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#levier opérationnel
jesanson · 1 year
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Le levier opérationnel, un indicateur utilisé en finance d'entreprise
Le levier opérationnel (LO) est un concept fondamental en contrôle de gestion et en finance. Ce concept analyse la sensibilité du résultat par rapport au chiffre d’affaires. Par là, il permet de mieux maîtriser sa gestion financière et d’améliorer sa rentabilité à long terme. Nota : Le LO se calcule de deux manières différentes (cf. ci-dessous). Lorsque les coûts fixes varient en fonction du…
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formations-pro · 5 months
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La productivité et Excel
La formation en Excel peut être un puissant levier de productivité pour les entreprises de toutes tailles. Voici comment une formation bien structurée peut directement impacter la productivité :
Automatisation des tâches
Excel offre des fonctionnalités avancées comme les macros et le VBA (Visual Basic for Applications) qui permettent d'automatiser des tâches répétitives. Par exemple, les employés peuvent apprendre à créer des scripts pour automatiser la saisie de données, le traitement des commandes, ou même pour générer des rapports périodiques. Cela libère du temps pour des activités à plus forte valeur ajoutée.
Gestion améliorée des données
Excel est essentiel pour la gestion de données. Une formation peut aider les employés à mieux organiser, filtrer, et analyser les données, ce qui est crucial pour prendre des décisions éclairées. Par exemple, l'utilisation efficace des tableaux croisés dynamiques permet aux utilisateurs de synthétiser de grandes quantités de données et de dégager des tendances importantes.
Réduction des erreurs
Une utilisation incorrecte d'Excel peut conduire à des erreurs significatives dans la manipulation des données, affectant les décisions d'affaires. Une formation appropriée réduit le risque d'erreurs en enseignant les meilleures pratiques et en sensibilisant les utilisateurs aux pièges courants d'Excel.
Collaboration accrue
Les fonctionnalités de collaboration d'Excel, comme la co-édition de documents dans Excel Online, permettent aux équipes de travailler ensemble en temps réel, améliorant ainsi la communication et l'efficacité. Une formation peut aider les employés à tirer pleinement parti de ces outils pour une meilleure collaboration interdépartementale.
Rapports et visualisations
Excel est un outil puissant pour créer des visualisations de données et des rapports interactifs. Les employés formés peuvent utiliser des graphiques, des conditionnels de mise en forme, et d'autres outils de visualisation pour présenter les données de manière plus engageante et informative, facilitant ainsi la compréhension rapide des informations clés par toutes les parties prenantes.
Adaptabilité et évolutivité
À mesure que l'entreprise évolue, ses besoins en matière de traitement de données changent également. Les employés formés en Excel sont mieux équipés pour adapter les outils existants ou pour développer de nouvelles solutions qui répondent à ces besoins en évolution, garantissant ainsi que l'entreprise reste agile et réactive. Conclusion
Investir dans une formation Excel pour les employés est donc un investissement direct dans la productivité de l'entreprise. Non seulement cela permet d'optimiser le temps et les ressources, mais cela renforce également les compétences essentielles qui soutiennent l'innovation et l'efficacité opérationnelle à long terme.
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L'Usine du Futur Propulsée par l'Industrie 4.0 : Contrôle-Commande Intelligent et Durabilité Accrue
Pascal Bourreau CEO, Expected Digital Industry:
Monsieur VILLAREAL, En ce démarrage d’année 2024, pouvez-vous nous résumer en quelques propos la manière dont vous percevez la dynamique du logiciel industriel dans le paysage de la production industrielle en France ? »
Dans l'ère de l'Industrie 4.0, l'évolution des usines vers des Gigafactories représente une avancée significative, propulsant la fabrication vers de nouveaux sommets d'efficacité et de durabilité. Au cœur de cette transformation réside un Framework logiciel interopérable, capable de révolutionner le contrôle-commande en temps réel.
Cette usine du futur embrasse la transition énergétique, mettant en œuvre des technologies de pointe pour optimiser le pilotage en temps réel et exploiter les données de production de manière intelligente. L'analyse des écarts devient un levier puissant, permettant une correction proactive pour maintenir des normes de qualité élevées.
Le pilotage par les optimaux devient la clé de voûte de cette nouvelle ère de production. En décryptant les données accumulées, le système trouve la meilleure équation pour exécuter un plan de production optimal, basé sur les enseignements du passé. Des ajustements continus anticipent les futurs défis, exploitant les gisements de performance et intégrant de nouvelles contraintes avec une agilité remarquable.
L'automatisation ne se contente pas de suivre les ordres préétablis, elle devient un processus itératif et dynamique. Les paramètres de production s'ajustent automatiquement, créant une symbiose entre l'efficacité opérationnelle et la flexibilité nécessaire pour rester compétitif dans un marché en constante évolution.
La maîtrise des dépenses énergétiques est une priorité, et l'usine 4.0 excelle dans la production tout en minimisant son impact environnemental. Chaque décision est guidée par une conscience aiguë de l'efficacité énergétique, permettant une production durable et économiquement viable.
En conclusion, l’usine 4.0 n'est pas simplement une installation de production industrielle, mais un écosystème intelligent, agile, apprenant de son passé, adaptant son présent, et anticipant L'Usine du Futur Propulsée par l'Industrie 4.0 : Contrôle-Commande Intelligent et Durabilité Accrue son avenir. Elle définit les normes de l'industrie, produisant avec une efficacité sans précédent, maîtrisant les coûts, et offrant des produits de qualité supérieure, tout en établissant une référence pour une fabrication responsable et durable.
L'avènement de l'industrie 4.0 représente un tournant majeur où la frontière entre les décisions humaines et l'intelligence artificielle s'amenuise. L'enjeu crucial de la production de demain réside dans la capacité à transcender les aspects purement algorithmiques pour incorporer les dimensions créatives et éthiques qui caractérisent l’activité humaine. On ne produit pas, pour produire, les mobiles et les intentions sont des paramètres humains. Servons-nous de la puissance de calcul et de la suggestion intuitive de l’IA pour décider du meilleur chemin, l’éthique reste notre sacerdoce.
Les prises de décision humaines se distinguent souvent par leur capacité à naviguer dans des terrains complexes, à résoudre des problèmes de manière créative, et à jongler avec des considérations éthiques parfois paradoxales. L'IA, bien que puissante pour traiter d'énormes quantités de données, peut parfois manquer cette nuance et souffrir cette relativité contextuelle.
