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#la bride sur le cou
inthedarktrees · 1 year
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Brigitte Bardot shooting the film La Bride sur le cou, 1961
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gatabella · 1 year
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"She was Eve before God lost his temper in the Garden. She was an Eve particularly talented at making love, who seemed to know everything about it without ever having had to learn. She never thought of nudity as a secret weapon that enabled women to seduce men. Nudity was nothing more or less than a smile or the color of a flower. In this sense she was more painter than model—or rather, both painter and model."
-Roger Vadim, director and first husband of Brigitte Bardot
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letterboxd-loggd · 2 years
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Please, Not Now (La Bride sur le cou) (Only for Love) (1961) Roger Vadim
December 17th 2022
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missbrigittebardot · 3 months
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Brigitte Bardot in “La bride sur le cou”, 1961
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gacougnol · 29 days
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Walter Carone (French | 1920 - 1982)
Brigitte Bardot
LA BRIDE SUR LE COU, 1961
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode nationale, no. 369, 20 mai 1893, Paris. No. 1. — Toilettes de promenade. Bibliothèque nationale de France
(1) Costume de jeune femme, en bengaline rouge, brodée de noir. Corsage-blouse mis dans la jupe sous ceinture brodée, garnie de petit velours noir. Jupe froncée légèrement tout autour, ornée dans sa hauteur de broderies comme la ceinture et le col. Manches ballon du haut, à grands poignets plats. Mantelet brodé, rond derrière, à longs pans devant. Chapeau fort enlevé devant, en paille noire, orné en dessus par deux plumes, l'une noire, l'autre rouge, nœuds semblables en dessus.
(1) Young woman's suit, in red bengaline, embroidered in black. Blouse-bodice placed in the skirt under an embroidered belt, trimmed with small black velvet. Skirt gathered slightly all around, decorated at its height with embroidery like the belt and the collar. Balloon sleeves at the top, with large flat cuffs. Embroidered mantle, round at the back, with long tails at the front. Strong hat removed in front, in black straw, decorated above with two feathers, one black, the other red, similar knots above.
Métrage: 16 m. bengaline.
(2) Robe de lainage vert-Nil. Corsage rond, mis dans la jupe; manches bouffantes du haut, à hauts poignets plats. Jupe froncée, tout unie. Sur les épaules, mantelet-pèlerine formé par des plissés de soie vert-saule, surmontés d'une draperie semblable et faisant très longs pans sur le devant. Autour du cou, collerette de dentelle. Grand chapeau Directoiré, en paille blanche, à fond de surah mou, orné par une plume verte. Brides de même nuance.
(2) Nile green wool dress. Round bodice, put in the skirt; puffed sleeves at the top, with high flat cuffs. Gathered skirt, all plain. On the shoulders, a pilgrim's mantle formed by pleats of willow-green silk, topped with a similar drapery and making very long panels on the front. Around the neck, lace collar. Large Directoiré hat, in white straw, with a soft surah base, decorated with a green feather. Straps of the same shade.
Métrage: 10 mètres lainage, grande largeur.
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Brigitte Bardot - La Bride sur le cou, 1961.
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loup-venant · 2 months
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Sous ses paupière qui cherchent à se fermer, Jade tente comme elle peut de s'appliquer. Si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais. Elle écrit, ou du moins, elle essaie. Les quelques lignes qu'elle a déposées ne la convainquent pas. Elle espace, elle efface, elle réécrit. Mais rien ne lui convient. Quand elle ferme les yeux, elle ne voit plus rien, mais elle s'entend mieux. Elle accède à une scène ouverte de ses moindres pensées. Coté court, elle s'entend dire qu'il est grand temps de s'endormir. Coté jardin, presque en même temps, l'idée qu'elle manque d'inspiration la frappe comme le marteau d'un forgeron sur son fer.
La conversation avec Rémi revient, par bride. Comme une cassette, elle rebobine et la rejoue. Puis elle repense à son aventure dans les bois. Sans s'en apercevoir, cette fois, non seulement elle voit les ronces, mais elle perçoit le parfum des orties, la fraîcheur de son vélo dans ses mains. La passerelle sur laquelle elle met un pied devant l'autre sur les poutrelles métalliques tout en tenant fermement le cadre entre la selle et le guidon. Son manque d'équilibre l'empêchant de passer simplement en le soulevant.
Jade rouvre les yeux, dehors quelqu'un vient de klaxonner.
Il est une heure après minuit, et pourtant tout est bruit. Craquement du bois, cliquetis des aiguilles, grincement des tuiles. Si sa scène est ouverte, c'est à tout vent. A tout vent, ou presque. Elle ne prête aucune attention à la tension qui lui bloque le cou et la gorge. Elle ne sent pas sa poitrine qui ne respire plus qu'à mi-temps.
Sur le clavier, ses doigts paraissent errer. Perdu entre l'étendue presque infinie des possibilités et le néant figeant des premières idées, Jade s'agrippe. Elle se pince les lèvres, puis expire en se laissant tomber en arrière dans le canapé, abattue.
Tant pis, ça sera pour demain
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olympic-paris · 1 month
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saga: Soumission & Domination 250
Vacances de Noël 2
Pendant le trajet, Hervé nous fait part de sa gêne à s'imposer chez Emma le jour de Noël. Je lui dis que le seul trouble qui pourrait l'envahir serait d'être en présence de la troisième personne à profiter de nos trois corps.
Il s'étouffe, venant d'apprendre la chose. A mes cotés, Ernesto me remercie, il ne lui en avait pas encore parlé !
Du coup, je prends 5mn pour lui expliquer le pourquoi du comment, notamment qu'elle n'est pas ma vraie mère, ce qu'il s'avait déjà. Surtout qu'elle a maintenant une ouverture d'esprit (entre autres ouvertures) qui fait qu'elle a dépassé les contingences et contraintes de sa position sociale. Elle a admis qu'elle pouvait prendre du plaisir avec de jeunes mâles et même avec trois à la fois sans que ce soit d'une perversité interdite. Elle a dépassé le stade où rencontrer Marc en tant que mon homme lui posait un problème, donc il n'y avait aucun souci à se faire quand à ce qu'elle rencontre le mec d'Ernesto.
Cela étant posé, nous l'avons laissé réfléchir tout seul.
Arrivée chez Emma, le majordome nous ouvre. Emma nous rejoint alors que nous quittons nos manteaux. Je suis le premier à la prendre dans les bras et je lui colle un bisou sur les lèvres. PH et Ernesto qui passent après font de même. Marc lui claque un bisou sur la joue et présente un Hervé encore un peu rouge qui lui prend la main et se penche en un erzats de baise main.
L'énorme bouquet de roses que nous lui apportons l'a ravi.
