#fatigue nerveuse

[fitnessmith]

Surentraînement ou stress chronique ? Le TEST pour se remettre en forme

NOUVEAU : Surentraînement ou stress chronique ? Le TEST pour se remettre en forme

Vous venez de changer de travail, il est plus stressant ou plus physique et vous avez du mal à récupérer ? Vos entraînements se font de moins en moins intenses à cause d’une fatigue nerveuse ? Peut-être que vous êtes, comme il m’est arrivé il y a quelques temps, en période de surmenage ou de surentraînement sans le savoir. J’ai rencontré la difficulté de faire la différence entre un épuisement dû…

[ernestinee]

J'ai fait une nouvelle tasse pour compléter petit à petit la série des tasses jaunes-dedans, mon petit plaisir du matin c'est d'aller trouver les fruits un peu plus mûrs que la veille et les manger au petit déj, et heu j'ai fait une chauve-souris en céramique elle est un peu foirée mais je l'aime bien on dirait un chauve-cochon.

Par contre j'ai proposé à une amie de faire avec moi la formation en bégaiement que j'ai achetée et elle a accepté bien sûr mais elle n'est pas dispo maintenant et du coup c'est frustrant je l'attends pour commencer et en fait je crois que je vais commencer sans elle et que ça ne fera pas de tort de voir les cours deux fois.

Je me suis réveillée cette nuit pour me demander de quelle couleur sera la troisième tasse jaune-dedans, j'ai aussi fait une sorte de cauchemar que je faisais quand j'étais très jeune, à savoir un livreur qui frappe fort à la porte, j'ouvre et il a une taille démesurée et il veut absolument vérifier une ampoule dans la maison et il force le passage et au lieu de vérifier l'ampoule, il commence à taper dans les murs et les murs se rapprochent. Je suis de nouveau dans une période avec beaucoup d'introspection et je me dis que j'ai peut-être touché une corde sensible puisque même les cauchemars d'il y a 30 ans se repointent. Il faudrait que j'exploite ça mais je ne sais pas trop comment.

Je suis fatiguée. En gros tout va bien mais ma fatigue m'empêche de profiter, j'appréhende les événements dans lesquels je me suis engagée et qui pourtant vont me plaire, parce que j'appréhende la fatigue physique et sociale que ça va m'apporter. Je suis fatiguée nerveusement et physiquement par le boulot, par le probable covid dont j'ai du mal à sortir, par Nougat qui ne supporte pas Oreo et Muffin, du coup il a sa pièce à lui pour la nuit, du coup il gueule dès 4h du matin parce qu'il en a marre d'être seul. Je ne sais plus poser mon attention, je dois mettre des rappels pour tout, j'oublie mon thé, mon pc, mon tel, l'horaire, les changements d'horaires, les anniversaires, les courses, et j'en ai marre de ce temps pourri. Je ne lis pas assez et pourtant je suis dans le troisième tome de mon livre préféré de tous les temps.

Les examens de l'ado commencent lundi, il a l'air plus investi que les autres années et aussi plus autonome du coup je suis plus sereine pour l'instant, c'est un peu bizarre que les examens soient le truc le moins lourd du moment enfin on en reparle dans quelques jours.

[guerir-anxiete]

Fatigue à cause de l'anxiété : guide complet pour s'en sortir et retrouver l'énergie

Imaginez commencer chaque journée avec un sentiment écrasant de fatigue, comme si chaque minute était un marathon émotionnel. Cette fatigue nerveuse, amplifiée par le stress et l’anxiété, peut transformer même les tâches les plus simples en défis insurmontables. Les symptômes physiques comme les palpitations cardiaques, les douleurs musculaires et les maux de tête se mêlent à des troubles du…

[yes-bernie-stuff]

« Pierre et ses compagnons étaient appesantis par le sommeil » (Luc 9 :32). « Il ne savait ce qu’il disait » (Luc 9 :33).

Voyez-vous, les disciples ont lutté contre le sommeil, et lorsqu’ils ont assisté au miracle de la transfiguration, Pierre a pris la parole, et ce qu’il a exprimé n’était pas sensé. Il lui est arrivé ce qui a dû vous arriver, ce qui m’est aussi arrivé : lorsque nous sommes fatigués, nos pensées ne sont pas des plus raisonnables. 

Pour Pierre, la pensée qui lui a traversé l’esprit, alors qu’il était épuisé, n’était pas une bonne pensée. 

Ne lui jetons pas la pierre ! Il m’est arrivé d’avoir l’esprit encombré de pensées négatives, mauvaises, parfois dévastatrices de paix, alors que j’étais très fatigué. 

Dans le livre de la Genèse, il nous est dit : « Ésaü revint des champs, accablé de fatigue » (Genèse 25 :29). Il désire manger du ragout de lentilles préparé par Jacob. Ce dernier lui propose un troc : « Vends-moi aujourd’hui ton droit d’aînesse » (verset 31). Et là où l’on voit que les pensées d’Ésaü ne sont pas claires, à cause de sa fatigue, c’est qu’il dit : « Voici je vais mourir, à quoi me sert mon droit d’aînesse » (Verset 32). Il pense qu’il va mourir, ses pensées sont perturbées par son état de grande fatigue !

Comme pour Ésaü, il peut nous arriver d’être dans un état de fatigue physique ou intellectuelle, et c’est alors que toutes sortes de pensées incohérentes, malsaines, viennent prendre place dans notre tête. Il se peut qu’à ce moment-là, nous soyons dans l’incapacité de nous concentrer sainement sur les situations que nous traversons, et que nos pensées nous conduisent à faire de mauvais choix. 

Pour garder des pensées apaisantes, sereines, positives, il convient de savoir mener une vie équilibrée, savoir donner du repos à notre corps et à notre esprit. Il faut apporter à nos corps les nutriments nécessaires à une vie équilibrée. L’épuisement peut conduire à des pensées négatives génératrices de dépression nerveuse. Pour garder les idées claires et des pensées constructives, apprenons à nous reposer autant que nécessaire, mais également, pas plus que nécessaire !

Prenez le temps de vous arrêter un instant. Rechargez les batteries, autant physiquement que spirituellement. Sommeil, nourriture équilibrée, méditation de l’Écriture, communion avec le Seigneur, sont autant de moyens mis à votre disposition, afin que vous rechargiez vos batteries, et que vos pensées soient saines.

« Seigneur, donne-nous la sagesse de ne pas aller jusqu’à l’épuisement afin de garder des pensées équilibrées et saines ! Dans le nom de Jésus ! Amen ! »Avec amour, Paul

[christophe76460]

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Matthieu 11:28

La fatigue est le mal du siècle. Le mot anglais “burn-out” (surmenage, épuisement) apparaît souvent dans les diagnostics médicaux. Cette fatigue serait-elle la conséquence de notre vie moderne trépidante, de tous nos soucis quotidiens ou récurrents, et de tant de difficultés qui nous assaillent ?

Lorsque Jésus était sur la terre, il avait envoyé ses disciples en mission prêcher la bonne Nouvelle (Marc 3. 14, 15). Même s’ils le faisaient avec joie, ils étaient certainement fatigués par ces activités qui demandaient beaucoup d’énergie. Jésus, qui connaissait tout, savait que ses disciples avaient besoin de repos, d’encouragement et de réconfort en passant du temps près de lui. C’est pourquoi il leur dit : “Venez à l’écart dans un lieu désert, et reposez-vous un peu” (Marc 6. 31).

Pour chacun de nous, ce monde agité fatigue et peut même nous exténuer nerveusement et psychiquement. Le Seigneur Jésus désire que nous trouvions le repos de notre âme, même si nous sommes chargés ou déprimés, et il veut que nous nous approchions de lui. À la croix, il a expié nos péchés pour que Dieu nous accorde son pardon. Maintenant il désire soutenir ses enfants, les encourager malgré toutes les difficultés qu’ils connaissent, la dépression qui les ronge, le découragement qui les envahit… Laissons-le porter nos charges. “Rejetez sur lui tout votre souci, car il prend soin de vous” (1 Pierre 5. 7). Faisons-lui confiance, il fera descendre la paix dans notre cœur.

