Tumgik
#je mord pas
a-devious-route · 5 months
Note
je sais pas si tu prends les requests/suggestions, mais si c'est le cas, j'apprécierais beaucoup quelques avatars de mike faist de ta part! j'adore ta patte
Salut à toi!
Je n'ai en effet pas statué si je prenais les suggestions/requests parce qu'à vrai dire, je ne suis pas mal inconstante niveau création depuis la dernière année. J'y vais donc pas mal au feeling et je fais ce qui m'inspire quand la vague de motivation arrive 😪 - mais je ne suis jamais contre les suggestions!
Si jamais tu as une galerie d'image de Mike Faist, je ne serais pas contre d'essayer de faire quelques avatars voir ou ça m'amène (si tu n'en as pas c'est pas grave, mais c'est toujours apprécié, ça me sauve quelques heures de recherche hehe)!
Je te souhaite une belle journée! 😌
1 note · View note
clhook · 5 days
Text
Chaque année avec tous les bibliothécaires de mon territoire on fait une journée d'étude et chaque année je vois donc une gonze que je ne supporte pas car elle se la ramène toujours pour poser des questions à la mords-moi-le-nœud et tout rapporter à elle je la trouve hautaine et bête mais tout le monde semble l'adorer et la trouver intéressante je ne comprends pas j'ai donc fait d'elle mon ennemie mes collègues trouvent ça hilarant et chaque année quand on est au séminaire ils me disent "alors tu as vu ta némésis ou pas encore ?" cette année bizarrement elle n'a rien dit pendant les conférences MAIS elle s'est assise juste derrière moi et elle m'a toussé grassement dessus pendant 3 heures 🤡
26 notes · View notes
e642 · 3 months
Text
Je me sens triste, surtout le soir quand je suis dans mon lit et que j'attends le lendemain. Les journées, les moments, les gens ne sont pas satisfaisants. Je ne crois pas avoir déjà eu un entourage si minable et transparent. Je vois les gens, par dépit, par politesse, et je ressens une vague de léthargie à chaque fois. Je n'ai pas commencé à parler que je me demande quelle excuse je vais dire pour partir. J'ai souvent entendu que la "somme" des 5 personnes les plus proches de nous, nous représentait beaucoup... c'est affligeant dans ce cas. J'ai beaucoup de chagrin parce que je n'ai aucune conversation ou aucun esprit à qui le confier, ou plutôt, qui saurait l'accueillir. Je côtoie des gens qui n'ont rien à voir avec moi, dont les dissemblances sont presques bruyantes, dont le regard n'a pas de douceur quand il bute sur ma silhouette. Un garçon -à qui j'accorde autant- ne m'aura jamais fait me sentir aussi banale. En fait, quand tu sens que la personne t'aime comme elle aimerait n'importe qui alors tu te demandes à la fois ce que vaut son amour et ce que tu vaux toi. Si j'écris sur Tumblr depuis autant de temps, sur les mêmes sujets, les mêmes personnes, les mêmes émotions c'est bien que ça n'a jamais pu être verbalisés ailleurs qu'ici. Il m'arrive souvent d'avoir envie de pleurer avec les gens ces derniers temps mais au dernier moment, je me mords la lèvre au sang et je me rappelle qu'ils ne méritent pas ma faiblesse. J'ai pas trouvé quelqu'un capable. Capable de tout. Capable d'être le minimum syndical requis pour un être humain. Je ne suis pas exceptionnelle, je le sais, jprefere le dire, je peux laisser l'impression de l'inverse. Je regarde tout se casser la figure et je suis la personne qui me dit "tu vois, je te l'avais dit" en prime. Je sais pas si je me déteste ou si j'ai pitié de moi. J'aurais juste réellement besoin d'une étreinte si délicate et pointue, quelle viendrait recoller certaines choses, peu importe si ça ne dure que quelques secondes. J'attends de ressentir cette bonté et cette sincérité dans les liens mais je ne l'aperçois pas ou seulement quand la personne a quelque chose à se faire pardonner. C'est si ingrat de faire mieux juste pour empêcher la remémoration du faire de la merde. Voilà ce qui m'attriste au fond, et ça marche pour tout, c'est la motivation des gens à se comporter comme ils le font. Ce n'est jamais désintéressé. Ce n'est jamais pur. Ce n'est jamais clair. Ce n'est jamais bienveillant. Il y a forcément un moment où c'est plus tentant de se permettre l'inacceptable. J'aimerais bien savoir ce qui donne ce sentiment de légitimité pour faire ça.
