Tumgik
#meuble télé
acamouflage · 1 year
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Library (Paris)
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cometovenice · 9 months
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Living Room Library A mid-sized Scandinavian open concept living room library with white walls, a tv stand, and a light wood floor and beige floor is shown in the illustration.
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beesolively · 1 year
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Library Montpellier a large, open-concept living room with gray walls, a wall-mounted tv, and no fireplace in an urban setting.
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aprilsnardini · 7 months
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Enclosed - Contemporary Family Room Inspiration for a contemporary enclosed medium tone wood floor and brown floor family room library remodel with white walls and a concealed tv
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cathtatedaily · 1 year
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Living Room Library in Paris
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worshipsam · 1 year
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Paris Built-In Home Office
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Dans cette rue, l’enseigne défraîchie « TÉLÉ MEUBLES YENNE » vous attrape l'œil. Ici pas de fla-fla, que de l'authentique. Une boutique d’antan où chaque recoin a son secret. Ce n’est pas très compliqué de percevoir la vie ici. On imagine Josette, la proprio, se lamenter sur le bon vieux temps. « Les jeunes d'aujourd'hui, ils savent même pas ce que c'est qu'un vrai téléviseur ! » Elle a cette voix rocailleuse, usée par des décennies de cigarette et de discussions animées. Femme au caractère bien trempé, elle vend avec passion des télés couleur aux familles aisées du coin, émerveillées par la magie de l'image. Pendant ce temps-là, leurs gosses s’amusent à tirer sur les antennes des postes radio sous le regard noir de Josette. À l’extérieur, le môme Nono file entre les jambes des passants, une baguette sous le bras, un sourire espiègle sur les lèvres. C'est pas vraiment un ange, mais qui l'est dans le coin ? Assis près de la vitrine, sur sa vieille chaise paillée, il y a Gustave, avec son chapeau un peu de travers et sa moustache en bataille. Ce gaillard, c'est le raconteur du quartier. « Y'a un môme, une fois, qu’a voulu troquer sa grenouille contre un poste radio. Non mais j’te jure ! » Il balance des histoires, vraies ou inventées, qui font rire ou pleurer. Dans l'arrière-boutique un peu sombre, Hortense bosse. Discrète, la tignasse en chignon, elle répare les appareils en panne avec une minutie d’horloger. Elle a ce regard dans le vague, comme si son esprit vagabondait ailleurs, peut-être dans des contrées lointaines où les horizons se confondent. Les volets bleus, témoins discrets, cachent sûrement quelques secrets d’amours de jeunesse. Peut-être ceux d’une certaine Claudine, fille de Josette, qui guettait depuis la fenêtre le beau Lucien, l’apprenti menuisier au sourire canaille. Si on tend bien l'oreille, on entend les échos des rires, des marchandages et des chuchotements d’hier qui se mixent en une pure symphonie de vie. Ici, les souvenirs swinguent encore.
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urween · 21 days
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"Suis-moi"
Louis Bloom x GNreader
notes : j'ai essayé de tout faire pour garder un gender neutral reader pour cette première publication ! ;)
! warnings : manipulation, crimes, sang, language cru, voyeurisme, violence
résumé : tu rêves de rejoindre une entreprise depuis plusieurs années et ce jour devient enfin réalité lorsque tu rencontres le patron, Louis Bloom.
1950 mots
- Description à la deuxième personne
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Deux ans que tu essayes en vain d’obtenir ce job, via des candidatures envoyées, des courriers papiers ou même des déplacements réels. La réponse est toujours la même : “pas besoin de personnels”. Tu rêves d’être dans ses voitures, de tenir cette caméra, de le voir.
