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#linge maison
espritcampagne · 11 months
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publicite-francaise · 7 months
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A la Place Clichy, Paris, par Lem, 1900.
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hemlagom · 2 months
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SOLDES : -30 % sur hemlagom.com Venez découvrir notre linge de maison en soldes sur tout le site. Housse de couette thermoregulatrice, plaids, rideaux et coussins.
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imsovoguesblog · 3 months
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EDITORIAL
This Fashion Story is truly ICONIC
TopModel He Cong literally slayed this shoot for W Magazine China "The Icon Issue" wearing pieces from the Maison Margiela Artisanal SS24 Haute Couture Collection by John Galliano.
📷: Zhong Ling
👗: Austin Feng1
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sabinerondissime · 26 days
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Journal
Hier, je vous parlais du peu de passion que j'ai pour le ménage. Aujourd'hui, je veux vous parlez du peu d'aide que je reçois de la part de mon fils et mon mari concernant l'entretien de la maison. Mais tout d'abord, je dois prendre mes responsabilités. Je n'ai jamais voulu les obliger à m'aider. Quand j'étais enfant, ma mère travaillait et nous laissait à ma sœur et moi, une liste de choses à faire avant son retour. A l'époque, je trouvais cela complètement injuste que mes matinées de libres soient en partis occupées à étendre le linge, passer l'aspirateur, débarrasser le lave-vaisselle etc. J'ai donc décidé qu'une fois que j'aurais des enfants, je ne leur demanderai rien. Il se trouve que j'ai toujours été une femme à la maison, par choix, parce que je voulais être présente pour mes enfants, contrairement à mes parents qui bossaient énormément. J'avais dons le temps de faire le ménage sans trop rien leur demander, si ce n'est de faire la vaisselle à tour de rôle. A cette époque, les 4 enfants étaient tous à la maison. Maintenant, nous sommes 3 dans le même appartement. J'ai pris de l'âge et parfois, j'ai besoin qu'on m'aide pour faire certaines choses. Exemple du jour, accrocher les rideaux ou nettoyer les lustres. Ce que Monsieur a fait en râlant et en me disant qu'il ne voyait pas pourquoi je faisais ce genre de chose que personne ne remarque. Il doit, depuis des semaines, nettoyer les alarmes incendies qui sont tachées de cacas de mouches. Il est assez grand pour le faire sans monter sur une chaise, moi pas ! Mais bien que je lui demande gentiment tout les jours, rien n'est fait. Autre exemple, la poudre de café qu'il laisse derrière lui quand il remplis la machine, alors que je lui ai demandé de nettoyer le cas échéant, vu qu'il est le seul a s'en servir. Alors je nettoie devant lui mais ça ne le dérange pas plus que ça. Mon fils, quant a lui, ne sort pas de sa chambre. Quand je lui demande de la ranger un peu, il soupire en disant que personne n'y vient à part lui. Concernant son linge sale, j'ai mis un panier au pied de son lit car il avait la flemme de le mettre dans celui près de la machine. Mais chaque fois que je vais chercher son linge sale, il est sur son lit et pas dans le panier. S'il se coupe une tranche de pain, il laisse les miettes. Si mon mari enlève un coté du plaid sur le canapé en se vautrant dessus, il attend que je le remette en place. Il y a cette petite voix qui me répète: " C'est bien fait pour toi ! Tu n'avais qu'a les "dresser" dès le départ, gueuler comme le fait ta mère, créer un climat de tension ménagère, histoire que tout le monde en fasse un minimum !" Mais je déteste les conflits ! Et comme je suis une femme au foyer, je me dis que c'est mon job. Mais ça me pèse de plus en plus, de voir qu'en plus de ce "job", je suis quand même souvent leur bonne ! En fait, être une femme au foyer, c'est nettoyer le bordel des autres, sans jamais être payé, sans jamais être en vacances, ni en weekend. C'est aussi renoncer à des tas de choses, parce que financièrement, je n'ai jamais été autonome. C'est avoir constamment en tête que l'on dépend de l'autre. Alors oui, j'ai eu l'immense bonheur de pouvoir élever mes 4 enfants, d'être là pour eux à chaque moment. J'ai été une mère avant tout et c'est ce que je voulais. Mais mon dernier aura 18 ans dans quelques mois, il finira par quitter la maison, comme ses frères et sa sœur avant lui. Et moi, je serais là, proche de la soixantaine, à encore me dire que c'est normal que je passe derrière mon mari, parce que c'est lui qui rapporte le salaire qui nous permet de vivre.
