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#émotion
vhscorp · 2 months
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On sait qu’on vient de lire un grand livre quand, lorsqu’on le referme, on se sent pris d’une intense émotion et que l’on comprend soudain que quelque chose en nous vient définitivement de changer…
V. H. SCORP
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lerefugedeluza · 27 days
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youtube
Je suis pleine d'émotions. Et parfois, quand la vie me secoue, je déborde. Pendant longtemps, j'ai eu du mal à l'accepter, et je faisais tout pour ne plus rien ressentir. J'avais honte de mes larmes, de ma colère, de mes fous rire que je jugeais trop bruyants, de mes sanglots que je trouvais trop envahissants. Ça m'a pris plus de 25 ans pour accepter mes émotions. J'ai fait cette vidéo pour partager en quelques phrases le chemin que j'ai parcouru jusqu'ici, en espérant que mes images et mes mots sauront apaiser ceux qui, comme moi, ont des émotions très envahissantes ♡ N'oublions pas que les émotions sont le sel de la vie et que sans elles, toutes nos expériences nous paraîtraient bien fades. Apprenons donc à vivre avec elle plutôt qu'à essayer de les combattre ou les contrôler ! Je vous souhaite plein d'émotions à tous, des hauts comme des bas, mais plus de fleurs que d'épines ♡ Pour m'aidez : aimez, commentez, partagez & abonnez-vous ♡ DES BISOUS !
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unchataparis · 4 months
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This is literally the prettiest photo of Adrien available – the suit, the lighting, the expression – and I'm so mad I can never use it for him because this is Félix.
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allmvrk51 · 30 days
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plexussolaire · 1 year
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Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
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sonimage1965 · 3 months
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Émotion
dir. Nobuhiko Obayashi
1966
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innuit59 · 7 months
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thibaut Pinot
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hcdahlem · 8 months
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Vie et mort de Vernon Sullivan
Dimitri Kantcheloff retrace la vie d'un auteur américain qui n'a jamais existé. Vernon Sullivan est l'invention de Boris Vian, mais cette création va faire bien des ravages dans la France de l'après-guerre. Il va secouer tout le milieu littéraire.
  En deux mots Quand Boris Vian relève le défi d’écrire en moins d’un mois un roman à scandale, il ne se rend pas compte combien sa vie va basculer. En inventant Vernon Sullivan, soi-disant auteur américain censuré, il se dote d’un double littéraire qui va secouer la France bienpensante avec J’irai cracher sur vos tombes et va faire de l’ombre à… Boris Vian. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma…
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cpartout · 2 years
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J’en voulais à mon anxiété de m’avoir tout volé : mon quotidien, mes copines, mes souvenirs, les prochains, mes sorties.
J’ai fini par me résigner. J’ai accepté le sort qui s’acharnait, j’étais trop épuisée de toute façon.. pour combattre, pour me battre pour ce qu’il me restait.
Et dans ce lâcher prise, non voulu au départ, j’ai senti une liberté qui m’émouvait.
L’acceptation m’a donné une page blanche : je pouvais en faire ce que je voulais.
Parce que tout ce que j’avais appris c��était envoler : ma manière de penser, de voir les autres, de ressentir les choses, comment je me comportais en étant seul et entourée. Tout ça. Tout ce monde à l’intérieur de moi était désormais nouveau : je repartais de zéro.
Ça m’a pris du temps, de tout reconstruire, de tout ré apprendre. Je me suis trompée, j’ai recommencé, j’ai changé.. ça a été tellement compliqué.
C’était comme si, dans le monde des autres, j’étais en pause. J’aurais aimé qu’ils sachent, que se reconstruire, ce n’est pas toujours voyant, perceptible ou même relié au physique.
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loup-venant · 9 months
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Nous serons présents.
Il n’y a rien que nous puissions dire ou faire qui te rendra l’événement plus vivable. Nous pouvons te proposer notre écoute inconditionnelle, tant est que tu en fasses la demande. Pour raconter ta peine, ton impuissance, ton injustice. Aux souvenirs de tes joies partagées passées qui pour un temps réveilleront la blessure d’une perte franche, notre réconfort en présence sans mots risquera de…
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stoclav · 10 months
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Être détaché émotionnellement des gens.
Beaucoup de gens ont tendance à s'attacher trop vite à quelqu'un qu'ils ont rencontré il y a deux semaine à peine.
Je sais que je n'en fait pas partie. Au contraire, je pense que j'en suis l'opposé. Même un peu trop.
Tout ce que je fait, c'est être sympa avec les gens et certains s'attache fort à moi, mais de mon côté, je sais que je peux me détacher de n'importe lequel de mes amis sans problèmes. Même un "ami de longue date" qui connait tout mes secrets.
Je serai capable de me détacher de cet amis sans regrets.
Des fois je me dis que c'est surement car je n'ai jamais réussi à tenir une longue amitié, et que je change d'amis comme vous pouvez changé de téléphone tout les deux ans pour certaines personnes.
