#joseph ponthus

[marcogiovenale]

oggi, "volodja" e "alla linea": dalla 1a edizione del festival della letteratura della working class @ presidio gkn

Tutta Scena Teatro ★ Radio Onda Rossa 87.9 fm martedì 4 aprile 2023, alle ore 14 ● VOLODJA voce Wu Ming 1, musica elettronica Stefano D’Arcangelo registrato alla 1^ edizione del Festival di Letteratura della Working Class @ presidio GKN – Campi Bisenzio (FI), venerdì 31 marzo 2023 info https://www.wumingfoundation.com/giap/2011/11/volodja-di-wu-ming-1-testo-audio-intervista-e-link-assortiti/ ore…

[des-paroles]

Joseph Ponthus, À la ligne, Feuillets d'usine

[martha-anne]

My 2022 list of books really worth reading (according to me)

In no particular order:

A Shepherd's Life by James Rebanks

Emma by Jane Austen

Daybook, the Journal of an Artist by Anne Truitt

The Sound of a Wild Snail Eating by Elizabeth Tova Bailey

Treacle Walker by Alan Garner

Heartstopper by Alice Oseman

A River Runs Through It by Norman Maclean

The Trees by Percival Everett

Jonathan Strange & Mr Norrell by Susanna Clarke

Sweet Thursday by John Steinbeck

Spinning Silver by Naomi Novik

Being You: A New Science of Consciousness by Dr Anil Seth

On the Line: Notes from a Factory by Joseph Ponthus

Of these, almost half are non fiction. I'm surprised by this as I generally read a lot more fiction than non-fiction. Here’s to many more great books next year ⭐️

[muatyland]

Joseph Ponthus | Alla linea

Joseph Ponthus | Alla linea

Questo romanzo-poesia racconta di un operaio interinale che lavora in Bretagna, prima nella conservazione del pesce e poi in un mattatoio. Giorno dopo giorno elenca con precisione i gesti del lavoro alla catena di montaggio, il fragore, la stanchezza immensa, i sogni inghiottiti dalla ripetizione di riti sfinenti, la sofferenza del corpo e l’annullamento dell’anima. A salvarlo è il fatto di avere…

[puchkinalit]

En salle

Sans jamais le nommer, la narratrice raconte son expérience d’employée polyvalente dans un restaurant McDonald. Son embauche, la manageuse de salle qui croit tout savoir mais qui n’en fout pas une, les postes de travail que tout le monde évite, le drive et ses dialogues parfois absurdes, l’odeur des frites, les mains qui pèlent à cause du produit détergent, la tête vide, la parole creuse et le corps las à la fin de la journée de travail. Elle tisse en parallèle ses souvenirs d’enfance avec son frère et ses parents, les rares fois où ceux-ci les emmenaient au McDo. La maman à la maison, le père un peu beauf, un peu radin mais au grand cœur, l’école et les devoirs, les vacances, l’adolescence et les petits copains. Alternent ainsi dans ce roman, l’intime et l’enfance avec le travail dépersonnalisé et la vie adulte.  Un bel exercice de style qui, s’il n’a pas la puissance cadencé du livre de Joseph Ponthus A la ligne qui traitait différemment du même sujet le corps humain au travail, fait entrer le lecteur dans les arcanes d’un fast-food et offre à son héroïne deux chemins possibles, s’enfermer dans un boulot débilitant ou prendre le contre-pied de son père qui ne s’est pas épanoui dans son travail et dans sa vie.

7,5/10

En salle / Claire Baglin.- Les Editions de Minuit.

[lesmotsmamuse]

« Mille fois...

Mille fois s'enchaînaient les verres / l'oubli des heures / entre deux nuits / des heures et des heures de débauche / en attendant de croire » – R.C. 2021

[alaptitecuillere]

et pourtant

dans ma tête

les phrases s'enchaînent

les unes aux autres

implacablement

sonnent

sur mon rêve fou

sur ma peine

sur l'oubli

de l'ivresse

et des heures volées

à t'aimer

des phrases parfaites

qui m'avalent

comme ce bonheur

que je n'ai pas écrit

.

[the-art-librarian]

Tarsila do Amaral Operários?