Nous la suivons au salon. Nous discutons de voyages car Emma met la conversation sur les dernières destinations de nos deux hommes. Comme elle-même voyage beaucoup, ils échangent sur leurs impressions. Nous passons ensuite à notre dernier achat et la commande qu'elle a passée au sculpteur pour un David revisité. Le champagne arrive, j'ouvre le magnum et rempli les flutes. Nous trinquons à Noël, même si nous n'en n'avons plus grand-chose à faire avec son aspect religieux. La vielle cuisinière apporte les accompagnements chauds. Ils sont délicieux mais proviennent d'un pâtissier connu.
Nous passons à table. Malgré son âge, elle se débrouille encore bien et nous dégustons, après les huitres, une dinde des plus moelleuses.
Durant le repas, j'ai observé Hervé qui s'est détendu devant le naturel avec lequel Emma prenait les choses. Faut dire qu'avec moi, elle a appris à relativiser question coeur. Elle sait que pour me garder, comme Marc l'avait appris avant elle, il faut me laisser la bride sur le cou et accepter mes évolutions. De plus ce n'est jamais gratuit. Quand je me suis tombé amoureux de PH, elle a su accepter le fait que cela ne me ferait pas moins l'aimer. Et puis n'a-t-elle pas profité de mon expérience en amour ?
En attendant, à la fin du repas, Emma, Marc et Hervé s'entendaient plutôt bien.
Plus tard dans l'après midi, alors que Marc proposait que nous nous retirions, je le prévenais ainsi qu'Hervé, que nous (PH, Ernesto et moi), retrierions plus tard, qu'on voulait profiter de la piscine beaucoup plus grande chez Emma.
Alors qu'Hervé, qui n'avait pas compris la raison cachée, objectait que nous n'avions pas nos maillots, Marc nous a assuré que l'idée était bonne et que nous avions qu'à nous faire reconduire pour le diner.
Après les avoir raccompagnés à la porte, c'est en courant que nous nous sommes dirigés vers la piscine. Emma n'a pas eu de mal à nous retrouver, il suffisait qu'elle suive la piste marquée par nos vêtements. Quand elle nous a rejoints, nous étions tous les trois nus dans l'eau à nous courser. Nous ne l'avons vu que quand elle s'est glissée à son tour dan l'eau. Nous l'avons entouré et avons commencé à la caresser. Lui manger la chatte sous l'eau est plutôt difficile (plus que de faire une pipe) et nous alternons à cette tâche. Bientôt nous sortons de l'eau et nous couchons sur les matelas disposés sur la terrasse.
Comme cadeau de noël, nous avons décidé tous les trois de ne penser qu'à Emma et de ne pas baiser entre nous. Cela faisait longtemps que nous avions fait l'amour tous les 4. Mais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas ! Et les nombreux orgasmes que nous lui avons procurés nous l'ont prouvé. De simples roulages de pelles, en caresses intimes (doigts dans la chatte pour être plus explicite), de simples pénétrations aux doubles, puis à la triple (PH dans sa bouche moi dans son cul et Ernesto dans sa chatte), nous l'avons mise sur les genoux. Si nous avons tous les trois juté deux fois, nous l'avons envoyé au 7ème ciel au moins une bonne demi douzaine de fois.
Ce que j'ai préféré et Emma aussi ça été les doubles prises. Faut dire que la présence d'Ernesto ajoute un plus par rapport aux fois où, avec PH, nous lui faisons l'amour. Ses 24cm x 6 assurent un " remplissage " que mes 20 x 5.5 ou les 19 x 6 de PH ne peuvent faire. La prochaine fois où nous serons que tous les deux, nous tenterons un double mais dans le même conduit, ça devrait lui faire de l'effet.
Pour nous les mecs, sentir une autre bite frotter la sienne au travers du même corps baisé, c'est divin. J'adore déjà le faire avec PH mais la grosse collerette du gland d'Ernesto fait un effet fou lors des va et vient en compressant mon propre gland à chaque passage.
Il nous faut à tous une bonne demi-heure, allongés, sur le sol, pour reprendre pied avec la réalité. Malgré une température ambiante maintenue à 25°, nous finissons par avoir froid. Une bonne douche prise à 4 sous des jets brulants résout le problème. Nous finissons de nous rhabiller dans le couloir où nous retrouvons nos vêtements. Alors que nous quittons Emma avec un dernier bisou, elle me glisse une petite boite dans les mains en me disant de l'ouvrir plus tard.
Nous nous entassons à l'arrière de la Merco et je relève la vitre de séparation avant d'ouvrir son cadeau. Une carte précise que le présent est pour nous trois. Sur un capiton de satin, je découvre trois anneaux en or de 3mm de large environ dans lesquels sont enchâssés trois pierres dont la centrale plus grosse. Un diamant, un rubis et une émeraude. Nous tâtonnons pour savoir laquelle va à qui. J'hérite de celle au diamant central. Ernesto réussit à enfiler celle à l'émeraude au centre, la dernière va parfaitement à l'annulaire de PH et son rubis est vraiment sang de pigeon.
Nous passons bien 5mn à admirer nos bagues. Ernesto se demande comment son compagnon va le prendre. Avec PH, nous nous regardons et éclatons de rire, Marc n'en fera pas une maladie, ça c'est sûr.
Le chauffeur d'Emma nous laisse à la porte du Blockhaus. Quand nous débarquons au 4ème, nous trouvons Marc et Hervé qui nous attendent. PH et moi nous nous jetons au cou de Marc et lui faisons admirer nos bagues. Il convient que ce sont de beaux cadeaux de la part d'Emma, même s'il trouve que les pierres centrales sont un peu grosses et Bling-Bling. Hervé quand à lui trouve ce cadeaux un peu déplacé de la part, somme toute, d'une cliente. Je lui fais remarquer que cette cliente est ma mère (même si d'adoption) et que si elle nous avait offert ces bijoux, c'était parce que nous étions tous les trois ses seuls amants et qu'elle nous adorait elle aussi. Marc de son coté a ajouté que cela n'enlevait rien à la relation privilégiée qu'il avait avec Ernesto, ce que ce dernier s'est empressé de lui prouver avec un gros câlin. Une fois rassuré sur l'attachement que lui porte Ernesto, Hervé convient lui aussi que ce sont de belles bagues et que les pierres enchâssées jusqu'à la table, gardent un aspect viril.
Comme je cherche après Jimmy, Samir me dit qu'il est parti chez un client. Je m'étonne un instant de ne pas être au courant mais il ajoute que la ligne fixe de ma société étant redirigée sur la maison, il avait reçu l'appel et comme c'était un client régulier il avait accepté.
