Tumgik
#l’amour de ma vie MON DIEU
plethodontidae · 2 years
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images that made me fall to the floor in pure agony because . look at him
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Spectacular!
Celine Dion made her return to the stage at the Summer Olympic Games in Paris in truly grand fashion.
Celine closed the ceremony immediately after the lighting of the Olympic cauldron, with a performance from the first stage of the Eiffel Tower, singing a timeless classic: Edith Piaf’s “L’Hymne à l’amour.”
"Hymne à l'amour" (Hymn to Love) is a popular French song originally performed by Édith Piaf. The lyrics were written by Piaf and the music by Marguerite Monnot. It was written to her lover and the love of her life, the French boxer, Marcel Cerdan.
Hymne A L'Amour
Song by Édith Piaf
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la Terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour innondera mes matins
Tant qu'mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour, puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la Lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour, la vie t'arrache à moi
Si tu meurs, que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel, plus de problème
Mon amour, crois-tu qu'on s'aime?
Dieu réunit ceux qui s'aiment
#scene #chanson #musique #CelineDion #chansonfrancaise #chansonamour #Paris #OlympicGames #Hymneàl'amour #Paris2024 #BBCOlympics
Posted 26th July 2024
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mandnight · 1 year
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Mon amour,
Si je devais te dire à quel point je t’aime, je ne pense pas pouvoir trouver des mots assez puissants pour décrire à quel point l’amour que je te porte est incommensurable. Tu es rentrée dans ma tête et tu as changé ma vie comme personne d’autres ne l’avais fais avant toi. Je suis dingue de toi, j’aime tout de toi, j’aime autant tes défauts et tes qualités. Je ne pourrais jamais me lasser de t’entendre me dire combien du m’aime, j’ai besoin de ça pour me sentir bien. Tu es ma bouffée d’oxygène au quotidien et je remercie le bon dieu chaque jour de t’avoir mis sur mon chemin.
Notre couple n’a rien de conventionnelle, je dirais même que nous sommes bancales à notre façon, mais qu’est-ce qu’on s’en branle ? Après tout qui souhaiterait une histoire d’amour parfaite avec plein de moment cul-cul ? Sûrement pas moi. 
Je suis fier de notre parcours, je n’ai pas honte de dire haut et fort que je n’ai pas su t’aimer comme tu le méritais avant, j’ai été con et je le serais sûrement encore, mais crois moi sur parole maintenant, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te rendre la plus heureuse possible. Je ne pourrais jamais te promettre que notre relation deviendra aussi belle que celle dans les romans, mais je peux te promettre qu’elle en sera tout autant vraie et sincère.
Tu m’as rendu accro à toi, je te déteste parfois pour ça d’ailleurs, car je sais que tu es bien plus qu’une simple fille de passage, je te veux, je te veux même quand nous sommes en colère l’un contre l’autre, je te veux quand tu pleures devant un film et que tu me casses les pieds. Je ne désire personne d’autres que toi, et ce, jusqu’à la fin de ma vie. Je suis convaincu que tu es bien plus que ma simple copine, tu es mon âme-sœur, celle qui m’est destinée depuis toujours. Merci à toi d’avoir été plus rapide que moi à comprendre que toi et moi, c’était une évidence, merci de ne pas avoir baissé les bras et d’avoir continué à croire en nous. Merci d’être toi, cette fille à la fois si douce et pourtant tellement forte. Putain je t’aime tellement, tellement que ce texte est naze comparé à ce que tu représentes pour moi, tellement pas représentatif des battements de mon cœur dans ma poitrine quand je pense à toi. Je t’aime tellement mon amour, je te souhaite un très beau et très joyeux anniversaire, que cette journée qui est la tienne te donne autant de bonheur que tu en mets dans ma vie.
Joyeux anniversaire, je t’aime plus que tout au monde bébé. @livoocado
(Désolé j’aime trop cette photo)
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Si dieu existe pourquoi m’avoir fait tienne? Si dieu existe pourquoi mes prières pour que tu reviennent, sont chacune vaines? Pourquoi m’avoir rendu accro à cet oxygène, pour me le retirer quand même? Si l’amour existe comment peut il s’éteindre ? Je t’aimerais toujours je rêve de t’étreindre. Pourquoi punir ceux qui aiment, pourquoi briser ceux qui rêvent? Pourquoi créer ce monde ou les liens se crées où les cœurs sont liés, pour finir comme deux inconnus l’âme tourmentée ? Pourquoi nous détruire après nous avoir fait sourire? Pourquoi nous faire endurer la pire de nos phobies? Si dieu existe il me déteste. Si dieu existe plus rien n’en reste. Il a pris toute la chaleur, m’a détruite j’en ai bien peur. Il a éteint la flamme d’antan, a tué son propre enfant. Si dieu existe je ne veux plus y croire. Il est censé m’aider mais je ne vois qu’un trou noir. Sans son amour je suis vide dans le miroir, sans sa présence chaque jour est illusoire. Si dieu existe on serait encore ensemble. Tu ne m’aurais pas lâché, parce que t’étais le premier, que t’es encore le dernier, et que dieu m’a fais espérer, pour mieux m’achever. Si dieu existe qu’il finisse sa sentence, qu’il confirme ton absence, qu’il détruise mon essence. Si dieu existe qu’il te retire de ma vie, de mon chemin, de ma prophétie. Pourquoi remuer le couteau dans la plaie, pourquoi me montrer chaque jour l’échec de ce qu’on était? Si dieu existe qu’il passe à la punition, j’ai péché de t’avoir trop aimé et je paye chaque jour le coeur déchiré. Si dieu existe je ne lui pardonnerai jamais. D’avoir transformé mon plus bel amour en mon ennemi juré.
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oracledekokuto · 1 year
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Rerise of Poseidon - Chapitre 5
Frères d’armes et amis ! Au-delà de l’amour et de la haine
Page 1
Kanon : Saga !! Kanon : P-Pourquoi… Kanon : Pourquoi es-tu ici… ? Saga : Pft. C’est ma réplique. Saga : Franchement… Saga : Je n’aurais jamais cru te revoir vivant…
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Saga : Mon petit frère. Saga : Kanon des Gémeaux ! Saga : Tu es rené en tant que Saint de la justice. Tu t’es battu en risquant ta vie pour la paix sur Terre et pour Athéna. Saga : Même séparés, je l’ai constamment senti via le Cosmos. Saga : Je suis fier de toi…
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Kanon : G-Grand frère… !! Saga : … Sur ce, cher frère. Saga : Cessons là les effusions de larmes. Kanon : … Hein ? Kanon : Q-Que veux-tu dire, Saga… Saga : C’est évident. Cela fait longtemps que je souhaitais que l'on se rencontre ainsi, tous les deux. Saga : Nous n’avons donc qu’une chose à faire, non ? Allez, Kanon…
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Saga : Cette fois, nous allons unir nos forces pour nous emparer de la Terre ! Saga : Autrefois, tu me chuchotais à l’oreille. Aujourd’hui, la domination du monde est à notre portée !! Kanon : I-Impossible… Kanon : Qu’est-ce que tu racontes, Saga ? Es-tu devenu fou ? Saga : Pft. Je vais bien. Autrefois, n’était-ce pas toi qui disais… Saga : … qu’un cœur maléfique sommeillait pareillement en moi comme en toi ? Saga : Je te renvoie tes propres paroles aujourd’hui. Saga : Même si tu feins le changement, je suis ton frère et je connais ta véritable nature. Elle n’a pas changé. Saga : Elle dissimule seulement une ambition maléfique ! Kanon : Non… C’est faux ! Saga : Tu ne peux rien me cacher...
