Tumgik
#Billet littéraire
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🏆des écrivains du sud 👏 @editions_gallimard pour @maylis_besserie et #LaNourricedeBacon 🙏
Deux voix se répondent dans ce #roman. Celle de Jessie Lightfoot qui fût sa nourrice. Et l’autre, la voix de Francis Bacon posée sur ses tableaux. #peinture #art #histoire #peintre
#chronique ici https://vagabondageautourdesoi.com/2023/09/10/maylis-besserie-la-nourrice/
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VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 (Billet 1 / 3)
Mercredi matin, au réveil, miracle, beau temps sur Paris ! Nous avions prévu éventuellement de nous faire une toile mais les sorties cinéma de la semaine ne nous disaient pas grand-chose. Juste peut-être « Simple comme Sylvain », un film canadien, à mi-chemin parait-il entre Denis Arquand et Woody Allen, dont on nous a dit du bien…
Mais pourquoi pas une Expo ? L’Art, dans ces temps plus que troublés, est peut être un très bel antidote (ne tiquez pas, « antidote » est bien du genre masculin et nous avons choisi « bel » au lieu de « beau » pour une question d’euphonie) à la morosité ambiante… et quand nous écrivons « morosité », vous l’aurez compris, c’est un énorme euphémisme !
Après Nicolas de Staël et Van Gogh, il y avait l’Expo Modigliani au Musée de l’Orangerie qui nous intéressait. Le hasard a fait qu’il restait encore quelques disponibilités à 14h30 et nous avons pu réserver pour le jour même. Indispensable pour avoir une chance ne serait-ce que de rentrer dans le Musée. Mais problème identique à celui du Musée d’Orsay, les jauges des visites sont trop « généreuses », il y avait BEAUCOUP TROP DE MONDE dans les salles ! Et c’est très dommage !
Mais bon, nous n’avons quand même pas boudé notre plaisir, nous aimons beaucoup ce peintre même si nous avions déjà vu une très belle rétrospective de son œuvre : « Modigliani, l’ange au visage grave », exactement le 1er janvier 2003 à 17h30, au Musée du Luxembourg (JM avait collé le ticket d’entrée dans un album photo…).
En comparaison, peu d’œuvres dans l’Expo du Musée de l’Orangerie, mais cela fait toujours plaisir de retrouver le « style » très particulier de l’artiste. Nous, on aime beaucoup. « Poète ardent et peintre grand parmi les grands […]. Il passa tel un météore : il fut tout grâce, tout colère, tout mépris. Son âme hautaine d’aristocrate flottera longtemps parmi nous dans le chatoiement de ses beaux haillons versicolores. » (Paul Guillaume)
Par contre, petit conseil : réservez à la première heure du matin, vous aurez une chance d’avoir moins de monde.
ET SURTOUT : ne partez pas sans vous recueillir dans les 2 salles consacrées aux « Nymphéas » de Monet. Nous en parlons dans le Billet suivant.
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AMEDEO MODIGLIANI. Un peintre et son marchand
Du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024
Près d’un siècle après la rencontre entre les deux hommes en 1914, cette exposition se propose de revenir sur l’un des moments emblématiques de la vie d’Amedeo Modigliani, celui où Paul Guillaume devient son marchand. Elle s’attachera à explorer la manière dont les liens entre les deux personnages peuvent éclairer la carrière de l’artiste.
À son arrivée à Paris en 1906, Modigliani, artiste juif d’origine italienne, est peintre. Sa rencontre avec Constantin Brancusi, sculpteur d’origine roumaine, en 1909, agit pour lui comme une révélation : il s’initie à la sculpture et s’y consacre presque exclusivement jusqu’en 1914. Sa rupture avec cette pratique est aussi soudaine que totale : de 1914 à sa mort en 1920, il renoue avec la peinture et produit alors de nombreux tableaux consacrés principalement à la seule figure humaine. C’est cette pratique de la peinture qui est au cœur de la relation entre l’artiste et le marchand. Paul Guillaume l’encourage, lui loue un atelier à Montmartre, fait connaître ses toiles dans les cercles artistiques et littéraires parisiens. Il achète, vend et collectionne ses œuvres. […]
Outre les cinq peintures de Modigliani conservées aujourd’hui au Musée de l’Orangerie, plus d’une centaine de toiles ainsi qu’une cinquantaine de dessins et une dizaine de sculptures de l’artiste seraient passés par les mains du marchand. Ce nombre dénote à la fois l’implication du galeriste dans la promotion de l’artiste mais aussi son goût personnel pour ses œuvres, largement présentes sur les murs de ses différents appartements. On y trouve des portraits des figures marquantes du Paris de l’époque, Max Jacob, André Rouveyre, Jean Cocteau, Moïse Kisling, mais également des modèles inconnus, ainsi que de très beaux ensembles de portraits des femmes qui ont partagé la vie du peintre, l’écrivain Béatrice Hastings tout d’abord, puis la jeune peintre Jeanne Hébuterne, sa dernière compagne et la mère de son enfant.
L’exposition évoquera ainsi, à travers le choix d’œuvres emblématiques, les différentes caractéristiques de ce corpus tout en explorant les liens du peintre et de son marchand dans le contexte artistique et littéraire parisien des années 1910.  
(Source : « La plaquette de l’Exposition »)
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Ouverture : le Musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 9h à 18h (fermeture à 21h le vendredi).
Adresse : Jardin des Tuileries / Place de la Concorde (côté Seine) / Paris 75001
Tarif horodaté : 12,50 €
Métro : Concorde
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swedesinstockholm · 6 months
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21 octobre
hier soir au resto avec e. j. et s. je suis redevenue un peu lesbienne, je sentais que j. qui était assise à côté de moi sur la banquette me faisait de l'effet, malgré son prénom infortuné. elle était tournée vers moi avec son bras posé le long de la banquette comme les hommes qui aiment prendre de la place et ça me donnait envie de me rapprocher tout près d'elle. j'étais un peu partie sur un début de delulu parce qu'elle était hyper souriante et attentionnée envers moi et que c'était le deuxième soir de suite qu'elle proposait de me ramener en voiture alors que là on était à bonnevoie et qu'y avait le tram juste à côté, mais heureusement la delulu s'est arrêtée au moment où on s'est dit au revoir quand elle m'a laissée sortir en haut de la rue, sans avoir eu le temps de dégénérer comme avec les deux personnes précédentes. pas de nouveau couplet à ajouter à ma chanson sur mes delulus donc.
je l'ai enfin postée sur ig cette semaine et r. l'a likée et m'a écrit YEAH, son compliment signature, et je me suis demandé s'il avait saisi que je parlais de lui, vu qu'il a fait aucun commentaire. peut être qu'il l'a même pas regardée jusqu'au deuxième couplet. ou peut être qu'il s'en fout. comme il se fout que je vienne à bruxelles le weekend prochain. je lui ai demandé s'il voulait aller à une lecture d'ariana reines et il m'a dit qu'il avait sa fille, mais je sentais que ça l'arrangeait bien. il m'a même pas demandé jusqu'à quand je restais ni rien. je crois qu'il veut pas me voir. ou pire, il en a rien à foutre. ce matin on discutait pendant qu'il était dans son lit à faire la grasse matinée et il m'a envoyé une photo de sa fille et j'ai dit c'est qui et pendant que je m'entraînais à chanter ma chanson de saturne au piano en me filmant il a répondu c'est ma fille WESH et ça m'a fait éclater de rire et j'ai du arrêter la vidéo mais je l'ai gardée précieusement parce que je me vois pas souvent rire comme ça. je voulais la lui envoyer mais je me suis dit que mon rire était peut être exagéré par rapport au niveau de drôlerie de sa phrase et j'avais peur qu'il voie dans mon rire que je rigole parce que je l'aime un peu trop que ce que je devrais.
