🇬🇧Today, I'm introducing Kaede! A sharp-eyed cat with a deformed jaw, which gives her a little tooth. This malformation, which she's had since birth, is a source of ugliness for her. As a result, she hates herself and sees herself as a worthless, ugly creature. Moreover, she is sincere, the kind without tact. She can't hold her tongue and can be very hurtful, which doesn't help her limited social interactions. Nevertheless, she has a dream! She wants to become a poet and write haikus that resonate with everyone
🇨🇵Aujourd'hui, c'est Kaede que je vous présente ! Une chatte Perçante avec la mâchoire déformé, lui faisant apparaitre une petite dent. Cette malformations qu'elle possède depuis la naissance est pour elle une source de laideur. De ce fait, elle se déteste, elle n'est qu'une laideron sans intérêt à ses propres yeux. De plus, elle est sincère, du genre sans tact. Elle ne sait pas tenir sa langue et peut être très facilement blessantes, ce qui n'aide pas sur le peu d'interaction social qu'elle a. Néanmoins, elle a un rêve ! Celui de devenir une poète ! Elle veux écrire des haïkus qui résonnent en chacun.
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Samedi 9 avril 2022
La diatribe amère d'un misérable
Je suis le champion des relations platoniques, je les cumules, je les enchaînes, ça finit par me désespérer.
Je crois que je vais cesser d'entretenir ces relations qui ne mènent à rien.
J'en ai marre, et je me console avec le shopping en ligne.
Je passe des heures à écumer les sites de vente en ligne (amazon, rakuten, fnac...) à la recherche du livre idéal.
Et quand je clique sur « payer » et que l'achat est finalisé, je ressens une espèce de shot de bonheur, seulement, ça ne dure pas bien longtemps.
Toujours est il que j'ai reçu ce joli bouquin sur l'art précolombien et puis j'ai aussi réussi à dénicher un livre sur le Mexique ancien qui m'a coûté moins de 7€, voilà, c'est ça ma vie, en ce moment, les livres.
J'ai une envie folle de me plonger dans les écrits de Hemingway.
Je possède l'intégrale de ses histoires courtes.
Il paraît que c'est ce qu'il a écrit de mieux.
Oh, et puis, tout à,l'heure, j'ai annulé subitement mon voyage à Paris : ça me saoulait de ne pas trouver le bon hôtel et puis j'ai réalisé que ça n'avait pas trop de sens d'aller voir toutes ces filles qui sont toutes déjà en couple.
A quoi bon ?
Je me suis fait rembourser les billets de train.
Cela dit, il faudra bien que je retourne à Paris un de ces jours, mais je ne sais pas quand.
J'ai discuté l'autre soir avec Florian, nous avons parlé de nos misères affectives.
Je ne sais pas si c'est rassurant mon on est beaucoup dans notre cas.
Nous les garçons ordinaires avons la vie dure, quoi que les gens peuvent dire (et ne venez pas me parler du privilège de l'homme blanc hétéro).
Si j'étais une fille, il me suffirait d'aller passer 5 minutes sur tinder et je n'aurai que l'embarras du choix, il me suffirait de choisir un candidat parmi les 50 matchs du jour
et hop, je n'aurai qu'à aller me consoler dans ces bras.
Facile, n'est ce pas ?
Mais comme je suis un mec ni beau ni riche, ce genre d'escapade amoureuse m'est interdite.
La seule façon de passer un bon moment avec une femme, pour moi, ce serait d'aller voir une escort et de payer 150 putains d'euros pour passer une demi heure avec elle.
Vous imaginez ?
Voilà à quoi nous en sommes réduits, nous les pauvres mecs.
Permettez moi d'en tirer du ressentiment et de l'amertume, mesdames...
Quand je pense à ma situation j'ai envie de me pendre, tant elle est pathétique.
Je ne suis pas le seul, je sais.
Le fait est que 100% des filles de s'intéressent qu'à 20% des mecs et ce sont ceux là qui ont le privilège de baiser ou d'être aimés.
Les pauvres mecs de mon genre, on a pas le droit à tout ça.