27 notes · View notes
blinding-lights-rpg · 6 months
Text
OUVERTURE DU SERVEUR DISCORD
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Le serveur discord de BLINDING LIGHTS ouvre officiellement ses portes !
>> rejoindre le discord
La préouverture du forum aura lieu le 29 Mars pour la communauté discord, et se poursuivra jusqu'au 4 Mai, une période d'un mois qui permettra à chacun·e de prendre ses marques, de s'installer et de créer des liens avant l'ouverture au reste des joueurs·euses. Ça nous permettra aussi à nous de modifier ou de revoir des petites choses en fonction des retours des bêta testeurs. (Oui parce que personne est parfait mes vies, et surtout pas nous ehhhh)
Toustes celleux qui songent à rejoindre le forum sont les bienvenu·e·s à tout moment s'iels souhaitent brainstorm à plusieurs, discuter de potentiels liens et participer à la préouverture. On adore se creuser la tête et construire des choses ensemble, alors si vous voulez venir avec des ébauches et réfléchir avec la communauté sur ce que vous pourriez faire, n'hésitez pas à nous rejoindre !
Merci à toustes pour l'engouement que vous avez montré ces derniers jours envers ce projet qui nous tient tant à cœur et qu'on a gardé tout ce temps au chaud !
J'allais dire "on mord pas", mais je crois que ça fait has-been, alors non, on mord pas, mais on casse des dents à la place. 🤜🦷
Dates à retenir :
29 Mars à 22h (horaire changeante toutes les 2 minutes) : Préouverture du forum pour la communauté discord 4 Mai : Ouverture officielle du forum
26 notes · View notes
nova2cosmos · 5 months
Note
Tumblr media
Alors heu j'ai vu un de tes post donc- et que euh..- voilà
en mode euh
(J'ai hésiter à demander car je stresse très facilement)
(Mais si tu veux pas répondre tu peux ignorer, je dit sa car si j'ai mal compris ton post je vais plus aller sur tumblr pendant plusieurs jours car j'aurais eu honte et j'aurais stressée)
Aussi mon "perso" Wisk bah sa vien de undertale j'ai fait un au et Wisk est très simple à dessiner car la seul couleur qu'il y a c'est du gris très clair et les yeux de son blaster gaster
Bref et aussi passe une bonne journée
(PS: j'ai du refaire mon ask 4 fois avant de finalement appuyé sur le bouton car je stressait )
Tumblr media
chill je ne mord (rarement) pas t'inquiète ton perso est tres cool et mignon;3
29 notes · View notes
cricxuss · 1 month
Text
Tumblr media
PLAISIR DE LECTURE
--- TEXTE EROTIQUE de LOUISE DUMONT
Tu es étendu sur le lit, tout nu, la lumière tamisée, tu te crois seul, mais je vient de rentrer. Je t’entends bouger doucement, je t’observe, je vois tes mains qui caressent doucement ton torse, qui glissent sur tes hanches, sur ton sexe qui palpite à ton toucher. Tu joues avec les poiles qui l’entoure, une de tes mains va plus loin vers tes couilles. Ta main droite glisse tout autour de ton gland et le serre lentement, je vois une goute de sperme qui brille, j’entends un petit gémissement, je crois que tu t’imagines des choses érotiques, ton sexe gonfle, s’érige, tu le serres plus fort, un vas-et-viens, j’ai des frissons d’un coup, j’ai envie de poser ma bouche, de te prendre entre mes lèvres et continuer mais je reste te regarder. Tes gémissements se font plus fortes, ta main caresse, masse, joue avec le bout de ton gland, jusqu’à ses racines, tes autres doigts prends tes boules, les serrent pour plus de plaisir. Un cri étouffé, tes hanches qui ondulent, se soulèvent, tu écartes tes jambes plus fort, tu t’abandonnes à des milliers des sensations solitaires, je m’enivre, je mouille, alors, je descends ma main et je me touche, mon clitoris qui réagit violement, je me mords les lèvres pour ne pas gémir et t’effrayer.