22 octobre
quelqu'un vient de me dire que j'écrivais bien sur tumblr. vendredi en recopiant le passage où je revois la mort j'ai réalisé que je devais urgemment faire quelque chose où j'avancerais jamais et j'ai googlé la psy qui a dans la rue d'à côté et j'ai vu qu'elle faisait de l'emdr et qu'elle était spécialisée dans les traumatismes, la sexualité et l'attachement HALLO je l'ai appelée dans la foulée mais ça répondait pas et j'ai oublié de la rappeler. mais c'est un progrès. vendredi soir au resto j. a mentionné son rendez-vous chez le psy de jeudi, absolument tout le monde va voir un psy et j'arrive pas à croire que ça fait plus de six ans que je me promène librement dans la nature sans suivi psychologique, c'est un miracle que je sois toujours en vie franchement. enfin en vie, peut être pas justement, puisque d'après la thérapeute que je suis allée voir une fois y a deux ans j'étais quand même à moitié morte. mais est-ce que la psychothérapie m'aurait rendue à la vie? à la vie full time je veux dire. la vie à plein temps. est-ce que je suis en vie à plein temps là en ce moment? comment savoir?
24 octobre
bon je fais plus jamais de manifesting parce qu'à chaque fois que je me laisse avoir par ces conneries c'est le contraire de ce que je manifeste qui se produit: non seulement je vais pas en islande pour le feff et donc je vais pas revoir a., mais en plus mon scénario n'a pas gagné le concours littéraire national!!! ni le premier prix, ni le deuxième, ni même le troisième, rien. unbelievable. ça y est ça reprend. pourquoi je m'étais persuadée que j'allais gagner ces 5000 euros? pourquoi la delulu me poursuit dans tous les domaines? heureusement que j'ai jamais pris mes billets pour l'islande. a. m'a dit qu'il voulait venir me voir l'été prochain pour qu'on fasse des films ensemble, pourquoi il est obligé de vivre à des millions de kilomètres et pourquoi je connais personne qui veut faire des films avec moi ICI goddammit. pourquoi la vie est si mal foutue?
j'étais tellement déçue que j'ai fermé mon ordi d'un coup sec et je me suis roulée en boule sur le canapé et puis j'ai rouvert mon ordi pour regarder un épisode de the morning show pour me consoler, mais une fois l'épisode terminé j'ai senti que la tristesse et la déception commençaient à faire place à la colère alors j'ai refermé mon ordi et je suis sortie faire un tour. un grand tour. je marchais en faisant la gueule. en rentrant j'ai annoncé sur ig que j'avais pas gagné comme j'aurais annoncé que j'avais gagné, parce que mettre ses peines au grand jour c'est comme mettre du giroflier sur une dent qui fait mal, ça apaise la douleur instantanément. plein de gens ont liké mes stories et j'ai eu la validation dont j'avais besoin. réseaux sociaux magiques. parfois. r. m'a dit qu'il voulait lire mon scénario et j'ai commencé à regretter d'avoir dit deux fois que c'était un chef d'oeuvre parce que what if it isn't? et s'il est nul en fait?
j'étais en train de regarder harry potter à la télé et on a commencé à discuter de notre passion commune pour harry quand on était petits et il m'a avoué qu'il avait un énorme crush sur daniel radcliffe dans le 3 à l'époque et il m'a envoyé la photo qui l'avait troublé en la voyant dans un magazine. je voulais lui demander s'il était bi mais j'ai pas osé alors je lui ai demandé s'il le trouvait toujours attirant maintenant et il a dit euh non. j'ai très envie de continuer cette conversation un jour où il sera pas minuit et qu'il devra pas aller faire son yoga de bonne nuit.
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claudehenrion · 1 year
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Critique littéraire…
  Je sais : le nombre de “billets” consacrés à des auteurs ou à des bouquins récents est plus dense que d'habitude. Mais est-ce ma faute, si tant d'écrits me passionnent au point que j'ai envie de les partager, chers amis-lecteurs ? Mais le livre dont il est question aujourd'hui, “Les apprentis sorciers” (Ed Albin-Michel. Prix : 16€90), sort quelque peu de l'ordinaire… ne serait-ce que parce que ceux qui lisent autre chose que les “médias dits Main Stream” –cet anglicisme, passé dans le baragouin des “urbains”, désigne les désinformateurs qui suivent (contre subventions généreuses) la ligne du Parti gaucho-gouvernemental ; ils mentent, mais officiellement ! Certains en parlent en disant “les merdias”. Pas moi--… s'attendent à ce que j'en parle.
Pour les autres, pour ceux qui n'ont pas le temps ou pas les moyens informatiques d'aller chercher la vérité là où on a l’ultime chance de la trouver (NDLR – c'est-à-dire en dehors du système-en-place, qui vise à la crétinisation progressive du peuple français et de sa jeunesse, avant leur disparition en tant que tels), tout va s'éclairer avec le nom de l'auteur de ce livre-du-jour : Alexandra Henrion-Caude, dont une partie de l'état-civil permet de deviner qu'il s’agit de ma fille. Comment pourrai-je ne pas en parler, en ce 8 mars 2023, dit “la Journée de la Femme” ?
C'est donc ès-qualités de “Papa-poule/correcteur” (spécialité non retenue dans la classification INSEE des métiers, et pas prise en compte pour le calcul des 43 annuités dans la loi-retraite en préparation –qui met la France à l'arrêt complet, au nom du “travailler plus”) que j'ai lu ce livre à 6 reprises. Et je dois dire, en toute objectivité –vous vous en doutiez !– que je l'ai, à chaque fois, trouvé passionnant… Grâce à un effort de recherche de clarté, j'ai compris, enfin, pourquoi je n'avais rien compris… et tous les autres avec moi, surtout les catégories des “Experts du 20 heures” et des soi-disant “Fact-checkers”, deux races inutiles et néfastes s'il en fut, caractéristiques d'une triste époque que Roselyne Bachelot, pourtant membre du sérail des prébendiers et habituée à s'empiffrer à tous les buffets de la République, a jugé bon de qualifier de “techno-sanitaro-cinglée” et de “camarilla des intégristes sanitaires” dans son récent bouquin “le Bal de hypocrites”. Le portrait est parfait.