Si on a de la chance, Elles nous accorde leur amitié, voir une rencontre mais tout restera platonique, évidemment.
Bref, lorsque je vois clair et que je me rend compte de cette réalité, je l'ai mauvaise.
Non, vraiment, je n'en peux plus des filles.
C'est trop injuste.
Même les plus laides d'entre elles ont 10 fois plus de succès amoureux que moi.
Même les idiotes obèses ont la chance de connaître l'amour (il suffit de sortir pour voir les spécimens de laiderons qui promènent leurs mômes en poussette, ces filles là pullulent et elles pondent des gosses à la chaîne, à vrai dire elles ne savent faire que ça).
C'est rageant !
Je suis en train de me creuser la tête pour trouver comment me faire du bien avant de sombrer à nouveau dans la dépression.
Comment sortir la tête hors de l'eau.
Comment retrouver un peu de bonheur.
Rien à faire, il faut raquer : je vais m'acheter du bonheur sous la forme d'objets.
Je vais acheter des livres.
Y'a que ça à faire.
Mis bout à bout, ça fait beaucoup de pognon dépensé, si je fais le bilan à la fin de l'année.
M'enfin, c'est le seul petit plaisir de ma vie alors, et puis c'est toujours mieux que d'acheter des clopes ou de la drogue, je présume.
Mon frère est revenu de Cuba.
Je suis venu le voir l'autre jour.
Nous avons parlés un bon moment, il n'y avait pas de clients au magasin.
Je lui ai demandé si on pouvait se faire une soirée prochainement mais il n'était pas très chaud pour parce qu'il vient tout juste de rentrer (je ne vois pas le rapport mais c'est là son argument).
Tant pis.
L'autre fois j'ai posté un vieux dessin sur Twitter, un portrait de Neil Young intitulé « Old Man ».
J'ai été surpris des réactions, on m'a fait des compliments, alors que je considérais ce dessin comme moyen voir un peu médiocre.
Mais ça m'a réchauffé le cœur de voir que ce dessin a plu.
Je me suis dit que je devrais me remettre à dessiner.
A chaque fois que je me remet au dessin, ça finit par me rendre frustré et triste tant mon niveau ne me satisfait pas.
Ca vaut peut être la peine d'essayer à nouveau ?
On verra bien.
Je ne sais plus quoi écrire, au moment ou je tape ces lignes.
Je vais être obligé de conclure.
Encore un récit que je vais regretter, une énième complainte inutile qui achèvera de me faire passer pour un imbécile aigri.
Peu importe, écrire me fait passer un bon moment.
A bientôt, les amis, et désolé pour les fautes d'orthographe !
Bande son : le son de la télé (ce soir j'écris sur le canapé, c'est la première fois que ça m'arrive)
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Et si on parlait … de l’impératrice ? 💎
L’impératrice est un blog pour décomplexer, pour prendre conscience de nos complexes et de nos blocages, de nous rappeler les anciennes valeurs de la mode qu’on semble perdre au et à mesure des années.
La mode aujourd’hui c’est … complexant. Si tu n’as pas le bon nom, le bon argent et le bon charisme tu ne peux pas exister, aujourd’hui grâce à internet et you tube on peut faire à sa manière et s’ouvrir ses propres portes vers la mode et son univers aussi hermétique qu’une huître. J’ai commencé à dessiné quand j’avais 8 ans, j’ai appris toute seule en dessinant des tenues, avec une immense passion pour les robes de soirée et les modes vintage, j’ai grandi avec rien et des parents qui ne m’achetaient pas ce dont j’avais besoin, je n’avais jamais de tenue qui me parlait, je devais récupérer des donations et des choses qui ne m’allaient pas, trop grandes, pas assez « cheap » rien n’allait et je n’avais rien pour personnaliser ce que j’avais. J’avais beau essayé les petites connes de mon lycée me rabaissaient toujours, que des moqueries et des humiliations, je suis défigurée à vrai dire, alors sans le visage et sans les bonnes tenues … je vous laisse imaginer les conséquences dramatiques sur le plan psychologique. Ce qui était une passion est devenue une malédiction, et je passais des moments à rester enfermer dans ma chambre, je crois même que c’était constamment, à dessiner encore et encore, tout en entendant par ma mère que je n’arriverais jamais à rien dans ce domaine « les gens aiment les mannequins belles et charismatiques, pas les petits laiderons », ça je l’ai entendu une quantité astronomique de foi, alors j’ai laissé des personnes qui pensaient agir pour mon bien éteindre ma passion et mes rêves. J’avais même été accepté à Esmod pour mes créations, je n’avais pas d’argent et je n’étais pas boursière, alors … j’ai fini par écouter les vilaines pies.
