Tumgik
#encore une fois passer pour un connard
chifourmi · 3 months
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On s'est vus et il m'a sorti que son premier amour lui revenait toujours en tête. C'était il y a 1 an et il n'arrive pas à passer à autre chose depuis. Parce que ça s'est terminé très brutalement. Je l'ai détesté immédiatement. Détesté d'avoir commencé quelque chose en ayant conscience de ça. Et lui qui a osé me dire qu'il avait peur de s'attacher alors que j'étais peut-être pas passée à autre chose avec mon plan cul.
Vous savez comme je fuis dès qu'une difficulté se présente. J'ai eu un sentiment de détachement immédiat et la sensation de vouloir tout arrêter tout de suite. Il me l'a dit parce qu'il sentait que je m'attachais et selon lui j'avais l'air de m'attacher plus vite que lui. Alors que c'est lui qui m'a déjà présenté sa famille et d'autres choses bien trop rapides à mon goût. Mais comme je le sentais s'attacher vite, j'ai laissé tomber mes barrières et je me suis laissée aller.
Actuellement, je sais que pour me protéger je serais capable de ne plus lui parler du jour au lendemain. Parce que j'en peux plus d'être blessée. J'ai été honnête et je le lui ai dit. Il n'était vraiment pas bien.
Je ne sais pas s'il a bien fait de me le dire. Je crois que cette vérité fait partie des vérités qu'il n'est pas nécessaire de dire. Évidemment que le premier amour est impossible à oublier mais tu ne commences pas une histoire si tu ressens encore tout à vif. Il a encore pensé à elle actuellement, c'est pour ça qu'il a eu besoin de me le dire. Je suis trop déçue et là vraiment je n'ai plus envie de garder contact.
"Tu retournerais vers elle si elle revenait vers toi?"
"... Je sais pas"
En plus il n'a vu son premier amour que 2-3 fois, ils se sont surtout rapprochés par messages. Mais ça a été très vite, ça a été ses premiers sentiments, ses premiers contacts physiques. Puis c'est un gars super sensible, qui ressent tout très fort et qui s'attache vite. Ça s'est fini parce qu'elle est partie pour revenir vers son ex, qui en plus de ça était un connard. Il est tombé de 10 étages. Ensuite, il est sorti avec une autre fille, qui a réussi à lui faire oublier la première. Mais après leur rupture, il a repensé à la première. Il arrive à être objectif et à se dire qu'il l'a beaucoup idéalisé et mise sur un piédestal. Il en a conscience mais il ressent quand-même encore toute cette frustration de ne pas avoir pu vivre une vraie histoire. Parce qu'au final ça n'aura duré que 3-4 mois.
J'ai beau réfléchir, j'arrive pas à m'imaginer commencer quelque chose avec quelqu'un qui a toujours une autre fille en tête. C'est inconcevable. Je lui ai dit qu'il devait prendre le temps de l'oublier. Il n'y a que le temps qui fera les choses. Mais ça n'a pas été ma décision finale, il m'a dit qu'il me laisserait le temps de digérer les infos et de réfléchir à ce que je veux faire. "En tout cas saches que si tu décides d'arrêter, ça aura été une belle histoire et je ne t'oublierai jamais".
Tout était trop beau pour être vrai.
(20/06/2024)
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solhrafn · 2 months
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Bon y s’est passé plein de trucs depuis mon dernier post, mais en gros, on a fait trois jours de chalet, temps variable donc super pour les photos, je me suis retrouvé pris dans des draches et sur des chemins inondés mais sans renoncer car une fois trempé, rebrousser chemin ne sert à rien. Là j’ai pris V et on est en road trip entre Fjords et sommets depuis hier et elle sera une barroudeuse. J’ai hâte qu’elle grandisse encore un peu.
J’ai des pensées par rapport à la mort et je réfléchis un peu sur mes angoisses. Je gros que mon anxiété vient du fait que j’ai beaucoup à perdre maintenant. Je ne peux m’empêcher de penser à chaque moment partager ici avec V et j’essaie qu’ils soient des moments qui resteront avec elle toute la vie, comme faire ce trip me ramène en mémoire les moments semblables que j’ai vecus avec l’un ou l’autre de mes parents. Le changement de perspective d’enfant à adulte est troublant.
Time Flies de Steven Wilson s’est mis à jouer sur le shuffle. Ma gorge se serre. Helvegen (skaldic version) de Wardruna vient à son tour et les larmes suivent. Je comprends certains mots de ma mère dzns ma chair désormais.
Sinon petites frustrations à cause de touristes cons en bobil dans des cols méga étroits, situation qui devient la cata quand un autre connard en véhicule similaire décide de venir à contre sens. Sérieusement si vous venez en Norvège ne venez pas en camping car ou en caravane. Si vous devez absolument infliger votre présence de trou de balle en véhicule inadapté aux autres, au moins apprenez les règles de courtoisie locales (si vous êtes un véhicule qui fait 40 sur une route à 80, laissez passer ceux qui vous suivent dès que possible).
Sinon là on est mid-trip et on fuit les zones orange niveau tourisme en allant vers l’est, direction le glacier au dessus de Sognefjell.
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marie-swriting · 4 months
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Perte De Temps | Plus Maintenant - Jake "Hangman" Seresin
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Partie une
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu arrives enfin à oublier Jake, mais maintenant, c'est lui qui n'arrive pas à t'enlever de sa tête.
Warnings : Jake est un connard, angst, consommation d'alcool (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé !), fin triste (pour Jake), dites-moi si j'en ai oublié d'autres.
Nombre de mots : 1.9k
Chanson qui m'a inspiré : Feather par Sabrina Carpenter
Alors que tu es en train d’appliquer du fard à paupières, la musique de ton téléphone se coupe pour laisser place à ta sonnerie. Tu baisses les yeux et découvres un nom que tu ne pensais plus voir apparaître sur ton écran : celui de Jake. Jake interrompant ta vie n’est malheureusement pas quelque chose d'inhabituel, tu te rappelles bien de la dernière fois que c’est arrivé. 
C’était il y a environ cinq mois. Tu étais dans une situation similaire, tu étais en train de te préparer pour sortir quand Jake t’a appelé et étant encore désespérément amoureuse de lui, tu as décroché en moins d’une seconde. Au début, tu as essayé d’être forte, ne voulant pas lui céder aussi facilement, cependant Jake est un beau parleur, il a su trouver les mots justes pour te faire tomber dans ses bras à nouveau. Au téléphone, Jake était désespéré de te retrouver, d’être l’homme que tu méritais. Il t’a dit tout ce que tu rêvais d’entendre et tu l’as cru. Tu aurais dû te douter que ce n’était que du vent. Jake et toi êtes retournés ensemble pendant deux semaines avant qu’il ne t’abandonne, mais pas en te plaquant par appel téléphonique, non, cette fois, il t’a ghosté. À ce moment-là, c’était la deuxième fois qui le faisait, autant dire que tu as fini par retenir ta leçon. Tu as tout fait pour oublier Jake et te focaliser sur toi et ta carrière dans la Navy. Et tu peux affirmer sans te tromper que tu as réussi. 
En effet, alors que ton téléphone continue de sonner, le nom de Jake te narguant, tu décides de raccrocher. Toutefois, tu ne t’arrêtes pas là. Tu déverrouilles ton téléphone et tu bloques Jake avant de supprimer son contact. En appuyant sur “supprimer ce contact”, tu sens un poids s’enlever de tes épaules. Ton histoire avec Jake est officiellement dans le passé. Tu n’as pas craqué et tu as supprimé la dernière chose qui te reliait à lui. Fière de toi, tu reposes ton téléphone, relances ta musique et tu continues de te maquiller. 
Une fois prête, tu te rends au bar à une vingtaine de minutes de chez toi. Tu retrouves tes amies qui se sont aussi mises sur leur trente-et-un. Vous commandez quelques boissons puis vous vous racontez les derniers potins. Pour la première fois depuis longtemps, tu arrives à passer une soirée avec tes amies sans être déprimée à cause de Jake. Tu rigoles, tu bois, tu danses et tu t’amuses comme tu ne l’avais pas fait depuis longtemps. Tu es tellement dans ta bulle que tu n’entends pas la porte du bar s’ouvrir. Jake et Javy entrent dans le bar, habillés de leur kaki. Jake entend ton rire tout de suite même si tu es à l’opposé de lui. Il te regarde avec tendresse alors que tu continues de t’esclaffer avec tes amies. Jake doit avouer qu’il n’a pas choisi ce bar par hasard. Il sait que tu viens souvent ici avec tes amies et n’ayant pas eu de réponses à ses coups de fils, il avait un petit espoir de te retrouver ici. Il veut te parler, régler les choses et ce soir a l’air d’être le moment parfait. Jake informe Javy qu’il doit s’occuper de quelque chose et qu’il le rejoindra après. Accoudé contre le comptoir, Jake commande une bière pour lui et un verre de bordeaux pour toi - il sait que c’est ton vin préféré tout comme c’est aussi le sien, c’était un de vos nombreux points communs. Pendant qu’il se dirige vers ta table, il sort son meilleur sourire en coin. Avec tes amies, vous buvez cul sec votre shot quand Jake est devant vous.
-Je vous paye une autre tournée de shots, les filles, ça me fait plaisir. 
En entendant la voix de Jake, ton sourire tombe et tes yeux lui lancent des éclairs. 
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je voulais t’offrir ce verre, dit-il en le posant devant toi. 
-Non, je veux dire qu’est-ce que tu me veux, Jake ? Tu me stalkes ou quoi ?
-Attends, c’est lui Jake ? demande une de tes amies en le regardant de haut en bas.
-Tu as parlé de moi ? Seulement en bien, j’espère, déclare Jake avec un clin d'œil.
-Wow, tu rigolais pas quand tu parlais de son égo surdimensionné, réplique une autre de tes amies en lançant un regard appuyé aux autres femmes.
-Ce n’est pas de ma faute si je suis le meilleur. Mais, passons, je ne suis pas là pour parler de mes exploits, j’aurais aimé te parler, Y/N.
-Et j’ai hâte de pas te parler donc au revoir.
-Y/N, s’il te plait.
-Je suis venue ici avec mes amies, pas pour être avec un ex collant, rétorques-tu alors que Jake essaie de faire bonne figure. 
-Je veux juste faire amende honorable, tu le mérites.
-Pour que tu puisses me remettre dans ton lit avant de me jeter comme une vieille chaussette à nouveau ? Je crois pas, non, alors reprends ton verre de vin et pars, réponds-tu sèchement et tu entends tes amies te soutenir.
-D’accord, je te laisse tranquille, mais tu peux garder le verre, je sais que c’est ton vin préféré, offre-t-il avec un sourire fier.
-Ça ne l’est pas, en fait. C’est ton vin préféré, je faisais semblant d’aimer pour toi. Hors de ma vue, finis-tu en lui redonnant son verre.
Suite à ta réplique, Jake repars avec le vin, sa bière et son sourire en coin afin de cacher son égo blessé. Il ne s’attendait pas à ce que tu le remballes à ce point. Il n’est pas idiot, il savait que tu ne retomberais pas dans ses bras comme la première fois, mais tu n’avais jamais employé ce ton sec contre lui auparavant. Jake pose le verre de vin sur le comptoir avant de retrouver Javy qui ne peut s’empêcher de rigoler ayant regardé la scène au loin. 
Le reste de la soirée se résume à Jake t’admirant au loin t’amuser alors que sa présence ne te préoccupe pas le moins du monde. Jake essaie de trouver une solution pour que tu l’écoutes. Contrairement aux autrefois où il n’était pas trop sûr de lui et de votre relation, cette fois, il veut faire les choses biens, il veut être l’homme que tu veux être. Il sait que tu ne le croiras pas facilement, mais il a bon espoir d’y arriver s’il trouve les bons mots. Javy lui conseille de lâcher l’affaire, voyant très bien que tu es passée à autre chose, mais Jake est têtu. 
