Tumgik
#l'immense
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Je pars pour l'immense porté par la lumière
là où l’alternative se clôt sur les rebords d’un doute.
Je pars pour l’immense me détacher de mon ombre
devenir moi-même la portée unique de ma vie  
prêt dans la disparition à m’ajouter à son étendu
le chanter jusqu’à son inexistence, frontière impossible.  
Je pars pour l’immense me destiner tout entier
à cette fragilité qui nous a porté jusqu’ici        
qui dessine l’assise d’un courage
l’harmonie qui a vaincu tous les manques    
l’aile réparatrice d’un envol sans destinée.
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© Pierre Cressant
(samedi 1 juillet 2006 - samedi 13 mai 2023)
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chic-a-gigot · 2 months
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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lisaalmeida · 4 months
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"Il y a beaucoup de types de baisers: ceux de la douceur, de la passion, de fidélité, de soutien, de curiosité, de découverte ... Et puis il y a le baiser absolu. Celui où les lèvres font l'amour. Où l'âme déborde dans la bouche de l'autre et il nous est rendu goutte à goutte. Le baiser profond comme l'immense, chaud et palpitant comme un cœur vivant. Ce baiser qui est à un jet de trapèze à cent mètres du sol, une déclaration d'amour, une demande d'aide, un merci, un pardon, une chanson à la vie et, en même temps, un testament. Parce qu'au fond du langage, la vie et la mort disparaissent, pour la durée de ce moment parfait ".
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adropintheocean-rpg · 4 months
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༄ A DROP IN THE OCEAN ;; ouverture
Il y a dans l'air une odeur spéciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cœur de la côte est. L'exotisme des palmiers s'entremêle à la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mélange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorées des planches de surf se perdent dans l'eau bleutée. Les rayons omniprésents du soleil se reflètent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrête jamais, pas même dès que la lune apparaît. Dans la nuit, les lumières et la pénombre se mélangent pour former la beauté de cette ville où les espérances peuvent devenir réalité ou être emportées par la marée. Parfois, le bleu de l'océan se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer. Dans la ville magique, les âmes aussi ont des couleurs différentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la même saveur, les accélérations du cœur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spéciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique à Miami.
Nous avons l'immense plaisir de vous annoncer l'ouverture officielle de notre petit projet, A Drop In The Ocean. Milles mercis à celles et ceux qui ont suivi le projet, qui nous ont soutenu et contenu de le faire, ça nous fait vraiment chaud au coeur. 🎔
Nous espérons que notre maison deviendra la vôtre également. ☀︎
NOUS REJOINDRE NOUS REJOINDRE NOUS REJOINDRE
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LA PLANÈTE DES SINGES : LE NOUVEAU ROYAUME (2024)
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Vers 2328, environ 300 ans après la mort de César, le « Moïse » du peuple des singes, plusieurs clans de primates se partagent désormais le havre de paix où leur chef historique les a conduits. À l'extérieur, les humains ont régressé à l'état sauvage.
Noa est un chimpanzé d'un clan de singes dresseurs d'aigles. Koro, le père de Noa, est l’un des anciens et le chef du village. Avec ses amis Anaya et Soona, Noa se prépare à un rite de passage à l'âge adulte. Pour cette cérémonie très importante, ils doivent collecter des œufs d'aigle en prenant d'énormes risques pour accéder aux nids. La nuit précédant la cérémonie, Noa repère un humain à la recherche de nourriture. Un bref contact entre les deux casse par inadvertance l'œuf de Noa. Il est obligé d'aller rapidement dans la nuit chercher un œuf de remplacement. En chemin, Noa rencontre un groupe de singes guerriers se disant être au service de César et utilisant des armes à la technologie étrange. Les guerriers, masqués, ont tué l’éclaireur du village de Noa. Ils découvrent ensuite son cheval, alors que Noa reste caché. Ils utilisent le cheval pour retrouver l'emplacement du clan. Quand Noa rentre chez lui, à pied, il trouve le village en feu. Il aide son père à libérer les aigles et tente de riposter, mais le général singe Sylva tue Koro. Noa, inconscient après une grosse chute, est laissé pour mort.
