’une violence extrême dont on nous fait la promotion. À la fin, le film ne règle rien et n’apporte aucune solution à ce qu’il présente comme un problème. Au contraire, il met de l’huile sur le feu.  Aurait-on mal compris le sens de l’existence de la poupée Barbie qui en réalité serait une militante révolutionnaire, une sorte de Che Guevara ? Mattel aurait donc « oublié » de donner cette information dans le marketing de ses produits ?
Avec des apparences de progressisme et d’égalitarisme, le film est en réalité profondément conservateur. La Belle au bois Dormant rêve qu’elle est Staline. On se demande comment les gamines -dont on sait déjà que ce film sera leur baby-sitter et éducateur par l’intermédiaire de parents démissionnaires- vont assimiler ces stéréotypes édulcorés et colorés comme des céréales cancérigènes. L’abondance de références cinématographiques sauve l’honneur de la Warner sans pour autant faire celui de la réalisation. Visuellement écoeurant, moralement déséquilibré, écriture au forceps et idées hétérogènes jetées pêle-mêle dans un grand bol en acrylique rose fuchsia, le film a la consistance d’une pâte à gâteau ratée, pleine de grumeaux et d’ingrédients absurdes, dont la cuisson aura donné un truc difforme et -agrémenté à la dégustation de quelques larmes de réactionnaires- vaguement comestible sur le moment mais qui garantit l’indigestion.
NDLR: La Rédaction du Rabiot a vu ce film lors de sa première semaine d’exploitation. Alors que cette critique était en pleine gestation, on a remarqué que le film a fait couler beaucoup d’encre, les médias d’un certain bord politique tous vent debout contre ce produit culturel en réalité de leur côté. On voit, ça et là, des autrices d’articles dépêchées pour faire dire les pires choses, pantins à leur tour d’une idéologie conditionnant leur rémunération. Rejoignez la Rédaction !
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girafeduvexin · 1 month
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C'est trop marrant parce qu'autant je peux dire que je m'y connais un peu en littérature (master de lettres + master d'écriture créative + prof depuis 4 ans), autant j'y connais RIEN en cinéma, je suis vraiment très inculte et j'ai vu très peu de classiques, mais j'aime bien écouter des podcasts sur le cinéma et parfois ça taille des films comme moi je peux tailler des bouquins et je suis en mode "ah j'ai bien aimé ce film pourtant" et c'est pas grave hein !! Je m'en fous que les gens aiment pas un film que j'aime et quand ils ont des bons arguments, c'est intéressant ! Mais autant en littérature, je suis niveau fac, autant en ciné quand j'entends des critiques, je suis vraiment niveau collège, honnêtement, c'est assez rafraîchissant.
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MERCREDI 1er MAI 2024 (Billet 3 / 4)
« IL RESTE ENCORE DEMAIN » (1h 58min)
Un film de Paola Cortellesi, avec Paola Cortellesi, Valerio Mastandrea, Romana Maggiora Vergano…
Nous nous sommes enfin décidés à aller voir ce film dont tout le monde nous disait le plus grand bien. Le bouche à oreille doit d’ailleurs bien fonctionner car le film, déjà sorti depuis plusieurs semaines, est toujours visible dans certaines salles, certes avec juste 1 ou 2 séances par jour.
Nous en sommes sortis avec un avis un peu mitigé. Une spectatrice sur le Site « Allo Ciné » résume assez bien pourquoi. Voir ci-dessous :
« Je crains de n’avoir pas vraiment compris l’intention de ce film. Deux heures sur une femme battue qui a l’opportunité de s’en sortir mais trouve plus important d’aller voter…
Je comprends bien que le droit de vote des femmes est important mais je doute qu’il permette de mettre fin au patriarcat. Même si une femme est élue à la tête du pays (ce qui est le cas aujourd’hui), la violence conjugale n’a pas disparu pour autant. Une question d’éducation en revanche pourrait en venir à bout.
Le twist final m’a gâché mon plaisir et mon désir de liberté et d’émancipation pour Delia (l'héroïne du film) et sa fille. »
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Mais pour être tout à fait honnêtes, nous avons dû chercher longtemps pour trouver une « mauvaise » critique de spectateur sur ce film… car elles sont plutôt toutes dithyrambiques.
