Tumgik
#dans la queue
sorrydupuis · 1 month
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bouhouhouuuuuu ils sont trop chou ça se fait pas T_T
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terrainofheartfelt · 1 year
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I’d give it all to love that girl
Dan Humphrey + Strange Trails (10/?)
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#balou#personal vent#bon on est fin septembre mais c'est pas grave je vais quand meme appeler ca un vent de mi-année#au debut de l'année 2k22 les choses allait mal dès janvier#entre le decés de mon chien Lenny. la mort d'une petite niece a cause de covid. les problemes de remonte d'égouts dans mon appartement#les choses s'annoncaient mal pour l'année et j'ai vite compris que 2k22 allait etre cursed#bon j'étais loin de m'imaginer que c'etait qu'un debut et que les choses allaient devenir pire encore#2k22 definively the worst year of my life for now#entre la mort de beaucoup (trop) de personnes proches. des problemes de santé.#un séjour impromptu aux urgences a decouvrir les joies du Meopa#(mais au moins j'ai une histoire a raconter de comment j'ai essayé de me faire la malle de l'hopital avec mon catheter dans une main et#ma bonbonne de gaz anesthesiant dans l'autre parce que "mon copain m'attend et rien ne pourra m'empecher d'aller lui dire coucou en salle)#mais il ne faut pas perdre espoir et enfin quelques rayons de soleil viennent percer les tenebres#je m'occupe de Balou. cet adorable saucisse poilu qui ressemble a un petit mouton.#et lui aussi il a a chié de 2k22. maltraité#maltraité. affamé. battu. cet ange de 8 mois commence enfin a sortir de sa coquille.#il ne se cache plus sous le lit toute la journée. accepte enfin qu'on le touche et mange dans ma main.#la premiere fois qu'il m'a apporté son os et que j'ai vu sa queue et ses oreilles se dresser (qu'il garde nirmalement entre ses jambes)#j'ai un peu pleuré#je lui ai acheté un jouer avec un squeak silencieu parce quil a peur du bruit et il l'enmene partout avec lui#hier j'ai appris que des amis proches attendent un enfant. 5 mois une petite fille prévue pour Fevrier.#je suis fatiguée de cette horrible année mais peut etre qu'enfin ma fin de l'année va me laisser un peu de répit (et de bonne nouvelles)#en tout cas j'espere et surtout je ne desespere pas#je n'abandonne pas#j'ai promis
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dagonet · 2 years
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Dagoneeeeeeeet :) la vie est un long fleuve tranquille est PAS le film de mon enfance parce que je l'ai vu sur le tard.
En revanche !!! la phrase "mais madame mais jvous jure j'ai jamais couché avec un garçon " est culte chez moi parce que ma mère adore l'imiter :)
Me rendrais tu heureuse en la giffant quand tu pourras ?
Plein d'amour 🥰🥰
ne jurez pas marie-thérèse !!
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lolochaponnay · 5 months
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Une jolie jeune femme sort de chez le fleuriste avec un énorme bouquet de roses. Un homme s'approche d'elle, en souriant, et lui dit : - Mademoiselle, vous ne pouvez pas savoir à quel point j'aimerais être à la place de vos roses! - Et pourquoi donc, monsieur ? - Ah, mais pour être dans vos bras, voyons ! - Je comprends. Mais vous savez, sitôt arrivée à la maison, je vais leur couper la queue !
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unfocused-overwriter · 10 months
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terrainofheartfelt · 1 year
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What you're looking for won't be found easily / It grows upon the mountain in a sacred place
Dan Humphrey + Strange Trails 9/?
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elodiecsu · 3 months
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Ce matin nous déjeunons après avoir déposer les enfants.
Puis canapé ou je m’allonge en mettant mes pieds sur tes jambes, tu es assis .
Tu masse pieds , jambes, cuisses, mes seins.
Te voilà sur moi , entre mes cuisses, ta bouche sur mon cou , une protubérance presse mon entrejambe.
Tu enlèves ton sweat-shirt, sors mes seins de mon soutif et les lèches.
Tes fesses sont précieuses dans mes mains et mon bassin gigote contre ton pantalon.
Tu sors ta verge par ta braguette, je n’ai pas le temp de la saisir que tu ecarte mon body et remonte ma robe .