A un moment pendant la soirée, tu te rends aux toilettes et alors que tu es en train de te laver les mains, la porte s’ouvre sur Jake. Tu soupires, mais tu ne lui donnes pas plus d’attention.
-Je t’ai appelé ce soir, plusieurs fois, commence-t-il plus humblement que la première fois.
-Je sais.
-Ah bon ? Comme tu n’as pas répondu, je pensais que…
-J’ai ignoré l’appel et au cas où tu voudrais essayer de m’appeler à nouveau dans le futur, ça ne sert à rien, je t’ai bloqué, l’interromps-tu en le regardant dans les yeux. 
-Ok, je comprends pourquoi, je le mérite, j’ai été un connard avec toi.
-C’est le moins qu’on puisse dire. J’ai tout donné pour toi et toi, tu m’as juste donné des peines de cœur. 
-Je sais et je veux arranger les choses. Je n’ai pas été réglo avec toi en rompant sans avoir de bonnes raisons et après en revenant dans ta vie juste pour te laisser seule à nouveau. Je n’aurais pas dû faire ça. Je pense que j’avais peur de m’engager, mais plus maintenant. Cette fois, je te le promets, je serai quelqu’un de meilleur, je serai l’homme que tu mérites, je saurai m’engager avec toi, affirme-t-il, te faisant rire jaune. 
-Comme la dernière fois ? Et la fois d’avant ?
-Non, cette fois je le pense et je veux le faire. Je vais le faire. Tu me manques et tu ne peux pas t’imaginer à quel point je m’en veux. J’aurais dû réaliser que j’étais chanceux de faire partie de ta vie et ne pas gâcher ce qu’on avait. J’ai perdu la seule bonne relation que j’ai jamais eue juste parce que j’ai été trop con. 
-Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Toutes mes condoléances pour ta perte, mais c’est trop tard, Jake, répliques-tu, complètement agacée. Tu as eu ta chance, tu as eu trop de chances même. C’est toujours pareil avec toi. Je suis toujours la femme de tes rêves et après quand ça devient sérieux, tu prends tes jambes à ton cou. Tu n’arrêtes pas de me de m’envoyer des signaux contradictoires et j’en ai ma claque.  
Dans ta voix, la colère et la douleur se mélangent et le sentiment de culpabilité de Jake s’agrandit. 
-Cette fois, je te promets que c’est différent, je ne te briserai pas le cœur. Je t’aime et je te veux dans ma vie, je veux faire partie de ta vie. 
-Il y a un moment de ma vie où ce genre de discours auraient fonctionné et tu le sais très bien car tu en as abusé à de nombreuses reprises et à chaque fois, je retombais dans tes bras, car j'espérais désespérément que tu aies changé, mais ça n’a jamais été le cas, accuses-tu en le pointant du doigt. J’ai essayé, je suis restée attachée à toi plus longtemps que je n’aurais dû. Tu hantais chacune de mes pensées au point où je n’arrêtais pas d’imaginer des scénarios où tu serais devenu un homme meilleur et c’est pour ça qu’à chaque fois que tu me donnais ne serait-ce qu’une légère impression que tu étais devenu l’homme que j’avais imaginé, je retombais dans tes bras. Tu me rendais folle tellement, tu occupais mon esprit, mais plus maintenant. Avant, j’aurais répondu à ton coup de fil en une seconde. Avant, j’aurais lâché mes amies pour toi. Avant, j’aurais passé ma soirée à me demander ce que tu faisais la soirée. Maintenant, ce n’est plus le cas et mon Dieu, ça fait tellement du bien de ne plus penser à où est-ce que tu pourrais être, à ne plus lâcher les personnes qui comptent pour moi, à ne plus désespérément attendre un signe de vie de toi. J’ai perdu trop de temps pour toi et je ne le ferai plus jamais. Tu n’as pas idée à quel point je me sens plus légère depuis que tu as quitté ma tête. Je t’ai enfin coupé de ma vie et je me sens tellement mieux. Alors, non, Jake, tu ne peux pas refaire partie de ma vie. Peu importe si tu es sincère ce soir quand tu dis que tu veux changer, que tu veux être un homme meilleur, personnellement, je ne veux pas voir ça. Et puis, si tu dois devenir quelqu’un de meilleur, fais-le pour toi. Si tu le fais pour quelqu’un d’autre, ça sera toujours temporaire. Tu dois changer car tu veux changer pour toi-même, pas pour plaire à une femme. En tout cas, j’espère que notre histoire te servira de leçon, que tu ne prendras plus pour acquis la femme en face de toi et que tu garderas en tête qu’à un moment, elle en pourra en avoir marre de tes conneries et qu’elle te laissera comme je le fais. Tout ça pour dire, assure toi d’avoir arrangé tous tes problèmes d’engagement avant de trouver une nouvelle femme, comme ça, tu ne feras pas ce que tu sais faire de mieux, la laisser en plan. Arrête d’être Hangman et devient Jake.
Jake reste planté là pendant qu’il tente de digérer ce que tu viens de lui dire, comprenant qu’il a ruiné toutes ses chances avec toi. De ton côté, tu n’attends pas une seconde de plus et tu sors des toilettes, claquant la porte derrière toi et en abandonnant également Jake.
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kalincka · 2 years
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moi quand je fais tourner constance & richard dans mon cerveau parce que leur relation est fascinante et trop bizarre. tous les deux ont vu leur vie renversée par un clochard ravagé qui s'est levé un matin et a changé leur destinée juste comme ça. puis tous les deux finissent par bosser ensemble dans la même organisation qui fait exactement la même chose que le clochard (tous les deux à un poste clé de la dite organisation) (sans eux le business de joseph tourne pas) sauf qu'en fait il s'avère que leur boss est un connard (pire que le clochard) et BOUM tous les deux deviennent membres d'une nouvelle organisation et finissent par bosser ensemble (encore) mais la seule différence c'est que constance est une bonne personne sans expérience qui doit assumer un rôle de chef là où richard est un enfoiré assumé avec de l'expérience en entreprise qui adorerait être chef mais SURPRISE c'est constance qui obtient le poste et DOUBLE SURPRISE le poste de second va parfaitement à richard et TRIPLE SURPRISE iels s'écoutent mutuellement et leur dynamique. marche ?!??! la brigade temporelle est née à la fois grâce au changement de motivations de constance (changer le temps c'est trop individualiste) et grâce aux motivations inchangées de richard (l'avarice et le profit) (les motivations de constance sont désintéressées là où les motivations de richard sont égoïstes) et ces DEUX attitudes s'enracinent dans leur méfiance envers renard. au vu du nombre d'idiots qui entourent constance dans la brigade temporelle on pourrait penser qu'elle changerait de numéro un non ? mattéo peut-être ? NON. elle le GARDE. C'EST PIRE DANS LE FILM parce qu'on voit qu'elle lui fait CONFIANCE. elle le TUTOIE. c'est mec incompétent & meuf compétente qui sont là depuis le tout début. elle pourrait le remplacer sans souci mais elle le fait !!! pas !!! et lui il pourrait agir en connard et la laisser tomber et essayer de prendre sa place mais il la respecte et il est là "regardez constance j'ai mis son portrait sur l'écran 😁😌" et elle est là "oui c'est super richard 👍 (elle regarde pas du tout ce qu'il fait) continue à jouer sur ta tablette hors de prix que je t'ai achetée alors que je pourrais tout à fait chercher sur mon propre écran ouvert devant mes yeux" c'est littéralement l'équivalent d'une daronne qui fout son gosse sur youtube kids pour avoir la paix mais en même temps elle lui donne des responsabilités !!%! c'est elle qui l'envoie surveiller louise (louise qui a le + de jugeote de tous ses agents et elle le sait) (louise dans laquelle constance se voit elle-même parce qu'elle aussi avant elle avait pas une vie importante et c'est le visiteur qui l'a propulsée là où elle est et elle avait pas demandé ça) et il y va quand bien même elle doit se douter qu'il est inutile mais elle l'y envoie quand même ça m'obsède. elle s'en sépare pas. elle pourrait elle devrait mais elle le fait pas. "Où est Richard." c'est son ficus de bureau. fondamentalement elle pourrait bosser sans lui mais sans lui quelque chose cloche. et lui il pourrait passer à autre chose mais il est là constance constance regardez ce que je fais je suis trop un bon employé. alors que c'est pas vrai c'est un employé idiot comme tous les autres. iels sont besties sans le savoir. pathetic man & pathetic woman.
tldr; from coworkers to accidental found family
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luc3 · 1 year
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ce serait trop long à expliquer.
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en fond tu entends Glen Gould chantonner les notes composées par Bach. il chantonne. le mec. Glen Gould qui chantonne BACH. je pense pas qu'on puisse être si heureux ? - dire que c'est une pièce pour clavecin. quand je tentais de jouer la toccatta et fugue, je. je tentais. (de chantonner) j'en suis à mon 1200ème paracetamol. ça ne passe pas. (non pas que je pense que le paracetamol puisse faire passer quoi que ce soit.) je suis en colère aujourd'hui. être malade finit toujours par me mettre en colère (ou l'inverse) le lien est bien sur évident. "Et elle m'a mis la fièvre…" (clin d’œil @epine-dorsale) j'ai mal partout. surtout au sacrum. la base. toujours la base et toujours la digestion. toujours tolérer de laisser entrer puis tolérer de laisser sortir. NON JE NE TOLERE PAS MONSIEUR. si je ne lisais pas en moi comme dans un livre ouvert peut être que ça irait mieux ? je fais des pointes à 40°C et c'est ingérable au niveau de la douleur. j'ai envoyé Partner chez l'herboriste acheter de la Belladonne en homéopathie, déjà mon père me dit mais nooon, fallait prendre de l'Eupatorium !!! T'as de la chance le vieux que je me la bouffe pas direct la racine de belladonne que j'ai, là, sous la main. Ensuite la meuf de l'herboristerie ne connaissait pas le mot "antipyrétique", je ne te demande pas d'être médecin mais même une aide-soignante connait ce mot, la FIÈVRE EST PARTOUT, la FIÈVRE REMPLI TOUT, et normalement tu es censée le savoir, débile! Ensuite je lui dis tu me prends du Romarin, c'est un tonique, la meuf elle dit qu'elle en a plus et elle lui propose du Gingembre à la place. Comme partenaire sait pas et pense bien faire il le prend. Comme ça je paie le prix fort pour un effet bien bien moindre. Car non, contrairement à une idée reçue, le Gingembre, n'est pas un tonique "comme ça, c'est un petit excitant. Contrairement au Romarin qui soutient l'effort du sang sur de longues distances. BREF. CONNARDS. Après chers petits commerçants vous venez pleurer que vous n'avez plus de clients ? on se demande bien pourquoi. en tout cas c'est bien la dernière fois que je viens vous prendre un truc. Voilà, maintenant je sue de nouveau. Mais quand même les odeurs apaisante de l'Achillée et de la Reine des Prés. Je n'ai plus de fleurs de Sureau, ou plutôt elles ont déjà fait leur office et maintenant j'ai un élixir des dieux que je vais devoir partager avec l'environnement, et la saison ici est passée. Je suis épuisée, j'ai envie de tuer quelqu'un. Mon œil, c'est pire que le festival de Cannes. On dirait un camp de réfugiés. Je ne vois plus rien. Mais si il s'agit d'accueillir des gens alors tant pis, je vous emmerde. Accueillons. Comment je vais faire si ça continue encore comme ça trop longtemps ? Les cartes hier vraiment bien, aujourd'hui l'excès inverse. il faut bien travailler. c'est des trucs qui te donnent envie de relire L'Oeuvre au Noir de Yourcenar. C'est le bouquin que je relirais toute ma putain de vie celui là je vous jure. J'en suis déjà à 3. Heureusement les chats sont un soutien indéfectible comme toujours. et je lis déjà un truc de dépressif, "Trop loin de Dieu". (Pourtant non , je ne suis pas trop loin, alors ça j'en suis sure. Mais il y a des moments tu te demandes comment l'étrangler ce Serpent dressé de l'Epreuve.)