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moonchiesim · 1 year
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Été 1889, Brindleton Bay
Cher journal, Mon mari est un homme charmant. Je le savais parce qu'il m'a fait la cour pour deux années pleines avant les épousailles, mais de vivre ensemble m'a vraiment fait comprendre quel bel homme j'avais là. Joséphine Lennox. Ça sonne bien, non ? Mon père, Jean Baptiste Abbot, il est chimiste et il sait des choses. Il a dit du grand bien de François Xavier, parce que le défunt père de mon mari était vétérinaire, alors son fils a hériter de son intellect, de toute évidence, et que nos enfants seront vifs d'esprits, eux aussi. Je n'ai pas l'habitude de notre petite vie, mais c'est pas si pire. Tu sais, mon journal, la vie à Windenburg avec maman et les petits me manque un peu, mais j'apprécie de m'occuper d'une maison, même si elle tombe de partout et que même les lapins me cherchent la bagarre !
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Automne 1889, Brindleton Bay
Cher journal, J'ai appris que j'attendais un enfant. Les nausées n'ont pas trompé Mrs. Reed, qui vient juste de donner naissance à des jumeaux. Des jumeaux ! Ô Seigneur ! Je prie le ciel chaque fois que je repense aux hurlements qui ont déchirés le ciel cette nuit-là où elle a donné naissance. Est-ce si terrible de donner naissance ? Quand je pense à mon ventre qui s'arrondit drôlement vite, je ne peux m'empêcher de me demander qui se cache là-dedans, et quel nom je vais bien pouvoir lui donner, à ce petit-là. François Xavier propose Séverin si c'est un garçon et Gabrielle si c'est une fille. Je lui ai dit que Gabrielle était le nom de ma cousine, et j'ai cherché des inspirations dans le journal en allant faire les courses. Je n'ai pas encore d'idée.
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Été 1890, Brindleton Bay
Cher journal, Au moment de perdre les eaux, j'étais en train de laver le linge. La bassine sentait bon la pomme, c'était une recette de la propriétaire du magasin général. J'ai accouché sur le plancher de cuisine parce que j'avais trop mal pour me rendre ailleurs. François Xavier était au travail, il est ingénieur sur un chantier naval du port. Je me souviens que j'avais du mal à me concentrer assez pour réfléchir qu'il fallait que je pousse plus fort, plus vite avant qu'il ne rentre, parce que j'avais sali le plancher. Je m'excuse pour ma grossièreté, ô journal ! Je ne devrais pas raconter ces bêtises. J'ai donné naissance à un magnifique garçon qu'on va appeler Séverin, comme le voulait François Xavier.
