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#dépasser ses peurs
dandanjean · 2 years
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Se dézoner
Les barrières et les liens les plus puissants sont invisibles. D’une part, nous n’en prenons pas réellement conscience, et d’autre part, nous ne savons pas comment les contourner. Ce sont les limites provenant de soi et délimitant notre espace vital. Elle empêche de réaliser notre véritable potentiel. Pour dépasser les limites que nous nous imposons, il n’est pas nécessaire d’avoir un don…
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coolvieilledentelle · 11 months
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans,  On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne  nous  quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi 
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artnstick · 5 months
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Du plaisir d'écrire
Et si on se rappelait que le but d'un RPG c'est le plaisir d'écrire ? Pas d'être productif, proactif, suractif, mais de prendre du plaisir, de ressentir la passion, le bonheur, ou juste l'excitation de se mettre derrière son clavier pour frapper les touches aussi vite que possible pour lâcher les idées que l'on a en tête.
J'ai commencé à écrire sur des forums RPG avant les règles qui encadrent l'activité des membres : nombre de ligne, nombre de réponse par mois, choix du pronom d'écriture, points d'activité, nombre de MC autorisé... et je comprends pourquoi ces règles ont été mises en place, parce que j'ai été confrontée à des partenaires qui ne relançaient pas dans ses réponses. J'ai attendu la réponse à un rp pendant 18 mois d'un membre qui se connectait tous les jours. J'ai vu des membres créer des MC sans écrire. J'ai aussi créé des MC sans dire que c'était moi derrière chacun. J'ai vu apparaitre le "tu" comme pronom de réponse.
J'ai aussi connu des animations qui mettaient au défis les joueurs de faire des réponses en alexandrins, en rimes, en utilisant l'argot, en citant des chansons, en utilisant des mots désuets, en écrivant plus de 1000 - 2000 ou 3000 mots... Et je me demande aujourd'hui si l'écriture est encore au centre des forums rpg ?
Je me vois, moi, me demander plus facilement si je vais pouvoir m'intégrer dans un groupe plutôt que de savoir si je vais pouvoir écrire des rps différents. J'angoisse à l'idée de venir sur un forum rpg où je ne connais personne, alors qu'auparavant je m'inscrivais pour la seule appréciation du contexte et de l'univers. J'ai peur de ne pas pouvoir me faire aux règles, aux autres joueurs, aux relations humaines, de dire un mot de travers, de mal me faire comprendre ou d'écrire un personnage qui n'intéressera personne.
Et le plaisir d'écrire - dans tout cela - je ne sais plus où le positionner. Je prends plaisir à écrire, mais je me rends compte qu'aujourd'hui, j'ai besoin de prendre plaisir à partager.
Et vous, est-ce que vous prenez toujours plaisir à écrire ? à dépasser vos limites, à sortir de votre zone de confort en tant qu'écrivain (même amateur), à vous essayer à de nouveau style, à interpréter des personnages qui vous sont diamétralement opposés juste pour écrire différemment ?
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jeanchrisosme · 3 months
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Dans ma vie, j'ai rencontré des gens très courageux. Et avec le temps, j'ai fini par comprendre ce qui les distinguait des autres: les courageux avancent avec le coeur grand ouvert! Ils ne vivent pas dans leur tête. Les courageux ont compris que la tête ne sait rien du courage. La tête vit dans le passé, dans le futur, mais rarement au présent. Elle calcule, elle doute, elle prévoit, elle contrôle, elle angoisse, elle se méfie constamment de tout et de rien. Le coeur, lui, est tellement plus courageux que la tête! Il aime vivre dangereusement et prendre de beaux risques: le risque d'être authentique, le risque de dire la vérité, le risque d'aimer sans carapace, le risque de pardonner, le risque de dépasser des limites imposées, le risque d'exprimer sa créativité, le risque de se réaliser, le risque de se réinventer. Le coeur n'a pas peur, car il vit et bat au moment présent. Aujourd'hui, j'ai compris pourquoi le mot "courage" vient d'une racine latine qui signifie "coeur" ... Le courage n'est pas l'absence de peur, le courage, le véritable courage, c'est de vivre à partir du coeur.
Nicole Bordeleau
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ernestinee · 10 days
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Je viens de terminer "L'homme coquillage" d'Asli Erdogan. J'ai adoré. C'est l'histoire d'une métamorphose, de cette jeune physicienne qui s'embarque dans un voyage aux Caraïbes pour y suivre des cours universitaires de physique, parce que c'est bon pour sa carrière.
Très vite, elle ne se sent pas à sa place parmi les physiciens, et explore les alentours. Elle fait la connaissance de l'homme coquillage, personnalité rugueuse, au passé effrayant. Cette rencontre va la bouleverser autant que la fasciner.
Ça parle de la vraie façon de voyager, qui est d'aller au devant de la culture et des gens, c'est une histoire vraie, ça raconte aussi comment dépasser ses peurs et émerger de blessures profondes.
J'ai commencé la lecture en allant voir qui était l'autrice (parce que c'est une histoire vraie, alors je voulais le contexte) et quel personnage !
"Aslı Erdoğan est une romancière turque, journaliste, militante pour les droits humains. Arrêtée le 17 août 2016 et emprisonnée dans la prison Bakırköy d'Istanbul, elle est libérée le 29 décembre 2016. Elle est lauréate du prix Tucholsky 2016 et du Prix de la paix Erich-Maria-Remarque, qui sont des prix récompensant l'engagement en faveur de la paix. Aslı Erdoğan reçoit aussi le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes 2018." (Wikipedia)
Le rythme est doux, l'écriture est habile et honnête, j'ai dévoré ce bouquin et très envie de lire ses autres livres.