Ce qui n’est pas le cas des critiques « Pro » qui, elles, le sont nettement moins. Par contre, nous ne sommes pas d’accord avec leurs reproches. Nous avons aimé tout ce qu’ils n’ont pas apprécié : la mise en scène, volontairement « théâtralisée », la direction des acteurs et la définition de leurs rôles, plus considérés comme des « archétypes » dans la société de l’époque que des « caricatures », les chansons qui rythment certains passages du film et l’humour, entre autres dans la scène avec les ex-futurs-beaux-parents.
Dans les « moins », il y a une grosse invraisemblance dans ce qui arrive une nuit à leur bar, nous ne voulons pas vous en dire plus pour ne rien spolier, mais c’est surtout le « twist » de la fin… qui nous a laissés sur notre faim !
Nous donnons tous les deux ❤️❤️❤️ sur 5 à ce film dans lequel nous ne nous sommes pas ennuyés une seconde et que nous sommes quand même contents d’avoir vu.
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pascal-et-sarah · 1 year
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Le cinéma au Vietnam
Si vous nous connaissez vous savez que lors de notre vie parisienne il y a pas mal de nous croiser vers 9h le samedi matin à l'UGC Ciné Cité les Halles à Paris. Ce petit plaisir de la salle vide et du film qui permet d'attaquer le week-end du bon pied nous a donné tout de suite envie d'essayer d'aller au cinéma à Hanoï. Des petits oiseaux qui bossent dans l'industrie nous ont dit qu'au Vietnam il y avait pas mal de cinéphiles donc on partait gagnant.
Le marché a l'air (je dis a l'air, parce que bien sûr je n'en sais rien) d'être tenu par trois grosse chaînes
CGV un grande chaîne coréenne (cf. l'autre blog), si jamais vous cliquez sur le lien bin ça ne fonctionnera sans doute pas parce que l'accès est réservé aux vietnamiens (because reasons...).
Lotte Cinéma une grande chaine de cinéma coréenne (vous voyez le pattern?)
Galaxy Cinéma une chaine peut être Vietnamienne mais de toute façon à Hanoï il n'y en a qu'un et il est loin de tout...
Qui dit cinéma dit (en France) Allociné. J'ai fini par trouver un équivalent local et surtout disponible dans la langue de Shakespeare le bien nommé Moveek.
Une fois qu'on sait qu'il y a des cinémas, la question est de savoir si on peut aller voir des films (si vous n'avez pas eu le mémo, on ne parle pas trop Vietnamien...). Et bien on dirait qu'on a eu de la chance, les films américains sont en anglais avec des sous-titres en vietnamien et les films vietnamiens on souvent des sous-titres en anglais. Ensuite on parle de prix et c'est très raisonnable (c'est pas l’Angleterre quoi), pour les places normales (vous verrez) il faut compter entre 100K et 150k VND (entre 4 et 6€) puisque les tarifs fluctuent en fonction des jours de la semaine.
Pour le reste c'est un peu comme en France, les films sortent le vendredi (USA style) et on peut réserver sa place sur internet. Petite amélioration/différence on peut réserver sa place comme au théâtre. Par contre elles ne sont pas toutes au même prix 🤷‍♀️
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Par contre là où ils sortent le grand jeu c'est dans les salles (on dit cinéma pour salle ici mais bon) "l'amour" (en français et tout). Là au lieu d'un fauteuil vous avez le droit à un lit avec une tête de lit, une couverture, des oreillers.. Thé, café offert... Bref c'est le luxe, presque 10€ par personne donc vaut mieux.
Pour finir cette article une petite critique express. Le premier film vietnamien de ma vie, vu au Vietnam.
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Ke an Danh (2023) 6/10 Alors pour ce qui est du scénario ça n'est pas très compliqué vu que c'est Taken (bises à Olivier Mégaton). Un beau-père au lourd passé est obligé de se bastonner avec pleins de gens pour sauver sa fille. Voilà c'est tout.
En dehors de ça, le film est plutôt plaisant, pas trop long, les bastons sont belles et pas trop mal filmées. Au global ça passe plutôt bien si ce n'est un certain nombre de dialogues et de situations incompréhensible pour nous (mais peut être qu'il faut blâmer la traduction anglaise). Je ne pense pas qu'il sera disponible en France un jour mais on ne sait jamais.