Noa se réveille le lendemain et découvre que sa famille et son clan ont été enlevés. Noa enterre le corps de son père et se lance à la recherche des siens, suivi de loin par l'aigle de son père, Aigle-Soleil. Dans les ruines de l'aéroport international de Los Angeles, il rencontre un orang-outan nommé Raka. Ce dernier explique que la bande de pillards a perverti les idées de César et raconte à Noa les véritables enseignements de l'ancien. Il décide finalement d'accompagner Noa. Ils remarquent rapidement qu'ils sont suivis par une humaine. Raka lui offre de la nourriture et une couverture, malgré les réticences de Noa, et la nomme « Nova ». Dans un observatoire abandonné, Noa est subjugué par ce qu'il voit dans l'immense télescope. Au cours de leur voyage, ils rencontrent un groupe d'humains primitifs avant que les singes masqués les attaquent soudainement. Noa et Raka sauvent Nova, qui, à leur grande surprise, sait parler. Elle leur révèle que son vrai nom est Mae et que les singes ont détruit son village. Elle explique également à Noa où ont été emmenés les membres de son clan : dans une colonie autour d'un ancien bunker humain.
En route vers cette colonie, ils tombent dans une embuscade tendue par Sylva, alors qu'ils tentaient de traverser un pont au-dessus d'une rivière. Dans le combat qui s'ensuit, Raka sauve Mae de la noyade mais est emporté par le courant. Noa et Mae sont capturés et emmenés dans l'immense camp des singes sur une plage. Noa y retrouve son clan dont sa mère, Dar, et ses amis Anaya et Soona. On le mène ensuite devant le roi des singes, Proximus Caesar. Ce dernier cherche à « évoluer » en utilisant la technologie humaine apparemment enfermée dans le bunker situé sur la plage. Chaque jour, Proximus pousse ses singes essayer d'ouvrir les portes blindées du bunker, en vain. Proximus invite Noa à dîner avec Mae ainsi que Trevathan, un humain qui s'est allié aux singes et qui divertit le roi chaque jour. Proximus pense que Noa est utile et exige de savoir quel est le plan de Mae et comment ouvrir le bunker, informant Noa qu'elle veut seulement en profiter pour elle-même.
Noa s'oppose à Mae et exige de connaître la vérité et ses réelles motivations, en échange de son aide. La jeune femme révèle qu'elle connaît une entrée secrète pour pénétrer dans le bunker et qu'elle recherche un livre qui pourrait ramener la parole à l'Humanité. Noa espère détruire le bunker à la suite de cela et ramener son clan chez lui. Noa, Mae, Soona et Anaya placent alors des explosifs autour d'un barrage devant le bunker. Trevathan les interrompt et veut avertir Proximus, mais Mae le tue et jette son corps à la mer, à la grande stupeur des trois singes. Le groupe escalade ensuite une falaise verticale vers l'entrée cachée. À l'intérieur, Mae découvre une réserve d'armes et récupère son « livre », qui est en réalité une clé de déchiffrement d'un satellite. Pendant ce temps, les singes découvrent des livres d'images dans le bunker, qui décrivent les humains comme l'espèce autrefois dominante avant les singes, ce qui les amène à se méfier de Mae.
Alors qu'ils sortent du bunker, le groupe est confronté à Proximus et ses sbires. Il menace de tuer Soona, mais Mae tire et tue Lightning, le singe qui tenait Soona en otage. Proximus accepte de laisser partir Noa si elle leur dit où se trouvent les autres armes dans le bunker. Mae refuse et déclenche les explosifs, inondant le bunker avec Noa et les autres singes toujours à l'intérieur. Alors que l'eau monte rapidement dans l'édifice, les singes grimpent le plus vite possible vers la sortie. Noa affronte Sylva. Il parvient finalement à le piéger et le regarde se noyer. Lorsque Noa s'en sort, il est attaqué par Proximus. Alors que Proximus ordonne à Noa de s'agenouiller devant lui, le chimpanzé maîtrise enfin les chants d'aigle de son père et parvient à leur faire attaquer Proximus. Les aigles l'assaillent et le font tomber de la falaise.