english below
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- too long to explain.
in the background you hear Glen Gould humming the notes composed by Bach. he hums. the guy. Glen Gould humming BACH. I don't think we can be so happy? - say that it is a piece for harpsichord. when I tried to play the toccatta and fugue, I. I was trying. (to hum) I am on my 1200th paracetamol. it does not get better. (not that I think paracetamol can help anything.) I'm angry today. being sick always ends up making me angry (or vice versa) the link is of course obvious. "And she gave me a fever…" (wink @epine-dorsale) I hurt all over. especially in the sacrum. the base. always the base and always the digestion. always tolerate letting in and then tolerate letting out. NO I DO NOT TOLERATE MR. GO FUCK YOURSELF. if I didn't read inside myself like an open book maybe it would be better? I peak at 104F and the pain is unmanageable. I sent Partner to the herbalist to buy Belladonna in homeopathy, my father already told me oh nooo, you had to take Eupatorium!!! You're lucky old man that I don't eat the deadly belladonna root that I have there, on hand. Then the girl from the herbalist store didn't know the word "antipyretic", I'm not asking you to be a doctor but even a nurse's help knows this word, FEVER IS EVERYWHERE, FEVER FILL EVERYTHING, and normally you're supposed to know it, idiot! Then I tell him you'll take some Rosemary, it's a tonic, the girl says she has no more and she offers him Ginger instead. As partner does not know and thinks he is doing well, he takes it. That way I pay a high price for a much lesser effect. Because no, contrary to popular belief, Ginger is not a tonic "like that, it's a little exciting. Unlike Rosemary which supports the effort of the blood over long distances. After that, dear little merchants you come to cry that you no longer have customers? One wonders why. In any case it is the last time that I come to take something from you. Well, now I'm sweating again. But still the soothing smells of Yarrow and Meadowsweet. I'm out of Elderflowers, or rather they've already done their job and now I have an elixir of the gods that I'm going to have to share with the environment, and the season here has passed. I'm exhausted, I want to kill someone. My eye is worse than the Cannes Film Festival. Looks like a refugee camp. I can not see anymore. But if it's about hosting people then too bad, fuck you. Let's welcome. What am I going to do if it goes on like this for too long? Cards yesterday really well, today the opposite excess. yes you have to work, no kidding. it's stuff that makes you want to re-read Yourcenar's L'Oeuvre au Noir. This is the book that I will read all my fucking life, this one I swear. I'm already at 3.
fortunately the cats are an unwavering support as always. and I'm already reading something depressive, "Too far from God". (Yet no, I'm not too far away, so I'm sure of it. But there are times you wonder how to strangle this erect SERPENT OF ORDEAL.)
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madamenonchalante · 1 year
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Bree Van De Kamp
Je suis blasée de la cuisine. J’adore manger, je pourrais y passer ma vie, mais cuisiner, c’est une autre histoire. Longtemps, j’ai cuisiné pour mes petits copains. Mon père m’a toujours dit « c’est bien d’être mignonne mais si tu veux trouver un mari et le garder, il faut lui faire à manger, regarde maman, elle est insupportable je suis une grosse victime du système matriarcal mais elle cuisine tellement bien que ce n’est pas trop grave ». Qu’à cela ne tienne, c’était le grand jeu : entrée, plat en sauce, accompagnement, plateau de fromage, dessert maison. A un ou deux ratés près c’était toujours bon. Mais voilà, j’avais affaire à des ingrats qui me faisaient comprendre par les moyens les plus abjects que oui c’était bon, mais que mon côté Bree Van De Kamp était parfaitement dégoûtant et méprisable. Donc je résume : je me mets en quatre pour cuisiner, faire quelque chose de bon, prendre du temps que je n’ai pas pour faire ça, cuisiner alors que ça me saoule, et me prendre de très sales remarques à la fin. La dernière rupture il y a quelques années a été le coup de grâce. Après ça, je n’ai plus jamais cuisiné, ni pour moi, et encore moins pour un mec. La boutique est fermée merci bonsoir connard. Et puis j’ai rencontré mon mari. Je lui ai fait part de la problématique. Le seul gars au monde qui méritait que je mette les petits plats dans les grands a alors dû attendre six ans de relation incluant deux ans de mariage pour goûter la première fois à ma cuisine. J’étais juste un peu rouillée au tout premier plat après toutes ces années, mais j’ai repris la cadence. Et lorsque je vois mon époux écarquiller les yeux à la première bouchée avant de crier la bouche pleine « putain mais c’est trop bon mon amour tu pourras m’en refaire », j’ai tout gagné. Ne jamais faire tout un plat pour quelqu’un qui ne le mérite pas, c’est la base. J’irai faire du zèle dans une autre vie.
Nonchalamment Votre
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closethefckndoorpls · 22 days
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23/01
Aujourd'hui j’ai passé une bonne partie de la journée à ne strictement rien faire d’autre que de monologuer avec moi même. A un moment j’ai flippé de me dire que ça allait être ça pendant toute la semaine et que j’aurais mieux fait d’aller au travail. il y avait des travaux dans l’entrée de l’immeuble pendant 5h, le bruit du marteau piqueur dans le mur s’est mélangé à mon adn et je n’entends plus que ça maintenant. le chat était perdu, il a sûrement cru que c’était la fin de l’immeuble et qu’on allait tous mourir. j’ai un peu lu aussi, en mangeant encore une clémentine de façon désabusée, nonchalante etc. c’était étrange, depuis hier j’ai l’impression que tout mon corps est dans une gelée géante et je fais tout au ralenti. j’ai commencé à avoir de l’angoisse en voyant mon reflet pathétique dans la glace (je fais vraiment pitié). je me suis dis que cette personne est réelle et qu’elle me donne envie de changer de trottoir. j’ai l’impression d’écrire des litres de mots et de phrases, une quantité dans laquelle prendre un bain c’est finir par se noyer. Tout suinte de tous les côtés, il n’y a pas une seule brèche que je peux colmater facilement, colmater tout court en réalité. Plus je pisse du verbe, plus je flotte. Ça fait si longtemps que je n'ai pas nagé, la dernière fois que je suis allée à la piscine j’ai ressenti une grande sérénité et une fatigue extrême : pourtant je n’ai fait qu’une heure de nage dans le grand bassin, dans une allée avec un vieux qui allait plus vite que moi. Je le déteste car il me faisait comprendre que j’étais lente. En sortant je me souviens m’être dit que c’est ridicule de porter un bonnet, qui en plus remonte et laisse passer l’eau, pour finalement tremper ton crâne qui pue désormais le chlore, le plastique, et l’échec de s’être fait dépassé par un retraité actif. 23ème jour de ma nouvelle vie en l’an 2024 et je suis déjà incapable de vivre correctement dans le monde réel. Encore une phrase de connard, mais ce qu’il y a de bien avec les phrases de connard c’est qu’au moins elles sont honnêtes avec les autres. Je pense que je suis honnête avec les gens, mais pas avec moi-même. En réalité je pense que si j’étais honnête avec moi même je me serais pendue, ou alors j’aurais tué quelqu’un dans la rue par plaisir. Heureusement qu’il y a des choses interdites par la loi : ça va à l’encontre de mes principes, mais au moins ça m’empêche de nuire à la société par pur esprit de contradiction.
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graphorrhee · 3 months
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Stop
Les personnes qui me connaissent savent à quel point je suis têtue, coriace, tenace. Je suis combative et ma colère est un moteur, si ce n'est mon moteur principal. Je ne baisse pas les bras comme ça.
Et pourtant.
J'ai lâché prise. Cela faisait plus de 2 ans que j'étais partie en croisade contre un mec dangereux. J'avais réussi une première fois à rencontrer deux autres victimes et ex. J'avais rompu le contact, de frustration et de colère. J'ai retenté l'expérience récemment et j'ai découvert que les victimes s'accumulaient, encore et encore. J'ai à nouveau fait des call out. Et à nouveau j'ai découvert que, même si j'étais celle qui l'avait le moins connu, j'étais la seule à ouvrir la bouche, à parler et agir concrètement pour le stopper.
La passivité des victimes me met dans une rage folle, plus que le mec lui-même.
Ce n'est JAMAIS de la faute des victimes et TOUJOURS celle de l'agresseur. Mais je trouve ça fou que malgré le nombre de victimes que ce type a pu faire et fait encore, il n'y en ait qu'une seule qui parle.
Nous nous sommes réunies entre "victimes" et j'ai été atterrée. Atterrée par ce qu'il avait pu leur faire, mais surtout atterrée par cette passivité qu'ont les femmes.
Lorsqu'il s'agit de se défendre et de défendre leurs potes, même agresseurs avérés, les hommes font montre d'un soutien, d'une entraide incroyable entre eux. A la moindre petite accusation, la levée de boucliers ne se fait jamais attendre pour défendre ces types abjects et démonter les femmes qui les accusent.
En revanche, les femmes, entre elles, sont incapables de faire preuve s'autant de soutien. A croire qu'on est bonnes qu'à papoter entre nous : "ha oui oui il est dangereux, je suis entièrement d'accord, faut faire quelque chose". Mais les actes ne suivent jamais les paroles. Ne serait-ce que partager un appel à témoin poster par un collectif féministe, c'est déjà trop demander. Cet appel à témoin, c'est moi qui l'ait fait. Et l'une des victimes qui avait bien pris soin de la fermer en était déçue car le descriptif était trop vague. Alors que depuis plus de 2 ans, je suis la seule à ouvrir ma grande gueule et à agir, et elle... rien. Elle n'a même pas partagé le post. Une autre encore qui me reprochait d'avoir fait le call out seulement 2 ans plus tard, alors qu'elle aussi n'avait rien dit.
Nous avons imaginé plein d'actions à mettre en place pour stopper cet individu. Sans jamais que les filles ne les concrétisent.
Je suis frustrée par cette passivité et ces promesses non tenues. "Oui, oui, je vais aussi contacter un avocat/un collectif/faire ci/etc." Et... rien. C'est épuisant d'être le moteur de quelque chose et que ça ne suive pas derrière.
Cette inertie des victimes me mettait plus en colère que le mec lui-même et me rongeait littéralement le moral. Je passais des heures, des jours à ruminer comme une vache affamée, à me demander mais POURQUOI bon sang de bois, POURQUOI j'étais la seule avec autant de combativité et de colère, alors que j'avais subi ce mec "que" une ou deux semaines et elles parfois plusieurs années, avec des faits encore pires que ceux que j'avais vécus.
J'avais parlé, à plusieurs reprises, j'avais agi. Et elles, rien. Passives... inertes... molles. A croire qu'elles attendaient que ce soit moi qui mette en œuvre les autres actions dont on avait parlées, moi qui continue la lutte sans qu'elles n'aient à faire quoique ce soit, même pas partager les appels à témoin (soit un clic).
Ca m'a épuisée. Si seulement elles avaient témoigné plus de soutien et de combativité à mes côtés, je serai toujours impliquée, bien entendu. Mais cette solitude parmi les victimes alors que j'en suis moi-même une est terrible. Elles ont fait gagner ce connard.
J'ai décidé d'abandonner et de passer à autre chose. De retrouver un peu de paix de l'esprit. J'ai fait ce que j'avais à faire et ma conscience est tranquille.
J'ai fait un call out local et un appel à témoin national.
J'ai réuni au moins 6 victimes à ce jour.
J'ai fait bannir le compte Tinder de ce connard.
J'ai pété son site web.
J'ai explosé sa réputation dans son domaine d'activité.
J'ai exposé ses mensonges à toutes et tous.
J'ai contacté des personnalités qu'il disait connaître et elles ont démenti publiquement sur les réseaux sociaux.