Je sens les coups de tes reins dans mon ventre en feu, je sens mes doigts qui glissent, qui te remplacent, je m’imagine ton sexe dur qui m’enfonce, je te regarde toujours, tes mouvements de plus en plus rapides, j’ondule, je me frotte contre le mur, ma tête en arrière, je te regarde, encore et encore, plaisir exquise de voleuse de sensations, tu t’attrapes avec les deux mains, tu serres fort, tu cris presque, ton sexe érigé et gonflé à l’extrême, un jet de sperme qui jailli d’un coup de râle animal que je ressens au plus profond de moi-même. Tu te relâches doucement, je reprends mon souffle, je glisse au long du mur et je ferme les yeux dans une chaleur béate…
P: Louise Dumont
ART Stephane CZYBA
13 notes · View notes
decrescxndo · 9 months
Text
Tumblr media
A la recherche d'un forum fantastique, mais sans 123123 annexes longues comme le bras à lire ? A la recherche d'un forum vraiment chill, avec 2 mois pour faire un rp, et où vous avez le droit de poster de longues absences sans que l'on vienne vous emmerder pour savoir où vous êtes ?
C'est ce qu'offre BEHIND THE VEIL, un forum low fantasy situé sur une île inventée au large de la Caroline du Sud et à la frontière du triangle des Bermudes. 👀
N'hésitez pas à nous rendre une petite visite, que ce soit juste pour regarder, ou pour nous rejoindre. Promis, personne ne mord !
Je vous remet le lien si jamais : https://behind-the-veil.forumactif.com/
20 notes · View notes
quemajoiedemeure · 10 months
Text
Au taf je m'occupe d'un gamin autiste, il est mis dans une classe de ce1 normale mais il veut faire aucun travail scolaire donc il refuse d'apprendre notamment à lire et écrire mais il refuse aussi d'écouter le moindre truc dit par la prof et même de regarder le tableau et de s'asseoir devant son bureau, la plupart du temps il joue aux legos au fond de la classe mais au bout d'un moment il s'ennuie donc il va emmerder les autres gamins et les empêche de se concentrer, moi je suis sensé être là pour l'aider à faire du taf scolaire mais comme il en fait pas j'essaie de lui apprendre quelques trucs autrement, il est très intelligent il connaît plein de choses mais il part en vrille très vite, au début de l'année ça allait encore mais là tous les jours il fait des crises, il hurle il tape il mord il veut se faire mal (se couper les doigts avec des ciseaux les coincer dans une porte se taper la tête sur des trucs), au début ça durait une demie heure mais hier ça a duré 3h de suite et j'avais aucune marge de manœuvre j'ai aucune formation je suis pas educ spé et je sais juste honnêtement pas quoi faire donc ça devient vraiment épuisant pour tout le monde honnêtement j'ai même plus envie de le voir parce qu'à chaque fois c'est pire
24 notes · View notes
lisaalmeida · 10 months
Text
Tu joues tous les jours avec la lumière de l’univers.
Subtile visiteuse, tu viens sur la fleur et dans l’eau.
Tu es plus que cette blanche et petite tête que je presse
comme une grappe entre mes mains chaque jour.
Tu ne ressembles à personne depuis que je t’aime.
Laisse-moi t’étendre parmi les guirlandes jaunes.
Qui inscrit ton nom avec des lettres de fumée
parmi les étoiles du sud?
Ah laisse-moi me souvenir comment tu étais alors,
quand tu n’existais pas encore.
Soudain le vent hurle et cogne ma fenêtre close.
Le ciel est un filet chargé de sombres poissons.
Ici viennent frapper tous les vents, tous.
La pluie se dévêt.
Les oiseaux passent en fuite.
Le vent. Le vent.
Je ne peux lutter contre la force des hommes.
La tempête entourbillonne d’obscures feuilles
et libère toutes les barques qu’hier soir on amarra au ciel.
Toi tu es ici. Ah toi tu ne fuis pas.