Bises et popcorn 🍿
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astronomyofwords · 2 years
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je suis allé voir annie colère au ciné hier soir et je suis sûr qu'il y a des choses à critiquer mais j'ai la flemme. c'est un film qui se passe un an avant la loi Veil qui légalise l'IVG. on suit une femme qui s'engage peu à peu dans un groupe du MLAC (mouvement pour la liberté de l'avortement et de la contraception) qui pratique des avortements illégaux.
c'est super intéressant. mais ce que j'ai le plus aimer c'est la discussion autour de la tendresse. de ces femmes qui avortent pendant qu'une autre leur chante une chanson en leur tendant la main. que pour la première fois, le.a médecin explique ce qu'iel fait. que je n'ai pas vu une tendresse comme ça dans le milieu hospitalier.
annie colère ressemble au documentaire sage-femme, je trouve. une révolte contre comment on soigne aujourd'hui. et que depuis toujours, la tendresse est politique.
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vincentdelaplage · 2 years
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CINÉ CINÉMA #cineserie #cinécinéma LE SERMON DU CURÉ DE CUCUGNAN SYNOPSIS A Cucugnan, le curé Martin désespère de voir un jour ses paroissiens à l'église. Il invente une histoire pour les faire venir : lors d'un rêve, le curé est arrivé au paradis et a voulu voir ses paroissiens mais l'ange lui a dit qu'il n'y avait aucun cucugnanais au paradis, tous sont en enfer. Dès le lendemain, tout le village vient se confesser. 13 ans après ses "Lettres de mon Moulin", Marcel Pagnol achève son adaptation avec "Le Curé de Cucugnan", réalisé pour la télévision. FILM https://youtu.be/USgvV9QSH7Q DÉTAILS 25 décembre 1968 en salle / 0h 45min / Comédie dramatique De Marcel Pagnol Par Marcel Pagnol, Marcel Pagnol Avec Fernand Sardou, Jean Panisse, Roger Crouzet CRITIQUE Alors là... je n'avais jamais vu un film aussi court ! Il se trouvais sur YouTube où quelquefois je trouve quelques perles (pas toujours de qualité d'ailleurs ! Et celui-là ne faisait pas exception car numérisé à partir d'une bande VHS). L'histoire ? Un prêche d'un curé (Fernand SARDOU), un monologue qui dure près de 40 minutes sur les 45 que compte le film... Et moi qui me disait justement que je n'avais jamais vu de film avec le père de Michel où il avait le premier rôle ? Et bien, c'est bien fait ! https://www.facebook.com/groups/258021104684457/?ref=share_group_link https://www.instagram.com/p/CnB3yFAMa7s/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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la-chronique · 2 years
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Sans [aucun] filtre 
La satire vomitive de Ruben Östlund
/ Spoiler alert /
Cher·e·s lecteur·rices, nous sommes le dimanche 9 octobre. Les heures défilent mais je reste saisie / scotchée / presque tétanisée du film que j’ai vue hier soir. Le dernier film de Ruben Östlund : Sans Filtre, à décidément eu une influence néfaste sur mon sommeil. Si bien que je me sens aujourd’hui obligée de vous écrire à son sujet... 
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Ce film raconte l’histoire de Carl et Yaya, deux mannequins influenceurs invités sur un yacht pour une croisière de luxe. Mais alors que le personnel est au petit soin avec les vacanciers le scénario tourne à la catastrophe…
Il faut sans doute vous préciser, que je pars à cette séance de ciné, sans avoir ni vu The Square — film primé aux Oscars 2017 du même réalisateur — ni même sans avoir visionné la bande annonce de la projection qui allait suivre. Grossière erreur car vous n’imaginez pas ma stupeur, lorsque Östlund, durant presque 2h de film, enchaîne les scènes malaisantes dépeignant l'humain dans sa forme la plus grotesque.
Découpé en trois volets, ce film introduit crescendo, les thématiques de l’argent, du pouvoir et de la lutte des classes, jusqu’à frôler la misanthropie. 
Sans Filtre démarre avec une scène rendue intime par des plans serrés, où Yaya et Carl se retrouvent au restaurant. Ce dernier tente maladroitement de questionner sa copine sur son rapport à l’argent qui s’énerve et fait une esclandre. Très vite, le réalisateur dresse le portrait moderne de deux jeunes adultes empreint de contradictions, tentant de redéfinir leur rôle au sein de la relation. 
