La ganivelle en châtaignier est un matériau de clôture attractif à plusieurs niveaux. Ce blog vous proose un guide complet si vous comptez adopter ce type de clôture pour votre jardin. Esthétique, durable et écologique, la ganivelle en châtaignier a de nombreux avantages. Retrouvez sur ce site des conseils pratiques pour assurer la pose et pour prolonger la durée de vie de ces clôtures.
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One very disputed part of the fence is the one you can see behind Pampérigouste in this pic—for the past year she’s been determined to get closer to the kitchen window, which is extremely attractive to her (especially when open) and which she couldn’t peer through nosily without trampling over the fence. Last month I got fed up with the continual llama leaks in this one spot and decided to let her have her window—i.e. dismantle the (badly injured) fence in front of it and re-build it on either side, to create a wildlife corridor. For 1 animal.
Because it was cold on the day I implemented this idea and I wanted to be inside sitting by the fire, “rebuild it on either side” meant hastily throwing together a barricade like it’s 1848, using chairs and a bucket and my snow shovel and whatever I had at hand. I procrastinated on building something nicer until yesterday when my mother asked me politely if I meant for my house to look like I was involved in siege warfare, which successfully shamed me into doing something about it.
In French we call this kind of fence a ganivelle—it looks much tidier than its predecessor, although I kind of miss the drama of my emergency barricade.
Pampe doesn’t believe there are any excuses for bringing more fences into the world, but right now she’s in the honeymoon phase with her window. Her mum & the donkey were intrigued by the novelty but quickly got over it, meanwhile Pampe spent the whole evening trotting back and forth to confirm that she can now see what’s going on in the kitchen any time she wants. (Merricat is extremely put out that she can no longer observe the neighbours without being observed right back.)
Two hours later we were having dinner and would still occasionally spot a pair of bunny ears coming closer when Pampe came to check one more time that she really won permanent access to this coveted territory. Every day I cede more ground to my llama.
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Quelques trucs bien en mars
1er mars
Apercevoir le fort scintiller dans le pertuis, dans la lumière rasante du matin
Reconnaître à la première écoute le thème de la nouvelle sonnerie du collège
Entamer mars avec des coccinelles dans la rue, et des narcisses dans la plate-bande
2 mars
Retrouver en magasin les grandes planches de cartonnette pour le projet d'exposition
Retrouver le titre et l'auteur d'un livre que l'on cherchait depuis des mois
S’amuser d’être sollicité pour participer à un "conseil culturel consultatif"
3 mars
Étaler sur la grande table de l'atelier toutes les publications des étudiants
Trouver finalement de l'aide pour transporter puis monter l'isoloir à secrets
Discuter avec Thibaut Derien et filer juste avant son vernissage
4 mars
Croire découvrir un auteur, et trouver un de ses livres dans sa bibliothèque
Entrer dans une gigantesque voilerie désaffectée
Après quelques jours flottants, reconstituer une pile de livres à lire honorable
5 mars
Trouver la barrière du parking relevée, et profiter du stationnement gratuit
Régler la pendule de la voiture à l'heure d'hiver
Avoir une discussion en anglais avec sa fille, puis l'aider pour son poster
6 mars
Lire dans la maison endormie, parce que l'on s'est levé plus tôt que tout le monde
Se réfugier dans la préparation des crêpes
Scanner les QR codes présents dans le texte, et donner à sa lecture une dimension supplémentaire
7 mars
Avoir oublié que l'on avait commandé un livre, et le recevoir ce matin
Constituer sa bibliothèque portative pour l'atelier de mardi
Résister à l'achat compulsif d'une saloperie quelconque au moment des courses du soir
8 mars
Se débarrasser d'un meuble superflu et gagner de la place
Recevoir (et gentiment décliner) sa première demande de stage
Faire un survol du ciel islandais et capturer un bombardement d’arc-en-ciel
9 mars
A tâtons, trouver une forme pas tout à fait parfaite à "Comment devenir parfait"
Remonter la trace du blaireau d'Amérique
Prendre le petit train de la côte ouest, et se promettre de le prendre plus souvent
10 mars
Regarder les camions faire des grandes gerbes d'écume, à fond sur la plage
Trouver une alternative efficace à ses problèmes d'impression en plein atelier
S'acquitter immédiatement d'un boulot tombé dans la boîte en tout début de soirée, et clore le sujet
11 mars
Rentrer à pied par la plage, sous le vent et sous la pluie, et se dire que ça réveille mieux qu'une douche
Passer une nouvelle commande d'affiche grand format pour le festival à venir
Ne pas laisser la moindre prise au baratin du prospecteur immobilier
12 mars
Faire griller des pois chiches
Aérer la maison en grand
Installer le transat au soleil et lire Thomas Vinau ("Exister c'est résister à la perte. Et puis perdre.")