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Séverin Lennox, né un samedi d'été 1890
Cher journal, Séverin demande beaucoup d'attention. Il pleure souvent, il mange beaucoup, il salit tout. Je suis constamment épuisée, mais je suis heureuse. Oui, je suis heureuse, voilà. François Xavier m'a parlé de son grand projet qu'il se gardait d'aborder depuis quelques mois avant la naissance de Séverin. Je voyais bien que quelque chose lui trottait en tête, mais il m'en faisait des mystères. Apparemment que le gouverneur de Chestnut Ridge offre des terres à prix modique pour les familles désireuses de se faire pionniers de cette région encore mal débroussaillée. J'ai dit à François Xavier que le train s'y rendait même pas pour déposer des denrées, et lui a répondu que c'était prévu, et que même Chestnut Ridge prévoyait de bâtir la première centrale hydroélectrique de tout le pays. Ça dirigerait l'électricité vers les ménages, et on aurait plus à aller en ville pour en faire usage. L'eau courante était en voie d'être installée aussi, comme ici à Brindleton Bay, et le train... Ça viendrait certainement avec les rumeurs de la centrale. Il en a parlé avec tellement de passion, et il a dit que nous ferions beaucoup d'argent grâce à son poste d'ingénieur dans ce chantier-là. En plus, il a dit que là-bas, il y avait une école pour Séverin, comme ici à Brindleton, et une église catholique. Ça m'a un peu rassuré, surtout qu'il a dit qu'on pourrait emmener nos poules et notre chèvre. Jamais sans ma chèvre, que je lui avait dit. Ça fait qu'on est en train de tout mettre dans des valises. Séverin aime pas trop le chahut que ça fait, mais on a pas le choix de le barrouetter un peu, le pauvre petit. Il va s'y faire.
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Printemps 1891, Brindleton Bay
Cher journal, C'est notre dernière journée à la maison de Brindleton Bay. Mrs. Reed est venu nous saluer et nous souhaiter bonne route. Ça faisait un bail qu'on l'avait pas vu, mais nous nous écrivions. Elle avait ses deux bouches à nourrir, c'était le double de mes tâches, alors je comprenais tout à fait qu'elle ne m'ait pas visité dans ce temps-là. François Xavier est plus détendu depuis qu'il a pris le dernier jour en congé pour s'assurer de bien fermer la maison et d'avoir tout en main quand on va partir, tôt demain matin. Un certain M. Richard va nous conduire jusqu'à Chestnut. François Xavier dit que c'est notre voisin le plus proche, et aussi qu'on va être la maison la plus avancée dans la ville, à ce qui paraît. Je commence à avoir hâte de partir, parce que la maison a pas l'air normale, dans toutes les boîtes et les valises. Le printemps est frais, mais il fait majoritairement beau, ce qui est rare par ici. La prochaine fois que je vais t'écrire, ô journal, nous nous serons établis à Chestnut. Je te donne des nouvelles bientôt.
Début d'un decade challenge qui débute dans les années 1889-90 dans un cadre québécois mêlé à l'univers des sims, et joué dans la save file de @antiquatedplumbobs 💛🌞
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aisakalegacy · 7 months
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Automne 1917, Hylewood, Canada (3/9)
Notre nouvelle bonne est très bien, très sérieuse, mais elle est… plutôt particulière. L’autre jour, des tensions ont émergé avec ma femme, parce qu’elle s’est mis en tête de plier tout le linge de maison selon des formes géométriques afin d’optimiser le rangement. Elle progresse en français, mais pas encore assez pour avoir une communication fluide, et j’ai dû servir d’interprète entre ma femme que la grossesse met dans tous ses états pour un rien, et la bonne qui lui exposait avec aplomb ses théories géométriques. Moi, ces histoires me font une belle jambe (ha !), et j’aimerais mieux qu’on me laisse en dehors de tout cela.
[Transcription] Maria Mayordomo : No hay dos sábanas del mismo tamaño… ¿Cómo hacer que todas quepan perfectamente en el cajón? (Il n’y a pas deux draps qui font la même taille… Comment faire pour qu’ils rentrent tous parfaitement dans la commode ?) Maria Mayordomo : ¡Tengo una solución! Veamos si funciona. (J’ai une solution ! Voyons voir si ça marche.)
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sofya-fanfics · 11 days
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La fièvre de Tohru
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Fandom : Fruits Basket
Relationship : Kyo x Tohru
Voici ma participation pour le Sicktember 2024 pour le prompt : Tu es en train de cracher tes poumons.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il monta à l'étage lorsqu’il entendit du bruit. Apparemment, il n’était pas seul dans la maison. Quelqu’un toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte était ouverte. Elle rangeait du linge et toussa à nouveau. Kyo fronça les sourcils.