Toi tu me répondras jusqu’au dernier cri.
Blottis-toi à mon côté comme si tu avais peur.
Pourtant une ombre étrange a parfois traversé tes yeux.
Maintenant, maintenant aussi, petite, tu m’apportes du chèvrefeuille,
et jusqu’à tes seins en sont parfumés.
Pendant que le vent triste galope en tuant des papillons
moi je t’aime, et ma joie mord ta bouche de prune.
Ce qu’il t’en aura coûté de t’habituer à moi,
à mon âme esseulée et sauvage, à mon nom que tous chassent.
Tant de fois nous avons vu s’embraser l’étoile du Berger
en nous baisant les yeux
et sur nos têtes se détordre les crépuscules en éventail tournants.
Mes paroles ont plu sur toi en te caressant.
Depuis longtemps j’ai aimé ton corps de nacre ensoleillée.
Je te crois même reine de l’univers.
Je t’apporterai des fleurs joyeuses des montagnes, des copihues,
des noisettes foncées, et des paniers sylvestres de baisers.
Je veux faire avec toi
ce que le printemps fait avec les cerisiers.
– Pablo Neruda
Tumblr media
20 notes · View notes
orageusealizarine · 6 months
Text
ferme les yeux au moment de… - je veille, je veux rester lucide, plissée, lisant tant bien que mal à ton corps les sursauts et les plénitudes, je me modère et me ruisselle - refus d'abandon, joie crispée pour voir tonner la tienne - orage si fertile, ondée si salutaire (je meurs de soif au pied de ta fontaine) : la canicule qu'en plein hiver tu me fais - nuits brûlantes sans autre source que le soleil qui point à l'intérieur.
alors, pour supporter - aurore, chaleur, sécheresse - je me dénude. rabattant draps et couvertures - et dans ma gorge, c'est la nuit à peine, séchée. assoiffée. givré février sans écart. mais tu fais affluer mon sang à la surface de ma peau, tu fais bouffées et terres évaporées, arides : gerçures d'été qui fendillent mon corps et sans limite et sans retenu.
soleil - affolant - que je porte en moi, aride terreur qui me mine, tu fais - encore - affluer, à ma bouche, la salive (et je t'abreuverais si tu me le demandais - encore) - car tes prières font le soleil coupant. font le soleil humide. et ni la nuit ni l'hiver ne ternissent cette chaleur à l'intérieur.
la générosité de ton ardeur me dérive, me désancre et me soumet à un autre climat. érection solaire du verbe être que tout pressentait - et presque un siècle à mûrir ! à engendrer. mais mon avidité n'est pas parcimonieuse - elle mord à plein... dans cette chair généreuse, elle décroche - elle arrache, elle écorche - aux branches, les fruits. et les éclate avec les doigts.
ton silence - source fluviale à ma bouche quémandeuse. d'assèchement, excédée (mais de nos canicules, jamais), je ne crains pas de t'épuiser : désir renaissant toujours, source ne désemplissant jamais et soif jamais comblée - je peux attendre. une saison dans le lit desséché de la rivière...
afflux - dérive - désert - désir, tu dévies. dans l'éternel. entre puissance et plaisir. mes envies à ton corps et les liqueurs qu'il faut pour me désassoiffer, pour me combler et pour m'éclore (tonneau percé) - tu les connais. en secret. tu m'abreuves et m'arroses pour, fleurie, me saisir - rassasier la brûlure - soleil, à l'intérieur.
15 notes · View notes
carraways-son · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Vendredi
Il fait toujours beau / au-dessus des nuages / Mais moi si j'étais un oiseau / j'irais danser sous l'orage / Je traverserais les nuages / comme le fait la lumière / J'écouterais sous la pluie / la symphonie des éclairs. Zaho de Sagazan, "La Symphonie des éclairs". De son côté, la voix rauque de Stephan Eicher me chante à l'oreille : Je reprends un Campari Soda / Loin sur moi la mer des nuages / Le ventilateur ronronne doucement / C'est comme si je n'existais pas... Dominique Grandjean, "Campari Soda".