13 mars
Prendre le train avec Gilles Ortlieb
Trouver la sortie du labyrinthe algorithmique du renouvellement du Dossier social étudiant de son fils
Avoir juste ce qu'il faut d'avance sur les nuages noirs menaçants
14 mars
Décliner sans tergiverser une proposition d'atelier
Apprécier chaque mètre du chemin parcouru avec la main que sa fille niche encore dans la sienne
Ébaucher une play-list de lectures, et se dire qu’on tient un truc
15 mars
Découvrir la ville sous une poussière ocre et un ciel gris jaune pâle
Contribuer (modestement) à la collection de cailloux et graviers
Trouver un peu de repos, presque un peu de sommeil, adossé aux ganivelles
16 mars
Réparer le portail pour qu'il ne frotte plus à l'ouverture
Utiliser le rabot de son père, qui vivait jusqu'alors une vie de relique
Lire à sa chérie “This is just to say” de William Carlo Williams, en écho à sa goinfrerie de bonbons du week-end
17 mars
Dépasser les trois cents secrets à exposer, en un mois et demi de collecte
Se débarrasser du gros canapé
Immortaliser le coucher de soleil, quand même
18 mars
Réparer tout seul la chasse d'eau encastrée qui fuyait
Découvrir une nouvelle bonne librairie
Manger un très bon crumble en famille
19 mars
Aménager l'habitacle de la voiture en salon de lecture, pour une heure
Trancher une énorme betterave cuite, charnue et succulente, en petits cubes réguliers
Faire des tours à la déchèterie, et de la place dans le petit patio
20 mars
Entrer dans le printemps en courant
Goûter plein de fruits secs différents
Éprouver un petit plaisir pervers à interrompre abruptement une discussion commerciale en ligne
21 mars
Lire ce prénom sur un panneau de permis de construire : Zabéline
Sentir l'odeur des premières tontes d'herbe
Entamer un voyage au centre de la terre, en bonne compagnie
22 mars
Inciter par téléphone le livreur surpris à jeter son colis par dessus le mur de la maison
Lever un malentendu, et débloquer un paiement coincé dans les tuyaux
Aller écouter The Divine Comedy en famille, premier concert depuis trèèès longtemps
23 mars
Apprécier le réveil différé du mercredi matin
Goûter, dans la bibliothèque encore déserte, un moment parfaitement paisible
S'acheter une montre, après des années sans en porter
24 mars
Mener enfin l'interview que l'on avait laissée traîner
Assurer rondement le collage de la grande affiche avec les étudiantes
Créer une petite librairie éphémère sympathique avec les livres des étudiants
25 mars
Se féliciter d'avoir repris la course pour arriver à l'heure à son rendez-vous matinal
Avaler un déjeuner frugal (carottes, pomme, café), et lire sur le cours face au port
S'acheter un blouson léger pour les beaux jours
26 mars
Résister à engloutir la chocolatine qui fait le trajet à ses côtés
Déjouer l'étrange montage de dérailleur du réparateur de vélo, et remplacer la chambre crevée
Tester un, deux, trois différents véhicules : deux vélos, dont un électrique, et une voiture
27 mars
Se mettre en short, pour la première fois de l'année
Tomber comme une masse à la sieste
Visionner un Tarantino jamais vu, après celui de la veille
28 mars
Gagner un cran encourageant sur la fermeture de sa ceinture
Recevoir un gentil mail de la dame de la Repro de l'Université, contente d'être associée aux travaux
Découvrir une mappemonde couverte de cartes postales venues de partout
29 mars
Entendre et voir passer juste au-dessus de sa tête, et à courte distance, un vol formé d'oies sauvages
Sentir, pendant sa course, et avant qu'elle ne tombe, l'odeur de la pluie
Rentrer à la maison sur la trottinette de sa fille
30 mars
Sentir avec plus de force qu'hier l'odeur de la pluie fraîchement tombée sur le bitume
Entendre que l'expo réalisée avec les étudiants plait bien
Assister au plaisant numéro de duettiste d'Hervé Le Tellier et Pascal Fioretto
31 mars
Effectuer de nuit quelques menus travaux manuels
Réenvisager à la baisse les travaux sur la bagnole, grâce à un garagiste moins roublard
Recevoir une nouvelle carte d'électeur, pour un petit rôle de figuration
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
> Quelques trucs bien en janvier.
> Quelques trucs bien en février.
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Edouard François, La closeraie. Livré en 2006 à Louvier en Normandie.
Programme : 18 logements sociaux locatifs, 18 places de parking, aménagement paysager. Sur une surface de 1 310m².
Budget de 1,2 M€
Sur le site de la Maison Edouard François : La parcelle enclavée du projet correspond à un ancien potager avec ses allées, ses arbres fruitiers et ses poiriers en espalier. La Plaine Normande nous a confié la délicate mission de construire 18 logements au milieu de cette parcelle fragile. Notre volonté a été de ne couper aucun arbre. Les volumes étroits se dessinent librement entre les masses boisées en se jouant des arbres. Les habitants rejoignent leurs logements par des passerelles. L’ensemble devient une promenade, un parcours dans les arbres au milieu des fruits. La façade est porteuse. Elle est réalisée en blocs de terre cuite monomur brut dehors comme dedans. L’extérieur se drape dans une ganivelle de châtaignier, accrochée aux façades par un fil inox torsadé. Outre son esthétique Arte Povera et rurale, cette « double peau », à la tessiture originale, fait office de pare-pluie, pare-vent et pare-soleil.
http://www.edouardfrancois.com/
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