⭐⭐⭐⭐⭐
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Soumission volontaire et hypocondrie…
Lacan, sur la formidable jouissance de la peur qui saisit un grand nombre de nos concitoyens: «[…] il s’avère que l’offrande à des dieux obscurs d’un objet de sacrifice est quelque chose à quoi peu de sujets peuvent ne pas succomber, dans une monstrueuse capture. L’ignorance, l’indifférence, le détournement du regard, peuvent expliquer sous quel voile reste encore caché ce mystère. Mais pour quiconque est capable, vers un tel phénomène, de diriger un courageux regard – et […] il y en a peu assurément pour ne pas succomber à la fascination du sacrifice en lui-même – le sacrifice signifie que, dans l’objet de nos désirs, nous essayons de trouver le témoignage de la présence du désir de cet Autre que j’appelle ici le Dieu obscur.»
La “jouissance de l’Autre” non barré de la science (cf. infra) qui conditionne la jouissance de la peur, qui n’est rien d’autre que la jouissance de la peur de jouir (de l’hypocondriaque)…
Personne ne vous demande d'ébranler le pouvoir, il suffirait de cesser de le cautionner pour qu’il se délite de lui-même.
Commençons par arrêter de soutenir les ennemis de l'esprit, du peuple, de la démocratie.
Arrêtons de croire que nous avons besoin d'experts, et que nous avons besoin de maîtres pour nous gouverner.
Arrêtons d'alimenter le système en occupant systématiquement les cases que le diktat de l'opinion creuse chaque jour à cet effet, arrêtons d'être toujours pour ou contre quelque chose ou quelqu’un dont nous ne savons rien d’autre que ce qu’en disent les médias, arrêtons de nous encombrer l’esprit de “on dit”.
Arrêtons d'offrir au pouvoir notre temps, notre intelligence, les ressources dont nous nous plaindrons ensuite d'avoir été spoliés.
Pourquoi constituons-nous ces files qui montent au bûcher et qui alimentent le sacrifice pour quelques-uns ou même pour un seul?
Pourquoi tenons-nous tant à être le complice préféré du meurtre et l'ami fidèle du désespoir?
Les bêtes ne souffriraient pas ce que nous consentons.
Ne servons plus de mauvais maîtres pour tenter de refouler notre dépendance au signifiant.
Assumer la castration, c’est le seul moyen de la dépasser.
Le "monde" est un fantasme qui se soutient d’un certain type de pensées…
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plexussolaire · 8 months
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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lisaalmeida · 1 year
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Je crois que la tendresse est un mouvement qui nous entraîne à suivre un chemin bordé
de sensations et de sentiments ou se
trouvent mêlés bienveillance, acceptation,
abandon, mais aussi confiance, stimulation,
étonnement, découverte. Pour suivre ce chemin, peut-être faut-il accepter de dépasser des peurs, de sortir des préjugés, d’affronter l’inconnu d’une rencontre.
Peut-être faudrait-il plus simplement, plus difficilement aussi, accepter d’entrer dans le cycle de la vie. La tendance est une naissance à soi-même qui nous fait pénétrer
dans le ventre émerveillé de l’existence.
Jacques Salomé
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perduedansmatete · 1 year
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en vérité quelquefois je regrette d'avoir arrêté l'athlétisme, même si ce n'était pas de ma faute j'aurais pu reprendre plus tard, j'ai jamais été la plus nulle, jamais la meilleure non plus mais c'était pas le but, j'aimais mon entraîneur qui me le rendait bien (il me motivait avec des bonbons mdr privilège de chouchoute) j'aimais les gens et ce sentiment de famille, ça me faisait du bien de sortir de ma tête et ça me manque un peu d'être douée et reconnue dans quelque chose, ça me manque d'aimer faire du sport, d'imaginer que je tue quelqu'un que je n'aime pas avec mon javelot et de me jeter dans le sable le plus loin possible après avoir compté mes marques tant bien que mal avec quelqu'un qui chante dans mes oreilles pour que je perdre le compte, puis ça me manque d'avoir un corps plus fonctionnel, même le stress des compétitions que je détestais me manque, petite j'allais assez souvent m'entrainer à reculons mais le peu d'autres sports que j'ai pu tester ne m'ont jamais permis de me dépasser comme l'athlétisme et ne m'ont jamais fait autant de bien je crois, à part la boxe peut-être mais ce n'était pas pareil et je n'ai pu en faire que trop peu de temps car mon dojo s'est effondré à peu près au même moment que mon dos, puis ce que j'aimais dans l'athlétisme c'était que même si c'est un sport assez solitaire il y avait quand même une notion d'équipe assez forte, bref depuis je fais plus vraiment de sport (euphémisme, en même temps fut un temps on m'a dit qu'il fallait en faire le moins possible ou bien des trucs nuls genre nager dans une piscine) je n'arrive plus à courir sans avoir atrocement mal aux poumons (et aux ovaires mdr ou un truc par là) je n'ai plus d'endurance et ça c'est franchement un drame et une honte, j'ai le corps cassé, mon esprit ne peut plus se défouler non plus et j'ai peur de refaire du sport avec des gens que je ne connais pas (mais j'ai un peu envie quand même)
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seduisantes · 1 month
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Briser les Chaînes : Un Voyage Vers Soi
Mettre un terme à une relation amoureuse, c’est un peu comme arracher une page d’un livre. C’est douloureux, mais parfois nécessaire pour écrire un nouveau chapitre. Pourtant, la décision de se séparer n’est jamais facile. Les liens qui nous unissent à l’autre sont souvent plus forts que nous ne le pensons.
Les Liens Invisibles de l’Amour : Un Piège Emotionnel
L’amour, c’est un peu comme une drogue. Il crée une dépendance, une addiction à l’autre. Les neurotransmetteurs libérés lors des moments de complicité renforcent ce lien, créant une sorte de cocon sécurisant. Sortir de ce cocon peut être éprouvant, mais il est essentiel pour retrouver sa liberté.
La Peur de l’Inconnu : Un Abîme à Franchir
Après une séparation, c’est un peu comme se retrouver seul sur une île déserte. L’inconnu fait peur, et l’on se demande souvent si l’on sera capable de retrouver le bonheur. La peur de la solitude, l’incertitude quant à l’avenir, autant d’émotions qui peuvent paralyser.
