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#jeanne ii de bourgogne
histoireettralala · 11 months
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An absence of family strife
Their marriages were generally fruitful and, what was equally important, their sons were usually loyal, or at least obedient. There are remarkably few instances of rebellion against paternal authority. Robert the Pious did take arms against his father, probably in 996, and his own two sons Henri and Robert united against him in 1030; but these were isolated instances. The only other example that can be offered is the quarrel between Philip I and the future Louis VI, which may be attributed to the malicious intervention of the prince's stepmother, Queen Bertrada. If it demonstrates anything, it shows the patience and loyalty of Prince Louis under considerable provocation. No contemporary royal, or even noble, family, can show anything approaching so favourable a record in this respect.
The characters of the individual kings go some way towards explaining this absence of family strife. The Capetians were good husbands. Only two bastards are recorded for the fourteen kings of the dynasty: Isabella, daughter of Louis VI, who married Guillaume de Chaumont, and Pierre Charlot, the son of Philip Augustus and that 'damsel of Arras' whose name the chroniclers delicately omit. Only three scandals can be pointed to: the elopement of Philip I with Bertrada de Montfort, wife of Fulk of Anjou, on 15 May 1092; the estrangement of Philip Augustus and Ingeborg of Denmark in 1193; and the tragic episode of the daughters-in-law of Philip the Fair in 1314. The only excuse put forward for the first affair was the excessive obesity of the lawful queen ("praepinguis corpulentiae", according to William of Malmesbury); it would not be unfair to point out that the king himself, at the age of forty, was already very fat also. Dr Brachet has plausibly explained the behaviour of Philip Augustus as the consequence of the impact of a momentary anaphrodisia on a nervous system already strained by illness. Certainly, the adventure of the damsel of Arras apart, he does not appear to have led an irregular life. But we must look more closely at the third episode, which throws a vivid light on the moral values of the royal family.
Robert Fawtier - The Capetian Kings of France
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francepittoresque · 1 year
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8 avril 1364 : mort du roi Jean II, dit « le Bon » ➽ http://bit.ly/Roi-Jean-II Tous les enfants de Philippe VI et de Jeanne de Bourgogne, à l’exception de Jean le Bon, étant morts en bas âge ou sans descendance légitime, Jean, qui régna de 1350 à 1364, continua seul la postérité de son père
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Artaix - la Fange
Artaix : la Fange
   La ferme de la Fange, dont le toponyme est inconnu des cartes et des cadastres, se trouve à 1000 m au sud d'Artaix, à l'ouest du canal. Tous les bâtiments sont postérieurs à 1838. Sur le cadastre de cette année, il reste à la Fange un bâtiment circulaire de 11 m de diamètre (sans doute un pigeonnier), à 60 m au sud-est de la ferme actuelle. L'emplacement même de la maison forte a peut-être été détruit par le creusement du canal.
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ADCO, B 10539 ; Peincedé, t. XI, p. 207.
1392, 28 juillet — Lettre datée au château de Chaugy, par laquelle dame Jeanne de Lespinace, relicte de Erard son mari, et Philibert de Lespinace, leur fils, seigneurs de Maulévrier, déclarent tenir en fief ce qui suit .., les meix de la Fange (de Fangia) et des Baluchars, en la paroisse d’Artaix.
ADCO, B 10560 ; Peincedé, t. XI, p. 201 à 203.
1415 — Dénombrement de la terre de Chenay, tenue en fief par Jean, seigneur de Chaugy ..., item la motte de la Fange, ensemble ses appartenances et dépendances assise en la paroisse d’Arté et la terre, rente et revenus d’icelle et généralement tout ce que Damez de Toques, escuier a en la paroisse d’Arté et qu’il tient en fief de nous.
Peincedé, t. XVIII, p. 784-792.