Tout a commencé devant la télé de tes parents, un dimanche soir comme les autres. Ta mère voulait absolument regarder les informations, tout l’inverse de ton père qui avait posé un casque sur ses oreilles, toi, tu ne t’en préoccupais pas réellement, tu préférais t’occuper du repas. Mais une musique a fait relevé ton regard de la planche à découper, un bandeau rouge prenait la moitié de l’écran télévisé, en gros une phrase apparut : “interruption spéciale”. Un journaliste expliqua une situation qu’il décrivait de sanglante, il glissa rapidement quelques mots pour prévenir des images potentiellement choquantes qui allaient suivre. Soudain, un corps inerte fut montré en gros plan, une voix en fond expliquait le contexte mais tu n’écoutais déjà plus. Ton esprit était comme absorbé par cette vision. Le sang sur le sol, les lumières bleues, les ombres paniquées, et puis, cette précision dans le mouvement de caméra, cette gestuelle fluide et non tremblante, comme un poisson dans l’eau, passant dans un banc de sardines déchiquetées. Le flash de la caméra fut activé et tu laissas échapper un couinement, que ta mère prit pour de la peur.
« Tu as raison c’est affreux, quelle honte de montrer ce genre de choses à la télé, rouspéta-t-elle en attrapant la télécommande  »
L’écran devint noir sous tes yeux, mais tu eus le temps d’y lire une dernière chose, peut-être la plus importante : “Video Production News”.
Depuis ce jour, ton but est de te faire engager par cette entreprise. Tu as toujours aimé faire des vidéos, de ta famille principalement mais aussi beaucoup de la ville, des bâtiments, rues, voitures, pelouses, tout ce qui pouvait attirer ton oeil tu le filmais. Pour ton seizième anniversaire ta tante avait acheté une caméra, ta première vraie caméra, que tu as épuisé jusqu’à sa dernière seconde de vie. Aujourd’hui, tu peux compter au moins quatre caméras dans ton tiroir de commode, chacune utilisée pour différentes raisons. Malgré tout ça, tu ne parviens pas à rentrer dans cette entreprise, alors tu dois te contenter de filmer pour quelques marques qui font appel à toi via ton site internet. Tes parents te soutiennent dans ton projet, même si au fond ils espèrent que tu laisses tomber cette idée folle. Tu n’as pas vraiment d’amis proches, ils finissent tous par partir car tu ne passes pas assez de temps avec eux. Mais depuis ton enfance tu n’as jamais été proche des autres enfants, ils t’agaçaient avec leurs cris stridants et leurs petites mains tactiles. Tu n’as jamais été très tactile de toute façon, le contact physique est précieux à tes yeux, il doit être fait avec des personnes proches et importantes, comme tes parents par exemple. C’est aussi pour cette raison que tu n’as pas d’animaux de compagnie, pas que tu n’aimes pas ça, tu ne te sens simplement pas à la hauteur de prendre soin d’un être dépendant de toi. Alors ton appartement est assez vide, peu de décorations et de meubles, juste ce dont tu as besoin. Ton seul plaisir coupable est les vêtements, tu aimes beaucoup t’habiller et tu prends souvent tout ton temps devant le miroir pour le faire. Ton armoire est sûrement pleine à craquer mais tu te réconfortes en te disant que toi au moins tu portes absolument tout ce qu’elle contient contrairement à ta tante qui accumule sans utiliser. Ton père aime dire que tu es quelqu’un de très précis et déterminé, c’est aussi pour ça que depuis ce matin tu attends dans ta voiture que l’immense bâtiment Video Production News ouvre ses portes. Et ta patience finira par payer.
Tu passes les portillons de sécurité, pour la douzième fois, continuant ton chemin. Dans un coin, deux hommes sont assis et parlent, dans l’autre la femme qui gère l’accueil soupire en te voyant arriver.
« Bonjour Myriam, belle journée n’est-ce-pas ? Ta voix enjouée la fit rouler des yeux »
« Il pleut depuis hier soir, je n'appelle pas ça une belle journée, rétorqua-t-elle en lançant un regard ennuyé vers l’extérieur »
« La pluie offre de superbes images, elle créait des reflets n’importe où, ton sourire fit soupirer davantage la femme en face, ne penses-tu pas que je serais incroyable dans cette entreprise ? Aller laisses moi avoir ne serait-ce qu’un petit entretien avec le patron »
Derrière ses écrans, Myriam secoue la tête de gauche à droite, mais ta détermination reste entière.