Ces deux catégories (dernières en tout, sur tout et pour tout. Si elles ne faisaient pas autant de mal, elles seraient pitoyables !) vont devoir trouver des “trésors” (?) de mauvaise foi pour se remettre de cette parution : leurs fausses informations, leurs mensonges, leurs affirmations foireuses, sont toutes battues en brèche, factuellement, par une vraie “scientifique” qui est dépourvue du moindre désir de vengeance, d'auto-justification, de “marquer des buts” ou de “régler ses comptes”. J'atteste que ce genre d'état d'esprit est totalement inconnu d'Alexandra : il lui suffit de constater –comme le font de plus en plus de gens, avec elle– qu'elle a eu raison à peu près en tout et sur tout, depuis le début de cette crise… et de mesurer que chaque jour qui passe confirme le bien-fondé de ses prises de positions initiales. Et pourtant, que n'a-t-elle “encaissé”, et que ne lui ont-ils fait (“ils” = les plus méchants parmi les nuls qui tranchent sans rien savoir, répètent sans réfléchir, ressassent pour paraître dans le coup, condamnent sans raison et tuent sans savoir pourquoi)
La liste des inventions de ceux qui, n'ayant rien à dire, n'en ont pas profité pour se taire, eux, est interminable (d'ailleurs plus minable qu'inter) : ces jocrisses l'ont traitée de “complotiste”, sans se rendre compte du bel hommage qu'ils lui rendaient : traiter quelqu'un de “complotiste” ou de “populiste”, en macronie, comme le dire de droite, c'est avouer que l'on n’a vraiment pas trouvé un seul reproche valable à faire, et pas la moindre critique sérieuse à formuler ! Non contents de l'interdire sur certains réseaux qui ont démontré à quel point ils pouvaient être a-sociaux, ils l'ont “habillée-pour-l'hiver” de tous les mots qu'ils croyaient devoir la tuer définitivement… mais qui n'ont fait qu'augmenter l'écho de chacune de ses prises de parole, auprès de foules de plus en plus grandes, chacune de ses interventions sur des chaînes “pas grand public” (Courtoisie, Télé-Liberté ou Sud-Radio) étant suivie par 6, 7 ou 800 000, voire 1 million de français… sur un sujet scientifique.
Rarement aura-t-on autant mesuré l'immensité du gouffre qui sépare et qui s'accroît entre les gens normaux et la petite caste de ces faux “sachants” qui sont aveugles au point d'être incapables de se rendre compte combien ils se trompent... ce qui est regrettable, pour nous ! Le covid, en fin de compte, aura permis de faire d'énormes pas en avant dans la connaissance de l'âme humaine, dans la découverte de ce qu'un Etat est capable d'oser (ex. : les intubations et les confinements, aussi mortifères qu'inutiles), et dans l’étendue de la bêtise de nos soi-disant élites, prétentieuses et indignes des responsabilités qui sont les leurs.
Alexandra Henrion-Caude est une grande scientifique mondialement reconnue, Professeur et conférencière recherchée dans les plus prestigieuses enceintes –sauf en France : elle parle ‘’trop vrai”. Cette passionnée de recherche est une belle âme qui refuse d'avoir à se justifier devant des attaques imméritées donc sans intérêt : les chiens sont là pour aboyer, c'est la seule raison pour laquelle on les nourrit ! Son livre est vraiment passionnant (je rappelle que je l'ai “épluché” à 6 reprises… déjà !), et il permet de comprendre enfin… ce que personne n'avait compris… et ce qui n'a pas empêché des tas de gens de pontifier derrière de vagues opinions ne reposant sur rien (un “pas-d’accord” a osé me dire, un jour : “Moi qui ai fait SPCN en 1955…” –càd. avant qu'un seul des mots de base de cette science n'ait été forgé ! Mais le ridicule ne tue plus. Je connais des gens qui le regrettent !).
Cette mère de cinq enfants dont les ‘’carnets de santé’’ ont toujours été tenus scrupuleusement à jour s'est même vue accuser d'être “anti-vaccins”, ce qui est un sommet, puisque même en ce qui concerne le soi-disant “vaccin” anti-covid, qui lui fait peur avec juste raison, elle se réjouit que des millions de gens aient reçu leurs ’‘n’’ ou ‘’m’’ doses sans en éprouver le moindre inconvénient (si ce n'est… attraper le covid, ou le transmettre, une ou plusieurs fois, ce qui est un gag, s'agissant d'un “vaccin”) –et c'est tant mieux : tout ce qui va dans un bon sens est bon à prendre… Mais parfois, ils en sont morts, hélas, ce qui est affreux et pourtant, ne devrait pas empêcher de garder les yeux ouverts pour protéger, et soigner COMME IL FAUT (c’est-à-dire en osant le diagnostic, même s'il va contre la fausse “vérité officielle”!) tous ceux –nombreux– qui n'ont pas eu la chance de passer à travers les gouttes…
Un exemple : hier soir, 6 mars 2023, un “médecin-expert (sic !)-télé”, le Dr Bruno Mégarbane, parlait de la véritable épidémie d'endométriose qui s'étend chaque jour et risque de priver les pays les plus vaccinés de pas mal d'enfants-à-ne-pas-venir. Elle est, de notoriété publique, une des conséquences de la vaccination ARNm. Eh ! Bien, il a réussi à en parler 6 minutes sans même mentionner que –je ne sais pas : “Certains pensent qu'il y aurait un lien avec etc…”– Mais non : son seul message était : “Circulez, bande d'ignares. On vous dira quand vous pourrez avoir une opinion, et laquelle”. La lecture de “Les Apprentis Sorciers est un ’‘must” …
Ne serait-ce que pour un grand coup de projecteur (qui pourrait être salvateur) sur une réalité que nos autorités, aussi incompétentes qu'entêtées, et nos ‘’Experts’’, prisonniers de 2 ans de discours terrifiants, refusent de voir puisqu'elle ne va pas dans “leur” bon sens –qui est intrinsèquement mauvais– ce petit bouquin devrait apporter un enrichissement à ceux qui décideront de le lire… mais pas à l'auteur qui a fait don de 100 % de ses droits aux malheureux soignants exclus de notre communauté nationale par bêtise, privés de tout par un caprice puéril du prince-enfant, et maintenus dans le désespoir par un esprit de vengeance unique au monde… Le pouvoir les appelle “les suspendus”. D'autres disent “les Essentiels”. Je préfère parler de “Nouveaux Aristocrates”, qui démontrent que les capacités de résistance et de courage de l'humanité vont au delà des pressions exercées par les cons…  Ils  sont autant de rayons de soleil dans notre grisaille, autrement sans espoir. En cette excellente compagnie, je vous souhaite une bonne lecture !
H-Cl.
