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[cafes-et-friandises]

・ Première rencontre, édition Sumeru

­­ ✎ -  Comment se passerait la première rencontre entre Reader et les Sumeru-boys ?

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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹  Tighnari, Cyno & Al-Haitham

─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ Scénario

─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ Fem!Reader | ☆ Happy Ending | ♥ Mignon | Surnaturel | Misogynie

─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S

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Note ­ ­ ▹ Je suis tombée complètement amoureuse des boys qui nous viennent avec Sumeru. Je n'ai pas l'habitude d'écrire sur des persos non-jouable, en dehors de Fatuï, mais on a tellement vu Al-Haitham que j'ai fait une exception pour lui.

Tighnari ─ ­ ❝ 𝗠𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲𝘂𝗿 𝘃𝗲𝗿𝗱𝗼𝘆𝗮𝗻𝘁 ❞

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La lune bouge bien plus rapidement que le soleil à son couché, une impression amenée par ses longues et interminables recherches au cœur même de cette forêt millénaire. Avaient-elles même un but ? Cette fleur, existait-elle même ? Ses oreilles droites sur le haut de sa tête, celles-ci oscillaient imperceptiblement aux différents éclats de vie au cœur du grand bois. Tighnari cherchait depuis des jours une plante seulement mentionnée dans les vieux grimoires Sumériens. Cette fleur magnifique, aux illustrations toutes plus intrigantes les unes que les autres, avait attiré l'attention du jeune chercheur. S'il pouvait la trouver et l'étudier alors rien que la mentionner dans sa thèse de fin de cycle pourrait lui ajouter du crédit et un diplôme plus que mérité. La " viparyas ", aussi noble que pure, bien que très exigeante de son environnement, aussi appeler par les anciens : " les souvenirs de la forêt ". Une fleur qui commençait doucement à le désespérer, dû aux heures passées à la chercher.

Soupirant, le sommeil l'appelait presque tandis que la lune régnait en maître sur les étoiles décorant la voûte céleste depuis des heures. Était-ce encore une nuit où le demi-fennec se coucherait sans trouver la silhouette tricolore de cette plante ? Soudainement, ses oreilles se mirent à frémir droitement tendu sur le haut de sa tête, une mélodie enchanteresse attrapant avec douceur son esprit fatigué. Ses pas s'activèrent presque tous seuls, le portant au travers des buissons, arbustes et champignons qui, d'ordinaire, auraient capturé son attention. Attiré, comme fasciné par cette voix douce et calme, ampli de mélancolie, en cet instant, toute la végétation se ressemblaient à ses yeux. Au moment même où son regard se posa sur toi, tu lui semblais être une nymphe, comme celles comptée dans les mythes et légendes. Assise en hauteur sur une pierre couverte de mousse au milieu de ce bosquet de toutes les couleurs, tu chantonnais un air léger alors qu'entre tes doigts se tenait une fleur.

Tighnari en était persuadé, même les sirènes mentionnées dans de nombreuses légendes ne pouvaient pas égaler la beauté chaleureuse de ton chant et ta beauté éthérée bercée par les nombreux rayons lunaires. Le jeune chercheur resta sans voix, t'observant paisiblement en silence, comme s'il avait trouvé un moment de répit dans sa longue quête. Loin d'être conscient d'un quelconque voyeurisme, celui-ci finit par se perdre avec sérénité dans ce spectacle apaisant et féerique qui s'offrait à lui, te détaillant de la tête aux pieds, avec une admiration sans pareille qui ne quitta jamais l'émeraude de son regard. Peut-être venait-il de connaître le coup de foudre ? Il n'en savait rien, mais son cœur se réchauffait alors que sa queue se dandinait imperceptiblement derrière lui. Ses oreilles tressaillirent tandis que le reste de son corps se figea quand il rencontra l'éclat [C/Y] brillant de tes yeux.

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─ ­ ­ ­ « Viparyas. » Fut le seul et unique mot qui réussit à franchir la barrière de ses lèvres remplis de surprise. Déglutissant péniblement, l'étudiant mit quelques instants à réunir tous ses esprits. « Ce n'est pas... Je suis désolée, je ne voulais pas vous observer sans autorisation... »

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L'[C/Y] de tes yeux lui fit perdre absolument tous ses moyens, il lui avait fait l'effet d'un électrochoc, le remmenant rapidement à la réalité. Tighnari ne trouva rien d'autre à faire que se confondre en excuse alors que le haut de ses pommettes se couvrait d'un délicieux et pâle rougissement. Séduite pas son air respectueux et quelque peu intimidé, ne détournant pourtant pas le regard, il te semblait totalement adorable à se confondre en excuse. D'un geste léger, tu quittas ton assise, un sourire attendrit au visage alors qu'ensuite, tu lui tendais la viparyas une fois à sa hauteur. Une sensation de chaleur se répandit dans le bout de ses doigts à l'instant même où il frôla les tiens pour récupérer ton présent, complètement soufflé par la gentillesse de ton sourire et la beauté de tes orbes [C/Y].

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─ ­ ­ ­ « Magnifique. »

─ ­ ­ ­ « Elles font souvent cet effet-là, la première fois qu'elles sont aperçues. » Laissas-tu entendre en regardant la fleur que tu venais tout juste de lui offrir. Cependant, le regard émeraude du jeune homme courrait sur tes traits, l'air légèrement songeur, loin d'admirer ton cadeau aux pétales naturellement troués. « Elle vous aidera à trouver le sommeil, vous semblez fatigué. »

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C'était comme le souffle d'une brise, figeant Tighnari sur place, n'osant plus bouger même après ton départ. Il avait toujours cette sensation de chaleur, celle du fantôme de ta main effleurant le dessous de ses yeux cernés, dû au manque de sommeil. Il voyait encore le fantôme de ta silhouette, de tes cheveux [C/C] se balançant à la brise, s'enfoncer au cœur de la forêt pour disparaître, même si tu n'étais déjà plus là. Qui étais-tu ? Quel était ton prénom ? Pourquoi son cœur battait-il si fort ? Pourrait-il un jour te revoir ? Le [C/Y] de ton regard marquant encore profondément son esprit, Tighnari était à deux doigts de croire à un rêve éveillé. Heureusement, la viparyas trônant fièrement au creux de sa main lui prouvait le contraire. Humant sa délicieuse odeur sucrée, le jeune renard ne put que se sourire à lui-même tandis qu'il rebroussait chemin jusqu'à sa petite maisonnée. Cette fleur, marquait-elle peut-être votre destinée ?