Le problème, c'est que cette situation, j'y fait face aussi en amour. Ou du moins ce que je pense être de l'amour, car cette situation me fait douter de mes sentiments.
Est-ce que vous aussi vous êtes comme ça des fois?
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vhscorp · 4 months
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Je nous souhaite la tendresse, le désir, les caresses, la douceur, l’affection, la joie et l’émotion, et tout l’amour du monde…
V. H. SCORP
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dandanjean · 10 months
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La voie de la musique
Il ne faut pas sous-estimer le pouvoir de la voie de la musique. La musique peut parfois nous amener au-delà des émotions et du plaisir, nous projetant dans un état second. Il vous est sûrement déjà arrivé de vivre des moments de grâce, voire des moments d’émerveillement en écoutant une pièce musicale. Que ce soit durant un spectacle de notre orchestre préféré, durant l’écoute, chez soi,…
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vaguenebuleuse · 10 months
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Amour de Soi
Je crois que je dois accepter cela, que tout le monde n’est pas fait pour moi, que je ne suis pas faite pour tout le monde. Et que c’est ok, ce n’est pas grave. 
Les personnes faites pour moi, les personnes auxquelles je suis faite, me trouveront dans tous les cas. 
Alors je dois oser, oser prendre le risque, d’être qui je suis, quitte à être rejeté et non-accepté.
Ce n’est pas grave, ce n’est jamais grave, cela me montre simplement, que là, n’est pas mon chemin, que ces personnes ne sont pas pour moi, et qu’ailleurs, se trouvent ce qui m’est cher et davantage alignés.
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chatsuffit · 1 year
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Je stresse, mais je ne sais absolument pas pourquoi, encore une fois je me retrouve démunie. Il m’arrive de passer une journée tranquille, au calme et tout d’un coup à la nuit tombée un sentiment oppressant m’envahit. 
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plexussolaire · 2 years
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C.
J’ai découvert ce morceau mille ans après sa sortie, j’ai presque honte d’en parler tant j’ai l’impression d’avoir découvert un trésor hyper précieux que tout le monde a déjà usé. Le type qui la chante est mort, c’est dire. C’est une chanson d’amour. Les paroles sont lancinantes, la voix peu harmonieuse, un rap à l’ancienne, un son de début de carrière, une énergie qu’on sent en train de se former. Un éclat de génie. Le type est un gosse. Il est amoureux pour la première fois, d’une fille connue, sublime, une beauté pure, presque violente. Deux gamins qui s’aiment sans mesure, et qui peuvent le chanter ensemble. Il arrête la drogue pour elle. Il revit pour elle. Il raconte la puissance du désir qu’ils ont l’un pour l’autre. Ça me prend dans le ventre. Pourtant c’est pas joli, pas forcément original, je n’oserais pas la faire écouter à quelqu’un, de peur que l’intensité de l’amour que j’ai pour cette chanson ne soit pas saisi. Que la magie s’effondre, l’illusion se fane. C’est rare. C’est si précieux.
J’imagine dans mon corps et dans mon ventre la vie de ce mec à la bouille d’ange, son amour, sa complicité avec cette belle brune enivrante. Il se raconte en entier, sans tabou, morceau par morceau. J’ai l’impression d’être en deuil de sa mort, de son destin tragique et insupportable. J’ai l’impression que je serais tombée amoureuse de lui dans une autre vie. Je me sens portée par cette émotion. Comme si rien ne s’était allumé depuis longtemps dans mon ventre, comme si tout à coup je retrouvais la pulsation particulière de mon coeur de gamine. Celle qui écoutait de la musique pendant des heures et connaissait des dizaines d’albums par coeur, qui cherchait la vibration de toutes les émotions dans les voix, les mots, quand les sons la portait avec toute la justesse qu’il fallait. Celle qui crevait tellement qu’elle cherchait à tout prix des langages, des mots, des sensibilités qui touchaient la sienne. Et pourtant, de demeure en demeure, la chambre de la musique fut peu à peu désertée…
Ça faisait longtemps que je n’étais pas allée marcher pendant des heures pour écouter un album, lire toutes les paroles pour bien comprendre les mots, les mémoriser aussi un peu. Longtemps qu’une chanson n’avait pas à ce point hanté mes pensées, au point de ressentir le besoin pressant d’appuyer à nouveau sur lecture. Je me sens lui, je me sens l’histoire que je me raconte tout bas sur lui. Je rattrape mon retard et j’écoute tous ses albums, comme une urgence, urgence de me lier à lui, de le lier à ma vie, et de l’aimer pour toujours. Ma vie, en quelque sorte, en dépend. Ce n’est pas explicable.
C’est comme si j’étais seule et que tout à coup sa voix venait, familière, porter le poids que je porte. Et je porte un peu le sien, à rebours du temps, je cache en moi quelques unes de ses paroles, et le délivre un peu vivant.
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