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Si la thématique de l’argent est introduite dès les premières minutes du film, il est d’autant plus présent dans la seconde partie. L’on retrouve notre jeune couple invité sur une croisière de luxe. Östlund s’amuse, nous dépeignant des scènes satiriques où la folie des riches n’a aucune limite. La femme d’un oligarque russe ordonne à tout l’équipage un bain forcé contrecarrant toute l’organisation du diner. Absurdes et insensées, les conversations vides de sens s’enchaînent jusqu’au drame. Si la fortune régit les rapports de force durant la croisière entre un équipage s’écrasant pour répondre aux moindres besoins des vacanciers : ce rapport de force est soudain mis à mal lorsqu’une tempête surgit. En plein repas, les invités vomissent tour à tour leurs assiettes, se vautrant dans les escaliers et s’enfermant dans leurs cabinets. Le réalisateur malmène ces bourgeois, poussant le vice avec des scènes intimes, nauséeuses. Le rapport de force s’inverse violemment,  les fortunés sont montrés très impuissants, provoquant les rires nerveux des spectateurs autour de moi. 
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Mais alors que le réalisateur aurait pu se contenter de nous proposer une fin moralisatrice, il pousse le vice en nous plongeant dans un troisième volet. Très long, le film prend une tournure grotesque lorsque : échouée sur une île, après s’être fait attaquer par des pirates, une petite partie des passagers (vacanciers et équipage confondus) se retrouvent lâchée dans la nature. Les rapports de force se polarisent lorsque Abigaïl (ex-responsable de la propreté des sanitaires) est la seule à pouvoir subvenir aux besoins du groupe. Elle impose son matriarcat sur l’île. Le scénario bascule dans un faux-semblant de Koh-Lanta où le réalisateur ne manque pas de nous dépeindre toute la cupidité et la bêtise humaine prête à tout pour survivre et conserver son pouvoir. 
Finalement, ce film est une critique vomitive du genre humain. Grâce à un procédé de surdose le réalisateur nous propose un film long et lourd à digérer. À la place de nous faire passer un message, il nous laisse seul face à la satire et à notre propre moralité : quelle cruauté ! Et si nous ressortons de la salle assez dégoûtés de ce portrait humain du XIXème siècle, paradoxalement, les scènes sont si crues et denses qu’elles nous laissent plutôt hermétiques au sujet.
S’il est certain que Sans Filtre colle des frissons et divise, qu’il aie remporté la palme d’or aux Oscars 2022 en dit long… 
Julia Ducretet, le 09/10/22
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loupcurieux · 3 months
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Je suis allé voir a tunnel to summer, et il est vraiment cool. Un bon film ressourçant que j'ai bien aimé. Dommage que je fus seul dans la salle
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cinecritik · 6 months
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Un procédé qui est incroyablement efficace dans son insolence vis-a-vis d’un régime autoritaire en décalage complet avec sa population.
Avec ces #chroniquesdeteheran, on a ici un exemple parfait de la force de frappe d’un cinéma politique efficace.
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lapasserelleluynes · 8 months
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Moteur. Action !
Chaque année, La Passerelle choisit un nouveau thème autour duquel s’articuleront les activités proposées aux 10-17 ans qui fréquentent la structure. Cette année, place au cinéma !
Au programme, initiation au langage cinématographique et à l’analyse filmique, histoire et métiers du cinéma, culture cinématographique, scénario, réalisation, son, montage, mixage et étalonnage, actualité et critique au cinéma, ateliers de programmation et projections à La Grange.
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Les activités sont organisées en partenariat avec l'association Ciné Off !
En septembre, les jeunes ont participé à un comité de sélection d’un anime (film d’animation japonaise souvent adapté d’un manga). Les cinq films proposés abordaient chacun un sujet différent : l’amitié, le sport, le deuil… Le choix des jeunes s’est porté sur le film Le château solitaire dans le miroir, un anime adapté du roman éponyme de Mizuki Tsujimura qui aborde le sujet du harcèlement scolaire.