Ainsi, le défi consiste à amplifier la collaboration entre l'homme et la machine au sein de l
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sosehpad · 7 months
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Guide pour Organiser des Groupes d'Analyse des Pratiques Professionnelles dans un EHPAD
Découvrez comment les GAPP boostent les EHPAD 🚀! Transformez défis en opportunités 💡#QualitéDeSoins #InnovationEHPAD 🧓👩‍⚕️
Dans le secteur des soins aux personnes âgées, les Groupes d’Analyse des Pratiques Professionnelles (GAPP) représentent un levier essentiel pour l’amélioration continue. Au cœur de l’efficacité opérationnelle des EHPAD, ils favorisent une réflexion constructive sur les pratiques quotidiennes. Organiser des GAPP nécessite une méthodologie claire, allant de la définition des objectifs à la mise en…
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photos-car · 9 months
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latribune · 11 months
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mirrorontheworld · 4 years
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Pour atteindre la neutralité carbone dans 30 ans et être 2°C compatible, il faudra utiliser les trois leviers possibles : l’efficacité énergétique, le développement massif de carburants alternatifs … et la sobriété. Tous sont nécessaires, et même en développant de manière très agressive les leviers technologiques et opérationnels (nouveaux avions, optimisation au sol et en vol, utilisation de nouveaux vecteurs énergétiques, etc.), la modération du trafic représente en ordre de grandeur près de 50% de l’effort à fournir, selon des travaux de Carbone 4 réalisés pour des acteurs de l’industrie aéronautique.
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purezensu · 4 years
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4 bonnes raisons de réaliser un audit marketing
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La notion d’audit est souvent familière à ceux qui travaillent au sein de grandes entreprises, mais elle l’est moins pour les dirigeants d’organisations plus modestes. L’objectif de l’audit est d’analyser dans le détail l’articulation de votre fonction marketing. Il repose principalement sur le recueil et l'analyse de données externes et environnementales, et/ou d’éléments structurels et organisationnels relatifs au commercial et au marketing de votre entreprise. Autrement dit, une mine d’informations décisives pour vous…
Porter un regard critique à un niveau systémique
Cet exercice transverse et pluridisciplinaire vous permettra de bénéficier d’un regard objectif sur vos performances. L’audit recouvre toutes les fonctions inhérentes au marketing, mais aussi à la force de vente, à la relation clients, la stratégie, l’administration des ventes, le management et les ressources humaines en interface clients. Il vous encourage à prendre de la hauteur sur votre activité et vous offre une vision plus fine des enjeux qui se cachent derrière chacun de vos choix stratégiques.  
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Evaluer ses performances
Le rapport d’audit marketing s’accompagne d’une étude de marché indispensable pour vous renseigner sur l’état de l’offre et de la demande du marché dans lequel évolue votre activité. Sérieusement conduite, cette étude de marché annexée livrera déjà des réponses sur le positionnement de votre entreprise grâce à un mix-marketing, un benchmark et une matrice ‘SWOT’. La matrice SWOT remontera les forces et faiblesses de l’entreprise, les menaces qui pèsent sur votre activité ainsi que les opportunités qui se présentent à elle. L’exploitation de ces données, combinée avec celles recueillies lors de l’audit proprement dit auprès des acteurs principaux de l’entreprise, finira de vous renseigner sur vos priorités d’action.
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Mieux appréhender l’influence de l’environnement sur l’état et l’avenir de votre activité
La méthodologie de conduite de l’audit marketing fait la plupart du temps appel à une grille d’analyse de la fonction marketing. Cette grille d’analyse permet ainsi de répondre à différentes questions relatives à l’environnement de votre entreprise, à son marché, à ses clients, à sa concurrence, à ses produits et services, etc. A l’occasion d’un audit marketing, on vérifiera par exemple que la direction dispose d’un système d’information permettant de suivre l’évolution de son environnement, ou encore qu’elle connaît le parcours clients et les facteurs impactant leur décision d’achat.   
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Identifier des axes d’évolution et des leviers de performance
Les conclusions de l’audit marketing s’accompagnent de recommandations stratégiques en tant qu'axes d'évolution et leviers de performance. Les préconisations de l’audit marketing vous permettront ainsi d’orienter (ou de ré-orienter) votre politique marketing. On finira par traduire ses recommandations stratégiques en objectifs opérationnels ‘actionnables’ : par exemple, refondre l’image de marque de votre société pour en améliorer sa visibilité en élaborant une charte éditoriale complète. La visibilité pourra être concrètement améliorée par la création de campagnes de notoriété aux objectifs définis et mesurables. Il ne reste plus qu'à imaginer le plan d'action qui va avec...
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Vous doutez encore de l’utilité d’un audit marketing pour votre conquête de nouvelles parts de marché ? Nous y reviendrons sans aucun doute à l’occasion de nos prochains billets, en attendant pour en savoir plus nous vous invitons à suivre ce lien : https://www.e-marketing.fr/Thematique/social-media-1096/Breves/Comment-mener-votre-audit-marque-etapes-316765.htm
Ce billet vous a inspiré ? Il en inspirera peut-être d’autres… Retrouvez-nous sur vos réseaux sociaux préférés, partagez et réalisons ensemble !
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Crédits photos : athree23 | tumisu | daniel-nebreda | free-photos - pixabay.com
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fallenrazziel · 5 years
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Les Chroniques de Livaï #448 ~ TIMIDES RETROUVAILLES (février 846) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Je peux les laisser seuls un moment, je suis sûr qu'à mon retour le boulot sera fait. Quand ils se seront dérouillés, je les mettrais aux exercices de vol. Claus m'a eu l'air particulièrement balourd, même s'il a fait en sorte de rester le leader, comme il aime le faire. Je vais devoir surveiller ce qu'il bouffe à l'avenir...
En attendant, j'essaie de me trouver une occupation. Apparemment, la prochaine sortie sera d'un genre original et nécessitera peu de ressources. La bigleuse semble en savoir plus que moi, je vais aller la trouver et lui tirer les vers du nez. Et si elle veut pas, je lui filerai un bon coup de pied aux fesses.
Pourquoi Erwin ne m'a pas donné plus de détails ? Finalement, ils ont dû en parler pendant l'hiver et c'était bien top secret, mon flair ne m'a pas trompé. Je vais chercher ma jument à l'écurie et me dirige vers le nord, à l'extérieur de la ville, là où je sais que Hanji mène des petites expériences pour le compte du bataillon. Je l'ai vue déserter juste après qu'Erwin nous a congédiés et je suis sûr qu'elle doit être là-bas. Erwin a bien parlé de deux "prototypes" ? De quoi il s'agit ?
Je galope un peu vite et un garde me fait des signes avec les bras pour m'ordonner de ralentir. T'inquiète, je vais pas renverser quelqu'un, la rue est déserte, et je suis pressé ! Il s'écarte de mon passage et je distingue la grande arche devant moi. Je la franchis et me retrouve dans Trost Nord. Je bifurque à droite et après des détours entre les maisons, je me retrouve en rase campagne. Le petit bouquet d'arbres là-bas... Je crois que c'est ça.
J'oriente la tête de ma jument dans cette direction et pique des deux jusqu'aux feuillages. J'entends des bruits de câbles... Elle mène un entraînement spécial pour son escouade, peut-être... Je repère les chevaux du bataillon en train de brouter et laisse ma monture les rejoindre. Je m'approche alors doucement pour savoir ce qui se trame à quelques mètres, et passe ma tête au-dessus des buissons...