« Tu prends donc les décisions pour lui ? Je ne trouve pas ça très professionnel de ta part, n’est-il pas assez grand pour décider ? La fossette qui creuse ta joue gauche attire le regard de la secrétaire alors tu continues, il pourrait sûrement te mettre à la porte pour ça non ? Je pense que si, j’ai entendu dire qu’il était très exigeant et je le suis aussi, je reviendrais Myriam tu le sais donc laisses moi le voir, s’il te plait »
Un silence passe entre vous deux, Myriam attrape nerveusement sa lèvre inférieure entre ses dents avant de se pencher vers le téléphone à sa droite. Un éclat d’espoir traverse tes iris lorsqu’elle porte l’appareil à son oreille, tu peux entendre la sonnerie retentir, une, deux, trois fois.
« Bonjour monsieur je- oui je sais excusez-moi, Myriam gratta nerveusement son cou, oui une personne souhaiterait vous rencontrer dans le cadre d’un entretien d’embauche, mh oui exactement, plusieurs fois oui, d’accord je fais transmettre, au revoir monsieur Bloom »
Ton pouls n’a certainement jamais été aussi puissant, Myriam repose le téléphone sur son socle et te regarde avec ennui.
« Aujourd’hui quatorze heures, devant le bâtiment »
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Tu as passé une heure et demie dans ta chambre à choisir la tenue, sortant toutes tes vestes, chaussures et même chaussettes, tout doit être parfait. Et comme toujours, tu as réussi à rendre ton apparence parfaite dans le miroir.
Le vent est froid, tu préfères laisser tes mains dans tes poches de veste. Tu as quinze minutes d’avance mais ça te rassure, comme ça tu as le temps de t'habituer à l’environnement, voir les points faibles et forts, mais surtout le voir arriver.
Louis Bloom, dirigeant de l’entreprise Video Production News depuis plusieurs années, cinq précisément. Il contrôle tout cet endroit à lui seul, pas d’assistant, seulement des équipes qu’il envoie à travers la ville et ses alentours pour filmer tous les accidents et crimes qu'il estime précieux. D’après ce que tu as trouvé sur lui, il est difficile de le voir physiquement dans le bâtiment principal, bien qu’il y passe beaucoup de temps il aime filmer lui-même les plus grands “chefs-d’œuvre de son entreprise”, comme il était décrit dans l’article que tu as lu. Tu as vu des photos de lui, toujours dans un cadre professionnel. En fait, tu n’as absolument rien trouvé qui ne soit pas professionnel à son sujet. Aucun profil sur les réseaux sociaux ni de proches pouvant publier des photos de lui. Il n’est jamais vraiment accompagné, seulement entouré de ses employés ou bien seul avec sa caméra. Tu as enregistré une photo de lui dans ton téléphone, juste une, pour la regarder sur le chemin et te préparer à affronter ce regard bleu. Malheureusement, aucun entraînement ne peut préparer à Louis Bloom, et tu allais vite le comprendre.
Dans sa voiture rouge, Louis t’observait derrière ses lunettes de soleil, son pouce massant sa cuisse dans de lents mouvements. Il était ici depuis une heure, attendant de te voir arriver. Il n’avait pas été surpris en voyant ton avance, tu étais toujours en avance pour l’ouverture du bâtiment, depuis le début, dans ta petite voiture noire aux roues salles, avec ce regard, le même qu’à présent. Il devait par contre avoué avoir été surpris de ta détermination. Toutes les semaines, un courrier portant ton nom arrivait sur son bureau, il ne le lisait pas, il préférait te regarder l’écrire depuis ton salon. Ta patience, il l’apprécie également. La façon dont tu ajustes tes cadres photos dans ta chambre presque tous les soirs, il n’arrive jamais à te quitter des yeux lorsque tu le fais. Puis ton doux visage fatigué lorsque tu te retiens de t’endormir dans le canapé, il doit toujours fermer les yeux après pour reprendre son souffle, tu sembles si docile dans cette position, ça le rend dingue. Comme maintenant, tu attends, tu l’attends lui et seulement lui, et ça le fait vriller. Mais il doit se calmer, il faut qu’il se calme, car c’est le moment le plus important dans le processus.