Je le prends à part pour les détails. Il ajoute que ce client voulait faire un cadeau spécial à son fils dont il venait d'apprendre l'homosexualité et ses difficultés à trouver un mec qui veuille bien se laisser enculer par du très gros calibre (le fils étant soit disant aussi bien monté que le père). Du coup, entre le fait qu'ils soient deux, et que c'était le jour de Noël, il avait triplé le tarif normal, ce qui avait été accepté sans difficultés.
Le soir, n'ayant pas très faim, l'apéro nous a suffit et a vite dégénéré en touze. Avant que les bouteilles de champagne soient vidées, nous étions tous les 5 à poil et nos deux hommes honorés par trois bouches voraces. Hervé a pu ressentir tout l'attachement que lui portait Ernesto même s'il n'a pas été le seul à le sucer ni à se le prendre dans le cul. Finalement c'est assez amusant de voir qu'Hervé, ex hétéro bon teint, craint plus d'une meuf comme Emma que de nous autres. En attendant si j'ai pu sentir les 4 bites me ramoner le cul, je n'ai pas été en reste dans ceux de PH et Ernesto.  J'ai fait l'avant dernier wagon d'un petit train dont PH était la Locomotive, Ernesto le Tender et en alternance, Marc et Hervé le wagon de queue (dans tous les sens du terme !). L'apothéose : moi, dos sur la table basse à éjaculer sur mes abdos et les 4 autres me couvrant de leurs jus, façon gang-bang. Si nos deux mâles dominants se sont écroulés dans les fauteuils, PH et Ernesto sont venus s'écraser sur moi pour me rouler des pelles. Le soir même nous décidons Hervé( car pour Ernesto c'était évident) de venir dormir avec nous dans notre grand lit.
Le lendemain matin je débriefais Jimmy.
Il me dit que le fils du client était aussi monstrueusement monté que le père (27 x 6,5). Avant que ce dernier ne les rejoigne, le client à renseigné Jimmy sur son fils. 20ans, métis, 1m84, sportif, imberbe et monté comme lui. Il venait d'apprendre qu'il était homo depuis peu et qu'il avait beaucoup de mal à trouver des mecs qui veuillent bien s'assoir sur sa queue. Beaucoup " partaient en courant " quand il baissait son slip ou il ne tombait que sur des vieux qui ne l'excitaient pas du tout. Il avait donc pris la décision de faire appel à nous mais qu'il ne fallait pas que son fils sache que lui aussi tâtait du petit cul de mec. Après les présentations, il (le client) les laisserait seul dans la maison.
Quand le fils est descendu de sa chambre, Jimmy m'a dit n'avoir pas été déçu. Un beau métis en jogging dont le bas pourtant large avait du mal à dissimuler l'érection naissante de son sexe. Le père parti (non sans lui avoir laissé l'enveloppe), Jimmy s'est mis en mode sexe. Alors que le jeune homme lui proposait une bière, il s'est approché de lui et sur la pointe des pieds (1m65 contre 1m84 !), s'est accroché à ses épaules pour lui rouler un patin. Direct il a senti le mec bander comme un ouf ! Il s'est alors haussé pour passer ses jambes autour de ses hanches et poser son cul contre sa queue raide. Il m'a dit que le mec avait failli en jouir immédiatement. Ça l'a tellement excité qu'il (le client) l'a mis à poils, déchirant son t-shirt et son slip tant il était excité. Jimmy s'est alors mis à genoux pour pomper le monstre soutenu par la ceinture du jogging passé sous les couilles rasées. Le mec a halluciné quand Jimmy, après quelques va et vient et couvert sa hampe de salive, se l'est pris entier jusqu'aux couilles. Jimmy m'a dit qu'il avait fortement compressé son périnée de peur de se recevoir direct le sperme dans l'estomac. Il a du calmer le jeu en retournant lui rouler des pelles et sucer ses tétons.
Il avait poussé le mec à se coucher sur le canapé et au dessus de lui, faisait glisser sa rondelle contre son gland tout pendant qu'il tétait sa langue.
Puis il s'est retourné en lui demandant de lui bouffer la rondelle alors qu'il reprenait sa pipe. Jimmy m'a dit qu'il s'y prenait pas mal enfonçant sa grosse et longue langue dans sa rondelle. Il a trouvé une kpote XXL dans la poche du jogging et en a habillé la grosse bite du mec. Puis, après un demi-tour, il s'est assis sur le monstre. Il est descendu lentement mais jusqu'aux cuisses, se plantant le mec dans le cul. Ce dernier n'en revenait pas. Il ne pensait pas ça possible vu le petit cul de Jimmy, même s'il avait senti sous sa langue que sa rondelle était bien souple. Après deux va et vient il a rempli sa kpote d'un volume impressionnant de sperme d'après Jimmy ! Le jeune mec s'est excusé d'avoir juté si vite mais ça faisait plusieurs semaines que pas une meuf ni un mec potable n'avait accepté de le prendre en lui. Et ses branlettes n'atteignaient pas les mêmes sommets d'excitation.
Jimmy m'a dit qu'il n'avait d'ailleurs pas débandé alors qu'il le remerciait persuadé que la prestation payée par son père était finie puisqu'il avait joui. Quand il s'est aperçu que Jimmy remettait ça, il ne se l'est pas fait dire deux fois. Jimmy m'a dit qu'il a été très bon la deuxième fois. Il l'a enculé pendant presque une heure en levrette, debout Jimmy jambes accrochées à ses hanches, de face... Quand il avait juté, il y en avait autant dans la kpote. Là il a enfin débandé. Ils ont ensuite discuté des capacités hors normes de Jimmy. Là, mon p'tit mec a réussit à lui glisser que la boite d'Escort qui le faisait travailler était quasiment spécialisé dans les mecs de son genre (coté calibre) et que si cela l'intéressait, il pourrait se faire une bonne dizaine d'autres jeunes mecs. Il a vu ses yeux briller rien qu'à l'idée et luii a dit qu'il demanderais à son père si et quand ce serait possible.
Là, je remerciais Jimmy d'avoir " vendu " ma boite.
Jardinier
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votre Admin jp FREY, sportif
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gatutor · 1 year
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Brigitte Bardot "La bride sur le cou" 1961, de Roger Vadim, Jean Aurel.
