#fêlure
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cheminer-poesie-cressant · 7 months ago
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source : @cheminer-poesie-cressant
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il faudrait qu’une lumière
puisse résoudre la cassure
celle qui a défait nos phrases
celle que j’ai caché sous d’autres maux
pour repousser le naufrage
il faudrait repartir de là
la brèche qui veut toujours être colmatée
par quelques élans ici et là dispersés
mais elle n’est que cicatrice
la preuve sans cesse criée de notre déchirure
.
© Pierre Cressant
(dimanche 1 décembre 2024)
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hcdahlem · 5 months ago
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La faille
Qu'est-ce qu'une famille ? À travers son exemple, mais surtout de nombreuses lectures, Blandine Rinkel analyse cette curieuse cellule, de son côté rassurant et protecteur à cette furieuse envie de s'en émanciper ou de tester de nouveaux modèles.
En deux motsEn écrivant le mot famille, l’autrice constate qu’elle en efface le “m”, le “aime” pour en faire la faille. Le début d’une réflexion, nourrie de dizaines de lecture, de ce que représente ce noyau et de l’envie de s’en éloigner, d’échapper aux injonctions, de chercher de nouveaux modèles. Ma note★★★ (bien aimé) Ma chronique La famille, la feuille, la faille Qu’est-ce qu’une famille ? À…
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keeptilting · 11 months ago
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 via  Gridllr.com   —  making Likes beautiful again!
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Il n'est pas de beauté sans fêlure. Georges Bataille
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dixvinsblog · 6 months ago
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La fêlure (extrait) - Marion Lubreac
le pacte disait qu’on ne pourrait jamais s’éloigner. Que nous vivrions à tout jamais au fin fonds des lieux, prisonniers de notre maison. Ni tout à fait morts, ni tout à fait vivants. Maudits serions-nous, jusqu’à la fin des temps, pour le rachat de nos actions impies, exactement de la même façon que tous les autres profanateurs payaient encore, inlassablement, leur tribut. Même blasphème, même…
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orageusealizarine · 7 months ago
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Je croyais que la vie était faite de fantasmes mais le réel n'est qu'une imagination continuée. Je le savais : rien (jamais plus) ne serait vrai. Alors dans le temps (court) qui nous était donné (avant la tempête d'une folie complète qui déchaîne et déchaîne), il fallait jouir. Unir. Ou, plutôt je voulais jouir - et faire jouir. Tendre mon corps comme une main - me rappeler d'anciens miracles…
Plus haut que tous les abîmes - la joie resplendirait.
Nus parce que plus rien ne comptait. Que la volupté illimitée - où nous soubrerions sans appel. Nul retour. Et, nos yeux émus… se rencontrèrent. Sans plus connaître d'obstacle à notre entente. Sans plus de...
Non, je ne me déparie pas - mais ma joie excessive versait des larmes.
Car sur ton corps ombré, je m'ouvre à tous les vœux. Je m'ouvre et je célèbre - je suis... mais mes mots, en vain, chercheraient l'issue. Je m'avance - jusqu'au bout de la ligne j'ouvre les bras : je m'aboutis dans les tiens.
(La renaissance ne viendra qu'après la foudre). Le triomphe.
Qui dira ce qu'excèdent mes propres forces ? Deux beautés féroces n'ont pas plus de solution - ni ma bouche, à ta bouche. Proférant les plus ardentes caresses que des lèvres sauraient ordonner sur une page... mais me suis-tu - m'enserres-tu ?
Chemins sombres où s'élève un chant d'amour, nos ventres... Rauque unisson. Et l'odeur acide ou sucrée des herbes fauchées tout autour. Tu m'entraînes - ou je t'avale, je ne sais. Mais les sens se font plus chair - et je sens que nous serions tout, qu'à terme, nous saurions tout.
Qu'une fêlure dans l'union que la plus complète entente étanche - et le bonheur SOU-VE-RAIN.
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lisaalmeida · 2 months ago
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Usure des coeurs
On se fait la cour, on se fiance,
On se marie, on nage dans le bonheur.
De petites fêlures apparaissent .
On les néglige.