J'ai mené un nombre d'actions concrètes incalculable. Pour finalement toujours me retrouver seule ou avoir des reproches de la part de victimes qui n'ont pas bougé le petit doigt.
Stop.
Je leur en veux non seulement de ne pas avoir parlé. Parce que si elles l'avaient fait, ça aurait éventuellement évité d'autres victimes (dont moi). Mais je leur en veux surtout de constater qu'on est sûrement plus de 6 victimes, qu'il est dangereux, et de continuer à ne rien faire. A ce niveau, c'est presque de la complicité.
Même les collectifs féministes contactés se sont montrés d'une telle incompétence lorsque je les ai contactés... 2 mois à 2 mois et demi pour publier un call out, pas de partage des appels à témoin, une attente sans nouvelles... Incroyable.
J'en peux plus. Je suis arrivée au bout.
D'ailleurs, je crois bien que ce post sera le dernier sur ce blog. Il est temps.
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camcamseregale · 4 months
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#8 / BOISSONS
Quelques boissons en vrac !
Déjà la CANNETTE DU POUZZA ! Le design il tue, on en a une quantité de ouf dans les loges, c’est des cannettes uniquement réservées aux artistes ! Allez ça tue, peu importe ce que c’est, il est 19h, j’en ouvre une ! Je la porte à mes lèvres… c’est de l’eau minérale… comme Liquid Death.
Du coup le goût… bah… c’est de l’eau…
Mais je dois être très influençable parce que j’en ai bu genre 5 (bon après madeleine a renversée la quasi totalité de l’une d’entre elle sur scène… donc 4 et demi)
J’en ai pris 3 dans mes affaires pour te faire goûter en France mais je sais pas si les cannettes vont passer la douane… will see !
Toutes ces cannettes ça pose quand même des questions… il y avait aussi des bouteilles d’eau en plastique mise à dispo, elles n’ont pas été touchés et les cannettes ont toutes été vidées. Est ce que, malgré le côté un peu ahurissant de l’eau en cannette, d’un point de vue écologique c’est pas une petite victoire ? L’alu étant plus simple et moins energivore que le plastique a recyclé…
Toujours dans l’univers de la cannette mais cette fois ci elle a du goût, le SPICED COKE ! Sur le papier c’est un coca mais avec des épices, de la cannelle je crois !
Bon en vrai c’est cool mais clairement du Dr pepper en moins épicé, avec moins de goût amande et plante et plus le goût du coca. Donc, bof…
Et enfin la dernière boisson !
Ce matin je ne sais pas pourquoi je me réveille encore une fois avec une putain d’envie de jus d’orange et comme si cela ne suffisait pas ils passent en boucle à la radio plein de connards et pas assez ma choupinette ! Et en plus je n’en trouvais pas dans le quartier des spectacles de Montréal, jusqu’à ce que je tombe sur ORANGE JULIUS.
J’entre et je commande un jus d’orange, elle me demande si je veux autre chose dedans, je lui dis que non, elle me dit 9$, je pleure un petit peu.
À peine sorti du magasin j’entame ma boisson, et j’ai un haut le cœur immédiat !
C’était infecte, un mélange de jus d’orange sans goût ultra liquide, de crème glacée et de sucre ! J’en ai bu 4 gorgées, 4 hauts le cœur, je l’ai foutu en l’air… pire « jus d’orange » de ma vie !
Camcam
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oldteen · 10 months
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Louis
Louis sort de chez Max, coiffeur pour hommes. Il s’est fait couper la couenne et arranger la barbe. Il a le temps, il rentre dans le café d’à côté de chez lui, s’installe et commande sa pinte du vendredi soir. Louis a ses habitudes, ses maniaqueries. Le vendredi soir, c’est une bière quoi qu’il arrive.
Il sirote sa choppe un œil fixé sur ses réseaux sociaux. Louis est seul, il a remplacé son entourage par les compteurs à copains de Facebook, X et autres. Son cœur n’est pas à prendre. Il n’a plus envie. Plus envie d’être en perpétuel désaccord, frustré, ignoré, oublié. Il se contente de sa bière hebdomadaire, son monde virtuel et de gonzos. Gonzos ? vidéo pornographique plutôt courte, n’ayant pas d’histoire, de la chorégraphie. Il a ses thématiques, ses préférences. Malgré sa solitude, Louis n’est pas plus perverti que l’homme moyen qui s’occupe de bobonne le samedi soir. Il est seul, mais c’est un choix, son choix. Seul ? non, il a son t-rex, un truc qui ressemble à un chien qui lui fait la fête à chaque fois qu’il passe la porte. Peu importe que Louis pue ou ne soit pas d’humeur, le canidé est toujours là, et, sans peine, lui arrache un sourire amical, de chien à chien. Louis nourri la bestiole et se pose sur le sofa défoncé tellement il y passe ses nuits. Ses yeux se ferment, Louis sombre.
A peine le premier filet de bave sorti de sa bouche que son téléphone vibre. Une notif’. Généralement il les désactive, what’s the fuck ? Il pointe l’écran et l’app s’ouvre. Une MarilouXXX lui envoie un message. Agar, il lit. N’y croit pas trop. La dame, si c’en est une, lui écrit très poliment qu’elle a apprécié un commentaire qu’il a écrit sous un thread. Louis ne sait même pas de quoi elle parle, mais réponde laconiquement, « Merci » avec un smiley souriant. Il s’avachit et ferme les yeux. Le téléphone vibre à nouveau. « Merde, pas moyen de se poser ». Toujours la même femme, elle aimerait échanger de vive voix avec lui, parler du thread en question. Il n’a pas envie, lui raconte que ce soir il ne peut pas, peut-être demain et qu’il reviendra à elle, qu’il promet de ne pas l’oublier. Louis n’en a rien à foutre, il se rendort, pour de bon cette fois-ci.
Les heures passent et le chien, toujours pas sorti, réclame sa balade. Louis se réveille, regarde la bête avec dédain, grogne, se lève, s’habille. Un paquet de clopes dans sa poche, collier, laisse, briquet, il sort la bête. A son habitude il ne lâche pas son téléphone. Pendant que son chien déjecte, il regarde l’écran et constate avec effroi que la femme se réjouis de cette entrevue. « Bordel, je pue la mort et pas envie de me raser… qu’est-ce qu’elle me veut ? ». Ils rentrent. Le chien va se coucher, passer sa nuit. Quant à Louis, énervé, il se donne le temps de chercher la discussion virtuelle incriminée. Il la trouve rapidement. En réponse à un sujet sur la décadence des hommes seuls, il a raconté sa vie, la mort de sa femme et la perte de sa propre flamme. Il explique qu’il n’a plus envie. Il n’a plus envie de décevoir, ni d’être triste. Louis soupire, pense à sa défunte, ses yeux mouillent. Résigné, il répond à MarilouXXX, « ok, demain, rendez-vous au Cheval-Blanc, 18h30. Ce sera pizza, ça me manque ». Louis lui envoie également un lien Maps pour que la dame s’y retrouve. Louis est – devenu – un connard, mais reste un connard gentleman. Il se pose dans son lit défait, regarde le plafond, clope au bec. Grogne « Elle me veut quoi ». Fatigué il s’endort.
Samedi, Louis fait les choses du samedi, quelques courses, une promenade au parc avec t-rex, une terrasse mais sans bière. Il fait beau, mais il s’en fout. En début d’après-midi il pense au rendez-vous du soir. Il l’avait déjà occulté. « Merde, encore ce truc à faire » Se renifle sous les bras et fait mine de crever. Il rentre chez lui, choisi des habits, pas chics, ni trop décontractes. Il opte pour un jean, cuir noir, t-shirt noir et rangers. Louis est bien dans ses veilles rangers, « quitte à s’emmerder vaut mieux être bien dans ses pompes non ? » pense-t-il. Il sort t-rex, file ensuite à son rancard. Il s’avoue excité par le rendez-vous. Ça fait 10 ans qu’il n’a pas rencontré de nouvelles personnes, encore moins une femme. Il regarde le ciel, envoie un baiser à sa femme partie.
Il arrive, le cœur palpitant ouvre la porte, un bonhomme endimanché l’accueil. Louis matte la salle, cherche une table occupée d’une femme seule. Il trouve. N’hésite pas, se dirige dans le coin et gêné demande « Marilou ? ». La femme le dévisage, souri, se lève, lui offre une bise et l’invite à s’assoir. Louis, comme un gosse, se laisse faire, enlève sa veste et s’installe. Il se rend vite compte que la carapace qu’il s’est construit se désagrège. Il décoche un sourire, la remercie. Il tient à s’excuser de son apparente sauvagerie. « Votre prénom c’est bien Marilou ? », la femme confirme et lui retourne la question. « Louis, je m’appelle Louis ». Le repas passant, le connard laisse la place au gentleman bien éduqué avec de la discussion et un réel plaisir d’être là, loin de son appartement enfumé.
Avant d’attaquer son dernier huitième de pizza, Louis prend un peu de recul et tance « que me voulez-vous ? » l’œil sérieux. Marilou, surprise du retour de l’homme sur l’enfant, fini sa bouchée, se tamponne les lèvres, « Louis, votre histoire, les mots utilisés, la façons dont vous l’avez écrite m’ont touchée. Ma proposition n’était pas raisonnée mais instinctive. Il y a une heure, je ne savais pas, ne comprenais pas ce que je faisais ici ». « J’avoue avoir passé un début de repas fort agréable, mais je ne sais pas, pas plus que vous en tout cas ». Louis, quitte à être là, propose docilement « alors continuons, profitons de cette soirée ».
Il lui demande pourquoi un triple X après Marilou. La dame gênée lui explique qu’elle est une pro, une pro du sexe et qu’elle utilise certains réseaux pour achalander le client. « Vous n’avez pas regarder mon profil ? » Elle ajoute rapidement « mais là je suis en congé, n’ayez crainte ». Louis, imperturbable, lui assène que non, qu’avant ce moment présent, cet hypothétique repas était une corvée et que sa curiosité maladive l’envoie régulièrement au casse-pipe.
Dernier café, dernier échange poli, Louis prend congé de Marilou. Ils se promettent de se revoir, de se donner des nouvelles, d’échanger quelques mots de temps en temps. Ils attendent le taxi qui arrive, Marilou monte et disparaît. Louis soupire, allume une clope et cherche du regard sa défunte compagne parmi le ciel brumeux de cette soirée. Louis parle seul en marchant. « Ok ouais, ça m’a fait du bien, c’est sûr » « Mais à quoi bon » « Je ne suis qu’un chien errant pour elle » « Je n’ai même pas un coin propre pour l’inviter » « Connasse » « Oh, tu sais comme je suis, je l’aime bien, mais pas le courage, ou peut-être la flemme ».
Louis rentre à pied. T-rex est là, la queue joyeuse. « Toi au moins t’as la queue qui frétille, allez viens avant que tu ne m’arrose le parquet » Va pour une deuxième clope ! Le chien vagabonde à la recherche d’odeurs, Louis reste perdu dans ses pensées, dans sa soirée. « Tu vois le cabot, je ne sais pas quoi faire » « Alors oui, oui, c’est vrai, elle me plaît » « Mais tu vois une nana dans nos pattes ? je ne lui ai même parlé de toi d’ailleurs » « rooo rouspète pas et pisse qu’on puisse rentrer ». Les compères rentrent, le chien va dormir sur sa couverture sans demander son reste et Louis, le palpitant à 200, se vautre sur son fauteuil. Il prend son téléphone, pianote « Salut, bien rentrée ? encore merci ». La réponse est là, tout de suite, sans délais « Oui très bien, merci à vous, je sais que ce n’était pas facile ». Louis ne le sait pas encore, mais sa nuit sera blanche.