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title777 · 5 months
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Brigitte Bardot
watched:
Et Dieu… créa la femme 1956
En cas de malheur 1958
À coeur joie 1967
to watch:
Tradita 1954
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Futures vedettes 1955
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Doctor at Sea 1955
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La lumière d'en face 1955
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Cette sacrée gamine 1956
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En effeuillant la marguerite 1956
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La mariée est trop belle 1956
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Une parisienne 1957
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Les bijoutiers du clair de lune 1958
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La femme et le pantin 1958
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Babette s'en va-t-en guerre 1959
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Voulez-vous danser avec moi? 1959
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La vérité 1960
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La bride sur le cou 1961
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Amours célèbres 1961
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Vie privée 1962
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Le mépris 1963
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Une ravissante idiote 1964
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Viva Maria! 1965
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Histoires extraordinaires 1968
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Shalako 1968
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Les femmes 1969
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L'ours et la poupée 1970
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Les novices 1970
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Les pétroleuses 1971
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Don Juan ou Si Don Juan était une femme… 1973
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gatabella · 2 years
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Brigitte Bardot, shooting of La Bride Sur Le Cou / Please Not Now, 1961
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frisquette27 · 2 years
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J'avais prévu de poster vendredi dernier, ne jamais mettre de deadline car c'était toujours comme ça que l'on a plein d'autre chose à faire pfff.
Bon voici enfin le chapitre 19 de ET SI .. (j'aurais mis le temps quand même)
Toujours les mêmes avertissements : rappel de tentative de suicide, SMUT etc ...
UN GRAND MERCI à ceux qui suivent ma p'tite histoire et UN GRAND MERCI pour tous vos commentaires (Ils me donnent le courage de continuer)
ET SI …
Chapitre 19 : Si je savais qui croire
Elle était tétanisée, complètement affolée la Reine ne savait que faire, elle rêvait de pouvoir prendre ses jambes à son cou et s’enfuir à l’opposé de la femme devant elle. Mais malheureusement son corps ne lui répondait plus, elle restait donc la devant elle, à sa merci comme une proie. Aucun son ne sortait de sa bouche, Dame Mevanwi comprit immédiatement le trouble de la Reine, elle en était enchantée, elle avait du pouvoir sur cette femme, elle allait donc en abuser.
Prenant un air doux et une voix mielleuse à la limite de la caricature.
« Ma Reine, quel plaisir de vous revoir » dit-elle en s’approchant, se permettant même de lui prendre la main « J’avais tellement peur de ne plus vous revoir après notre discussion, j’étais particulièrement mal de vous avoir fait de la peine »
Guenièvre ne pouvait pas lui répondre, elle en tremblait, des brides de leur dernière conversation tournait dans sa tête en boucle, elle ne pouvait en oublier aucun mot.
« Ne restons pas là » Mevanwi lui prit le bras et l’entraina doucement avec elle « Allons dans les jardins, nous serons plus au calme pour discuter »
Les deux femmes s’installèrent sur un banc en pierre auprès d’un magnifique parterre de jasmin d’hiver jaune, Mevanwi avait choisi cet endroit précis car elle savait que la reine avait voulu que l’on n’y plante des fleurs rouges mais Arthur avait préféré mettre des fleurs jaunes car cet endroit était fait pour les passions inavoués et elle savait parfaitement que c’était à elle qu’il pensait. Elle avait bien choisi le lieu car elle vit le regard de la Reine sur le parterre de fleurs et elle perçu le désarroi de cette dernière. Parfait, son plan fonctionnait, elle prenait plaisir peut être un plaisir malsain mais c’était amusant de détruire cette femme, un petit sourire s’étira sur ses lèvres.
« Comment allez-vous ? » commença-t-elle mais comme Guenièvre restait silencieuse, elle poursuivit « Vous n’êtes partie que quelques jours mais j’étais très inquiète, je pensais que vous aviez disons tourné la page et j’étais contente pour vous. Le Roi ne vous a pas laissé le choix a ce que j’ai pu comprendre »
Guenièvre réagit enfin, interloqué par les mots de son ancienne amie
« Comment ça je ne comprends pas ? Pourquoi le Roi ne m’aurait pas laissé le choix »
« Pour être très honnête avec vous, votre départ la certainement contrarié, vous comprenez les apparences, disons que l’alliance avec votre famille est importante pour le royaume et j’imagine que votre relation à évolué sur le plan physique »
« Comment …vous …qu’est ce qui vous fait supposer de telle .. »
Mevanwni posa la main sur la jambe de la Reine.
« Je le sais car le Roi veut un héritier et pour le citer il n’a pas le choix de se taper l’autre grosse gourdasse » mentit elle.
« Non Arthur n’a pas dit ça ! »
« Je suis vraiment désolé mais très honnêtement est ce vraiment la première fois, je comprends que vous deviez rester, votre statue de Reine et votre devoir envers le Roi mais vous méritez que l’on vous aime ou au moins que l’on vous respecte »  
Guenièvre ressentit une pression au niveau du cœur, elle avait du mal à respirer, non ce n’était pas possible pas après la nuit dernière pourtant la petite voix qui ne cesser de la tourmenter lui rappelait qu’il y a quelques jours à peine son mari ne pouvait pas la voir en peinture. Elle retenait ses larmes, elle ne pouvait pas pleurer devant cette femme. Elle se leva brusquement et partit dans les jardins laissant Mevanwi seule sur le banc sans un mot pour cette dernière.
« Voilà » murmura-t-elle « Trop facile, elle se dirige directement dans mon piège »
Et quel piège, le Chevalier Blanc attendait sagement au bout du chemin l’arrivée de sa belle. Tout d’abord soucieux de la voir en pleurs, il se rappela les consignes précise de sa complice. Il devait rester concentré sur sa mission et essayer de charmer sa bien-aimée.
« Ma Reine, que vous arrive-t-il ? Etes-vous blessée ? »
Elle s’arrêta net devant lui, honteuse d’avoir été vu en train de pleurer mais étrangement contente d’être tombé sur son ami. Car oui après tout c’était avant tout son confident en déplaise à son mari.
« Seigneur Lancelot, je suis désolé »
« Ne soyez pas désolé ma Reine, dites-moi ce qu’il a encore fait »
« Rien ..il n’y a rien je suis juste un peu à fleurs de peau parfois, ne vous tracassez pas pour des broutilles »
« Mais ce ne sont pas des broutilles, Guenièvre, je suis persuadé qu’il a encore était trop loin, je ne connais bien notre Roi et les sentiments qu’il vous porte »
Trop c’était trop pour elle, tout le monde savait que son mari la méprisait et elle était là à croire que peut être il y avait une chance entre eux. Elle fondit en larmes devant le chevalier ne retenant plus ses sanglots. Devant la fragilité de la jeune femme, Lancelot en profita pour la prendre dans ses bras et lui murmurer des mots d’encouragements. Elle mit plusieurs minutes à se calmer, en reprenant un tant soit peu de constance, elle se défit de son étreinte et lui proposa de se promener, oubliant les recommandations de son mari. A ce moment, rien ne comptait plus que de retrouver la légèreté de sa relation avec le chevalier, il avait toujours été là dans les moments difficiles et il était tellement agréable avec elle. Ils passèrent donc l’après-midi dans les jardins à discuter de chose et d’autre, Guenièvre en oublia son chagrin. Le chevalier lui raconta sa vie dans la forêt, la faisant rire parfois avec des anecdotes plus incongrues les unes que les autres. Elle sentait ses regards amoureux et elle avait du mal à savoir comment se comporter avec lui, maintenant elle connaissait ses sentiments pour elle et même s’il n’était pas réciproque, elle se demandait toutefois si elle n’avait pas été amoureuse d’Arthur est ce qu’elle aurait succomber au charme de Lancelot. Après tout, il était bel homme, intelligent, romantique, il correspondait plus à son idéal masculin que son mari. Mais voilà, elle était amoureuse d’un homme râleur souvent bougon et terriblement attirant. Ils avaient perdu la notion du temps au point qu’ils ne se décidèrent à rentrer que lorsque le jour commençait à laisser place au crépuscule.