page 5
Saga : J’ai entendu dire qu’actuellement, Athéna est absente et qu’une nouvelle appelée Némésis règne sur Terre. Saga : Ensemble, nous pouvons nous attirer ses bonnes grâces et la manipuler dans l’ombre. Kanon : Après tout, ce sera aussi facile que quand tu l’as fait avec Poséidon. Hé hé hé… Saga : Alors, que décides-tu, Kanon ? Saga : Tu me suis ? Saga : Cela dit, je n’ai pas besoin d’entendre ta réponse. Saga : Tu sais pourquoi ? Saga : Parce que nous sommes… Saga : … les seuls à partager le même sang dans ce monde. Des frères. Non, des compagnons et des alter ego… Kanon : … Saga…
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Saga : Ouille ouille ouille !! Saga : Que… Saga : Que fais-tu, Kanon ? Tu te retournes contre ton frère ? Kanon : Que tu es bruyant, sale imposteur ! Kanon : Ne prononce pas mon nom avec cette voix et ce visage. Ca me donne envie de vomir ! Saga : E-Espèce de…
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Kanon : C’était donc bien toi… Kanon : Kasa des Lymnades !! Kasa : Bon sang, ça fait mal ! Kasa : C-Comment tu as compris que c’était moi ? Kanon : Saga était un homme très fier… Kanon : Dans le cas improbable où il serait redevenu maléfique, il ne se serait jamais abaissé au point de proposer une répétition paresseuse de mes méfaits. Kasa : Oh… Jeee vois… Kanon : Maintenant, à mon tour de poser les questions. Kanon : Pourquoi cette farce ? Kanon : Selon ta réponse, tu risques de le payer cher. Kanon : Ne me dis que tu pensais sérieusement trahir pour Némésis et supplier pour ta vie.
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Kasa : Abruti ! Comme si je pouvais tomber aussi bas. Kasa : Je t’ai testé pour voir si tu n’avais sérieusement pas d’arrière-pensée. Kanon : Pft. Ce n’était pas nécessaire… Isaak : On n'est jamais sûr de rien… Isaak : Nous t’avons prévenu. Nous ne te faisons pas encore confiance ! Kanon : Isaak !!
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Kanon : Je ne m’excuserai pas… Kanon : Mon crime a été de tromper un dieu et de vous entraîner dans un combat inutile… Kanon : Je n’attends pas votre pardon, il est trop tard désormais. Kasa : Pft. Ça suffit les belles paroles. Isaak : Non. C’est bien dit.
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Kanon : Ourgh ! Isaak : Debout ! Isaak : Puisque tu le souhaites, je vais te massacrer. Isaak : Je me suis retenu en présence de Sa Majesté Poséidon mais cette fois, aucune merci ! Isaak : Tout est de ta faute ! Isaak : À ton avis, combien de fiertés as-tu salies à cause de ton ambition seule ?
Page 11 Kanon : Ouuh… Kasa : Hep, moi aussi je veux jouer. Kasa : Sale imposteur ! Kasa : Comment as-tu osé me faire mourir en vain ? Kasa : Sa Majesté Poséidon t’a peut-être pardonné mais ce n’est pas mon cas ! Kasa : Je vais te faire chialer, tu vas t’excuser ! Enfoiré ! Crevure ! Kasa : Alors ?!
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Isaak : Kanon. Malgré tout ça, tu refuses toujours de t’excuser. Kanon : Tu… es lourd ! Isaak : Je vois… Isaak : Les mots sont effectivement impuissants. Isaak : Peut-être t’es-tu vraiment éveillé à la justice et repenti. Isaak : Ou peut-être te moques-tu encore de nous et as-tu quelque intention secrète. Isaak : Quoi qu’il en soit, nous manquons de temps ! Isaak : Nous n’avons pas le temps de surveiller un mutique ! Donc…
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Isaak : Finissons-en ici, Kanon ! Isaak : Diamond Dust !
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Kanon : Eh bien ? Tu n’as fait que geler une fine couche de ma peau. Kanon : Vas-y sérieusement, je suis habitué aux sanctions. Isaak : Ne te méprends pas ! Si tu avais fait mine de fuir lâchement, je t’aurais achevé. Isaak : En revanche, mon poing ne frappe pas une proie immobile. Kasa : Hé, Isaak. Kasa : T’es sérieux ? Isaak : Je l’ai dit. Tout est fini. Isaak : Après tout, nous disposons tous d’une vie temporaire… Isaak : Si cet homme est toujours malintentionné, il recevra sous peu le châtiment approprié même si je ne m’en occupe pas moi-même.
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Isaak : Mettons cela de côté. On dirait qu’il n’y a pas qu’un chemin pour accéder au sommet. Isaak : On devrait se séparer temporairement pour éviter l’anéantissement total. Isaak : Je pars devant, vous deux ! Kasa : Bien. Isaak : C’est bien comme ça. Maître Camus. Hyôga, mon cher ami… Isaak : Vous pouvez rire de ma fierté de perdant. Isaak : Mais ainsi, les derniers résidus de la racine du mal ont été coupés… Je n’ai plus aucune hésitation à me diriger vers une mort certaine ! Kanon : Pardonne-moi, Isaak… J’ai fini par te faire jouer le rôle du vilain… Kanon : Moi, Kanon, je promets sur ton esprit chevaleresque de combattre en risquant ma vie encore une fois pour protéger la paix sur Terre… !
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Kanon : Hé. Pourquoi tu me suis ? Kanon : Tu comptes me surveiller ? Kasa : Hé hé hé. Il y a de ça, mais… Kasa : … ta force n’est pas négligeable. Je pensais en profiter. Kanon : Pft. Fais comme tu veux. Kanon : Muh !
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Kanon : Hum ! Kasa : C-C’est quoi, ça ? Kasa : On dirait des griffes ou des crocs de bête…
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Kasa : Hii !
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Cadmos : Bravo, vous êtes venus, guerriers de Poséidon… Cadmos : Soyez les bienvenus. Cadmos : Voici les Spartoï. Cadmos : Ce sont des soldats légendaires nés des dents d’un dragon semées dans le sol. Kanon : … Pft.
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Kanon : Je ne sais pas qui tu es mais je vais le découvrir… Kanon : … en explosant tous ces minables insignifiants !
Pages 22-23
Kanon : Galaxian Explosion !!!
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Kasa : Eh beh. Beau boulot. Kasa : J’ai bien fait de te suivre. Kanon : Va savoir. Kasa : Hein ?
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Cadmos : J’ai vu ton pouvoir capable de détruire les étoiles ! Cadmos : On dirait que tu es un adversaire que je dois massacrer moi-même. Cadmos : Moi, l’un des Spirits, Cadmos de Draco Dente !!
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Kanon : Pft. Quelle entrée en scène dramatique. Kanon : Malheureusement, nous sommes pressés. Kanon : Désolé tu vas devoir faire avec nous deux !!
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coeurencrise · 1 year
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Une lumière dans l’obscurité.
Quels mots poser ? Je n’ai plus rien. Pas de beauté à faire jaillir de ce sombre événement. Pas d’artifices, nulle verve créative. Rien.
La perte de ta chaleur est anéantissante et à nouveau, ce que représente la mort perd de sa mystique abstraction parce qu’elle m’est jetée à la figure.
Où es-tu, mon bébé ?
Dans les moments de tristesse, tu étais ma seule joie. Mon réconfort.
Je crois en Dieu et au paradis, mais je n’arrive pas à t’imaginer là-bas. C’est trop tôt pour moi.
Je t’aime encore. Je t’aime trop et à la fois pas assez. J’avais encore de l’amour à cultiver et à te donner. Je t’aime tellement et je t’aimerai toujours. Pourquoi faut-il que je parle de toi au passé ?
Mon ange, mon refuge, mon tout. Une créature de moins d’un mètre m’arrivant au-dessous des genoux. La douceur de ton tout petit corps, la tendresse de tes pattes. Tes oreilles adorables aux messages les plus mystérieux et secrets.
Bien plus qu’un animal de compagnie, bien plus qu’un chat, bien plus que la forme à laquelle ils te réduisent. Tu étais une partie de mon âme. Mon sauveur. Il me suffisait de te regarder pour trouver un semblant de joie et de paix dans la vie. Tu donnais un sens à mon existence et à toi, je dédie tout.