Un missionnaire de père et mère s’en suit puis affaler , jambe sur tes épaules, ta verge est maintenant une queue large qui me fait couiner comme une amante .
Cette queue devient une bite affamée qui s’engouffre dans mon petit trou en me rappelant que tu dois te vider, telle est ton devoir de féconder.
Tu m’embrasse, referme ta braguette , ta verge et toi doivent aller en ville .
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borgien · 2 months
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Tu m’as demandé de venir vers toi et de m’agenouiller devant toi. Quand tu as ouvert les pans de ta robe, entre tes cuisses, j’ai vu, dressé, le sexe de latex...
Ensuite, il y eut moi, entre tes jambes, la bouche sur ta queue et mes doigts caressant tes fesses.
Affamé tes lèvres enroulées sur ta queue ; ton sexe mâle qui se dresse entre tes cuisses et la mienne qui bande dans sa cage, je me sens femelle. Tu regardes ma bouche s'ouvrir et mes yeux se révulser de plaisir. 
Je passe mes doigts sur mon corps, ramassant mes sucs et les mets dans ta bouche pendant que je continue à sucer ta queue. Ta langue imite les mouvements de la mienne... 
Tu veux plus. Tu me veux en toi. 
Tu en veux plus, tu me veux dans ma chatte, tu veux que je couines contre tes cuisses.
Tu veux t'entendre gémir.
Je veux que tu laisses les marques de tes mains sur mes hanches après m'avoir écrasé contre toi.
Je ferai tout pour t'avoir en moi. Je t'attirerai vers moi. Je veux ton corps sur le mien. Ton souffle sur mon cou. Tes seins sur les miens. Les mots crus que tu vas me murmurer : « salope, putain, petite chienne... ». Dis-moi que je suis si bonne à limer. Frappes-moi pour me rappeler que je suis à toi, comme ça, tout ouverte et mouillée.
Mes jambes tremblent de plaisir et mon esprit est vide à cause de tous tes mots qui me cinglent comme parfois le cuir...
S'il te plaît, ne t’arrêtes pas. Mon Dieu, ne t'arrête pas, baise-moi.Chaque poussée, chaque coup de reins me conduit plus près du plaisir. Je rejette ma tête en arrière de plaisir alors que tout mon corps tremble sous le tien, laissant échapper des gémissements et des râles...
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 132
Emma WE à la baule Hôtel Casino l'Hermitage
L'absence suivante de Marc, Emma s'est payé les services de son Escort boy préféré (c'est à dire moi).
Je suis passé la chercher dans mon nouveau bolide. Trop bonne cette caisse ! Elle m'avait juste dis de faire un bagage bord de mer pour 4 jours. Donc, draps de bain et maillots, chemisettes, polos et bermudas, baskets, lunettes de soleil et graisse à traire (je commence à être suffisamment bronzé pour tenter ça). Je n'oublie pas mon oreille et décide du diamant qui rend mieux sur mon cou bronzé actuellement que le rubis.
Elle est en robe d'été très légère. Petit bagage dans le coffre et nous voila parti direction Nantes. Je suis ses explications au fur et à mesure. Saint Nazaire, passage par la cote : Saint Marc où Tati a tourné les vacances de monsieur Hulot, Pornichet jusqu'à La Baule et destination hôtel de l'Hermitage où elle avait réservé une suite. Après avoir fait déposer nos bagages, nous avons déambulé dans l'hôtel pour repérer restaurants et salle de sport (2 piscines et une salle de muscu / training).
