#dwaight

[sunstonespells]

my closest homeless friend in the city was found dead this morning in the spot where i used to bring him coffees and breakfast sandwiches and talk about the criminal justice system with him. i'm so heartbroken. he would always see me walking and call to his friends, "there's the baddest bitch in baltimore!" he would try to stop parking meter attendants from writing me tickets when i was stuck inside working during a rush and couldn't get out to pay. i kept visiting him after i left that job, he was always the first person i'd check on when i was in the area. rest easy, dwaight.

[ocanna24]

@dw_aight & @yuniya_p walking for @gucci Fall Winter 2018 2019 by @lallo25 Milán Fashion Week / #Fashion #Gucci #GucciFW18 #Yuniya #Dwaight #FallWinter18 #fallwinter1819 #fw1819 #alessandromichele (en Gucci Hub)

[ey801]

[super-lemon-sama]

[kazuririri]

quentin & dwaight

I can’t translate💦💦

Trust your sense🤭

[queenvv14]

Dwaight is slaying that hat

[camillesueroche]

Dwaight

« Si tu prends ma photo, tu le fais correctement, tu fais ça dans les règles de l’art. Moi j’ai fait beaucoup de photos dans les années 80, et je peux te dire que là tu allais faire n’importe quoi avec le cadrage ! On est d’accord que le cadrage c’est hyper important. C’est une des choses les plus importantes dans la photo le cadrage ! Si tu fais un bon cadrage, tu n’as pas besoin de passer des heures sur photoshop à recadrer, tu vois par exemple, le portrait, ça va de là, juste au dessus de ma tête, à grand max là, au milieu de mon buste. C’est moi, c’est à propos de moi le portrait, c’est pas les marches, c’est pas la porte, c’est juste moi, faut couper ici et rien qui dépasse, un point c’est tout. En fait, tu vois quand j’étais dans la Navy... quand j’étais dans la Navy, à l’époque, je suis allé partout, j’ai beaucoup voyagé, je suis allé en Europe, partout en Europe, en Israël aussi, et puis en Méditerranée, dans des bateaux, dans des clubs, dans des Palais, j’ai vu des choses tellement belles, tellements de choses, tellement impressionnantes, à l’époque, c’était pas comme aujourd’hui. Mais vraiment à l’époque avec tout ça, avec tout ce que que je voyais… Et vraiment j’aurai jamais pensé voir autant de choses ! mais enfin, ç’aurait été vraiment, mais alors vraiment plus que stupide de ne pas avoir d’appareil photo. Alors juste avant de partir, j’ai commandé un Canon AE-1 program, le tout premier appareil au monde à proposer l’automatisme électronique de toutes les fonctions de la prise de vue ! Une vraie légende... Alors bon, j’avais mon appareil, et j’ai tout pris en photo, j’ai tout documenté, il fallait documenter ce qu’on vivait, il fallait garder tout ça. Mais surtout ce que j’ai fait, ce que j’ai fait, c’est que bon... Vous voyez, j’ai une petite soeur, vraiment une plus petite soeur que moi, elle est plus jeune, quand moi j’avais 19, elle, elle avait peut-être 14, voilà, une très jeune soeur… Et en fait, nous on venait de Boston… Et à l’époque, tu vois, dans les années 80, Boston, c’était vraiment très divisé, très très divisé, les communautés c’était chacun chez soi, si t’étais pas italien, t’allais pas dans le quartier des Italiens, si t’étais pas portugais, t’allais pas dans le quartier des Portugais, si t’étais pas allemand, t’allais pas dans le quartier des Allemands, mais vraiment hein… sinon tu te faisais casser la gueule direct ! Et alors surtout, c’était très très raciste à l’époque, très très raciste. Les gens, les communautés, tout le monde était très raciste, c’était pas comme aujourd’hui, maintenant quand même les gens ont accepté que bon voilà, on est pas tous de la même couleur, mais on est quand même tous des hommes, bon c’est pas parfait hein, bien sûr, c’est pas parfait du tout... Mais à l’époque, je vous dis ça n’avait rien à voir, c’était violent, et moi bien sûr, un gamin noir, je devais aller à l’école à pied, et bien sûr, je devais passer par tous ces quartiers ! J’avais pas le choix c’était sur mon chemin, tous les jours, je me demandais si j’allais pas me faire casser la gueule, ha oui … ça oui, c’était violent. Tous les jours, il y avait des chances pour que je me fasse casser la gueule, et bon, Boston, c’était vraiment le pire pour ça, les gens étaient vraiment très racistes, c’est pour ça qu’on en a eu marre, mes parents en ont eu marre, et on a déménagé ici, c’était quand même pas la même chose, mais bon de toute façon, ça c’est les années 