[manue-ringo]

Chapitre 118 : Michael Patrick

Depuis l’épisode désastreux avec Blevins, l’agent Parker s’était repliée sur elle-même. Cloîtrée chez elle, elle avait disparu des radars, coupant tout contact avec le reste du monde. Skinner avait tenté de la joindre à plusieurs reprises, d’abord par inquiétude, puis par frustration. Il avait tout essayé pour la convaincre de reprendre du service, mais ses mots s’étaient heurtés à un mur de silence. Pendant ce temps, Mulder et Scully continuaient tant bien que mal leur travail sous la surveillance constante de Skinner, l’esprit lourd d’inquiétude. Ils craignaient que Parker ne sombre définitivement. Mulder, en particulier, ressentait une angoisse qui le rongeait depuis des jours, une peur sourde qu’il dissimulait mal.

Ce matin-là, au 876 Briar Road, là où l’agent Parker vivait, quelqu’un lui rendit visite. Assise dans son salon, elle fixait le sol, les pensées éparpillées, la présence de l'homme à ses côtés n'apportant qu’un réconfort passager. C’était un ancien ami qu’elle avait retrouvé récemment, quelqu’un avec qui elle espérait apaiser ses tourments. Mais même lui ne parvenait pas à dissiper les nuages d’incertitude qui l'enveloppaient.

Lorsque la sonnette retentit, Parker leva à peine les yeux, laissant échapper un soupir d’agacement. Elle se tourna vers son ami, sa voix teintée d’une lassitude palpable.

Tu veux bien aller ouvrir, s'il te plaît ? Demanda-t-elle, sa voix traînante trahissant une fatigue émotionnelle plus profonde que la simple paresse.

Michael, allongé nonchalamment à ses côtés, haussa un sourcil.

Tu attends de la visite ? Répondit-il, surpris par l’heure matinale et le ton tranchant de Parker.

Bien sûr que non. Va voir qui c'est et débarrasse-toi-en. Rétorqua-t-elle, irritée, comme si chaque interaction avec le monde extérieur n’était qu’un poids de plus à porter.

L’ombre d’un sourire ironique effleura les lèvres de Michael.

C'est comme si c'était fait. Dit-il avec assurance, se levant en étirant ses muscles d’un air décontracté, comme un prédateur se préparant à la chasse.

Michael se leva avec un sourire satisfait, amusé par l’autorité soudaine de Parker. Il aimait jouer les chevaliers servants, même si, en réalité, il n’était qu’une diversion pour elle. Il marcha d’un pas confiant vers la porte et l’ouvrit d’un geste assuré. Son sourire disparut cependant lorsqu’il croisa le regard de l’homme qui se tenait sur le seuil. Mulder. Les deux hommes se dévisagèrent, leurs regards se défiant silencieusement, une tension immédiate s’installa.

Hum… j’espère que je ne dérange pas. Mon nom est Fox Mulder. Je travaille avec Parker. Je suis… son équipier. Elle est là ? Demanda Mulder, sa voix trahissant une légère hésitation, mal à l’aise devant l'hostilité palpable de l’homme qui lui faisait face.

Michael haussa un sourcil, un sourire narquois se dessinant lentement sur ses lèvres. Le nom « Mulder » résonna en lui comme une menace subtile. Il savourait cette opportunité de tester cet homme, de le déstabiliser, même s’il sentait que ce dernier restait étrangement calme.

Ah, je vois. Dit-il en le jaugeant du regard.

Fox Mulder, hein ? Vous pouvez me montrer votre badge, s'il vous plaît ? Juste une précaution. Dit-il, presque avec condescendance.

Oh, bien sûr. Répondit Mulder en fouillant nerveusement dans sa poche, ressentant la tension croissante entre eux.

Mulder sortit son badge, un sourire nerveux flottant sur ses lèvres, mais ses yeux ne lâchaient pas ceux de Michael. Ce dernier s'approcha pour vérifier de plus près son insigne, ses yeux remontant lentement le long de la silhouette de Mulder, prenant soin de noter qu'il le dépassait d'une bonne tête, le dominant physiquement. Ce détail semblait attiser une colère sourde chez Michael : une rivalité latente, peut-être même une jalousie qu’il ne parvenait plus à contenir, comme une blessure à son égo.

Parfait. Enchanté de vous rencontrer… Fox. Lâcha-t-il avec une fausse courtoisie.

Au fait, je suis Michael Patrick. Son petit ami. Ajouta-t-il en accentuant les deux derniers mots, tendant la main avec un sourire satisfait.

Mulder, tentant de rester impassible, serra la main de Michael, son regard vert perçant ne le quittant pas. Michael, malgré son attitude fanfaronne, commençait à perdre contenance sous la pression silencieuse de Mulder. Il enchaîna, la voix légèrement tremblante :

C'est drôle… Je ne vous imaginais pas du tout comme ça.

À cet instant, Parker apparut dans l’encadrement de la porte, les yeux écarquillés de surprise. Elle semblait troublée, comme si la vue de Mulder la ramenait brutalement à la réalité qu'elle fuyait depuis des jours.

Qu’est-ce que tu fais là ? S'exclama-t-elle, la voix empreinte de reproche.

Tu m'expliques ? Tu ne peux pas débarquer comme ça sans prévenir !

Je suis désolé, mais il faut absolument que je te parle. C'est important. Répondit Mulder avec une gravité qui ne fit que renforcer l'inquiétude de Parker.

Elle se mordilla nerveusement la lèvre, une habitude qu’elle avait lorsque la situation lui échappait.

Tu aurais dû m’appeler avant. Dit-elle d’un ton sec.

J'espère pour toi que c'est urgent. Michael, tu pourrais nous laisser quelques minutes, s'il te plaît ?

Michael, les sourcils froncés, jeta un regard froid à Mulder avant de s’incliner vers Parker. Il murmura à voix basse, le ton lourd de sous-entendus :

Il a plutôt fière allure pour un loser. Je devrais rester sur mes gardes, tu ne crois pas ? À plus tard, mon amour. Susurra-t-il avant de déposer un baiser sur son front.

Parker soupira, exaspérée, tandis que Michael s’éloignait en lançant un dernier regard furieux à Mulder, comme un avertissement muet. Mulder, impassible, se contenta de répondre par un signe de tête, mais l’hostilité dans ses yeux ne laissait aucun doute sur ce qu'il pensait de Michael.

C'est quoi son problème ? Demanda-t-il, sa voix trahissant un mélange de mépris et d’amusement.

Parker haussa les épaules, visiblement mal à l’aise. Elle répondit d’un ton glacial :

Ne fais pas attention à lui. Répondit Parker, agacée.

Il est comme ça avec la plupart des mecs avec qui je travaille. Il est... Possessif.

J’ai vu ça… Qu'est-ce que tu lui as dit sur moi ? Interrogea Mulder, la méfiance transparaissant dans sa voix.

Rien d’important. Bon, de quoi voulais-tu me parler ? Dit-elle, tentant de retrouver son calme malgré la tension qui s’installait.

Mulder jeta un coup d’œil à l’intérieur de l’appartement avant de proposer doucement :

On serait peut-être mieux à l’intérieur pour discuter.

Parker eut un rire amer.

Tu as sacré culot, après le désastre que tu m’as laissé !

Mulder soupira, le poids de la conversation à venir pesant lourd sur ses épaules.

D'accord, écoute. C'est justement de ça que je veux te parler.

Elle croisa les bras, la défiance dans son regard, attendant impatiemment ses explications.

Ah oui ? Vas-y, je t'écoute.