First book that came to my mind was Upton Sinclair’s The Jungle:

You would begin talking to some poor devil who had worked in one shop for the last 30 years, and had never been able to save a penny; who left home every morning at six o’clock, to go and tend a machine, and come back at night too tired to take his clothes off; who had never had a week’s vacation in his life, had never traveled, never had an adventure, never learned anything, never hoped anything—and when you started to tell him about Socialism he would sniff and say, “I’m not interested in that—I’m an individualist!” And then he would go on to tell you that Socialism was “paternalism,” and that if it ever had its way the world would stop progressing. And they really thought that it was “individualism” for tens of thousands of them to herd together and obey the orders of a steel magnate, and produce hundreds of millions of dollars of wealth for him [...]. It was enough to make a mule laugh, [...]; and yet it was no laughing matter—for how many millions of such poor deluded wretches there were, whose lives had been so stunted by capitalism that they no longer knew what freedom was!

Published in 1906; and if you’d prefer a book that takes place in a present-day factory, I’d recommend Joseph Ponthus’s On The Line. I borrowed it from the library recently and I really liked it—it has been translated (from French) into Dutch and Norwegian this year, and the English translation should be out in early 2021.

[petit-atelier-de-poesie]

«  Ne pas parler de poésie

Ne pas parler de poésie

En écrasant des fleurs sauvages

Et faire jouer la transparence

Au fond d’une cour à murs gris

Où l’aube aurait enfin sa chance »

Joseph PONTHUS. À la ligne. 2019

[des-paroles]

Joseph Ponthus, À la ligne, Feuillets d'usine.

[affairesasuivre]

Toujours incisif, Michel Cloup embauche “A la ligne”

Pascal Bouaziz, Michel Cloup Duo - A la ligneD'après le titre éponyme du livre de Joseph Ponthus, offrant un témoignage saisissant du travail en usine, Michel Cloup, Pascal Bouaziz et Julien Rufié signent un album puissant au confluent de la chanson, du rock et de l’électronique.

En 2019, la Station Service, structure de production et diffusion œuvrant dans la sphère des musiques actuelles, donne carte blanche à Michel Cloup pour adapter un livre en musique avec les collaborateurs de son choix. Franc-tireur notoire de la scène musicale française, révélé dans les années 1990 grâce en particulier à Diabologum, le chanteur et guitariste toulousain va jeter son dévolu sur A la ligne, premier livre de Joseph Ponthus, paru en janvier 2019 aux éditions La Table Ronde.

Parvenant à garder le sens de l’humour même au bord du découragement et de l’épuisement, l’auteur y relate ses expériences de travail dans une conserverie de poissons puis dans un abattoir avec autant de justesse que de liberté de ton.

[btscultureg]

Joseph Ponthus, invité de François Busnel, à la Grande Librairie.

[vagabondageautourdesoi]

A la ligne. Feuillets d'usine - Joseph Ponthus

Présentation de "A la ligne. Feuillets d'usine" le premier livre de Joseph Ponthus paru aux éditions de La Table Ronde : Une rencontre que je souhaite à tous aussi émouvante et révoltante que fut la mienne ! Je vous la raconte ...

Le premier livre de Joseph Ponthus “A la ligne. Feuillets d’usine” est un Ovni littéraire, une rencontre qui m’a bouleversée et ravie à la fois. Et du coup, moins de neutralité et plus d’enthousiasme constituent cette présentation avec des remerciements pour Barbara qui m’a donné envie de le lire !

L’auteur a choisi de suivre sa femme dans sa Bretagne natale. Seulement, ne trouvant pas de…

[marie-chatelaine]

" On ne peut pas presser un homme comme un citron, un homme n'est pas un citron Howard, on ne peut pas en jeter la pelure après usage ! "

- Arthur Miller -

" Le capitalisme triomphant a bien compris que pour exploiter au mieux l'ouvrier

Il faut l'accommoder

Juste un peu

À la guerre comme à la guerre

Repose-toi trente minutes

Petit citron

Tu as encore quelque jus que je vais pressurer. "

- Joseph Ponthus -

[desimenonalacivette]

Joseph Ponthus le 7 janvier à Paris. (Photo Adrien Selbert pour «Libération»)