J'aperçois la bigleuse en train de donner des ordres, près d'un engin assez gros fait de bois brillant. A côté d'elle, Moblit actionne un genre de levier qui tourne, en suant mais en se taisant comme d'habitude. Je vois pas très bien de là où je suis ; alors je décide de me signaler à tout ce beau monde. Après tout, n'importe qui pouvait passer, non ?
Je m'approche, les mains dans les poches, et fais comme si je passais là par hasard. Personne ne me remarque. Ca m'amuse. Alors je regarde leurs manoeuvres sans dire un mot, essayant de comprendre ce qui se passe. Hanji indique de viser un arbre à environ quinze mètres et la machine en bois tourne lentement sur un socle à roulement, actionné par ses subordonnés. Elle lève le bras, puis ordonne le tir. Un grappin très fin est projeté de l'orifice de la machine et va se planter dans la cible désignée. Pas mal...
Hanji teste la résistance du câble en ordonnant qu'on le rembobine. Le filin se tend, tient le coup, tandis que Moblit s'use les muscles sur le levier... Ca a l'air solide. Je commence à comprendre où elle veut en venir et ça me plaît pas trop. Enfin je suppose qu'Erwin a donné son accord pour ça.
Je lui tape sur l'épaule et elle sursaute. Elle se met à gueuler que je devrais pas être là, que c'est son coin à elle, que même Erwin le connaît pas. Calme-toi, si tu veux pas te faire repérer, faut commencer par te trouver un endroit moins exposé ; n'importe qui peut te voir ici. Et puis j'ai le droit d'être au courant, de savoir où file l'argent qu'Erwin et moi on a amassé, non ? Qu'est-ce que vous trafiquez ?
Moblit m'explique alors que c'est leur première captureuse de titans opérationnelle, que deux exemplaires leur ont été livrés ici même la semaine dernière. Je m'en doutais. Ca marche comment ? Ca ressemble à notre équipement... Hanji continue en détaillant le processus : un câble très résistant relié à un grappin très fin, le tout enroulé sur une bobine géante qu'on peut remonter à la main. J'ai compris le principe. Ca nous servira comment dehors ?
Elle s'écrie qu'avec ça nous pourrons capturer des titans, ou les ficeler, en tout cas les agripper et les emmener où nous voudrons. La machine peut être placée dans un chariot et les prises traînées avec facilité. Les titans sont pas trop lourds pour ça ? Elle m'assure qu'ils ne le sont pas autant que le laisse penser leur masse, et à mieux y réfléchir, il me semble que c'est vrai, je l'ai constaté.
Donc Erwin est d'accord pour utiliser ces jouets afin de mener ses recherches ? Je suppose qu'il a ses raisons, mais va pas t'aviser à faire n'importe quoi. Je suis sensé surveiller vos arrières mais si tu commences à déconner, ça risque de capoter. T'es sûr que ces engins sont fiables ? Elle répond que la guilde Maja se porte garante de la qualité. Ok, t'as juste bu un verre ou deux avec ta copine et vous vous êtes serré la main, à tous les coups... Moblit danse d'un pied sur l'autre sans me regarder, comme s'il approuvait silencieusement ce que je viens de dire.
Très bien. Tu seras donc en première ligne cette fois, quat'z'yeux. Si ça foire, faudra le prendre sur toi. Nan, parce qu'Erwin peut pas toujours se charger des bêtises que tu fais. Tant qu'il a confiance en ce plan, je suis. Mais t'as intérêt à être sûre de toi.
Tandis que je prononce ces mots, le câble est de nouveau propulsé vers l'avant et va se planter dans un arbre à trente mètres. Tu m'as écouté ou pas ? Ttcchh...
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amagsecours · 4 years
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« Malgré un parcours difficile, nous restons toujours optimistes. La vie nous a appris qu’avec le temps, le succès l’emporta...
« Malgré un parcours difficile, nous restons toujours optimistes.  La vie nous a appris qu’avec le temps, le succès l’emportait toujours. C’est long, c’est lent, mais en définitive, nous avons confiance et nous réussirons avec la grâce de Dieu et la protection de notre Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste ».L’Association Maghreb Secours non subventionnée N°1326 du 16/7/2015 d’intérêt général à but non lucratif, est fière de ses 85 actions sociales réalisées en quelques mois sur le Maroc (voir rapport sur www.maghreb-secours.com et réseaux sociaux). Déjà se profile à l’horizon notre plan d’actions courant sur 2018/2019, composé de 192 actions sociales, sans compter les opérations médicales. C’est un plan optimiste certes mais qui ne sera opérationnel qu’avec votre concours. La philanthropie est un levier incroyable pour changer les choses !Nous vous invitons à faire un don sur le site doublement sécurisé .Pour notre bon fonctionnement recevoir un virement mensuel reste notre sollicitation première, car il permet d’anticiper et de structurer plus efficacement notre comptabilité voir notre bilan 2017 sur www.maghreb-secours.com .En vous remerciant de tout cœur, et en vous souhaitant bonheur et succès pour vous et vos proches, clamez avec engouement :Tous ensemble pour un Maroc, un Maghreb et une Afrique plus solidaires !
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asterisk-news-blog · 5 years
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Formation en gestion des ressources humaines avec le Docteur DEO CHIMERHE ( DOCTORANT EN SPA) Formation en gestion des ressources humaines Du 23-28 Décembre 2019 Formation ouverte à tout le monde Contacts : +243997702897/+243853343795 Vous apprendrez sur : La Gestion de carrières, le recrutement, la communication interne, la formation, les relations sociales car les professionnels des ressources humaines interviennent au cœur de l’entreprise. Ce qui en fait des postes incontournables et passionnants. Vous désirez maîtriser ou perfectionner vos connaissances en : – Activités de la GRH ? – Processus de la GRH ? – Outils de la GRH ? L’enjeu de cette formation en gestion des ressources humaines consiste à traduire ces tendances en acquisition de compétences opérationnelles. vous disposerez des méthodes et des outils pour agir en temps réel, sur ces leviers stratégiques de premier ordre. Lieu de formation : Ville de Goma/RDC Référence : ISMGL/Néo-apostolique, Mabanga https://www.instagram.com/p/B5udNZHlKRB/?igshid=1k2pxk2nojbh3
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adieblogworld · 5 years
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Avec Smart Sénégal, on va accélérer les procédures de l’Administration
C’est au siège de l’ADIE, un bâtiment isolé des centres administratifs, niché à l’entrée de Technopole que l’on a rencontré Cheikh Bakhoum, Directeur général de l’Agence De l’Informatique de l’Etat. Costume bien taillé, cravate ajustée, l’homme est courtois. On ne sent pas la barrière qui existe, parfois, entre un directeur et ses collaborateurs. Il serre la main à tout le monde et prend, par moments, le temps d’échanger avec ses agents. Il nous invite dans une salle de réunion vitrée, d’où l’on peut avoir une vue panoramique du « poumon vert » de Dakar ; les Niayes. Avec Cheikh Bakhoum, nous avons abordé plusieurs questions relatives au programme « Smart Sénégal », ses composantes, ses objectifs de rendre l’Administration sénégalaise plus efficace et de booster l’économie numérique. Nous avons également discuté de la vision de l’ADIE, de ses missions et de la place du Sénégal dans l’économie numérique, en Afrique de l’Ouest et sur le continent.