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Cyno ─ ­ ❝ 𝗝𝘂𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗰𝗿𝗲𝘁𝘀 ❞

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Marcher, que le soleil soit haut dans le ciel et que la chaleur soit étouffante, que les étoiles brillent dans le firmament du sombre ciel, que la pluie éclabousse ses pieds nus, que le vent emmêle le blanc de ses cheveux, Cyno ne s'arrêtait pas de traquer les hors-la-loi de l'Académie. C'est son travail. Cette fois-ci, le général mahamatra poursuivait une nouvelle fois un fuyard de l'académie en passant au beau milieu de ce petit village sumérien. La pluie tombait à torrents sans jamais discontinuer alors que les habitants, eux, ne lui prêtaient aucun regard de sympathie, préférant le couvrir soit de peur, soit de méfiance. Venait-il pour l'un d'entre eux ? Il s'était habitué à ces regards-là, à n'être nulle autre qu'un chat de mauvaise augure en posant le pied dans un endroit. Après tout, la justice et la vérité peuvent être synonymes de peur pour les menteurs...

Aussi charismatique qu'indifférent, Cyno continuait sa route, trempée comme une soupe, ses longs cheveux blancs collant à la peau nue de son dos, alors que des courtes mèches avaient élu domicile au creux de son cou. Rien ne semblait le perturber, pas même sa lance mouillé glissant petit à petit de sa prise ou encore le froid humide de la région. Devrait-il se mettre à l'abri ? Plus ses pas sûrs et réguliers avançaient dans le village, plus la pluie cinglante se mettait à battre le sol, rougissant sa peau halé de douleur. Il n'avait plus d'autre choix, il devait trouver un abri. Le général aux cheveux neige se mit à couvert sous la première alcôve qu'il trouva et il était loin d'être seul. Aussi mouillé que lui, tu étais là, lui apparaissant comme une jeune femme s'étant fait surprendre par les pluies diluviennes, dont le haut blanc était devenu transparent et les [L/C] cheveux [C/C] te collaient à la peau. N'aurait-il pas pu trouver un autre refuge ? Non, il n'aurait pas eu le temps vu la force du torrent qui s'abattait sur Sumeru. 

Osant un regard discret en ta discrétion, il ne voulait pas être irrespectueux, mais son regard eut vite fait remarqué les formes dévoilées de ton corps, dû à tes vêtements mouillés, collant à ta silhouette. Cyno se reprit bien vite, te saluant d'un geste de la tête tandis qu'il rencontrait le [C/Y] de ton regard, qui avait entre temps bien détaillé sa fine musculature bronzée. Tu le saluas à ton tour, essayant d'être la plus indifférente possible. Aucun mot ne fut prononcé, côte à côte, regardant tous deux les cordes d'eau frapper bruyamment le sol. Un silence calme s'installa entre vous, qui d'un côté fut vécut avec un poil de malaise et de l'autre, avec une indifférence la plus total. Après tout, vous étiez deux étrangers surpris par la pluie sans l'ombre d'un point commun, dont l'un n'était pas réellement connu pour ses conversations amicales. Le temps passa lentement et le froid s'imprima petit à petit jusqu'au creux de vos os, vous laissant de plus en plus frissonnant.

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─ ­ ­ ­ « Savez-vous ce que dit une abeille à une fleur ? » Demanda rapidement le général, supportant bien mal le silence pesant, en plus du froid qui vous entourait. 

─ ­ ­ ­ « Non, que leur dit-elle ? » 

─ ­ ­ ­ « Salut, honey. » 

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Cyno ne s'attendait pas à un rire, bien que sa blague soit subjectivement drôle quand il y pensait, s'attendant plutôt à un grand flop, comme il l'avait eu avec Tighnari et Collei pour cette blague. Contre toute attente, un fin gloussement sortit d'entre tes lèvres, non pas que tu l'ais trouvée drôle, mais elle avait été dit avec un tel sérieux que tu n'avais pu t'empêcher de rire. Les billes écarlates du général se tournèrent en ta direction, te voyant lui adresser un regard amusée presque attendrit par son horrible sens de l'humour. Ton sourire caché derrière tes doigts, le général ne put s'empêcher d'apprécier cette vision et la courbure honnête de tes lèvres. Qui aurait pu penser que l'effrayant Cyno pouvait faire des blagues aussi épouvantables ? Le blanc en resta bouche bée, touché qu'une personne finisse par comprendre son humour et rit à ses blagues, même si d'apparence extérieure son visage ne montrait qu'une expression neutre en t'étudiant. Loin de vous en apercevoir, mais discrètement entre deux lattes de rideau, les habitants du petit village vous épiaient, surveillant d'un mauvais œil la lance de l'Académie.

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─ ­ ­ ­ « Merci d'avoir allégé l'atmosphère. »

─ ­ ­ ­ « Ce n'est pas grand-chose. »

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Peut-être, était-ce de la timidité ? Ton regard [C/Y] était si brillant d'amusement et de gentillesse à son égard que l'homme à la chevelure neige ne sut pas comment y réagir. Votre conversation fut plus légère, bien que brillante de banalité, laissant le temps passer avec de courts échanges, aux réponses toutes aussi courtes. Tout au long de votre conversation, Cyno était venu à soupçonner une chose : ' tu ne savais pas qui il était ', surtout pour lui parler avec tant de normalité, sans peur, ni méfiance. Puis, la pluie et la grêle se calmèrent petit à petit, et le soleil pointa rapidement le bout de son nez, amenant sa douce chaleur sur vos peaux frigorifiées. C'était comme si l'orage avait grondé juste pour que vous deux, deux mortelles que tout oppose, puissent se rencontrer. Il était temps d'y aller, que vous deux, vous repreniez votre route chacun de votre côté. C'était étrange. L'un comme pour l'autre, ce petit temps à l'abri sous ce porche avait sonné comme un moment hors de vos réalités respectives. Récupérant vos affaires, pour toi, ton sac remplit de livres et autres affaires, et pour lui sa lance comme seul bagage, vous vous prépariez à partir.

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─ ­ ­ ­ « Vous devriez mettre quelque chose pour vous couvrir. » S'empressa de dire le mahamatra dans une parole calme, mais au vu de ton incompréhension, le jeune homme continua timidement. « Votre haut est devenu transparent avec les intempéries. »

─ ­ ­ ­ « Merci, général. »

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Un sourire qui valait de l'or tandis qu'un léger fard apparaissait pour décorer ton visage. Retirant une cape de ton sac, celle-ci habilla rapidement tes épaules et ton corps, alors qu'un signe de main amical répondit au jeune homme en guise : "d'au revoir". Cyno, quant à lui, resta figé pendant qu'il réalisait une chose : " tu le connaissais lui et sa réputation " et pendant tout ce temps, tu avais agi comme s'il était n'importe qui. Ébranlé, le blanc ne put s'empêcher de laisser filtrer l'un de ses rares et fins sourires, éblouissant tous les habitants épiant sans remords votre court échange. C'est ainsi que chacun reprit sa route, la silhouette de l'autre encore présente dans un coin de votre esprit.