Et puis, dans le désordre : le bonheur sur mon visage le jour de mon mariage ; quand les Fitzgerald s'invitent la nuit sur mon écran ; quelques fruits de saison ; et la lune deux jours plus tôt. Je lis en ce moment "Le Murmure", de Christian Bobin, et je tombe sur : Le soleil est un chien qui mord le passant. La lune est l'indulgence même... J'avoue que parfois je ferme ce livre pour me replonger dans le magnifique recueil de Lydie Dattas (son épouse) qui réunit chez Poésie-Gallimard "Le livre des anges", "La nuit spirituelle" et "Carnet d'une allumeuse", trois trésors inépuisables. Alors, les anges sont partout.
9 notes · View notes
morphinedoutretombe · 4 months
Text
Quelle saveur a le bonheur ? Est ce si agréable de se sentir réconforter ? Qu'est-ce que l'amour ? Je croyais qu'en grandissant ses questions me paraîtraient futiles... Pourtant elles sont encore tapies dans un recoin de mon esprit... Je ne sais toujours pas si j'arriverais à dompter la solitude et l'amertume de mon passé... Devant je ne vois que le vide... Que ma santé qui se dégrade... Alors je ferme les yeux et j'imagine que je n'existe plus... Pour oublier le poids de ce fardeau... Je hais la petite voix dans ma tête qui voudrait s'exprimer au grand jour... Celle qui se fiche de tout... Qui attend impatiemment que la folie prenne le contrôle... Je me mords la langue jusqu'au sang... Aucun son ne doit sortir... Tout me blesse... Le silence restera à jamais mon unique allié... Dans l'isolation, j'ai compris que la punition n'en était pas toujours une... Dans ma prison, tout est possible... Le monde extérieur est trop dangereux pour une âme comme la mienne... Mon besoin d'aimer finira par se taire... Je l' espère plus que tout... Mes larmes me suffisent... Et on ne pourra jamais me les interdire... Aussi loin que je sois, je ne pourrais plus faire souffrir les autres même par maladresse... Certains êtres ne peuvent vivre qu'en cage... La vie m'aura au moins appris cette leçon...
11 notes · View notes
e642 · 5 months
Text
Je me sens triste. L'impression que les connaissances m'échappent. Que la vie me broie. Qu'il n'y a plus rien à faire. J'ai eu ma mère au téléphone et elle me parle d'assurance vie, ça me donne la sensation que je vais la perdre précocement et ça me fait beaucoup de peine. La solitude me pèse aussi. N'être attendue nulle part c'est bien uniquement quand on a envie d'être attendue nulle part et par personne. J'occupe le temps comme je peux mais souvent c'est pas suffisant. J'ai des temps d'écran affolantes tout ça parce qu'une fois le cours lu, j'ai rien d'autre à faire. C'est la première fois que mon mec me manque je crois. Qu'il me manque vraiment je veux dire. Je pleure fréquemment sans réelle raison. Je sais juste que ça arrive si rapidement que j'ai pas le temps de faire quoi que ce soit. Il y a plein de choses qui tournent dans ma tête. Des fois, je me dis que j'ai fait une erreur en pensant que javais plus assez besoin d'aide pour continuer à voir un psy. Je suis tout ce qu'il y a de plus bancale. Je fais des efforts, vraiment, et pourtant je me sens toujours autant grignotée par un chagrin qui puise sa source dans tout. Peut-être que c'est tout ce que je mets de côté, surtout les gens et les interactions, qui me revient dessus. Peut-être que je souffre plus de la solitude et de ma présence que je veux bien le reconnaître. Le temps passe et ça m'est toujours aussi pénible de voir comme rien de bouge, des années que je suis la même gosse triste assise derrière un bureau en attendant un truc qu'elle ignore. Je m'efforce de me rappeler que ça va passer tout ça, cette énième crise de panique aussi, mais c'est pas parce que ça passe que ça ne revient pas. Tout est une violente agression, une alternance de désagréable et de moins désagréable. Je suis le serpent qui se mord la queue.
17 notes · View notes
etoilementeuse · 27 days
Text
diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark 04 [traduction française]
Tumblr media
——La scène débute dans une salle de classe.
Yui : (On nous a donné tellement de devoirs aujourd’hui...)