Que vais-je faire sans toi ? Que faire d’une vie sans toi ?
Je savais que ce jour viendrait, mais pas aussi tôt, et pas aussi brutalement.
Est-ce que Dieu a conscience de ce qu’il m’a arraché ?
Je veux bien me dire que tu es parmi les étoiles et que tu brilleras à jamais et pourtant, que c’est dur de l’accepter.
Kuro. Le flambeau de mes jours. Dès que je te voyais arriver dans la pièce, tout s’illuminait et tout revenait à sa place. Tu plaçais des repères dans mon quotidien, m’aidais à calmer mes songes.
Kuro, pour une personne dépressive comme moi, pour une personne qui a tant de mal à aimer la vie, tu représentais l’infini. La perspective d’un lendemain, d’une vieillesse. Je me préparais à grandir et vieillir avec toi, pour pouvoir aussi bien accueillir la vie que la mort, mais voilà que tu es parti.
J’essaie de me consoler en me disant que tu es dans un monde meilleur, parce qu’il ne doit pas être difficile de trouver plus agréable que celui-ci…
Malgré ça, rien n’apaise mon chagrin. Que vais-je faire sans toi, mon Kuro ? Que vais-je devenir ?
Tu n’as jamais prononcé le moindre mot mais dans la douleur, il n’y avait que toi. Il n’y avait que toi quand je repensais à mon viol en décembre, en larmes sur le canapé, il n’y avait que le poids de ton corps sur le mien pour me consoler. Dans la solitude, tu étais là. Tu avais le pouvoir de tout changer.
Est-ce que tu étais magicien ?
Pour une fille triste comme moi, il n’y avait que toi. Tu évoquais quotidiennement, à tes simples apparitions, l’émerveillement le plus total. Le ravissement pour la vie et ses mystères. J’étais en adoration devant toi. Un si petit être rempli d’amour. Un petit être vivant de caresses et de croquettes. J’aurais pu continuer à te câliner jusque le ciel s’effondre sur ma tête.
Que je t’aime.
Que je t’aime, mon amour. Que je t’aime.
C’est si douloureux. Si douloureux de savoir que je ne peux même pas te dire adieu.
Mon Kuro, je t’aime.
J’espère qu’on se retrouvera un jour et que tu dors paisiblement au paradis des chats. Que tu as aimé ta vie avec nous.
Merci pour ces aventures. Merci pour l’espoir et la foi que tu m’as donné. Merci pour ces trois ans de bonheur.
La vie avec toi, c’était comme un long dimanche…
Merci pour tout mon bébé. Mon Kuro d’amour. Mon chou bébé, comme je disais.
Je ne t’oublierai jamais, et il y aura toujours une place pour toi dans mon cœur, mes rêves, mes ambitions.
Repose en paix.
Je t’aime.
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swedesinstockholm · 1 year
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18 juin
je lui ai écrit, tant pis, j’en pouvais plus. j’ai voulu sortir me promener pour me changer les idées mais ça s’est révélé encore pire que de rester allongée sur le lit à regarder les arbres dehors. je rayonnais de l’énergie négative à des kilomètres à la ronde et j’avais envie de faire des doigts d’honneur à tout le monde. je suis en train de considérer l’éventualité qu’il me réponde pas et je sais pas comment réparer mon coeur, j’ai peur qu’il soit plus réparable, il a été cassé trop de fois, ça fait de trop petits morceaux maintenant. en arrivant devant le palais de justice je me suis dit et si je protégeais ce qu’il en restait et que je tombe plus amoureuse de personne? je sais pas pourquoi ça me semblait une idée envisageable sur le coup parce qu’évidemment que j’en serais totalement incapable, mon coeur est un tas de miettes mais ça l’empêche pas de carburer à plein régime, c’est une usine à aimer impossible à arrêter. j’essayais de me sentir réconfortée par les immenses colonnes au dessus de moi mais bof, j’avais surtout envie de monter sur la rambarde en pierre pour sauter tout en bas des marolles et arrêter la souffrance. j’écoutais kae tempest, prête à me faire écraser par une voiture en traversant la route/me faire agresser par un des types drogués qui trainaient derrière le palais de justice. j’ai acheté des perles moches à 1,40 euros pour me faire un chapelet-souvenir à accrocher à ma banane pour me rappeler, je sais pas, que je suis quelqu’un de fantastique et que j’arrête de me dévaloriser quand je rencontre des gens? mais ça me sert à quoi d’être fantastique si personne veut partager ma fantasticité avec moi?
sur la place où je mange des frites avec m. d’habitude je suis rentrée dans une église en espérant y grappiller un peu de réconfort et je suis tombée sur une messe en polonais. je crois que c’était du polonais. les gens se signaient tous en rentrant, puis la plupart se mettaient à genoux par terre, se signaient une deuxième fois, et allaient rejoindre les bancs. j’étais fascinée qu’autant de gens aussi divers, aussi variés en âge, aussi variés en tout, croient tous en ce même dieu, et qu’ils se plient tous à la même règle: se signer, se mettre à genoux par terre, se taire. je me suis appuyée contre le mur du fond et je suis restée une bonne demie heure à regarder les gens entrer, les touristes se faire recaler, le prêtre parler en polonais, j’imagine, une femme qui chantait, je restais parce qu’au moins impossible de checker mon téléphone, trop irrespectueux. quand la femme chantait je fermais les yeux et j’essayais de me laisser prendre au truc, mais ça marchait qu’à moitié. alors j’ai essayé de ressentir l’amour inconditionnel de jésus sensé me réconforter du non amour de mes semblables, mais bof ça marchait pas non plus. alors j’ai changé au dieu de whitehead, l’amour de l’univers qui devrait nous relier tous, puis au dieu du changement d’octavia butler, mais ça marchait pas du tout, qu’est-ce que j’en ai à faire de l’univers qui m’aime si r. qui fait partie de l’univers ne m’aime pas? god is change encore ça va parce qu’en gros ça dit this too shall pass, mais en attendant c’est la merde.
je viens d’entendre des rires et un bouchon de champagne sauter quelque part, j’arrive pas à croire qu’il y a des gens dehors qui mènent une vie légère et joyeuse, entourés de leurs amis. comme tous ces gens insupportables assis en terrasse que j’ai croisés sur mon chemin en remontant de la place flagey hier soir. en plus je venais de passer une soirée légère et joyeuse moi aussi, mais on m’a accordé cinq heures chrono en main, puis c’était le retour au drame. j’ai essayé de monter sur la lune comme cléo dans mon scénario, pour voir les choses avec du recul, mais même sur la lune j’entends chanter les anneaux de saturne qui m’attirent avec eux dans la mélancolie. elle est inéluctable.
19 juin
j’arrive pas à pleurer, ça m’énerve. j’en ai envie mais rien ne sort. j’ai l’impression que ça m’aiderait à évacuer ce gros bloc que j’ai dans le ventre qui alourdit le moindre de mes mouvements, tout est lourd, même quand je parle ça s’entend. je sais pas quoi faire, ça ressemble à la dépression mais une dépression que je connais pas, une dépression aigüe, avec une cause précise. c’est des émotions très primaires, c’est pur, c’est pas murky comme la dépression latente. j’espère qu’elle sera passagère et s’arrêtera jeudi matin, quand j’arriverai à berlin. ce voyage tombe comme une grâce des dieux. je me suis levée à 7h44 pour faire une machine, la vaisselle et mes bagages parce que je deviens folle à rester allongée sur ce lit mais je dois attendre la fin de la machine puis la fin du séchoir pour partir et ça me semble insurmontable. peut être que je devrais passer chez schleiper pour acheter un nouveau journal avant de partir. j’avais décidé d’arrêter un peu parce que j’avais l’impression que mon écriture compulsive avait participé au montage en épingle de cette histoire, que si j’avais pas autant écrit dessus, ça aurait pris moins de place et je serais tombée de moins haut. mais en même temps tout est là, dans ma tête, que je l’écrive ou non, et si je l’écrivais pas j’ai l’impression que je deviendrais encore plus folle. 