1423 — En la chastellenie d'Anzey.Montceaulx. En la parroiche dudit Monceaux, néant, pour ce qu'il n'y demeure nuls pour cause des Armagnacs qui sont à Varennes en Brionnois par deçà la ripvière de Loire, et aultres Armignacs d'Outre Loire qui courent chascun jour es chastellenies d'Anzy et de Semur en Brionnois et en ont mené la plus grande partie des hommes desdites chastellenies et tout le bestail. Et sont tellement gouvernés qu'il n'y habite personne esdits lieux, comme nous ont rapporté Messire Guillaume des Places [et al.] Baugie, Reullon, Saint-Germain en Brionnois, Saint Yan, Montmegin, Vindecie, Avrilly, Lhospital de Mercier, Anzy, Saint-Didier, Oyé, Sarrie, Saint-Christophe, Saint-Martin du Lac, Chenay l'Hospital, Chenay le Chastel, Lespinace, Semur en Brionnois, Sainte Foy, Yguerande, Maillie, Maletaverne, Saint Julien de Cray, Saint Martin de la Valée, ARTEL, Malay et Vivant, Jonzie, Amanzie, Brian : il n'y a personne esdittes parroiches pour les causes susdites.
Peincedé, t. XVIII, p. 805-823.
1461 — Artay, où il y a parroiche, est au seigneur de Maulevrier et s'y trouvent 20 feux francs et 10 feux serfs. Mémoire que ceste parroiche est oultre la rivière de Loire et sont les parroichiens très griefvement foulés, pilliés, rongés et molestés des gens du roy desdites garnisons et aultres officiers.
ADCO, B 11510, f° 113 r°.
1476 — La Fange n'est pas citée dans la cherche de feux.
ADCO, B 10583 ; Peincedé, t. II, p. 306
1486, 6 juin — Dénombrement de la terre et seigneurie de Chenay-le Chatel, baillage de Semur en Brionnais par Jean de Changy, chevalier, de laquelle terre en toute justice, il a fait soulement et limitation, et rapporte ce qui suit par lui possédé hors desdites limites. ....Item la mote au Merle vers Bussenaut et la motte de la Fange en ladite paroisse d'Artais tenue en fief dudit chevalier par Daines de Cognes, ecuier
ADCO, B 10756 ; Peincedé, t. XI, p. 499.
1646, 27 février — Dénombrement des terres et seigneuries de Maulévrier et Artaix par M. Hector Andrault de Langeron, baron d’Oyé, seigneur de Minardière, Chaulmont et autres lieux, sous protestaton qu’il fait s’ajouter aux dittes terres le titre de marquisat suivant les lettres patentes de Sa Majesté du mois de février 1625, après vérification d’icelles.Ledit Maulevrier consiste en un château fort, situé en la paroisse de Melay, pays de Bourgogne, ressort du bailliage de Semur en Brionnois.Plus un meix et tenement appellé les Vids (ou fides) scis en ladite paroisse de Melay, consistant en plusieurs masures de maison, terres, pré et brosses contenant deux cent bichetées de terre et acculliere 20 charts de foin.Plus un autre meix et tenement situé en ladite parroisse de Melay que souloit être bois de haute futaye appelé le Bossain, entragé et demolie puis peu à certain particulier, ou sont à present plusieurs subjets contenant cent bichetées ou environ.Plus une autre terre et seigneurie appelée de la Crusille ou paroit encore à present une grande motte ou souloit être le château de la Crusille, laquelle motte est entourée de grands fossés ou il y a encore de l’eau, contenant deux cent bichetées, ou sont aussi plusieurs subjets et entragé nouvellement.Plus une autre terre et seigneurie scis en ladite paroisse de Melay, appelée de Montsarrier, ou est aussi une grand motte et la place d’un vieil château environné de grands fossés contenant 400 bichetées ou environ, ou sont aussi plusieurs subjets est entragée avec ses dépendances nouvellement. […]Quant à la seigneurie d’Artais, elle consiste en une motte fermée de fossés pleins d’eau et située en la paroisse d’Artais, bailliage dudit Semur, et en toute justice. Plus dépend de ladite seigneurie d’Artais une autre seigneurie appelée de LA FANGE, située en ladite paroisse d’Artais, consistant en une motte environnée de fossés et en la contenance de 15 bichetées de cens et 10 chars de foin par an.Les hommes et sujets dudit Artais sont enus au guet et garde du château de Maulèvreir et et fait détail des isles, bois, prés moulin, taches pêche en la rivière de sur environ 4 lieux, et autres droits dependants de ladite terre d’Artais.