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Pouvez-vous, Monsieur le Directeur Général, nous présenter le programme « Smart Sénégal » ? Le programme Smart Sénégal entre dans le cadre du projet « Smart Africa » qui est une initiative lancée, il y a quelques années, avec quelques pays comme le Rwanda, le Sénégal et bien d’autres pays africains. Dans cette initiative, « Smart Africa », l’objectif est que le continent puisse faire du numérique le moteur de la transformation de notre économie à travers le développement des infrastructures « broadband »*. Le Sénégal, avec le Président Macky SALL, a en charge ce volet qui a également l’ambition de développer un certain nombre d’applications qui pourraient être utilisées par l’ensemble des pays de notre continent, parties prenantes de ce projet. C’est le Président Macky Sall qui est allé négocier le programme en Chine. C’est lui qui a lancé le programme « Smart Sénégal » et qui l’a confié à l’ADIE. C’est sous son impulsion que tout cela est en train d’être implémenté. Smart Senegal qui a pour objectif de mettre le digital au cœur de la vie de nos concitoyens, est composé de plusieurs volets (Smart Education, Safe City, Smart Territoires, Ville sans fil, Câbles-sous-marins Ndlr).
À combien s’élève le financement de Smart Sénégal et de quel ordre est-il ?
Le financement global de Smart Sénégal est de 150 millions de dollars (soit environ 83 milliards de FCFA) avec les cinq composantes. C’est une convention de financement avec la République Populaire de Chine. Lors de la dernière visite du Président chinois, Xi Jinping, à Dakar, la Chine a accordé un prêt concessionnel de 150 millions de dollars à l’Etat du Sénégal pour financer cette première phase du programme « Smart Sénégal ».
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Donc, il devrait y avoir une autre phase pour ce programme ?
On espère qu’il y aura d’autres phases avec d’autres partenaires pour permettre à « Smart Sénégal » d’être une réalité dans l’ensemble des localités du Sénégal.
Et quels sont délais de réalisation des projets de Smart Sénégal ?
Le programme va durer deux ans. Il a démarré en Janvier 2019 et devrait se terminer en Janvier 2021.
Est ce qu’il y a des volets de Smart Sénégal pour lesquels des résultats peuvent déjà être constatés ?
Oui. Je pense que sur le volet Éducation le travail est en train de se faire dans l’ensemble des universités. Des salles sont en train d’être équipées. La plupart des équipements télécoms ont été déjà déployés dans les universités. Également, sur le volet Wi-Fi lors du dernier Afrobasket, on a vu que le stade était totalement couvert en internet. Nous sommes aussi en train de raccorder l’Aéroport International Blaise Diagne et le campus social de l’UCAD. Ces sites font partie des 84 points au Sénégal qui devraient être couverts par le Wi-Fi public. Au-delà de cet aspect, sur la partie « Smart Territoires », avec les « Maisons du Citoyen », les travaux sont en cours à Thiès, Kaolack, Fatick, Louga et plusieurs autres capitales départementales qui devraient abriter ces édifices. Je pense que dans les deux ans, tous les projets vont être bouclés.
Quelle est la place de ce programme dans le « Plan Sénégal Émergent » ?
Dans le Plan Sénégal Emergent, le numérique est un levier qui devrait aider tous les secteurs à améliorer leur productivité. Dans cette perspective, dans la phase II du Plan Sénégal Emergent, Smart Sénégal est appelé à résoudre un certain nombre de problématiques notamment sur la sécurité publique mais également sur le volet Education, et l’amélioration générale du service public à travers les « Maisons du Citoyen » qui vont être construites dans les 45 départements du Sénégal. C’est donc, clairement, un programme à part entière du plan de développement du gouvernement du Sénégal qui sera suivi par le Bureau Opérationnel de Suivi [BOS] du Plan Sénégal Emergent.
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Il y a une stratégie nationale sur le numérique qui a été lancée en 2016, “Sénégal Numérique 2025”. Est-ce que Smart Sénégal a un lien particulier avec elle ?
Effectivement, la stratégie nationale 2025 a été adoptée par le gouvernement du Sénégal et est, aujourd’hui, gérée par notre tutelle, le ministère de l’Economie Numérique et des Télécommunications. La stratégie nationale 2025 a une composante importante de transformation de l’Administration en matière de numérique. Il y a plusieurs projets qui sont prévus dans le cadre de cette stratégie et aujourd’hui les Centres de Services Partagés (CSP) prévus dans cette stratégie se retrouvent dans ce qu’on va faire au niveau des Maisons du Citoyen. La quasi-totalité des composantes de cette stratégie de « transformation digitale » de l’Administration est prise en charge par « Smart Sénégal ».
Dans la Stratégie « Sénégal Numérique 2025 », le Sénégal veut atteindre une contribution de 10% du numérique dans son PIB. Que peut apporter le programme « Smart Sénégal » à l’atteinte de cet objectif ?
En tout cas, avec Smart Sénégal on va simplifier les procédures au niveau du service public, parce que c’est un des challenges ; avec l’accessibilité, que devra relever notre Administration. Nous devons permettre aux citoyens, aux investisseurs d’avoir accès, en un temps record et en tous lieux, aux services publics avec des plateformes accessibles partout sur le territoire national. Je pense que cela va renforcer la place de l’Administration avec des « Centres de Services Partagés » permettant à tous les secteurs de notre vie économique et sociale de bénéficier du numérique. Á travers Smart Sénégal, nous allons créer de nouveaux emplois. Parce que dans chacune des « Maisons du Citoyen », des opérateurs seront formés au digital, à l’utilisation des applications digitales pour offrir aux citoyens sénégalais le meilleur service public possible. Je pense qu’au bout du processus d’implémentation, Smart Sénégal va largement contribuer à ce que le numérique puisse, à l’horizon 2025, peser 10% du PIB.
Les câbles sous-marins sont une composante importante de Smart Sénégal. Comment leur déploiement va-t-elle améliorer la connectivité au Sénégal ?
Nous envisageons d’avoir au minimum de 100 gigas en termes de bande passante internationale avec une possibilité de montée en puissance jusqu’à 200 gigas supplémentaires.
Les câbles sous-marins font l’objet ailleurs, par exemple en France, d’un débat sérieux sur la souveraineté. Un pays comme le Sénégal qui n’a, peut-être, pas les moyens financiers d’avoir ses propres câbles, expose ses données aux fournisseurs. Est-ce le prix à payer ?