[zestdinfo]

Le lien étroit entre sommeil et épilepsie : « Je dois faire super attention à mon sommeil alors qu'avant je m’en fichais »

Le témoignage de Théo Caruso, 23 ans, met en lumière les défis quotidiens auxquels sont confrontés les jeunes épileptiques, en particulier en ce qui concerne le sommeil. Son histoire souligne l'importance de la gestion de la maladie et de l'adoption de bonnes habitudes pour améliorer la qualité de vie et réduire la fréquence des crises.

Chaque individu est touché de façon unique par la maladie, elle rassemble un tas de facteurs différents. Photo illustration DR.

À 23 ans, Théo Caruso vit avec l'épilepsie depuis ses 17-18 ans. Le Messin raconte son parcours avec la maladie et l’importance du sommeil dans son combat au quotidien.

Avant chaque crise, Théo ne ressent aucune différence dans son sommeil. "Le sommeil ne change pas avant que je fasse une crise," explique-t-il. "C'est comme si j'allais faire une journée normale." Cependant, après une crise, c'est une autre histoire. "La crise va me prendre tellement d’énergie pour plusieurs jours. Je suis KO, et après je dors comme si j'avais fait une séance de sport intensive." Une crise lui prend toute son énergie.

Des crises dans le sommeil

Les crises peuvent survenir pendant le sommeil, bien que Théo n'en ait pas conscience. "Mes amis m’ont déjà vu en faire, je ne savais même pas," précise le jeune homme. Louis, un ami proche, se souvient d'un épisode particulièrement perturbant aux débuts de la maladie de Théo. "Il venait d’être diagnostiqué et prenait des médicaments qui n’étaient pas tout à fait adaptés. Un jour après une soirée, je me réveille à cause d’un bruit et je vois Théo torse nu, debout dans l’appartement. Il allait dans tous les sens et était irrationnel dans ses propos.» Cette crise aurait duré près de deux heures. Louis a mis longtemps avant de me rendre compte de ce qu’il se passait. Il n’a pas su gérer. «C’était terrifiant.»

Des facteurs déclencheurs

Les crises d'épilepsie du jeune homme peuvent être déclenchées par divers facteurs, notamment la fatigue et l'exposition à des lumières vives. Il admet également que ses habitudes de jeu nocturnes n'ont probablement pas aidé sa condition. "Je suis un peu insomniaque depuis toujours. J’ai du mal à m'endormir, je m'endors entre 1h30 et 3h du matin, peu importe que j'ai fait la fête ou que je travaille le lendemain."

Il existe des facteurs génétiques à l’épilepsie, mais Théo pense que sa photosensibilité et ses sessions prolongées de jeux vidéo dans le noir sont les vecteurs de sa condition. "J'étais dans le noir complet et je jouais des heures jusqu'au bout de la nuit. Après c’est compliqué de savoir exactement d’où ça vient."

Une fois diagnostiqué, que se passe-t-il ?

Pour gérer sa maladie, Théo consulte un neurologue tous les six mois et ajuste constamment ses médicaments pour trouver le traitement le plus efficace. Aujourd’hui, il est traité au Lamital (un médicament inhibant la libération du glutamate dans le cerveau, une substance impliquée dans le déclenchement des crises d'épilepsie). Les médicaments sont nécessaires et essentiels mais ils ne sont pas une solution miracle.

L’hygiène de vie compte énormément au quotidien. "Je dois faire super attention à mon sommeil alors qu'avant je m’en fichais, je pouvais faire nuit blanche sur nuit blanche. Si je fais une nuit sans dormir, le lendemain je ne me sentirai vraiment pas bien", confie le jeune homme. Par exemple, lorsqu’il connaissait encore mal la maladie, une nuit, après une soirée, Théo décide d'attendre le prochain train du matin. En chemin vers la gare, il a eu une crise. Cette expérience lui a montré l'importance de maintenir un train de vie plus stable pour éviter les crises.

Mieux comprendre l’épilepsie : le point scientifique

D’après la définition du Larousse, l’épilepsie correspond à une «affection caractérisée par la répétition chronique de décharges (activations brutales) des cellules nerveuses du cortex cérébral». Photo DR

D’après le site officiel Ameli.fr, l’épilepsie est « une affection neurologique caractérisée par des crises récurrentes et imprévisibles résultant d'une activité électrique cérébrale anormale ». Les crises d'épilepsie peuvent se manifester de différentes manières, allant de « brèves absences de conscience à des convulsions sévères ».

Le diagnostic de l'épilepsie repose sur un examen clinique détaillé et des témoignages de l'entourage du patient. Des examens complémentaires, tels que l’électroencéphalogramme (EEG), l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et des analyses biologiques, sont souvent nécessaires pour confirmer le diagnostic et en identifier la cause.

Sommeil et maladie : quel rapport ?

Comme l’indique l’article « Le lien étroit entre le sommeil et l’épilepsie » publié par SOSoxygene, le sommeil et l’épilepsie entretiennent une relation « complexe et bidirectionnelle ». Les troubles du sommeil peuvent exacerber les crises d’épilepsie, tandis que l’épilepsie peut perturber les cycles de sommeil. Les crises nocturnes, ou les crises qui surviennent pendant le sommeil, sont courantes et peuvent passer inaperçues.

D’après FondationSommeil.com « Chez certains, les crises ne se déclencheront que durant le sommeil. » Par ailleurs, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité est un « facteur déclenchant bien connu des crises épileptiques ». Une bonne hygiène de sommeil, comprenant des horaires de sommeil réguliers et des environnements de sommeil propices, est cruciale.

Angèle Poillet

[omagazineparis]