Tes joues brûlent légèrement avec le froid, ton corps est pourtant bouillant d’impatience. Plusieurs personnes sont entrées et sorties du bâtiment depuis ton arrivée, quelques-unes t’ont souris et tu leur a sûrement répondu. Le sol est encore mouillé de la pluie qu’il a dû supporter, tes chaussures laissent de légères marques humides sur les endroits secs du trottoir, tu t’amuses à y dessiner un cœur avec. Mais un son proche te fait relever la tête de ton dessin.
« Je suis heureux de voir que tu sembles être quelqu’un de créatif, c’est une qualité que je recherche »
Ton cœur rate un battement en voyant monsieur Bloom devant toi. Tu as vu qu’il fait un mètre quatre-vingt deux mais quelque chose en le voyant te fait te sentir minuscule. Un sourire étire ses lèvres, marquant au passage deux grosses fossettes dans ses joues creusées, et tu te rends compte qu’il faut que tu parles.
« J’avais hâte de vous rencontrer monsieur, j’espère que je ne prends pas un temps que vous auriez pu placer ailleurs, tu articules clairement en faisant ton possible pour ne pas détourner ton regard de lui » 
Dans un mouvement rapide, il enlève ses lunettes noires et les accroche à son col de chemise. Tu parviens à maintenir tes lèvres fermées, même si l’envie de laisser ta mâchoire tomber au sol est très grande. Ses yeux sont encore plus grands en vrai, plus brillants, bleus et surtout, plus transperçant. Un frisson passe dans ta nuque, et au fond de ton esprit une voix s’inquiète de l’aura angoissante que dégage cet homme, mais tu ne peux t’empêcher de serrer les cuisses.
« Je place toujours mon temps dans les meilleurs endroits, son regard ne te quitte pas une seule seconde, et j’apprécie que tu te soucis de mon emploi du temps, tu accumules les bons points »
Une chaleur agréable passe dans ton corps, tu souris poliment à l’homme qui te fait face, tout en espérant que tes yeux ne trahissent pas ton surplu de joie.
« J’aurais juste une question pour toi, une seule et unique question mais prends le temps d’y répondre, mes questions sont toujours importantes et cruciales, tu dois le savoir dès à présent »
Louis observe ton corps réagir merveilleusement bien à ses mots, ton buste est légèrement penché vers lui et ton cou à porter, tous ces signes qu'inconsciemment tu lui envoies lui font perdre la tête. Il doit se contenir, tellement se contenir, pour ne pas te plaquer contre le mur et te faire pleurer sous ses baisers, détruire ce sourire angélique et massacrer l’innocence que tu émanes, pour que tout le monde comprennent que tu n’es à présent qu’une épave, une poupée que seul lui contrôle du bout des doigts.
« Serais-tu capable de me suivre en pleine nuit si je t’appelais ? »
Une lumière traverse tes yeux, rapide, mais il a pu la voir et il sait la réponse, il connaît la suite maintenant, il adore la suite.
« Oui, oui je vous suivrais, monsieur Bloom »
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afrobdsm · 1 month
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"C'est quoi cette affaire de pervers là ?"
Tout commence y'a un peu plus de dix ans (j'en ai bientôt 33) où comme presque beaucoup de personne sans emploi, je passe mes nuits devant la télé.
A cette époque je m'affirmais seulement comme féministe, autant dire qu'il y avait un gros travail de déconstruction qui m'attendait car dès que je suis tombée sur cette vidéo, je n'ai pas pu résister à l'envie de juger et fort !