Nous avons croisé quelques " mères " avec leur fils et quelques hommes accompagnés de " neveux ". Pour nous c'est très clair et nous ne nous en cachons pas. Je la tiens par la taille sans équivoque quand à nos relations. Nous avons le temps pour un bain avant le dîner. Retour à la chambre ou nos sacs avaient été défaits et nos affaire rangées dans le placard. Alors que nous nous déshabillons pour enfiler nos maillots de bain, je ne peux résister à la vue de son corps encore parfait, en contre jour. Je suis nu aussi et je me colle dans son dos. Mes mains faisant le tour de son corps pour aller épouser le galbe de ses seins. Elle est plus petite que moi quoique grande pour une femme (1m75). Ma bite dressée contre mes abdos glisse dans le haut de ses fesses (elle a de très grandes jambes) et je masse doucement la peau satinée de ses tétons. Sa respiration raccourcit et ses tétons gonflent et se dressent. Je plie les jambes et passe ma queue entre ses cuisses, mon gland vient alors frotter les lèvres qui protègent son sexe. Doucement je pousse sur ses épaules et la pousse en avant. En même temps, son bassin bascule et bite vient tout naturellement s'enfoncer dans son vagin. Elle est brûlante ! Je la plie un peu plus, elle prend appui sur la table basse et je peux saisir ses hanches pour un assaut en règle. Alors que je la lime sur toute ma longueur, faisant en sorte qu'elle apprécie mes va et vient par une variation de vitesse et d'angle de pénétration, mes pouces écartaient ses fesses et sa rosette m'apparait. Je laissais couler un filet de salive juste dessus et utilisais mes pouces pour la faire entrer. Je suis tout luisant de son lubrifiant naturel, je sors complètement, pose mon gland au dessus sur l'anus et attend qu'elle me demande d'y aller. Emma n'attend pas et recule brusquement. Elle s'empale d'elle-même sur mon sexe. Je la laisse faire et elle continu jusqu'à me prendre en entier. Je reprends les commandes et démarre une sodomie puissante. Elle a beau s'accrocher à la table, mes coups de rein la soulèvent à chaque coup. Elle me masse à coup de contractions anales et alors que je cherche à sortir pour juter, elle me serre en elle et j'explose. Mes mains sur ses épaules la plante le plus possible sur mon pieu.
Douche, maillots, peignoirs et nous descendons à la piscine extérieure. Je n'avais pas fait attention mais elle est d'eau de mer. Agréable le petit goût salé.
Quand nous quittons nos peignoirs, nous sommes admirés. Bon je ne suis pas trop mal fait mais Emma pourrait n'avoir que 30ans tellement elle est svelte et bien faite. Je fais le tour du bassin avec les yeux, pas de concurrence possible, les vieux sont vieux et les plus jeunes ressemblent à ce qu'ils sont, des gigolos. Un seul sort du lot, dans mes âges, brun, assez musclé, rasé, qui accompagne un des plus vieux en présence. Nos regards se croisent, je suis sûr de le retrouver à la salle de gym plus tard.
Le bassin est quasi vide. Nos plongeons sont parfaits et cote à cote nous crawlons une bonne demi-heure.
Après quelques instants couchés sur des méridiennes, je vois approcher le jeune brun. Il me demande si je ne l'accompagnerais pas à la salle de muscu/training histoire de ne pas être seul. Il me le demande car à ce qu'il voit je suis probablement le seul à être intéressé. En plus de son physique avantageux, je note de superbes yeux verts.
Il est encore tôt (dans l'après midi), je me lève et dépose un baiser sur les lèvres d'Emma qui me glisse tout bas que je n'ai pas de kpote sur moi. Je la regarde comme si ce qu'elle me disait était incongru puis éclate de rire.
Présentations, Sasha, Franck. Je suis mon nouvel ami. Dans les couloirs je peux admirer ses fesses admirablement moulée par le slip de bain, rondes musclé comme j'aime ! Il me demande si je suis avec ma femme. Je réponds que comme lui je suis au travail. Il s'arrête ne comprenant visiblement pas. Je précise, bien oui, je suis Escort, Emma est une cliente. Il éclate de rire et me dit qu'il est lui avec son grand père. Je lui réponds que c'est exactement ce que disent tous les gigolos. Il finit par me convaincre que pour lui c'est réellement le cas.
A la salle de sport, nous discutons entre les exercices. J'apprends qu'il vient d'avoir son BAC et que le séjour à l'hôtel est un cadeau pour sa mention bien. Je le félicite. Il fait de l'aviron, ce qui explique qu'il affiche un volume musculaire supérieur à celui des jeunes de son âge. Nous enchainons le travail des pecs avec celui des bras puis après s'être admirés dans les glaces, touchés un peu pour vérifier respectivement nos muscles (et uniquement pour cela bien sur !), nous sommes remontés sur la terrasse. Quand je rejoignais Emma, je lui faisais part de l'invitation à la table du vieux et de son petit fils pour le soir même. Je lui précisais que nous n'avions pas eu besoin de kpote puisque nous ne nous étions qu'entrainés.