PS : pour ceux qui achèteraient ce livre, je signale des séances de dédicace et d'échanges le 9 mars chez Eyrolles, 57 bd St Germain à 18.30 (on s'y retrouve ?)…ou  le 17 mars, à la librairie Albin-Michel, 229 boulevard Saint Germain Paris 7è, à 19heures. (même chose ?)… ou le 11 mars, Place Bellecourt à Lyon, et d'autres, partout : la liste des demandes de signatures a déjà atteint un niveau ingérable !
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suppaiku · 8 months
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La rentrée
Il y a quelques jours, je cherchais quelque chose sur mon ordinateur, je me suis plongé dans le dossier Documents, et j'y ai trouvé mon propre testament littéraire, venu d'un autre temps. Sur Le Blog de Suppaiku.
Il y a quelques jours, je cherchais quelque chose sur mon ordinateur, et je me suis plongé dans le dossier « documents », rempli de billets publiés comme de débuts de billets restés en plans, de l’époque où je n’archivais pas encore dans le Cloud. Continue reading Untitled
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pia-writes-things · 1 year
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J'ai publié 10 881 fois en 2022
C'est 5 184 billets de plus qu'en 2021 !
176 billets créés (2%)
10 705 billets reblogués (98%)
Les blogs que j'ai le plus reblogués :
@blatterpussbunnyfromhell
@gay-impressionist
@saecookie
@niimuue
@maikanna
J'ai étiqueté 5 485 billets en 2022
Seulement 50% de mes billets ne comportaient pas de tag
#dw - 1 033 billets
#kaamelott - 499 billets
#stranger things - 355 billets
#stranger things spoilers - 260 billets
#pia's oversharing - 231 billets
#vdf - 174 billets
#upthebaguette - 169 billets
#funny things - 166 billets
#esc 2022 - 148 billets
#inthetags - 133 billets
Longest Tag: 138 characters
#en plus (je vais pas faire une dissert dans les tags parce que j'ai des disserts à rédiger pour les cours présentement) mais ça aurait été
Mes billets vedette en 2022 :
n°5
I just finished The Ruby’s curse and I think I will never be able to thank Alex Kingston enough for writing it.
Granted, story-wise or writing-wise it’s not the best book I’ve read. It’s really good but I’ve been able to guess some plot points before they were revealed and all that jazz.
But it’s still one of the best book I’ve read because of the care with which it’s been written. I don’t know how to say this in English but it’s like the book transpire Alex’s love and care for the show, for River, for the Doctor (and probably for us, the fans). There were so many Easter eggs, private jokes and other references, it was a true joy to read as a whovian and I think my heart doubled in size multiple times during my reading. But also all the parts about Cleopatra and Ceasarion were so cool and interesting and just... You can feel that she wrote about two of the things that interest her the most in life, and two of the things that she loves the most in life and as a reader, those kind of books are always the best to read.
Anyway, I’m awfully biased about this, obviously, but I truly loved this book and it’s like, the ultimate comfort book! We don’t deserve Alex and I hope someday I’ll be able to thank her, one way or another.
34 notes - publié le 5 janvier 2022
n°4
Holi, hola, frenchside of Tumblr!
Je ne crois pas en avoir parlé ici mais, je fais actuellement partie de la revue littéraire de mon uni en Colombie, El Galeón (insta: @gacetaelgaleon, site web: https://gacetaelgaleon.wixsite.com/galeon)
Et, hier, le rédacteur en chef m'a proposé d'ouvrir une nouvelle section dans la revue le semestre prochain (donc à partir de janvier), une section pour les textes en français 🤗🤗
Du coup, l'idée serait que je sois en charge de trouver des textes originaux en français et de faire le processus d'édition pour ensuite les publier, une fois tous les 15 jours 😍
Ca peut être en format écrit mais aussi audio ou audiovisuel, ça peut être de la fiction, de la poésie, des essais académiques, à peu près tout et n'importe quoi de littéraire 😊
Donc, si c'est quelque chose qui vous intéresserait, si vous avez envie de voir comment ça fait de publier des textes dans une revue littéraire, ou si juste vous trouvez ça cool de publier des textes en français mais en Colombie, vous pouvez me les envoyer et on pourra travailler tout ça ensemble 🥰
Je vous avoue que je sais pas trop dans quoi je me lance, mais j'ai déjà fait un peu de beta-reading par le passé et je prends des cours d'édition donc a priori, je sais à peu près ce que je fais ^^
Pour les critères techniques, c'est juste en dessous :)
Format: Word
Police: Arial
Taille: 12
Interligne: 1.5
7 pages maximum ou 10 min max pour des audio ou vidéos
Si le texte est un essai et a des citations: normes APA 7ème édition
Images: JPG ou PNG haute résolution
Audios: MP3
Vidéo: MP4
Les propositions doivent être envoyées à [email protected], avec pour objet "Proposition de publication" et l'e-mail doit contenir les détails suivants : Nom complet de l'auteurice (ou des auteurices). Courte biographie, 100 mots maximum. Adresse électronique Numéro de portable Si l'auteurice (ou certain.e.s d'entre elleux) est mineur.e, une lettre d'autorisation signée par un.e tuteurice légal.e majeur.e doit être jointe.
Voilà, voilà !
36 notes - publié le 1 octobre 2022
n°3
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Pia refait sa culture queer français part. 1
(Celui là je le liveblog parce que même si vous dormez toustes, je sais que c'est le genre de truc qui vous fera délirez)
42 notes - publié le 16 novembre 2022
n°2
If I had a nickel every time Anthony Stewart Head played a character named Rupert, I'd have two nickel. It's not much but it's weird that it happened twice.
64 notes - publié le 20 septembre 2022
Mon billet n°1 en 2022
Joyce’s expression when she corrects Hopper’s pronunciation of “chianti”. That’s it. That’s the post.
67 notes - publié le 22 juillet 2022
Obtenez votre année 2022 en revue sur Tumblr →
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profenscene · 2 years
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Vendredi 9 septembre
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Fin de la première semaine. Comme souvent, depuis que je suis redevenu prof itinérant, j'ai l'impression d'avoir construit une première cabane. Quelques habitudes (le bingo littéraire en début d'heure, les dosettes de café fort dans le casier et le jeu de grammaire quotidien) qui perdureront ou auront disparu d'ici quelques mois. L'impression d'avoir repris depuis des mois, et qu'on ne tiendra pas. On tiendra.
L'autre jour, A. m'a écrit un message auquel je n'ai pas encore répondu - je suis nul pour répondre aux messages - me disant qu'il était heureux de deviner, dans ce nouveau collège, des élèves choux, d'après mes premiers billets. C'est là tout le truc. J'ignore s'ils le sont. Mais j'aimerais qu'ils le soient. J'essaye de m'en convaincre. Et de les en convaincre. Parfois, j'ai l'impression d'être débile, à cultiver leur part d'innocence un peu enfantine, un peu démunie. Mais j'aimerais, avant qu'ils s'en départissent, avant qu'ils "s'endurcissent" qu'ils "deviennent plus matures" qu'ils accèdent à ce moment de transition magique : celui où l'on a encore l'innocence des débuts, et suffisamment de jugement pour comprendre ce que cette innocence peut avoir de puissant. Et que des fragments peuvent en être conservés.