Les quelques images que j'ai gardé en tête ne représentent pourtant rien de choquant. Un homme et une femme d'origine japonaise, dans -je suppose- une chambre traditionnelle japonaise vide de meubles et -je suppose toujours- en tenue traditionnelle japonaise. Je me souviens avoir été sensible à tout ce que je voyais à l'écran car je cela ne ressemble en rien à ce que je vois dans mon quotidien de jeune fille encore un peu fermé d'esprit.
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Le premier choc arrive lorsque l'homme -plutôt âgé- se met à déshabiller la femme -d'un certain âge. Je change de chaîne croyant naïvement que le/la stagiaire s'est surement trompé dans la programmation nocturne de la chaîne.
Après quelques minutes et de nature curieuse, je retourne sur la chaîne précédente et là je vois la femme presque nue, suspendue au dessus du tapis par je-ne-sait combien de centimètres de cordes.
Je ne comprends pas du tout ce que je vois mais je poursuit, mis enchantée mi dégoutée mais surtout dégoutée.
Je ne suis pas certaine d'avoir coupé la télé mais ce qui est sûre est que mes pensées, encore un peu dictées par ce que la société considérait de respectable ou non, sont de suite repartie dans le jugement.
Il faut savoir que mes parents viennent d'Haïti et j'ai envie de dire avec cynisme que les parents se sont donnés pour tâche de presque toujours soufflé ces mots à leur enfants :
"Lekol, legliz, lakay."
*"l'école, l'église, la maison."
Je vous laisse donc deviner l'ambiance général à la maison dès que quelque chose qui ne rentrait pas dans les normes, poppait dans la maison que j'habitait aux habitudes et pensées traditionnelles.
Voilà comment j'ai découvert le Shibari !
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lalignedujour · 2 years
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Certains lieux me suivent. Quand j'entends une histoire, les pièces, les rues, les points cardinaux se composent devant moi. Sans le vouloir, sans le savoir. C'est comme les rêves : il y en a qui reviennent, et d'autres inédits.
Ils sont en moi et apparaissent en aléatoire.
Il y a le salon de quand j'étais petit. Immense. Plein de cabanes potentielles, la voix de Bruno Masure qui résonne dans les tubes cathodiques de la télé, le tapis noir aux carrés de couleurs vives qui marque mes tibias tendres, et l'interdiction de jouer avec le téléphone à cadran. C'est là qu'habite Philippe Delerm, il y reçoit ses amis, il tire un rideau pour surveiller son rosier, parfois il monte dans la chambre de mes parents pour tenter de faire une sieste mais le bruit du gravier sous les pneus de la voiture le réveille.
Un appartement loué à la mer avec mon ancienne amoureuse. Un weekend de kiff à deux. Très peu de meubles, pas de linge de maison. Beaucoup de nourriture, beaucoup de sexe. On riait d'autant de gourmandises. C'est là que se passent pour moi toutes les anecdotes de ma sœur. Sauf pour la cuisine parce qu'elle était toute petite. Si elle me parle de cuisine, c'est celle d'un appartement que j'ai visité Boulevard Rochechouart il y a 12 ans. Il y avait pas mal de vaisselle sale et il faisait sombre, mais elle était assez grande pour accueillir une scène. Si elle me donne un autre élément (l'heure, par exemple), ce sera peut-être la cuisine du dernier appartement avec mes parents qui viendra.
Un autre appartement loué à la mer avec mes parents. On commandait à emporter et on mangeait à l'intérieur. Je pense qu'il avait fait moche cette semaine. En fait, je ne suis pas sûr que ce soit à la mer. C'est là que se passent la plupart des scènes de sexe des personnages de Houellebecq.
Une maison dans laquelle on a été deux étés de suite en vacances quand j'étais petit. Une table dans le jardin. La nuit tombait, ça sentait l'herbe encore chaude et la citronnelle. C'est à cette table que la fille de la chanson remonte sa jambe et montre ses Piqûres d'araignées à Vincent Delerm. "Elle dit regarde là, et là". "Elle dit tu vois, je ne mens pas".