L'image de Franck est dans ma tête quand nous rentrons à notre chambre. La porte passée, quand je déroule la serviette que j'avais autour des reins, Emma voit que je bande. Je la pousse sur le lit et après lui avoir arraché le maillot, la pénètre un peu à la hussarde. Elle est chaude et lubrifiée. Le soleil ou ma présence ?? Je ne me pose pas la question sur le moment et elle profite de mon excitation sur Franck. Je fais quand même attention à ce qu'elle trouve aussi son plaisir.
J'avais mis dans mes bagages au dernier moment un pantalon blanc et quelques polos de marque. Ils suffiront pour la soirée.
Nous retrouvons Franck et son grand père pour un apéritif sur la terrasse. Présentations, Le vieux nous sourit avec un oeil complice et me remercie de distraire son petit fils qui commençait à se morfondre à ses cotés malgré les nombreuses fois où il l'avait enjoint à aller sortir avec ceux de son âge. Le vieux est plein d'humour et nous passons une bon moment tous les quatre.
Il est 23h passé quand le vieux propose à Emma de l'escorter au Casino et se tournant vers nous, nous dit d'aller de notre coté, si Emma est d'accord bien sur. Avec sa bénédiction, nous les quittons non sans que j'ai remarqué que Franck recevais un paquet de billet de son grand père. Nous avons fait un détour par notre suite pour que je me munisse aussi de numéraire (et de kpotes) et nous voilà partis à pieds vers le centre de La Baule. Le temps que nous y arrivions, j'ai presque tout su de la vie de Franck, fils unique lui aussi, peu d'amis, pas de copine, à son ton j'ai cru deviner qu'il n'en avait même jamais eu (de copine à baiser).
1ère étape dans un bar face à la plage. Il m'offre la boisson, alcoolisée. Après avoir vidé son verre, il trouve le courage de me questionner sur Emma. J'ai droit à un " mais heu..., tu la sautes ? " Bien sur, c'est même la raison principale de ma présence à ses cotés. Je lui explique aussi que c'est le cas de quelques jeunes qui accompagnent les vieux dans notre hôtel. Il est stupéfait, il n'y avait pas pensé. Je lui demande s'il l'a déjà fait. Je n'ai pas besoin de préciser quoi, il me répond " non pas encore ". Son bronzage et la lumière basse m'empêche de voir s'il rougit mais j'en suis presque sûr. Je lui propose d'aller en boite. Nous regagnons l'hôtel et demandons à l'accueil les adresses du coin. Il nous propose l'Indiana, la boite du casino qui est sur place mais je préfère nous éloigner. Nous nous décidons pour une boite en extérieur. Je vais chercher la voiture. Sifflements d'admiration quand je m'arrête devant Franck. Il manque de se prendre la portière dans le menton quand cette dernière s'ouvre (fixation mouette) puis se coule à mes cotés. Il a les yeux grands ouverts quand je démarre de façon peu discrète. Il est séduit par la caisse (j'aurais préféré par moi !) et me demande de faire un tour. Il est tard, sur semaine, il y a peu de risque que nous tombions sur la gendarmerie. Je décide d'aller sur Nantes. Aller par la 4 voies pour montrer à Franck le potentiel de la voiture (j'ai été raisonnable 220 Km/h seulement) mais il est scotché au baquet par les accélérations. Retour par la côte. Je m'arrête en surplomb de la mer et je sors de la voiture pour admirer la mer sous la lune. Il me suit et se met à ma droite. Sans rien dire, je passe mon bras sur ses épaules pas plus. Il ne le repousse pas et même j'ai l'impression qu'il se colle à moi. Je tourne mon visage vers lui pour parler quand il fait de même et nos lèvres se touchent. Il se fige comme si le monde s'était arrêté de tourner. J'entrouvre ma bouche et ma langue sort lécher ses lèvres. Il reste sans bouger. Je m'enhardi et l'insinue jusqu'à buter sur ses dents. Ses yeux grand ouverts me regardent fixement. Ma langue insiste et il entrouvre sa mâchoire. Aussitôt j'en profite et ma langue entre en contact avec la sienne. Effet reflexe ou chimique (salives) mais il se décrispe et vient au devant de ma pelle. Il passe son bras autour de mon cou et dans la lumière des phares, nous nous embrassons gentiment. Je le laisse faire, il m'embrasse ainsi un bon moment avant de se reculer. Il me regarde droit dans les yeux et me dit qu'il avait super aimé cela. Je l'attire alors vers moi et lui roule une pelle de mec, exigeante, violente, agressive. Il répond sur le même registre. Nous nous décollons et il me dit qu'il aime toujours ça. Puis il se souvient que je suis venu avec Emma et me demande ce qu'il en est. Je lui dit que je suis bi tendance homo. Ça le fait rire le distinguo.