De toutes les façons, la plupart des câbles qui traversent les océans, ou les continents, sont des propriétés d’entreprises. Ce ne sont pas les Etats qui, en général, ont investi dans la mise en place des câbles. Les Etats peuvent s’allier à des opérateurs au niveau continental ou international. Par exemple « Main One » est la propriété d’une entreprise nigériane, la même chose pour « Glow One ». S’agissant de la problématique de la souveraineté, je pense qu’elle trouve toute sa pertinence au niveau local. La fibre au niveau local doit être détenue par l’Etat du Sénégal. C’est le cas avec l’essentiel du réseau installé par l’ADIE. Au niveau international nous devons, forcément, nouer des partenariats avec des opérateurs en matière de fibre optique.
Cela pose aussi le problème des données avec les « Datacenters » qui seront installés au Sénégal. Qu’est ce qui est prévu sur le plan de la protection de ces données-là ?
Nous avons, aujourd’hui, deux Datacenters qui fonctionnent et qui hébergent l’essentiel des données de l’Administration du Sénégal. Nous sommes en train de construire deux autres « Datacenters » de type tiers 3 à Diamniadio. Cela va permettre d’héberger la quasi-totalité des données de l’Administration et même au-delà. D’autres Datacenters devront être construites parce que, comme vous l’avez rappelé, la problématique de la souveraineté et de la confidentialité des données se pose. La législation de certains pays doit nous pousser à cela parce que clairement les données que nous gérons doivent être accessibles à tout moment, nous devons également nous assurer de leur protection dans la mesure où cela ne va pas en contradiction avec les lois des pays qui hébergeraient ces données.
On parle, de plus en plus, de données ouvertes ou « Open Data » en anglais. Avec les datacenters qui vont être érigés, on aura des données ouvertes ou confidentielles ?
Au niveau de l’Etat, nous sommes en phase avec l’Open Data. Il y a par ailleurs, au niveau des données, des classifications à faire ; y a des données qui peuvent être publiques et accessibles à tous. Il y en a d’autres qui doivent être conservées par l’Etat parce que considérées comme confidentielles, secrètes. Sur la base de cette classification, nous devons rendre nos données accessibles à tous pour permettre au secteur privé, aux sénégalais et tous ceux qui s’intéressent à ces données de pouvoir y accéder. Il faut aussi développer des applications qui vont être utilisées par l’ensemble des secteurs et faire que le digital puisse créer des emplois et développer des activités qui vont être utiles aux sénégalais. Le Sénégal doit apprendre à ouvrir ses données en permettant aux startups et aux entreprises travaillant dans le domaine de développer des activités porteuses de valeur ajoutée pour le pays et nos concitoyens.
Pensez-vous que le seul fait que le Datacenter soit physiquement sur le territoire sénégalais soit le gage de sécurité des données qui y seront stockées ?
En général les gens connaissent les lieux physiques où les Datacenters se trouvent. Ce n’est pas parce que l’emplacement d’un datacenter est connu qu’il est possible d’y accéder et de « cracker » les données qui y sont hébergées…
Le fait que les datacenters soient sur le territoire national est donc un gage de sécurité…
Oui (sans hésiter). D’abord si les datacenters sont au niveau national, on pourra les sécuriser physiquement. S’il y a un problème, on peut intervenir. Mais si vos données sont hébergées ailleurs vous n’avez aucune maitrise quand vous êtes attaqués ou même quand vous avez des problèmes entre Etats. Vous pouvez avoir des difficultés à avoir accès à vos propres données. Je pense que notre souveraineté doit être préservée. L’Etat du Sénégal a pris l’option de construire ces Datacenters. Nous encourageons aussi le secteur privé à en développer pour élargir l’offre et faire du Sénégal un « hub » en matière d’hébergement des données. Je pense que c’est un aspect stratégique de la gestion des données. Le Sénégal est, géographiquement, bien placé pour constituer ce hub au niveau de la sous-région, voire du continent.
Vous avez parlé tout à l’heure de Maisons du Citoyen avec « Smart Territoires ». Ce sont des maisons faites pour que les citoyens viennent y solliciter des services administratifs. Pourtant, avec le numérique aujourd’hui on ne devrait normalement pas avoir besoin de se déplacer pour accéder aux services publics. En deux clics sur Internet on devrait pouvoir les obtenir…
Je pense qu’une personne qui s’y connait, qui a les capacités de faire ses transactions en ligne n’aura pas forcément besoin d’aller dans ces « Maisons du Citoyen » pour pouvoir obtenir ces documents de l’Administration. On a, je crois, vraiment besoin de ce niveau intermédiaire. Le contact physique ne peut pas tout de suite disparaitre parce que, lorsqu’on met les applications en ligne et qu’on n’accompagne pas les populations dans leur utilisation, l’on constate que le taux d’utilisation des outils digitaux est extrêmement faible. Des pays comme la France et d’autres beaucoup plus développés ont essayé cela. Le constat est le même ; la plupart des administrés continuaient à aller au guichet physique pour demander leurs documents administratifs. Que faut-il faire devant cette situation ? Je pense qu’il faut ce niveau intermédiaire pour avoir des guichets uniques animés par des agents bien formés et capables de traiter rapidement les demandes des concitoyens. Parfois cela peut être compliqué pour les usagers ; vous pouvez « uploader » un document sans que l’opération ne réussisse. Il est plus indiqué, dans ce cas, de se faire accompagner par un agent de l’Etat dont ce sera la principale tâche, et qui saura délivrer, de façon idoine, le document demandé. C’est clairement ce qui justifie la mise en place de ces « Maisons du Citoyen » qui vont permettre à tout le monde, même ceux qui ne sont pas familiers au digital, de pouvoir utiliser le digital pour se faire délivrer des services de l’Administration. Les paysans, les artisans, tout le monde pourra avoir des documents administratifs dans des délais records. C’est cela aussi l’objectif, il faut un service de qualité dans des délais réduits. On doit permettre à chaque sénégalais d’avoir accès à ces services.
Mais l’un ne devrait pas empêcher l’autre. Il y a, certes, des gens qui ont des difficultés mais il y a d’autres qui sont beaucoup plus doués…
(Il interrompt la question) Eux ils auront leurs applications en ligne. Ils n’auront pas besoin de venir dans les « Maisons du Citoyen ». L’application sera en ligne. L’adresse sera monservicepublic.gouv.sn. Même si vous êtes à Paris ou en dehors du territoire sénégalais vous pourrez faire vos demandes directement
Avec « Safe City » comment faire pour que la sécurité soit maximale dans un contexte mondial marqué par les cyberattaques et l’ingéniosité des hackers qui semblent-ils, ont une longueur d’avance sur la cybersécurité ?
Je pense qu’à ce niveau, il n’y a pas de « risque zéro » en matière d’informatique. Malheureusement, c’est le revers de la médaille avec les données sur Internet. Il est très difficile d’avoir une sécurité à 100%. Mais aujourd‘hui nos Etats doivent investir davantage dans les infrastructures de cybersécurité et dans le cadre de Safe City, nous envisageons d’avoir une entité dédiée à cette problématique. Un centre de cybersécurité sera mis en place pour mieux surveiller les réseaux de l’Etat et, au-delà, tous ceux qui opèrent au Sénégal. Des moyens substantiels vont être mis à disposition de la prise en charge de cette problématique. Car, il est sûr que nous devons renforcer nos dispositifs de sécurité pour faire face aux cybercriminels.