Disclaimer : Fruits Basket appartient à Natsuki Takaya.
@sicktember
AO3 / FF.NET
Kyo entra dans la maison. Il avait passé la journée au dojo de Kazuma. Il était impatient de prendre une bonne douche et de se reposer. Il était parti très tôt dans la matinée, Tohru, Yuki et Shigure dormaient encore. Il savait que Tohru devait passer la journée avec Uo et Hana, Yuki avait une réunion avec le BDE, quant-à Shigure, Dieu seul sait ce qu’il avait fait de sa journée.
Kyo retira ses chaussures, la maison semblait vide. Il devait être le premier à être rentré. Il monta à l'étage lorsqu’il entendit du bruit. Apparemment, il n’était pas seul dans la maison. Arrivé en haut de l’escalier, un nouveau bruit se fit entendre. Quelqu’un toussait. Il se dirigea vers la chambre de Tohru. La porte était ouverte. Elle rangeait du linge et toussa à nouveau. Kyo fronça les sourcils.
« Tohru ? »
Elle sursauta, ne l’ayant pas entendu arriver.
« Kyo-kun ! Tu es rentré depuis longtemps ? »
Il la regarda avec inquiétude. Elle avait les joues rouges, les yeux brillants. Et malgré son sourire, il voyait qu’elle avait de la fièvre.
« Est-ce que tu te sens bien ? Demanda-t-il. »
Elle acquiesça, toujours souriante.
« Je vais bien. »
Elle se mit à tousser de nouveau. Une toux incontrôlable qu’elle ne pouvait pas arrêter. Kyo paniqua. Comment pouvait-elle dire qu’elle allait bien ?
« Tu ne vas pas bien, dit Kyo. Tu es en train de cracher tes poumons.
-Je suis désolée, répondit Tohru une fois sa toux calmée.
-Pourquoi tu t’excuses ? Ce n’est pas de ta faute si tu es malade. »
C’était bien Tohru pensa-t-il. Il fallait qu’elle s’excuse pour quelque chose dont elle n’était pas responsable. Elle n’allait vraiment pas bien. Elle avait les yeux mi-clos et penchait vers l’avant. Elle penchait de plus en plus et s’il ne faisait rien, elle allait se retrouver par terre. Il la rattrapa par les bras, faisant attention à ne pas qu’elle tombe sur lui. Il ne voulait pas se transformer en chat alors qu’elle avait besoin de lui. Il la fit s’asseoir sur le lit.
« Ta journée est finie pour aujourd’hui, dit-il. Repose-toi. Je vais te préparer quelque chose à manger.
-Merci Kyo-kun. »
Il sortit de la chambre et alla dans la cuisine pour lui préparer du bouillon. C’était ce que Kazuma lui cuisinait lorsqu’il était malade. Il prépara un plateau, versa le bouillon dans un bol et monta dans la chambre. Tohru s’était allongée dans son lit. Elle avait mis son pyjama et dormait profondément. Kyo posa le plateau sur le bureau et s’assit sur la chaise qu’il avait placé à côté du lit. Il allait attendre quelques instant pour être sûr qu’elle aille bien. Il mit sa tête entre ses mains. Il était épuisé à cause de son entraînement, mais pour le moment, tout ce qui comptait, c’était que Tohru guérisse.
******
Tohru se réveilla lentement. La nuit était tombée. Les rideaux n’avaient pas été tirés et la lune éclairait la chambre. Dormir lui avait fait du bien. Elle tourna la tête et vit Kyo. Il était assit sur la chaise de bureau. Sa tête et ses bras étaient posés sur les bords du lit. Cette position ne devait pas être confortable. Pourtant, il dormait profondément. Tohru approcha doucement sa main de la sienne, mais n’osa pas la toucher. Kyo était resté près d’elle. Il avait veillé sur elle. Une douce chaleur envahie son cœur. Elle était heureuse. La fatigue l’envahit. Elle ferma les yeux et s’endormit avec un immense sourire aux lèvres.