Le clan des aigles revient ensuite sur ses terres et y reconstruit son foyer. Mae fait ses adieux à Noa, en cachant derrière elle une arme à feu, au cas où. Elle explique qu'elle pense que les Humains méritent à nouveau leur chance car ils étaient à l'origine l'espèce dominante sur Terre. Noa lui demande quelle liberté auront alors les singes dans ce monde. Au lieu de tirer sur Noa, elle s'en va. Elle se dirige ensuite vers un établissement humain situé dans une base satellite, où elle livre la clé de déchiffrement, permettant à son groupe de réactiver les satellites et de reprendre contact avec d'autres humains. Alors que l'établissement humain rétablit une connexion satellite, Noa et Soona regardent à travers un télescope fixant avec inquiétude un objet invisible dans le ciel.
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iranondeaira · 2 months
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..." De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l'immense étendue,
Et je dis : 《 Nulle part le bonheur ne m'attend.》..
- Alphonse de Lamartine ( l'isolement )
📸 Branislav Jovanovic
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sabinerondissime · 29 days
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Journal
Hier, je vous parlais du peu de passion que j'ai pour le ménage. Aujourd'hui, je veux vous parlez du peu d'aide que je reçois de la part de mon fils et mon mari concernant l'entretien de la maison. Mais tout d'abord, je dois prendre mes responsabilités. Je n'ai jamais voulu les obliger à m'aider. Quand j'étais enfant, ma mère travaillait et nous laissait à ma sœur et moi, une liste de choses à faire avant son retour. A l'époque, je trouvais cela complètement injuste que mes matinées de libres soient en partis occupées à étendre le linge, passer l'aspirateur, débarrasser le lave-vaisselle etc. J'ai donc décidé qu'une fois que j'aurais des enfants, je ne leur demanderai rien. Il se trouve que j'ai toujours été une femme à la maison, par choix, parce que je voulais être présente pour mes enfants, contrairement à mes parents qui bossaient énormément. J'avais dons le temps de faire le ménage sans trop rien leur demander, si ce n'est de faire la vaisselle à tour de rôle. A cette époque, les 4 enfants étaient tous à la maison. Maintenant, nous sommes 3 dans le même appartement. J'ai pris de l'âge et parfois, j'ai besoin qu'on m'aide pour faire certaines choses. Exemple du jour, accrocher les rideaux ou nettoyer les lustres. Ce que Monsieur a fait en râlant et en me disant qu'il ne voyait pas pourquoi je faisais ce genre de chose que personne ne remarque. Il doit, depuis des semaines, nettoyer les alarmes incendies qui sont tachées de cacas de mouches. Il est assez grand pour le faire sans monter sur une chaise, moi pas ! Mais bien que je lui demande gentiment tout les jours, rien n'est fait. Autre exemple, la poudre de café qu'il laisse derrière lui quand il remplis la machine, alors que je lui ai demandé de nettoyer le cas échéant, vu qu'il est le seul a s'en servir. Alors je nettoie devant lui mais ça ne le dérange pas plus que ça. Mon fils, quant a lui, ne sort pas de sa chambre. Quand je lui demande de la ranger un peu, il soupire en disant que personne n'y vient à part lui. Concernant son linge sale, j'ai mis un panier au pied de son lit car il avait la flemme de le mettre dans celui près de la machine. Mais chaque fois que je vais chercher son linge sale, il est sur son lit et pas dans le panier. S'il se coupe une tranche de pain, il laisse les miettes. Si mon mari enlève un coté du plaid sur le canapé en se vautrant dessus, il attend que je le remette en place. Il y a cette petite voix qui me répète: " C'est bien fait pour toi ! Tu n'avais qu'a les "dresser" dès le départ, gueuler comme le fait ta mère, créer un climat de tension ménagère, histoire que tout le monde en fasse un minimum !" Mais je déteste les conflits ! Et comme je suis une femme au foyer, je me dis que c'est mon job. Mais ça me pèse de plus en plus, de voir qu'en plus de ce "job", je suis quand même souvent leur bonne ! En fait, être une femme au foyer, c'est nettoyer le bordel des autres, sans jamais être payé, sans jamais être en vacances, ni en weekend. C'est aussi renoncer à des tas de choses, parce que financièrement, je n'ai jamais été autonome. C'est avoir constamment en tête que l'on dépend de l'autre. Alors oui, j'ai eu l'immense bonheur de pouvoir élever mes 4 enfants, d'être là pour eux à chaque moment. J'ai été une mère avant tout et c'est ce que je voulais. Mais mon dernier aura 18 ans dans quelques mois, il finira par quitter la maison, comme ses frères et sa sœur avant lui. Et moi, je serais là, proche de la soixantaine, à encore me dire que c'est normal que je passe derrière mon mari, parce que c'est lui qui rapporte le salaire qui nous permet de vivre.