Cet appartement dans lequel j'ai passé 15 minutes. J'avais 2 fêtes ce soir-là, mais au lieu de passer d'une fête à l'autre au milieu de la soirée (et de ne profiter vraiment d'aucune des deux), j'ai préféré aller à la première fête avant la fête et profiter de mon pote (qui était la seule personne que je voulais vraiment voir), puis aller à la deuxième fête du début à la fin. Il venait d'emménager, il avait installé un sapin et avait fait imprimer sa tête d'ahuri sur les boules, ça m'a fait rire. C'est là qu'habite aussi Momo de La vie devant soi.
Mon premier appartement de couple est le premier appartement de tous les couples.
Mais la chambre de tous les enfants est en fait la chambre d'un copain chez qui j'ai dormi une seule fois vers 11 ans.
Toutes les scènes sur les aires d'autoroutes se déroulent pour moi sur la même aire d'autoroute.
Le discours de Fabrice Caro se passe chez ma sœur. En attendant Bojangles aussi, mais dans un ancien appartement à elle.
Quand Tesson nous raconte son amour impossible entre les pins des Landes, je les vois entre les pins oui mais près de mon lac en Suède.
Dans la chanson de Volo 17 ans, il se voit ado juger l'adulte qu'il est devenu, qui fait du vélo qui a des enfants. Ça se passe dans l'impasse du lôtissement péri-urbain où j'ai grandi. Alors que je n'y ai pas été ni ado, ni adulte. Je crois que ça symbolise l'âge adulte et le fameux combo maison, couple, voiture, enfants. Je n'avais pas de chien. S'il y a un chien, ça change la donne :
Dans Un soupçon légitime, Zweig décrit deux pavillons Anglais, côte à côte. Derrière, passe une rivière où joue le chien, et où se baladent les jeunes parents. Eh bien, pour moi c'est la Sèvre Nantaise. Les premières pages disent bien que c'est dans la campagne, non loin de Bath. J'aurais beau le relire, ça n'y changera rien : je vois la Sèvre Nantaise, en un point précis des quartiers sud de Nantes.
Si c'est dans la rue, c'est souvent à Berlin (je n'y ai vécu que de l'hiver à l'été). Mais dans L'étranger, c'est une rue de Tanger. Le dimanche qu'il passe à observer les allers et venues en fumant à sa fenêtre, c'est une rue qui descend vers le Détroit. La pente est douce, il y a une marche tous les trois mètres, mais entre les marches, les pavés sont aussi en pente. Ça donne une démarche sur la retenue, bassin en arrière, sauf chez les enfants (qui n'ont pas peur de tomber, et qui ont bien raison). Ce ne sont pas vraiment des pavés, c'est plutôt du béton quadrillé en relief. Le bord des marches est rouge et le reste est gris. En haut, il y a un arrêt de bus, c'est pour ça que les gens descendent la rue par flux discontinus. (Dans le livre, c'est parce qu'ils sortent d'une séance de cinéma.)
La scène de la laverie à Berlin dans Lève-toi et charme de Clément Bénech se passe en revanche dans une laverie à Utrecht. La fille qui lui donne son numéro en cornant les pages de son livre reste néanmoins Allemande.
Dans Par les routes, Sylvain Prudhomme a été vague, ça se passe dans une petite ville du sud-est de la France. C'est probablement Arles, mais je l'ai compris trop tard dans le bouquin. Pour moi, son appartement se trouve à Nice, la maison de son ami est en fait un Airbnb à Allassac, et les rues entre les deux sont à Montpellier.
Et les nouvelles de Marie Causse dans L'odeur de la ville mouillée sont toutes dans ma rue à Paris. La rue Mouton-Duvernet, celle de l'appartement de l'ami chez qui j'allais quand je n'habitais plus Paris. Il a lui même changé plusieurs fois d'appartement depuis. Parquet point de Hongrie parfaitement ciré. Un vieux meuble dans lequel il y avait des objets de guerre de 14 de son arrière-(arrière-?)grand-père. Des lettres, des photos et des médailles. Du coup, c'est aussi depuis cet appartement que parlent les vieux et vieilles quand la radio diffuse des témoignages de la rafle du Vel d'Hiv.