La journée avait été longue, trop longue pour le Roi qui avait enchainé les réunions les unes derrière les autres, leurs lots de problème avaient définitivement fini d’agacer Arthur. Alors qu’il n’avait qu’une seule chose en tête, retrouver sa femme qu’il avait vu pour la dernière fois de la journée au petit déjeuner. Arthur était frustré, tout d’abord il avait été interrompu par ses beaux-parents le matin même alors qu’il passait un moment merveilleux avec sa femme, puis elle s’était carrément barrée de leurs petits déjeuner le laissant seul encore avec ses beaux-parents. Il avait passé la journée à apprendre que les hommes dans ce château tournaient autour de Guenièvre d’ailleurs plus il y pensait plus il trouvait qu’il avait été trop clément avec le seigneur Calogrenant, et pour couronner le tout il n’avait pas vu ou même aperçu sa femme de tout le reste de la journée. Alors oui, il était frustré et se dirigeait d’un pas déterminé vers la salle de repas car même s’il devait se coltiner encore le couple royal de Carmèlide, il allait enfin retrouver sa femme. C’est donc avec un sourire sur le visage qu’il ouvrit la porte de la salle à manger, sourire qu’il perdit immédiatement quand il ne vit dans la pièce que ses beaux-parents déjà attablés.
« Non mais bon sang c’est pas possible, elle est où encore !! »
« Franchement ça vous arrive de temps en temps d’être aimable, on voit que ça vous fait vachement plaisir de nous voir » dit sa belle-mère d’un ton acerbe
« Non mais laissez-le, il cherche encore la p’tite d’ailleurs moi aussi j’aimerais bien savoir où elle est fourrée celle-là »
« Ben c’est pas à moi qu’il faut demander ça, c’est une vrai anguille cette gamine, tout le monde la vue mais personne ne sais où elle est, j’ai autre chose à faire que jouer à cache-cache avec elle »
Arthur s’était attablé complétement dépiter, regardant dans le vague son assiette. La porte s’ouvrit et il releva la tête immédiatement la tête dans l’espoir de voir sa femme apparaitre et malheureusement ce n’était qu’une servante qui apportait les plats. Encore déçu il souffla et rebaissa son regard sur la table.
« Non mais vous allez pas faire la gueule en plus, déjà que d’habitude vous êtes pas très jouasse comme bonhomme mais alors là on atteint le summum »
« Non mais je viens de vous dire de lui foutre la paix, qu’est-ce que vous ne comprenez pas ! »
« Merci beau-père »
« Allez-y vous ! Prenez sa défense tant qu’on y est, ce qui faut pas entendre sérieux, il y a quelques jours encore il pouvait pas la blairer la p’tite et là monsieur fait la gueule quand il la voit pas »
« Faut savoir à la fin, moi je trouve que c’est mieux, je préfère qu’il fasse la tronche parce qu’il ne la voit pas que quand il se foutait ouvertement de sa tronche »
« Hé oh je suis là je vous rappelle, et puis d’abord je me foutais pas de sa tronche »
Le couple se tourna vers le roi et le regardèrent d’un air septique relevant tout les deux un sourcil de surprise, la situation en été presque comique de voir ses beaux-parents réagirent à l’unisson.
« Heu je veux bien prendre votre défense mais ne nous prenez pas pour des jambons, bientôt vous allez dire que vous avez été toujours prévenant avec elle »
« Oh oui bientôt il va nous sortir qu’ils ont toujours eu une belle histoire d’amour » rajouta Dame Séli d’un ton sarcastique.
« Non mais c’est plus compliqué que ça et puis d’abord mêlez-vous de vos fesses, ça me fera des vacances !! »
« Ah mais vous rêvez les yeux grand ouverts mon p’tit bonhomme je vous le dis tout de suite, si vous pensiez qu’on été sur votre dos ben vous allez voir le changement, c’était de la nioniotte jusqu’à présent »
« Super ça annonce une bonne ambiance en perspective pendant les repas, trop chouette je me languis !! »
« Ouais mais alors faite pas trop le malin quand même, je ne vous rappelle pas dans quel état vous avez mit ma fille, je veux bien essayer d’être tolérant et ce n’est franchement pas dans ma nature mais je vais vraiment avoir du mal à oublier que j’ai failli perdre ma fille par votre faute !» dit le seigneur Leodagan en fixant durement son gendre.
Tout penaud Arthur, s’enfonça dans son siège, baissa les yeux et ne pipa plus un mot. Le repas fut alors silencieux, extrêmement silencieux voir gênant.
Elle avait réussi à éviter le repas, elle n’avait pas mangé de la journée mais elle se sentait euphorique de pouvoir maitriser quelque chose dans sa vie. Pour éviter son mari, elle décida de prendre un bain pour ne pas se rendre directement dans sa chambre. Elle n’était pas prête à le voir, le chagrin que lui avait provoqué sa conversation avec Mevanwi était encore bien trop présent, elle ne savait pas comment elle allait réagir en le voyant. A sa grande surprise la porte de la salle de bain avait été condamné et ce fût un serviteur qui lui indiqua la direction de la nouvelle salle de bain. Il faisait déjà nuit noire quand elle rentra dans son bain, c’était donc à la lueur des bougies qu’elle examina ses poignets. L’eau était bien chaude et parfumé pourtant la vision de ses marques lui rappelait cruellement la nuit où son désarroi avait pris le dessus. Elle se rappelait la sensation de la lame froide sur sa peau cependant elle n’avait aucun souvenir de la douleur de son acte juste de la libération qu’elle avait ressenti. Est-ce qu’un jour elle oublierait ? Est-ce elle lui pardonnerait un jour ou même arriverait elle seulement à se pardonner elle-même ? Perdu dans ses pensées elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni la servante se rapprocher.
« Madame, veux-t-elle qu’on lui change son eau, elle doit être froide maintenant »
En regardant la servante qui venait de s’adresser à elle, Guenièvre vit de la peur dans son regard. Pourquoi cette femme avait-elle l’air effrayé, elle tremblait légèrement.