Fin
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leparfumdesreves · 24 days
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LINGE BASQUE, TISSU TRADITIONNEL TRÈS TENDANCE
Le tissu servait de nappe les jours de fête ou de toile épaisse pour protéger les bœufs de la chaleur et des moustiques.
Noble et rustique, en Lin, la qualité du tissage du coton d'aujourd'hui fait perdurer cette réputation. Les maisons du linge basque, avec des créations modernes ou des collections plus traditionnelles, perpétuent un Art de Vivre... 💙
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espritcampagne · 1 year
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Sous le vent léger, les couleurs de la maison ondulent lentement 
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lvdbbooks · 1 month
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2024年8月14日
【新入荷・新本】
Luo Yang Carpe Diem, La Maison de Z, 2022
Limited edition of 800 copies. Softcover with embossing and foil stamping. The book contains 4 booklets sewed on Papersense™ wood pulp washable paper. 19 x 24 cm, 96 pages.
価格:8,800円(税込)
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一人っ子政策の下で生まれ、文化大革命(1966-1976)後の鄧小平による改革開放の中で育った第一世代、80后(バーリンホウ、1980年代以降生まれ)に属する1984年生まれの写真家、ルオ・ヤン(罗洋、Luo Yang)による作品集。
2007年、23歳のときに発表し、同世代の100人以上の女性を追い続け、彼女たちの身体と生活の変化を記録したシリーズ「Girls」、2019年にスタートし、1990年代後半から2000年代前半に生まれた若い世代に焦点を移す新シリーズ「Youth」など、変化する現代中国のさまざまな若者の群像を捉えています。
When we talk about “Ba ling hou” (born after the 1980s) in China, we are actually talking about the first generation born under the one-child policy and raised during the reform and opening up led by Deng Xiaoping after the Cultural Revolution (1966-1976).
This generation grew up together with the Internet and social media, melting into a consumer society that is totally in rupture with the preceding generations. Luo Yang, a photographer born in 1984, is also one of them.
In 2007, at the age of 23, Luo started the series Girls, which brought her international recognition. For ten years, Luo Yang followed more than a hundred of women from her generation, recording changes to their bodies and their lives, observing and capturing their delicate transition to adulthood. It's as if the photographer was capturing their (her) emotions as a young woman by holding a mirror up to her own growth and evolution alongside those of her models.
Now, Luo Yang is in her late 30s. In the new series Youth that she started in 2019, Luo shifts her focus to a younger generation born in the late 1990s and early 2000s. She continues to explore through Generation Z the changes of contemporary China now globalized and reached on a new scale and tries to preserve a photographic trace of these “atypical characters” in a social context.
From Girls to Youth, Luo Yang keeps “documenting” the post-teenagers and young adults that she met in her everyday life, using her works to tell the "story of youth" across generations. She depicts an emerging Chinese youth culture through her work that defies imposed expectations and stereotypes, showing evidence of her subjects’ individuality and personality. It is a personal account at femininity, gender, and identity that reflects the profound and ongoing changes taking place in our society.
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spriteofmushrooms · 1 year
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MDZS Characters & Their Perfumes
Wei Wuxian: Obviously, he doesn't care about fragrance! He's not like other young masters! Jiang Cheng, can you IMAGINE spending money on flavored water? LOL. LMAO, even. Haha have you ever noticed that guy always smells really good for some reason?
Jiang Cheng: Has an extensive collection of perfumes with lotus notes that he can't wear around Wei Wuxian without being mocked, but his daily fragrance is D.S. & Durga I Don't Know What.
Jiang Yanli: Kilian Love, don't be shy. Sweetness to encourage longer hugs.
Lan Wangji: Le Labo Santal 33. Only Le Labo Santal 33.