Elles grandissent, puis se stabilisent.
On vit avec.
Un jour, un heurt stupide dévoile la fissure irréparable.
On se met d'accord pour la cacher. On la bouche n'importe comment.
Les contemporains qui semblaient indestructibles, s'évanouissent, un par un, dix par dix.
On se retrouve tous deux, séparés et proches.
On se fait souffrir pour se sentir encore vivre.
On se serre un peu pour avoir moins froid.
Trop tard. L'un des deux lâche la rampe.
L'autre reste là, vacant, désaffecté, remâchant ses torts et fabriquant ses remords.
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jamie-007 · 5 months ago
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De ces moments heureux,
Ne reste que l'errance.
Instants de désaveu,
Sans aucune importance.
De courage en fêlures,
Et un corps en latence,
Dans une fragile armure,
Éperdue, impatiente.
Un éclat qui poudroie,
Un cœur en transition,
De l'envers à l'endroit,
Chenille vers papillon.
En oubliant les doutes,
Légère et souriante,
Et reprendre la route,
Libre en renaissance.
JM ♥️
De beaux rêves ✨️✨️✨️
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vhscorp · 2 years ago
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Nous avons tous des blessures au cœur, des fêlures, des secrets, qu’on conserve, enfouis tout au fond de nous, à jamais…
V. H. SCORP
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ariel-seagull-wings · 1 month ago
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@the-blue-fairie @meadow-mellow
"Turning Esmeralda’s mother into the G*’s accomplice, Hugo also wrestles a genre away from the French women who used historical novels to insert forgotten mothers, daughters, sisters and wives into the stories of kings. And in taking the historical novel away from French women, Hugo further reinforces his own paternal authority in a genre that had a long tradition of circumventing it. Upon the graves of G* and mothers, Hugo succeeded in creating a work that made nostalgia an effective political tool, as it translated part of France’s history into a new kind of poetry. Soon after Hugo published the second edition of Notre-Dame de Paris in 1832, François Guizot began organizing efforts to restore the old cathedral to her former glory. As Minister of Instruction, Guizot also asked Hugo for help in a restoration campaign, which many of his contemporaries believed was the political progression of Louis-Philippe’s Versailles museum, an aesthetic attempt to unite present and past so as “to promote loyalty to the state and to the regime” (Samuels 86). Hugo was appointed to the Comité historique des lettres, philosophie, sciences et arts shortly after he published “Guerre aux démolisseurs” in 1832. His role was to convince local governments of the importance of saving historical monuments, so that their architecture and stories would assure the perpetuation of a “mémoire nationale.” It was also understood that Hugo would continue to pen the kind of passionate plea he wrote for Notre-Dame. Guizot knew that if French history and its monuments were to survive, it would be thanks to romantic writers like Nodier and Hugo, whose stories were helping France reconnect with its estranged past."
"As discussed in earlier chapters, mothers and G* were partners in crime in Notre-Dame de Paris and Carmen. In the absence of fathers, who go missing from these early G* plots, mothers shoulder the responsibility of transmitting the past’s lessons to their children. When they are unsuccessful in accomplishing this mission, unable to symbolically represent and communicate the past, they become as dangerous as the Gypsy characters. Their failure to give their children proper hindsight ultimately leads to their children’s deaths. Esmeralda’s mother, Paquette la Chantefleurie, is not only responsible for her daughter’s kidnapping (because she leaves her front door open to Gypsies) but reveals her daughter’s past much too late in the progression of the plot to save her life. By the time Esmeralda learns the story of the amulet she wears around her neck, she has already married herself to an unlikely future with Pheobus. Like Paquette, Don Jose’s mother is also unable to keep her son looking backward. Although her memory makes him nostalgic for home in the first pages of his story, her voice is never a strong enough reminder of what he has left behind. Eventually, Don José turns his back on his past and his beloved Navarre to follow Carmen into a future of crime, murder and death. In both cases, Mother’s incompetence becomes a narrative fêlure in which the historian-writer can insert his voice and assume author-ity over his text. In the absence of fathers, Hugo and Mérimée become the paternal voice in the conclusion of their texts, symbolically rooting an unwilling and uncertain present in a safe and familiar past. Their conclusions inevitably illustrate how important Father is, since mothers (and brothers in the case of Notre-Dame de Paris) are incapable of giving children the precious gift of hindsight – a necessary defense against the uncertainty of the present and future."