non mais quand même, c’est incroyable la cruauté de la vie, je viens de penser à un moment de notre promenade où je lui ai parlé de mon journal et ç’a activé une douleur dans mon ventre alors j’ai vite essayé de la refouler et de l’oublier, pour une fois que je passais une bonne soirée, pas seule, avec un garçon gentil, doux et drôle et qu’on avait plein de choses à se dire, je dois l’effacer de ma mémoire à jamais sous peine de mourir de chagrin. unbelievable. il va y en avoir beaucoup des unbelievable encore cette année ou ça va se calmer? mais peut être que c’est ça la vie? par rapport à la non vie dans le trou je veux dire. je sais pas. je sens la douleur dans tout mon corps. c’est même pas une douleur, c’est plutôt une substance fantomatique qui me traverse et qui me donne envie de m’évaporer, de m’écrouler sur moi-même comme une étoile en fin de vie et de disparaître, mélangé à une légère envie de vomir. ce matin en me réveillant je pensais à marissa de newport beach quand elle jette la chaise longue dans la piscine en hurlant de rage. j’avais envie de faire pareil. je me sentais comme le singe qui souffre tellement de sa solitude affective qu’il devient violent et qu’il déchire des pneus de camion dans le livre d’éric chevillard que je lisais au wc tout à l’heure. ça m’a fait penser à violette leduc qui s’en prenait aux meubles de son appartement. j’ai considéré l’idée de jeter mon téléphone par la fenêtre hier soir mais comment je fais pour partir à berlin sans mon téléphone? pendant que j’étais allongée sur le lit à regarder le plafond en essayant de pleurer j’ai commencé à composer un nouveau couplet pour ma deuxième chanson dédiée à rebeka w. je pensais qu’il voulait me draguer mais il voulait juste faire le tour du quartier. j’ai envie de la poster sur ig et qu’on en rigole et que j’arrive à me remettre de mon envie de me blottir dans ses bras et de l’embrasser avec fougue le plus vite possible.
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plumedepoete · 1 year
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De poétiques tourbillons - David Frenkel
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Nuit psychédélique Dans le tourbillon assourdissant De la grande messe métallique, Et sous les lasers fluorescents, Je dansotte avec les alcooliques. Pris dans un tourbillon de folie, Dans l’abysse je suis entraîné ; J’aperçois la méduse Aurélie ; Sous ses ailes d’or je vais caner. Le mal de tête me ressuscite,  M’extraie du tourbillon de mes rêves. J’émerge dans une aube anthracite Celle qui m’enténèbre et me crève. Dansez arias Les soucis dansent avec moi Dans un tourbillon de joie. Ils ont vibré d’effroi Aux souffles de Dame Fortune, Et ont trépassé Dans un tourbillon de bonnes nouvelles. Ils ont ressuscité Aux détours des vicissitudes de la vie ; D’autres esprits les avaient invités. Avant de partir, valsez avec moi. Le labeur, ma solitude Dans un tourbillon de labeur, J’enfonce mon impérieuse vanité. Agite-toi, besogne indispensable ; Tes objectifs me font vibrer jusqu’à la moelle. Sous le joug d’un capitalisme fiévreux, Sous la férule de fébriles mépris, Je tourbillonne dans la vaste économie, Dans la solitude endormie. Mouvements amoureux Dans le tourbillon de l’amour, Tes yeux tournent en vrille, Ta voix descend en spirale, Ton parfum monte en volute, Ta grâce tourne comme une hélice, Et mon cœur se tortille d’amour. L’infâme jalousie Dans le tourbillon de la passion, J’aperçois maintes rivalités. Mon amour est en ébullition Dans la tortueuse volupté. Mes mots s’agitent de jalousie Qui dans un tourbillon de violence Enlève à l’amour sa poésie. Le poème se meurt en silence. Un vaste tourbillon de colère Entraîne mon esprit et mon cœur Dans des pensées qui vont vous déplaire ; Mon âme s’abîme de rancœur. Ô vieillesse Par la fenêtre de la vieillesse, J’aperçois mes années printanières Qui dans un tourbillon de joliesse Me saluent de brillante manière. Le tourbillon de la mort m’entraîne. Avec le trépas, je dois descendre. Autour de moi, les années s’égrènent La vieillesse me joue les Cassandre Aux confins du trépas Dans le tourbillon de l’angoisse, La noire inconnue m’engloutit. Je virevolte dans le néant, Damné par l’hydre des ténèbres. Je tournique dans l’ombre infernale, Dans le tourbillon de la mort. Aucune main ne me sauve, Aucune parole ne me délivre Du tourbillon d’un diabolique silence. Dans le tourbillon des souvenirs, Mon âme soudainement surgit ; Leur mémoire va me retenir ; Ils gravent sur mes années : ci-gît. Le tourbillon de la création Un jour Dieu a tourbillonné d’ennui. Il s’est agité dans la profonde nuit Et s’est morcelé en d’infinis tourbillons Qui tournent autour de l’éternel sillon, Celui que Dieu creuse continuellement Dans le labyrinthe de son entendement. David Frenkel Read the full article
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mayasterieuze · 2 years
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Mon espoir est Rêve
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J’ai beaucoup pensé.
Tu étais là, nous marchions main dans la main, comme deux qui se sont toujours aimés, pourtant nous étions deux parfait inconnus. Moscou, ma capitale, était belle comme toujours ! Qui n’est jamais tombé amoureux du chant « Katioucha » ? Ce soir, tout le monde l’aimait et tu m’as accompagné. Je sentais ta présence quand ils m’ont applaudi. En sortant du théâtre, Rêve, tu venais me guider, je suivais tes pas imaginaires dans la neige. Il faisait froid, les échardes de mon vieux violon me sciaient les doigts, mais j’avais chanté et joué et toi, tu me regardais, invisible. Orpheline, tu es devenu mon compagnon. Avec mon âme, vous m’aviez fais croire que l’amour existait, mais qu’il faisait si mal que finalement, on en voulait plus. Ah ce monde infâme ! Mais je repense à mes misérables chaussures trouées dans la poudreuse cette nuit là, à mes pieds glacés, à la délicieuse brûlure du froid et quand j’ai su que rien était perdu. J’étais sûre que la vie éternelle était un endroit où vivre seule, mais dans cette rue, où mes émotions et mes maux étaient piégés, j’ai compris. Dieu m’avait apporté l’espoir et toi Rêve, tu étais devenu avenir dans ce vent de novembre.
Je ne t’oublierai jamais.
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semiprecieuse · 2 years
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Marceline Desbordes-Valmore, Les Pleurs, "Révélation", 1833
Vois-tu, d’un cœur de femme il faut avoir pitié ; Quelque chose d’enfant s’y mêle à tous les âges ; Quand elles diraient non, je dis oui. Les plus sages Ne peuvent sans transport se prendre d’amitié : Juge d’amour ! Ce mot nous rappelle nos mères ; Le berceau balancé dans leurs douces prières ; L’ange gardien qui veille et plane autour de nous, Qu’une petite fille écoute à deux genoux ;
Dieu qui parle et se plaît dans une ame ingénue, Que l’on a vu passer avec l’errante nue, Dont on buvait l’haleine au fond des jeunes fleurs, Qu’on regardait dans l’ombre et qui séchait nos pleurs ; Et le pardon qui vint un jour de pénitence, Dans un baiser furtif redorer l’existence ! Ce suave lointain reparaît dans l’amour ; Il redonne à nos yeux l’étonnement du jour ; Sous ses deux ailes d’or qu’il abat sur notre âme, Des prismes mal éteints il rallume la flamme ; Tout s’illumine encor de lumière et d’encens ; Et le rire d’alors roule avec nos accens ! Des pompes de Noël la native harmonie Verse encor sur l’hiver sa grâce indéfinie ; La cloche bondissante avec sa grande voix, Bouge l’air en vibrant : Noël ! comme autrefois ; Et ce ciel qui s’emplit d’accords et de louanges, C’est le Salutaris et le souffle des anges ! Et puis, comme une lampe aux rayons blancs et doux, La lune, d’un feu pur inondant sa carrière, Semble ouvrir sur le monde une immense paupière, Pour chercher son Dieu jeune, égaré parmi nous.
