#danser. aimer
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Quand jaillit la vie - Anne-Marie Hébert
J’aime la vie, les couleurs L’arc-en-ciel et sa saveur J’aime sentir les parfums Qui embaument ma vie mon destin. J’aime écouter les rires et les chansons J’aime danser, tournoyer en rond. J’aime la peinture, Et sa texture Peindre avec mes doigts Exprimer mon émoi. J’aime écrire des poésies Des nouvelles, des écrits Où j’exprime mes valeurs Voyant le monde et ses malheurs. J’aime le rire de mes…
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Je veux t'aimer
youtube
Cette chanson est dédiée à l'amour... Je l'ai découverte en Avril 2023... Et depuis je l'écoute souvent...

#Youtube#music#musique#joie#amour#love#lover#amoureux#dance#danser#chanter#je veux t'aimer#aimer#song#chanson
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C’est la vie
Il n’y a pas d’espace pour quelqu’un d’autre, la place que nous occupons dans la vie nous est singulière, nous seuls avons ce point de vue, nous seuls avons cette perspective. Ce serait un gaspillage de nous fermer les yeux et laisser la vision d’un autre nous dicter. Il n’y a pas de temps pour autre chose, alors à quoi bon différer ce que nous sommes en train de vivre. Entre l’inéluctable et…

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Souviens-toi de vivre ! 💫🌈 Pas juste de cocher les cases ou de survivre en pilote automatique, mais de vivre pour de vrai. 🚀💛 De respirer à pleins poumons, de rire jusqu’à en pleurer, d’oser aimer follement et de foncer vers tes rêves même quand ils font peur. 🎭💖
Souviens-toi de te lever le matin avec cette étincelle dans les yeux, cette envie de danser sous la pluie et de t’émerveiller des petits riens. ☀️🌧️🎶 Souviens-toi de te réinventer, de casser les routines qui t’étouffent, de dire oui à l’inconnu et de te choisir encore et toujours. 🌟💥
Parce que vivre, c’est pas seulement exister. C’est vibrer, c’est te brûler les ailes parfois, c’est apprendre et recommencer. 🔥🦋 Souviens-toi : la vie est un terrain de jeu, et chaque jour est une nouvelle partie à réinventer. 🎲💫 Alors fonce, vis, aime, éclate-toi — et surtout, n’oublie jamais : souviens-toi de vivre
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Je l'aime tant, le temps qui reste
Je veux rire, courir, pleurer, parler
Et voir, et croire, et boire, danser
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
Voler, chanter, partir, repartir
Aimer...
Quand j'y pense, mon cœur bat si fort...
Mon pays c'est la vie
Serge Reggiani