Collés l'un contre l'autre, nous ne pouvons pas ne pas remarquer que nous bandons tous les deux comme des taureaux. Je m'écarte et lui prend le sexe en main par dessus son jeans. Beau morceau probablement 18 x 6 (il m'a l'air assez large). Il empoigne sans chichi la mienne. Je me penche vers lui et lui demande s'il veut que nous allions plus loin dès ce soir. Réponse positive. Pas possible de faire ça sur place ni dans la voiture. Je pense à la salle de muscu qui doit être vide à cette heure. Retour direct, voiture au parking, nous nous glissons dans les couloirs pour atteindre notre objectif. Porte verrouillée, merde ! cela n'arrêt pas mon Franck qui armé d'une carte téléphonique débloque le penne. Je lui fais part de mon admiration. Réponse : comme Louis XVI il aime bien la serrurerie ! (il me cache des trucs). Il fait nuit mais les baies vitrées donne de une clarté blafarde.par derrière les rideaux à lamelles. Franck se rapproche de moi et sa bouche avide colle la mienne. Sa langue me pénètre et la mienne vient au contact. Chaud, très chaud. Les polos valsent et les pantalons suivent. Ses slips ne tardent pas et nos peaux se collent. Pas d'expériences le petit mais pas de tabou et pas farouche pour autant ! Il me masturbe et je fais de même. Maladroitement il tente de me sucer. Pour une première c'est pas génial je sens les dents, pas de profondeur... je me recule et lui dis de me laisser faire. Sa bite est bien large et je ne m'étais pas trompé sur sa longueur. Délicatement je suce son gland, il sur-réagit et je dois bloquer immédiatement la montée de sève. Cela fait j'enfonce sa bite dans ma bouche et il sent bien quand son gland passe de l'autre coté, dans ma gorge. Il me dit qu'il kiffe trop ça. Je me redresse et il se jette sur mon sexe pour me faire pareil. C'est mieux que la première fois, je ne sens plus les dents mais il hoquette à chaque fois qu'il en prend trop en bouche. il est un peu déçu de ne pas me rendre les même sensations (c'est mignon les puceaux quand même !). Je lui dit que ce soir c'est moi qui m'occupe de lui. Je le pousse à se coucher sur un banc de muscu et le reprend en bouche. j'y vais doucement. Je glisse sur ses couilles un peu trop velues à mon goût et alors que je lui relève les jambes, lèche le périnée jusqu'à son anus. Bref mouvement de recul qui cesse dès que ma langue se met à jouer sur les plis.
De lui même il met ses mains sous ses genoux pour les tirer vers lui et m'offrir encore plus son intimité. Je me régale, salive, pousse avec ma langue, la pointe au centre, pénètre quelques millimètres, recommence jusqu'à pouvoir lui mettre un doigt. Il manque de me juter dessus et stoppe lui même son éjaculation (grande pratique de la masturbation). Quand j'arrive à lui mettre deux doigts plein de salive, je me redresse et à son oreille lui demande s'il veut que je l'encule. Excité par mes deux doigts qui jouent dans son fondement, il accepte puis me demande si ça va faire mal. Je le rassure, ouvre une pochette de gel et lui en fait rentrer le plus possible dans son trou, avec un troisième doigts qui passe bien. J'enjambe le banc et ses chevilles sur mes épaules, je me penche pour lui rouler un patin. Ça tire ses cuisses et ouvre bien sa rosette. Je pose mon gland enkpoté dessus et très doucement pousse. Son anus glissant s'ouvre mais je dois quand même appuyer plus fort pour le passer en entier. Je ne bouge plus. J'ai senti Franck un peu sur la défensive. Je lui propose de cesser là. il refuse me disant que nous allons jusqu'au bout.