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La projection du film a eu lieu le 8 novembre à La Grange. L’occasion de mobiliser les jeunes, leurs familles et la communauté éducative de Luynes autour du sujet en proposant un débat en fin de séance, en présence d’élus, de représentants des écoles et des associations des parents d’élèves. Une belle manière d’amorcer la journée nationale contre le harcèlement qui avait lieu le lendemain. La Passerelle est d’ailleurs intervenue au collège pour des ateliers de prévention contre le harcèlement.
Prochain grand évènement pour les jeunes de La Passerelle : la participation à La Fête du court métrage au mois de mars 2024. Des belles animations en perspective !
Programme de La Fête du court métrage : centre.culturel.luynes.fr
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selectionfilms · 10 months
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SAMEDI 3 AOÛT 2024 (Billet 3/3)
Nous attendions les nouvelles sorties cinéma mercredi… mais « nothing », « nada », « niente », « nichts », « niets », « ничего »… RIEN en français !!!
Vu les chaleurs tropicales qui sévissaient ce jour-là à Paris, ne voulant pas marcher trop longtemps, seules nos salles du Pathé Beaugrenelle nous intéressaient et voilà ce qui s’y donnait :  « MaXXXine, un film d’épouvante ; « Garfield », un dessin animé ; « Deadpool & Vilverine », un film Marvel pour ado ou adulte attardé ; « Twisters », déjà vu ; « Moi, Moche et Méchant 4 », un dessin animé ; « To the Moon », déjà vu ; « Le » comte de Monte-Cristo », déjà vu ; « Vice-Versa 2 », un dessin animé, déjà vu… et « Largo Wintch : Le prix de l’argent ».
Ce dernier, un film d’action franco-belge qui aurait pu s’appeler « Largo Winch 3 », faute de grives, était susceptible d’intéresser JM même s’il n’avait pas vu les 2 premiers. De fait, il a d’abord réservé sa place sur l’application Pathé puis, un peu plus tard, ayant découvert les mauvaises critiques de la Presse et des Spectateurs sur le Site « Allo Ciné », il a annulé. Après le déjeuner, n’ayant rien à faire de son après-midi, il est retourné sur « Allo Ciné » et a remarqué que certains grands journaux, comme Le Figaro, s’ils ne l’ont pas encensé, ont quand même relevé 2 ou 3 petites choses qui faisaient qu’on pourrait peut-être aller voir ce film.
C’est ce qu’il a fait. Au bout de 8-10 minutes de projection, il a failli se lever pour partir mais, comme il faisait bon frais dans la salle et n’ayant pas envie de retrouver la chaleur du dehors, il est resté jusqu’à la fin. Peut-être s’est-il endormi 1 ou deux fois… ce qui, pour un film d’action, avouez-le, est quand même un comble !!!
Vous trouverez ci-dessous l’avis d’un critique qui dit tout le mal qu’il en a pensé et résume bien celui de JM.
Il lui donne ❤️ sur 5. « 1 cœur » uniquement pour les beaux plans filmés en Thaïlande et dédie ce Billet à Pierre (L.) venu lundi dîner à la maison avec sa compagne, notre amie Diane (H. de S.). Ils en avaient parlé, il avait entièrement raison !
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« LARGO WINCH : LE PRIX DE L’ARGENT » (1h40)
Un film d’Olivier Masset-Depasse, avec Tomer Sisley, James Franco, Clotilde Hesme, Élise Tilloloy…
Treize ans après le deuxième épisode – et un beau bide, à peine 600 000 entrées – voici donc le troisième volet du justicier milliardaire. Sous-titrée avec inspiration Le Prix de l’argent, on ne peut pas dire que cette suite n’annonce pas la couleur : il s’agit avant tout de faire tourner la machine à cash. Et de relancer un acteur qui n’a jamais rien fait d’autre que cette adaptation encore plus plate que les planches de la BD…
Tomer Sisley, 49 ans et des heures interminables passées en salle de muscu, n’a strictement rien à jouer dans Largo Winch, et il le fait très bien ! Comme les pompes devant les gratte-ciels de Bangkok. En bon yesman, le nouveau réalisateur belge Olivier Masset-Depasse l’a bien compris : il exhibe son torse nu galbé dès le premier plan. Et comme il y a une tradition de bogosse dans « Largo Winch », c’est James Franco – qui manifestement lui non plus ne savait plus quoi faire au cinéma – qui va jouer le méchant.