« Oh ! qu’elle soit heureuse entre toutes les femmes !��» Dit une femme heureuse et choisie à son tour ; « Oh ! qu’elle règne aux cieux ; j’ai mon ciel, j’ai l’amour ! Par lui, l’éternité sauve toutes nos ames ! » La pitié fend la nue, et fait pleuvoir ses dons Sur l’indigent qui court vers le divin baptême. Regarde ! son flambeau repousse l’anathême ; Et son manteau qui s’ouvre est chargé de pardons : Noël ! Noël ! l’enfant lève sa tête blonde, Car il sait qu’à minuit les anges font la ronde ! Quel bonheur de t’attendre à travers ce bonheur, Dis ! d’attirer ta vie à mon foyer rêveur ! Répands-y de tes yeux la lumière chérie ; Viens ! J’ai besoin d’entendre et de baiser ta voix. C’est avec ta voix que je prie, C’est avec tes yeux que je vois ! Quand l’orgue exhale aux cieux les soupirs de l’église, Ce qui se passe en moi, viens ! que je te le dise ; Viens ! Et salut à toi, culte enfant, pur trésor ! Par toi, la neige brûle et la nuit étincelle ; Par toi, la vie est riche ; elle a chaud sous ton aile ; Le reste est pour le pauvre ; et ce n’est qu’un peu d’or ! Mon Dieu ! qu’il est facile et doux d’être prodigue, Quand on vit d’avenir, de prière, d’espoir ;
Quand le monde fait peur ; quand la foule fatigue ; Quand le cœur n’a qu’un cri : — Te voir, te voir, te voir ! Et quand le silence Adore à son tour, La foi qui s’élance, Aux cieux se balance Et pleure d’amour ! Vivre ! toujours vivre, D’un feu sans remords ! Nous sauver et suivre Un Dieu qui se livre, Pour tuer la mort ! Aimer ce que j’aime, Une éternité, Et dans ton baptême, M’abreuver moi-même D’immortalité ; Quelle immense voie ! Que d’ans, que de jours ! Viens, que je te voie ! Je tremble de joie ; Tu vivras toujours !
L’été, le monde ému frémit comme une fête ; La terre en fleurs palpite et parfume sa tête ; Les cailloux plus clémens, loin d’offenser nos pas, Nous font un doux chemin : on vole, on dit tout bas : « Voyez ! tout m’obéit, tout m’appartient, tout m’aime ! » Que j’ai bien fait de naître ! et Dieu, car c’est Dieu même » Est-il assez clément de protéger nos jours, » Sous une image ardente à me suivre toujours ! » Que de portraits de toi j’ai vu dans les nuages ! Que j’ai dans tes bouquets respiré de présages ! Que de fois j’ai senti par un nœud doux et fort, Ton ame s’enlacer à l’entour de mon sort ! Quand tu me couronnais d’une seconde vie, Que de fois sur ton sein je m’en allais ravie, Et reportée aux champs que mon père habitait, Quand j’étais blonde et frêle, et que l’on me portait ! Que de fois dans tes yeux j’ai reconnu ma mère ! Oui ! toute femme aimée a sa jeune chimère, Sois en sûr ; elle prie, elle chante : et c’est toi Qui gardais ces tableaux long-temps voilés pour moi. Oui ! si quelque musique en mon ame cachée, Frappe sur mon sommeil et m’inspire d’amour, C’est pour ta douce image à ma vie attachée, Caressante chaleur sur mon sort épanchée, Comme sur un mur sombre un sourire du jour !
Mais par un mot changé troubles-tu ma tendresse, Oh ! de quel paradis tu fais tomber mon cœur ! D’une larme versée au fond de mon ivresse, Si tu savais le poids, ému de ta rigueur, Penché sur mon regard qui tremble et qui t’adore, Comme on baise les pleurs dont l’enfant nous implore, À ton plus faible enfant, tu viendrais, et tout bas : « J’ai voulu t’éprouver, grâce ! ne pleure pas ! » Parle-moi doucement ! sans voix, parle à mon âme ; Le souffle appelle un souffle, et la flamme une flamme. Entre deux cœurs charmés il faut peu de discours, Comme à deux filets d’eau peu de bruit dans leur cours. Ils vont ! aux vents d’été parfument leur voyage : Altérés l’un de l’autre et contens de frémir, Ce n’est que de bonheur qu’on les entend gémir. Quand l’hiver les cimente et fixe leur image, Ils dorment suspendus sous le même pouvoir, Et si bien emmêlés qu’ils ne font qu’un miroir. On a si peu de temps à s’aimer sur la terre ! Oh ! qu’il faut se hâter de dépenser son cœur ! Grondé par le remords, prends garde ! il est grondeur, L’un des deux, mon amour, pleurera solitaire. Parle-moi doucement ! afin que dans la mort Tu scelles nos adieux d’un baiser sans remord,
Et qu’en entrant aux cieux, toi calme, moi légère, Nous soyons reconnus pour amans de la terre. Que si l’ombre d’un mot t’accusait devant moi, À Dieu, sans le tromper, je réponde pour toi : « Il m’a beaucoup aimée ! il a bu de mes larmes ; » Son ame a regardé dans toutes mes douleurs ; » Il a dit qu’avec moi l’exil aurait des charmes, » La prison du soleil, la vieillesse des fleurs ! » Et Dieu nous unira d’éternité ; prends garde ! Fais-moi belle de joie ! et quand je te regarde, Regarde-moi ; jamais ne rencontre ma main, Sans la presser : cruel ! on peut mourir demain, Songe donc ! Crains surtout qu’en moi-même enfermée, Ne me souvenant plus que je fus trop aimée, Je ne dise, pauvre ame, oublieuse des cieux, Pleurant sous mes deux mains et me cachant les yeux : « Dans tous mes souvenirs je sens couler mes larmes ; Tout ce qui fit ma joie enfermait mes douleurs : Mes jeunes amitiés sont empreintes des charmes Et des parfums mourans qui survivent aux fleurs. » Je dis cela, jalouse ; et je sens ma pensée Sortir en cris plaintifs de mon ame oppressée. Quand tu ne réponds pas, j’ai honte à tant d’amour, Je gronde mes sanglots, je m’évite à mon tour,
Je m’en retourne à Dieu, je lui demande un père, Je lui montre mon cœur gonflé de ta colère, Je lui dis, ce qu’il sait, que je suis son enfant, Que je veux espérer et qu’on me le défend ! Ne me le défends plus ! laisse brûler ma vie. Si tu sais le doux mal où je suis asservie, Oh ! ne me dis jamais qu’il faudra se guérir ; Car, tu me vois dans l’ame : approche, tu peux lire ; Voilà notre secret : est-ce mal de le dire ? Non ! rien ne meurt. Pieux d’amour ou d’amitié, Vois-tu, d’un cœur de femme il faut avoir pitié !
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fauvelienne · 2 years
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J’ai parlé avec mon meilleur ami.
Je quitte mon travail dans 1 mois. Pour aller ailleurs. Ma hiérarchie m’a poussée à bout depuis des mois. C’est de l’acharnement. J’en
ai fait un burn out en avril. Je suis partie en congés en octobre. J’avais pris la résolution de partir a mon retour de vacances et ce n’était pas des paroles en l’air. En moins d’un mois les choses se sont faites.
Lui il a toujours été là pour me conseiller. Ça fait 3 ans que je suis dans cette entreprise. Il est devenu un collègue, puis un ami et presque un frère. Je ne compte plus les fois où il a écouté mes remises en question de jeune professionnelle, les fois où j’ai presque pleuré d’usure, mais aussi les moments chouettes qu’on a passé ensemble, à débattre et à rire.