Je me redresse un peu, prend ses cuisses à pleines mains et doucement les tire vers moi. Cm par cm ma bite pénètre ce beau mec. Il me regarde fixement dans les yeux et je vois le moment ou la douleur se mue ne plaisir. je n'ai le temps que de faire trois aller et retour qu'il ne peut se retenir et se jute dessus. Je me retire, les premières fois quand on a juté, l'excitation tombe et la sodo peut devenir douloureuse. Pas la peine qu'il connaisse cela. Comme il a vu que je n'avais pas joui, il se penche pour recommencer sa pipe. Son action plus la vue de son dos musclé et de son cul rond, je jute à mon tour lui inondant le dos de mon sperme.
Douche rapide, nous arrivons 1/2h avant la fermeture de l'Indiana. Sur la piste la fatigue s'est estompée et notre complicité est totale. Nous nous faisons draguer par deux minettes bien roulées et pas farouches. Elles n'hésitent pas à nous offrir un verre et nous explique rapidement qu'elles sont en vacances (on s'en serait douté !) seules dans la maison de leur grand mère. Je pousse Franck du coude et lui dis que ce serait un bon plan pour qu'il goûte à la meuf. Elles sont mignonnes et prête à se laisser faire. Je note téléphone et adresse et c'est Franck qui leur dit que nous les appelons vers midi. Je le raccompagne à sa chambre et m'aperçois qu'elle est totalement indépendante de la suite de son grand père. Va falloir qu'il explique pourquoi nous n'y sommes pas aller tout à l'heure.
Quand je rejoint notre suite, je trouve Emma endormie nue en travers du lit. Je ne peux m'empêcher de lui passer la langue dans le dos de sa nuque à son anus. Cela lui arrache un frisson mais ne la réveille pas. Je me pose à ses cotés et m'endors.
JARDINIER
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valentine1994 · 3 months
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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humeurs-des-plaisirs · 3 months
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Le cocu
Admire ta femme, Regarde la s’apprêter de ces lingeries coquines, Se faisant un devoir de se présenter, Dans ses plus beaux atours, Tu la sais espérer ce moment, Pleine d’appétit pour cet inconnu, Et déjà tu l’imagines en appétit, Mouillée de ses pensées vicieuses, Et toi prêt à combler cette ambition de plaisir.
Devant son invité, En hôte prévenant, Tu lui dévoiles son corps prêt à l’amour, Tu lui dis ce qui la fera succomber, Tu la fait se mettre à ses pieds, Et tu lui tend cette laisse de pouvoir, Pour qu’il lui donne ce qu’elle attend, Et tu t’installes sur le fauteuil, Au premières loges du spectacle, Qu’ils vont te donner.
Chorégraphie de ses envies, Regarde son regard gourmand, Face à cette queue qui s’offre Sa langue baveuse qui lèche. Sa bouche qui s’ouvre en Ô, Et se laisse envahir jusqu’à la garde, La gorge déformée par ce gland avalé Son souffle court après cette gorge profonde, Son regard pétillant de bonheur qui te fixe.
Quand tu fermes les yeux, C’est pour mieux entendre ses soupirs, Quand le coquin la pénètre, La petite chienne face à toi, Jappe son plaisir, Et appelle à l’outrance. Dans ce rut animal où les corps claquent Ecoute la crier, Jurer L’appeler à la saillie,
Putain, Regarde la baiser avec alégresse, Emportée par ce désir femelle d’être possédée, Saisie par ses mains fermes qui la tiennent Admire le balancé de ses seins, Cadencés par cette queue conquérante, Qui lui défonce le cul et le con, Savoure quand son regard se perd, Emportée par le tsunami de sa jouissance, Le corps secoué des spasmes libérateurs.
Qu'elle est belle après l’amour, Quand reconnaissante, Elle vient lover son corps nu contre toi, Caresse sa peau encore bouillante, Le con baveux et maculée de foutre, Constate maintenant qu’elle te revient, Tu bandes de désir pour elle, Toi, qu’elle reconnait comme unique,
… Son cocu !
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Texte original : PSganarel
Les humeurs du valet
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audessusdesgens · 5 months
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Profiter de la nouvelle année
Juste à deux
Un bain bouillonnant pour se relaxer
Sortir de là echauffés
Se chercher, encore nus et le corps humide
Les baisers, les mains sur les corps
Elle est debout devant lui, son corps offert
Il l embrasse, la caresse
Se penche vers son intimité, tout en tortillant la pointe de ses seins, érigés de désir
Sa langue cherche son.clito, déjà gonflé d'envie
Elle se rapproche encore plus de lui, assis sur le canapé
Elle le Domine, sa chatte collée à sa bouche
Il lui insère un doigt pour la fouiller. Il sat ce qu elle aime
Puis un deuxième, en accélérant
Le souffle est court..elle va jouir là, debout, sur sa bouche.