La Culpabilité : Un Poids Lourd à Porter
La culpabilité est un sentiment tenace qui peut nous empêcher d’avancer. On se demande si l’on aurait pu faire mieux, si l’on est responsable de l’échec de la relation. Ce poids peut nous empêcher de voir les raisons objectives de la rupture.
La Pression Sociale : Le Regard des Autres
La société valorise le couple, et la séparation est souvent perçue comme un échec. Les regards des autres, les questions indiscrètes, peuvent renforcer le sentiment d’être jugé et d’avoir échoué.
La Reconstruction : Un Nouveau Départ
La séparation est une épreuve difficile, mais elle est aussi une opportunité de se retrouver soi-même. C’est le moment de faire le point sur ses besoins, ses désirs, et de se recentrer sur ses projets personnels.
Accepter ses émotions : La tristesse, la colère, la peur sont des émotions normales après une rupture. Il faut les accepter pour pouvoir les dépasser.
Prendre soin de soi : Le corps et l’esprit sont étroitement liés. Pratiquer une activité physique, une activité créative, ou simplement passer du temps avec des amis peut aider à se sentir mieux.
Fixer des objectifs : Se projeter dans l’avenir permet de donner un sens à cette nouvelle étape de vie.
Entourer-vous de personnes positives : Le soutien de l’entourage est précieux pour se relever.
Consulter un professionnel : Un thérapeute peut vous aider à comprendre vos émotions et à développer des stratégies pour surmonter les difficultés.
La séparation est une épreuve, mais elle est aussi une opportunité de grandir et de se découvrir. C'est le début d'une nouvelle aventure, un voyage vers soi.
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uneessencesensible · 10 months
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N°2040 – Samedi 15 juillet 2023
Je suis heureuse d’être avec lui. Á vrai dire, je n’ai pas toujours les mots pour dire ce que je ressens. J’ai compris que mon envie d’écouter de la musique et de m’imaginer une autre version de moi, dans un autre monde, n’était qu’une réponse à une situation anxiogène et non à cause de lui. Je l’aime plus que tout et ce soir, il m’a prouvé que lui aussi. Il m’encourage dans mon sport et m’aide à me faire plaisir, sans dépasser les bornes. Il est patient avec moi, protecteur et il tient ses promesses. Il se livre à moi, par moment, et c’est énorme venant de lui. Lui qui ne voulait jamais rien dire au départ et qui garde tout pour lui. Mes choses de notre vie nous rapprochent, même celles qui nous aient propre. Quand j’ai un mauvais ressenti, à cause de la fatigue, ou autre, que je m’imagine que je pourrais avoir ce plus, qui n’est rien au final, je me rappelle de tout ce que nous avons parcouru et tout ce dont il m’offre de lui tous les jours. Pour rien au monde, je ne changerai. Pour rien au monde, je ne laisserai tomber. J’ai beaucoup moins de peurs, de doutes. Je fais des efforts pour voir les choses sous un autre angle, même si ce n’est pas toujours évident. Mais j’y arrive. Parfois, voire même souvent, je culpabilise, mais ce sont les angoisses qui jouent jusqu’au bout avec moi. Un jour, je serai délivrée de tout ça.
Je l'aime de fou furieux.
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mega-adam-blr · 2 years
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Il y a dans toute relation le risque de la perte, de l'abandon. Ce sont les blessures du lien qui s'inscrivent en nous le plus durablement. Et c'est aussi ce que nous en ferons qui ouvrira ou fermera les portes de la tendresse.
Quand est venu le temps de se séparer, de s'éloigner ou de se perdre, la tendresse, s'elle n'est pas tuée par le ressentiment, par la violence de la souffrance (sur soi ou sur l'autre) permet de garder la trace du meilleur de l'autre et de nous même.
Je crois que la tendresse est un mouvement qui nous entraîne à suivre un chemin bordé de sensations et de sentiments où se trouvent mêlés bienveillance, acceptation, abandon, mais aussi confiance, stimulation, étonnement, découverte. Pour suivre ce chemin, peut-être faut-il accepter de dépasser des peurs, de sortir des préjugés, d'affronter l'inconnu d'une rencontre.
Peut-être faudra-t-il plus simplement, plus difficilement aussi, accepter d'entrer dans le cycle de la vie. La tendresse est une naissance à soi-même qui nous fait pénétrer dans le ventre émerveillé de l'existence.
-Jacques Salomé
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minashiro-mcl-etc · 2 years
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Amour sucré (Halloween 2022) - solution
Évènement: Vendredi 21/10 à 11h - Lundi 31/10 23h59 = 11 jours
Mini jeu
But: reproduire de tête le kit de secours Nombre de parties: 3 par jour Coût d’une partie non gratuite (sans attendre): 50 PA Nombre de Kit au TOTAL: 35 Gain: 5 items de tenue + Perruque
Dialogues
Débute: une fois le mini jeu terminé Nombre de dialogues: 3 par jour Coût pour un dialogue non gratuit (sans attendre): 50 PA Coût pour changer de Crush: 70 PA Gain: 5 items de tenue + Perruque + 5 illustrations
Tenue The Scavenger
Obtention: MINI-JEU Veste 65G, Top 40G, Pantalon 45G, Bottes 15G, Machette 60G + Perruque 70G Coût en boutique: 295G
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Tenue The Infected
Obtention: Dialogues CRUSH Chaussures 16G, Peau 66G, Collants 40G, Pantalon 50G, Top 33G + Perruque 65G  Coût en boutique: 270 G
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Item BONUS: Sirius
Obtention: Jauge commune 100%
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Tenue PAYANTE: The Scientist
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Solution des dialogues
NATHANIEL
Nathaniel n°1
Je te promets de nous sauver... et de battre mon record!
A. Ça va les chevilles? En cas de véritable invasion, tu ferais moins le malin. B. Hé, je me suis plutôt bien débrouillée, je te ferais dire! C. Tu as quand même pris quelques risques inutiles... 