(Taming the G*: How French Romantics Recaptured a Past, Elizabeth Carter Hanrahan)
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redlabopedagogique · 5 months ago
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#La Petite école : ouvrir le voir
On a souvent entendu à propos des œuvres d’Ann V. qu’elles font « apparaître l’invisible ». Mais de quel invisible parle-t-on ? Si on prend l’idée au sérieux, on doit accepter que l’invisible ne désigne pas ici ce qui ne se verrait pas (du tout), ce dont on ne ferait aucune expérience par le regard. Au contraire, les yeux sont archi-mobilisés. Cependant, il y a bien là quelque chose qui s’affranchit du « visible », une dimension de l’expérience qui échappe à nos velléités de reconnaissance, et favorise la perte de repères. L’artiste essaie de donner à voir la couleur pour elle-même, comme pur événement, la couleur comme sensation, indépendante de tous les « clichés », de toutes les démonstrations de la représentation. Au sens imaginé par Deleuze, Ann V. Janssens veut trouver pour la couleur une manière de s’élever au statut de « fait » (il y a une « montée en couleur »), sans être neutralisée dans des missions de représentation. Comment en parler alors ? Didi-Huberman propose d’utiliser le concept de « visuel », pour désigner ce plan d’expérience de l’œuvre qui n’est ni invisible (il y a bien perception par le regard) ni vraiment visible (au sens de : reconnaissable, identifiable avec certitude, ou lisible)[1].
Revenons à la catastrophe de la couleur. Quand elle me reparle de son travail récent sur les couleurs structurelles (et des recherches scientifiques réalisées par Maria Boto Ordonez dans un projet commun), Ann V. Janssens utilise à plusieurs reprises la même formule : « j’essaie de créer de petits accidents ». À partir de mélanges mijotés sur des plaques de verre et siphonnés à la seringue, un film coloré très fin se crée progressivement sur le support. Au cours du processus de séchage, ce film est susceptible de se rompre par endroits. L’artiste intervient volontairement pour optimiser l’intérêt de ces fêlures lumineuses (car aux abords de l’accident, sur ces lignes de vulnérabilité, la couleur est plus riche, le regard plus sollicité). « Je travaille la plaque » m’explique Ann V. Janssens, et puis.. « c’est ce que c’est ». Ni invisible (il n’y a pas « rien »), ni visible (il n’y a pas « quelque chose »), la plaque ouvre une expérience visuelle inédite. Selon l’angle d’approche, les couleurs varient, ne nous offrent aucun confort de stabilité, ne se fixent pas pour notre œil. On pense peut-être pouvoir identifier une sorte de « base » colorée, en réalité elle-même instable (ocre, moutarde, or, parfois vert vaseux ou vert mastic), mais la lumière change sans cesse, et si l’on s’écarte, ou si l’on pivote pour la prendre de biais, la plaque offre et avance des mauves, des bleus, des roses, dans des nuances infinies que les mots échouent à saisir définitivement.
Maud Hagelstein, La catastrophe de la couleur, in Ann Veronica Janssens, Grand Bal, pp. 282-288
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hcdahlem · 1 year ago
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Comme si de rien n'était
On retrouve Barbara Abel au meilleur de sa forme. Dans ce thriller qui démarre par la découverte d'une femme assassinée avec violence, elle explore les liens entre les différents protagonistes ce cette affaire bien mystérieuse.
    En deux mots Madame Moreau a été retrouvée morte dans son lit, la tête fracassée par un gros galet. Pour les voisins, c’est la stupéfaction, car les Moreau étaient une famille sans problèmes. C’est en fouillant le passé des protagonistes que l’on va découvrir les clés de ce drame. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Un féminicide qui cache bien des secrets On retrouve Barbara Abel au…
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fessee-erotique · 7 months ago
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La fêlure du désir, béante et recommencée, un éternel retour où s’érige l’obsession : boucle d’un appel charnel qui ne cesse de renaître, chaque fois plus ardent, chaque fois plus vorace.