Végétariens, limitez les risques de carence en vitamines B12

L’apport en Vitamine B12 est vital dans notre alimentation. En supprimant la viande dans leur régime, les végans et végétariens s'exposent à un risque de carence non négligeable, envers ce nutriment exclusivement présent chez les animaux. La pression environnementale sur l’impact de notre consommation de viande et de poisson induit un changement de régime alimentaire notable pour nombre d’entre-nous. Conscients ou non, nous sommes + de 35 % à tendre vers le flexitarisme. Cette tendance implique des risques de carence, surtout concernant la vitamine B12. Si on recense 1 à 2 % de la population en insuffisance de ce nutriment, qu’en est-il des végétariens et végans ? Souffrez-vous d’une carence en vitamines B12 ? Que nous apporte la vitamine B12 ? Nécessaire au bon fonctionnement des cellules nerveuses et de la formation de globules rouges dans le sang, la vitamine B12 joue un rôle clé pour prévenir des maladies cardiovasculaires. Pour remplacer les viandes et poissons de leur source alimentaire, les végétariens et végans se réfugient vers les plantes et laitages pour subvenir à leurs besoins en nutriments. Sauf que la coenzyme y est inexistante ou en trop faible quantité.  Comment traiter un manque de coenzyme B12 ? Parce que notre corps possède une réserve naturelle en vitamines B12, il est difficile d’anticiper son absence. C’est pourquoi, selon les personnes, elle peut survenir après quelques mois jusqu’à quelques années de véganisme. Le manque de cette coenzyme peut se manifester par des symptômes anémiques. Tels que : fatigue, faiblesse, palpitations, tremblement, engourdissement, perte de mémoire ou trouble d’humeur…  Des signaux souvent mal interprétés ou banalisés. Alors comment s’en assurer ? La seule solution consiste à un test sanguin ou urinaire. Méfiance toutefois sur ces tests ! Ils ne distinguent pas la vitamine B12 de ces molécules analogues inactives comme la spiruline ou le tempeh. Préférez les analyses des taux d’homocystéine ou d’acide méthylmalonique dans le sang ou l’urine. Une fois les résultats en main, consultez un professionnel et/ou médecin qui vous conseillera le traitement adéquat. Se fournir avec des aliments enrichis en cobalamine Il existe diverses façons de se procurer cette biomolécule complexe : Les viandes, le poisson, les crustacés, les œufs et les produits laitiers sont les principaux générateurs de vitamine B12. De ces denrées, les magasins spécialisés peuvent vous fournir des “aliments enrichis”. Il s’agit de boisson au soja, levure alimentaire, les céréales à déjeuner et d’algues comme la chlorella. Cette dernière est scientifiquement reconnue par les scientifiques, contrairement au Nori et la spiruline. Les suppléments sont composés des molécules contenant de la cobalamine. Et se nomment cyanocobalamine, hydroxocobalamine, méthylcobalamine et adénosylcobalamine. Vous trouverez facilement une boutique bio et diététique ou un magasin spécialisé proposant des suppléments nécessaires aux carences alimentaires. Autrement, les pharmacies délivrent des suppléments sous forme de gélules ou ampoules. Quelle quantité de vitamine B12 consommer ? Les normes sur la quantité de vitamine B12  sont généralement compris entre 200 et 270 µg/ml.  Au-dessus de 270, votre taux est bon, alors que sous la barre des 200, vous êtes en carence . Il est recommandé d’ingérer 2,4 µg/jour. Afin de vous rapprocher de ces normes, la posologie selon les suppléments sera différente. - 3 µg sur 2 ou 3 repas/jour en aliments enrichis. - 10 à 25 µg en une prise/ jour pour les suppléments. - 2000 µg en une fois/ semaine pour les ampoules délivrées en pharmacie. Retrouvez plus d’informations sur les compléments dans cet article dédié aux dosages de vitamines B12 Les risques face à un taux mal suivi L’apport en vitamine B12 est à prendre au sérieux. Il est important de faire régulièrement suivre votre taux par un médecin pour plusieurs raisons :  - Le changement physiologique qu’induit l’apport en vitamine B12. Les globules rouges augmentant, votre taux de fer doit également être régulé pour équilibrer l’osmose des nutriments au début du traitement. - Après les premières cures, le taux d'absorption diminue naturellement.  - La carence en vitamines B12 augmente avec l’âge car la facilité d’absorption diminue d’avantage au-delà de 50 ans.  - Attention à certains médicaments, comme pour ceux du diabète type 2 et d’autres maladies qui interfèrent avec ce nutriment. - En plus d’engendrer des maladies cardiovasculaires et d'Alzheimer, toute négligence peut, dans le plus sévère des cas, entraîner un cancer du col de l’utérus, des malformations de naissance et la fragilisation osseuse. Si la vitamine B12 peut facilement se substituer par des cures de compléments alimentaires, il reste indispensable de surveiller son taux de cobalamine, afin de prévenir un déficit irréversible face à certaines maladies. Cette vitamine hydrosoluble n’est pas le seul nutriment suspecté de manquer lors d’un régime végétal. La protéine, également présente dans la viande animale, est-elle un autre danger pour les adeptes de véganisme ? Read the full article

[laedylart]

WW Ganondorf

En définitive, mon incroyable accumulation d’heures supplémentaires au taff a enfin pu m’offrir autre chose que des crises nerveuses et une fatigue sans fin.

Je souhaitais cette magnifique figurine collector de mon Ganondorf préféré depuis si longtemps! Maintenant la voilà !!

[jeanmagace-sante-plantes]

57 - Magnésium : l’erreur n°1 commise par les médecins

Les médecins prescrivent volontiers du magnésium.

Ils connaissent son importance pour :

Limiter le développement des cellules cancéreuses : les chercheurs ont noté que le magnésium aurait la capacité de réduire la résistance à l'insuline, ce qui peut ralentir le développement des tumeurs.

* Freiner l’inflammation en cas d’arthrose: en examinant 2112 personnes de plus de 45 ans, des chercheurs de l’université américaine de North Carolina ont identifié un lien étroit entre la faible consommation de magnésium et une inflammation importante causant l’arthrose.

* Réduire les risques en cas d’infarctus: l’injection de magnésium fait partie des premiers gestes qui sauvent car elle augmente de 55% les chances de survie.

* Traiter la fatigue chronique, les douleurs, la fibromyalgie : les patients ont pu inverser tous ces problèmes simplement en prenant un complément alimentaire de magnésium.

* Diminuer les risques de fragilité osseuse:. si vous manquez de magnésium, vos os deviennent moins solides. Leur densité diminue. Le rythme de renouvellement de vos cellules osseuses ralentit.

* Limiter les risques d’hypertension, de glycémie, de troubles de la mémoire…

Le problème est que la plupart des professionnels de santé commettent cette grave erreur : ils prescrivent une forme de magnésium que votre corps n’assimile pas.

J’y reviens juste après.

Quel que soit le problème de santé qui vous inquiète, une cure de magnésium vous permettra certainement de vous sentir mieux.

Le magnésium est le quatrième minéral le plus abondant dans votre corps et surtout, il est vital à tous les niveaux :

Votre coeur en a besoin pour battre.

Votre cerveau en a besoin pour commander tous les systèmes de votre corps

Vos os en ont besoin pour rester solides.

Vos muscles en ont besoin pour être à la fois forts et détendus.

Vos intestins en ont besoin pour bien digérer.

Votre foie en a besoin pour détoxifier votre organisme.

Vos cheveux et votre peau en ont besoin pour garder leur éclat.

Vos articulations en ont besoin pour rester saines et indolores.

Sans cette étincelle qu’est le magnésium, vos cellules ne peuvent plus respirer, vivre, travailler.

Sans cette étincelle, plus aucune vie n’est possible.

Si vous manquez de magnésium, même un peu…

votre cerveau tourne au ralenti.

Vos muscles s’affaiblissent.

Vos os se fragilisent.

Vos articulations deviennent douloureuses.

Votre coeur et vos artères sont en danger.

Votre stress augmente.

Plus inquiétant encore : ces signes peuvent annoncer des maladies graves. Un manque de magnésium augmente les risques de tumeurs malignes, de problèmes cardiaques, de douleurs articulaires, d’ostéoporose augmente les risques de tumeurs malignes, de problèmes cardiaques, de douleurs articulaires, d’ostéoporose et de troubles de la mémoire.

Voilà pourquoi un déficit en magnésium doit être pris au sérieux.

Dans vos cellules, le magnésium produit une énergie phénoménale

En étant cette étincelle qui crée l’énergie cellulaire, le magnésium aide votre corps à mieux :

- Lutter contre toutes les maladies associées au vieillissement : vos cellules réparent mieux les dégâts provoqués par le le stress, la pollution, l’oxydation, l’inflammation et les perturbations de votre ADN.

- Réguler votre sytème nerveux, votre métabolisme, votre système hormonal : vos cellules nerveuses transmettent mieux les messages qui vont de votre cerveau vers votre corps et inversement. Vous avez plus d’énergie mentale. Vous dormez mieux. Vous êtes plus alerte. Bref, vous vous sentez mieux dans votre corps et votre tête. Quant à vos cellules musculaires, elles se contractent et se relaxent mieux. Vous avez moins de douleurs et plus de tonus.

- Faire fonctionner 700 à 800 processus enzymatiques dans votre corps selon le Dr. Andrea Rosanoff, l’un des plus grands spécialistes du magnésium.

- Activer les processus de guérison et de régénération cellulaire. Vos cellules immunitaires produisent plus de défenses naturelles. Vous tombez moins malade et vous guérissez plus vite.

- Détoxifier votre corps et métaboliser de nombreuses molécules vitales comme le calcium, la vitamine D, le glutathion.

Pour toutes les raisons que nous venons de voir ensemble, les nutritionnistes conseillent de prendre, chaque jour, une petite dose de magnésium en complément alimentaire

Et ce conseil est valable pour une grande majorité d’entre nous puisque 3 Français sur 4 manquent de magnésium !