Mais à peine remise de ses spasmes de plaisirs, ils changent de place ..pour qu elle puisse déguster sa queue tendue et offerte.
Elle le pompe, le brande, le leche avec ferveur
Il lui enfonce son dard dans la bouche,
A bout de souffle elle le branle, rapidement fort
Lorsqu'il lui dit qu il va jouir..elle le reprend en bouche et le suce avidement jusqu à la dernière goutte
Texte original 012024
Photo personnelle, copyright @audessusdesgens
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tosteur-gluteal · 14 days
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Slutty priest is homophobic (chaos ensues) - OMORI MLB AU x Priest!Nick au (French version)
This is a collaborative fic I've made with @theokusgallery! This does not contain any spoiler, and is in French (English version coming soon. Probably. maybe.) Trigger warnings! This fic contains queerphobic slurs, as Priest!Nick is very repressed. If this makes you uncomfortable, don't hesitate to avoid this post! With that out of the way, Bonne lecture!
Les carreaux de la Cathédrale se brisent en milles éclats. Ladybug, dans la hâte, ne remarqua pas la présence du prêtre: une alerte akuma avait été formulée trente minutes auparavant dans ce quartier, et selon le protocole, on avait fait évacuer les lieux pour la sécurité des citoyens. En l'occurrence, Ladybug avait décelé une activité suspecte au sein de la Cathédrale.
Le prêtre, caché sous les débris, regarda Ladybug depuis le sol. Il l'espionna alors que le jeune homme cherchait la source de la menace qui avait été formulée. Il attendit le bon moment pour sortir de sa cachette, l'attaquer, le tuer--
Et le moment vint.
Il sauta du sol, faisant tomber les débris autour de lui, et se lança vers Ladybug. Les ailes de chauve-souris qu'il avait dans le dos l'aidèrent à se propulser tandis que sa queue de démon s'agitait de bas en haut pour détourner les morceaux de vers qui auraient pu l'atteindre.
"Ce gosse, pensa Nick, il a le droit de faire ce qu'il veut, mais MOI…!"
Ladybug serrait les dents. Malgré son agilité, il éprouvait une grande difficulté à éviter les attaques du vilain. De plus, il lui fallait trouver un moment de répit pour communiquer son emplacement à son coéquipier.
"Très élégant, monsieur! Enfin bon, malheureusement, je ne pense pas qu'il soit approprié de porter ce genre de tenue en ce lieu sacré..!"
Ladybug sautait de pilier en pilier, forçant le vilain à lancer ses débris dessus.
"Oh pitié, rétorqua celui-ci, tout en ventilant son torse exposé de manière provocatrice; t'es très mal placé pour parler, travlo!"
Ladybug le regarda, interloqué, ne sachant quoi répondre, et Arsenic en profita pour tenter de lui asséner un coup de poing que Ladybug évita de justesse.
"Ladybug, tout va bien ?!"
Ladybug poussa un soupir de soulagement en entendant Catmint.
"C'est pas trop tôt ! Il t'en a fallu, du temps, qu'est-ce que tu faisais ?!"
"J'ai évacué tout le monde, répondit Catmint. C'est lui, l'akumatisé?"
"T'en vois souvent, des gens normaux avec des ailes, queues et cornes de démon, toi ?"
Catmint eut tout juste le temps d'éviter une attaque du "démon" avant que celui-ci ne fit volte-face et saisisse Ladybug par le col. Il plongea verse le sol, entraînant Ladybug avec lui, en le plaqua contre les dalles de l'église.
"Ça va, tu t'amuses bien à flirter avec ton pote, pédé?!"
Ladybug utilisait ses bras pour tenter d'échapper à la prise du vilain sur son cou.
"Tu m'as l'air…bien, bien frustré, mon gars-"
"Comment ne pas être frustré quand on voit que des gens de ton espèce se baladent librement, sans aucune crainte envers Dieu..!"