INSEE 1951
1951 — Les Fanges : 1 km. (sans direction)
Bibliographie:
DEROST (J.-B.). — Le canton de Marcigny. Géographie et histoire. In : Bulletin de la Société d’Etudes du Brionnais, janvier-février 1935.
RIGAULT (Jean). — Dictionnaire topographique du département de Saône-et-Loire, comprenant les nons de lieux anciens et mondernes. Paris, CTHS, 2008.
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whencyclopedfr · 3 years
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Causes de la Guerre de Cent Ans
La guerre de Cent Ans (1337-1453) fut un conflit intermittent entre l'Angleterre et la France qui commença lorsque le roi Édouard III d'Angleterre (1327-1377) se querella avec Philippe VI de France (1328-1350) au sujet des droits féodaux concernant la Gascogne et le commerce avec les Pays Bas. Édouard affirmait également qu'il était le roi légitime de France et insista sur cette revendication en remportant de grandes victoires aux batailles de Crécy (1346) et de Poitiers (1356). En 1360, Édouard renonça à sa revendication sur le trône de France en échange de la seigneurie de plus d'un quart de la France. La guerre se poursuivit ensuite alors que chaque partie tentait de contrôler le nord et le sud-ouest de la France. Après que Charles V de France (r. 1364-1380) ait repris une grande partie des terres perdues depuis le début de la guerre, il y eut une période de paix lorsque Richard II d'Angleterre (r. 1377-1399) épousa la fille de Charles VI de France (r. 1380-1422). Henri V d'Angleterre (r. 1413-1422), désireux de gagner gloire, butin et légitimité pour son propre règne, raviva le conflit avec son époustouflante victoire à la bataille d'Azincourt en 1415, ce qui lui permit d'être nommé héritier du trône français. Après la mort prématurée d'Henri V et le règne inefficace d'Henri VI d'Angleterre (r. 1422-61 et 1470-71), Charles VII de France (r. 1422-1461) reprit l'initiative. Avec l'aide de personnalités telles que le duc de Bourgogne et Jeanne d'Arc (1412-1431), Charles gagna la guerre et réussit à bouter les Anglais hors de tout le territoire français sauf Calais.
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wolfsnape · 4 years
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Top 5 femmes historiques?
Mme d’Aulnoy parce que VOILA
Mlle de Scudéry
Rosa Parks
Olympe de Gouges
Sappho
Mentions spéciales pour :
Jeanne d’Arc, Emilie du Châtelet, Marie Curie, Simone Weil, Hannah Arendt, Anne Frank, Joséphine Baker, Marie Shelley, Maya Angelou, Ruby Bridges, Catherine II de Russie, Margaret Hamilton, Mary Jackson, Beyoncé, Ella Fitzgerald, Amelia Earheart, Mlle Le Prince de Beaumont et toutes les conteuses précieuses, Sarla Thakral, Anne-Marie-Louise d’Orléans dite La Grande Mademoiselle, Louise Labbé, Marsha P. Johnson, Stormé DeLarverie et Sylvia Rivera, Malala, Angela Davis, Marylin Monroe, Katherine et Audrey Hepburn, Zénobie, Cléopâtre, Hatchepsout, Nettie Stevens, Marie de Bourgogne, Maud Wagner, Frida Khalo, Brunehaut, Caterina Sforza, Valentina Terechkova, Christine de Pizan, Anne de Bretagne, Aliénor d’Aquitaine, Irène l’Athénienne, Catherine de Médicis, Lucrèrce, Hildegarde de Bingen
et TOUTES LES AUTRES
(Je vous laisse chercher)
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nanshe-of-nina · 5 years
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Hi, sorry to disturb you. I really like your capetian princesses aesthetic but I was wondering why lead you to leave some princess out? At first I thought it was just the one who died in infancy (or before starting their "own life") but then I noticed Yolande of France (Charles VII and Marie of Anjou's daughter) was missing so was her sister Jeanne of France... How do you choose the princesses you make aesthetic of? (sorry if this sound agressive it is not intended to)
Yolande and Jehanne aren't the only daughters of Charles VII missing. Radegonde and Catherine, comtesse de Charloias are, too. I originally intended to do all of the Capetian princesses who lived past childhood (with the exception of poor Marie Élisabeth - more of is known of her than most), but then realized what a daunting project that would be, so I started cutting out those about whom little is known beyond basic genealogical facts.