Mais tout cela, il sera temps d'y repenser lundi. Ce soir, je veux m'occuper de Tartelette, elle a été opérée, elle a le menton ouvert, a besoin de soins et de câlins. C'est tout aussi essentiel.
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contesdefleurs · 1 year
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J'ai raté le NaNo 2022 et c'est pas grave
Avant de papoter sur mon "échec", qu'est-ce que le NaNoWriMo ? C'est un défi d'écriture où il faut écrire 50k mots en un mois. Pour plus de détails sur ce challenge, plutôt que de copier/coller Wikipédia, je vous partage la page dédiée à ce sujet ici :
Ce défi d'écriture ne nécessite pas forcément d'écrire au moins 50k mots en seulement un mois. Les règles se sont assouplies, et il est possible de pr��voir des objectifs à la hauteur de ce que l'on souhaite écrire. Le principe reste le même : atteindre un nombre de mots dans un temps déterminé.
Je voulais me lancer dans l'écriture d'une nouvelle qui me tient très à cœur, j'ai tout ce qu'il faut depuis longtemps pour la construire, la consolider et, enfin, écrire un énième jet (j'en avais écrit plusieurs auparavant). Sauf qu'au bout de quelques jours, je suis à peine parvenue à commencer à écrire. Les semaines sont passées, et je n'ai quasiment rien fait. Une fois le NaNo fini, j'ai pris une décision : ne plus me stresser pour l'écriture. Entre la période qui n'était pas optimale, le désir de relever plusieurs défis sans me ménager, ne pas prendre de plaisir au moment d'écrire, car j'avais d'autres impératifs, le manque d'organisation, tout cela a eu raison de moi, malheureusement. Mes ambitions dépassaient trop mes limites.
Au moment où je commençais à culpabiliser, quelque chose m'a un peu sauté aux yeux : je m'étais mis beaucoup de pression en plus de viser un challenge trop haut par rapport à mes capacités et aux conditions. Pour tenter de comprendre ce sentiment, je me suis demandée dans un premier temps pourquoi et comment faire pour que je cesse de me mettre dans des états pareils. Une fois présent, ce ressenti créait un cercle assez vicieux où j'avais la sensation d'être enfermée dans des tâches littéraires interminables. Comme on a pu le voir et/ou l'entendre dans différentes vidéos et contenus de la communauté littéraire, on se presse trop pour les défis d'écriture, d'autant plus, je trouve, pour des évènements comme le NaNoWriMo ainsi que ses dérivés. En plus des autres soucis que l'on peut rencontrer au quotidien, il était hors de question que je culpabilise davantage pour un challenge que j'aurai, je l'espère, l'occasion de retenter.
J'en suis arrivée à la conclusion que s'imposer un rythme qui ne correspond pas à nos besoins et nos limites crée un lien "malsain" avec l'écriture. Oui, je sais, "merci Captain Obvious", seulement, je n'imaginais pas à quel point ça pouvait me plonger dans un mal-être aussi profond. Cette activité, avec un tel état d'esprit, devient anxiogène et c'est pour cette raison que le blocage s'est installé. On angoisse plus qu'on ne crée, on se fixe des objectifs qui ne correspondent pas à nos envies, nos capacités, sans compter la déception derrière. Car bien sûr "si d'autres y arrivent, pourquoi pas moi ?". C'est là que je me suis demandée dans un deuxième temps : d'où vient cet état d'esprit justement ?
Nous n'avons pas cessé de se le répéter, de le répéter à d'autres : chacun-e a une plume différente, une expérience avec l'écriture qui est unique. Nos parcours sont tellement divers qu'il serait impossible de les lister, bien que des similitudes puissent être visibles au cours de nos échanges. Seulement, le monde littéraire n'échappe pas à la logique concurrentielle et compétitive de notre "merveilleuse" Société. Entre les discours sur la productivité (faire tout dans un temps limité assez court et de manière efficace) et ceux sur la légitimité ("tu n'es pas un-e vrai-e écrivain-e si tu ne fais point ceci ou cela"), nous avons vite fait de culpabiliser, la moindre erreur ou l'abandon deviennent un dans ce cas un "échec".
Bien sûr, ce billet est personnel, je ne prétends rien en l'écrivant, juste partager mon ressenti et l'évolution de ce dernier. On nous apprend tant à suivre une cadence exigeante, et il y a tellement de compétitivité en général, que ce soit dans l'éducation, la création ou même socialement, qu'il devient difficile de prendre du recul. On se compare à d'autres comme si nous avons les mêmes moyens et le même vécu pour écrire, comme s'il fallait suivre un modèle unique, idéalisé, pour enfin se considérer, se sentir légitime et fier-e quand on produit une création littéraire. Après plusieurs années à écrire où je n'ai pas arrêté de dénigrer ce que je faisais, où j'ai culpabilisé de ne pas parvenir au bout de projets ou de challenges, j'ai décidé de me dire qu'en fait, ce n'est pas grave. Tant pis. Certes, nous ne pouvons ni changer nos biais liés à nos conditions de vie, elles-mêmes construites dans un cadre compétitif et qui vend la productivité comme un signe de réussite (ce qui est faux, vous avez le droit de ne pas produire, pas merci le capitalisme...) mais peut-être que dire tout cela et voir que le problème ne vient pas de nous, qu'il s'agit d'un souci bien plus complexe et vaste que ce que l'on pouvait penser, c'est déjà faire un grand pas pour arrêter de culpabiliser en permanence. Le plus important, selon moi, en attendant, c'est de prendre soin de soi, de s'écouter et de ne pas considérer que tout "échec" relève que d'une responsabilité individuelle. Il n'y a pas vraiment d'échecs parfois, je pense, et la fumée idéaliste de la réussite sociale dans laquelle on étouffe ne nous donne pas la possibilité de nous épanouir. Ne pas en avoir conscience, c'est normal, nous grandissons dans ce cadre qui nous empêche de voir au-delà de tout cela. Alors, j'espère qu'avec ces modestes paragraphes, vous y repenserez. De mon côté, je ne vais plus me précipiter et juste apprécier chaque instant d'écriture, chaque étape, même si elles semblent longues quand d'autres publient déjà dans des maisons d'édition, je garde en mémoire que ce qui me donne envie d'écrire ce n'est pas la reconnaissance, bien que cela nous fasse rêver, ne nous mentons pas. Ce qui me donne envie d'écrire, ce sont toutes ces bonnes choses que l'écriture me procure. Vivre des aventures que je ne vivrai jamais, rencontrer des gens dans un univers que j'ai imaginé. M'amuser, encore et toujours, ressentir mille émotions lorsque je dégaine ma plume, et voir également tout le parcours que j'ai effectué. Le tout, en encourageant les autres à aller au bout de leurs rêves et projets. Je vous souhaite de tout cœur d'atteindre vos objectifs tout en vous épanouissant. J'ai raté le NaNo, et ce n'est pas grave. Parce que mes projets verront le jour, et si ce n'est pas tout de suite, alors ce sera pour une prochaine fois.