(Je n’arrive pas à me concentrer à la maison, alors je vais rester un peu ici pour travailler.)
——Ayato arrive.
Ayato : Yo ! Viens, la planche à pain, on rentre.
Yui : Ayato-kun... Je t’ai demandé de ne plus m’appeler comme ça.
Ayato : Le problème, c’est que je me rappelle pas de ton prénom.
Par contre, quand je te regarde, “planche à pain”, ça me vient tout seul. Genre : planche-à-pain.
Yui : … … !
(I-Ils ne sont peut-être pas très gros, certes, mais tout de même...!)
C’est Yui, Komori Yui ! Rappelle-toi en, s’il te plaît...
Ayato : Bref, qu’est-ce que tu fais, de toute façon ?
Yui : (I-Il ne m’écoute même pas...)
… Tu ne vois pas ? Ce sont les devoirs qu’on nous a donné aujourd’hui.
Ayato : Tch, sérieux !? Personne ne fait ces trucs !
Yui : Tu es l’une des rares personnes à ne pas les faire !
Ayato : Sérieux, pourquoi tu les fais pas à la maison ? Allez, viens, on rentre.
Yui : Je ne peux pas me concentrer quand je suis à la maison à cause d’une certaine personne, alors je les fais ici.
Ayato : J’ai faim. Allez, rentrons pour que je puisse manger !
——Ayato lui vole son cahier.
Yui : H-Hey ! Rends-le moi !
Ayato : Pas moyen ! Je te le rendrai une fois à la maison.
Yui : (… Il n’est pas croyable !)
… Ah ! Une jolie fille avec une grosse poitrine vient de passer dans le couloir !
Ayato : Quoi !?
Yui : Je t’ai eu !
——Yui reprend son cahier des mains d’Ayato.
Ayato : Argh...! La peste !
Yui : Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même d’avoir été si crédule~!
(C’est toujours lui qui m’embête d’habitude, alors je peux bien lui rendre la pareille, non ?)
(Ça me donne un peu l’impression qu’on est des camarades de classe ordinaires.)
(… Ayato-kun, si tu n’avais pas été un vampire... Je me demande si on aurait pu bien s’entendre.)
Ayato : T’as du cran pour faire ce genre de choses au grand Ayato¹...
Yui : (Uhh... Il est en colère ? Malgré tout, je ne dois pas flancher !)
➛ Je n’ai pas peur ! (♥) Yui : M-Même si tu fais cette tête, tu ne me fais pas peur ! Ayato : Hmm ? Voyons voir ça. Yui : Huh...!? ——Ayato frappe ses mains sur le bureau. Ayato : Dans ce cas... Je vais devoir redoubler d’efforts pour te terroriser.
➛ Si tu veux rentrer, rentre seul ! Yui : Je ne partirai pas avant d’avoir fini. Si tu veux rentrer, rentre seul. Ayato : … … … … Yui : (J-Je l’ai dit, ça y est !) Ayato : Fait chier. Yui : Huh...!? —— Ayato frappe ses poings sur la table. Ayato : Je ne déteste pas les femmes qui ont du caractère... Mais celles qui vont trop loin m’insupportent. Yui : A-Attends... Ayato : Je vais faire en sorte que tu ne puisses plus te rebeller.
Yui : Kya...!
—— Ayato défait le noeud de l’uniforme de Yui.
Yui : A-Ayato-kun !?
Ayato : Tu ne veux pas rentrer, j’ai compris. Je ne peux rien y faire.
Alors j'ai qu’à te mordre ici.
Yui : A-Attends ! Il y a encore des élèves ici...!
Ayato : Qu’est-ce que tu racontes ? Regarde, il n’y a que toi et moi ici.
Yui : I-Il y a des gens dans le couloirs... Ils pourraient nous voir...!
Ayato : C’est bien ! Ça rend les choses encore plus excitantes.
——Ayato mord Yui.
Yui : Ah...!
(J-Je ne dois surtout pas faire de bruit ! Quelqu’un pourrait entendre !)
Ayato : Haha... ton cou est sensible, hein ?
Yui : … !
Ayato : C’est ça, j’aime cette expression. Tu peux faire du bruit, ça m’est égal.
Yui : Ah... Nn...