Nathaniel n°2
A. Je pense que je ferais tout pour fuir sans faire de mal au zombie concerné. Ce serait trop douloureux. B. Je crois que je préfèrerais me laisser mordre que de devoir m’en prendre à un proche, même zombifié. C. Mais dans ces cas-là, quel autre choix a-t-on que de se défendre? Ce n’est plus vraiment la personne qu’on a connu.
Nathaniel n°3
Dans ces cas-là, l’essentiel, c’est de se tenir au plan...
A. Je pense qu’il faudrait aller nous barricader au Cosy Bear. Il y a de la nourriture!  B. Il faudrait aller au commissariat pour s’armer, non? C. Je pense que ma priorité serait de se regrouper avec nos amis. On est plus fort à plusieurs.
Nathaniel n°4
A. Mais je suis sûre qu’avec un peu d’entraînement je pourrais te dépasser! B. Mais je défendrais le fort pendant que tu tenteras de récupérer un moyen de transport. C. Il faudrait en tenir compte dans notre stratégie.
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CASTIEL
Castiel n°1
On se serait cru dans Matrix! Roulade et  bim! Un chargeur dans la tête! Points de style infinis...
A. Personnellement, ce que je trouve stylé, c’est d’avoir réussi à survivre. B. Oui mais c’est facile quand on passe sa vie à se déhancher sur scène! C. Tu crois vraiment que tes roulades nous sauveraient en cas de véritable invasion zombie?
Castiel n°2
A. Moi je crois que je n’arriverais pas à lui faire du mal, même sous cette forme. B. En ce qui me concerne, je crois que je me défendrai coûte que coûte, peu importe les conséquences.  C Personnellement je pense que j’essaierai de m’enfuir pour ne pas avoir à choisir.
Castiel n°3
A. On court retrouver Nath au commissariat. Il y a des armes, là-bas! B. On file à la maison et on se barricade!  C. On fuit la ville au plus vite pour augmenter nos chances de survie!
Castiel n°4
Je crois que la seul question qui reste, c’est qui y passera en premier de nous deux?
A. J’ai bien peur que ce soit moi. Il faudrait bien que la plus douée de nous deux tente une sortie, à un moment.  B Toi. Définitivement toi. Tu veux qu'on reparle de nos scores respectifs au jeu VR? C. On y passerait ensemble, comme un vrai couple.
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HYUN
Hyun n°1
Je comprendrais si tu m’abandonnais pour sauver ta peau. Je serais un vrai boulet, j’en ai peur.
A. Si vraiment l’éventualité d’une invasion zombie te taraude à ce point, on peut refaire une partie pour s’entrainer... B. Pas question! Je préfère succomber à tes côtés que survivre seule!  C. Mais non! Je suis sûre que personne n’assaisonnerait les dernières conserves comme tu saurais le faire!
Hyun n°2
A. Le plus urgent serait de nous rassembler avec nos proches pour survivre ensemble, non? On est plus fort à plusieurs. B. À mon avis, le plus important, c’est de se trouver un abri.  C. Je pense que la priorité serait de fuir la ville, tu ne crois pas?
Hyun n°3
À ton avis, quel serait le meilleur endroit où faire notre nid pour affronter l’invasion?
A. Hum... le commissariat, peut-être? Il y a des armes, là-bas, on pourrait se défendre. B. Je ne sais pas... Pourquoi pas au Cosy Bear? Il y a des vivres, la trousse de premiers secours...  C. Il faudrait aller chez Rosa, maintenant que j’y pense. C’est excentré, et on pourrait pêcher pour survivre.
Hyun n°4
Force est de constater que mes chances de survie ne sont pas colossales au beau milieu d’une marée de zombies.
A. Je suis sûre que s’il s’agissait de me protéger d’une véritable invasion, tu révèlerais tes qualités cachées. B. Mais je te défendrai, moi! C. Tu pourrais cuisiner de bons petits plats que nous troquerions aux aventuriers plus expérimentés contre des services. 
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PRIYA
Priya n°1
Tu imagines, en cas de véritable apocalypse zombie? Je serais un poids mort pour nous, mon amour.
A. Mais non, tu n’étais pas totalement dedans, ça arrive. Tu veux refaire un partie? B. Je ne pense pas. Je suis même certaine que si ça arriverait pour de vrai, c’est toi qui nous sauverais.  C. Ne t’en fais pas, si ça arrive, je serai de nouveau là pour te sauver, c’est promis!
Priya n°2
Pour moi la vrai question, c’est: “Qu’est-ce que tu fais si tu tombes sur un de tes proches qui est devenu un zombie?”
A. Je crains que n’aies pas le choix. Il faut te défendre à tout prix, même si ça signifie...  B. Je crois que je n’arriverais pas à faire quoi que ce soit. Je préfèrerais me laisser mordre que de devoir “faire le nécessaire”. C. Je pense que je tenterais de fuir à tout prix pour ne pas avoir à tuer d’autre proche, même zombifié. 
Priya n°3
A. Je pense qu’il faudrait se barricader au Cosy Bear. Il y a de la nourriture... et des couteaux de cuisine. B. Je crois que la priorité serait de trouver d’autres survivants et de se regrouper pour être plus forts ensemble. C. À mon avis, la première chose à faire serait de mettre un maximum de distance entre Amoris et nous. 
Priya n°4
A. Mais... tu sais monter à cheval, toi? Parce que moi pas.  B. Mais où est-ce qu’on trouverait des chevaux? C. Mais tu n’as pas peur que le cheval soit pris de panique au milieu de toute cette agitation? 
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RAYAN
Rayan n°1
Alors que ça pose tellement de questions. En faite on est pas très loin de la théorie cartésienne du rex cogito...
A. Je te promets qu’en cas de véritable invasion zombie, je protègerai ce magnifique cerveau de mon mieux!  B. N’essaye pas de détourner la conversation! Je me demande ce que Descartes aurait dit de ta performances comparée à la mienne... C. Descartes parlait d’un univers virtuel à la Matrix, non? Là, c’est encore autre chose. Avec les combinaisons haptiques, les sensations sont réelles.