Merci pour ta lecture et à bientôt pour de nouvelles aventures ! 💜
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bernieshoot · 3 months
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stephanedugast · 5 months
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📌 [BILLET] Confidences, réflexions, amitié, générosité, nature, littérature... Au récent Festival Int. du Film et du Livre d'Aventure de La Rochelle (qui fêtait cette année ses 20 ans), j'ai vécu l'aventure "in vivo" et "in palpu".
📽️🎵 Si la majorité du public s'est précipitée regarder des films sur grand écran (et c'est tant mieux !), une minorité s'est également rendue 🎪🏕️ salle Eider pour voir et écouter des auteurs et/ou des dessinateurs nous raconter leurs œuvres et leurs coulisses.
❤️‍🔥 J'ai mis du cœur, des émotions, de la passion et de la fougue pour animer et modérer ces débats, histoire de faire vivre la #littérature d'aventure.
🎯 Merci encore aux organisateurs - Stephane Fremond et sa complice Anne Buisson - d'avoir pensé à moi pour cette mission "caméléon" que j'ai adorée.
🎙 🙏 Remerciements chaleureux à mes invités que j'ai interrogés sur scène : Cédric Gras, Wilfried N'Sondé, David Chambre, Ghislain BARDOUT, Volodia Petropavlovsky, François-Xavier de Crécy, Maylis Adhémar, Virginie Troussier, Florent Silloray, Fabrice Lardreau, Baloup Clément, PIERRE EMMANUEL DEQUEST, Dussey Flore, Caroline Riegel, Virgile Dureuil, Jeanne Mascolo de Fillipis, Abolivier Gwenaëlle, Laurent Tillon et Joël Auvin dit Nono.
🙌 Salutations également à tous ceux que j'ai croisés sur ma route (comme sur la piste🕺) durant ces 5 jours dont Nathalie Verlinden, Catherine Destivelle, Emmanuelle Périé-Bardout, Parent Isabelle, Coralie Jugan, Marion Martineau Charlot, Sophie Planque - Cierpka et Jérémy, luc MARESCOT, Evrard Wendenbaum, Thomas Firh, Nicolas Alberty, Vincent Le Goff et tous ceux que j'oublie.
🎚️ Clins d’œil à l'équipe technique Jerome Pougnant et Thomas Videcoq car oui le son c'est bon !
🌊 Pensées affectueuses au capitaine de frégate littéraire Fabien Clauw.
📸 @h.lafitte
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@editionsplon En alternant les récits de Manelle, de Lina et les lettres de Tahit @morganeaz_  invente un carrefour entre passé et présent, de l’Afrique à l’Europe, avec au cœur le droit des femmes. ❤️
#premierroman #book #books #roman #rl2023
Chronique ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2023/08/13/morgane-az/
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MARDI 18 OCTOBRE 2022 (Billet 1 / 3)
A tout seigneur, tout honneur - en l’occurrence ici une « seigneuresse », commençons donc l’édition de notre Blog de ce matin par un petit article publié dans un grand magazine au sujet de celle qui vient de remporter le Prix Nobel de Littérature.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’au contraire de tous les hagiographes et/ou thuriféraires multi-présents dans tous les médias depuis l'annonce de son Prix, c’est que ce journaliste ne la caresse pas dans le sens du poil !
Lisez plutôt…
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[…] Le 6 octobre 2022, Annie Ernaux reçoit le prix Nobel de Littérature. […] Wikipédia résume ainsi l’intitulé de cette récompense selon son fondateur, le Suédois Alfred Nobel (en 1901) : « Le prix Nobel de Littérature récompense annuellement un écrivain ayant rendu de grands services à l’humanité grâce à une œuvre littéraire. » Oups ! Annie Ernaux a rendu de grands services à l’humanité : elle parle d’elle depuis 1974 ! C’est long. On appelle cela « l’autofiction ». Son dernier livre, « Le Jeune Homme », fait 27 pages. C’est peu.
Il ne faut surtout pas la critiquer, c’est « mâle ». Elle n’a pas un style plat, elle refuse de « faire beau ». Son œuvre est nulle, qu’importe, le public l’adore. Elle a dénazifié Gallimard : opération spéciale contre l’éditeur et écrivain Richard Millet, qui avait publié « Les Bienveillantes », prix Goncourt 2006, viré après les coups de boutoir de notre humaniste (la délation sous couvert de pétitions fonctionne encore). Elle n’aime pas Israël, mais, selon ses thuriféraires, le rappeler équivaut à atteindre le « point Godwin », habituellement réservé à Adolph Hitler, c’est amusant. Elle est féministe mais défend le voile. Elle soutient l’indigéniste Houria Bouteldja, qui le lui rend bien. 730 000 euros de dotation pour son Nobel : de quoi se payer une belle thalasso au Hamas ou à Téhéran, où tout le monde est pour la liberté des femmes.
(Source : « Nicolas Ungemuth - journaliste – critique littéraire »)
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No comment, il a tout dit.
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swedesinstockholm · 1 year
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journal de let’s move pt.3
24.01
j’étais chez édith ce soir pour répéter avec le groupe, j’aime pas édith, elle a décrété que c’était moi qui allait me charger d’acheter un cadeau à cybille, sans vraiment me laisser le choix de refuser sinon je passais pour une feignasse ingrate. elle a écrit un texte un peu neuneu en plus qui commence pour si belle cybille et je sais pas pourquoi ça m’énerve autant, je veux la garder pour moi toute seule, c’est pas une tasse et des chocolats que je veux lui offrir, c’est moi toute entière, et en guise de carte, je veux lui écrire un roman. je pensais à mon poème de lundi dernier qui s’appelle ce que la sibylle m’a dit, et à toute mon histoire avec la figure de la sibylle de cumes, et puis cybille la danseuse qui apparait dans ma vie au même moment où je fais mes débuts sur la scène littéraire belge avec la sibylle et qui a réussi l’exploit de me faire danser en public et d’aimer ça ET qui m’a offert l’opportunité de chanter seule sur la scène du grand théâtre. je sais pas, qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire? 
elle dit pestacle au lieu de spectacle. je suis sûre qu’à dix ans je serais déjà tombée amoureuse d’elle. ou elle m’aurait fascinée en tout cas. elle a ce truc de jolie fille à l’aise qui a de la répartie qui m’a toujours fascinée, qui saute sur les gens avec son petit corps de danseuse et qui charme tout le monde avec ses longs longs cheveux bruns lisses et sa peau un peu matte de fille du sud, sa baby face et sa douceur d’ange. à un moment je la regardais monter les marches avec un panier à linge sous le bras, dans sa veste à capuche bariolée et ses deux tresses de boxeuse, et je me l’imaginais chez elle en train de faire une machine, dans sa vie de tous les jours, avec ses enfants.