Ayato : Hehe, hey, retire tes mains de là. Ne couvre pas ta bouche.
Yui : … C-C’est bon, j’ai compris, j’ai perdu ! Rentrons à la maison !
Ayato : Hm, trop tard.
Je me demande combien de temps tu peux tenir sans faire de bruit. Voyons voir !
——Ayato mord Yui de nouveau.
Yui : … … !
Ayato : [bruits de succion]
Yui : … Gh...
(J-J’ai vraiment mal... J’ai l’impression qu’il mord plus fort que d’habitude.)
Ayato : Haha, tu fais vraiment de ton mieux.
Yui : T-Tu n’en as pas déjà assez ?
Ayato : Haa ? Tu fais la courageuse maintenant ? Ça me donne encore plus envie d’entendre ta voix.
Yui : Kya...! M...Mm—!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : (Ah, ma tête... J’ai la tête qui tourne...)
Ayato : [bruits de succion]
——Yui s’écroule.
Ayato : Mince. J’en ai trop bu ?
J’ai bien aimé cette situation. On devrait le refaire une prochaine fois.
Yui : (Mon corps est faible... Je ne peux plus bouger...)
Ayato : Bon, comme je suis repus, je vais rentrer. À plus, planche à pain !
Yui : Huh...!?
(Il va vraiment me laisser seule ici !?)
(C’est cruel...)
Ayato : En fait... J'ai pas vraiment envie que tu te fasses attaquer par un de ces vampires bas de gamme.
——Ayato se rapproche.
Yui : Hein...?
Ayato : Tu es ma proie. Ne vas pas tituber comme ça alors que tu saignes encore.
L’odeur de ton sang est dangereuse. On ne sait pas quel genre de personne il peut attirer.
Yui : (“Ne vas pas tituber comme ça”... À qui la faute ?)
Ayato : Je t’escorte personnellement jusqu’à la maison. Tu devrais te sentir honorée.
Yui : (C’est frustrant... Mais... Ce n’est pas si désagréable, pour une fois...)
(Je ne sais pas trop quel genre d’expression je devrais afficher...)
¹ Pour ceux qui n'ont pas accès aux dialogues du jeu, Ayato se réfère souvent à lui-même comme “Ayato-sama”. Le suffixe -sama est utilisé lorsque l'on s'adresse à quelqu'un que l'on respecte énormément. On l'utilise notamment pour s'adresser à des divinités, ou à l'Empereur du Japon et sa famille. Il est difficile de traduire en français toutes les subtilités de ses dialogues, mais sa manière de s'exprimer est très arrogante et supérieure.
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
ㅤ ← [dark 03]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 05] → 
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ
3 notes · View notes
a-room-of-my-own · 7 months
Note
"l’immigration de masse dans les années 70 c’était surtout pour briser les grèves" ah parce qu'en plus ça a toujouts été utilisé pour faire taire la gauche ? Faut que je reprenne mes cours d'Histoire moderne.
Oui bien sûr. Mon grand père était ouvrier électricien dans les années 50 à 70, en usine, et il était syndiqué à la CGT. Il y a eu de l’immigration dans les années 60 mais c’était surtout des européens puis des pieds noirs après la guerre d’Algérie. Après 68 on a commencé à faire venir massivement des ouvriers du Maghreb, consécutivement aux victoires syndicales obtenues à ce moment là. Les chefs d’entreprise allaient les chercher jusque dans leurs villages. Pour mon grand-père et les autres c’était clairement pour briser les grèves, puisque les nouveaux arrivants acceptaient tout.
Évidemment ce n’était pas la faute des immigrés entendons-nous. En admettant que la France avait besoin de travailleurs étrangers il n’était pas nécessaire d’aller les chercher si loin, sauf si c’était pour pouvoir les exploiter.
Depuis avec le regroupement familial on est dans une situation différente, mais il faut bien voir que
La pression sur les salaires existent toujours dans de nombreux secteurs, comme le bâtiment, la restauration ou les services à la personne.
Ce qui fait que plutôt que de revaloriser ces professions on continue à faire venir en masse des premières générations d’immigrés pour occuper ces postes « dont les français ne veulent pas » sans évidemment jamais préciser que les français issus de l’immigration n’en veulent pas non plus.