Par rapport à Smart Education, c’est un vrai défi dans un pays en voie de développement. Comment spécifiez-vous l’enjeu de l’éducation avec le numérique ?
Je pense que l’éducation est la clé du développement de chaque pays. Parce que si nous avons des populations de plus en plus éduquées, nous pourrons réellement prendre en charge les problématiques de notre développement. On ne peut pas avoir une bonne agriculture si nous n’avons pas assez d’ingénieurs dans le domaine. On ne peut pas avoir une bonne industrie si on n’a pas de techniciens capables de prendre cela en charge. C’est valable pour la médecine et pour tous les autres secteurs. Nous devons, clairement, miser sur notre éducation pour pouvoir développer notre pays. Aujourd’hui, le numérique c’est le meilleur des raccourcis pour avoir une masse critique de Sénégalais bien formés et capables de prendre en charge notre développement économique et social. Grâce au numérique, nous allons élargir l’offre d’éducation qui existe déjà parce que la cartographie ; en termes d’écoles primaires et secondaires, est de bonne qualité dans la plupart des communes du Sénégal. Nous avons, aujourd’hui, plusieurs universités à Dakar, Saint-Louis, Ziguinchor, Bambey et bientôt au Sine Saloum et à Diamniadio. Au-delà de cette offre, nous avons « l’Université Virtuelle du Sénégal » qui, exclusivement avec le numérique, permet à beaucoup de sénégalais n’ayant jusqu’ici pas accès à l’enseignement supérieur, de pouvoir être formés. Si nous n‘avions pas cette infrastructure de télécommunications, cela ne serait pas possible. Si nous n’avions pas les ressources IT qu’il fallait, nous ne pourrions pas délivrer ce type d’enseignement. Aujourd’hui, grâce au numérique et au programme « Smart Sénégal » qui va équiper toutes ces universités et permettre à l’UVS de se renforcer et d’avoir beaucoup plus de capacité pour l’enseignement en ligne, nous pourrons renforcer l’offre d’éducation dans notre pays.
Dans d’autres pays du monde on parle d’enseignement sans papiers. Est-ce que Smart Education a cette vision ?
On va considérer cette partie Smart Education comme une phase d’expérimentation de l’enseignement avec le numérique. Nous avons choisi 32 écoles primaires et secondaires pour faire des « classes 100% numériques » avec des tableaux et des postes de travail numériques qui vont être utilisés par les élèves. Sur cette base, c’est une vraie transformation qui va se produire dans nos écoles. Certes, nous allons mettre à disposition ces technologies mais nous allons aussi former les enseignants à délivrer leurs cours avec ces types de supports digitaux. Selon les résultats obtenus, on pourrait envisager de généraliser cela à l’ensemble des établissements du Sénégal. En tout cas, c’est un défi que nous nous sommes lancés et nous espérons que grâce à cette initiative, l’enseignement numérique généralisé peut, dans quelques années, être une réalité au Sénégal.
Venons-en maintenant à l’ADIE. Quel est le rôle de la structure que vous dirigez dans l’organisation générale de l’Etat ?
L’Agence De l’Informatique de l’Etat est une structure rattachée au Ministère de l’Economie Numérique et des Télécommunications. C’est une entité transversale à l’Administration pour permettre à notre Etat de pouvoir rationnaliser ses dépenses en informatique mais surtout de se doter d’un système d’information cohérent permettant à l’Etat du Sénégal de pouvoir utiliser le numérique comme levier de transformation économique.
En quoi le travail de votre agence est-il le gage d’une plus grande efficacité de l’Administration sénégalaise ?
Notre travail, comme je vous l’ai dit tantôt, consiste à accompagner tous les ministères, toutes les composantes de l‘Etat, à se doter d’un système d’information, à se moderniser, parce que clairement nous constatons que notre Administration fonctionne de façon peu optimale depuis les indépendances. Aujourd’hui nous avons besoin d’échanger plus de données, de nous connecter au monde et, le plus important, faire que le numérique booste tous les secteurs de notre économie. C’est pour ça que l’ADIE s’est attaqué, dans un premier temps, à la problématique de la connectivité. Nous savons tous que le digital n’est possible que si nous avons les infrastructures de télécommunication permettant de développer des applications qui vont être déployées. C’est dans ce cadre que nous avons déployé près de 4500 km de fibre optique pour interconnecter la quasi-totalité des administrations tant au niveau de Dakar que dans les régions. Au-delà de cette problématique de connectivité, nous nous sommes, également souciés de l’hébergement des données de l’Administration et nous sommes l’entité chargée d’assurer la maitrise d’ouvrage de l’ensemble des projets informatiques de l’Etat. Ainsi, tout ministère, toute entité de l’Etat ayant un projet de mise en place de système d’information, fait appel aux experts de l’ADIE pour en concevoir l’architecture et permettre à ces systèmes d’être interopérables et de pouvoir être opérationnel en utilisant les ressources disponibles au niveau de l’Agence De l’Informatique de l’Etat.
De ce que vous nous avez expliqué du programme « Smart Sénégal » et du rôle de l’ADIE, pouvons-nous, aujourd’hui, connaître la place du Sénégal en matière de numérique en Afrique de l’Ouest ?
Je pense que le Sénégal est considéré comme un pays d’avant-garde dans le domaine du numérique. L’Agence De l’informatique de l’Etat a été créée en 2004, inaugurant un mode d’organisation unique dans la sous-région. Mais depuis que le Sénégal a pris cette option, on a vu que beaucoup de pays ont suivi son exemple. Cela montre, dans le cas du concept novateur d’Informatique de l’Etat, le rôle de précurseur du Sénégal. En matière d’infrastructure télécoms, nous sommes l’un des pays à la pointe des infrastructures « broadband » dans la sous-région voire le continent. On a de très bonnes infrastructures de télécommunications à travers les opérateurs classiques mais, également, la fibre de l’ADIE. Aujourd’hui, l’enjeu est de renforcer la présence de l’Administration sur Internet, et d’améliorer les services en ligne offerts aux usagers de l’Administration publique.
Entretien réalisé par e-conomiemag.com
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oenjoyxx-blog · 5 years
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10 conseils de voyage en Afrique pour les visiteurs débutants
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N'ayez pas peur
Je l'avoue: avant de me rendre en Afrique pour la première fois, j'avais peur. Peur d'être victime de criminels, de tomber malade d'une maladie hideuse, d'être seul et entouré de foules de gens dont je ne comprenais pas la culture et la langue. Mais quand je suis arrivé, j'ai réalisé que la plupart de mes peurs étaient sans fondement. Prendre les mêmes précautions que vous prendriez lorsque vous voyagerez n’importe où vous aidera à éviter de nombreux problèmes en Afrique. J'ai constaté que la plupart des personnes rencontrées étaient amicales et disposées à m'aider lorsque j'étais dans le besoin. Une fois, quand j'ai cassé la chaîne sur mon vélo en faisant du vélo dans une zone rurale, un réparateur de vélo local (apparemment informé par des enfants) est sorti de nulle part et m'a apporté une nouvelle chaîne. Nous n'avions pas de langage commun, mais mon vélo et moi étions de nouveau opérationnels en quelques minutes.