Jin Zixuan: Creed Aventus. He has EVERY batch and multiples of his favorite batch. When he feels zesty, he goes pineapple-heavy; when he's sad, he uses the flat, reformulated batches. One time, an almost-empty bottle of his favorite batch broke, and he mourned it like an old friend.
Wen Chao: Dior Sauvage Elixir. Yeah, he knows you can smell him from ten meters away. You're welcome.
Wang Lingjiao: Parfums de Marly Delina Exclusif! Because she's THAT GIRL!!
Wen Qing: Chanel No. 5. It's a classic for a reason.
Wen Ning: Tom Ford Ebene Fume... He just likes it...
Wen Zhuliu: It seems like Wen Zhuliu is pretending he can't hear or see us. Maybe we should ask later?
Jin Ling: Maison Francis Kurkdjian Baccarat Rouge 540. Yes, he's a flower boy, but he's complex!!
Lan Sizhui: Escentric Molecule 01 + Guaic Wood. The sandalwood reminds him of Lan Wangji, and the warm, smoky guaiac wood just feels comforting...
Lan Jingyi: Tom Ford Fucking Fabulous. No, Lan-laoshi, he's not breaking the rules; he's answering your question!
Ouyang Zizhen: Xerjoff 1861 Naxos. Isn't it romantic? Doesn't it simply make you want to cuddle up with someone you love? Yes, of course he needs to smell delicious on a night hunt, Jingyi! One never knows when one will find true love!!
Jin Guangyao: Initio Blessed Baraka. Gold, gold, gold.
Lan Xichen: Amouage Lyric. No matter what sweetness he shows on the surface, it all comes down to a base of incense and wood.
Nie Mingjue: Oh, no, that's just how he smells. ("Bvlgari Tygar," Jin Guangyao mouths from his side.)
Nie Huaisang: Why do you ask? Are you going to tell da-ge? No?? Well, okay! *opens a hidden door* Here's my beautiful, BEAUTIFUL collection, and if you have a few hours, I can tell you about each one! 💖
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alinapresley · 4 months
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Entretenir Votre Maison Sans Punaises De Lit À Paris
Pour maintenir votre maison sans punaises de lit à Paris, se conformer à ces suggestions : de manière approfondie évaluer d'occasion meubles, entretenir votre maison sans encombrement, routinièrement aspirateur tapis et meubles, nettoyer linge de lit dans de l'eau chaude et utiliser punaise de lit -proof coussin revêtements. Lorsque vous voyagez, inspectez bagages et hôtel espaces, et nettoyer vêtements dans l'eau chaude à votre retour à la maison. La découverte précoce et rapide activité sont clés éviter invasions.
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philoursmars · 8 months
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Marseille, le MuCEM et sa nouvelle collection permanente (à mes yeux, bien plus intéressante et mieux présentée que la précédente...)
Il y aura un nombre important de billets !!!
armoire à linge de maison, dot de Maria Hirner - Zillertal, Tyrol, 1840, alternée avec...
coffre - Montbardon, Hautes-Alpes, 1778
tonnelet en faïence - Nièvre, 1736
coffre - Queyras, Hautes-Alpes, 1734 : "fait ce 7 janvier 1734 - fait par moy, G : EME"
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ascle · 8 months
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La lettre « B »
Baboune:
- Faire la gueule, bouder
- Désigne aussi le bas du visage
Balado
Podcast
Baquet/Bacaisse:
Personne corpulente (homme/femme)
Bâdrer (verbe)
Inquièter, importuner, se faire du souci. S'utilise habituellement dans sa forme négative (Ne pas se bâdrer).
Balayeuse:
Aspirateur
Barniques:
Lunettes
Barouetter
Se faire bousculer, se faire déplacer rudement.
Baveux:
Arrogant, effronté
Bébelle:
Jouet, babiole
Bebitte à patate:
Coccinelle
Bécosse:
Toilette (w.c.)