« Non je vous remercie, je vais sortir de mon bain. Pourriez vous me passer la serviette derrière vous s’il vous plait »
La servante ne bougeait pas et fixait toujours la reine.
« Vous êtes nouvelle, vous ai-je déjà vu ? »
« Oui…oui madame » répondit elle avec un soubresaut dans la voix « c’est moi qui vous ai aidé à passer votre robe ….cette nuit-là ! »
« Ah !  Je comprends ! comment vous vous appelez ? »
« Nessa, madame »
« Nessa pourriez-vous me passer la serviette derrière vous que je puisse sortir »
« Oui madame »
Elle lui tendit la serviette.
 « Dites-vous n’allez pas recommencer ! »
Guenièvre secoua la tête, elle se sécha rapidement et demanda à la servante de l’aider à se vêtir, elle posa une main rassurante sur l’épaule de la jeune femme.
En rentrant dans sa chambre le Roi avait espéré la retrouver mais toujours pas de Guenièvre. Il commençait fortement à s’inquiéter, il voulut partir à sa recherche quand la porte s’ouvrit laissant place à sa femme. Sans lui laisser le temps de réagir, il la prit dans ses bras et fondit littéralement sur ses lèvres. Il aurait voulu juste effleurer ses lèvres pour l’embrasser doucement mais il était bien trop frustré pour cela, le baiser était passionné. Ses lèvres étaient douce chaude, il pourrait mourir s’il s’arrêtait. Prise dans le moment ses mains glissèrent sur ses épaules nues, sentant la peau fraiche sous ses doigts, puis il plaqua une de ses mains au creux de reins pour l’attirer contre lui. Il commença à caresser son dos, envoyant des frissons dans la colonne vertébrale de la jeune femme, qui instinctivement se colla encore plus à son mari. Il grogna dans sa bouche de plaisir.  Les mains de sa femme étaient partout, maudissant les vêtements qui séparait leurs peaux l’une de l’autre. Ils s’embrassèrent ainsi pendant plusieurs minutes, savourant leurs goûts, les sensations que produisaient leurs gémissements respectifs, les plongeant dans une douce torture. Respirant à peine Arthur les entraina vers leurs lits, Guenièvre s’affairait à lui enlever ses couches de vêtements qui lui interdisait l’accès à sa peau. Elle ne pensait à plus rien, oublié la conversation avec Mevanwi, oublié ses doutes sur la sincérité de son mari, oublié les marques sur ses poignets seul Arthur comptait à ce moment-là, sa peau, son parfum, ses mains sur elle.
Ils tombèrent sur le lit sans que leurs lèvres ne se séparèrent, Arthur se positionna sur sa femme et entreprit de lui enlever sa robe alors que sa bouche parsemait son cou de baiser. Il finit par lui déchirer sa robe et la jeta à travers la pièce en rageant.
« Trop compliqué vos tenues, vous allez rester toute nue tout le temps maintenant ! »
Elle rit et enfouie sa main dans la chevelure de son époux dans un geste tendre, avec un petit sourire mutin. 
« Ah bah je vais faire sensation à me promener toute nue dans le château »
« Même pas vous y penser »grogna -il
La main toujours dans ses cheveux elle attira sa bouche contre la sienne, ils s’embrassèrent à nouveau désespérément, gémissant de plaisirs alors que leurs langues se caressaient. Ils étaient collés l’un à l’autre, poitrine contre torse, leurs peaux se rencontraient enfin. Les mains de la jeune femme montaient et descendaient le long de son dos. Elle pouvait sentir le désir de son mari pressé contre son bassin, il lui faisait perdre la tête. Elle écarta les jambes laissant Arthur se placer entre ses cuisses. Le pouvoir qu’elle possédait sur lui la stupéfiait juste en bougeant son bassin contre lui, elle la sentait bien son impatience dans ses caresses, dans ses baisers, dans ses gémissements. Autant il lui faisait totalement perdre la tête autant elle aussi elle avait ce pouvoir sur lui.
« Décidément, vous êtes encore trop habillé mon ami » lui murmura t elle à l’oreille d’une voix suave.
Il comprit qu’elle faisait référence à son pantalon, et comme si ses mots étaient magiques, il s’en débarrassa rapidement faisant sourire sa femme devant son empressement.
Alors que leurs corps nus se rencontrèrent enfin Guenièvre ressenti que c’était une évidence entre eux et alors que son mari lui relevait légèrement les cuisses pour la faire sienne.
« Ah je dérange peut-être ? »
Stoppé dans son action, Arthur se retourna vivement vers l’intrus tout essayant de couvrir sa femme. Devant lui la Dame du Lac.
« Non mais vous êtes pas bien ! ça vas pas non ! mais BARREZ VOUS ! »
« Ben non je voulais juste voir comment elle allez quand même »
« Non mais vous êtes sérieuse là »
« Oui elle va comment du coup ! »
« Je vais bien merci mais disons que là c’est pas vraiment le moment de papoter »
Arthur s’était couvert lui aussi, elle lui avait coupé l’envie.
« Ah mais vous faites plus semblant de ne pas me voir, ah ben c’est bien vous lui avez dit, ça sera plus simple »
« J’ai un peu gaffé mais maintenant du coup ça sera plus facile pour parler »
« Ah c’est clair ! déjà que c’est le bazar quand je dois venir si en plus faut gérer quand lui apparaitre parce que cela vous met mal à l’aise »
« Ah parce que là ça met pas mal à l’aise » grogna t il
« Oh mais c’est bon, de toute façon vous n’aviez pas vraiment commencé »
« Non mais j’avoue que moi aussi j’aurais préféré que vous n’apparaissiez pas maintenant »
« Ah ben je suis désolé, je voulais vraiment savoir comment vous alliez car c’est un peu le bazar là-haut depuis que vous avez essayait de ..enfin vous voyiez quoi »
« Oh je suis vraiment désolé, je ne voulais vraiment pas vous ennuyer, je ne pensais pas que … »
« Non mais ça va dis donc, vous ne voulez pas que je vous fasse apporter des tisanes et des p’tit gâteaux pour que vous puissiez papoter tranquille non plus ! »
« Ah maintenant que vous dites, pourquoi pas »
« Non mais certainement pas ! Cassez-vous »
« Oh ben ça vas quand même si je dérange je m’en vais »
« C’est ça oui faite ça donc, BARREZ VOUS »
La Dame du Lac s’éclipsa sans demander son reste. Laissant le couple royal enfin seul, Arthur n’attendit pas son reste et fondit immédiatement sur les lèvres de sa femme.
« On en était où sinon »
A l’abri de tous dans un couloir, Lancelot avait rejoint sa complice et lui faisait un rapport détaillé de son après-midi avec la Reine.