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ernestinee · 10 months
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La douceur de vivre, en ce moment.
- Avoir choisi d'intégrer des petites touches slow dans notre vie et voir que ça fonctionne bien :
- Le poêle de masse, qu'on commence à mieux connaître, qui nous réchauffe la maison pendant 12 à 24h avec 6 bûches de sapin
- La cocotte qui cuit doucement nos repas, dans le four du poêle de masse.
- Le pain sans pétrissage, qui lève 12h avant d'être cuit dans la cocotte.
- Les panneaux solaires qui produisent + que ce que l'on consomme.
- Retrouver et réparer un truc qui lit les cassettes audio, acheter des vieilles cassettes pour presque rien
- La sensation d'être plus connectée à ma vie, ne pas regarder l'heure mais prendre des points de repère par-ci-par-là. C'était un objectif pour l'année, d'ajouter un peu de slow, et ça fait beaucoup de bien.
- Changer la disposition du salon vu qu'on quitte le poêle en fonte, et donner moins d'importance à l'immense TV. Avoir un tapis jaune sur le sol, tenir bon quand je trouve qu'il est bof (on passe d'un tapis brun et une table blanche à un tapis moutarde et une table en bois foncé) et finalement trouver qu'il illumine la maison.
- La petite plongée dans l'enfance, les routes connues par cœur, les jolis paysages rassurants et régressifs comme une tartine grillée à la cassonade, revoir mon cousin.
- Découvrir aujourd'hui par hasard une librairie pas loin de chez moi et savoir qu'elle va devenir mon endroit préféré, prévoir de partir plus tôt le jeudi quand je vais chercher l'ado à l'école pour y passer du temps.
- Retrouver instantanément l'envie de lire en entrant dans cette librairie, fortement, puissamment, profondément dans mon cœur, et être émue de cette sensation.
- Avoir quelques nouveaux patients qui me mettent des challenges.
- Faire des plans pro sur les 5 ans, arriver à la fin de l'immense vague qui m'a presque submergée de boulot depuis septembre, avoir enfin du temps pour penser aux nouveaux projets, écrire les prémices d'une formation pour adultes, avoir de nouvelles idées de matériel pour les patients.
- Trouver l'ado épanoui, le voir enfin prendre du poids, penser à ses affaires et prendre des décisions.
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imago-memoria · 2 months
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youtube
L'air "(...) Dans le règne de l'imagination l'air nous libère des rêveries substantielles, intimes, digestives, il nous libère de notre attachement aux matières, il est donc la matière de notre liberté, à Nietzsche, l'air n'apporte rien, il ne donne rien, il est l'immense gloire d'un rien, mais ne rien donner n'est-il pas le plus grand des dons ? Le grand donateur aux mains vides nous débarrasse des désirs de la main tendue, il nous habitue à ne rien recevoir et donc à tout prendre (...)"