Néanmoins j’ai continué de lire des revues de mode, des magazines et quand j’avais assez foi en moi, j’avais ouvert mon premier blog et mon premier compte Twitter, et j’adorais ça, j’y parlais pendant des heures et des heures sur ma passion, mes critiques et j’en passe, mais personne ne m’a aidé et soutenue, et j’ai encore écouté les vilaines pies. J’ai ouvert mon entreprise de conseil en image en 2011 et je me suis battue avec jusqu’en 2013, une autre conseillère en image est arrivée, plus belle, plus élancée et plus charismatique que moi, et elle a tout raflé, et au lieu de persévérer et de me battre, j’ai encore écouter les vilaines pies. Je suis partie dans littéralement autre chose dans la spiritualité et l’ésotérisme, et j’ai arrêté de dessiner, puis repris, puis arrêter, puis repris. Encore et encore. Mes vieux démons ont toujours fait pression sur ma passion, en me rappelant que dans la vie « si on a rien, on est rien ». Avec le temps, les dépressions et les reculs, tout ça ce sont des conneries illusoires mises en tête par des personnes jalouses et malheureuses, qui ne se sont jamais battus et qui n’ont jamais persévérer. L’impératrice est là pour nous rappeler comme à l’image de l’une de mes héroïnes, l’impératrice Elisabeth de Bavière que se battre est toujours la meilleure manière de s’imposer, et de persévérer. Nous sommes tous des petites impératrices et ces petits empereurs, et il y en a marre de complexer !
La mode n’est pas en réalité une question d’argent et de défilés, derrière cela se cache un message de style, de personnalité et de passion. Même sans rien, on est quelque chose. On l’a toujours été et on le sera toujours, c’est à nous de découvrir ces talents, nos charismes et nos messages. J’ai longtemps complexé sur mon physique, et Karl Lagerfeld n’a pas aidé non plus lorsqu’il a déclaré « que les grosses n’avaient pas leur place dans la mode » pas de chichi, pas de stress, soyez qui vous êtes et apprenez à vous aimez tels que vous êtes, le body shaming et la honte de soi ne devraient plus exister à l’heure actuelle
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Wow, je suis choquée par ma laideur dans la photo que j'ai pris pour mon cv. J'avais jamais réalisé à quel point c'était violent.
Mon sourire creuse mes joues, je ressemble au joker. J'ai un visage si gros, si disgracieux. Asymétrique. Des petites lèvres, un gros nez. Je pensais que mon nez était le pire mais non.
Je ne pleure même pas en réalisant ça, je me demande juste comment j'ai pu passer tout ce temps sans réaliser que j'étais si moche. Pas juste moche. Si moche.
Je réalise que la tête que mon camarade avait tiré en me voyant sans masque n'était pas juste bizarre : elle traduisait certainement l'étonnement de voir un laideron pareil alors que sous le masque on ne dirait pas que je ressemble à ça.
Mes défauts ne sont pas quelque chose que je peux effacer avec du sport ou du maquillage. En fait, je ne pleure pas parce que je comprends ; je suis résignée à l'idée que seule la chirurgie pourra me donner un aspect un peu... Normal.
Je pensais que le premier médicament résoudrait tout mes problèmes, mais non.
Je ne veux pas particulièrement faire de la chirurgie. Mais je sais que la vie est plus douce pour ceux qui rentrent dans les normes de beautés. Alors je m'y résoudrais.
Parce que je suis sortie des méandres de la mort et que je ne veux pas y sombrer de nouveau. Je ferai ce qui sera nécessaire pour ne pas avoir à souffrir de la méchanceté des autres.
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