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Al-Haitham ─ ­ ❝ 𝗟𝗲 𝗦𝗰𝗿𝗶𝗯𝗲 ❞

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Le début d'après-midi, le moment parfait où le soleil est le plus haut dans le ciel, réchauffant les salles vides de la grande bibliothèque de l'Académie. Les rayons éclairant parfaitement les bureaux en bois siégeant là-bas, c'était le moment idéal pour commencer son projet de fin de cycle pour Al-Haitham. D'une stature plutôt attrayante, le scribe venait tout juste d'ouvrir un ouvrage ancien, sous les regards curieux de nombreux nouveaux étudiants de première année. Plus qu'habitué par ces regards intrusifs, n'en ayant visiblement rien à faire, Al-Haitham se coupa rapidement du monde extérieur, son regard turquoise se concentrant rapidement sur les nombreuses arabesques anciennes du langage Sumérien, tout droit venu des vieux temples du désert. Ses yeux vacillants du papier à ses notes, le scribe fut rapidement dérangés par une note émise par l'Akasha, apparaissant en lettres vert foncé devant ses yeux, sans doute envoyée par l'un de ses professeurs. Que lui voulait-il encore ? Ennuyé par ce professeur depuis des années, Al-Haitham parvient tout juste à retenir un soupir d'irritation tandis que d'une main, il ressembla ses affaires, soit un livre.

Son ouvrage dans une main, bien décidé à le finir quand le moment se présenterait, le jeune étudiant se dirigea vers la sortie de la bibliothèque silencieuse. À peine le scribe passa la porte d'entrée, que de nombreuses premières années se mirent à papoter sur l'incroyable beauté froide du grisonnant, tandis que les hommes préférèrent jurer de frustration. La démarche sûre et calme, Al-Haitham attirait encore et toujours les regards sur lui, que ce soit grâce à sa musculature de dieu grec, de ses résultats rendant envieux les plus mauvaises langues, ou de son caractère assez binaire quelques fois. Sa route ne fut pas longue, saluant d'un geste de tête les professeurs qu'il croisait et évitant ceux souhaitant brasser de l'air devant lui. Arrivée au bureau de l'instructeur, Al-Haitham frappa trois coups contre le bois de la porte, recevant quelques secondes plus tard un : "entrez" assez hasardeux, mais sonore de son professeur. À peine avait-il posé un pied dans son bureau, que l'homme d'un certain âge reprit sa conversation via son akasha. Pourquoi l'avoir fait venir si c'était pour l'ignorer grandement ensuite ? Cet homme avait le don de lui faire perdre un précieux temps...

Même si le respect du vieil homme laissait grandement à désirer, Al-Haitham prit place devant son bureau, s'installant sur la chaise juste à tes côtés. Tu le saluas d'un geste de tête ennuyée, auquel le jeune homme prit le temps de répondre. Son regard s'attarda légèrement sur ton profil, après tout, il ne lui semblait pas t'avoir déjà aperçu ici et surtout, tu ne figurais pas dans la base de données de l'akasha. Même si son intérêt fut rapide, le scribe remarqua de nombreux détails, soit le livre rempli de cliché d'anciens temples posé sur tes cuisses, la couleur [C/C] de tes cheveux dont tu replaças une mèche derrière ton oreille, ou encore l'éclat [C/Y] ennuyé de ton regard. Ce ne fut pas long, mais juste assez pour que l'étudiant te trouve un certain intérêt, avant de sortir à son tour son ouvrage de tantôt. Ne prêtant pas attention à l'autre, complètement indifférent à la présence de l'autre, peut-être dû à l'ennui de cet entretien, vous attendiez silencieusement que le professeur vous apprenne le fin mot de cette convocation. Les secondes défilèrent pour en faire des minutes, qui se transformèrent bientôt en quart d'heure, pour qu'enfin le vieil homme daigne vous prêter attention.

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─ ­ ­ ­ « Pourquoi êtes-vous là déjà ?  » Parla sans gêne le vieil homme t'ayant fait attendre pendant plus d'une bonne heure et demie dans son bureau.  « Mademoiselle [T/P], vous devriez apprendre à contrôler vos expressions. Hmph, on voit bien que vous n'êtes pas de notre académie, si irrespectueuse. »

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Voulait-il mourir ? Non pas que ça dérangerait le scribe que tu mettes fin à ses jours, si tu ne le faisais pas, peut-être qu'il le ferait à ta place en lui faisant perdre son statut de professeur. Pourtant, au lieu d'entendre un éclat de colère de ta part, tu restas calme et silencieuse à sa remarque irrespectueuse. Tu pris tout ton temps, rangeant une à une tes affaires dans un silence glacial, bien que tout ton corps montrait une sérénité à toute épreuve. Même si tu avais cette envie irrépressible de l'envoyer paître et de potentiellement lui écraser le visage sur son bureau bien trop prestigieux pour sa petite personne dégoûtante, il restait tout de même un professeur de l'Académie. Al-Haitham ne pipa pas un mot, comme s'il sentait le calme avant la tempête, préférant de loin regarder votre échange en rangeant calmement son livre. Cependant, dans le comble de l'ignorance pour un être qui se dit "sage", son professeur mit les pieds dans le plat, un air rempli de mépris au visage.

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─ ­ ­ ­ « Je n'ai pas tout votre temps, donc je vous pris de bien vouloir vous dépêcher à ranger tout votre bordel. Mon bureau n'est pas chez vous. »

─ ­ ­ ­ « Saviez-vous que l'Akasha a tendance à enregistrer tout ce qu'on lui dit d'enregistrer. » Demandas-tu avec lenteur pour être sûre qu'il comprenne chacun de tes mots alors qu'un magnifique sourire glacial ornait tes lèvres.« Je me demande ce qu'il se passerait si je portais plainte ? » Questionnas-tu sans vraiment chercher de réponse, levant la main pour lui couper la parole avant même qu'il ne puisse l'ouvrir. « D'où je viens, la justice prime avant tout... Enfin, que souhaitiez-vous dire après m'avoir fait attendre une heure et quarante-et-une minutes ? »

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Est-ce une menace que tu venais de proférer devant une personne qui t'était supérieur ? Bien évidemment. De toute façon, quoiqu'il vienne à te répondre ou à te demander, tu passerais faire un tour au bureau des mahamatras, histoire de lui apprendre le respect. Souriante devant son visage pratiquement rouge de colère, ton regard se fit provocatrice et moqueur quand enfin, tu trouvas un soupçon de peur dans le sien.