(note : émission France Culture, 8 septembre 2015 – Série « La vie rêvée de Bachelard » – Épisode 2/4 : L'air – Marie-Pierre Lassus)
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Les enfants sont comme les marins: où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense.
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je veux l'immense à portée d'ailes ; l’immense et toutes ses circonstances ; je veux le mener à son terme ; aller là où il s’évertue dans le silence à consommer toute l’énergie de l’existence ; l’immense qui côtoie le néant, qui fabrique ses frontières, où la vie attend une réponse, où la vie s’exécute à n’être qu’un point, une flamme qui se métamorphose en son étendue ; l’immense qui répond dans l’oubli que nous devenons
© Pierre Cressant
(mardi 4 juillet 2006 - dimanche 28 mai 2023)
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lunarubra · 7 months
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Jiyan Moodboard
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- Vous aimez la mer, capitaine. - Oui ! je l'aime ! La mer est tout ! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C'est l'immense désert où l'homme n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. La mer n'est que le véhicule d'une surnaturelle et prodigieuse existence ; elle n'est que mouvement et amour ; c'est l'infini vivant...
Jules Verne, Vingt mille lieues sous les mers, 1870
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FC: Medalion Rahimi
Let me know with a comment or a like what you think :) Here you can find the first part of the story. Thank you to @emotionalcadaver for the amazing moodboard guide
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lisaalmeida · 1 year
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"Il y a beaucoup de types de baisers: ceux de la douceur, de la passion, de fidélité, de soutien, de curiosité, de découverte ... Et puis il y a le baiser absolu. Celui où les lèvres font l'amour. Où l'âme déborde dans la bouche de l'autre et il nous est rendu goutte à goutte. Le baiser profond comme l'immense, chaud et palpitant comme un cœur vivant. Ce baiser qui est à un jet de trapèze à cent mètres du sol, une déclaration d'amour, une demande d'aide, un merci, un pardon, une chanson à la vie et, en même temps, un testament. Parce qu'au fond du langage, la vie et la mort disparaissent, pour la durée de ce moment parfait ".
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oviri7 · 4 months
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« La paix universelle... implique le renoncement personnel de l'immense majorité à la guerre, et par suite qu'on accepte, sans l'avouer, de devenir la proie de ces autres qui ne renoncent pas. Tout commence par le désir, funeste à l'Etat, d'une réconciliation générale ; tout aboutit à ce que personne ne prend plus la peine de se remuer, dès que le malheur ne frappe que le voisin. »
Oswald Spengler - Pensées
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abdou-lorenzo · 6 months
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Rien n'a jamais été aussi généreux que ce corps de femme qui me nourrissait de sa chair et de sa tendresse.....💞✨
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La mère de tout enfant, qui deviendra un homme, renferme toutes les femmes du monde, porteuses et prometteuses de l'immense espoir d'amour attendu.........💞✨🍀
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chicinsilk · 5 months
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Vogue Italia April 1973
Lynne Sutherland wears a light blue cardigan which is a twin set with the huge shawl-cardigan with a collar crossed by triangular figures, a pleated skirt, in ink color. Blue, light blue and turquoise return in jewelry, in the belt buckle and even in sandals, with the addition of a little fuchsia. By Silvano Malta for Milena Mosele; jewelry by Ugo Correani. Colored tights, from Santagostina, sandals, from the Varese shoe factory.
Lynne Sutherland porte un gilet bleu clair qui fait twin-set avec l'immense châle- cardigan à col traversé par des figures triangulaires, une jupe plissée, de couleur encre. Le bleu, le bleu clair et le turquoise reviennent dans les bijoux, dans la boucle de ceinture et même dans les sandales, avec l'ajout d'un peu de fuchsia. Par Silvano Malta pour Milena Mosele ; bijoux d'Ugo Correani. Collants de couleur, de Santagostina, sandales, de la fabrique de chaussures de Varèse.
Photo Kourken Pakchanian archivio.vogue.it
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