Rayan n°2
A. Mais ça me paraît évident que je chercherais à fuir. B. Mais si la guérison n’est qu’une hypothèse, pour moi, c’est clair: il faut te défendre tant que tu fais encore partie bien portants. C. Honnêtement, je serais totalement tétanisée par l’idée de tirer sur une de mes meilleurs amies que je finirais probablement par me faire infecter... 
Rayan n°3
Si j’en crois tout ce que j’ai vu et lu, les premières heures sont capitales si tu veux faire partie des héros de l’histoire et pas des zombies.
A. Je pense que la priorité, c’est de se regrouper entre non-infectés, non? B. J’imagines qu’il faut fuir les villes au plus vite pour réduire les risques de se faire mordre.  C. Personnellement, je courrais me barricader à la maison avec toi.
Rayan n°4
Et on croiserait tout de même quelques nids d’infectés, en chemin...
A. Moi, en tout cas, je préfère mourir à tes côté que te survivre! B. Ne t’en fais pas. Je te l’ai dit, je te protègerai! C. Il y a différentes façons de lutter contre les zombies. Un cerveau hautement fonctionnel peut s’avérer plus important que des gros muscles! 
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e642 · 2 years
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La quasi totalité de ma vie je me suis sentie comme un objet à caractère sexuel aux yeux des autres et notamment des hommes. Et mine de rien ça en a causé des traumatismes. Quand tu penses que les relations sexuelles sont dépourvues d'émotions, quand tu consommes les gens, quand tu es habituée à ce que l'on t'approche pour ton potentiel sexuel, tu écartes le côté affectif, émotionnel, fusionnel. Quand même toi tu ne sais pas si tu en as envie, c'est que ça en dit long. J'ai longtemps remis en question ce qu'était le consentement, ses limites, son contexte, quand et comment le manier et j'en ai conclu que c'était moi qui me posais trop de questions. Que c'était moi qui renvoyais les mauvaises impressions. Que c'était moi qui devait bosser pour éventuellement me décoincer. On m'a trop montré que je n'étais qu'un corps dont on avait envie à des fins sexuelles, jamais affectives ou sentimentales, que j'ai eu peur -encore maintenant- du contact. Ne sachant jamais comment le refus serait pris dans cette société qui ne valorise pas la manière dont s'est accepté mais plutôt dont s'est dit. Je redoutais chaque démonstration de tendresse ou juste de rapprochement par crainte de l'issue. Par angoisse de me dire que j'étais acquise, que c'était le feu vert pour beaucoup. C'est notamment pour ça que ça fait bien longtemps que je suis très froide dans ma manière de témoigner de l'intérêt aux autres. J'ai effacé ce côté affectueux car on n'a jamais donné suite de la bonne manière. On n'a pas souvent voulu me rendre cette facette platonique et je n'ai jamais réellement compris pourquoi je n'étais intéressante qu'en levrette et pas dans une discussion classique. Je m'en suis voulue trop souvent de me dire que c'était peut-être moi qui me sexualisais seule. Que je ne méritais peut-être aussi que ça. Tout ce bourrage de crâne qui me fait m'isoler pour éviter tout moment dont je n'aurais pas désiré les aboutissants en ayant toujours cette impression trop réelle que je n'avais pas la main sur les tenants. Maintenant, ça me pose problème dans mes relations car même si je veux être attentionnée, ou émotive, je ne peux pas me permettre de négliger la possibilité que l'on ne veuille que me baiser. C'est en ça que je suis persuadée que ça restera un sujet et des moments qui ne provoquent que de la gêne. Le paradoxe d'avoir toujours peur d'avoir un mot/geste moins mesuré que l'autre, de dépasser des limites alors qu'on a toujours dépassé les miennes sans trop de vergogne.
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jeux-raconte · 6 months
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Festival Internationnal des Jeux de Cannes, 2024 : Troisième jour
Mieux vaut tard que jamais !
Rallyman Dirt, de Jean-Christophe Bouvier
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L'année dernière, on s'est essayés à Heat : Pedal to the metal. Et il faut avouer qu'en matière de jeu de course, il nous a laissé une forte impression positive, d'ailleurs un ami se l'est acheté et un grand prix est prévu pour bientôt ! Alors, est-ce que Rallyman Dirt tiendra la comparaison ?
J'ai un rapport compliqué avec Rallyman. Il s'agit d'une nouvelle boîte d'une licence déjà existante, avec de nouvelles mécaniques, de dérapage par exemple. La première fois que j'ai voulu tester Rallyman, c'était déjà au FIJ. Mais les gens avec qui on a joué n'ont rien écouté des règles, étaient sur téléphone ou en train de discuter pendant la partie, et ont vraiment gâché l'expérience de tout le monde. Je pense que c'est la seule fois de ma vie que je me suis levé d'une partie de jeu de société en cours et que je suis parti. Depuis, je le regarde de loin, avec envie de tester parce que le jeu m'avait parru intéressant, mais sans avoir l'occasion. Et cette année, la disposition du stand répondait parfaitement à mes craintes. En effet, le jeu était présenté sous la forme de tables de challenge solitaire, où il fallait faire le meilleur chrono sur deux circuits consécutifs, avec un classement par jour. Des tapis-bâches souples avaient été imprimées exprès, et cela rendait très bien !