Apportez les bonnes formes de paiement
Essayez de prépayer autant que possible votre voyage, car il peut être difficile d'effectuer de gros paiements en Afrique. Les chèques de voyage ne valent pratiquement rien et même les grands hôtels et restaurants peuvent ne pas accepter les cartes de crédit. Les guichets automatiques sont assez courants dans les grandes villes, mais beaucoup n'acceptent que les cartes Visa. Même dans ce cas, il n’est pas rare que des machines se retrouvent à court d’argent pendant des jours. Transporter beaucoup d'argent peut être éprouvant pour les nerfs, mais j'ai habituellement 1 000 $ disponibles (pas nécessairement sur moi) chaque fois que je vais là-bas. Dans tous mes voyages en Afrique, je n'en ai jamais perdu et cet argent m'a permis de traverser de nombreux points durs dans lesquels aucun guichet automatique opérationnel n'était disponible.
Apportez des dollars américains, mais seulement les nouveaux projets de loi
La plupart des marchands, des propriétaires d’immeubles de safari de luxe aux enfants colportant gomme et bonbons dans la rue, sont heureux d’être payés en dollars américains. Mais tous les billets d'un dollar ne sont pas égaux. En raison des craintes relatives à la contrefaçon, la plupart des gens ne prennent que les factures imprimées en 2006 ou plus tard. Les factures avec des larmes ou des marques ne passent pas non plus. De plus, gardez à l'esprit que les billets de plus haute valeur ont un meilleur taux de change que les plus petites. Vous allez exaspérer votre caissier de banque, mais faites-le trier tout l'argent dans le coffre-fort jusqu'à ce qu'il ne vous donne que les factures récentes et propres dont vous avez besoin. C'est beaucoup moins pénible que de rester coincé en Afrique avec un portefeuille plein d'argent que vous ne pouvez pas dépenser.
Intégrez de la flexibilité dans votre itinéraire
Je recommande de ne pas passer moins de trois semaines en Afrique, non seulement parce qu'il y a tant à voir, mais aussi parce qu'il y a de fortes chances que vous rencontriez un retard pouvant nuire à vos projets. Les vols intérieurs sont souvent annulés ou retardés, les inondations et les feux de brousse peuvent rendre les routes impraticables, et même des véhicules de safari bien entretenus peuvent tomber en panne dans des conditions difficiles. Si vous devez voyager en avion ou parcourir de longues distances, il est sage d’avoir un jour ou deux de tampon entre les deux pour permettre de tels retards.
Apprendre à conduire un levier de vitesse
Louer un 4x4 et le conduire vous-même peut être l'un des moyens les plus agréables et pratiques d'explorer l'Afrique rurale. Cependant, il vaudrait mieux que vous soyez capable de changer de vitesse, car les transmissions automatiques sont rares en Afrique. J'ai rencontré quelques personnes qui ont réellement appris à conduire un bâton en Afrique, mais je ne le recommanderais pas. S'arrêter quand un troupeau d'éléphants en colère charge (ce qui peut m'être arrivé ou non) n'est pas une position amusante dans laquelle vous retrouver.
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Allez-y, prenez les transports en commun
Quand j'ai effectué mon premier voyage en Afrique en 2008, j'ai trouvé l'idée d'utiliser les transports en commun était terrifiante. Mais après avoir payé 800 $ pour une voiture privée et que le chauffeur me conduise pendant une semaine, je m'en suis remis. La plupart des villes et des grandes villes d'Afrique orientale et australe disposent d'un service de bus de première classe ou de classe affaires, peu coûteux et relativement confortable. Le volume des bagages étant souvent restreint, j'achète généralement deux sièges, un pour moi et un pour mon sac.
Apportez tous les articles de toilette dont vous aurez besoin
Dans la plupart des autres régions du monde, si vous manquez d'une solution de contact ou de produits de toilette importants, vous pouvez généralement trouver un produit de remplacement dans les magasins ou les pharmacies locales. En Afrique, à moins de vivre dans une ville peuplée d'expatriés, vous aurez peut-être beaucoup de difficulté à trouver certains articles de toilette. Et si vous les trouvez, ils peuvent coûter 10 à 20 fois le prix que vous paieriez à la maison. Je trouve que c'est particulièrement le cas des produits capillaires, de la solution pour lentilles de contact, de la crème solaire et du maquillage.
Ne pas donner de documents
Vous pourriez être tenté de donner des friandises ou même de l'argent aux enfants défavorisés que vous rencontrez. Bien que vos intentions soient bonnes, ces types de documents ont des conséquences imprévues. Ce joli petit tyke auquel vous avez donné une sucette pourrait être battu par des enfants plus âgés dès que vous tournez le dos. Plutôt que d'aller à l'école, un enfant handicapé pourrait être contraint de mendier sur le bord de la route, à proximité d'une attraction touristique, car ses parents savent que des étrangers chavirés lui donneront de l'argent. Si vous souhaitez faire un don en Afrique, apportez des objets utiles comme des fournitures scolaires et faites-en un don directement à une école ou à une organisation caritative qui veillera à ce que les cadeaux soient utilisés correctement.
Être un photographe, pas un membre des paparazzi
Vous connaissez ces photographies classiques que vous rêvez de prendre: le guerrier Massai orné de perles colorées, les femmes en robes imprimées équilibrant des paniers sur la tête. Vous n'allez pas les faire claquer d'une voiture de safari en mouvement ou se cacher dans les buissons avec une longue lentille. Il est également extrêmement irrespectueux de photographier une personne sans son consentement. Avant de prendre des photos, interagissez avec votre sujet de photo pour obtenir des photos de personnes exceptionnelles et ne pas vous offenser. Parfois, un sourire et un geste de la main faisant claquer une caméra suffisent pour obtenir la permission.
Évitez d'exploser vos appareils électroniques
Au cours de mes trois années en Afrique, j'ai vu plusieurs téléphones, batteries d'appareils photo et même un aquarium exploser pendant les surtensions qui font partie de la vie quotidienne d'une grande partie du continent. Pour garder vos appareils électroniques coûteux en sécurité, je vous recommande d'utiliser un limiteur de surtension branché sur un transformateur de puissance. Bien qu'il ne soit pas toujours possible de trouver de tels branchements, de nombreux hôtels ont des transformateurs dans leurs bureaux où les clients peuvent recharger leurs batteries et leurs téléphones.