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le magnésium est LE complément alimentaire le plus souvent prescrit par les médecins…

Mais attention car tous les magnésium ne se valent pas.

Dans les compléments alimentaires de magnésium les plus prescrits, on retrouve le chlorure, le sulfate, le carbonate, l’oxyde (le fameux « magnésium marin ») ou l’hydroxyde de magnésium. On parle de magnésium « inorganique ».

Peut-être que vous en avez déjà pris par le passé et que vous avez été déçus des résultats ?

Ce n’est pas étonnant.

Car ces formes de magnésium sont fortement laxatives. Notre organisme ne les assimile pratiquement pas et elles ne servent donc à rien ou presque.

Parmi les formes supérieures de magnésium, on retrouve

le bisglycinate, un sel de magnésium de 3ème génération

(par opposition aux formes classiques inorganiques et organiques).

NutraMag B6 est une nouvelle forme de magnésium plus évoluée, dite de « 3e génération »

Les études comparatives sur les différentes formes de magnésium montrent que le bisglycinate de magnésium coche toutes les bonnes cases :

Sa teneur en magnésium élément (actif) et sa biodisponibilité sont parmi les plus élevées

Il est bien toléré par l’organisme et vous évitez donc les désagréments parfois causés par d’autres formes de magnésium (effet laxatif, acidification de l’organisme).

L’autre avantage du bisglycinate est que vous n’avez pas besoin d’en prendre en grande quantité. Avec 100 mg par jour, vous complétez vos apports alimentaires avec juste ce qu’il faut, sans surcharger votre organisme inutilement.

Le magnésium bisglycinate étant une forme supérieure de magnésium, il est aussi plus rare. C’est pourquoi vous en trouvez peu en pharmacie.

Juste pour information :

Institut Biovancia

C’est la forme que nous avons privilégiée dans notre formulation NutraMag B6.

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Vie mondaine

La vie mondaine doit figurer parmi les causes possibles du surmènement. Non qu'elle exige nécessairement une dépense exagérée d'activité cérébrale; mais elle expose ceux qui la mènent à des sources multiples de fatigue. Bien ...qu'elle soit surtout à la portée des oisifs, elle laisse peu de temps pour les loisirs reposants du chez soi et pour les distractions calmes et réconfortantes du home. Il n'y a pas, a-t-on dit, de gens plus occupés que ceux qui ne font rien; cet aphorisme est plus vrai que ne porterait à le penser son apparence paradoxale. On n'aura pas de mal à s'en convaincre en se représentant ce qu'est l'existence, dans le milieu parisien surtout, des personnalités lancées, comme on les appelle dans l'argot courant. Le mondain, la mondaine surtout sont absorbés tout le jour par les exigences que leur imposent les conventions et le vain souci de leur réputation : les visites, les dîners, les bals, les soirées leur font une vie de continuelle contrainte et d'obligations sans répit. La mode, qui pour l'heure a introduit chez nous la tendance à copier les habitudes anglaises, et qui momentanément (car toute mode est passagère) a fait entrer dans les moeurs des gens select le goût des promenades au grand air et des exercices de sport dans la matinée, atténue, il faut le dire, dans une certaine mesure, les inconvénients sérieux d'un genre d'existence contraire à toutes les règles de l'hygiène. Elle les atténue, mais ne les supprime pas. Si l'on réfléchit aux conditions de la vie mondaine telle qu'elle se pratique chez nous (et M. Melchior de Vogüé a montré qu'à cet égard la Russie n'avait rien à nous envier), aux excitations de toute sortes dont elle est l'occasion, aux fatigues physiques qu'elle entraîne et qui résultent presque fatalement de l'habitude des repas trop longs et trop copieux, dans des salles souvent surchauffées, des longues veillées, de l'insuffisance du sommeil, au moins du sommeil pris aux heures régulières, on ne s'étonnera pas qu'elle soit fréquemment la cause du développement de l'asthénie nerveuse. On le comprendra d'autant mieux que cette existence toute artificielle et factice entraîne presque nécessairement à sa suite une sorte de surmenage moral qui résulte des efforts mesquins faits pour réaliser les fantaisies de la vanité, ou des vexations d'amour-propre qu'occasionne l'incomplète satisfaction des désirs les moins élevés et les moins nobles. Le souci du rôle utile que chacun peut remplir dans son milieu suivant ses aptitudes et ses facultés, n'est pas seulement un élément de moralisation, c'est à certains égards une condition de santé, et la neurasthénie est souvent la légitime mais regrettable rançon de l'inutilité, de la paresse, ou de la vanité.

Pr. Adrien Proust et Dr. Gilbert Ballet, L'Hygiène du Neurasthénique (Masson & Cie, Paris, 1897) Lorsque le professeur Adrien Proust écrit L'Hygiène du neurasthénique, son fils Marcel a 26 ans.

[reussir-son-management]

Fatigue mentale : 7 leviers pour combattre la fatigue psychologique

Le métier de manager peut se révéler épuisant. Les nombreuses tâches à exécuter ainsi que la pression inhérente à ce métier peuvent amener le manager à connaitre une fatigue mentale importante. Cette fatigue nerveuse, psychique ou encore intellectuelle peut nous assommer et nous exténuer. C’est une fatigue qui dure dans le temps. Elle n’est pas juste passagère. Le manager aura donc de grandes…

[christophe76460]

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Matthieu 11:28

La fatigue est le mal du siècle. Le mot anglais “burn-out” (surmenage, épuisement) apparaît souvent dans les diagnostics médicaux. Cette fatigue serait-elle la conséquence de notre vie moderne trépidante, de tous nos soucis quotidiens ou récurrents, et de tant de difficultés qui nous assaillent ?

Lorsque Jésus était sur la terre, il avait envoyé ses disciples en mission prêcher la bonne Nouvelle (Marc 3. 14, 15). Même s’ils le faisaient avec joie, ils étaient certainement fatigués par ces activités qui demandaient beaucoup d’énergie. Jésus, qui connaissait tout, savait que ses disciples avaient besoin de repos, d’encouragement et de réconfort en passant du temps près de lui. C’est pourquoi il leur dit : “Venez à l’écart dans un lieu désert, et reposez-vous un peu” (Marc 6. 31).

Pour chacun de nous, ce monde agité fatigue et peut même nous exténuer nerveusement et psychiquement. Le Seigneur Jésus désire que nous trouvions le repos de notre âme, même si nous sommes chargés ou déprimés, et il veut que nous nous approchions de lui. À la croix, il a expié nos péchés pour que Dieu nous accorde son pardon. Maintenant il désire soutenir ses enfants, les encourager malgré toutes les difficultés qu’ils connaissent, la dépression qui les ronge, le découragement qui les envahit… Laissons-le porter nos charges. “Rejetez sur lui tout votre souci, car il prend soin de vous” (1 Pierre 5. 7). Faisons-lui confiance, il fera descendre la paix dans notre cœur.

[manue-ringo]

Chapitre 103 : Sentiments dévoilés partie 1

Parker avait minutieusement élaboré un plan pour faire avouer Mulder. Malgré la fatigue qui la rongeait à cause de son traitement contre ses maux de ventre et ses migraines, elle était déterminée à ne rien laisser paraître devant lui. Chaque détail avait été soigneusement étudié : sa tenue, ses gestes, l’endroit de leur rencontre. Elle ne laisserait rien au hasard. Tout devait être parfait. Elle avait choisi la terrasse d’un restaurant chic, prétextant une discussion au sujet d’un dossier concernant le Centre, mais elle savait que l’enjeu était bien plus personnel.

Mulder était nerveux à l’idée de retrouver Parker après ces deux longues semaines d’hospitalisation. Il avait souvent pensé à elle pendant son absence, se demandant dans quel état il la retrouverait. L’idée de ce rendez-vous l’intriguait et l'inquiétait à la fois. Il espérait la revoir en meilleure forme, mais il redoutait aussi ce qu’elle pourrait lui révéler. Arrivé le premier sur les lieux, il consulta sa montre à plusieurs reprises, sentant une légère moiteur dans ses paumes.