Du coup même en étant deux, on a joué chacun sur son circuit et à son rythme. Le jeu a alors pris un aspect casse-tête très plaisant, où on essaie d'optimiser les trajectoires et de prendre des risques. Là où le jeu peut avoir plus d'aléatoire que Heat, c'est parce qu'il comporte des lancés de dés. On prépare la trajectoire qu'on veut faire ce tour-ci en préparant les dés que l'on va lancer sur les cases que l'on veut franchir. Les dés sont tous des dés à 6 faces et correspondent aux différentes vitesses de la voiture. Donc on commence au point mort, on met le dé de la première vitesse sur la case devant nous, puis la seconde, et ainsi de suite. Certains dés permettent de freiner fort, d'autres de conserver la vitesse actuelle. Il faut prendre les virages plus ou moins vite selon leur angle. Vient ensuite le second choix du tour : lancer les dés un par un et s'arrêter quand on a pris trop de risques, ou alors tous les lancer d'un coup et croiser les doigts pour ne pas faire de sortie de piste. Les dés ont un symbole danger, et si on en tire trois dans le tour, on sort du circuit, on repartira au point mort au prochain tour, sans doute avec des dégâts ou pénalités dans les règles "normales" du jeu.
Je me suis vraiment régalé durant cette expérience, mais elle a un côté frustrant. En effet, le plaisir vient en grande partie du fait d'avoir pu caculer comme j'en avais besoin, de jouer à mon rythme. Mais j'ai peur qu'en multijoueur, le jeu perde de ce rythme, puisque chaque joueur joue chacun son tour. On attend pas mal de temps entre deux de ses tours donc. Malgré tout, j'ai du combattre l'envie d'en refaire une partie à chaque fois qu'on passait devant le stand. Je vais donc peut-être guetter les offres d'occasion sur le jeu...
Pina Coladice, de Yann Dupont
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Petit jeu ensuite, par la taille peut-être, mais pas par le plaisir ! On a été attirés par la direction artistique du jeu, très peaufinée et à la fois colorée et chic !
Dans Pina Coladice, on essaie d'être le meilleur barman avec le plus de points avant la fin de la partie. Ou alors on gagne en découvrant la recette du mythique Pina Coladice, en alignant des pions de sa couleur sur 4 cartes du jeu. Comment place t-on des pions ? A son tour, le joueur lance les 5 dés, et un peu à la manière d'un yams, va pouvoir en garder une partie ou en relancer, jusqu'à 3 lancés en tout. Enfin, si son lancé correspond au critère de placement d'une des cartes du plateau, il pourra poser son pion dessus, si elle est libre. Par exemple, certaines cartes demandent de dépasser 26 en somme des dés, ou d'avoir une paire de deux, etc... Quand on pose des pions, on score des points, qui grosissent si on a des pions de sa couleur de façon adjacente ! Si mon lancé ne correspond à aucun critère de carte disponible, une mécanique de bonus de compensation permet de ne pas perdre son tour. Un peu de chance donc, d'opportunisme, un très beau jeu et une très chouette partie !
Volto, de Yusuke Emi
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Volto est une sorte de version moderne du Stratego. Voilà, est-ce que j'ai vraiment besoin d'en dire plus ? Oui ? Bah quoi, si on a grandi dans les années 90-2000, tout le monde connait Stratego non ?
Bon d'accord, j'explique. Dans Volto, chaque pion possède un type de déplacement inspiré des échecs et qui est imprimé derrière lui, de sorte à ce qu'un joueur voit tous les types de ses pions, mais ceux de son adversaire sont cachés. Le but est de prendre le Roi (le Doge je crois) de son adversaire, mais il existe une condition alternative de victoire : faire tomber l'adversaire deux fois dans le pièce de la maîtresse (terminologie approximative). En effet, comme aux échecs, si on tombe sur une case occupée par une pièce ennemie, on la capture. On essaie donc de deviner aux déplacement de l'ennemi quelle pièce est quel personnage. Mais le piège de la maîtresse, c'est que quand elle est capturée, elle entraîne le pion qui l'a capturé avec elle. Et si on se fait capturer sa 2e maîtresse, c'est perdu pour l'adversaire qui est tombé deux fois dans le panneau ! Du bluff, de la stratégie, du déplacement et de la déduction au rendez-vous de ce jeu assez abstrait et qui peut bien faire chauffer la cervelle !
Oasis New Hope, de Monsieur V
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(Bon, disclaimer : le jeu ne m'a pas plu, et comme j'ai attendu pas mal de temps après Cannes pour écrire le billet de blog, je vais devoir forcer un peu sur la mémoire, je m'en rappelle assez peu...)
Oasis New Hope se déroule dans un univers post-apocalyptique. Le but est de faire progresser votre expédition jusqu'à un oasis. Pour cela, il faudra jouer des cartes lieux, numérotées de 1 à 13 de mémoire, 13 étant forcément un oasis. A mon tour, je peux piocher des cartes, du paquet ou d'une défausse centrale ou commune. Mais je peux aussi dans le jeu recruter des personnages qui ont des pouvoirs par faction, cumulatifs quand j'en ai plusieurs identiques. Ou acheter des équipements, sortes de bonus disponibles en permanence à l'achat sur le côté de la table de jeu. On essaie de piocher les cartes avec les valeurs suivantes pour progresser dans son expédition jusqu'à l'oasis (j'en suis au 5, il me faut un 6, etc...). Mais même si les mécaniques fonctionnent, j'ai trouvé qu'elles grinçaient un peu dans la gestion des pouvoirs et des personnages. Mais surtout, pour un jeu qui se veut stratégique avec des pouvoirs qu'il faut bien réfléchir pour optimiser et combotter, on est au final beaucoup trop tributaires de la pioche... De bonnes idées, mais le souvenir qu'il m'en reste, c'est surtout de la frustration.
D'orge et de blé, Scott Almes
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Je trouve que les jeux qui ont une thématique autour de la bière ont toujours des traductions de titre géniales. Ici, le jeu s'appelle Beer & Bread dans la langue de Niki Minaj. Mais la palme reste quand même au jeu Heaven and Ale (des moines qui brassent de la bière, le titre original est déjà fantastique), traduit en : Le bien et le malt. Mais je digresse.
Peut-être la palme du mal de crâne du week-end, pas forcément dit négativement cela dit (pas forcément positivement non plus, je n'ai pas encore décidé...).
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Le jeu nous propose de gérer la production de pain et de bière dans un village au rythme des saisons. On jouera donc 6 grands rounds de jeu, alternant entre round faste de production, et round de misère.