Dans ma dernière maison, j'accueille seulement Lila des Cerfs-Volants. Elle sèche ses vêtements près du poêle et attend que je rentre.
J'ai quitté certains lieux, ils ne m'ont plus quitté.
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skip-chiantos · 2 years
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Jour 1 (en retard) : Comptine
Rien n’est grave à la télé, on finit toujours par se relever !
Tel était le message véhiculé par les images colorés qui se déversait par l’écran de télé que le petit Bryan regardait. Son dessin animé se terminé, avec une petite comptine. Son petit frère hurlait dans son parc, s’époumonant, le visage rouge. Sa mère avait des écouteurs sur les oreilles et regardait son téléphone portable. Son père jouait aux jeux vidéos, un casque vissait sur les oreilles, hurlant encore plus fort dans le micro. Bryan se leva maladroitement, attrapa la télécommande et augmenta le volume. Bryan ne savait pas encore lire, ni écrire, mais il savait déjà comment allumer la télévision, sur quel bouton appuyer pour obtenir ce qu’il désirait, allumer la tablette ou encore les téléphones de ces parents. Il se rassit à quelques centimètres de la petite télévision et commença à fredonner un air. Personne ne pu l’entendre dans le bruit.
Il était une petite famille
Il était une petite famille
Qui jamais n’éteignait la télé
Qui jamais n’éteignait la télé
N’éteignais la télé
Bryan attendait dans son lit, les yeux rivés sur la tablette dans sa chambre. Son petit frère dormait au milieu des flashs de lumières colorées, assommé par son biberon spécial dodo comme l’appelait maman. Depuis son lit, Bryan entendait ses parents hurlait. Il savait qu’il ne devait pas sortir de sa chambre. Il savait que s’il sortait, on lui hurlerait dessus, et que s’il pleurait, lui aussi se ferait frapper. Bryan ne savait pas encore faire ces lacets, mais Bryan savait qu’il ne fallait pas les déranger. Il se redressa et augmenta le volume de la tablette avec son doigt.
Au cœur de la nuit
Mon ami l’écran
Réalité je fuis
Je ne suis qu’un enfant
Donne moi plus d’images
Pour devenir grand
Ce n’est pas d’mon âge
Pas d’secu enfant
Bryan regardait le smartphone de sa maman en mangeant ces céréales. Maman ne disait rien, le visage couvert de bleus. Elle tentait de nourrir son petit frère, qui refusait de manger. Fatigué, il recommençait à pleurer. Papa cria dans la pièce à côté et tout le monde baissa la tête, sauf son petit frère. Mama lui écrasa la bouche avec sa main. Le silence retomba, et Bryan relança sa vidéo.
Une chanson douce
Que me chantait les écrans
J’ai souvent la frousse
Quand Papa frappe Maman
Un écran pour m’évadait
Une autre journée à passer
La télé est cassée
Papa va la racheter
Bryan était resté seul avec son petit frère dans le salon vide. Sa maman pleurait au téléphone, dans la cuisine, la porte fermée. La télé des enfants gisait éventré sur le meuble. Les tablettes étaient en charge. On n’avait pas le droit de toucher à la télé de Papa. Bryan s’ennuyait, agité dans la pièce sans aucun écran allumé. Mais si Papa n’était pas là, il ne pourrait pas savoir qu’il avait regardé sa télé. Bryan commença à chercher la télécommande entre les coussins. Rien. Il fouilla dans le fauteuil de papa et trouva une boite. Comme une chasse au trésor. Il ouvrit la boite et poussa un petit cri. Son petit frère babillait dans son parc. Maman pleurait toujours.