Pour tromper son impatience, il observa le magnifique panorama sur le jardin depuis la terrasse. La beauté de l’endroit le frappa, et il se surprit à admirer le choix de Parker. Elle avait fait fort sur ce coup-là, pensa-t-il, un sourire involontaire se dessinant sur ses lèvres. Ses pensées furent brusquement interrompues par l’arrivée de Parker. Elle marchait d’un pas décidé le long du chemin qui longeait le jardin, et lorsqu’elle apparut sur la terrasse, Mulder en eut le souffle coupé.

Elle portait une élégante robe marron qui lui donnait un air chic et raffiné, épousant parfaitement sa silhouette fine et élancée. Son allure dégageait un charisme et une beauté renversante. Mulder tenta de reprendre ses esprits, mais il était déjà sous le charme. Parker, de son côté, se réjouissait intérieurement de l’effet qu’elle produisait. Son plan semblait fonctionner à merveille. En arrivant à sa hauteur, elle le salua avant de s’installer face à lui. Elle déclara d’un ton détaché :

J’espère que l’endroit te plaît. Ça m’a pris un temps fou pour trouver un lieu comme celui-ci. Je voulais être au calme, tu comprends.

Mulder ne l’avait toujours pas quittée des yeux. Il était comme happé par sa présence, par la grâce naturelle qu’elle dégageait. Il se sentit rougir sous son regard, mais s’efforça de garder contenance. Parker, elle, tentait de rester impassible face à l’intensité du regard de Mulder sur elle. Sa gorge se serra légèrement alors qu’elle reprit :

Eh bien, tu n’es pas très bavard aujourd’hui. Tu es sûr que ça va ? Demanda-t-elle comme si de rien n’était, une lueur de défi dans les yeux.

Pardon, j’étais ailleurs. Je… Tu es magnifique. Dit-il sans réfléchir, ses mots lui échappant avant qu’il ne puisse les retenir.

Parker se mordilla nerveusement les lèvres, quelque peu embarrassée, mais un sourire apparut au coin de sa bouche. Elle reprit, en essayant de garder un air sérieux :

Merci, c’est très flatteur. Comme tu peux le voir, je ne me laisse pas abattre. J’en ai fait une force. Je suis une Parker, après tout. On ne se débarrasse pas de moi aussi facilement, vois-tu.

Mulder sentit qu’il avait repris ses esprits et tenta de se rattraper. Un léger rire nerveux échappa à ses lèvres :

Désolé, c’était intentionnel. Ce que je voulais dire, c’est que tu as l’air en très bonne forme. C’est très encourageant. Tu es stupéfiante !

Ils échangèrent un rire nerveux qui allégea brièvement l’atmosphère tendue entre eux. Parker, reprenant son sérieux, s’adossa à sa chaise et fixa Mulder dans les yeux :

Écoute, j’ai quelque chose à te demander. Dit-elle, ses mots pesant lourd de signification.

Mulder se pencha légèrement en avant, intrigué, l’ombre d’un sourire sur les lèvres :

C’est bon, j’ai compris. Tu n’es pas du tout venue pour me parler de ces dossiers, n’est-ce pas ? Qu’est-ce qui te tracasse ?

Pris au dépourvu par la perspicacité de Mulder, Parker se stoppa un moment avant de reprendre la parole, plongeant ses yeux bleus dans les siens :

Je vais être directe. Je veux savoir ce qu’il s’est passé ce soir-là. Et ne me demande pas de quoi je parle, tu as très bien compris.

Le visage de Mulder se figea, une tension palpable envahissant l’espace entre eux. Il ne s’attendait pas à une question aussi frontale, et il tiqua un instant, cherchant ses mots :

Comment tu… ? Commença-t-il avant d’être interrompu par son amie.

J’ai surpris une de vos conversations avec Scully dans un couloir. Dit-elle précipitamment, ses yeux brillants d’une détermination farouche.

Mulder acquiesça, baissant la tête un instant comme pour rassembler ses pensées, puis répondit :

D’accord. Écoute, ce n’est pas exactement ce que tu penses.

Ah oui ? Et à quoi je pense ? Demanda-t-elle en le défiant du regard, ses bras croisés en signe de défense.

Je te connais assez pour savoir comment tu raisonnes. Dit-il simplement, sa voix empreinte de douceur.

Parker fronça légèrement les sourcils, sentant son impatience monter :

Bon, je commence à perdre patience, alors dis-moi tout de suite si on l’a fait, nom de Dieu ! Demanda-t-elle avec une colère contenue, sa voix tremblant d’émotion.

Mulder leva les mains en signe d’apaisement, essayant de calmer le jeu :

Du calme ! Heureusement que nous sommes seuls ici. La réponse est non, rassure-toi. Je te le promets. Dit-il en tentant de garder un air posé, bien que son cœur battît la chamade.

Parker sembla quelque peu soulagée, ses épaules se détendant légèrement. Elle soupira avant de reprendre :

C’est déjà ça. Seulement, il y a un truc qui ne colle pas là-dedans. Ton regard sur moi est différent. Je ne suis pas assez bête pour croire qu’il ne s’est rien passé de sérieux. J’ignore ce qu’on a fait, mais ça a l’air de t’avoir sacrément chamboulé. J’espère que tu t’es bien amusé, car je peux t’assurer qu’il n’y aura rien d’autre après ça. Fin de l’histoire.

Elle détourna le regard, feignant d’admirer le paysage autour d’eux, mais ses yeux trahissaient une certaine vulnérabilité. Mulder, froissé par ses paroles, serra les mâchoires avant de répondre, son ton devenant plus direct :

D’accord, je vais être direct moi aussi. Tu n’as pas idée de ce que j’éprouve pour toi. Avec le temps, j’ai appris à te connaître et au vu de tout ce qu’on a traversé, j’ai réalisé à quel point tu comptais pour moi. Je ne parle pas seulement de ce jeu stupide que nous avons entretenu tout au long de notre collaboration. Bien que ça ait forcément eu un impact sur nous deux, c’est évident. Tu savais très bien que ça ne pouvait pas se finir comme ça. Il y a toujours des conséquences. Tu sais qu’au fond, j’ai raison.

Les mots de Mulder résonnèrent avec une intensité qu’il n’avait pas prévue, et il se rendit compte qu’il avait mis à nu ses émotions sans retenue. Parker, figée par cette déclaration, n’avait toujours pas bougé. Elle gardait son regard fixé sur l’horizon, mais son mutisme en disait long. Mulder sentit son cœur se serrer, mais il continua, son regard accroché à elle avec une détermination féroce :

Ton silence en dit long. Je crois que tu es en train de réaliser aussi que tu ressens la même chose pour moi. Dis-moi quelque chose, s’il te plaît. Je parle sérieusement, Andrea. La partie est terminée. Dit-il, sa voix empreinte d’une vulnérabilité qu’il ne pouvait plus cacher.

Un silence s’installa, lourd de tension et d’émotions inexprimées. Parker sentit une chaleur envahir son visage alors qu’elle luttait pour trouver ses mots, consciente que leur relation venait de franchir un cap crucial.

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“La Culture Physique à la ‘Palestre Nationale’,” La Presse. November 12, 1932. Page 37. ---- La culture physique et l’unité morale. - Les hommes affairésse transforment en maîtres moraux. - Des leçons de vie qui imprègnent toute la vie en général. -Chez les membres de l’A.C.J.C.-Commission du National ---- S’il est vrai que la morale est un ensemble de vertus inculquées par la tradition, les mœurs, les leçons et les exemples, il apparaît que, pour faire prendre des habitudes vertueuses, la culture physique est devenue un précieux adjuvant.