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─ ­ ­ ­ « Le scribe Al-Haitham a été désigné par les grands sages pour vous guider tout au long de vos travaux au sien de notre Académie. »

─ ­ ­ ­ « Très bien. » Soufflas-tu, mettant au placard tes une heure d'attente dans son bureau, qui bien évidemment apparaîtrait dans ton rapport. « Si vous le permettez, j'adorerai beaucoup ouvrir les cuisses pour vous, mais j'ai d'autres choses à faire plus intéressantes à faire. Sur ce, je me retire. »

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Son visage devient aussi pâle que la mort, tandis qu'un sourire satisfait prit place sur ton visage. Échec et mat. Fière et parfaitement élégante, tu te redressas de ta chaise, ton sac bien vite sur l'épaule, tandis que d'un geste de tête, tu saluas le futur ex-professeur. Ton départ sonna celui du scribe qui à son tour se redressa de sa chaise saluant celui qui l'avait convoqué. Il n'avait rien dit, rien fait, mais pour une quelconque raison, il ressentait une certaine satisfaction à cette fin. Tout ton discours parfaitement construit l'avait intrigué et par la force des choses ton caractère indépendant et sûr lui avait plu. Arrivant à ta suite dans le couloir, le grand étudiant aux cheveux gris parla pour la première fois sans cet air qui avait créé de nombreuses irritations chez ses interlocuteurs.

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─ ­ ­ ­ « Devrions-nous, maintenant, commencer notre visite de l'Académie ? »

─ ­ ­ ­ « Si ça ne vous dérange pas, pourrions-nous commencer par le bureau des Mahamatras ? Il semblerait que j'aie deux-trois choses à leur dire. »

─ ­ ­ ­ « Effectivement, il semblerait. »

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Sur ces simples mots et un rire assez bas de ta part que vous vous dirigiez tous les deux en directions de ce dit "bureau". Ce fut la première fois qu'Al-Haitham ne râla pas intérieurement pour se remettre à l'une de ses études, laissant cette fois-ci soigneusement l'une de ses lectures à plus tard. Suite à votre arrête, le scribe prit son temps, te faisant visité l'Académie, sous les regards plus que curieux des dizaines de chercheurs que vous croisiez. N'était-ce pas là le début de quelque chose et la fin d'une autre ?

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Masterlist

[straylaughs]

neuvillette is just so peak character to me because everytime we see him do some regular human things i instantly remember that he's literally the hydro dragon sovereign incarnate, one of the 7 elemental dragon sovereigns who ruled teyvat before the primordial one and descenders came, a being that possesses power that far surpasses archons and you're telling me he fell for a marketing scheme

[evelynpr]

Jeht fans 🤝Enjou fans

Getting official art on a romantic holiday

CONGRATULATIONS GANG WE ARE WINNINGGGGGGGGG

[clouvu]

Friendship goals 😘

[yaepyep]

[portalmonsterrr]

Modern AU where Alhaitham and Kaveh adopt baby Nahida  to save their failing marriage and somehow it works

[genshin-impact-updates]

Happy Birthday, Neuvillette!

"This water is really... really something!"

"An almost glacial sweetness that hides the subtlest hint of bitterness, then swallows it back up with its mellow aftertaste. An intriguing profile indeed."

[kaedehara--kazuha]

“Let’s all wear shorts and not tell Xiao.”

[miothle]

tea date with Wrio🖤☕

[kujousaramybeloved]

genshin x text posts part one million

[qiinamii]

2 nikabuto long

[cafes-et-friandises]

┃ Sapins

✉ - Evénement du Calendrier de l'Avent 2022.

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「 𝙲𝙷𝙰𝚁𝙰𝙲𝚃𝙴𝚁𝚂 」 ▹ Gang Arataki & Kamisato Family

─ ­ ­ 𝚃𝚈𝙿𝙴 ▹ Headcanon

─ ­ ­ 𝙶𝙴𝙽𝚁𝙴 ▹ Fem!Reader | Gentillet | Trafique de sapins

─ ­ ­ 𝚃𝚁𝙸𝙶𝙶𝙴𝚁 & 𝚆𝙰𝚁𝙽𝙸𝙽𝙶 ▹ R.A.S

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 ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­ Itto est un enfant, et en tant que tel, il raterait les festivités de Noël pour rien au monde. Il est prêt presque un mois à l'avance, faisant déjà son repérage pour LE sapin parfait pendant qu'il apprivoise ses scarabutos. Il est a deux doigts de les maquer avec sa claymore. Pour lui, un noël sans sapin, c'est comme croiser un oni sans cornes, ça n'existe pas. Bien que le gang ne roule pas sur l'or, ils savent parfaitement qu'ils auront de la place dans leur QG pour y mettre leur arbre de Noël, plus ou moins bien décoré.

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­ Dans une famille normale, le sapin est le point central de la fête et minutieusement choisit pour entrer parfaitement dans la pièce, sans gêner. Dans une famille normale, le sapin est soit synthétique, soit acheté tous ensemble au marché de la capitale. Dans le gang Arataki, le sapin est chaotique et incompréhensible. Depuis sa tendre enfance, Itto est habitué à aller le chercher au cœur de la forêt avec sa grand-mère, en le coupant lui-même et en le portant lui-même.

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­ Ils choisissent tous ensemble l'arbre qui viendra décorer le salon. Tout le monde à son mot à dire, aussi pertinent soit-il. Ils sont capables de rester debout pendant une heure devant un sapin, se disputer pendant très, très, très longtemps devant pour ensuite laisser tomber et passer à un autre arbre. Ils se métamorphosent en critique "professionnel" d'arbre de Noël, un  peu les reines du shopping, mais pour un arbre. Ils deviennent pire que n'importe qui et sont doués d'une réflexion des plus douteuse. ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ↬­ ­ ­ ­ ­ Ils ont déjà recalé un arbre parce qu'il était : " épineux "...

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­ Avant ton arrivé dans le gang, Shinobu avait la lourde charge de gérer ses enfants capables de se noyer dans trente centimètres d'eau. Désormais, c'était à ton tour de gérer Itto et ses délires irresponsables, même si personne ne peut l'arrêter quand il a une idée en tête... Surtout quand il a déjà abattu l'arbre avant même que tu ne puisses parler pour l'arrêter. ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ↬­ ­ ­ ­ ­ Il a déjà failli tuer Shinobu en le faisant...