Photo by Maria Krugovaya
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abridurif · 10 months ago
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Plus encore que les hommes, plus que les feddayin au combat, les femmes palestiniennes paraissaient assez fortes pour soutenir la résistance et accepter la nouveauté d’une révolution. Elles avaient déjà désobéi aux coutumes : regard direct soutenant le regard des hommes, refus du voile, cheveux visibles quelque fois complètement nus, voix sans fêlure. La plus courte et la plus prosaïque de leur démarche était le fragment d’une avancée très sûre vers un ordre nouveau, donc inconnu d’elles, mais où elles pressentaient pour elles-mêmes la libération comme un bain et pour les hommes une fierté lumineuse. Elles étaient prêtes à devenir à la fois l’épouse et la mère des héros comme elles l’étaient déjà de leurs hommes. Dans les bois d’Ajloun, les feddayin rêvaient peut-être de filles, il semble plutôt que chacun dessinât sur lui-même ou modelât par ses gestes – une fille collée contre lui, d’où cette grâce et cette force – avec leurs rires amusés – des feddayin en armes. Nous n’étions pas seulement dans l’orée d’une pré-révolution mais dans une indistincte sensualité. Un givre raidissant chaque geste lui donnait sa douceur. Jean Genet, « Quatre heures à Chatila », in L’Ennemi déclaré, Gallimard, 1991
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younisos · 2 years ago
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Aime-moi, me dit-elle enfonce ton mal en moi profond tout au fond de mes entrailles ahuries,
ma rectale fêlure te boit, mon amour, gémit-elle…
ouvre mon étroitesse bien profond, viens tout au fond de mes boyaux, me dit-elle.
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orageusealizarine · 9 months ago
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Renoncez à toute espérance.
Le ciel assombri dans mes yeux se répandra dans vos veines - et mes lèvres à vos lèvres… poison froid, ciels immenses… reflétés dans vos paumes. Désert noir et silence.
Débris d'étoiles, vous reculerez. Devant mes baisers passionnés. Au goût amer de mort, au goût amer de joie - détrempée de vous avoir… eu… entre mes bras. De vous avoir et de vous élancer, de vous mâcher - et de vous égarer… Dans mes immensités.
Où personne… ni rien… Abîme torride… vous m'entrouverez… au plaisir, aux soirées… passées… dans vos étés… sur mes soleils brisés. Quelle nuit ! Infinie…
Renoncez à toute espérance.
Les fêlures et les rêves ! Au bord de mes poignets et la sueur à vos hanches diaprées. Des vapeurs, mon amour… Prenez mes mains, prenez-moi toute - je me plie à vos gestes, je m'enfreins.
Vous connaîtrez la grâce - mais je suis désertée - les fleurs ont ruisselé de mon corsage ouvert et je suis dans vos mains… accablée… et ravie.
J'éclaterai en frissons au long de mes fissures - si rien ne me retient… si je m'ouvre à l'enfer. Mes étreintes ont atteint un degré inconnu - j'ai donné la jouissance. Et j'expire à mon tour un crépuscule - inapaisable - et ma vie est voilée - mais vous êtes là... et je reste... à vous aimer. Malgré mes déserts et mes atrocités.
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lisaalmeida · 1 year ago
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Usure des coeurs
On se fait la cour, on se fiance,
On se marie, on nage dans le bonheur.
De petites fêlures apparaissent .
On les néglige.
Elles grandissent, puis se stabilisent.
On vit avec.
Un jour, un heurt stupide dévoile la fissure irréparable.
On se met d'accord pour la cacher. On la bouche n'importe comment.
Les contemporains qui semblaient indestructibles, s'évanouissent, un par un, dix par dix.
On se retrouve tous deux, séparés et proches.
On se fait souffrir pour se sentir encore vivre.
On se serre un peu pour avoir moins froid.
Trop tard. L'un des deux lâche la rampe.
L'autre reste là, vacant, désaffecté, remâchant ses torts et fabriquant ses remords.
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