Bécycle/Bécyk/bicyle/bicyk
Vélo, bicyclette. Note: un "bécyk à gaz" est une moto
Beurrée:
- Tranche de pain de mie recouvert d'une tartinade.
- Une grosse sommes d'argent.
Beurrer: (verbe)
- Salir
- Enduire, recouvrir d'une substance quelconque
Bine
- fève/haricot
- petit coup de poing habituellement donné sur l'épaule
Bizouner:
S'occuper à de menus travaux. (Ne pas confondre le verbe bizouner avec le nom bizoune qui lui signifie pénis!)
Bol:
Toilette
Bolle:
Personne très intelligente
Botcher:
Bâcler
Brassée:
Quantité de vêtements chargée et lavée dans un lave-linge
Brosse:
se saoûler, prendre une cuite
Expressions:
Swing la bacaisse dans l'fond d'la boîte à bois!
Se retrouve uniquement dans certaines chansons tranditionnelles. La bacaisse est à l'origine une bâche utilisée pour transporter le bois de chauffage à l'intérieur des maisons. L'expression peut donc s'interpréter comme une invitation à rapidement terminer ses tâches et venir faire la fête.
Boss des bécosses
Désigne quelqu'un ayant le comportement d'un petit chef autoritaire, mais sans grande envergure.
Beurrer épais
Exagérer, pousser le bouchon
Bout d'la marde
C'est le comble, incroyable
Branler dans le manche
Hésiter
Broche à foin
Mal organisé
Se tirer/prendre une bûche
S'assoir
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swedesinstockholm · 8 months
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17 janvier
m. est rentrée d'espagne un peu avant minuit et la vie qu'elle a fait entrer dans l'appart m'a fait réaliser à quel point c'était une mauvaise idée, la pire idée de venir passer une semaine ici toute seule sans voir personne parce que la solitude me laisse vriller sans limite. je me demande aussi si mon anxiété diffuse et ma non-envie de sortir de la maison sont liées à mon dérèglement hormonal. je sais pas pourquoi l'idée me rassure, que ce soit mon cors qui est cause et pas moi, ma tête, la partie qui a le contrôle. c'est pas MA faute. très bon moment de la journée sinon: quand j'ai sorti les draps chauds du sèche-linge et que je les ai serrés contre moi sous les yeux du coloc qui attendait que je sorte de la salle de bain et à qui j'ai murmuré bonsoir. j'adore cette salle de bain, le plafond est en bois et il est très bas et je regardais la neige tomber par la fenêtre en contrebas et puis je me suis prise en photo en me souriant dans le miroir parce que je me trouvais jolie avec mes cheveux courts et pour me dire que j'allais m'en remettre. je m'aime je m'aime je m'aime et un jour on va m'aimer aussi mais en attendant moi je m'aime. autre très bon moment de la journée: tout le reste de la journée passée à regarder la neige tomber à gros flocons sur les saules pleureurs en écoutant des chansons douces.
18 janvier
cet après-midi en longeant le parc quand je suis tombée sur un morceau de chris weisman dans ma playlist j'ai dit non et j'ai mis avril lavigne et je me suis dit que j'aurais du faire ça depuis le début. j'ai aussi écouté une playlist de l'été 2022 et en tombant sur un morceau de danitsa que j'avais entendu dans la voiture de c. un jour en allant aux répèts à lasauvage je me suis dit et si la solution pour oublier r. était de me mettre à écouter uniquement du hip-hop féminin? j'ai presque envie de demander à c. de me faire une playlist antidote. il a passé le mois de décembre en grèce à travailler dans une pépinière et maintenant je crois qu'il est à budapest. moi aussi je veux partir. en attendant cet après-midi je suis sortie dehors et les trottoirs étaient pas salés et je marchais tellement précautionneusement que je me faisais dépasser par tous les vieux parce que j'ai zéro confiance en mes jambes mais j'ai pas fait demi-tour parce que j'étais concentrée sur mes objectifs: voir la grosse pomme gonflable sur le toit du musée magritte et ramener des mochis frais de la confiserie japonaise à m. qu'on a finalement oublié de manger parce que j'ai fait des gnocchis de patate douces et elles ont volé la vedette.