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­ Leur sapin est majestueux, ce n'est pas d'ailleurs pas le principal problème. Le problème est qu'il est beaucoup trop grand et large pour rentrer dans la maison. Ce n'est plus vous qui habitez dans le salon, mais l'arbre de Noël qui possède désormais le salon. Vraiment, il est à deux doigts de vous demander un loyer. Vous avez été obligé de le couper en deux pour qu'il rentre dans la maison. Personne ne peut le décorer, il n'y a pas la place pour ça. En une semaine, il a pratiquement perdu toutes ses épines. Shinobu a acheté un arbre synthétiquement à la dernière minute pour pouvoir y mettre les cadeaux le 24 décembre.

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─ ­ ­ ­ « J'ai l'impression de rentrer dans son intimité. » Murmuras-tu à Shinobu, coller contre le mur du salon, les branches de l'arbre piquant le haut de tes cuisses. « On dirait presque qu'on le dérange. »

─ ­ ­ ­ « Il est devenu le propriétaire de la maison... » Soupira doucement la jeune femme aux cheveux verts, veillant à ce que son boss ne l'entende pas. « M'accompagneras-tu acheter un arbre au marché, après demain ? »

─ ­ ­ ­ « Pas de problème. »

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­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­Petits, ils adoraient choisir leur sapin de Noël au marché avec leur mère, quelques fois accompagné de leur père. Un peu comme un rendez-vous incontournable de leur enfance et de leur famille, un moment où ils devenaient comme tous les petits inazumiens sans se soucier du regard des autres. Mais, depuis le décès de leurs parents, ce sont les domestiques qui s'occupent de la décoration de la maison ou encore d'acheter l'arbre de Noël, les frères et sœurs étant bien trop occupé pour le faire ou n'en ayant sûrement pas le cœur.

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­Ils ont repris goût à le choisir eux-mêmes quand tu es apparue innocemment dans leur vie, comme un salut tombé de nulle part. Même si tu es la première à leur en parler sous les conseils de Thomas, ce sont bien les héritiers Kamisato qui organisent la sortie pour l'acheter. Tous les deux se renseignent à l'avance sur les meilleurs marchants du marcher et le type de sapin parfait, quitte à compter les aiguilles s'il le faut.

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­ Si au début vous êtes partis pour un seul et unique arbre, vous rentrez au domaine avec deux sapins assez différents. Leur excuse : " Le domaine des Kamisato est bien assez grand pour deux. ". La réalité est tout autre. Ils n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur l'arbre parfait. Même s'ils ne se disputaient pas, vous aviez tous pu sentir une certaine tension entre les Kamisatos, au plus grand drame de Thomas prit entre les deux feux sous ton fou rire. ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ↬­ ­ ­ ­ ­ Le sapin de Noël d'Ayaka est assez classique pour ne pas dire pratiquement parfait, l'arbre que tout le monde cherche, celui qui est droit et ne perd pas rapidement ses épines. Il est ni trop grand et ni trop petit, pourtant bien assez imposant pour vous teniez pendant deux bonnes heures de décoration. Elle s'en est assurée. ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ­ ↬­ ­ ­ ­ ­ Du côté d'Ayato, son sapin fut pour le moins très... différent. À la fois élégant et quelque part assez étrange, comme tout droit sortit d'une maison hantée. Pour sûr, tu l'as vu bouger. Son arbre est assez haut pour que tu aies besoin de son aide pour mettre l'étoile au sommet. Feignant l'ignorance, t'ayant regardé de loin batailler pour essayer de la mettre, il finirait par venir t'aider son torse collé à ton dos, un sourire charmant aux lèvres.

­ ­ ­ ­ ✧­ ­ ­ ­Au final, tout se passe pour le mieux, et pourtant le 24 décembre tous les cadeaux finiront par se trouver sous le sapin qu'aura choisi l'intendante de la maison, ayant oublié que les frères et sœurs Kamisato en avaient déjà acheté deux.

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─ ­ ­ ­ « J'ai comme l'impression que [T/P] ne pourra qu'aider que l'un d'entre nous. » Fit remarquer l'hérité des Kamisatos ses bras croisés sur le haut de sa poitrine. « N'es-tu pas d'accord. »

─ ­ ­ ­ « Effectivement. Cependant, mon frère, n'es-tu pas souvent occupé ces derniers temps. » Mentionna la plus jeune des deux, les bras aussi croisés sur sa poitrine regardant les deux arbres côte à côte. « Nous nous occuperons bien aussi du tien. »

─ ­ ­ ­ « Mademoiselle... Jeune maître... » Pleurnicha Thomas, juste derrière eux alors que tu restais inconsciente de la guerre silencieuse entre les deux Kamisato. « S'il vous plaît. »

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Masterlist ・ Christmas Calendar 2022

[mistywaves98]

Back with the super self indulgent drabbles to cope with my horrible mood rn

Rebellious! Scara and reader who has strict parents but he don't give a damn and fucks you while they're in the next room

It was no secret that your parents disapproved of Scaramouche from the start, from grim stares to the urgent whispers you got asking when he would leave. But after much begging and bribing on your part, they finally let him spend a night at your house. Just one, they said and you hastily agreed. It was a good thing your relationship was kept on the low from them. If they only had an ounce of suspicion that the two of you we're a thing, they'd probably file a restraining order on the poor guy. He didn't mind your parents and their attitude towards him though, the only reason he was there was to see you anyway; his innocent little girlfriend who's been sheltered all her life.

It was supposed to be simple cuddling on the your bed while watching a movie, but his hands eventually wormed their way beneath your skirt, palming your clothed pussy. Your gasp of protest was immediately silenced by his other hand clamping over your mouth as his lips brushed your ear, whispering in that husky voice,"Relax, if you don't want them to find out, then just keep quiet." Easier said than done.

To think your parents were just over in the next room, completely oblivious to the fact their sweet daughter was getting fucked in her bed. The way his cock slid in and out of your greedy walls was so addicting, you couldn't help the way your back arched, chest pressing against his as he practically folds you in half. Your legs thrown over his shoulders, one hand on your neck to keep you in place while the other remained pressed against your mouth.

Scaramouche grinned as he felt drool coating his palm as he increased his pace, going fast and hard as your nails dug into his bare back. Your pussy clenched around his length even harder, as you moan out something sounding similar to 'g-gonna cum..!' He felt his face flush with excitement when he heard that, eager to see you fall apart beneath him. "Cum for me, like the good little slut you are...Fuck—! Taking my cock so well, baby..."

You didn't need to be told twice. Your legs shook as you squirted around him, cum gushing all over his cock and dripping onto the sheets. Your eyes rolled to the back of your head as a loud moan keened from your throat, making him push his palm against your mouth even harder in an attempt to silence you a bit. Scaramouche came shortly after, spilling his hot seed into your abused pussy.

His eyes glinted with satisfaction as he pulled out, watching your mixed fluids run down your thighs. He brushed away some hair sticking to your cheek as he looked up to gaze into your tired eyes, leaning in to press a loving kiss to your lips,"Hmm..did so well f'me. You looked so pretty cumming on my cock, such a precious little thing...now let's get you cleaned up before your parents find out, yeah? I think I can hear some footsteps in the other room..."