« Il faut que vous soyez plus tactile avec elle, il faut être plus direct »
« C’est plus facile à dire qu’a faire comment voulez vous que je m’y prenne »
Pour joindre l’acte à la parole, Mevanwi prit la main du chevalier caressant langoureusement de son autre main la joue, puis la nuque de ce dernier. Elle se rapprocha et colla son corps à cet homme qu’elle trouvait néanmoins désirable, leurs lèvres s’arrêtèrent à quelques millimètres l‘une de l’autre.
« Et là vous l’embrassez » murmura-t-elle
« Montrez-moi » lui répondit le chevalier.
Le château s’était endormi paisiblement, pourtant les alliances se rapprochait dangereusement et le piège risquait de se refermer très vite mais sur qui ?
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quentinyhk · 3 months
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Juda et Tamar [suite]
Comme on s'apprêtait à tuer Tamar, elle présenta le sceau, le cordon tressé et le bâton qui lui avaient été laissés en gage par son beau-père. Juda fut contraint de reconnaître ses torts : - Cette femme est moins coupable que moi. J'aurais dû lui permettre de s'accoupler comme convenu avec mon troisième et dernier fils Schéla. Il laissa donc la vie sauve à Tamar mais ne la reconnut plus comme sa belle-fille. Cette dernière portait en son ventre deux jumeaux. Lorsque l'accouchement débuta, l'un des enfants commença à sortir en présentant une main à laquelle la sage-femme accrocha un fil cramoisi : - Celui-ci naît en premier ! affirma-t-elle. Mais l'enfant rétracta son bras et ce fut son frère qui sortit du ventre, avant lui. - Quelle brèche tu as ouverte ! s'exclama la sage-femme Et elle lui donna le nom de Pérets (qui signifie "Brèche"). En second naquit celui des jumeaux qui avait été identifié comme l'aîné, avec un fil cramoisi autour de la main. Il fut nommé Zérach. - Joseph en Égypte L’Éternel était aux côtés de Joseph, qui avait été vilement vendu par ses frères à des marchands et acheté en Égypte par Potiphar, chef des gardes de Pharaon. Sous l'égide de Dieu, la prospérité accompagnait ce garçon. Il vivait dans la maison de son maître qui s'aperçut rapidement qu'il réussissait miraculeusement tout ce qu'il entreprenait en en tirant des bénéfices considérables. Pour que ce phénomène lui profite, l'égyptien qui l'avait acheté comme esclave lui confia les biens de sa maison, espérant les voir ainsi joliment fructifier. Ce procédé fonctionna à merveille. La bienveillance que l’Éternel portait à Joseph s'étendit mécaniquement aux richesses placées sous sa responsabilité, champs et récoltes inclus. Son maître était satisfait de la façon dont le serviteur prodigieux administrait ses biens. Et lui-même, vivait très chichement. L'épouse de Potiphar vit que Joseph était de grande taille et fort beau de visage. Elle lui ordonna de coucher avec lui. Il refusa en disant : - Mon maître me laisse la bride sur le cou et je gère sa fortune sans qu'il ne s'en soucie. Dans sa maison, il me traite en égal. Il a la bonté de m'élever à son rang et il a l'humilité de s'abaisser au mien, ne prélevant sur ses richesses que de quoi se sustenter, sans faste aucun. Il ne m'interdit qu'une seule chose : toi, son épouse. Comment pourrais-je faire subir l'affront d'un adultère à un homme qui me traite si bien ? Ce serait un crime devant l’Éternel ! Malgré tout, l'épouse insista, rôdant autour de Joseph qui se refusait à elle et fuyait sa présence. Un jour, alors qu'il se trouvait seul dans la maison de son maître, Joseph vit la femme de Potiphar venir dans sa direction. Elle lui ordonna une fois de plus de coucher avec elle, s'agrippant à lui. Il s'enfuit. Comme elle le tenait par son habit, la tunique de cet homme qu'elle convoitait lui resta entre les mains. Alors l'épouse mécontente fit un esclandre, par dépit. Elle convoqua ses gens autour d'elle : - Cet Hébreu a essayé de me violer ! Mais, je ne me suis pas laissé faire ! Ha ha ! Ça non ! J'ai crié ! Et ce misérable, prenant peur, s'est enfui ! Voyez ! Il a même laissé son vêtement auprès de moi ! N'est-ce pas là la preuve que je dis la vérité ! Et elle posa à côté d'elle cette tunique qu'elle présentait comme une pièce à conviction, attendant avec impatience le retour de son époux Potiphar pour la lui présenter. Lorsque son mari fut auprès d'elle, la femme médisante lui répéta les mensonges qu'elle avait déjà servis un peu plus tôt aux gens de la maison. Croyant sa conjointe sur parole, Potiphar entra dans une grande colère. En sa qualité de chef des gardes de Pharaon, il fit enfermer Joseph avec les prisonniers du roi.