Jehanne, duchesse de Bourbon didn't make the cut because I haven't be able to find much information on her; Radegonde and Catherine, comtesse de Charloias because they died as teenagers; and Yolande because I stupidly skipped over her while browsing the wikipedia list of Charles VII's children. Other princesses omitted (all because of lack of information) were:
Hugues Capet — Gisèle, comtesse de Ponthieu and Hedwige, comtesse de Mons.
Robert II — Avoye, comtesse d'Auxerre and Constance, comtesse de Dammartin.
Philippe II — Marie, Hertogin van Brabant.
Louis IX — Marguerite, Hertogin van Brabant.
Philippe III — Blanche, Herzogin von Österreich.
Philippe V — Jehanne III, comtesse de Bourgogne; Isabelle, dauphine de Viennois; and Blanche, nun.
Charles IV — Blanche, duchesse d'Orléans.
Philippe VI — Jehanne, bethrothed to the future king of Aragon
Charles V — Catherine, comtesse de Montpensier.  
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histoireettralala · 1 year
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Jeanne II de Navarre
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Artaix - la motte et la maison
Le Colombier
Motte et maison d'Artaix *
A 300 m au sud-est d'Artaix, sur une terrasse dominant la Loire. La motte et maison seigneuriale d'Artaix occupait sans doute l'emplacement de la ferme du Colombier. Le tracé des fossés est encore visible, bien que partiellement comblés. Une petite partie est encore en eau au nord du site. Le bâtiment le plus caractéristique est le pigeonnier. Il est monté sur deux murs latéraux, protégés de buttoirs en pierre. La base de pierre et brique porte un pigeonnier à pan de bois de type bourbonnais, en croix de Saint-André. Il est surmonté par un petit lanternon, qui était jadis fermé de panneaux à trous pour l’entrée des oiseaux(J.-M. J.)[N.B. J.-M. Jal confond ce site avec la motte de la Fange. Or, il existe à Artaix un hameau des Fanges distinct du Colombier]
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ADCO, B 10539 ; Peincedé, t. XI, p. 207.
1392, 28 juillet — Lettre datée au château de Chaugy, par laquelle dame Jeanne de Lespinace relicte de Erard, son mari et Philibert, son fils seigneurs de Maulévrier, déclare tenir en fief ce qui suit, savoir les maisons, granges et colombier d’Arthey (de Artheyo), avec toute la terre ...
Peincedé, t. XVIII, p. 784-792.
1423 — En la chastellenie d'Anzey.Montceaulx. En la parroiche dudit Monceaux, néant, pour ce qu'il n'y demeure nuls pour cause des Armagnacs qui sont à Varennes en Brionnois par deçà la ripvière de Loire, et aultres Armignacs d'Outre Loire qui courent chascun jour es chastellenies d'Anzy et de Semur en Brionnois et en ont mené la plus grande partie des hommes desdites chastellenies et tout le bestail. Et sont tellement gouvernés qu'il n'y habite personne esdits lieux, comme nous ont rapporté Messire Guillaume des Places [et al.] Baugie, Reullon, Saint-Germain en Brionnois, Saint Yan, Montmegin, Vindecie, Avrilly, Lhospital de Mercier, Anzy, Saint-Didier, Oyé, Sarrie, Saint-Christophe, Saint-Martin du Lac, Chenay l'Hospital, Chenay le Chastel, Lespinace, Semur en Brionnois, Sainte Foy, Yguerande, Maillie, Maletaverne, Saint Julien de Cray, Saint Martin de la Valée, ARTEL, Malay et Vivant, Jonzie, Amanzie, Brian : il n'y a personne esdittes parroiches pour les causes susdites.
ADCO, B 11510, f° 113 r°.
1476 — La Fange n'est pas citée dans la cherche de feux.
ADCO, B 10583 ; Peincedé, t. II, p. 306
1486, 6 juin — Dénombrement de la terre et seigneurie de Chenay-le Chatel, baillage de Semur en Brionnais par Jean de Changy, chevalier, de laquelle terre en toute justice, il a fait soulement et limitation, et rapporte ce qui suit par lui possédé hors desdites limites. ....Item la mote au Merle vers Bussenaut et la motte de la Fange en ladite paroisse d'Artais tenue en fief dudit chevalier par Daines de Cognes, ecuier
ADCO, B 10756 ; Peincedé, t. XI, p. 499.