Les ancien disaient: Mens sans in corpore sano. Mais il fallut des siècles, jusqu’à l’épanouissement actuel des siècles, jusqu’à la culture physique pour que l’on s’aperçoive réellement combien le santé physique et la santé morale sont, non seulement, main combien elles sont fonctions l’une de l’autre.

La culture physique, bien utilisée et dirigée est par certain cotés un instrument d’unité morale. La pratique assidue d’un ensemble d’exercise corporels bien concertés facilite la prise de bonnes habitudes morales, dispose à la pratique continue d’un ensemble de vertus mentailes et sociales.

Le rythme des exercices corporel; pénètre l’âme de la beauté du rythme licies exercices spirituels et des actes vertueux. Si l’on transporte du domaine des sports, voire de la simple gymnastique, dans la vie morale, la surveillance minutieuse de soi, l’addition patiente d’efforts répétés et limités dont se compose le total des résultats acquis et des succès,—ces leçons de vie imprégneront toute la conduite en général.

Les bonnes habitudes physiques se prolongent en mérites moraux. Le sense de la continuité, même physique, préne à la coordination des désire et prépare intelligence et la volonté aux tâches les plus longues et les plus hautes. Le geste physique modèle l’âme.

N’a-t-on pas dit que l’usage du pavon conduit à la dignité, au respect èic soi-même et en impose à autrui? .Lessoins que l’on donne au corps sont Ç la fols des égards que l'on se rend iu auxquels on s’accoutume, et le seul Srooyen de savourer la joie d’être une o réature vivant par tous ses pores et le baignant dans le vaste univers.

L’harmonie aisée dans les soins de propreté, puis dans le maintien amène la même sobre harmonie dans les paroles et dans les actions. Des soins corporels bien réglés prédisposent à une conscience dûment réglée. 

Cette sobre harmonie dans les paroles et dans les actions, on la rencontrera chez les membres de la Palestre Nationale.

Cessons d’être des affaiblis et des neurasthéniques “’S’il y a jamais eu une maladie moderne, c’est bien la neurasthénie, car depuis quelques aimées, il y a eu un développement alarmant des tendances neurasthéniques aussi bien chez les hommes que chez les femmes.

Cette tendance peut être attribuée à l’existence moderne. Nous vivons dans une atmosphère absolument différente de celle de nos ancêtres. Nous sommes soumis à des Influences auxquelles Us n’auraient jamais rongé et qu’ils n’auraient pu concevoir. Nous portons atteinte à notre réserve de vitalité, nous engageons notre capital de force et d’énergie; il en résulte que l'épuisement nerveux survient et que les symptômes de la neurasthénie se manifestent. Le mot “neurasthénie" est un terme fort étendu. Il signifie faiblesse nerveuse et mauvaise nutrition de tous les organes; ses symptômes sont aussi variés clans leurs conséquences que ses effets sont fâcheux et déplorables. 

Quelles sont les personnes qui en souffrent? Infailliblement celles, hommes, femmes, qui ont méconnu les lois de la nature; celles qui ont fatigue leur cerveau et leurs nerfs aux dépens de leur corps; celles qui ont soumis leur organisme à un travail forcé sans penser à prendre le soin de récupérer l’énergie nerveuse qu'elles épuisent.

Leurs efforts intellectuels, leurs affaires, leurs devoirs sociaux, leurs soucis et leurs tourments de toutes sortes exigent une dépense anormale de force vitale.

Les luttes de concurrence les surmènent jusqu'au moment où, fatalement, le système nerveux défaille. 

Elles ne font aucune attention et ne prennent aucune précaution afin de ne pas s'écarter des règles de la nature qui maintiendrait leurs facultés nerveuses dans un état normal; il est donc inévitable qu’elles en arrivent à tomber malades.

Dans ce cas, quels sont les symptômes qui se produisent? La migraine, la nervosité, la mélancolie, l'anémie cérébrale, l’irritabilité, la dyspepsie, des crises de nerfs, du cœur, de l’estomac, une faiblesse générale des fonctions organiques, l’insomnie et souvent la folle.

Les neurasthéniques portent sur eux l'empreinte, en quelque sorte, de la maladie. Ils ont toujours l'air fatigué, épuisé, les yeux sont bouffis, le visage est pâle et tiré. Quelquefois il y a amaigrissement, d’autre fois obésité. Us se troublent de peu de chose. Des choses insignifiantes, les agitent et ils se laissent aller à l’anxiété et aux soucis. Dans un état constant d’énervement, ils sont hésitants et craintifs dans leurs moindres actes; ils souffrent des nerfs.

Il n’est pas douteux que la plupart des maladies nerveuses ont pour origine la neurasthénie. Les désordres cérébraux, l’apathie, l’ataxie locomotrice, la névralgie, la paralysie, la faiblesse de la colonne vertébrale sont dus souvent à son Influence déprimante. Chez tout neurasthénique, les fonctions organiques sont entravées. Les organes de la nutrition sont les plus atteins. L'assimilation devient mauvaise, le sang n’apporte plus qu’une nutrition insuffisante au corps. Le sujet présente un aspect générai déplorable, une grande apparence de faiblesse. Souvent les neurasthéniques sont privés d’une partie de leurs facultés visuelles, auditives, tactiles ou gustatives. Ces phénomènes ne sont pas surprenants, puisque toutes les fonction, du corps sont sous la dépendance de l’énergie nerveuse; toute dépression du système nerveux doit donc prévoquer une diminution générale de la vitalité. 

Que faut-il au neurasthénique? 

Récupérer son énergie vitale. Mais comment le malade doit-11 s'y prendre? Comment les forces nerveuses seront-elles recouvrées? Peut-on espérer une complète guérison? La santé physique peut-elle être rendue au malade? et si cela se peut, que faut-il faire? 

C’est là où l’aide d’un professeur de culture physique devient d'une grande utilité pour le malade, homme ou femme. 

Rien n’est plus triste que la vue d’un homme ou d’une femme, autrefois, bien portant, et qu’accable maintenant la neurasthénie. Qu’ils sachent donc que la culture physique leur fera retrouver le contrôle de leurs nerfs, leur activité cérébrale, et cela sans aucun médicament. C’est la certitude d’obtenir des résultats nettement satisfaisants et de fortifier sa constitution suffisamment pour qu’une rechute, soit devenue impossible. 

Vous donnerez de nouveau l'apparence enviable d’un homme en parfaite santé physique et morale, ce qui exige un système nerveux sain et vigoureux. 

Si donc vous souffrez de la neurasthénie, faites seulement un mois de culture physique: après vous ne douterez pas un instant de la possibilité d'obtenir une complète guérison et vous vous rendrez en toute hâte à la Palestre Nationale afin d'y suivre régulièrement nos cours. 

Le “National” enseignera à l’homme ses devoirs Au gymnase de la Palestre Nationale, on enseignera à l’homme qu'il a des Droits, mais qu'il a aussi des Devoirs. Et tous les devoirs qui lui incombent et qu’il reste encore à lui faire comprendre, nul doute qu’il ne faille placer en premier lieu le respect que l'on se doit à sol-mème, tant à son corps qu’à son intelligence. 

Nous sommes loin de compte, car si l'on trouve des Canadiens-français qui songent à cultiver leur cerveau, combien songent à cultiver leur corps, c’est-à-dire à placer leur intelligence dans les meilleures conditions de rendement? Voulez-vous prendre au hasard, dix passants dans la rue et leur demander de vous dire comment, ils se représentent un homme de quarante ans? Tous le conçoivent comme un citoyen dont la période d’activité musculaire est terminée depuis longtemps, comme un homme qui commence à prendre vers la fin tfe sa vie, qui n’a plus  loisir de faire une seule bêtise, s'il veut réussir et qui déchoirait s’il avait conservé la vigueur et la gaieté de la jeunesse. 