Là où le jeu commence à faire mal au cerveau, c'est avec les cartes. A chaque tour, le joueur joue une carte. Mais chaque carte possède 3 zones d'effet : soit elle est jouée dans la zone de récolte, et produira des ressources AU PROCHAIN TOUR, soit elle est jouée pour la recette de pain ou de bière qu'il y a au milieu, et il faut payer les bonnes ressources pour réaliser cette recette, soit la carte est jouée pour son pouvoir en bas de la carte, qui peuvent être des améliorations passives pour les prochaines récoltes, ou des scoring de points supplémentaires pour la fin, par exemple. C'est en jouant une carte pour son pouvoir du bas qu'on déclenche également la vente des pains et bières déjà fabriquées et stockées, qui compterons donc pour le scoring final.
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Rajoutons un peu de noeuds dans la tête : lors d'un tour faste, on joue sous forme de draft. Le joueur 1 joue une carte, le joueur 2 aussi, puis on échange les mains. Et ainsi de suite jusqu'à vider les deux mains... Lors d'un tour de famine, on ne drafte pas, mais on met moins de ressources dans les champs, et les ressources qu'on peut récolter sont limitées par ce qu'il y a dans les champs. Les joueurs sont limités en ressources qu'ils peuvent stocker par leur grange, et en cas d'excédent, c'est l'adversaire qui récupère... Enfin, à la fin de la partie, on regarde pour chaque joueur son score de pain et son score de bière, et on ne garde que le plus faible des deux !
Un jeu pour deux joueurs assez expérimentés donc, avec des mécaniques de jeu vraiment sympa et qui changent, mais il faut venir avec sa boîte de cachets...
Inheritors de Jeffrey CCH et Kenneth YWN
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Commençons par le commencement : le jeu est très beau, et on a complètement été happés par son style d'illustrations !
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Le jeu a des concepts de jeu de collections assez classiques, qu'il même à de nouvelles idées sympatiques. Il existe 5 couleurs de carte dans le jeu, numérotées de 1 à 6, de plus en plus rares quand la valeur monte. A la fin de la partie, chaque joueur marque autant de point que la carte la plus forte de chaque couleur qu'il a devant lui. En effet, les joueurs se construisent tous un paquet de chaque couleur, qui doit commencer à 1 dans chaque couleur, et sur lequel on ne peut jouer que la valeur strictement suivante. On ajoute au score de fin de partie une forme de majorité sur les cartes spéciales qu'on a en main, des tomes. Et enfin d'éventuelles missions secrères qu'on peut récupérer à son tour en défaussant trois cartes de la même couleur.
Mais alors où l'originalité du jeu se trouve t-elle ? Dans le système de pioche / défausse des cartes. Pour ramasser des cartes, on peut soit défausser une carte de sa main pour en prendre deux de la pioche, soit en prendre de la défausse. Cette défausse est organisée en trois colonnes, et quand je défausse des cartes, je choisis dans quelle colonne je défausse. Mais quand je veux prendre des cartes de la défausse, je défausse d'abord une carte dans une colonne pour récupérer dans une autre colonne toutes les cartes qui ont soit la même valeur soit la même couleur que la carte défaussée...
Ajoutez à cela une petite course à la collection, puisque chaque faction/couleur possède une carte de clan, que l'on récupère en dépassant la valeur 3 dans la couleur associée, et qui me donne un pouvoir pour le reste de la partie (1 clan max par joueur), et vous avez un jeu sympa de collection, pioche et opportunisme.
Terraforming Mars : Le jeu de dés, de Jacob Fryxelius
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Encore un Terraforming mars ? Ils abusent avec leurs déclinaisons quand même. Mais imagine, ils font un roll/flip and write...
Bon d'accord, s'ils font un "& write" un jour, bien sûr que je l'achèterai... On est plutôt amateurs de TM dans notre groupe de joueur. On y a pas mal joué à sa sortie, j'ai acheté les extensions mais on y a assez peu joué au final. J'ai pris Arès Expedition dès sa sortie, et son rafraîchissement de la formule de Race for the Galaxy marchait très bien, pourtant il n'est jamais sorti autant que son grand frère. Qu'en est-il de la toute dernière mouture des frères Fryxelius ?
Alors autant j'ai commencé le jeu précédent en louant sa qualité graphique, autant ici on va se calmer tout de suite : il est aussi moche que le premier ! Ce que je ne comprends pas, c'est qu'ils avaient fait un super effort sur Ares expedition avec un design de carte et des illustrations très sympas. Mais ici, c'est retour à la case départ avec les belles photos libres de droit ou issues de banques d'images... Heureusement que ce n'est jamais pour sa qualité graphique (ou d'édition hein, aucun rangement et les cubes ressources qui s'effacent, on voit voit hein) qu'on joue à un TM.
Ici, on a affaire à une version diluée de TM classique, tant en terme de complexité qu'en terme de richesse potentielle. Attention cependant, la qualité n'en est pas forcément diluée pour autant. Ce que le jeu perd en richesse potentielle de combo de cartes, mais surtout d'interaction sur le plateau central (inexistante ici, on pose toujours des forêts, des villes et des océans, mais ils font des points immédiatement et n'appartiennent à personne ensuite), on le gagne en fluidité de jeu et en huilage des mécaniques.
A son tour, chaque joueur doit choisir entre produire ou effectuer des actions. Si il choisit de produire, il ne garde que 3 dés maximum devant lui (qui représentent les ressources qu'on a pour jouer), peut défausser des cartes et refaire sa main, mais surtout lancer autant de dés qu'il en produit actuellement, pour les ajouter à son stock de ressources.