26.01
je viens de me passer de l’huile d’arnica sur les cuisses avant d’aller au lit, j’adore les périodes où je dois me passer de l’arnica sur les cuisses, ça veut dire qu’il se passe des choses. ce soir pendant la générale on a enfin vu la partie techno post mary poppins qui m’angoissait parce qu’y a pas de choré, y faut juste se lâcher, et c’était la meilleure partie de tout le spectacle. zéro trace du trauma, je l’ai jeté à la poubelle, par dessus l’épaule comme dans la choré d’america, celle qui fait je mange, je réfléchis, poche billets billets je jette tout je vomis vomis on m’attrape on m’attrape on m’étrangle je tombe par terre. j’avais pas envie que ça s’arrête, j’avais envie que tous les projecteurs soient braqués sur moi en train de m’agiter dans tous les sens au milieu de la salle. c’était inédit. j’ai écrit à m. que j’étais guérie. j’ai l’impression que tout un nouveau monde s’ouvre à moi. je veux plus rien faire d’autre que d’être sur scène de chanter et de danser. toute autre occupation est nulle. sauf écrire.
pendant que j’attendais le tram pour rentrer je regardais éléonore qui discutait avec les musiciens sur le quai d’en face, ils le prenaient en sens inverse pour rentrer à l’hôtel et je les enviais avec chaque fibre de mon corps, je les enviais tellement que ça me faisait mal. éléonore est ma nouvelle louisa. nos regards arrêtent pas de se croiser depuis le weekend dernier et il m’en faut pas plus. j’ai vu sur fb qu’elle était mariée à une femme et maintenant je l’aime encore mille fois plus qu’avant. après avoir chanté je me suis assise à côté d’elle sur une caisse et elle m’a dit que j’avais très bien chanté mais je crois que ça faisait partie de la scène et puis à la fin de la choré d’all that jazz cybille s’est relevée avec son cul contre le mien et je veux pas retourner à ma vie de non scène. en attendant le tram une femme m’a dit c’est vous qui chantiez sur scène au début? on aurait dit une pro!  UNE PRO. pour la générale j’avais peur que le stress me fasse un trou noir ou que ça m’étrangle la voix mais non ma voix était bien là et moi aussi, je me sentais comme à la maison, dans mon élément, j’arrive toujours pas à croire que ce soit tombé sur moi. si ç’avait été quelqu’un d’autre à ma place j’aurais pas survécu à ma jalousie.
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encoredireencore · 7 months
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JOURNAL DE CREATION   /   OCTOBRE 2023
LE THEATRE TROUVE SES SOLUTIONS EXISTENTIELLES EN CULTIVANT LA PERTINENCE DE SES FORMES ARTISTIQUES ET L’HUMILITE DE SA PRESENCE PUBLIQUE
Nous approchons …
Celles et ceux qui viennent de s’engager en réservant leurs places dès à présent contribuent efficacement à l’économie de la réalisation. Ils sont aussi « des regards, des attentions « qui déjà donnent au projet en cours une belle concrétude. Nous sentons déjà leur présence. Ils et elles sont là . C’est déjà un instant de théâtre : des mots des images des acteurs des spectateurs.
Ils et elles nous donnent la joie de continuer.
UN TRES GRAND MERCI
Et CONTINUONS DE TRANSMETTRE LES INFORMATIONS RELATIVES A CE PROJET  …
SAMUEL BECKETT avait rendez- vous avec son époque et les spectateurs des années 70, 80, 90 l’ont dit avec force et enthousiasme.
Mais il a aussi rendez- vous avec NOTRE EPOQUE   qui peut le reconnaitre comme étant un de ses grands classiques mais aussi, par les idées qu’il transmet, un de SES CONTEMPORAINS. Son œuvre littéraire et théâtrale est de l’ordre de celles des moralistes. MONTAIGNE, PASCAL, DANTE, il se les tenait pour amis et compagnons de travail.
Bien sûr, il y a GODOT …mais tant d’autres œuvres importantes elles aussi.
PAS MOI   BERCEUSE   LE DEPEUPLEUR   font partie de ses œuvres essentielles – au niveau international.   Nous vous permettrons de les entendre du 8 au 12 NOVEMBRE.
Nous vous présenterons également d’autres œuvres, avec les actrices et acteurs de l’orléanais qui se sont associés au programme. Vous retrouverez CATHERINE GAUTIER, MANOUCHKA RECOCHE,  INGRID TEGYEY,  JEAN CHRISTOPHE COCHARD,  ERIC CENAT,  HUGO ZERMATI, JONATHAN WAITE …
Ils et elles lieront des textes de SAMUEL BECKETT : L’EXILE, L’IMAGE, LE BILLET DOUX DE LA SMERALDINA, SOUBRESAUTS.  Ils et elles vous feront rencontrer SAMUEL BECKETT, le résistant qu’il fut dès 1940, le traducteur qui engagea les traductions des poètes français, l’ami des peintres …
Je ne veux pas conclure ce JOURNAL DE CREATION/OCTOBRE 2023 sans remercier très sincèrement GERARD AUDAX et son THEATRE CLIN D’ŒIL. Il nous a proposé sa salle de répétitions au cours de ce mois et bien sûr cette aide comptera dans la réalisation du spectacle. Il participe également aux lectures du 12 Novembre (G.Audax lira l’IMAGE)   .  
Une pensée affectueuse également pour le psychanalyste PHILIPPE LEGRAND qui a mis son expérience professionnelle à notre disposition.
NOTRE PROCHAIN JOURNAL DE CREATION PARAITRA EN NOVEMBRE, QUELQUES JOURS AVANT LES PREMIERES REPRESENTATIONS.
 NOUS PENSONS A VOUS
Jacques LE NY
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darkpalmor · 7 months
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20 SEPTEMBRE 2023
Programme de vigile automnale
0°) 20 septembre : Souvenir de la Vie de Ste Croquette (5 minutes) : Un souvenir ému, ou une prière sur le bout des doigts ?
Croquette croquante Fut croquée par un croquant, Puis monta au ciel, Escroquant Saint Pierre.
1°) 5 % à continuer (5-10 minutes) : Billet de mauvaise humeur. Voici les 5 premiers mots d’un billet de 100 mots (environ) : « La sono des voisins était… »
La sono des voisins était poussée à fond et toute la résidence profitait des vibrations basses qui faisaient trembler les porcelaines dans mon placard. Alors il faut me comprendre, monsieur le gendarme. Si j’avais eu autre chose, j’aurais frappé à la porte avec une cuiller, peut-être, ou à la rigueur avec le pied, pour qu’ils entendent. Mais bon, j’ai pris le marteau qui était posé sur ma boîte à outils, et je me suis signalé. Et il faut dire que si le gus qui m’a ouvert avait été plus souriant, il ne serait pas à l’hôpital maintenant. Mais tant pis !
La sono des voisins était sur deux cents watts au moins et Madonna braillait dans les enceintes du petit dernier, un boutonneux pas encore moustachu. Et ce crétin tapait du pied, en rythme, croyait-il, et mon lustre tremblait, mon plafond allait se fissurer. Si j’avais été un homme, un vrai, je serais monté pour le corriger, ou lui demander de baisser le son. Mais vous savez bien que je suis un lâche, monsieur le Commissaire. Alors oui, c’est moi qui ai défoncé la porte du transformateur et qui ai plongé tout le quartier dans le noir. Emmenez-moi au poste !