Les échangent ne durent pas long. Marilou doit se reposer. Mais Louis… Louis se sent seul, dégouté de l’état de son appartement, navré pour la vaisselle qui traîne, étonné de l’arrangement à la cubique des draps de son lit. Il n’a plus allumé la lumière de sa chambre depuis tellement de temps ! Et depuis tout ce temps il n’a pas changé les draps, ni même fait la poussière. Pas qu’il n’en soit pas capable, mais il est seul et s’en fout. Sa merde, la fumée, les mégots, la vaisselle ne l’ont jamais dérangé, jusqu’à ce soir. Il se hait. Sa défunte n’aurait jamais voulu ça pour lui, il le sait. Il se hait.
Quitte à ne pas dormir, analysons, rangeons, nettoyons ce que nous pouvons. Louis se donne du courage avec un peu de Johnny Cash, un vieux vinyle. Sa platine est bien l’objet le plus propre de ce taudis. Il retrouve des produits périmés, des pattes, des éponges, des linges. Débarrasse, nettoie, astique. « Je ne vais pas refaire le monde en une nuit, mais profitons avant que je sombre, désolé mon chien, nous ne serons plus seuls »
« 
Is it getting better Or do you feel the same? Will it make it easier on you now You′ve got someone to blame? You said One love One life When it's one need In the night One love, we get to share it It leaves you, baby, if you don′t care for it
« One - Version Johnny Cash
Louis, exténué par tant d’inhabituels efforts, s’effondre dans son fauteuil. Il y a tant à faire, tant à faire, tant à.
La nuit passée, Louis se réveille léger. Il apprécie le semblant de propre qu’il s’est esquinté à faire. D’humeur conquérante, prépare ses clopes, le chien et sort. A sa porte, il croise la concierge. Les gens l’appellent Thérèse et les enfants, Madame PasDrôle. « Bonjour Monsieur Louis, qu’est-ce que c’était tout c’boucant l’autre nuit ? » « Bonjour Thérèse, ne vous inquiétez pas, un peu de rangement » « Vous en avez de bonnes vous… ne pas m’inquiéter, avec tout c’raffuts ». Louis ne tient pas compte de la remarque, et guilleret part promener le canidé.
Le processus est toujours le même, sortir dans la rue, sortir une clope, sortir son téléphone, laisser le chien renifler et faire ce qu’il a à faire. Cigarette allumée, le visage de Louis se durcit, aucun message, aucun appel manqué. Louis goûte à cette vicieuse frustration d’attendre quelque chose dont seul lui en a émis le besoin. Cette sensation douloureuse d’avoir fourni des efforts et que le ciel n’en tien pas compte. « Bon ben mon p’tit t-rex, on va vite retrouver nos sales petite habitudes ». Téléphone rangé, il rentre chez lui. Thérèse ou Madame PasDrôle rôde dans la cage d’escalier épiant les proies disponibles pour ses critiques acerbes.
« Tien ! vient-y pas le Louis qui revient ? » Louis soupir, imagine toutes sortes de tortures à offrir à cette indélicate concierge. « Re » « Monsieur Louis, vous avez intérêt à arrêter ce bruit ou j’appelle la… » « Ne vous inquiétez pas Thérèse, j’en aurais fini dans la journée » « Du rangement du rangement… Les hommes, vous vivez dans votre merde, satisfaits tels des porcs, mais suffit d'un hypothétique cul pour remettre tout en cause, n’ai-je pas raison monsieur Louis ? » « Oui très certainement ! » dit-il tête baissée.
Louis ne la supporte pas, fuit chez lui, verrouille sa porte et soupir « Vieille pute ». L’altercation lui donne le courage de finir les travaux commencés. Un rapide coup d’œil sur le maudit appareil et rien, toujours rien. Innocent, il tapote « Bonjour, comment vas-tu aujourd’hui ? », se lance dans son bazar et n’y pense plus.
Le temps passe vite quand on se laisse tomber dans une tâche aussi ingrate soit-elle. « T’en pense quoi T-rex ? C’est fait ! ». Il s’octroie une pause et souffle debout contre le lavabo. Regarde l’heure, check son téléphone, une notif de la femme de l’autre jour, Marilou. « Ha quand même » pense-t-il. Le message est étonnant, « bonjour, peu importe qui vous êtes, pour un rendez-vous allez sur le site www.mabelleescort.com/marilouxxx ». Louis est dégouté. L’impression de s’être fait avoir. Elle sait que c’est lui.
L’homme fataliste, décide de laisser tomber et retrouve ses vieux forums où il partage sa vie désunie avec d’autres hommes et quelques femmes. « Salut les gars, ça gaz ? » « Salut Louis, bien bien, que deviens-tu ? » Louis explique sa mésaventure et l’ensemble de la communauté se moque de lui, gentiment, mais quand même. Il comprend l’arnaque. On chasse un homme seul, il nous invite, on le supporte, on lui fait croire, on fuit, disparaît. Ça fait toujours un repas dans la poche et pas d’oseilles à sortir, en fin de mois ça aide. « Les nanas, vous la connaissiez, vous, la MarilouXxX ? » « Non Louis, rarement croisée ici ». Louis s’en veut. Trop de temps est passé depuis son apocalypse personnel. Il est faible, il ne sait réagir, il doit se mouvoir, doit apprendre, apprendre à se méfier, à ne plus s’émoustiller à la moindre jarretière ou au premier sourire ravageur. Il doit prendre sa vie en main, travailler sa sociabilité. « Finalement, on le fait bien avec les chiens, pourquoi pas avec moi ? »
Une notif’ pop, « Écoute Louis, le groupe fait une sortie irl le w-e prochain à Lyon, t’es des nôtres ? Si t’es ok, ajoute ton 06 à la liste et rendez-vous devant la cathédrale St-Jean Baptiste à 19h… ne cherche pas c’est une idée de Flo. Je crois qu’elle connait un resto à côté ou alors elle est bigote. Enfin, allez vient, ça fait deux ans qu’on se cause et j’aimerais voir ta trogne de veuf une fois 😆, signé le Belge »
Louis, étonné par cette invitation, se laisse amadouer et confirme sa venue. « Il est temps d’avoir une vie, d’avoir des amis de perditions. Ils connaissent déjà tout de moi. Ils vont se foutrent de ma gueule pour Marilou, mais finalement, je le mérite tellement. » pense-t-il. Louis connait le Belge depuis deux ans et c’est vrai qu’en deux ans ils se sont tout dit. Les secrets, y en a plus. Le Belge a aussi perdu sa femme, enfin, elle s’est cassée. Il la battait. Il a fait une thérapie pour cela. Tout le groupe est au courant et même les femmes le soutiennent. Mais le Belge ne veut plus de relation, il a peur, peur de recommencer, peur de la contrariété ou de la frustration. De temps en temps une pute comme il aime le répéter, mais ses contacts hétéros s’arrêtent à elles. Sous les conseils de Louis, il a adopté un chien, un berger belge, ou malinois. A ce propos, il dit souvent « Quand on est belge, on soutient son pays », il est un peu con, certainement très con, mais sait se faire aimer de la troupe.
Louis se réjouit. Il a trois cents bornes à faire, réserve un hôtel pas trop dégueu et cherche un chenil correct pour t-rex. « Quitte à vraiment sortir une fois tous les 10 ans, faisons le bien ». Il a réservé 3 jours à Lyon mais n’a rien prévu. Il verra sur place ce que les autres lui proposerons. Il se rend compte que ce projet ne le stresse pas et qu’il a grandement réduit sa consommation de tabac. Il en profite également pour égayer un peu sa garde-robe. Les rangers dans le cagibi laissent la place à d’élégantes bottines. Un nouveau jeans envoie l’ancien à la poubelle et quant au haut, t-shirt mérinos assorti d’un pull type marine militaire feront l’affaire. Simple et efficace, pas de chichi. Il s’est également payé un nouveau portefeuille. Exit le vieux bout de cuir troué et ramolli, exit tous les vieux papiers et autres cartes de fidélité. Bonjour le portefeuille neuf où trône, en reine, la photo de sa défunte.
Louis rejoint la cathédrale en début de soirée, il repère rapidement le groupe grâce aux chaussettes blanches -  sandales du Belge. Il est beau Louis. Florence se retourne, le dévisage, demande « Monsieur ? » « Bonjour, c’est moi Louis » dit-il sur la défensive. « LOUIS !!! Ça fait si longtemps bordel » dit le Belge. « Viens dans mes bras que je te sente ». Louis intérieurement regrette déjà d’être là, mais il entend le rire doux de Flo, se retourne et lui propose une bise. Flo lui dit « 3, j’ai vécu en Suisse ». Louis s’exécute se doutant bien de l’arnaque des origines de Flo.
La troupe de héros pas très fantastiques suit Flo qui les guide dans un bistroquet sympa en diable paraît-il. Ils s’installent, parlent, parlent fort, rigolent, rigolent fort. Enfin, le Belge fait tout, fort. Autant c’est un groupe de veufs ou dépressifs de la quequette autant une compagnie d’anciens combattants auraient fait moins d’esclandres.
Le repas se passe ! Un dernier pousse-misère, c’était dégueulasse. Tous ont réservé leur chambre dans le même hôtel, sauf Louis. Flo l’interpelle « Un dernier verre Monsieur Louis ? ». Flo est mignonne et ne laisse pas indifférent Louis. Tout le repas, il l’a observée, observé ses rires, ses manières, son corps. Flo l’a tout de suite démasqué et s’en est amusée toute la soirée, faisant rougir Louis à chaque regard. Louis accepte très volontiers. Pour commencer, ils partagent leurs misères, mais rapidement, ils rigolent beaucoup, ils s’amusent. Flo est lascive. Flo n’a pas grand intérêt pour les hommes, mais ce soir son appétit est féroce et la victime innocente. « Louis ? Tu m’accompagnes cette nuit ? » Aucune pitié pour le pauvre vieux. « Mais Florence, ça fait si longtemps ! » « Louis ne m’emmerde pas. Cette nuit c’est nous. Je connais ton histoire, je connais tes excuses ! » Louis rougit encore, sourit, accepte.
Ils traversent les deux rues les séparant du paradis. Flo insère sa carte, ouvre la porte, n’allume pas la lumière. Louis rentre. Flo, passionnelle, lui bondit dessus. L’embrasse. Louis ne riposte pas, pose ses mains sur ces hanches et rend chaque baiser avec ardeur. Louis a envie, Louis a peur, mais Louis a envie, ça fait si longtemps. « Louis Louis Louis » Flo se baisse et colle son visage à la braguette du jeans, défait le bouton, descend la tirette, fait tomber le pantalon. D’en bas elle regarde le visage perdu de Louis, ça fait si longtemps. Flo adore l’odeur de Louis, elle se mordille les lèvres et d’un geste non retenu fait descendre le boxer inutile. Louis, le sexe nu, ressent la chaleur de la bouche de Flo entourant de sa verge. Il râle de plaisir. L’objet tant chercher ne tarde pas à se raidir. Louis est prêt. La bouche de Flo, doucereuse s’occupe du pénis de Louis tendrement. L’énergie de Flo et de sa bouche ne sont pas la même, ce n’est pas le même programme. Louis recule, le pantalon aux chevilles, tombe sur le lit. Flo le déshabille. « Louis Louis Louis ». Elle se relève, expédie ses vêtements, sort un préservatif de son sac et équipe le plongeur de sa combinaison. Le corps de Flo est si humide ! Sans ménagement aucun, elle insert la turgescence de Louis en elle. La pénétration l’a fait frissonner. Elle aussi ça fait si longtemps. Le bassin de Flo, magique, cherche son plaisir. Elle trouve, elle sait quoi faire. Le désir en elle est sans limite. Louis, perdu, caresse les seins, les hanches, le visage, les hanches, les seins, les cuisses, les seins, les hanches. Mais ça fait si longtemps. Dans une décharge électrique, Louis déverse son amour en Flo. Louis a joui. Ça fait si longtemps. Flo sentant les gonflements de la verge ne peut résister plus longtemps non plus. Elle explose, tremble, râle, frissonne, griffe. N’en pouvant plus, elle se laisse tomber sur la toison de son mâle. Louis la cagole de ses bras, l’enlace… amoureusement. Ils s’endorment.