On a dû mettre du collyre dans les yeux de Tomer Sisley : il a les yeux embués dès qu’il parle de son fils, kidnappé dans la jungle thaïlandaise. Pour le reste, on se marre doucement quand on voit James Franco sous sa capuche essayer d’effrayer avec son tue-moustique. Il pourrait concourir au rôle de méchant le moins méchant de l’histoire du cinéma. Et on se pince quand on voit Clotilde Hesme, comédienne militante quand il s’agit de jouer récemment Hamlet en femme au théâtre, venir cachetonner dans le plus ringard des divertissements « à la papa ».
« Largo Winch, Le Prix de l’argent », le nanar de l’été !
La critique du capitalisme financier dans un film qui pue le fric à tous les étages n’est pas plus crédible que le switch final (pitié pas de suite !). Et la pauvre Élise Tilloloy sert de caution-potiche en influenceuse écolo aux 10 millions de followers, qui fait la leçon à la terre entière avec un accent québécois à couper au couteau. Y parviendra-t-elle ? Ne vous inquiétez pas, rien n’est crédible dans cette franchise à bout de course, résumée dans un final lénifiant par ces mots : « Tout était un accident ». Visiblement, même le film.
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haiti-photos · 1 year
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Port-au-Prince sans cinéma !
Publié le 8 décembre 2012
Ciné Capitol: Photo de:forumhaiti.org
″Le cinéma c’est toujours mieux au cinéma″. Donc, on n’est nulle part si bien pour regarder ou assister à une projection d’un film que dans une salle de cinéma.
Dans toutes sociétés constituées, le cinéma est une expression artistique de haute valeur. En tant que tel, le cinéma déniche des talents, crée des emplois, génère des fonds, mais exige aussi de l’investissement.
Comme partout ailleurs dans le monde, nous autres en Haïti, nous avons (nous avions) notre industrie cinématographique, dont l’historicité est remontée à l’apparition même de celle-ci dans les autres pays.
Fin des années 90-début des années 2000 fut une époque retentissante, florissante pour le cinéma haïtien. Des longs et des court-métrages de bonne qualité, des projections à succès, des nominations dans des festivals internationaux, des prix par-ci, des récompenses par-là. C’était une belle période pour le septième art. Nos salles de projection ne se passent pas un mois sans de nouvelles affiches. Notamment à Port-au-Prince, où parfois on était dans l’embarras du choix de savoir où aller. Les cinéphiles étaient bien gâtés.
Cap à la une, Cicatrices, La peur d’aimer, Barikad, Protège-moi, Millionnaire par erreur, Le vent du désir, I love You Anne, La rebelle, Vocation, Sonson, La victime, Alelouya, Le président a-t-il le sida, Cousines, Chomeco… pour ne mentionner que ceux qui me viennent tout juste en mémoire. Que de films qui, pour une raison ou une autre ont créé des longues files, causé des embouteillages, suscité des émotions, des délires et des folies intenses dans les différentes salles de ciné du pays, particulièrement dans la capitale.
En effet, depuis quelque temps, on assiste à une dégradation vertigineuse de l’industrie cinématographique locale. Les feux clignotent aux rouges. La situation est critique. Cinéastes abandonnés, absence de production, fermeture des salles de projection, cinéphiles déconnectés…le cinéma haïtien est à son point mort.
Aujourd’hui à Port-au-Prince, il n’existe aucune salle de projection équipée depuis que les responsables de Loisirs S.A ont procédé à la fermeture de  Capitol et de Impérial, deux plus grandes salles de ciné du pays (durant ces dernières années.)
En fait, on peut se demander, qu’est-ce qui peut-être à l’origine de cette dégradation du cinéma haïtien ? Et comment peut-on redresser la pente ? A ces interrogations, Handy Tibert, acteur très populaire dans le milieu a répondu : «Le Cinéma Haïtien est une industrie avec des problèmes assez complexes. Cette perte de vitesse s’explique tout d’abord par le fait que l’industrie en elle-même n’a pas pu tenir face aux coûts de la production. En Haïti le cinéma n’a jamais été subventionné, ce qui a causé un relâchement dans la qualité des films qu’on produisait récemment. Ensuite est venu s’ajouter la prolifération des chaines de télévision en Haïti, et surtout qui ne respecte rien en termes de droit d’auteur et de qualité des films étrangers surtout qu’elles diffusent», a lamenté l’acteur vedette de Barikad.