1646, 27 février — Dénombrement des terres et seigneuries de Maulévrier et Artaix par M. Hector Andrault de Langeron, baron d’Oyé, seigneur de Minardière, Chaulmont et autres lieux, sous protestaton qu’il fait s’ajouter aux dittes terres le titre de marquisat suivant les lettres patentes de Sa Majesté du mois de février 1625, après vérification d’icelles.Ledit Maulevrier consiste en un château fort, situé en la paroisse de Melay, pays de Bourgogne, ressort du bailliage de Semur en Brionnois.Plus un meix et tenement appellé les Vids (ou fides) scis en ladite paroisse de Melay, consistant en plusieurs masures de maison, terres, pré et brosses contenant deux cent bichetées de terre et acculliere 20 charts de foin.Plus un autre meix et tenement situé en ladite parroisse de Melay que souloit être bois de haute futaye appelé le Bossain, entragé et demolie puis peu à certain particulier, ou sont à present plusieurs subjets contenant cent bichetées ou environ.Plus une autre terre et seigneurie appelée de la Crusille ou paroit encore à present une grande motte ou souloit être le château de la Crusille, laquelle motte est entourée de grands fossés ou il y a encore de l’eau, contenant deux cent bichetées, ou sont aussi plusieurs subjets et entragé nouvellement.Plus une autre terre et seigneurie scis en ladite paroisse de Melay, appelée de Montsarrier, ou est aussi une grand motte et la place d’un vieil château environné de grands fossés contenant 400 bichetées ou environ, ou sont aussi plusieurs subjets est entragée avec ses dépendances nouvellement. […]Quant à la seigneurie d’Artais, elle consiste en une motte fermée de fossés pleins d’eau et située en la paroisse d’Artais, bailliage dudit Semur, et en toute justice. Plus dépend de ladite seigneurie d’Artais une autre seigneurie appelée de LA FANGE, située en ladite paroisse d’Artais, consistant en une motte environnée de fossés et en la contenance de 15 bichetées de cens et 10 chars de foin par an.Les hommes et sujets dudit Artais sont enus au guet et garde du château de Maulèvreir et et fait détail des isles, bois, prés moulin, taches pêche en la rivière de sur environ 4 lieux, et autres droits dependants de ladite terre d’Artais.
ADCO, B 10756 ; Peincedé, t. XI, p. 499.
1646, 27 février — Dénombrement des terres et seigneuries de Maulévrier et Artaix par M. Hector Andrault de Langeron, baron d’Oyé, seigneur de Minardière, Chaulmont et autres lieux, sous protestaton qu’il fait s’ajouter aux dittes terres le titre de marquisat suivant les lettres patentes de Sa Majesté du mois de février 1625, après vérification d’icelles.Ledit Maulevrier consiste en un château fort, situé en la paroisse de Melay, pays de Bourgogne, ressort du bailliage de Semur en Brionnois.Plus un meix et tenement appellé les Vids (ou fides) scis en ladite paroisse de Melay, consistant en plusieurs masures de maison, terres, pré et brosses contenant deux cent bichetées de terre et acculliere 20 charts de foin.Plus un autre meix et tenement situé en ladite parroisse de Melay que souloit être bois de haute futaye appelé le Bossain, entragé et demolie puis peu à certain particulier, ou sont à present plusieurs subjets contenant cent bichetées ou environ.Plus une autre terre et seigneurie appelée de la Crusille ou paroit encore à present une grande motte ou souloit être le château de la Crusille, laquelle motte est entourée de grands fossés ou il y a encore de l’eau, contenant deux cent bichetées, ou sont aussi plusieurs subjets et entragé nouvellement.Plus une autre terre et seigneurie scis en ladite paroisse de Melay, appelée de Montsarrier, ou est aussi une grand motte et la place d’un vieil château environné de grands fossés contenant 400 bichetées ou environ, ou sont aussi plusieurs subjets est entragée avec ses dépendances nouvellement. […]Quant à la seigneurie d’Artais, elle consiste en une motte fermée de fossés pleins d’eau et située en la paroisse d’Artais, bailliage dudit Semur, et en toute justice. Plus dépend de ladite seigneurie d’Artais une autre seigneurie appelée de LA FANGE, située en ladite paroisse d’Artais, consistant en une motte environnée de fossés et en la contenance de 15 bichetées de cens et 10 chars de foin par an.Les hommes et sujets dudit Artais sont enus au guet et garde du château de Maulèvreir et et fait détail des isles, bois, prés moulin, taches pêche en la rivière de sur environ 4 lieux, et autres droits dependants de ladite terre d’Artais.