La lumière du jour vient réchauffer les corps. Louis s’étire, caresse Flo. D’un regard ils décident de se lever. 8h30. « Merde, les autres nous attendent ». Ils s’habillent rapidement et traversent le couloir glauque de l’hôtel et rejoignent les autres à la grande salle pour le petit déjeuner. Le belge, déjà bien en forme, s’exclame « Oh putain, regardez qui va là ! » Les deux tourtereaux, pivoines, entonnent ensemble, ta gueule le Belge !
Le buffet quelconque offre suffisamment de supplices pour faire passer la faim. Ils discutent de la médiocrité du restaurant de la veille, de la prochaine visite à faire. Flo ne peut s’empêcher de laisser couler une larme que tous ont vue. « Mais Flo, ne t’inquiète pas, on en fera d’autres ! » disent-ils en cœurs. Elle sourit un instant mais sa tristesse efface la douceur de son visage. Louis ne sachant que faire, la prend par l’épaule et sans tenir compte des autres gredins l’embrasse sur la tempe. Flo le regarde, l’embrasse, se lève. En sanglot « écoutez, cela fait déjà quelques années qu’on se connait via l’réseau. Je vous remercie pour tout, les bons et mauvais moments, l’humour débonnaire du Belge ou encore cette nuit magnifique Louis » L’équipe interloquée ne capte pas vraiment où veut en venir Flo. Elle prend un mouchoir, sèche ses larmes, se mouche et lâche d’un regard profond « Je ne vous en dirais pas plus, respectez cela, je vous en prie. » Elle sourit, cette fois-ci rayonnante, « Je vais mourir, il me reste moins de 6 moins ». Ses comparses d’infortune sont abasourdis. Louis se lève, la prend dans ses bras, la serre tendrement. Le Belge, ainsi que les autres, viennent à elle. Tous ont les yeux noyés de douleur. Tous l’enserrent, lui promettent de ne pas la laisser tomber. Flo ajoute « Tout à l’heure, laissez-moi vous quitter comme si je n’avais rien dit, s’il vous plaît ». Louis, ayant déjà connu cette douleur, tance « Ecoute Flo, nous avons entendu ton message, nous sommes dévastés, mise à part le Belge » Rire dans l’assistance « Mais nous respecteront ton choix »
La matinée passa. Louis n’eut pas le cœur de continuer sa visite. Il prit le train du retour et rentra chez lui. Comme à son habitude quand ça va mal, il se pose dans son fauteuil et rumine jusqu’au sommeil.
La courte nuit passa, Louis le cœur en berne se leva. Il a ruminé la même idée minutes après minutes. Envoie un message à Flo « J’ai déjà vécu ça une fois, j’m’en fous, on liquide tes affaires et vient vivre avec moi, tu ne seras plus seule » du tac au tac Flo retourne « Non Louis, tu m’as promis. Ta proposition est belle, mais je veux partir là où j’ai vécu. »
Louis se résigne, va chercher t-rex à la pension. La bestiole reconnaît son maître et avec une énergie folle le salue de toutes les façons. Le vague-à-l ’âme de Louis s’estompe un peu. Encore quelques courses et Louis rentre chez lui.
Le temps passa. Florence était de moins en moins présente sur le réseau, jusqu’à ne plus être là du tout. Les amis décidèrent de faire comme si. Comme si un possible retour restait envisageable. Louis en rageait, ne comprenait pas pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi.
Deux ans se sont écoulé. Le groupe du réseau a disparu, Louis est seul. Il a encore quelques nouvelles du Belge, mais ses frasques ne l’intéressent pas. Il sort de chez lui, salue la concierge antipathique. Va jusqu’à la gare des bus. Attend le 33. Le 33 arrive, Louis saute.
Louis n’est plus.
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dystopiakawa · 1 year
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Mon histoire avec la musique commence réellement en 2000, lorsque que ma maman m'offre mon premier album de Bon Jovi à l'époque MTV, Viva Polska, Onyx TV et toutes ces chaines du câble, passer en boucle le titre "It's My Life".
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Cet album à fait de mon adolscence, une vie incroyable, j'adorais ce groupe, j'avais des poster des cartes postales. Puis la même année, je suis alors en 6ème et ma vision de la musique change avec 1 album Hybrid Theory de Linkin Park.
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C'est eux qui m'ont amené à la scène métal que je connais aujourd'hui, cette album à tournée plus de 1millions fois dans mon poste, je connais les chansons par coeur, je chante beaucoup dans ma chambre les morceaux surtout le passage de Mike Shinoda qui est mon chouchou à l'époque.
Puis 2004 une rencontre va faire que ma vie à changé, il me fait découvrir cet album qui me grave et me parle d'un certain Jonathan Davis.
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2004 KoЯn arrive dans ma vie et cette même personne ne me parle que de cet album Take A Look In The Mirror. Il adorait surtout ce titre "Break Some Off" pour la batterie incroyable, mais moi je l'aimais pour le cingle "Right Now" dont le clip était Gore à Souhait ! Et j'adorais ça !
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Je naviguais, écouter ces groupes de cette fameuse personne ça passer entre du Slipknot, Fear Factory, Chevelle, Pleymo, Staind, Sum41, Rammstein ou encore Limp Bizkit.
Moi je faisais mon chemin, j'ai aimé ce groupe pendant des années au point même de m'appeler KoЯnette. À l'époque on pouvait trouver des livres très cours "Linkin Park de À à Z". Je l'avais trouvé aussi pour KoЯn et je découvre mon nouveau groupe qui va devenir celui que je vais suivre longtemps Adema. Le demi-frère de Jonathan Davis n'est qu'autre que le chanteur leader du groupe Adema. Et comme pour Linkin Park j'adorais chanter leurs morceaux et je m'imaginais dans leurs groupe (oui j'étais une ado fanatique).
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Ce groupe était un culte, tous mon entourage le connaissent alors que clairement ils n'ont jamais réellement tournée en France.
2006 Je sors avec ce fameux garçon même si j'étais en mode "nan mais c'est trop un connard". Ce moment ça sera accompagné par du Pleymo. Putain de souvenir surtout avec le DVD, ces morceaux ou clairement la Batterie (son instrument fétiche, car il en jouait depuis ses 9ans) me souffle à chaque foi (Kubrick, Muck).
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Mais 2006 sera aussi un drame, la vie est mal faite, et ce drame sera aussi accompagné de Pleymo "Qu'est-ce qui nous restera" "Un Parfum Nommé 16ans" tous ces chansons qui sont passées en boucle lorsque je n'allais pas bien. J'étais dans le dénis, j'ai oublié même ce qui se passer autour de moi, un vide qui ne laisser entrer aucune lumière, mais qui retsé à vivre avec lui pour toujours.
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C'est alors qu'un jour en 2008 un ami nous parle d'un groupe de Toulouse du nom de Sidilarsen. Ce groupe à partagé 10 ans de notre vie avec une amie à moi, on les as suivis, bousillé nos Doc' Marteen sous le feux de leurs scènes.
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Pendant cette periode des rencontres qui m'ont fait découvrir la musique electronique notament Noisia qui est pour moi l'un des meilleurs, créateur de musique electonique de leurs génération. (Ils ont même un duo avec KoЯn).
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Ensuite je pars de ma ville natal, toujours les oreilles dans le dubstep. Et puis grace à des replays de concert des vieilles charues je me suis mise à écouté un groupe qui va être le tremplin de ma vie aujourd'hui... Of Monster And Men. Je fais écouter ça un covoitureur qui me dit, "leurs accent et surement Irlandais ou nordique". Je regarde leurs page Wikipédia et je vois islande. Mon copain lui avait voyager là bas une 15aine de jours et là je suis tombé amoureuse du pays, j'en parlais souvent diffusais des photos, parler du groupe etc et là !!! Vous le voyez venir !!
On m'envois ce moreau
Je suis d'abbord intriguée mais surtout très emballée par ces basses incroyable et ce grognement sans cesse. Mais qu'elle langue incroyable parle t'il anglais et là je vais voir les paroles "Við skerum á Augnaráð Nú stingur í Ofbirta"
Je tombe littéralement amoureuse du morceau, de la langue j'achète l'album.
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Je vais ensuite à leurs concert ma vision de la musique à changé, ma consommation aussi, j'écoute différement et ce groupe à fait quelques choses d'uncroyable entre cet album et les précédents, des choses artistiques
Prochain article mon premier live de Sigur Rós <3
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marie-swriting · 4 months
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Perte De Temps - Jake "Hangman" Seresin [1/2]
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Top Gun Maverick Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu n'arrêtes pas de repenser à ta relation avec Jake, malgré votre rupture.
Warnings : angst, fin triste, Jake est un connard, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2k
Chanson qui m'a inspiré : Things I Wish You Said par Sabrina Carpenter
Assise sur ton lit, tu tiens ton téléphone en face de toi avec la photo de contact de Jake sur l’écran. Tu as un grand sourire à l’idée d’enfin pouvoir lui parler. Tu es actuellement en déploiement donc tu n’as pas pu communiquer avec ton petit ami ces derniers jours. 
Après quelques secondes, tu découvres le visage de Jake et tu vois qu’il est sur son canapé. 
-Hey, je suis désolée de ne pas t’avoir appelé avant, c’est la folie ici, t’excuses-tu.
-C’est pas grave, je suis bien placé pour comprendre que ça peut être compliqué d’appeler.
-Bon, qu’est-ce que tu as me dire de beau ? 
-Pas grand chose, c’est assez calme, dit Jake en évitant rapidement ton regard. En fait, je voulais te parler.
-D’accord, tu veux me parler de quoi ?
-Je… Écoute, commence-t-il, nerveusement et tu te redresses, craignant la suite, je ne sais pas comment le dire alors je vais le faire d’un coup, on devrait se séparer.
-Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ?
-Ce n’est pas toi, je te le promets, c’est moi. 
-C’est quoi cette excuse de merde ! t’énerves-tu, perdue. Tout va bien entre nous. Je ne comprends pas pourquoi tu veux tout arrêter. J’ai fait quelque chose ?
-Non, comme j’ai dit, ce n’est pas de ta faute. C’est juste que je veux me concentrer sur ma carrière et…
-Et quoi ? Je suis une distraction ? Tu peux pas avoir une relation et travailler comme un grand garçon ? rétorques-tu, agacée. 
-Je comprends que tu puisses être énervée, mais c’est mieux comme ça, répond calmement Jake, ce qui a le don de te rendre encore plus en colère. 
-Clairement. 
-Y/N, tu es quelqu’un de bien, je ne veux pas que t’en doutes pendant une seule seconde.
La phrase de Jake qui se veut réconfortante te braque un peu plus. Tu ne regardes même plus ton téléphone, un million d’émotions traversant ton corps. Tu n’arrives pas à savoir si tu es plus énervée ou dévastée. Comprenant que ça ne sert à rien d’insister, Jake soupire avant de parler une dernière fois : 
-Je vais te laisser tranquille.
Tu reposes les yeux sur ton téléphone, t’attendant à ce que Jake dise quelque chose d’autre, mais rien. Jake n’ajoute même pas un “désolé” avant de raccrocher, te laissant dans ta chambre, seule et dans un silence lourd. Tu gardes les yeux rivés sur ton téléphone, toujours sous le choc par ce qui vient de se passer. Tu n’arrives pas à comprendre. 