A quarante ans, on vous dire qu’un peu de ventre vous donne l'air plus sérieux, qu’un peu de graisse évoque la prospérité dans les affaires, qu’il ne faut pas être maigre, parce qu’on a l’air de ne, pas manger à sa faim. A quarante ans, il s’agit d’être sérieux; fini le rire, fini de remuer. Un homme de quarante ans qui courrait, se déconsidérerait. La Jeunesse est finie, la vieillesse n’est pas si lointaine que cela. 

Nous ne saurions trop nous élever contre cette cireur colossale qui fait d'un quadragénaire un homme fini pou- la vie active et qui n’est plus capable que de faire marcher son cerveau. Nous devons répéter sans cesse qu'à quarante ans. un homme qui n’a point fait une noce indigne, nui ne s'est point anéanti daim lo fainéantise musculaire, que ce homme-là est encore au plein de sa jeunesse et qu'il n'est point grand écart entre ce qu’il faisait à vingt ans et ce qu'il fait à quarante. 

Voulez-vous maintenant prendre un de ces hommes qui font de la culture physique et le comparer au gros homme de quarante ans qui est censé représenter le parfait bonheur. Vous verrez celui-là joyeux, sain, encore tout près de la jeunesse, riant comme un enfant, actif, vigoureux, aimant la vie et ses luttes perpétuelles; vous verrez l'autre soucieux, morose, digérant difficilement, souvent quinteux, somnolent. 

Choisissez et imitez celui que voua voudrez, mais avant de vous décider regardez et. comparez. C’est pourquoi, au gymnase de la Palestre Nationale on vous enseignera par la culture physique à être vigoureux et sain, fort et joyeux aussi bien à quarante qu’à vingt. La physiculture fructifie pour tous indépendamment de l’àge. C'est pourquoi on se doit do devenir membre de la Palestre Nationale afin de la seconder dans sa belle oeuvre d’éducation physique de toute une race. 

DONC DEVENEZ TOUS DES MEMBRES DU NATIONAL.

Photo caption: No l.—Groupes d’élèves masculins suivant un cours de culture physique du soir, aous l» direction du major J.-E. Gagnon. No 2.—Deux de l’equipe de ballon au pânier du National, au point culminant, d'une joute au gymnase. 

No 3.—Un groupe féminin au cours de culture physique au National. 

No 4.—Deux des quatre équipés de la ball à la volée du National, su début d’une partie contestée. 

No 5.-— Elèves des cours de culture physique dans un de leurs cours à la Palestre du National. 

No 6.—Une des équipes du polo aquatique. 

No 7.—Joueurs de balle au cour du National. 

No 8.—L'équipe de grosses quilles du National. Il est à remarquer que le poids total de l'équipe est de plus de 1,100 livres.

[omagazineparis]

Végétariens, limitez les risques de carence en vitamines B12

L’apport en Vitamine B12 est vital dans notre alimentation. En supprimant la viande dans leur régime, les végans et végétariens s'exposent à un risque de carence non négligeable, envers ce nutriment exclusivement présent chez les animaux. La pression environnementale sur l’impact de notre consommation de viande et de poisson induit un changement de régime alimentaire notable pour nombre d’entre-nous. Conscients ou non, nous sommes + de 35 % à tendre vers le flexitarisme. Cette tendance implique des risques de carence, surtout concernant la vitamine B12. Si on recense 1 à 2 % de la population en insuffisance de ce nutriment, qu’en est-il des végétariens et végans ? Souffrez-vous d’une carence en vitamines B12 ? Que nous apporte la vitamine B12 ? Nécessaire au bon fonctionnement des cellules nerveuses et de la formation de globules rouges dans le sang, la vitamine B12 joue un rôle clé pour prévenir des maladies cardiovasculaires. Pour remplacer les viandes et poissons de leur source alimentaire, les végétariens et végans se réfugient vers les plantes et laitages pour subvenir à leurs besoins en nutriments. Sauf que la coenzyme y est inexistante ou en trop faible quantité.  Comment traiter un manque de coenzyme B12 ? Parce que notre corps possède une réserve naturelle en vitamines B12, il est difficile d’anticiper son absence. C’est pourquoi, selon les personnes, elle peut survenir après quelques mois jusqu’à quelques années de véganisme. Le manque de cette coenzyme peut se manifester par des symptômes anémiques. Tels que : fatigue, faiblesse, palpitations, tremblement, engourdissement, perte de mémoire ou trouble d’humeur…  Des signaux souvent mal interprétés ou banalisés. Alors comment s’en assurer ? La seule solution consiste à un test sanguin ou urinaire. Méfiance toutefois sur ces tests ! Ils ne distinguent pas la vitamine B12 de ces molécules analogues inactives comme la spiruline ou le tempeh. Préférez les analyses des taux d’homocystéine ou d’acide méthylmalonique dans le sang ou l’urine. Une fois les résultats en main, consultez un professionnel et/ou médecin qui vous conseillera le traitement adéquat. Se fournir avec des aliments enrichis en cobalamine Il existe diverses façons de se procurer cette biomolécule complexe : Les viandes, le poisson, les crustacés, les œufs et les produits laitiers sont les principaux générateurs de vitamine B12. De ces denrées, les magasins spécialisés peuvent vous fournir des “aliments enrichis”. Il s’agit de boisson au soja, levure alimentaire, les céréales à déjeuner et d’algues comme la chlorella. Cette dernière est scientifiquement reconnue par les scientifiques, contrairement au Nori et la spiruline. Les suppléments sont composés des molécules contenant de la cobalamine. Et se nomment cyanocobalamine, hydroxocobalamine, méthylcobalamine et adénosylcobalamine. Vous trouverez facilement une boutique bio et diététique ou un magasin spécialisé proposant des suppléments nécessaires aux carences alimentaires. Autrement, les pharmacies délivrent des suppléments sous forme de gélules ou ampoules. Quelle quantité de vitamine B12 consommer ? Les normes sur la quantité de vitamine B12  sont généralement compris entre 200 et 270 µg/ml.  Au-dessus de 270, votre taux est bon, alors que sous la barre des 200, vous êtes en carence . Il est recommandé d’ingérer 2,4 µg/jour. Afin de vous rapprocher de ces normes, la posologie selon les suppléments sera différente. - 3 µg sur 2 ou 3 repas/jour en aliments enrichis. - 10 à 25 µg en une prise/ jour pour les suppléments. - 2000 µg en une fois/ semaine pour les ampoules délivrées en pharmacie. Retrouvez plus d’informations sur les compléments dans cet article dédié aux dosages de vitamines B12 Les risques face à un taux mal suivi L’apport en vitamine B12 est à prendre au sérieux. Il est important de faire régulièrement suivre votre taux par un médecin pour plusieurs raisons :  - Le changement physiologique qu’induit l’apport en vitamine B12. Les globules rouges augmentant, votre taux de fer doit également être régulé pour équilibrer l’osmose des nutriments au début du traitement. - Après les premières cures, le taux d'absorption diminue naturellement.  - La carence en vitamines B12 augmente avec l’âge car la facilité d’absorption diminue d’avantage au-delà de 50 ans.  - Attention à certains médicaments, comme pour ceux du diabète type 2 et d’autres maladies qui interfèrent avec ce nutriment. - En plus d’engendrer des maladies cardiovasculaires et d'Alzheimer, toute négligence peut, dans le plus sévère des cas, entraîner un cancer du col de l’utérus, des malformations de naissance et la fragilisation osseuse. Si la vitamine B12 peut facilement se substituer par des cures de compléments alimentaires, il reste indispensable de surveiller son taux de cobalamine, afin de prévenir un déficit irréversible face à certaines maladies. Cette vitamine hydrosoluble n’est pas le seul nutriment suspecté de manquer lors d’un régime végétal. La protéine, également présente dans la viande animale, est-elle un autre danger pour les adeptes de véganisme ? Read the full article