INSEE 1951
1951 — Les Fanges : 1 km. (sans direction)
Bibliographie:
DEROST (J.-B.). — Le canton de Marcigny. Géographie et histoire. In : Bulletin de la Société d’Etudes du Brionnais, janvier-février 1935.
RIGAULT (Jean). — Dictionnaire topographique du département de Saône-et-Loire, comprenant les nons de lieux anciens et mondernes. Paris, CTHS, 2008.
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histoireettralala · 2 years
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Jeanne II of Navarre and her attachment to her birthright.
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(Jeanne II de Navarre, Le Livre d'Heures de Jeanne de Navarre, Jean Le Noir, 1336-1340)
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Although Philip de Valois was able to win support for his rights to the French throne in 1328, Juana certainly never forgot her birthright as the daughter of the King of France and referred to herself as such in her address clause. Another reference to her Capetian lineage can be found in the unusual image cycle of Saint Louis in Juana's Book of Hours, which stresses the king's coronation and kingship rather than the customary images of his sainthood. Tania Mertzman argues in her study of the Book of Hours that the unusual image cycle "suggests that Juana is a worthy and direct descendant of Louis IX who should not be denied her place in the Capetian lineage and succession." Marguerite Keane believes that the book may have been commissioned to mark the birth of Juana's first son, Louis, in 1330 and that the choice of images signals her ambition for her child to succeed to the French throne. However, Martinez de Aguirre suggests a much later date for this commission, between 1336 and 1340. While this would not negate the previous suggestion regarding the Capetian succession, it would conflict with Keane's link to the birth of Juana's first son. In addition, Martinez de Aguirre notes the presence of her mother's Burgundian coat of arms, which is intriguing considering the adultery scandal that led to her disgrace and death. However, it appears that Juana did not disassociate herself from her mother and her Burgundian lineage; her maternal grandmother Agnès had been the greatest supporter of her hereditary rights during the succession crisis of 1316, and documentary evidence shows that Juana spent 7 livres and 12 sous for a "tapis vert" for the tomb of her mother emblazoned with the arms of France, Navarre, Champagne and Burgundy.
Certainly the behavior of her son Carlos II during the Hundred Years war could be interpreted as the actions of a man who believed that his own claim to the French throne was superior to that of the Valois and and his cousin Edward III of England. In Froissart's chronicle, Carlos II addressed the Parisians:
"He said that no one should feel any fear of him, since he was ready to live and die defending the kingdom of France- as indeed he was bound to, for he was descended in the direct line on both his father's and his mother's side. And he let it be understood clearly enough that, if he ever wished to lay claim to the French crown, he could show that he had a better right to it than the King of England."