[clouvu]

What would I give to live where you are? What would I pay to stay here beside you? What would I do to see you smiling at me?

Furinde Little Mermaid AU

[lovesickeros]

☆ even the gods bleed

{☆} characters furina, neuvillette {☆} notes cult au, imposter au, multi-chapter, gender neutral reader {☆} warnings blood, injury, light angst {☆} word count 2.3k

What was justice?

Focalors had asked herself that question many times during the long nights she spends awake pouring over the prophecy of a dead God, words replaying in her mind like a broken record until the sun rose like a blooming flower.

She was the God of Justice, an Archon, yet she herself lacked the answer to such a simple and yet so very complex question.

How does one define what is just and what is not? How does she know that what she believes to be just is right? Is it justice if one being alone may sway the scales of justice on a whim? What justice is there to be found in the cold, watery grave that awaits her nation?

She does not know.

Perhaps she may never know.

What she does know, at least, is that this is not justice.

It is a mockery of it.

She stands before the bloodied, broken body like the judge, her sword held so tightly in her hand her fingers feel stiff, a dull ache adding to the weight of what she's seen. For a long, horrible moment she almost thinks they are dead – something she would have reveled in, only a day prior – before she sees the subtle rise and fall of their chest. Breathing, but barely.

The rain felt heavier upon her shoulders at the realization – she was not sure if it was in relief or horror.

Her nails dig into her palm, mind stuck somewhere between that abject horror and confusion so palpable she swore she could hear the gears in her head turning.

For a long, silent moment as she stares upon the body beneath the heavy rain..she wonders if this is how it all ends instead. If the world itself will simply crumple in on itself and cease – without its heart, it will wither, after all – long before the waters ever swallow her nation whole.

Because, try as she might to rationalize it, for every drop of rain that hits her like pins and needles, soaking her down to the bone..the body of the imposter is completely dry. Even the water pooling along the stones dares not to leave so much as a splotch against their ragged, torn clothes.

She remembers the meeting so very clearly, and she thinks she is a fool to not have noticed sooner – the Creator upon their gilded throne, finger pointed in accusation at the visage far too similar to their own. The imposter. She remembers the lilt of their voice as they called for their death as easily as one would speak of the weather – and to no one other then herself would she admit the spark of fear it had ignited within her. Because beneath the divine charade there was a sick enjoyment in the way they looked upon the imposter – like a bug beneath their shoe.

She understands, now.

She had thought that perhaps finally – finally – she could do right by her people, by her Creator, if she rid Teyvat of this..intrusion.

Now she sees herself as what it all really is – blind lambs following the herder.

Perhaps she would be considered a heretic under the eyes of the law – beneath the weight of justice, heavy as the heart that bears its sins. Perhaps this is a mistake, one she would come to regret.

But for now, she sheathes her blade with unsteady hands, the sound making her ears ring – for what she had almost done, what she had already done – as she stumbles like a newborn lamb towards the broken body of..

..What, exactly? Human? Divine? She is not so sure what to call them. Creator? No. The name is bitter upon her tongue, now, burning like liquid flame down her throat.

Where once she had spoken it in reverence and admiration, it felt hollow and empty, now.

Her vision wavers as she kneels down against the rain soaked stones, the rain upon her back growing heavier as she reaches a shaky hand forth – and for a moment, however brief, she feels the weight of expectation, of a title she fears she may never live up to, wash away with the waters that fall from the heavens.

The bruises and blood smeared across their skin are like strokes of a paintbrush, their body the canvas from which such horrid art is created. It makes her ill.

Doubt wavers her composure briefly – her position is already unsteady. She has never been seen as an equal to many of the other Archons. Her own people do not see her as their Archon, but an actor in a grand play that they shall simply toss aside and replace like a broken doll the moment she bores them.

What does she have left to lose?

She reaches out again, her hand settling onto their shoulder and turning them onto their back. She..isn't sure what to do, actually. She's never been particularly physically capable – she tended to avoid fights, even if she oft provoked them – and she was certainly no healer.

Yet what choice does she have but to march on anyway? She is in the heart of the city, it is far more dangerous here then anywhere else..she had little time to make her move.

Fontaine was, after all, a nation founded on the principle of justice. To know an injustice has been made against the most Divine..the entire nation was in a frenzy.

Her eyes dart around nervously, hands clasped tight on their shoulders and her lips drawn into a taut line – someone would notice her absence. One of the Archons would point out her absence in the coordination of the search.

Her options were just as limited as her time – she couldn't just take them out of the city. Security was tight, and as much as she fancied herself an escape artist – Neuvillette could hardly keep her in one place for too long – she doubted she could do the same with the limp body of the imposter in tow.

..The Palais Mermonia it was, then.

Her room had a secret entrance that few knew about, and even fewer would dare to traverse. She just..had to hide them there for a bit and hope Neuvillette wouldn't notice anything different.

Probably.

Still, there was the problem of actually..transporting the body. As grim as it sounded. Her only solace was the fact she didn't have to worry about them catching a cold, at least, and their breaths were still audible, if only barely. So she had to resort to some..unexpected methods.

Seeing the limp form of, well, the imposter – she'd really have to ask for something else to call them when they woke up – stuck in a bubble of hydro wasn't exactly on her bucket list.

Then again, neither was treason.

Well, first time for everything, right?

It wasn't breaking the law if no one else knew about it.

..Neuvillette didn't have to know about it, really. It was fine.

She could, of course, technically try to talk some sense into Neuvillette – he'd listen to her, right? She thought she was pretty close with him..but he was also the one person more obsessed with justice then she was. Such a stickler for the law..so maybe she's breaking a few, it's fine.

But he was also pretty devout, as much as he tried to keep his worship private – with Focalors around, nothing was really secret. Maybe she could get him to settle down long enough to prove it.

..How was she going to prove it?

An exaggerated groan escaped her lips as she led the bubbled imposter – she really wished she didn't have to resort to that, it would be a lot a more awkward to explain then dragging the body around – through the winding streets of Fontaine. She's just glad she's already memorized the entire city like the back of her hand..and a little dramatics went a long way. People listened when the Hydro Archon spoke, and she was suddenly very, very glad for that fact, even if they treated her more like a mascot then a God.

And partially because she, maybe, just a little..stole a few documents detailing the layout and a little personal exploration of her own – but what Neuvillette didn't know couldn't hurt him!

After what felt like hours, though was really no more then half an hour at best, she'd managed to drag herself – soaked to the bone with rain – and the conveniently bubbled imposter up through the secret entrance and into her room.