Si au contraire il choisir de jouer, il fera d'abord une action de soutien, ou "petite action" (comme lancer un dé qu'on prend dans la réserve du jeu, ou rendre un dé à la réserve pour tourner un autre dé sur la face de son choix, ce qui permet un jeu de pondérer l'aléatoire des dés, avec les jetons joker). Puis il fera une action principale : jouer une carte de sa main en payant les ressources nécessaires, qui peuvent permettre d'augmenter ses prochaines productions de dés, ou de marquer des points, ou encore de débloquer des nouvelles actions à faire au tour d'action ; ou encore payer 3 ressources celcius pour faire monter la température, 3 gouttes pour placer un océan ou 4 feuilles pour placer une forêt. On retrouve comme dans TM les trois paramètres globaux que sont la température, les océans et l'oxygene, et une fois qu'on a terminé de faire monter deux de ces trois paramètres, cela annonce la fin de la partie.
On retrouve donc le goût de TM, le même genre de plateau, de pose de tuile et de paramètres globaux, mais aussi des missions sur lesquelles on fait la course (être le premier à avoir X cartes de la même couleur, etc...), mais vu qu'on fait des micro actions assez rapides, les tours s'enchaînent bien, on gère ses dés de ressources mais aussi les cartes dans sa main, qu'on n'hésite pas à jeter pour en chercher des meilleurs. Le jeu a moins la sensation d'un jeu de coudes pour se faire de la place à la surface, qu'une course au scoring et à l'optimisation de ses ressources. Il a déjà été sorti plusieurs soirées depuis son acquisition, et il fait son effet : un effet de reviens-y.
C'est tout pour les découvertes de cette journée là, bien sûr la journée ne s'est pas terminée comme ça, et il a bien fallu faire un peu d'Altered, re tester Terraforming Mars au logement, et faire tester Cyberion au joueur qui ne l'avait pas testé... Prochain billet : le dernier jour !
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elodieamet · 1 year
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Exposition de jardin d'été
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Version hiver ''La Marmotte Magique''
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Un soir d'insomnie en août 2023, je me suis sortie de mon angoisse en écrivant une histoire pour me rechauffer le coeur et raviver mon enfant intérieur. L'écriture de cette légende m'a aidé à me dépétrifier de ma torpeur paralytique. J'ai ensuite matérialisé l'histoire en réalisant un autel pour la marmotte magique et ainsi l'inscrire dans le contexte de mon village.
C'est ainsi que naissent les légendes, depuis des expériences psychologiques singulières...
La légende de la Marmotte Magique 
C’est l’histoire d’un jeune berger, que tout le monde appelait Momo. Il s’en était allé sur la montagne avec ses vaches, pour les faire paître. A la nuit tombée, alors qu’il s’apprêtait à redescendre le troupeau, un orage menaça d’éclater. Les coups de tonnerre excitèrent les troupeau et il se dispersa. Il partit à la recherche d’un veau égaré, qui s’était enfui de l’autre côté du versant. La nuit tomba plus vite que prévu car c’était la mi octobre et le ciel était couvert par les épais nuages. Momo ne voyait plus ni la lune, ni les étoiles et n’arrivait plus à se repérer. Il entendit des bruits d’animaux qu’il ne reconnaissait pas : des grognements et des cris stridents. Il avait très peur et le froid lui rongeait les os. Il n’avait rien pour s’abriter, ni rien à manger pour combler le creux de son ventre. Il se mit à marcher dans le noir, en se repérant avec un bâton quand soudainement, son bâton s’enfonça dans un trou. En approchant sa main du trou, il sentit de l’air chaud qui en émanait. Il s’engouffra dedans et senti qu’il y faisait de plus en plus chaud. Tout d’un coup, une lueur s’illumina et il tomba nez à nez avec une énorme Marmotte qui le regardait de son sourire malicieux, laissant dépasser de sa petite bouche, ses deux grandes dents amicales. Elle tenait dans ses mains une bougie dont la flamme se reflétait dans ses pupilles pétillantes et une aura scintillante irradiait tout autour d’elle. Stupéfait, Momo bégaya : ‘’mémémémémémémé…. Quiquiququiqui êêêêêêêêêtes vovovovoooooooous ? ‘’ Alors l’animal s’exclama : ‘’JE SUIS LA MARMOTTE MAGIQUE ! Quand les gens me rencontrent, ils n’en croient jamais leurs yeux ! Demain, quand tu te réveilleras, tu m’auras oublié et je serai redevenue pour toi, une étonnante légende de la montagne. Si la nuit t’as amenée vers moi, c’est que tu portes en toi une brûlante question dont personne n’a de réponse. Pose moi cette question et au réveil, tu auras la réponse ! ‘’ Le jeune berger mangea avec appétit et reconnaissance les groseilles, les sauterelles et le lait de chèvre que lui offrit la marmotte puis, il se blottit contre son gros ventre moelleux et lui demanda : ‘’Marmotte Magique, j’aimerais savoir ce que je deviendrai quand je serai grand ! ‘’ Momo s’endormit et durant la nuit, la Marmotte lui sifflota des chansons du monde entier : d’Afrique, d’Asie et d’Amérique. Dans ses rêves, le garçon voyagea dans des pays lointains et inconnus. Au réveil, il bondit d’un coup avec sa réponse, qui coulait de source : QUAND JE SERAI GRAND, JE SERAI EXPLORATEUR !’’ Il sorti aussitôt du terrier et s’en alla trouver son père en courant, pour lui annoncer la nouvelle au grand jour. Plus tard, il devint un grand aventurier et découvrit, au détour de son tour du monde en voilier, une île encore jamais répertoriée qu’il nomma : ‘’L’île de la Marmotte Magique’’.
Ainsi la Marmotte Magique est devenue un symbole de conseil…On dit que lorsque tu es perdu dans la nuit noire de tes pensées, il suffit  de lui poser une question sincèrement avant de t’endormir. Alors, elle te soufflera / sifflera durant la nuit, la réponse dont tu as besoin. On raconte aussi que la marmotte magique a le pouvoir, grâce à ses sifflements, de dissiper les épais nuages (dans le ciel et dans la tête des gens) et que c’est elle qui fait si souvent briller le soleil dans la vallée du Champsaur. 
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