Il était la dernière personne que je voulais mettre au courant. On ne travaille pas sur le même site on se voit de temps en temps. Aujourd’hui il était là. J’étais mal de le croiser. Ça m’a surprise et déstabilisée rien que de lui dire bonjour. Je n’ai pas ri et parlé comme d’habitude et j’ai senti assez vite dans son regard qu’il avait compris que quelque chose clochait.
Je commence à conscientiser les choses comment lui dire que dans un mois on ne travaillera plus ensemble ?
J’étais prête à lui en parler par message ou a l’attraper un soir à la sortie du bureau.
Finalement un collègue lui a vendu la mèche. Notre amitié est bien connue de tous, le duo inséparable est populaire. Il est évident que lui annoncer mon départ me fend le coeur.
Ce soir c’est lui qui m’a amené le sujet il m’a attendu en bas des escaliers.
« Alors ? Il paraît que tu te barres et tu ne me l’as pas dit ? »
Les raisons de mon départ je n’ai pas eu besoin de les lui donner. Il les avait deviné depuis longtemps et j’avais évoqué les choses en hypothèse. De toute façon il a essuyé mes larmes tellement de fois qu’est ce que je croyais lui cacher ?
Et à ma grande surprise. Il m’a dit que c’était largement ok. Que vu la tournure que prend notre boîte c’était le moment. Que ça ne servait à rien que je continue à me faire du mal. Que mon professionnalisme serait regretté amèrement et qu’il espérait que nos supérieurs s’en rendraient compte un jour.
Et mon dieu comme j’avais besoin de les entendre ces mots.
C’est ceux que je voulais entendre depuis que j’ai posé cette démission.
J’avais l’impression de mal faire, de me tromper. Mais non. La réalité faisait juste trop mal.
C’était de la tendresse gratuite qu’il m’a donné. De l’amour. De la bienveillance. De la validation.
C’est un ami en or. Je me rends compte que je suis bien entourée et que je commence enfin à construire une vie saine après des mois de souffrance.
Et c’est doux.
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filledelespoir · 2 years
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Je pense que je suis arrivée à un stade où moi aussi j’ai besoin de me confiée. Je suis entrain de me tuer, a trop penser, à trop ressentir. J’ai mal à la tête à chaque instant, et je ne parle même pas de la douleur du coeur qui devient insoutenable de jours en jours. Je suis qu’une pauvre idiote qui a essayer sans arrêt de se persuadée que tu ne représentait plus rien pour elle. J’en ai honte, de mettre menti à moi même de la sorte. C’est tellement douloureux de vivre sans toi. Et je l’assume seulement par écrit, car tu ne recevra jamais ce message. Et c’est pas plus mal. Tu est entrain de réussir là où moi j’échoue lamentablement. On appelle ça le revers de la médaille. La vérité, c’est que je t’en veux terriblement d’avoir été faible et lâche. D’avoir été incapable de supporter tout ça encore un peu. Mais tu l’as si bien dit la dernière fois que l’on sais vu. Tu ne voulais déjà plus de cette relation depuis longtemps. Et dieu seul sais à quelle point ça me foudroie de l’intérieur. Assez humoristique cette phrase en sachant à quelle point tu aimes les soirs d’orages avec pleins d’éclairs. Dans ma tête c’est l’orage tout les jours et les coups de tonnerre et les éclairs s’abattent toujours au même endroit. Dans mon coeur. J’ai pu trouver ça amusant à un moment, en me demandant combien de temps j’allais réussir à me voiler la face. J’ai tenue 2 mois. Deux mois, en me disant tout les jours que je ne t’aimais plus. Mais comment on fait pour ne plus aimer la seule personne qui nous a réellement aimée et sauvée ? Très bonne question je l’accorde. Je n’en ai moi-même pas la réponse… et ça me désole tellement.
Mais la douleur est tellement importante que je me renferme dans mes états d’âmes et dans ma colère. J’essaye jours après jour, de garder le positif et d’essayer de percevoir à quelle point le monde peut être appréciable. Mais sans toi à mes côtés tout manque de saveur. J’ai penser pendant quelques temps que j’étais juste dépendante de l’amour que tu me portais. Mais là est mon erreur, je n’étais ni dépendante, ni insensible. Je t’aimais d’un amour que moi même je n’arrivais pas à exprimer correctement avec des mots et des phrases construites. Et c’est quand tu as décidé de prendre le large que j’ai compris ou j’ai fauté pendant ses périodes douloureuses. Je n’étais pas insensible d’amour, mais insensible de mots. Je te prenais pour acquis et inversement pour ma propre personne.
Maintenant le temps passe, et toi tu essayes de te relever, en tout cas je te l’espère, pour ma part je tombe sans arrêt. J’ai chuter de la falaise où nous nous trouvions et la chute est interminable. Il n’y a pas de sortie pour l’instant.. mais j’espère la trouver, car la chute m’accorde beaucoup trop de cicatrices et de blessures, que je ne souhaite pas réellement.
Je t’aime, mais je n’ai jamais su te le prouver correctement. Je t’aimerais toute ma vie, car je n’ai jamais su vivre avant toi, et je ne vie plus sans toi non plus. Par cela, je veux pas dire qu’il y aura un nous futur, mais je réclame positivement le faite que toi et moi nous soyons à nouveau réunis. Je raconterais à mes enfants l’histoire de l’homme que j’ai aimée et que j’ai abandonné avant que celui ci me rendre l’addition de mes actes… tu fais partie de moi et je n’ai pas honte de le dire. Je te souhaite tellement de bonheur, que je suis prête à sacrifié le mien pour que tu arrives à tes fins. Pour moi tu es comme ma flamme jumelle, mon double, mon âme sœur. Mais j’ai entendue dire que ton âme sœur n’est pas encore obligatoirement la personne que tu considères comme tel. Je suis prête à passer une éternité à être triste si toi tu es heureux.
J’ai tant d’amour pour toi, que personne n’en aura autant que je t’ai donner. Ce n’est pas une certitude mais je le sens au plus profond de moi. Et j’ai décider de croire en mon instinct, car il ne me fera pas faux bond. J’ai réellement pris conscience à quelle point j’aurais pu tout te donner et t’aimer après avoir été guérie. Tu n’as pas eu la force d’attendre encore et c’est des choses qui arrivent. Je me pardonne ? Tu le comprend ça, je me pardonne de tout ce que j’aurais pu faire ou dire et aussi à quelle point je n’ai pas su être à la hauteur de ce que tu attendais.. je suis désolée mais je ne me permettrais plus jamais de me faire briser comme tu as pu le faire. Car je pense sincèrement que tu ne m’as pas aimer de la bonne manière non plus. J’espère que tu arriveras aussi à te pardonner de tout ça.
Je nous souhaite que du bonheur, malheureusement pas ensemble et ce n’est pas grave. J’ai envie de pleurée quand j’écris ce genre de chose.. mais il faut bien que j’avance…
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christophe76460 · 2 days
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PENSE PLUS GRAND
CHERCHE LA RECONNAISSANCE DE DIEU
“Si mon père et ma mère m'abandonnaient, toi, Seigneur, tu me recueillerais. Seigneur, montre-moi la voie que tu me traces; à cause de mes adversaires dirige-moi sur un chemin sans obstacle.“ Psaume 27:10-11 BFC
Peut-être que tes parents ne t’ont jamais dit qu’ils étaient fiers de toi. Peut-être que personne de ta famille n’a cru en toi. Peut-être que tu n’as reçu ni estime, ni éloge. Mais j’aimerais te dire aujourd’hui que cela n’a rien à voir avec toi! Même si les gens ne t’ont jamais montré qu’ils étaient fiers de toi, ne cherche pas à te blâmer pour ça. Ne gâche pas ta vie en essayant de leur prouver que tu mérites leur considération. N’attends pas de leur part quelque chose qu’ils ne pourront jamais te donner. Les gens qui ne peuvent pas montrer leurs émotions et leur considération envers les autres ont souvent eux-mêmes des problèmes. Ils ont été blessés eux-mêmes, ils ont eux aussi le désir d’obtenir enfin de la considération, ils réclament eux-mêmes de l’amour. C’est pourquoi, au lieu de vouloir les impressionner, cherche la considération, les encouragements et de l’estime auprès de Dieu. J’ai tant de fois observé des gens qui donnent tout pour impressionner leurs parents dans l’espoir d’enfin recevoir un peu d’amour, un amour qu’ils n’ont jamais reçu. Arrête de vouloir impressionner les gens. Toi et moi, nous n’avons pas besoin de l’estime des êtres humains. Nous avons l’approbation de Dieu. C’est la seule et unique chose qui compte.