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missbrigittebardot · 11 months
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Brigitte Bardot in “La bride sur le cou”, 1961
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alexlacquemanne · 1 year
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Aout MMXXIII
Films
L'Appel de la forêt (The Call of the Wild) (2020) de Chris Sanders avec Harrison Ford, Omar Sy, Karen Gillan, Dan Stevens et Bradley Whitford
Indiscret (Indiscreet) (1958) de Stanley Donen avec Cary Grant, Ingrid Bergman, Cecil Parker, Phyllis Calvert et David Kossoff
Jojo Rabbit (2019) de Taika Waititi avec Scarlett Johansson, Roman Griffin Davis, Thomasin McKenzie, Taika Waititi, Sam Rockwell et Rebel Wilson
Le Verdict (The Verdict) (1982) de Sidney Lumet avec Paul Newman, Charlotte Rampling, Jack Warden, James Mason, Milo O'Shea, Lindsay Crouse et Ed Binns
Mondwest (Westworld) (1973) de Michael Crichton avec Yul Brynner, Richard Benjamin, James Brolin, Dick Van Patten, Anne Randall, Majel Barrett et Terry Wilson
La Grande Lessive (!) (1968) de Jean-Pierre Mocky avec Bourvil, Francis Blanche, Roland Dubillard, Jean Tissier, Michael Lonsdale, R. J. Chauffard, Jean Poiret, Karyn Balm et Alix Mahieux
La Traversée de Paris (1956) de Claude Autant-Lara avec Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès, Jeannette Batti, Georgette Anys, Robert Arnoux, Laurence Badie et Myno Burney
Austerlitz (1960) d'Abel Gance avec Pierre Mondy, Jean Marais, Martine Carol, Elvire Popesco, Georges Marchal, Vittorio De Sica, Michel Simon, Rossano Brazzi, Claudia Cardinale et Leslie Caron
La Bride sur le cou (1961) de Roger Vadim avec Brigitte Bardot, Joséphine James, Mireille Darc, Edith Zetline, Michel Subor, Jacques Riberolles et Claude Brasseur
Hiroshima, mon amour (1959) d'Alain Resnais avec Emmanuelle Riva, Eiji Okada, Bernard Fresson, Stella Dassas et Pierre Barbaud
Quo vadis (1951) de Mervyn LeRoy avec Robert Taylor, Deborah Kerr, Leo Genn, Peter Ustinov, Patricia Laffan, Buddy Baer et Finlay Currie
La Classe américaine : Le Grand Détournement (1993) de Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette avec Christine Delaroche, Evelyne Grandjean, Marc Cassot, Patrick Guillemin, Raymond Loyer, Joël Martineau, Jean-Claude Montalban, Roger Rudel et Gérard Rouzier
Beethoven 3 (Beethoven's 3rd) (2000) de David M. Evans avec Judge Reinhold, Julia Sweeney, Joe Pichler, Michaela Gallo, Mike Ciccolini, Jamie Marsh et Danielle Keaton
The Big Short (2015) d'Adam McKay avec Christian Bale, Steve Carell, Ryan Gosling, Brad Pitt, Melissa Leo, Rafe Spall et Marisa Tomei
GoldenEye (1995) de Martin Campbell avec Pierce Brosnan, Sean Bean, Izabella Scorupco, Famke Janssen, Joe Don Baker, Judi Dench, Robbie Coltrane, Tchéky Karyo et Alan Cumming
The Grand Budapest Hotel (2014) de Wes Anderson avec Ralph Fiennes, Tony Revolori, F. Murray Abraham, Saoirse Ronan, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willem Dafoe et Jeff Goldblum
Le Hussard sur le toit (1995) de Jean-Paul Rappeneau avec Juliette Binoche, Olivier Martinez, Claudio Amendola, Isabelle Carré, François Cluzet, Jean Yanne : le colporteur juif et Pierre Arditi
Heat (1995) de Michael Mann avec Al Pacino, Robert De Niro, Val Kilmer, Tom Sizemore, Diane Venora, Amy Brenneman, Dennis Haysbert, Ashley Judd, Mykelti Williamson et Natalie Portman
Excalibur (1981) de John Boorman avec Nigel Terry, Helen Mirren, Nicol Williamson, Cherie Lunghi, Nicholas Clay, Paul Geoffrey, Robert Addie, Gabriel Byrne, Patrick Stewart et Liam Neeson
Le Grand Chantage (Sweet Smell of Success) (1957) d'Alexander Mackendrick avec Burt Lancaster, Tony Curtis, Susan Harrison, Martin Milner, Sam Levene, Barbara Nichols et David White
Séries
Castle Saison 2, 3
Rire et Châtiment - Le Flic fantôme - La Guerre des cuisines - Doublement Mort - Espion d'un jour - Présumé coupable - Mort par prédiction - Rencontre avec le passé - Duel à l'ancienne - Anatomie d'un assassinat - Triple Tueur - Célèbre à tout prix
Happy Days Saison 1
Échec ou mat - La Première Bagnole - La Première Cuite de Richie - Une visite inattendue - Le Festival rock - Le Club des Démons - Fonzie vient dîner - Nuit au palace - Une rupture difficile - Qui perd gagne - Rendez-vous surprise - Le Tatouage de Richie - Richie et les beatniks - Le Garçon d'honneur - De la bagarre dans l'air - Un homme prudent
Inspecteur Barnaby Saison 11
Les Noces de sang - Fusillé à l'aube - L’assassin est servi - Macabres Découvertes - Une alliance maléfique - Le Crépuscule des héros - Le Mystère du bois des moines
Downton Abbey Saison 1, 2
Question de succession - Le Nouvel Héritier - Le Diplomate turc - Entre ambitions et jalousies - La Rumeur se propage - La Fiancée de Matthew - L'Entraide - La Maison des intrigues - Portés disparus - Nouvelles Vies - Épidémie - L'Esprit de Noël
Affaires sensibles
Mai 68, le coup de théâtre du Général de Gaulle - Autoroutes françaises : la machine à cash - William Randolph Hearst : de Citizen Kane à Donald Trump - Orson Welles - La guerre des mondes - François Fillon et le "Pénélopegate" - Contrat Première Embauche, mieux que rien ou pire que tout ? - 31 août 1997 : mort d'une princesse anglaise
Kaamelott Livre II
Spangenhelm - Les Alchimistes - Le Dialogue de Paix - Le Portrait - Silbury Hill - Le Reclassement - Le Rassemblement du Corbeau - Les Volontaires II - Le Terroriste - La Chambre - Le Message Codé - La Délégation Maure - L’Enlèvement de Guenièvre - Les Classes de Bohort - Le Monde d’Arthur - Les Tuteurs - Les Jumelles du Pêcheur - Sept Cent Quarante-Quatre - L'Absolution - Les Misanthropes - La Cassette - Plus Près de Toi - La Révolte - Sous les Verrous - Séli et les Rongeurs - Un Roi à la Taverne II - L'Ancien Temps - Le Passage Secret - Les Mauvaises Graines - La Garde Royale - L'Ivresse - Mater Dixit - Spiritueux - La Ronde - Merlin l'Archaïque - Les Exploités - L’Escorte II - Le Larcin - La Rencontre - Les Pigeons - O'Brother - La Fête du Printemps - La Voix Céleste - L'Invincible - Amen - Le Cadeau - Le Complot - La Vigilance d’Arthur - Les Chiens de Guerre - Always - Arthur in Love - Excalibur et le Destin - L'Absent - The Game - La Quinte Juste - La Fumée Blanche - Unagi II La Joute Ancillaire - Le Donneur - Le Jeu du Caillou - L'Alliance - Le Secret d'Arthur - Aux Yeux de Tous - Immaculé Karadoc - La Morsure du Dace - Les Neiges Eternelles - Des Hommes d'Honneur - Stargate - Feue la Vache de Roparzh - Les Vœux - Le Pédagogue - Perceval et le Contre-Sirop - L'Oubli - L'Ambition - Le Poème - Corpore Sano - Le Havre de Paix - L'Anniversaire de Guenièvre - La Botte Secrète II - Les Parchemins Magiques - L'Enragé - Trois Cent Soixante Degrés - Pupi - Vox Populi II - Le Rebelle - Les Félicitations - Les Paris - Les Esclaves - Les Drapeaux - Le Guet - Le Sort Perdu - La Restriction - La Corde - Le Tourment II - Le Plat National - Le Temps des Secrets - La Conscience d'Arthur - La Frange Romaine - L'Orateur - Les Comptes
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