80… et donc moi en achetant mon Canon AE-1 ce que je voulais faire, c’était documenter tout ça, tout ce que je voyais, et puis surtout, tu vois, à l’époque c’était des pellicules, donc je faisais développer mes photos là où j’étais, à l’époque tu pouvais aller partout, tout le monde faisait ça, c’était normal. Et donc, moi ce que je faisais c’était que où que je sois, mais vraiment où que je sois dans le monde, je faisais développer mes photos et je les envoyais à ma petite soeur. C’était très important, vraiment très important que j’envoie à ma soeur des photos de tous les endroits où j’allais, de tout ce que je voyais parce que c’était très important qu’elle, ma p’tite soeur, elle voit que le monde c’était pas que ça, pas que les quartiers de Boston, que le monde voilà… Que le monde c’était grand, qu’il y avait beaucoup de choses à voir, et qu’elle devienne une bonne personne, parce que quelqu’un qui sait que le monde, il y a pleins de choses à voir, tu vois… tu fais moins de conneries peut-être, moi je voulais que ma soeur elle ait l’esprit bien ouvert … Parce que bon, je ne vais pas mentir, moi j’ai fait des conneries, ça j’en ai fait des conneries, je suis allé en prison, j’ai pas honte de le dire, voilà, j’ai fait de la prison. J’ai fait n’importe quoi, je me suis égaré, j’étais pas malin, et puis les mauvaises fréquentations, j’ai fait deux braquages, bon voilà, je vais pas mentir, c’est ce que j’ai fait, deux braquages, donc je suis allée en prison un fois, voilà mais bon, je me suis bien comporté, donc je ne suis pas resté trop longtemps, et puis après j’ai commencé à travailler, je voulais monter une entreprise, j’avais des idées, enfin, je voulais, voilà j’avais eu des idées en prison… Et là, bon j’étais en probation, j’étais en train de conduire et donc je me suis fait mettre sur le côté par les policiers, pour rien, je me suis fait mettre sur le côté, peut-être pour une infraction banale au code de la route, ou même pas… et bon, en fait, ils ont vu que je n’avais pas mon permis de conduire, parce qu’en fait, je voulais l'acheter, je voulais l’acheter, j’allais le faire... mais j’avais pas les moyens et je devais faire en sorte que mon entreprise, que l’entreprise que je voulais monter, elle marche ! Et pour ça, je devais m’occuper de mes clients, pour qu’ils soient contents, donc j’avais pas trop d’autre choix que de conduire, mais bon voilà, j’avais pas encore pu me racheter un permis, et bon juste ça, un banal contrôle sur la route, un petit truc de rien du tout, ils ont pas laissé passé. Ah non. C’est pas passé, je suis retourné en prison illico, mais bon en fait, en prison, j’ai rencontré un camarade de cellule qui avait des livres et qui parlait hébreu, et du coup, je lui ai demandé de m’apprendre, et en fait, tu vois l’hébreu, moi j’avais toujours trouvé, en fait ça m’avait toujours semblé familier, et je ne savais pas pourquoi, mais en fait, là j’ai compris pourquoi, là j’ai su. C’est la langue qu’on parlait avant, avant qu’on nous force à apprendre d’autres langues, mais voilà il y a plus de 600 ans, moi je sais que je parlais hébreu, et tu vois nos cerveaux se rappellent de ça, nos cerveaux se rappellent qu’on parlait hébreu, et donc c’est très familier comme langue. Mais alors du coup, quand je suis allé en Israël ensuite, je comprenais encore mieux, la première fois que j’ai vu Jérusalem, j’ai compris encore mieux, en fait, je me suis senti si proche de cette terre, mais c’est simplement parce que nous venons de là, parce que moi je suis chrétien, et nous venons de là, et donc le corps, le cerveau a la mémoire d’avant la vie et s’en rappelle. en fait, nous portons avec nous la mémoire de nos ancêtres partout où nous allons, c’est pourquoi je ne peux pas parler l’hébreu, mais je le comprends, tu vois la différence ? Mais Israël, il faut aller en Israël hein, c’est magnifique, vraiment, c’est Haifa, Haifa, c’est magnifique hein, et Jérusalem, il faut aller à Jérusalem, mais Haiffa, c’est vraiment… Et puis là bas, j’ai mangé le meilleur Gyro, on a mangé le meilleur Gyro, vous savez c’est cette viande qu’ils rasent, cette grande cuisse, et puis ils rasent, et oh lala, c’était tellement bon, c’était de l’agneau, c’était tendre, c’était la meilleure viande que j’avais jamais mangé, avec une sauce crémeuse au concombre, je m’en souviendrais toute ma vie, c’était la meilleure chose qui soit, on en a repris 6 assiettes, 6 assiettes tellement c’était bon… »