C’est ce que nous pouvons si bien observer dans l’histoire de David. Un jour, quand un prophète passe chez son père pour lui demander d’aller chercher tous ses fils, ce dernier oublie David. Il le laisse dans les champs avec les moutons. Le prophète regarde tous les fils, mais aucun n’est le futur roi qu’il aurait dû oindre. Il regarde le père et demande: “As-tu encore un autre fils?” Et c’est là que le père se souvient de David. On va chercher David dans les champs et, à l’étonnement de tous, il est oint en tant que futur roi. Ni ses frères, ni son père n’avaient vu le potentiel de David. David était rejeté par sa propre famille, ses dons n’avaient pas été reconnus et il n’avait probablement jamais reçu d’éloges. Mais Dieu n’avait pas oublié David. Si David avait construit sa vie uniquement sur l’estime de sa famille, il serait resté berger. Mais David cherchait Dieu. Il a écrit dans le Psaume 27 que, même si ses parents venaient à le rejeter, Dieu l’adopterait. C’est Dieu qui lui a donné sa valeur et qui a reconnu ses dons. De la même manière, Dieu te donnera tout ce dont tu auras besoin. Dieu t’ouvrira des portes. Dieu mettra les bonnes personnes sur ton chemin. Dieu te fera avancer si tu réussis à chercher ta valeur et ta propre estime auprès de lui, et non dans le monde. Le monde ne pourra jamais te donner l’amour, les opportunités et les bénédictions que Dieu veut t’offrir. Tes parents, tes proches et tes meilleurs amis ne le peuvent pas non plus. Même s’ils sont brillants, ils restent humains. C’est pourquoi, ne place jamais ton espoir dans un être humain; mais cherche la considération de Dieu, et tu trouveras et recevras toujours de nouvelles bénédictions et la faveur de Dieu. Car il n’est pas inconstant, il ne trimbale pas de blessures et il ne nécessite rien de ta part pour te donner quelque chose en retour. Il est toujours celui qui pourvoit. Il te soutiendra tous les jours. Il est toujours à tes côtés, son amour est inconditionnel et sa faveur t’attend! Cherche Dieu et tu trouveras la vie, une nouvelle joie et une nouvelle force.
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L'agneau dans les ronces.
Jésus. Mon Bien-Aimé aux boucles trempées de rosée. Tu attends toute la nuit à ma fenêtre, tendant ta main par ma lucarne, m’appelant, pour que je t’ouvre…
Tu as laissé tes boucles noires se prendre dans les ronces de mon péché.
Ce péché qui ne veut pas de toi, qui n’ouvre jamais la fenêtre, qui ne te fait jamais rentrer, alors que tu es mon amour et la lumière de ma vie.
Tu t’es laissé prendre captif au buisson de ma malédiction, tu t’es laissé percer de chacune de mes épines, tu t’es laissé pendre au bois, entre ciel et terre, offert au fer du jugement, pour moi.
Tu t’es laissé exécuter, pour emporter ma dette de mon cœur dur envers toi.
Et me ressusciter, en recevant ton cœur d’amour à toi.
Pour mettre en moi ton esprit à toi, ton Esprit qui m’aime, ton cœur à toi, qui aime tout ce que Tu es, et ton cœur à toi, qui aime chacun des hommes comme ta propre chair et ton sang.
Mon amour et mon Dieu.
Tu es venu t’empoisonner de mes malédictions, mes amertumes, mes blessures, mes insultes envers ton amour, mes rejets de ta pureté, mes manquements envers toute ta bonté, mes injustices envers ton Nom, et tu as emporté tout ce qui était contre toi, qui existait en moi.
Comme si je n’en avais jamais été la coupable et la cause…
Tu m’as littéralement pardonnée.
Tu l’as englouti dans ta mort.
Effacé.
Au lieu de me retenir mes offenses envers Toi, mes offenses envers les autres, mes offenses envers moi-même, tu m’as couronnée de grâce et m’as donné ce que moi je ne donnais pas.
Tu m’as offert une abondance de cette eau pure, et vive, et pleine d’amour, que je n’avais pas là en moi. Et tu m’en as donné à pleins traits. Tu me donnes à boire, à boire, à boire, jusqu’à ce qu’elle déborde en moi. Qu’elle coule comme on ne s’arrête plus jamais de couler, parce que c’est Toi.
C’est ton amour, pour moi, qui coule. Qui coule et me rend, moi, peu à peu, amoureuse de toi, et me rend toujours plus humiliée d’être appelée par le nom de tout ce que je n’ai pourtant pas donné.
Tu m’appelles d’amour.
Tu m’appelles de sainteté. D’une autre nature, qui est la tienne.
Tu m’appelles de justice.
Tu m’appelles de force.
Tu m’appelles de splendeur et de dignité.
Tu m’appelles comme Jésus.
Tu m’appelles d’un nom entièrement immérité, et qui n’est pas trouvé en moi mais seulement en Toi. Et pourtant tu l’as gravé sur moi, pour l’éternité. Tu as bâti ton foyer en moi, sur des fondations de saphir, pour y habiter pour toujours ; habiter avec moi, en moi, et moi en toi, dans cette partie-ci de l’éternité, et dans l’autre où nous serons en chair et en os face à face. Pas seulement face à face comme dans mes moments avec toi dans le calme du soir, ou les secrets de notre cœur ensemble. Non, je serai avec toi. En vérité. Plus vrai que je ne t’aurai jamais connu. Et mes yeux te verront. Mes mains toucheront celui qui m’a tenue tant de fois. Celui qui m’a murmuré son amour sous un drap. Celui qui m’a veillée tant de fois, dans les terreurs de la nuit. Je verrai celui que mon cœur aime, et je ne serai plus jamais désolidée de lui. Je serai comme une femme heureuse dans les bras de son ami, son amoureux, son fiancé.
Tu m’as rachetée.
Tu as reçu là, comme Absalom accroché au bois, le jugement de Dieu. Pendu par tes boucles si pures, toi le plus beau des hommes, bien plus beau qu’Absalom, tu es passé dans ces ronces pour l’amour de moi. Pour t’y accrocher, pour te laisser pendre à ces branches de ma malédiction, qui signifiaient jugement et mort. Tu savais que la justice de Dieu te frapperait comme la lance de Joab, lorsque tu serais là, pendu au bois, mon péché dans ton corps, dans ton âme, toi le plus beau des hommes, buvant la coupe amère. Pour moi.
Tu savais que le Père te percerait de sa justice. C’était ton unique raison de venir. Prendre mon mal sur toi.
Tu savais aussi que le Père pleurerait, pleurerait comme David pleura sur Absalom.
Tu savais que les ronces devaient être pour toi, pour qu’elles soient arrachées de moi.
Tu savais que l’horreur d’être pendu par ces boucles trempées de rosée, pures et parfaites, devait être la tienne, pour que vole la lance du jugement de Dieu sur la rébellion de toute l’humanité.
C’était toi, à notre place, pendu.
Tu as pris la peine de ma mort.
Et le prince de ce monde, l’ennemi de nos âmes, lui aussi a frappé ce Fils royal empêtré dans les ronces.