20 janvier
hier en allant à esch pour la sortie de résidence d'une autrice de théâtre j'ai mis sexy sushi parce que ça faisait longtemps et j'avais l'impression de me retrouver, comme si je m'étais perdue avec r. et sa mélancolie douce. parce qu'avant qu'il s'immisce je voulais faire des trucs électroniques, au printemps avec ru. et s. on parlait midi controler et ableton live et sampler avec des carrés qui clignotent et pas guitares enregistreurs quatre pistes et beatles. mais je l'avais un peu oublié ça.
j'ai vu f. et n. et celui qui faisait le bourreau à la soirée wip en juin et je me demandais qui d'autre dans la salle était dans le comité de sélection, s'ils avaient déjà lu mon dossier et s'ils étaient embarrassés pour moi à cause de la médiocrité de mes idées et du degré de vulnérabilité dont j'ai fait preuve dans ma note d'intention. j'avais l'impression que tout le monde savait qui j'étais. mais j'ai bien aimé la pièce qu'a présentée l'autrice avec les deux comédiens, ça se passait dans un institut un peu vague de santé mentale et ça m'a donné envie d'écrire sur la clinique. j'ai failli pleurer quand une des personnages se met à parler de sa jeunesse qui lui a été volée par son mari qu'elle a rencontré à 19 ans alors qu'il était plus vieux en listant toutes les expériences dont elle a été privée, comme être frivole avec les garçons et s'amuser et être légère. je me suis pas mariée à 19 ans moi mais c'est un peu comme si. à la fin l'autrice m'a fait un sourire appuyé comme si elle avait deviné et puis j'ai dit bonjour à f. mais j'ai pas osé aborder les autres alors j'ai mangé un mini sandwich triangle au jambon cru pour me donner une contenance et je suis partie.
21 janvier
ce soir je suis allée voir poor things au cinéma et j'ai complètement reconsidéré mon plan d'écrire un roman d'autofiction pour écrire un livre de science fiction à la place. un poor things contemporain et à ma sauce. j'ai réservé le livre à la bibliothèque dès que je suis rentrée du cinéma. je veux écrire un personnage hilarant et cru qui se comporte de façon non encombrée par son égo, qui a un gros désir de savoir et de connaissance et qui soulève le voile sur le monde. le seul truc que j'ai pas aimé: les scènes de sexe qui m'ont mise mal à l'aise. je sais pas si c'est à cause de mon traumatisme du sexe non expliqué, ou si c'est parce que c'était trop douloureux de voir cette fille qui découvre le monde découvrir le sexe avec joie, un truc que je suis censée connaitre mais que je connais pas, ou alors si c'est juste une histoire de male gaze. mais à part ça ce film m'a apporté beaucoup de joie et d'exaltation et j'aime tellement quand le cinéma fait ça.
après le film je suis allée manger une pizza avec maman et d. et n. et pendant qu'il me parlait de rognons et de pattes de poule je voyais l'écran de mon téléphone qui arrêtait pas de s'illuminer avec des notifs de r. qui répondait à mes messages et j'étais contente d'avoir une distraction, même si c'était juste une pizza et le père de a. qui me parlait d'abats. je lui ai raconté mon épopée du weekend dernier avec chris weisman (à r. pas au père de a.) et il me disait qu'il le trouvait un peu agaçant parce qu'il exagérait trop et je me suis dit merde est-ce que je l'ai idéalisé comme j'idéalise r.? mais je crois pas que j'idéalise r. je lui ai pas répondu, j'essaie de le traiter comme le commun des mortels de mes autres amis, c'est-à-dire: mettre trois plombes à répondre.
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