«Redresser la barre ne sera pas chose facile, mais on peut commencer par fournir l’accès aux films dans des salles appropriées. Ainsi le consommateur sera plus ou moins soulagé. Mais l’industrie du cinéma, tout comme dans les autres pays demande une prise en charge de l’Etat haïtien. Le Secteur privé a certainement sa partition à jouer, mais l’Etat est le premier concerné qui doit soutenir une industrie créatrice d’emplois et génératrice de revenue pour le pays», a conseillé le jeune cameraman.
Une capitale de Port-au-Prince sans salles de cinéma où les jeunes ont plutôt tendance à se tourner vers le «Raboday» et du «zokiki», on doit vite agir pour cicatriser la plaie.
Bon, il y a encore de l’espoir, puisque récemment on a annoncé les réhabilitations du ciné Triomphe et de Rex Théâtre. C’est plus qu’une bonne nouvelle. Cependant, dorénavant, l’Etat haïtien doit commencer par s’impliquer dans le cinéma, car ce dernier, en plus d’être un art, mais c’est aussi une source de divertissement et de loisir pour une jeunesse, qui en a tant besoin.
Osman Jérôme
http://lautrehaiti.mondoblog.org/tag/port-au-prince/
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Petite MAJ
Salut, bon, vous l’avez vu, j’étais devenu un peu assidu sur mes critiques ciné mais bon, c’est comme tout, j’ai vite eu autre chose à faire. De ce fait, j’aimerais beaucoup en parler avec les visiteurs du blog, envoyez-moi un message, vous voulez bien ?
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vincentdelaplage · 2 years
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CINÉ SÉRIE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX PIRATES DES CARAÏBES La Malédiction du Black Pearl SYNOPSIS Dans la mer des Caraïbes, au XVIIe siècle, Jack Sparrow, flibustier gentleman, voit sa vie idyllique basculer le jour où son ennemi, le perfide capitaine Barbossa, lui vole son bateau, le Black Pearl, puis attaque la ville de Port Royal, enlevant au passage la très belle fille du gouverneur, Elizabeth Swann. L'ami d'enfance de celle-ci, Will Turner, se joint à Jack pour se lancer aux trousses du capitaine. Mais Will ignore qu'une malédiction frappe Barbossa et ses pirates. Lorsque la lune brille, ils se transforment en morts-vivants. Leur terrible sort ne prendra fin que le jour où le fabuleux trésor qu'ils ont amassé sera restitué... BANDE ANNONCE https://youtu.be/Ds5iN5rA9Xk DÉTAILS 13 août 2003 en salle / 2h 23min / Action, Fantastique De Gore Verbinski Par Jay Wolpert, Stuart Beattie Avec Johnny Depp, Geoffrey Rush, Keira Knightley Titre original Pirates of the Caribbean: The Curse of the Black Pearl CRITIQUE Trois raisons de revoir “Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl” Quand Johnny Depp revêt les oripeaux de Jack Sparrow, il porte le film (presque) à lui tout seul. Ce dimanche soir, “Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl” repasse à la télé. Profitez-en pour embarquer et régalez-vous ! Vous reprendrez bien encore un peu de rhum arrangé, vieilli dans les cales humides et mystérieuses d'un grand vaisseau ensorcelé, aux voiles et pavillon noirs ? Sortie en 2003, La Malédiction du Black Pearl, de Gore Verbinski, est la toute première cuvée de la saga Pirates des Caraïbes : quatorze ans plus tard, elle est toujours aussi savoureuse, mélange pétillant de fantastique, de romance et d'aventures iodées, avec une bonne dose d'humour et un soupçon de macabre pour relever le tout. On a recensé (au moins) trois bonnes raisons de reprendre la mer (du Sud) avec le capitaine Jack Sparrow et ses compagnons. Quiconque a un jour visité avant 2003 l'un des parcs Disney (land ou world, selon votre région du monde) a navigué sans le savoir dans la « matrice » de la saga Pirates des Caraïbes. Attraction très populaire, cette espèce de son et lumière (à l'é https://www.instagram.com/p/Cp2NPGzMwo7/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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