Ce qui était d’ailleurs le plan des les années 80-90 où on envoyait systématiquement les gamins de banlieue en filière professionnelle type carrosserie ou chaudronnerie.
Pour moi dire qu’on a besoin d’étrangers pour ramasser les poubelles et garder les gosses pour pas cher, c’est pas franchement de gauche.
Dans un système social par répartition on a besoin de cotisants.
Plus on fait venir d’immigrés qui s’installent en France avec des jobs suffisamment peu payés pour qu’ils aient besoin des aides sociales, plus on a besoin d’amener d’autres personnes pour combler et cotiser. 1 actif peu avoir avec lui un conjoint qui ne travaille pas + X enfants, il suffit de faire l’opération. Et évidemment pour les retraites, il faut aussi des actifs pour les financer.
En gros, l’immigration, dans ce système, appelle l’immigration.
D’autre part on a aussi le problème de la diminution de la population active et de la baisse du taux de natalité. A génération 1, les immigrés ont plus d’enfants, ce qui augmente « artificiellement » le taux de natalité du pays. Mais à génération 2, les enfants d’immigrés ont moins d’enfants, ils rejoignent la population générale. Donc ont fait venir une autre génération et ainsi de suite.
C’est une logique qui se mord la queue et qui ne solutionne aucun des problèmes de fond. Plutôt, elle crée des déséquilibres ici et dans les pays d’origine et il est urgent de tout arrêter, et d’investir plutôt dans le développement.
9 notes · View notes
les-cris-des-fendues · 7 months
Text
Tumblr media
2 par jour...
Brigitte Giraud, c'est bien ficelé, j'ai eu l'impression d'être dans une salle noire devant un drame "familial", me suis laissée emmener vers cet absurdité cruelle qui mord toujours quand on l'attend pas avec cette absence de lyrisme qui convient à la chose et qui est "reposante" parfois, surtout quand on connaît à l'avance l'issue qui sera fatale. Bon voilà, bof, je lirai autre chose de dame Giraud mais choisi avec soin cette fois et non pas parce qu'il y a une bannière au devant, ce qui n'est pas forcément le cas à l'intérieur...
Amélie, par contre, j'adore, auteur, en passe de devenir fétiche. C'est mon quelqu'unième d'elle et du coup hier dans la foulée, j'ai voulu sitôt terminé celui-ci prolonger la magie, en plongeant direct dans son "Mercure". C'est crescendo. Ici, la lectrice ou lecteur sera à la fois dans un conte, genre petit poucet (mais de loin quand même, ce sont les parents de Tristane et Laeticia qui m'y font penser et puis on nage fréquemment dans une si séduisante invraisemblance, c'est l'effet Amélie) un film, là aussi, il y a du poulain dans l'Amélie, une fable sans morale, j'ai croisé des musiciens mais pas de blème qui m'ont donnée envie, genre Dominique A et puis oh comme je l'ai dit, hein lisez-la, vous en serez baba. Moi j'aime en tous les cas. La fin me laisse sur ma faim, c'est de ta malice, je te reconnais bien là, Amélie...
*
"Quand comprendras-tu que les mots ont juste le pouvoir qu'on leur donne ?"
*
"Tu marches à voile et à vapeur ? interrogea un ami. – Faire l’amour m’importe. Du moment que je suis amoureuse, cela m’est égal d’avoir en face de moi une fille ou un garçon. – Statistiquement, tu es plus attirée par les hommes ou par les femmes ? – Cette statistique n’existe pas. Je suis attirée par des individus, pas par un sexe en particulier. -Le sexe ne t’intéresse pas ? -Curieuse manière d’interpréter mes paroles."
*
"Quand Bobette appela Cosette son quatrième enfant, Nora tenta de l'en dissuader :
-J'adore Victor Hugo, avait protesté l'accouchée.
-Quel destin lui prévois-tu avec un prénom pareil ?
-J'ai besoin que quelqu'un passe le balai chez moi. La grande sœur n'insista plus. La situation était sans espoir."
Amélie Nothomb "Le livre des sœurs" Le Livre de Poche
9 notes · View notes