Et le jugement de Dieu a mis à mort d’un coup de fer en chair, le sacrifié.
Mais le Père a pleuré.
Combien il a pleuré.
Comme David sur Absalom.
Bien plus encore.
Tu as fait ça pour moi.
Agneau de Dieu, pris dans les ronces pour l’amour de moi. Pour totalement m’en délivrer.
Pour ôter de moi les épines, et les changer en Hadassa.
En royauté. En myrte.
En mariage avec toi.
Pour ôter le péché du monde, qui nous empêche d’être réconciliés avec Dieu.
« Là où poussaient les épines, poussera la myrte. » —Ésaïe 55 :13
La hadassa ; le nom hébreu de la reine Esther.
Là où poussaient les ronces du péché dans vos cœurs, je les changerai en royauté. En courage. En destinée.
« Épouse Gomer la prostituée, parce que c’est l’amour dont je poursuis Israël. » Osée 1 :2/3 :1
Tu es venu avec humilité, avec fidélité, avec détermination, avec un cœur de FER, pour prendre ma culpabilité envers toi et enlever mon adultère envers toi.
Tu as bu cette coupe, que j’aurais dû boire moi. Tu as bu cette coupe qu’on faisait boire aux femmes, pour l’infidélité. Parce que je suis cette femme infidèle que décrit la Parole, dans ces passages que j’ai toujours détestés et qui m’ont toujours révoltée. Mais Naomi, c’est toi… C’est tout ce que Jésus a pris pour toi…
C’est ce qu’il a bu et qu’il a laissé tourner dans ses entrailles, amer comme la mort, pour te sauver, et pardonner, et te rendre à Lui pure et rachetée.
Oh Jésus…
Tu as bu cette coupe de mon infidélité et tu t’es brûlé les entrailles de mon amertume.
C’est moi qui aurais dû la boire, Jésus. Combien je t’étais infidèle. Combien je t’étais infidèle…
Mais tu n’as pas voulu que je boive cette coupe.
Ce poison de mon péché, tu n’as pas voulu qu’il me rende malade moi, qu’il me brûle les entrailles, qu’il m‘emmène à la mort, et me sépare éternellement de toi, oh Seigneur…
Tu m’as sauvée. Tu m’as pris cette coupe et tu l’as bue pour moi. Tu l’as bue pour me pardonner. Tu l’as bue pour me racheter. Tu l’as bue pour me ramener. Pour me dire que tout est payé. Que tout est accompli. Que c’est fini. Le jugement s’est vidé. Que tu peux m’épouser.
Tu m’as sauvée. Tu t’es battu pour moi alors que j’étais indigne de toi, infidèle envers toi, coupable envers toi, et que je te foulais aux pieds comme si tu n’étais rien qui mérite mon attention.
Tu as combattu pour une femme infidèle.
Littéralement. C’est la première fois que je réalise combien c’était juste, en fait, cette image d’Osée.
Pour m’épouser à nouveau, et pour me laver, pour me couvrir de sainteté, pour me rétablir, m’honorer. Pour me donne une place auprès de toi, la plus sainte et la plus précieuse qui se puisse désirer. Être ta femme. Ta femme. L’épouse du Joyau de l’éternité. Pardonnée.
Tellement pardonnée que tu me traites comme Toi-même, que tu me couvres d’un amour ardent, bleu de lumière blanche, scintillant, entier. Il n’y a pas de mot pour ce que tu me montres que tu as fait de moi. Il n’y a pas de mot pour ça.
Que tout ton être et toute ton âme sont impliqués dans cette seule volonté : me faire refleurir dans Ta vie.
C’est fait, c’est tout accompli !
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yes-bernie-stuff · 21 days
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Hymne à la puissance et à la bonté de Dieu
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Renouveler notre vision de Dieu 04/09/2024
Quand cesseras-tu d’avoir le regard sur moi ? Job 7.19
Ce cri de Job révèle son erreur. Job pense que, si Dieu approuve quelqu’un, cette personne est protégée des aléas de la vie, rien de mauvais ne peut lui arriver. Le pensons-nous aussi ? La Bible montre que ceux qui marchent avec Dieu sont en général soumis aux mêmes difficultés que les autres.
Job se trompait non seulement en croyant qu’il ne pourrait pas être éprouvé, mais en attribuant les drames qui le touchaient à Dieu, alors que c’était le diable qui les lui envoyait. Job pensait que Dieu regardait ses péchés, et le condamnait.
En fait, le Seigneur le regardait avec bonté, le protégeait par compassion et empêchait Satan de l’éprouver encore plus. Dieu a fini par le rétablir, et par le bénir davantage que ce qu’il l’avait été jusque-là !
À la fin, Job reconnait qu’il s’est trompé, et comprend combien le Seigneur est merveilleux : j’ai parlé, sans les comprendre, de merveilles qui me dépassent et que je ne conçois pas ¹.
Quelles que soient nos épreuves, qui comme pour Job, peuvent nous révolter, nous pouvons trouver en Dieu celui qui a compassion, qui sauve, et qui change notre regard, et notre relation avec lui ! Face aux malheurs, nous avons besoin d’un vrai refuge, qui protège jusque dans l’éternité. Dieu est ce refuge ; il se trouve par la foi. Lisez les Évangiles : comme Job vous serez émerveillé en prenant conscience de l’amour de Dieu.
Francis Rivère
¹ Job 42.3
__________________ Lecture proposée : Psaume 145
Hymne à la puissance et à la bonté de Dieu
1 Louange. De David. Je t’exalterai, ô mon Dieu, mon roi ! Et je bénirai ton nom à toujours et à perpétuité. 2 Chaque jour je te bénirai, Et je célébrerai ton nom à toujours et à perpétuité. 3 L’Éternel est grand et très digne de louange, Et sa grandeur est insondable. 4 Que chaque génération célèbre tes œuvres, Et publie tes hauts faits ! 5 Je dirai la splendeur glorieuse de ta majesté ; Je chanterai tes merveilles. 6 On parlera de ta puissance redoutable, Et je raconterai ta grandeur. 7 Qu’on proclame le souvenir de ton immense bonté, Et qu’on célèbre ta justice ! 8 L’Éternel est miséricordieux et compatissant, Lent à la colère et plein de bonté. 9 L’Éternel est bon envers tous, Et ses compassions s’étendent sur toutes ses œuvres. 10 Toutes tes œuvres te loueront, ô Éternel ! Et tes fidèles te béniront. 11 Ils diront la gloire de ton règne, Et ils proclameront ta puissance, 12 Pour faire connaître aux fils de l’homme ta puissance Et la splendeur glorieuse de ton règne. 13 Ton règne est un règne de tous les siècles, Et ta domination subsiste dans tous les âges. 14 L’Éternel soutient tous ceux qui tombent, Et il redresse tous ceux qui sont courbés. 15 Les yeux de tous espèrent en toi, Et tu leur donnes la nourriture en son temps. 16 Tu ouvres ta main, Et tu rassasies à souhait tout ce qui a vie. 17 L’Éternel est juste dans toutes ses voies, Et miséricordieux dans toutes ses œuvres. 18 L’Éternel est près de tous ceux qui l’invoquent, De tous ceux qui l’invoquent avec sincérité ; 19 Il accomplit les désirs de ceux qui le craignent, Il entend leur cri et il les sauve. 20 L’Éternel garde tous ceux qui l’aiment, Et il détruit tous les méchants. 21 Que ma bouche publie la louange de l’Éternel, Et que toute chair bénisse son saint nom, À toujours et à perpétuité ! Texte de la
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domdupuis · 2 months
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"Quand je ne serai plus là, lâchez moi, Laissez-moi partir, (...) Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelque temps! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai. Et quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir. Absent de mon corps, présent avec Dieu. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, Je ne suis pas là, je ne dors pas, Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,Je suis l’étoile qui brille dans la nuit. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, Je ne suis pas là, je ne suis pas mort." Texte de Charlotte Newashish-Flamand Prière ou poème amérindien
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