2°) Écriture brève (10 minutes) : Point de vue décalé. Prendre le point de vue d’un objet ou d’un animal familier et raconter ou décrire (à la première personne, ou en s’adressant à un autre objet ou animal) des moments de vie quotidienne, l’environnement, les états d’âme, etc. Pour cette rentrée, une cigogne baguée.
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Mon menu de mariage m’attendait, paraît-il. On m’avait mis la bague au pied de bon matin, et promis des grenouilles, des criquets, peut-être même des souris fraîches. Et on m’a enlevé le capuchon qui pendouillait sur mes yeux, relâchée dans une prairie prétendue humide et grouillante de nourriture, mais avec le temps qu’il fait depuis deux semaines, je me suis trouvée fort dépourvue, comme une certaine cousine éloignée et littéraire. Mon bagueur restait là, attendant que je fasse quelque chose : que je lui prouve qu’il ne m’avait pas esquintée ni stressée, en gros. Mais dans cette herbe sèche, sous ce soleil énorme, je ne voyais pas comment j’allais me mettre sous le bec quelque chose d’aussi appétissant que les boulettes de viande hachée qu’on m’avait offertes pendant ma convalescence. Refuge trois étoiles, je le recommande. Cassez-vous une aile, tombez à proximité de leur cour, et vous serez soigné aux petits oignons et aux restes de flammekueche ! Mais là, me sentir à la fois guérie et affamée, ça me gonflait grave. J’allais claquer au lieu de claqueter, si je ne trouvais rien à manger. Alors j’ai simulé la boiterie, j’ai fait quelques enjambées en traînant la patte, lentement, le bec bas, et mon petit fiancé humain m’a rattrapée, renfermée délicatement dans son grand carton, et m’a dit qu’on allait me remettre en état. Moi, j’ai fait semblant de ne pas le comprendre, j’ai gardé ma mine de victime, et hop là ! Je retourne au refuge ! Marre des migrations, non mais !
3°) Lettre de château (10 minutes) : Merci pour ces moments ! Une lettre de château sert à remercier, le plus tôt possible et par courrier, des hôtes qui vous ont invité à un repas, une cérémonie, une fête, etc. On écrira à un chef de service qui a offert un apéritif à son personnel à l’occasion d’une promotion qu’il a reçue récemment. Rien n’interdit d’utiliser l’humour, l’ironie ou même le persiflage : une lettre de château n’est pas nécessairement servile, ni sincère.
Cher et respecté Monsieur le Sous-Chef de Division du Troisième Secteur administratif de notre Sous-Préfecture, permettez-moi ces quelques mots destinés à vous remercier de l’honneur que vous m’avez fait, ainsi qu’à mes collègues, en nous invitant à cet apéritif dînatoire improvisé vendredi dernier, après la fermeture des bureaux, et ceci pour fêter votre promotion dans l’ordre du Mérite. Je me sens obligé de vous dire combien j’ai apprécié, ainsi que mes collègues, les petits sablés que votre charmante épouse avait confectionnés jeudi, car c’était un régal de les extirper un à un du Tupperware où vous les aviez dissimulés toute la journée, dans un geste amusant et sympathique de cachotterie confraternelle, afin de nous en faire la surprise. De même, grand merci pour la bouteille de pastis que vous nous avez rapportée du petit Casino où vous étiez passé discrètement pendant que nous rangions les registres et fermions les robinets des radiateurs en vue du week-end. Ce double geste d’une immense générosité nous a touchés à un point que vous ne pouvez concevoir, et nous saurons tous nous en souvenir, au moins jusqu’à votre prochaine promotion, que nous souhaitons rapide. Avec ces remerciement, Monsieur le Sous-Chef de Division, recevez le souvenir ému de ces agapes qui nous ont fait passer une demi-heure de rêve et de délices, avant que nous ne rejoignions en hâte nos arrêts d’autobus pour ne pas rater la dernière correspondance. Le chef d’équipe des agents de bureau de la Sous-Division Un du Troisième Secteur, M. Martin.
4°) Moulinette sonore et lexicale (5 +10 minutes) : Les oreilles travaillent avant l’écriture. Jouer à la moulinette sonore, avec une contrainte stricte ou assouplie consiste à accumuler une assez grande masse de mots contenant une même sonorité, chaque participant propose plusieurs mots, ils sont tous notés et on écrit une histoire, librement, mais en s’efforçant de tous les placer. Chacun peut en ajouter de nouveaux, mais tous les mots trouvés en commun doivent être utilisés. Puisque c’est bientôt l’automne, on proposera des mots contenant le son « TONN ». Et le thème sera l’automne, évidemment.
Mots trouvés par les participants : sonotone, automne, ratonner ou ratonnade, platonique, tectonique, bétonner, tonneau, tonique, cotonneux, étonnant, cartonner, tonitruant, Tony, cretonne, Eton, Newton.
L’automne monotone nous engourdissait, et l’atmosphère cotonneuse et peu tonique du campus d’Eton détonnait par rapport aux cris tonitruants qui résonnaient autour de la statue de Newton. Le tonneau de bière, englouti sans entonnoir, avait cartonné, ce qui n’est pas étonnant. Il y aurait des ratonnades, cette nuit, des secousses tectonique dans le bâtiment des étudiantes dont les jupes de cretonne fleurie frémissaient par avance. Ce ne serait pas platonique jusqu’à l’aube, on allait se déboutonner, la fleur à la boutonnière, si les grand-bretonnes aussi bien que les teutoniques avaient autant de tonus que nous. Les vieux professeurs seraient obligés de débrancher leurs sonotones sous peine d’avoir les oreilles bétonnées par le boucan qu’on allait faire pour réveiller Tony : il ne savait pas qu’on allait lui souhaiter sa fête, pelotonné dans sa couette et roupillant comme un loir !
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carowitchlife · 1 year
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Deux super journée.
Hier, c'était la sortie du dernier volet de Zelda : Tears of the Kingdom. Trop bien de pouvoir y jouer. Toujours aussi magnifique. Je ne suis pas une grande joueuse, je n'avance pas bien vite, mais je m'amuse, c'est l'essentiel.
Hier, je me suis pris mon billet pour aller voir en concert Matmatah et Shaka Ponk à La Foire Aux Vins de Colmar. Ça va être mon 3ème concert de Matmatah. Et je suis super contente de découvrir Shaka Ponk en live.
Aujourd'hui, je suis allai forum du livre à Saint-Louis. J'y ai revu les 2 auteurs de Bretzel et beurre salé. Mon dernier coup de cœur littéraire. Ils sont super sympa, prennent le temps de discuter. Et je suis aussi allée voir Yannick Vincete, un illustrateur et auteur BD que je suis sur les réseaux. Super sympa également.
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