The perceived safety, as flimsy as it was, was..comforting. Until she heard the rustle of fabric, the clearing of a throat and the pop of a bubble as she, in her surprise, popped it – and then the thud of the imposter hitting the floor.

She felt a bit of regret about that part, at least, wincing.

"Lady Furina." His voice was as sharp and cool as she remembered it always being – like fresh spring water, she'd heard it described. Soothing. It did not feeling very soothing right about now.

She turned sharply on her heel, a forced smile tugging at her lips on reflex, every muscle in her body tensed – she probably looked like a wet cat right about now, soaked with rain, but that was the last thing on her mind.

"Do you mind explaining what, exactly, you did?" Not what you're doing, she notes – what she did. He was mad. Oh, she was really in for a scolding now. She twiddled her thumbs, laughing weakly, though it quickly dies out at the awkward, tense silence.

"Well, you see – it's rather complicated! I can– I can explain." Her attempts to diffuse are met with a raised brow and the sharp tap of his cane. Every single thought is plagued with the urge to run, but the unsteady breathes of the 'imposter' keep her rooted in place. "Well?"

She was sweating bullets, her nails digging into her palm as she scrambled for any excuse that could warrant her not getting hauled off and scolded thoroughly at best – she was coming up empty. How was she supposed to prove that the 'imposter' was very much not what the 'Creator' said they were? Their unconscious body was doing no one any favors, certainly.

"The Creator is lying," She blurts out, immediately regretting her impulsiveness when she feels the sudden weight of his stare – the piercing hues of his eyes that remind her just who is the strongest between them. It is not her, she knows. It never has been. "You can see for yourself! Don't you trust me, Neuvillette–?"

Her voice is cut off by the sharp click of his cane as he strides across the room in only a few steps, his height making her feel like a child about to scolded. She hated it, but she grit her teeth through the exchange. She reminded herself that this was for the sake of the 'imposter' and any affront to her ego was..tolerable.

To her credit, too, she didn't immediately lash out when she saw him poke at their body with his cane, turning them onto their back – she wanted too, though. She considered it, but the thought was quickly shot down when his stare turned back upon her, and she felt frozen in place again, her tongue a heavy weight in her mouth.

Yet she couldn't shake the sudden tenseness to his shoulders, his brows furrowed and a distant look to his eyes. It was..haunting, in a way.

She knows it well, she realizes. The realization and acceptance, the crumbling of every solid foundation you've ever known – leaving you to flounder in the waves, alone and afraid.

The gentleness in which he picks up the limp body surprises her though, his cane set aside. The rain howls like a horrid storm outside, but she cannot focus on anything but the furrow of their brows, the soft noise that escapes their lips.

"I trust that you know that this must stay between us," His voice is soft, like the gentle lap of waves against the shore, as he sets their body down against the bed, his hand lingering against their cheek with something almost like reverence – and if her eyes do not deceive her, affection. "Lady Furina."

She does not hesitate to agree.

"Well– well of course!" She huffs, crossing her arms over her chest and frowning at the feeling of her wet clothes clinging to her skin, a heavy weight that feels like it's dragging her down. "Just what do you take me for?"

He doesn't deign to respond.

It only makes her fume more.

Not that he seems to notice, unbuttoning his heavy outerwear and tossing it on the bed, rolling up his sleeves and focusing on the injured– er..yeah, she really needed a new name for them. Calling them imposter felt wrong.

"So long as you understand, then we will have no problems." She huffs again, pouting and puffing up her cheeks, sitting down on the other end of the bed with only an occasional glance towards him as he worked at peeling away the ragged clothes and examining the injuries marring their skin.

She suddenly felt out of place.

..What was she supposed to be doing?

As if noticing her sudden quietness, Neuvillette sighed, his back turned to her though his attention very much falling upon her. She really hated the feeling like she was being dissected whenever he looked at her. It was unnerving. She doesn't know how anyone else handles it..

"If you are so eager to do something, Lady Furina, then please have something brought up for when our..guest awakens. They will need to recover their strength."

Finally! Something she can do. She perks up, her heels clicking on the floorboards as she darts out like a bullet, unable to stay still for so much as a moment.

Neuvillette, for his part..

Feels an odd sense of serenity as he stares upon the troubled features of the..guest. A peace that lessens the burdens upon his shoulders, the weight of a nation upon his back.

He cannot hear the rain, anymore.

..It must have stopped.

[cat-toess]

🂡🂡 LOVE SICK 🂡🂡

Summary ✄: In which, Lyney is unbelievably, heads over heels with you.

Tags ✄: fluff, strangers to lovers (soon hehe), mid-length (sort of) one-sided pinning (for now...) gn!reader (intended, I sincerely apologize if not, please message me if you find any mistakes in terms of this topic! I will do my best to improve my writing :D)

Notes ✄: Lyney come home, please. I beg of u. come home at 15 pity (on my knees sobbing and crying rocks) pspspspspspspsps

P.S: I will be revising this even after this has been published, so if you find any grammatical errors then it might be fixed the next time you check <3 might even add paragraphs- so if you want, make sure to check in regularly!

Ft Lynette, being the best wing woman in the history of teyvat.

PART 2 ✄: Lovesick pt.2

Lynette was always supporting Lyney. Whether it was behind the scene or in front of the audience of their spectacular magic shows. Always wanting the best for her brother, silently looking out for him (although she may not show it directly on her face).

But there were some situations where she could not back up her dear brother. 

Said ‘situation’ being her brother's ridiculous one-sided crush on you, a stranger turned friend that Lynette had met while shopping for some new tea brews. You, a fellow tea enthusiast, passing by recommended her some of your favorites. Which ended in a lengthy conversation between you and her about the teas of the world. 

Now this wasn’t the usual silly crush Lyney would have that only lasted (at best) 1 week. No he was horrendously down bad. Even Lynette, who had no experience in the romance department mind you, could notice her brother's admiration to you immediately. Hell she could probably spot his stupid heart eyes all the way from Celestia. 

It was only a matter of time until the entirety of Fontaine and their grandmothers and children knew of Lyney’s infatuation with you. 

This led her to her current predicament. 

“Lynette please, do your lovely, wonderful and majestic brother one favor! Introduce me to your ethereal friend from earlier!”  Her brother dramatically whined. Clinging to his sister's leg like it was his lifeline. 

“I would if you weren’t being such a creep about them, you’ll scare them away if you meet them in such a state.” Lynette grumbled. 

Even Freminet, who usually kept to himself started to feel bad for Lyney. 

“Lynette, it wouldn’t hurt to introduce Lyney to Y/N, would it?” He asked. Looking down at Lyney who was close to tears.