Tu as rencontré Jake il y a environ quatre mois et tout s’est fait rapidement, mais ça ne semblait pas vous déranger. Certaines personnes avaient bien essayé de te prévenir en te parlant de la réputation de Jake avec les femmes, mais tu les avais ignorées. Jake et toi, vous vous étiez tout de suite bien entendus et c’était ce qui comptait. Et puis, tu ne vas pas mentir, il a su te rendre accro en une conversation. Tu avais l’impression que c’était pareil pour lui, que Jake était autant attaché à toi que tu l’étais à lui, maintenant tu en doutes. Ce qui te perturbe le plus dans cette histoire, c’est que votre relation devenait de plus en plus sérieuse, jusqu’à maintenant. Vous vous voyiez dès que vous pouviez, vous aviez même parlé de prendre une maison ensemble. Vous aviez commencé à imaginer un futur ensemble et un coup de fil, Jake vient de tout jeter aux oubliettes. 
Ce soir-là, tu n’arrives pas à lâcher une larme. Tu te dis que tu as sûrement rêvé ce coup de fil. Cependant, le lendemain, quand tu ne te réveilles pas avec le message habituel de Jake te souhaitant une bonne journée, tu prends conscience de la réalité et tu fonds en larmes lorsque tu finis ta journée. Jamais ton cœur n’avait connu une telle détresse, n’ayant rien vu arriver. 
Cinq mois se sont écoulés depuis ce sinistre appel. Tous les soirs, votre dernière conversation tourne dans ta tête, tu repenses à ta relation avec Jake, à la recherche de ce que tu as pu faire de mal et plus tu réfléchis, plus tu réalises que tu as toujours mis plus d’énergie dans cette relation que Jake. Maintenant, tu te trouves idiote pour avoir espéré quelque chose de beau alors qu’on t’avait prévenu que Jake ne savait pas s’engager. Tu pensais être différente. Tu ne l’es pas. Tu te trouves encore plus pathétique car Jake est toujours dans ta tête. Même quand il n’est plus avec toi, il arrive encore à te faire perdre ton temps. 
Ce soir en est encore une preuve. Tu as recroisé Jake lors d’une soirée spéciale pour la Navy. Tu as malheureusement revu Jake et te voilà maintenant allongée dans ton lit à repenser à lui et à cette soirée, mais surtout au moment où tu l’as vu dans le parking en partant, un moment qui ne quittera pas tes pensées pendant plusieurs jours.   
Tu t’es rendue à cette soirée, sans grande conviction. Tu as été accompagné par ton nouvel ami Scott que tu as rencontré lors de ta dernière mission. 
Au début, tu n’avais juste aucune envie d’être là, puis tu as vu Jake et à la seconde où tu as reconnu son rire au loin, tu as voulu fuir la soirée. Scott, en bon ami qu’il est, est resté à tes côtés et a su te divertir. Il a réussi à te faire rire, même si intérieurement, ton cœur se brisait à nouveau. Tu n’as pas parlé de Jake toute la soirée. En fait, tu ne t’es pas approché de lui, tu l’as évité comme la peste. Enfin, jusqu’à ce que ça devienne acceptable de quitter la soirée. À la seconde où la soirée a commencé à se conclure, tu as vite quitté les lieux. En marchant vers ta voiture, tu es tombée face à face avec Jake. Au début, vous êtes restés là, à vous regarder dans le blanc des yeux sans vous parler, puis n’étant pas prête à le confronter, tu as commencé à te diriger vers ta voiture quand Jake t’a retenu.
-Est-ce qu’on peut parler, s’il te plait ?
-Je n’ai pas grand chose à te dire, Jake, avais-tu dit, sur tes gardes. 
-J’imagine que me parler est la dernière chose que tu veuilles faire, mais j’ai besoin de te dire quelque chose.
-Tu en as assez dit la dernière fois, avais-tu déclaré en te tournant pour aller dans la direction opposée à lui.
-Justement, je n’en ai pas assez dit. Tu mérites que je m’excuse.
À sa phrase, tu t’es retournée, choquée. Avoir des excuses de Jake était bien la dernière chose à laquelle tu t’attendais. Tu t’es mis face à lui, les bras croisés sur ta poitrine afin de montrer que tu ne te laisserais pas attendrir facilement alors qu’en réalité, ça te demandait un effort surhumain.
-Je suis désolé d'avoir rompu de cette façon en donnant si peu d’explications. Je suis désolé d’avoir sorti la carte du “c’est moi, ce n’est pas toi”. Ce n’était pas réglo. Et je suis…, avait soupiré Jake, tu mérites de vraies excuses, mieux que celle-ci, mais je me devais de te dire au moins ça. Peut-être que je vais aller trop loin, mais je serais ravi de me faire pardonner comme il faut si on se revoyait un de ces quatre. 
-Jake, je ne pense pas que ça soit une bonne idée, avais-tu refusé en baissant les yeux pendant une seconde. Mais merci pour ce que tu m’as dit, ça fait du bien de l’entendre.
Suite à ta phrase, tu pensais que la conversation était finie alors tu as sorti tes clés de ton sac quand la voix de Jake a résonné à nouveau dans le parking : 
-C’est à cause du gars avec qui tu étais ce soir que tu refuses ? Ça fait longtemps que vous êtes ensemble ?
-Scott ? C’est un ami. 
-La manière dont il t’a fait rire…, avait dit Jake en riant jaune, ce n’est pas l’impression que j’ai eue.
-Pourtant, il n’y a rien, avais-tu répliqué, sur la défensive. Et puis, pourquoi ça t’intéresse ? On est séparés, c’était ta décision, je te rappelle.
-Et c’était con. Tu me manques, putain ! s’était-il exclamé avec un air coupable sur le visage. Tu n’as pas idée. Le moindre détail me fait penser à toi. Quand une de tes artistes préférées passe à la radio, je te revois en train de chanter les paroles, un grand sourire au visage. Qu’est-ce que je donnerais pas pour revoir ce sourire ! avait-il ajouté plus faiblement. Encore maintenant, quand je suis dans la voiture, il m'arrive de tendre le bras pour le poser sur ta cuisse puis, je réalise que tu n’es plus là parce que j’ai merdé. Je m’assure toujours d’entendre tes derniers exploits. J’ai toujours su que tu étais une pilote hors pair et tu continues encore à m'impressionner. J’aurais dû réaliser la chance que j’avais de t’avoir avant de la gâcher. Je n’arrive pas à avancer et je n’arrive même pas à m’imaginer aimer une autre personne que toi, avait avoué Jake avant de faire un pas vers toi. 
Quand tu l’as vu proche de toi, tu n’as pu t’empêcher de regarder ses lèvres, ses lèvres qui t’ont tant manqué. En le regardant avec plus d’attention, tu as bien vu que, lui aussi, il avait voulu te toucher. Ses mains étaient prêtes à prendre les tiennes, mais il s’était retenu, ne voulant sûrement pas ruiner ce moment en agissant encore plus impulsivement. Entendre la confession de Jake a presque réussi à te faire craquer et à te faire oublier la douleur qu’il t’avait causée. Toutefois, tu es restée mutique, sachant que si tu ouvrais la bouche, tu n’aurais su lui résister. D’une voix désespéré, Jake a tenté le tout pour le tout en déclarant une dernière fois :
-Je te jure que si tu me laissais une nouvelle chance, je saurais mieux agir avec toi. Je saurai être l’homme que tu mérites, je ne te briserai pas le cœur. J’ai appris de mes erreurs, je te le promets.
-Jake, tu m’as fait du mal, avais-tu dit d’une voix faible. 
-Je comprends, mais si tu changeais d’avis, je serais toujours libre. Encore une fois, je suis désolé. 
Sur cette dernière excuse, Jake t’a laissé tranquille et tu es monté dans ta voiture, les larmes aux yeux. Tu les as retenues jusqu’à ce que tu aies quitté le parking. 
Malheureusement, ça ne s’est pas passé de cette manière. 
Tu as bien croisé Jake sur le parking, mais il est resté mutique. À un moment, tu as pensé qu’il allait te dire quelque chose, mais il a juste quitté les lieux, un air coupable sur le visage. 
Et te voilà, maintenant, dans ton lit à imaginer les choses que tu aurais aimé qu’il te dise. Malgré ces cinq mois de séparation, tu es toujours aussi désespérée pour son amour. Malgré la douleur qu’il t’a causée, tu te languis d’excuses de sa part, mais surtout, tu voudrais qu’il te veuille encore et même si dans le scénario que tu as rêvé, tu as refusé de revoir Jake, tu sais qu’en rentrant chez toi, tu l’aurais appelé. Tu l’aimes encore et tu souhaiterais que ça ne soit plus le cas. Il joue encore avec tes sentiments alors qu’il ne te parle plus. Ton cœur complote contre toi en te torturant et en te faisant imaginer un Jake qui saurait réparer ses erreurs et être l’homme que tu mérites. Cependant, ça ne sert à rien. Jake ne changera jamais et s’il revenait, ça serait juste pour jouer un peu plus avec tes sentiments avant de te jeter à nouveau. Tu perds ton temps sur des choses futiles. C’est une perte de temps d’espérer qu’il change, c’est une perte de temps de penser aux choses qu’il aurait pu te dire et aux choses qu’il ne te dira jamais. Jake est une perte de temps et tu t’en veux de dédier autant ta vie pour un homme qui ne pense plus à toi depuis longtemps. Tu espères juste qu’un jour tu arriveras à avoir l’esprit plus léger, loin de Jake et de tes sentiments pour lui.
Partie deux
Top Gun Maverick Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
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clemecritflower · 1 year
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Musique :
Can't Handle Challenge - Roar
__
Je pourrais me qualifier de sauveuse de vie.
J'ai sauver la vie d'ancien meilleurs amis, et de mon ex.
Mais lui.
Lui est le plus gros connard que je n'ai jamais croisé.
On était meilleur amis, inséparables, je lui est sauvé la vie du suicide plus une dizaine de fois.
Je me rappelleras toujours de ces soirs, ou je pleurais dans mon lit en l'appelant et en lui envoyant des centaines de message pour savoir s'il est encore en vie.
Je le soutenais quand il allais pas bien, je l'aidait quand il y avais une dispute entre ses potes ou sa famille.
Je l'ai soutenue quand il nous a annoncé qu'il est trans.
Je l'ai soutenue a dire ses sentiments a sa crush.
Mais tous sa, c'était il y a 2 ans.
Pour être précise, 2 ans et 3 mois que je le connais.
Mais déjà 7 mois que je n'ai plus de nouvelles.
7 mois que je sais pas s'il va bien.
7 mois que j'attendais son message.
Puis il y a quelques semaines je l'ai revue sur tiktok, par hasard.
Je lui est envoie un message pour avoir de ses nouvelles.
Chose que je n'aurais pas su faire.
Il n'a aucun putain de souvenir de sa part.
Il ne se rappelle pas de moi.
De moi qui lui est sauver la vie.
De moi dont il m'a donné des traumas des nuits en pleure.
De moi qui a peur maintenant de perdre des amis.
De moi, qui est plus la même a cause de lui.
Plus rien, il ne s'en rappelle plus.
🌟
Salut !
Comme sa le dit, sa parle de quelqu'un, cette personne m'a beaucoup touchée, mais j'ai réussi à passer a autre chose en quelques sorte.
J'ai eu du mal a écrire celui là donc bon-
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fckinghogwarts · 2 years
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PARTIE III
Cygnus Black n'était pas le sorcier le plus avenant ni le plus sociable. En fait, il détestait cordialement la plupart des gens. Cependant il appréciait une petite fête de temps en temps, avec des gens que l'alcool rendaient plus supportable ou du moins ceux qu'il considérait comme moins casse-pieds que le commun des mortels. Il avait quelques amis dans les rangs de Serpentard, qui l'avaient d'ailleurs invité à une soirée dans la salle commune qui se tenait ce soir.
Le jeune Black enfila donc une tenue plus adaptée que son incipide uniforme scolaire, attrapa quelques verres à shot et se rendit au lieu-dit sans plus de cérémonie. Il avait un peu de retard et la musique et l'alcool avait déjà commencé à se répandre dans la vaste pièce tamisée. Un grand brun qui lui rappelait vaguement quelque chose lui fit un signe de loin et il le rejoint. Quelques uns de ses amis au sang-pur discutaient autour de lui. Il prit part à la discussion en se servant un peu de vodka. Il n'avait jamais été très cocktail ni alcool doux.