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Je cherche tant bien que mal à trouver les mots,
Moi qui jusque là aimer danser avec eux,
Aujourd'hui je n'entend plus leur mélodie.
La gorge nouée les entrailles torturées
Aucune syllabe n'arrive à sortir si ce n'est des gémissements.
Je sais qu'au final je ne mérite qu'une éternité de souffrance
Pourtant même ça la vie va se charger de l'écourter.
J'ai choisi à ta place par peur de ce que ça pourrait te faire supporter.
Pourtant je sais que la souffrance est tout de même la.
Ton nom tes surnoms ne sont pas éteint. Ils vivent encore en moi, comme une note suspendue dans une chanson qu’on ne termine jamais. Ton absence a creusé un vide, mais ta présence, elle, reste gravée, douce et attendrissante.
Je pourrais dire que j’avance, que je respire, que le monde tourne et que le temps soigne. Mais la vérité, est tout son contraire chaque jour est une plaie béante que j'arrose avec mes larmes salées . Tu me manque comme l’air manque à mes poumons.
Tu me manques, oui. Mais c’est bien plus que ça : c’est un manque qui n’a pas de nom, pas de fin, un amour suspendu entre deux silences.
Juste cette douleur douce, familière. Ce feu que tu as laissé, qui réchauffe autant qu’il consume. Et cet amour… qui n’en finit pas.
Ton surnom je vais le graver dans tous les recoins de ma région.
De cette façon quand mes yeux définitivement se fermeront, tu continueras d'envahir en silence tous ces endroits chers à mon coeur.
Parce qu'il n'y en a qu'une, Parce que c'est toi, Parce tu possèdes cette magie, Parce qu'avec toi mes jours noirs sont devenu paradis.
Que je continuerai à veiller sur toi ou que je sois que la force et le courage du Ranger noir te suive et t'accompagne toi la guerrière de feu
Pour hier, pour aujourd'hui, et pour toujours :
I witch you ...
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Ce qui reste du vieux verbe “amer” (supplanté par aimer), c'est son participe présent "amant”, comme ce qui reste du vieux verbe “galer” (s'amuser, danser, sauter - dans un sens grivois) c'est son participe présent “galant”.
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Vous devez danser comme si personne ne vous regardait, aimer comme si vous n'aviez jamais été blessé, chanter comme si personne n'écoutait et vivre comme si vous étiez au paradis.
Frida Kahlo
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Être dans sa deuxième décennies de vie c'est une sensation étrange. Ambivalence, ce serait le bon mot. Perdition peut-être aussi. C'est la sensation de n'être que des extrêmes qui s'entrechoquent continuellement. Avoir besoin d'être seule ou avoir besoin d'être entourée. Continuer sa vie rangée ou tout plaquer du jour au lendemain. Avoir envie de sortir tous les soirs ou rester enfermé dans le noir. Aimer une personne, pour deux, pour trois, ou avoir un cœur tout froid. Généraliser ou laisse sa chance. Avoir peur de tout ou avoir peur de rien. Se sentir trop con ou bien trop intelligent. Avoir la sensation qu'on est capable ou se sentir incapable. Avoir besoin d'aide ou la refuser catégoriquement. Être fasciné ou être profondément désespéré. Se sentir trop plein d'un coup ou trop vide de tout. Aller mieux ou rester dans des cercles vicieux qui tuent lentement. Sortir de sa zone de confort ou s'y confiner. Regarde une série d'une traite ou ne jamais s'y intéresser. Attendre que la tempête passe à l'abri ou aller danser sous la pluie. Avoir de la compassion ou déborder d'aversion. Grandir ou rester l'enfant qu'on ne sera plus jamais. Accepter que certaines choses ne changeront plus ou perdre son temps à espérer que c'est encore possible. Autoriser les autres à faire des erreurs ou être intransigeant au moindre faux pas. Être au fond du gouffre ou avoir l'impression qu'on n'est jamais tombé dedans. Essayer de plaire aux gens qui nous plaisent ou essayer de nous plaire à nous. Faire les choses même quand c'est pénible ou ne même pas se lever du lit. Aller courir 15 km un samedi matin au pif ou ne jamais faire de sport. Boire sans compter ou instauré la sobriété. Se faire de bons plats ou attendre de s'affamer. Se confronter à ce qui nous blesse ou s'y conforter. Se sentir désirable ou se sentir misérable. Donner inconditionnellement ou calculer au millimètre près. Courir après les gens ou ne même pas les approcher. Rire trop fort ou pleurer sans effort. Tout donner ou tout préserver. Essayer ou se forcer à rater. Pardonner ou se laisser marquer à jamais. Rester ou partir. Vivre ou mourir.
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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Je fais partie de ceux qui s'émerveillent voyant le lever du soleil, qui sourient quand on nous dit de belles choses.
Je fais partie de ceux qui aiment flâner, errer sans but précis et observer la vie. Celle où le matin, des personnes courent pour avoir leur métro et le tout avec l'odeur du café.
Ceux qui aiment regarder ceux qui lisent, qui parlent, qui écoutent de la musique.
Je peux dans cette errance contempler le bouquet de tulipes chez un fleuriste, aimer danser sous la pluie, donner un sourire pour égayer la journée d'un passant.
Je fais partie de ceux qui embrasse la vie, même avec ses déchirures 🤍
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J'ai envie de te dire allez viens,
J'ai envie de partir maintenant,
J'ai envie de te retrouver tu me manques tellement,
Allons nous aimer sous la lune et brûler notre peau a la lumière du soleil,
Aimons nous dans l'eau fraîche des cascades et dans l'eau saline des mers et océans.
Faire en sorte que l'herbe fraîche du matin nous caresse les pieds et que les feuilles des arbres nous protège lors de nos siestes d'après midi.
Laisse tes cheveux danser avec le vent et qu'il se parfume des odeurs de celui-ci.
Installons nous ici et là pour quelques jours ou quelques heures. Laissons nos humeurs et notre amour guider ce périple.
Laissons nous, nous faire guider par nos pulsions, notre grain de folie du moment, par ce qui nous anime vivons pour nous !
Un voyage qui serait doux et simple agrémenté d'amour et d'eau fraîche.
Laissons la lune dessiner nos silhouettes dans les nuits étoilée et laissons l'aube illuminer et animer celles-ci.
💚💙

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Tu dois danser comme si personne ne t’observe, aimer comme si tu n'as jamais été blessé, chanter comme si personne ne t’écoute, et vivre comme si c'était le paradis sur terre.
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Combien de temps...
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures, combien ?
Quand j'y pense, mon coeur bat si fort
Mon pays c'est la vie.
Combien de temps encore
Combien ?
Je l'aime tant, le temps qui reste...
Je veux rire, courir, pleurer, parler
Et voir, et croire et boire, danser
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, partir , repartir souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui reste.
- Serge Reggiani

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Au risque de l'inconnu
Au risque d'inviter une femme à danser un rock et lui chuchoter «fermez les yeux»,
Au risque de partir en voiture pour aller dîner en ville et finir à Rome le lendemain après avoir roulé toute la nuit parce qu'on a changé d'idée,
Au risque de voir votre homme pour la cinquantième fois décliner l'offre du petit vendeur de roses pakistanais et lui acheter toute la brassée pour l'offrir à tous ceux qui sont là dans la salle,
Au risque des nuits blanches,
Au risque d'écrire à un, une presque inconnue une lettre d'amour à partir d'un presque rien qui vous aura traversé dans une fulgurance inconnue de vous jusqu'alors,
Au risque de ne pas cesser de faire l'amour,
Au risque de prier sans le secours d'aucun Dieu ou même avec,
Au risque de l'amitié cachée folle éperdue infinie, pire qu'un amour,
Au risque de l'ennui et aimer cet ennui sans secours,
Au risque de marcher seul(e) dans une ville et attendre que survienne à cet instant le sens de toute une vie. Savoir que le lendemain, tout disparaîtra,
Au risque d'écouter la passion selon St Mathieu de Bach en boucle,
Au risque de prendre sur soi la responsabilité dévolue à un autre, tout sauf un principe de précaution,
Au risque de ramasser sur la plage des petits cailloux de verre dépolis par la mer et de les disperser ensuite le soir,
Au risque d'un communisme de pensées,
Au risque de la joie.
Anne Dufourmantelle – L'éloge du risque
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Ce qui reste du vieux verbe “amer” (supplanté par aimer), c'est son participe présent "amant”, comme ce qui reste du vieux verbe “galer” (s'amuser, danser, sauter - dans un sens grivois) c'est son participe présent “galant”.
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