Avant qu'il puisse en rajouter une couche, Catmint libéra Ladybug de sa poigne d'un coup de pied bien visé.
"Combien de temps avant un Lucky Charm?" Catmint signait à Ladybug alors que tous deux s'étaient dispersés, en mouvement constant dans toute la Cathédrale.
"Cinq minutes. Gagne du temps."
Catmint hocha de la tête.
L'homme se releva, le regard fixé sur Ladybug. La haine dans ses yeux était claire, et Catmint décida de se lancer dans le combat plus intensément, puisque ce vilain semblait décidé à l'ignorer pour se concentrer sur Ladybug.
Il attrapa le bras d'Arsenic, et le jeta vers le mur de la cathédrale. Nick eut tout juste le temps de stopper son élan en utilisant ses ailes, mais avant qu'il ne puisse se jeter une fois de plus vers Ladybug, Catmint courut vers lui et saisit ses ailes pour l'immobiliser au sol.
Le vilain se débattit furieusement, criant vers Catmint, qui essayer tant bien que mal de garder le contrôle des ailes de l'homme.
"Allez, juste deux minutes de plus..!" pensa Catmint.
Arsenic se pencha violemment en avant, faisant voler Catmint, qui était derrière lui. Catmint se rattrapa et retomba sur ses pieds sans grande peine, s'élançant une fois de plus vers l'homme et lui portant un coup de poing dans le ventre qui repoussa le vilain. Arsenic attérit sur le sol, tenant son rosaire dans la main.
"C'est son rosaire…!"
"MAINTENANT !" cria Ladybug.
Catmint porta un coup de pied sur la main de l'homme qui tenait le rosaire. Celui-ci cria de douleur et lâcha le rosaire, laissant à Catmint le temps de le détruire.
L'akuma jaillit de la croix fendue; puis d'un saut contre le mur, il le captura en plein vol avec son yo-yo. Triomphant, il leva le poing dans les airs. "Je te libère du Mal!"
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icariebzh · 2 months
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"Alligators 427 Aux ailes de cachemire safran, Je grille ma dernière cigarette. Je vous attends. Sur cette autoroute hystérique Qui nous conduit chez les mutants, J'ai troqué mon cœur contre une trique. Je vous attends. Je sais que vous avez la beauté destructive Et le sourire vainqueur jusqu'au dernier soupir. Je sais que vos mâchoires distillent l'agonie. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 À la queue de zinc et de sang, Je m'tape une petite reniflette. Je vous attends. Dans cet étrange carnaval On a vendu l'homo sapiens Pour racheter du Neandertal. Je vous attends. Et les manufactures ont beau se recycler, Y aura jamais assez de morphine pour tout le monde, Surtout qu'à ce qu'on dit, vous aimez faire durer. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Aux longs regards phosphorescents, Je mouche mon nez, remonte mes chaussettes. Je vous attends. Et je bloque mes lendemains. Je sais que les mouches s'apprêtent, Autour des tables du festin. Je vous attends. Et j'attends que se dressent vos prochains charniers. J'ai raté l'autre guerre pour la photographie. J'espère que vos macchabées seront bien faisandés. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Aux crocs venimeux et gluants, Je donne un coup de brosse à mon squelette. Je vous attends. L'idiot du village fait la queue Et tend sa carte d'adhérent Pour prendre place dans le grand feu. Je vous attends. J'entends siffler le vent au-dessus des calvaires Et je vois les vampires sortir de leurs cercueils Pour venir saluer les anges nucléaires. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Aux griffes d'or et de diamant, Je sais que la ciguë est prête. Je vous attends. Je sais que dans votre alchimie, L'atome ça vaut des travellers chèques Et ça suffit comme alibi. Je vous attends. A l'ombre de vos centrales, je crache mon cancer. Je cherche un nouveau nom pour ma métamorphose. Je sais que mes enfants s'appelleront vers de terre. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427 Au cerveau de jaspe et d'argent, Il est temps de sonner la fête. Je vous attends. Vous avez le goût du grand art Et sur mon compteur électrique, J'ai le portrait du prince-ringard. Je vous attends. Je sais que, désormais, vivre est un calembour. La mort est devenue un état permanent. Le monde est aux fantômes, aux hyènes et aux vautours. Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Je vous attends. Je vous attends. Je vous attends. Je vous attends."
Hubert-Félix Thiéfaine
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