Peu à peu, les verres s'enchaînèrent et alors qu'il était occupé à observer une partie de jeu à boire (auquel il avait refusé de participer- il n'avait pas besoin de raison autre que sa propre envie pour se bourrer la gueule) il remarqua une figure familière à quelques mètres.
Un grand blond élancé se frayait un chemin vers le fond de la salle pour rejoindre des amis. Lorsqu'il dégagea ses cheveux de son visage en passant une main dedans, Cygnus fut frappé comme par la foudre. Encore lui. Il fallait qu'ils soient entassés dans la même pièce. Celà dit, étant préfet et de la famille Malfoy, il n'était pas spécialement surprenant qu'Abraxas, puisque c'était le nom de ce spécimen, soit invité.
Cygnus se mit à bouillir comme à chaque fois qu'il l'apercevait. Ce gars avait un sérieux problème. Dire qu'il l'avait...(il eu un frisson de dégoût) embrassé ?? Quel genre de mec en venait là en pleine engueulade ? C'était répugnant, horrible et...
"Black ? Tu en es à combien de verres ? lui demanda quelqu'un dont il ne discernait que les contours du visage.
-Mêle toi de tes affaires, répliqua Black, acerbe."
Cela dit, il aurait peut être effectivement du compter le nombre de shots qu'il s'était enfilé- vu qu'il n'arrivait même plus à marcher correctement. Soudainement agacé par à peu près tout ce qui l'entourait, il se mit en tête de quitter la pièce pour rentrer à son dortoir. Mission plus difficile qu'il ne l'avait anticipé...Mais buté dans son égo, il arriva tout de même à la sortie de la salle commune et s'engouffra dans un couloir.
Puis il entendit un ricanement juste derrière lui.
Faisant volte-face avec toute la grâce d'un ivrogne, la faible lumière d'une torche lui révéla le visage...de Malfoy. Cet incapable, décérébré de Malfoy qui avait passé toute la soirée à étirer son long corps dans un sofa, passant un bras autour des épaules d'une fille de temps à autre, allant jusqu'à déboutonner le haut de sa chemise un peu plus tard...Non, Cygnus n'était pas obsédé par ce qui s'était passé. Ni par lui. Par rien du tout.
Le jeune sorcier trépignait de frustration.
"Va te faire foutre, Malfoy, cracha-t-il.
-Oh mais en voilà des manières, jeune homme. Des petits soucis d'équilibre, je vois ? lui demanda le blond, tout sourire."
Stupide sourire pour un gars stupide qui se croyait tellement...pas stupide. Tout ça parce qu'il était beau. Enfin, de manière absolument, totalement objective. Connard.
Cygnus grognait encore dans sa barbe quand il sentit un bras passer sous le sien et le soulager d'une bonne partie de son bras.
"Allez, je sens que ta maman te manque, alors je vais te mettre au lit et te border comme il faut, ok ?
-Je vais te tuer, menaça Black."
Cette agressivité ne fit que renforcer l'amusement largement perceptible dans le regard du préfet. Détestable. Ce gars était détestable. Ses lèvres étaient détestables.
Lorsqu'ils arrivèrent enfin au dortoir, Malfoy referma la porte derrière lui et lui fit face.
"Ta veste, lui ordonna-t-il.
-Dans tes rêves, cracha Cygnus. Pas question que tu poses tes sales pattes de-"
Mais il ne put même pas finir sa phrase sans manquer de tomber de tout son long. Alors Abraxas le rattrapa d'une main et fit glisser sa veste le long de ses bras. Puis il ouvrit quelques boutons de sa chemise. Du moins jusqu'à ce que Cygnus le frappe. Assez violemment.
"Qui t'as permis de- espèce de sale gay, homo de mes deux-
-Wow wow, doucement le toréador. Je me suis juste dit que tu serais plus à l'aise pour dormir sans, se justifia le blond en levant les mains en signe de paix. "
Il le fit ensuite s'asseoir au bord du lit et s'accroupit de manière à le débarrasser de ses chaussures hors de prix.
"Je suis sûre que tu prends ton pied, là. C'est dégoûtant, grommela Cygnus.
-En l'occurrence c'est plutôt le tien que j'ai dans les mains, se contenta de répondre Malfoy."
Mais le brun l'attrapa par le col et le tira au niveau de son visage.
"Ne va pas croire que- (il était vraiment très saoule) que j'ai aimé, susurra Black entre ses dents.
-Ah bon ? questionna l'autre en haussant un sourcil, pas intimidé le moins du monde par le cinéma de son camarade. Parce que c'est l'impression que j'ai eu quand tu as glissé ta langue dans ma bouche."
Et sa réplique ne manqua pas de clouer Cygnus six pieds sous terre.
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0rchidm4ntis · 2 years
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JURGEN LEITNER?
PUTAIN D'IDIOT DE CRÉTIN DE JURGEN LEITNER FOUTU BOUFFON COLLECTIONNEUR DE BOUQUINS BOUFFEUR DE POUSSIÈRE VIEUX RAT DE BATARD SAC À MERDE IDIOT D'AVATAR DE LA PUTE PLUS GROS CLOWN DU CIRQUE DONT LE VILLAGE SE FOUT COWBOY DE PUTAIN DE JURGEN LEITNER
ARRÊTER DE ME PIN QUAND JE PARLE DE JURGEN LEITNER JE LE HAIS TELLEMENT POURQUOI IL A AUTANT DE LIVRES ÉCLATÉS POURQUOI IL A DÉCIDÉ DE CHERCHER LA MERDE POUR EN SAVOIR PLUS LAISSE LES BOUQUINS TRANQUILLES EST IL MORT EST IL UN BATARD CET HOMME A UN EFFET SI VISCÉRAL SUR MOI IL EST MÊME PAS DANS LA PIÈCE J'AI JAMAIS VU SA GUEULE ET JE SAIS QU'IL A LA BARBE LA PLUS MERDIQUE DU MONDE DÉGAGEZ
si je voulais entrer au paradis et que Dieu disait que Jurgen Leitner m'attendais à l'intérieur je pisserais sur les pieds de Dieu dans le simple objectif de me faire renvoyer plus bas
si je dois supporter Jurgen Leitner prononçant un mot de plus en personne avec sa voix sur le Podcast non seulement je fermerai l'onglet mais je supprimerais mon marque page par haine pour pouvoir re regarder la série entière avec le plaisir de pouvoir passer tous les moments où il est mentionné ou en vie.
je sais même pas pourquoi je le hais autant. il collectionne des livres mais ça me fout tellement la rage parce que je suis colère
il a intérêt à avoir une backstory éclatée pour expliquer tout ça si c'est juste un connard de riche qui est fan de creepypasta et qui voulais en voir la version irl je vais péter un cable
IL A INTÉRÊT à avoir eu un livre qui l'a fait tuer un homme si il en avait pas J'en ferais une réalité
PayPal. com/JePutainDeDetesteJurgenLeitner
l'épisode est même pas à propos de lui. sa librairie a été vaguement mentionnée et j'ai câblé
où se trouve putain de Jurgen Leitner si il est encore en vie je vais espérer tellement fort qu'il ne le soit plus
vieux mec pourri
je vais frapper Leitner et ses vieilles brindilles fragiles tristes qui lui servent d'os s'écailleront tout simplement sous mon énorme poing épique et viandu et il se désintégrera jusqu'à ce qu'il ne reste de lui qu'un dernier livre qu'il gardait toujours sur lui nommer Là Tu As Merdé en yiddish ancient
je ne respire plus j'hyperventile carrément là
j'espère qu'il y a une date donnée pour le moment où Jurgen Leitner est mort ou quand il mourra pour que je puisse mettre un rappel sur mon portable
tous les jours une fois par ans je ferais en sorte de faire tout sauf offrir mon respect à l'homme qui avait tellement de bouquins éclatés mais véridiques
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jules-and-company · 2 years
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Lire pour la première fois les pages Wikipedia sur la légende arthurienne en n’ayant jamais vu que Kaamelott (et lu Yvain ou le chevalier au lion pendant le collège) : a thread, partie 4
On parle maintenant d’un certain Galehaut
Il a pas l’air hyper intéressant
Je retire ce que j’ai dit, enemies to lovers, 24k-
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C’EST VRAI EN PLUS PUTAIN
Galehaut is the gay hero we need et Lancelot arrête d’être dans le déni de ton homosexualité
……il donne son quoi
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Ça me fume comment j’en ai jamais entendu parler avant ? Also C’est clairement dit qu’il se fait passer pour hétéro et 2) qu’il aimait Lancelot à un point inimaginable
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Je chiale
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This is a Galehaut stan account now
Très peu de choses dites malheureusement à propos de Galessin, mis à part qu’il est parti à la bataille une fois pour aider Arthur avec Yvain et Gauvain et j’imagine tellement bien le tableau de ces deux débiles avec Galessin tired dad à l’arrière
On passe à Gareth, ENCORE un frère de Gauvain
Je veux un spin-off avec les aventures de Gareth car il : se fait passer pour un garçon de cuisine au château, on le victimise parce qu’il a les mains douces, il se casse à l’aventure avec une autre domestique qui arrête pas de se foutre de sa gueule, se bat avec des chevaliers qui sont tous la personnification d’un Crayola, met la misère à un mec qui à la force de sept hommes qui a juré à sa femme de tuer Lancelot, force ce mec à revenir au château avec lui pour lui demander pardon. Long trip sous acide
Et malheureusement il crève aussi
On parle de l’aîné de la fratrie d’Orcanie : Gauvain
Vu les représentations, le costume qu’il porte dans kv1 est vraiment accurate, jusqu’à la coiffure tout est très bien bravo au département costumes
Attends il a un pouvoir spécial relié au soleil ? Mais c’est hyper classe
Globalement toutes les histoires où il est il est super doué super poli super tout, mais je vais retenir celle-là :
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Cockblock from god
Je me rends compte que je suis pas allé voir Hector des Mares
Bon y’a presque rien sur lui
Et Lionel de Gaunes alors ?
« Devenu roi de Gaunes » ? Alors que c’est Bohort l’aîné ?
Sa vie c’est quand même bien de la merde à Lionel
Et Loth. Qu’en est-il de Loth.
« Allié du roi Arthur » jusqu’à, hein
« Un vassal fidèle » JUSQU’À
Il était héritier du royaume de Norvège. Amis norvégiens vous avez eu beaucoup de chance de passer à côté de ça
Apparemment dans la légende de base c’est un mec bien. Ça fait bizarre
Geraint ou plutôt Érec on a un peu rien à battre et sa femme est mieux de toute façon
Enfin, on parle de Girflet
Globalement sa vie c’est cool il est pote avec Gauvain il est content il est chevalier
(On me précise dans cette page que Bohort a été sous l’emprise d’un sortilège qui l’a poussé à être un peu sans pitié et méchant. Potentiel de fanfic, moi je dis)
Ah non en fait c’est le dernier à voir Arthur vivant c’est lui qui doit se débarrasser d’Excalibur tous ses potes sont clamsés et il survit 18 jours après la mort d’Arthur. Youpi.
Et si on parlait du chevalier méconnu de tous Hunbaut
Ah, c’est le cousin de Gauvain. Serait-il aussi un connard ?
On ne sait pas personne ne sait rien il a le rôle d’une plante verte
Vous vous rappelez de Kay le sonneur ? Eh bah on va parler de son alter égo Keu le sénéchal
Il est chiant, l’envie de l’encastrer dans le mur m’envahit soudainement
Oh putain je viens de faire le lien avec le Keu dans Merlin L’Enchanteur de Disney
Ça tire à balles réelles
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C’est vraiment très très con comme façon de mourir
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Intéressons-nous à Lamorak (jouait-il vraiment au robobrol ?)
On sait pas et apparemment personne en a rien à péter
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