“Thank you Freminet! See Freminet sides with me!”  Lyney exclaims, gesturing to Freminet, who is quietly sitting in a chair minding his own business. 

“Fine, I’m meeting them today at Café Lucerene. I’ll introduce you to them there, okay Lyney?” Lynette sighed in annoyance (though she was a little happy since she’s never seen her brother so mesmerized with someone.) As soon as she says those words, his face lights up almost immediately, the signs of sadness are long gone from his face. Lyney jumps up to Lynette to go in for a hug. A hug that she swiftly dodges with a sour expression.

“I truly owe you my beloved sister! But before that mind helping me pick out a few strategies to greet Y/N? I can’t fumble my charming first appearance with my future lover, can I?” Lyney giggles, like a young school girl in love Lynette thinks. 

“Fine…” Lynette murmurs. 

——

By preparing, Lynette thought her brother would only ask her opinion on how to greet you or what to compliment about you first.

She didn’t mean to agree helping out her brother immaculately plan a custom-made show for you. 

“Lynette! Which bird should I pull out of my hat? The classic magician favorite, the pigeon? Or the epitome of love, the dove? Or maybe my dearest may prefer one of those weird exotic birds from Sumeru? What were they called again?” Lyney pondered for a second before Lynette interrupted his thinking. 

“You mean the dusk bird?” Lynette quips. 

“Yes that one! Or maybe something bigger? Like a sumpter beast? Or even better a Phantasm-“ 

“Lyney! You are not summoning dangerous beasts through your hat, also what if they attack Y/N?” Lynette says as she rubs her head. Maybe Lyney's stupidity was finally starting to rub on to her.

“Hmm, you have a point a suppose, however would I marry them if they were buried 6 ft below me.” Lyney dramatically exclaims placing his hand on his forehead. 

Lynette sometimes worries about her brother these days, ever since he met you, he keeps feeding himself delusions that you two were meant to be. He even had a whole life plan for the two of you, he decided that your first child should be named Lyney/Lynette jr (depending on if they were a boy or girl, her brother had said) .

“Wait a moment… Lynette I have the most spectacular idea, listen closely.” Lyney blurted out, an imaginary light bulb appearing on his head.

—— 

Now here she was, hiding at a nearby table at the Café she and you were supposed to meet. Originally you two would meet here to exchange tea brews you found over the week and have a brief talk about them. But this time it was different. 

The first part of the sibling's elaborate plan was to tell you that Lynette was sick so her brother Lyney came to pick up the tea instead. 

So here Lyney is standing near the table, patiently waiting for (his soon-to-be) love of his life to arrive. As if on cue you arrive and Lyney is already enchanted with your appearance. Ogling at you like a hopless person in love. Lynette had never cringed so hard in her life.

Lynette has to stop the insane urge to groan at her brother's antics. 

“Hi Lynette, the green tea this time is- Oh? You’re not Lynette? “ You say in confusion, staring at the young man in front of you. You had seen him before on posters and the front page of The Steambird and all that, so you were surprised at the least to see a famous face instead of Lynette (who was also famous, but that aside) 

“Greetings, exquisite friend of my sister.” Lyney bows, but as he tips his hat a swarm of doves fly out of his hat. “I am Lyney, Lynette’s brother.” He says as he magically makes a bouquet of rainbow roses appear in his hand, and gives them to you. 

Who knew Lynette's brother was such a charmer. 

“Oh hello, nice to meet you Lyney. I’m Y/N” You say politely flashing him a smile (one which made his stomach do flips) 

“No need to introduce yourself, I’ve heard so much about you from my sister.” He says, revealing a charming smirk of his own.

“ I see, if I may ask where is Lynette today?” you ask out of curiosity, looking around searching for your fellow tea lover. (sorry if you don't like tea)

“Ah, sadly my darling sister is sick today, so I have come instead of her to pick up the tea. I accepted the offer as soon as she mentioned it. Who would want to miss the opportunity to meet a person as beautiful as yourself.” He comments, gently holding your hand as he brings it up to his mouth to kiss the front of your hand.

Lynette was praying to Celestia and all the beings above that her brother would choke on his own spit.

“Why, thank you.” You say, not expecting to be drowned in compliments by this stranger. Your demeanor goes from calm to slightly flustered in a matter of minutes. (I mean who wouldn't with Lyney around, honestly)

Lynette internally wonders what could you ever possibly see in that obnoxious brother of hers? 

For a while you two engage in a friendly conversation about simple things like the weather and so on. Soon enough you two get more comfortable as Lyney starts to show you a variety of magic tricks.

"No way you're actually getting my card-"

"Is this your card?"

"You weren't joking-"

Lynette sighs as she starts preparing for phase 2. 

The second part of their scheme was to get Lynette to conjure a strong gust of wind to knock you off your feet so that Lyney could catch you and scoop you up. Like in those popular plays. 

This much should be enough. Lynette thinks to herself as she summons a gust of wind headed straight to your direction. Aimed at you of course. 

But what is this? The wind blows a little off track and hits Lyney instead. 

The next few seconds were like they were in slow motion, Lyney has a surprised expression on his face as he plummeted down to the floor. Lynette is laughing at her brother. Holding her stomach and rolling on the floor (an unusual sight for the people watching the scene unfold, only used to the cool and composed Lynette.)

That is until you grab Lyney into your arms last second and suspend him a few centimeters above the ground.

Would you look at this? Lynette thinks. 

The plan had completely backfired. 

Oh well, her brother would be delighted with the results either way. 

“Are you okay Lyney?” You ask concern lacing your voice. 

Lyney thinks his name never sounded prettier than when it came from your lips, with your voice. 

“Yeah I am, sorry about that.” The usually flirty and confident magician is nowhere to be found. His cheeks were tinted with a rosy hue of pink as his mind went in spirals. 

“No problem, it was nothing.” 

An awkward yet (sort of) romantic silence envelopes both of you. The two you staring at each other's eyes and shyly glancing at each other for a few minutes. 

Lynette was a hair away from barfing up all of her breakfast and possibly her internal organs. 

You were the first to snap out of the trance like state.

“Well, I have to go soon… I’ll see you later I guess?” You ask, waving your farewells to the blonde. Slowly heading back home.

“Yeah, see you later.”  Lyney waves back, a smile adorning his gorgeous facial features. 

Lynette pops out of her hiding spot, and takes a metal note of her brothers' expression. 

“You’re down bad, aren’t you?” 

“Lynette!” 

@cat-toess 2023 please do not plagiarize or copy on other sites <3 Reblogs are appreciated, but please give credit :D if you have feedback please refrain from being offensive <3

The amount of horrible grammatical errors I found in this is crazy- I sincerely apologize 🥲

Some of my other posts with Lyney...

❁ Lyney Hcs