[...]

« Et Mohammed, je ne sais plus quoi, that motherfucker muslim guy, on peut dire ça, mais enfin peu importe parce qu’il a dit - et vraiment pour moi, c’est le plus important - il a dit :

Ne critique jamais si tu n’as pas de solution de remplacement. Si tu n’as rien à apporter, c’est de la critique destructive, si tu proposes un remplacement, c’est de la critique constructive. C’est très important, il faut bien s’en rappeler. Voilà bon, vous devez surtout faire très attention à ça, surtout, rappelez vous toujours de ça : ne jamais tomber dans la critique destructive, toujours faire des critiques constructives, la critique constructive permet de rendre meilleur, la critique destructive ne sert à rien… »

[...]

[theunsentproject]

(via Dwaight)

[candy-star]

Me while watching Gotham s3e13

Jim: He's gonna bring back Jerome...

Me: And he'll be ded

Joker Card: Im an easter egg lol

Me: I SAW WHAT YOU DID THERE

Dwight: We.Are.Jerome

Me: Lol slow down budd I know you like J but chill

Ozzie: I need Ed, he's the only one

Me: I KNOW *sobbing while hugging the cat*

Jerome: Boo! *giggles*

Me:

Me:

Me: MA GINGER BABY!

Lee: ... *totally chilling while J is pointing with the fuckin gun at her*

Me: CAN YOU JUST MAKE HER HARLEY QUINN ALREADY *sarcasm*

Dwaight: We.Are.Jerome

Me: Ugh

Jerome: You and me... *pointing his gun with a gun*

Me: CHILLLL

Jerome: What is it? Gingers are not your type?

Lee:...

Me: Well gingers are MY type

Ozzie: Eddie

Me: *falls down*

Dwaight: We.Are.Jerome

Me: STOP IT ALREADY

Jerome: Sorry! Didn't see ya!

Me: *remembering Heath while crying*

Selina: Did you know?!

Me: no..

Bruce: Yes

Me: No...

Selina: *punches him*

Me: NO

Dwaight: We.Are.Jerome

Me: STOOOOOP

Eddie: Oswald, help

Me: SHUT UP YOU SNAKE

Jerome: Death...is...dull

Me: Well I don't know

Jerome: Do whatever...kill

Me: For you obviously *awkward wink*

Dwaight: *dies*

Me: FINALLY

Jim: Oh no...

Me: OH YES

[sunstonespells]

grief is so much more manageable when you practice magic.