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emploimaroc30 · 2 years
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Edukaskills recrute des chefs de projet marketing commercial
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Edukaskills recrute des chefs de projet marketing commercial sur Casablanca. Les filiales Edukaskills Finland et Maroc, membres d’Edukateam, développent des projets de collaboration avec les communautés pédagogiques qui décident d’investir dans des programmes d’apprentissage à fort impact, comme leviers de développement durable. A Edukaskills nous sommes convaincus qu’un apprentissage de qualité tout au long de la vie est clé pour le développement d’un engagement sociétal construit sur des principes de citoyenneté et d’équité. Nous sommes engagés à contribuer à un développement socio-économique inclusif par les modèles et la culture finlandais d’apprentissage. Edukaskills Finland détient le label d’excellence « Education Finland » et fait partie du réseau Business Finland. Nos méthodes finlandaises d’apprentissage Selon les enjeux de votre organisation et des collaborateurs, nous proposons différentes méthodes finlandaises d’apprentissage dans l’objectif de développer des compétences transversales opérationnelles, pour une meilleure performance professionnelle: -L’approche par les phénomènes, les cas et les problèmes, -L’approche par le design thinking, -L’approche par projets. Toutes ces approches permettent d’assurer une valorisation des acquis professionnels et une progression pédagogique individualisée, dans un cadre d’intelligence collective. Nous accompagnons les apprenants dans le développement de  l’esprit critique et d’une autonomisation dans leur capacité d’apprentissage. 
Edukaskills recrute des chefs de projet marketing commercial
A Edukateam, notre mission est de conduire le changement à travers l’éducation. C’est pour cela que nous avons choisi les méthodes finlandaises d’apprentissage. Si vous êtes passionné(e) par le marketing et le développement commercial dans le domaine des services et motivé(e) à travailler sur plusieurs projets en simultané, cette offre s’adresse à vous. Dans le cadre de son développement au Maroc et à l’international, la filiale Edukaskills Global Finnish learning experts recrute des chefs de projet marketing commercial trilingues; Français, Anglais, Arabe, avec à leur actif un BAC+5 et 3 ans d’expérience au minimum. Postulez ici Read the full article
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buzzkafunel · 2 years
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L’UNESCO est "fortement engagé" aux côtés des Etats membres dans la mise en œuvre et la dissémination des connaissances scientifiques et managériales de pointe, pour "réduire l’impact du changement climatique", a affirmé lundi Dimitri Sanga, directeur du bureau de cette organisation à Dakar.  "L’UNESCO est fortement engagé aux côtés des gouvernements des Etats membres à opérer ce changement en œuvrant à développer et à disséminer les connaissances scientifiques et managériales de pointe pour réduire l’impact du climat", a-t-il réaffirmé. M. Sanga s’exprimait, lundi, à Dakar, à l’occasion la première réunion du comité d’orientation de l’Initiative arabo-africaine des réserves de biosphère (AABRI). "L’Initiative arabo-africaine des réserves de biosphère utilise les réserves de biosphère comme observatoire du changement climatiques et laboratoire de développement durable, un espace d’expérimentation de solutions innovantes de développement durable", a-t-il expliqué. "C’est l’une des actions post COP 22 les plus importantes, car l’initiative a pour but premier de soutenir les Etats membres à mettre en place un dispositif opérationnel à l’échelle arabo-africaine d’observation des effets du changement climatique, et cela, en concertation avec le Programme sur l’homme et la biosphère (MAB)", a-t-il indiqué. Il a indiqué qu’elle soutient également les réserves de biosphère dans les efforts visant à "constituer des espaces privilégiés pour tester de nouvelles approches de développement durable et observer les phénomènes de changement climatique". L’initiative "AABRI’’ se veut aussi un levier de changement de paradigme vis-à-vis du climat et ouvre des "perspectives énormes’’ de partenariat et de créativité entre l’Afrique subsaharienne et la région arabe, indique-t-on.
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imideveloper · 2 years
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IMI DEVELOPER - Ecole de management et d’informatique
IMI DEVELOPER
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Au service des entreprises marocaines, IMI DVELOPER aujourd’hui est un des leaders au Maroc, des accompagnements en conseil et en formation dans nos domaines d’intervention.
Orienté sur l’accompagnement opérationnel, nos degrés d’exigence en termes d’innovation, de qualité et de résultats ont fait de nous un cabinet de référence et un partenaire durable des plus grandes écoles agrée par l’état marocaine.
Persuadés que l’Homme reste le principal moteur des évolutions, nous considérons que son engagement, le développement permanent de ses compétences et son épanouissement au sein des équipes constituent les facteurs clefs de réussite des sociétés.
Agir sur ces leviers, pour en faire les conditions de la performance est vocation et contribution de IMI DEVELOPER au développement.
Vous partagez cette vision ?
Notre mission est de développer en permanence nos compétences, nos activités et notre organisation pour anticiper les évolutions de notre environnement et agir en harmonie avec les nouvelles de nos clients et de notre marché cible.
Philosophie de IMI DEVELOPER trouve son origine dans notre croyance que les processus, les moyens, et les outils mis en Oeuvre par une équipe experte, et leur amélioration continue en adéquation avec les demandes de nos clients de plus en plus exigeants, déterminent nos ambitions
IMI DEVELOPER totalement convaincus que seule notre vision, fondée sur une éthique exemplaire et un esprit constructif, respectant l’ensemble de ses partenaires et son environnement, est à même de répondre aux impératifs d’un marché diversifié, en perpétuel changement, complexe, mondialisé et de plus en plus compétitif.
Nous nous efforçons chaque jour de rester proches de nos clients, en faisant preuve d’une capacité d’écoute permanente, mais aussi en développant de nouveaux concepts, de nouvelles approches et de nouvelles compétences à la pointe des exigences de notre marché et de notre environnement.
Ecole d’informatique
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L'école de gestion et d'informatique est un domaine en pleine croissance, avec le besoin de compétences en gestion en informatique. En effet, le secteur informatique devient de plus en plus complexe et nécessite davantage de managers capables de s'adapter à ce changement.
L'École de gestion et d'informatique est l'une des écoles les plus populaires de l'université. L'école propose une grande variété de spécialités, notamment la gestion, l'informatique, l'entrepreneuriat et l'informatique.
Les majors en informatique étudient des sujets tels que les langages de programmation comme C ++ ou Java et développent des solutions logicielles pour diverses industries comme la santé ou la finance. Ils apprennent à créer des applications pouvant être utilisées par des personnes du monde entier ayant des besoins et des exigences différents.
Ecole de management
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Les majors en gestion étudient des sujets tels que la comptabilité, la finance, management est gestions des entreprises, le marketing, la logistique, le comportement organisationnel et la gestion des ressources humaines. Ils apprennent à diriger des équipes en élaborant un plan stratégique pour leur équipe et en comprenant la dynamique du comportement organisationnel.
L'école est fortement axée sur la technologie, la gestion et l'entrepreneuriat. Les étudiants peuvent choisir parmi une variété de cours, de l'analyse commerciale à l'entrepreneuriat. L'accent est également mis sur l'apprentissage par l'expérience, les étudiants participant à des stages et à des opportunités de coopération.
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