Elena Woodacre- The Queens Regnant of Navarre- Succession, Politics and Partnership, 1274-1512
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francepittoresque · 2 years
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8 avril 1364 : mort du roi Jean II, dit « le Bon » ➽ https://bit.ly/3vrEASY Tous les enfants de Philippe VI et de Jeanne de Bourgogne, à l’exception de Jean le Bon, étant morts en bas âge ou sans descendance légitime, Jean, qui régna de 1350 à 1364, continua seul la postérité de son père
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nanshe-of-nina · 6 years
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WOMEN’S HISTORY † CARLOTTA DI SAVOIA (c. 1441/3 – 1 December 1483)
Carlotta di Savoia was the ninth child and second daughter of Ludovico, Duca di Savoia and Anne de Lusignan, the daughter of Janus de Chypre and Charlotte de Bourbon (who was most probably Carlotta’s namesake). In 1443, Carlotta was betrothed to Friedrich von Sachsen, the eldest son and heir of Friedrich II., Kurfürst von Sachsen, but the betrothal was later annulled. Instead, on 14 February 1451, Carlotta married the future Louis XI, then only the Dauphin, the eldest son of Charles VII de France and Marie d’Anjou. Carlotta was no more than 9 or 10 at the time and Louis was 27 and he had not obtained permission from his father for the marriage. Louis had previously been married to Margaret of Scotland, whom he had neglected, and he was not any more attentive to Carlotta. After hearing news of his father’s death in 1461, he left Carlotta in the duchy of Bourgogne in order to rush to Reims to have himself crowned. Carlotta was left dependent on Isabelle de Bourbon, the second wife of Charles le Téméraire and mother of Marie de Bourgogne, in order to make the journey to France. After becoming Queen, Carlotta lived in seculsion at the Château d’Amboise and rarely appeared at court. She and Louis had eight children, but only three–a son and two daughters–survived infancy. Carlotta was primarily interested in chess, music, needlework, collecting literature, and patronizing religious orders. Louis allowed her no role in politics, in stark contrast to the prominence of women at his father’s court. Louis died 30 August 1483 and left the regency in the hands of a council that included Carlotta and her eldest daughter, Anne de Beaujeu, as well as Jehan II, duc de Bourbon; Pierre II de Bourbon; and Louis II d’Orléans (later Louis XII de France). In practice, most of the actual power lay with Anne and her husband. Carlotta died that December in the Château d’Amboise of an illness and was buried beside her husband in Notre-Dame de Cléry Basilica. Of Carlotta’s children, only Anne had children who lived pass infancy and Anne’s only daughter, Suzanne de Bourbon, died childless at the age of 29 in 1521. Carlotta’s younger daughter, Jeanne, was later canonized as a saint in 1950. Luisa di Savoia, the mother of Francois Ier de France, was Carlotta’s niece.
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nanshe-of-nina · 7 years
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Fake Instagram || modern women of the hundred years war, part III
Margarete von Bayern: Wife of Jehan sans-Peur, duc de Bourgogne. Mother of Marguerite, Marie, Isabelle, Philippe le Bon, Catherine, Anne, and Agnès de Bourgogne. Daughter of Albrecht I. von Straubing-Holland and Margarete von Liegnitz-Brieg.
Elisabeth von Bayern: Wife of Charles VI de France. Mother of Isabelle, Louis, Jehan, Charles VII, and Catherine de France. Daughter of Stephan III, Herzog von Bayern-Ingolstadt and Taddea Visconti.
Joana Nafarroakoa: Wife of Yann IV, duc de Bretagne and Henry IV of England. Mother of Yann V, Mari, Arzhur, and Richard de Bretagne. Daughter of Karlos II.a Nafarroakoa and Jehanne de France.
Valentina Visconti: Wife of Louis, duc d’Orléans. Mother of Charles, duc d'Orléans; Philippe, comte de Vertus, Jehan, comte d’Angoulême; and Marguerite, comtesse de Vertus. Daughter of Gian Galeazzo Visconti and Isabelle de France.
Antoineta de Torena: Wife of Jean II Le Meingre, maréchal Boucicaut. Daughter of Raimond Loís Rogier, vescomte de Torena and Maria d’Auvèrnha, comtesse de Boulogne.
Violant d’Aragó: Wife of Louis II, duc d’Anjou. Mother of Louis III d’Anjou, Marie d’Anjou, René de Naples, and Charles, comte du Maine. Daughter of Joan I de Catalunya-Aragó and Yolande de Bar.
Catherine de France: Daughter of Charles VI de France and Elisabeth von Bayern. Wife of Henry V of England. Mother of Henry VI of England; Edmund Tudor, Earl of Richmond; and Jasper Tudor, Duke of Bedford.
Jacoba van Beieren: Daughter of Wilhelm II. von Bayern-Straubing, comte de Hainaut and Marguerite de Bourgogne. Wife of Jehan de France, dauphin du Viennois; Jehan IV, duc de Brabant; Humphrey, duke of Gloucester; and Frank van Borssele.
Jeanne d’Arc: La Pucelle d’Orléans.
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