Dans une famille ordinaire
Ordinaire ordinaire
Maman crie et papa fuis
Maman crie et papa fuis
Dans une famille ordinaire
Ordinaire ordinaire
Le petit Bryan s’ennuie
Et ne comprend pas la vie
Bryan trouve un pistolet
Pistolet Pistolet
Bryan trouve un pistolet
Et va pouvoir jouer
il le pointe sur son pti frère
son pti frère son pti frère
Comme il a souvent vu faire
Son père sur sa mère
Ça les fait bien rigoler
Rigoler rigoler
Alors, il fait comme à la télé
Même si ce n'est pas la réalité
Il appuie sur la gâchette
La gachette la gachette
Il n’aurait peut ètre pas du
Mais son petit frère ne pleurera plus.
Le monde entier découvrit l’atroce histoire, que les écrans pendant des jours crachèrent aux visages de tout eux que cela intéressait. Durant des jours, des débats animés se demanderont comme tout ça avait pu se passer, dans le beau pays de la liberté.
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claroisamess · 23 days
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J’aimerais me souvenir
Le sel, goût sale dans mal bouche
Fraîche mais pas froide, aux chevilles puis derrière les genoux puis l’entrejambe puis les seins puis les épaules et la tête entière
Bruit vide
Les yeux plissées, ça brille trop
Le bruit comme le sang dans mes oreilles
L’odeur du pin
Ma peau comme de la craie
J’aimerai me souvenir
L’entrée, avec le placard,
La salle à manger, la fenêtre
Le salon, la table en marbre, le rebord, la télévision, le coffre à chips
L’étagère à CD pour faire un meuble
La cheminée
le papier d’Arménie
Le meuble sous l’escalier
La cuisine, les carreaux, le placard en coin
La terrasse en béton
L’herbe montre
Le chemin de cailloux, les poireaux, le laurier,
La balançoire pleine de guêpes
La neige, une fois, et la boule balancée sur mon mur
La lumière dehors, la grande table en plastique
Le barrière en bois
Les toilettes, Camel, Nala
Les escaliers, je connais tous les pas
Les murs, white spirit
Le miroir en face de la barrière
La chambre de mon frère, le canapé, le pendoir Dingo
La poutre
La chambre de mes parents,
L’ordinateur familial
Le lit
La télé, le plus grand cabaret, le lecteur dvd
Le fauteuil de ma grand-mère
Il y avait un tableau là non?
Ma chambre
Le lit superposé
La chauffeuse
Le bureau
le lit double
le placard
le papier peint jaune et orange et le chat qui l’arrache
les instruments
l’ordinateur familial
La salle de bain
Orange, avec des poissons
Planche plastiques
La panier, il était rond ou carré? Et la baignoire ?
Le filet sur la fenêtre
La baignoire, de quelle forme elle était ?
Ovale ou en coin
Il y avait des marches
J’étais assise quand je me suis coupée
Pas de rideau
Un savon en forme de cigale
La baignoire
La baignoire
La baignoire
Le vélo avec mon père
c’était où? Les arbres
La boulangerie, chouquettes
le porche, les petots cailloux
le panier de basket
les tuiles
l’olivier
Ma maison me manque
Je veux rentrer chez moi
Ca n’existe plus
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christophe76460 · 2 months
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Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle qu’ils lui offrent ? (Ecclésiaste 5:11).
L’avidité — accaparer juste pour posséder — est un acte criminel. Jésus a dit :
Ne vous amassez pas des richesses sur la terre où elles sont à la merci de la rouille, des mites qui rongent, ou des cambrioleurs qui percent les murs pour voler (Matthieu 6:19).
Les riches n’ont pas à tirer le diable par la queue comme beaucoup d’entre nous ; ils possèdent peut-être un yacht dans la baie de Monte-Carlo, quelques villas ici et là, mais aussi des tracasseries à la pelle. D’abord, il y a le service des impôts qui veut son pourcentage, puis les parasites de tous bords qui défilent pour obtenir une part du gâteau et enfin les voleurs qui essaient par tous les moyens de s’approprier cette fortune, et plus tard les héritiers se disputeront le magot.
Qu’y a-t-il de positif dans cette situation ? La fierté, l’orgueil de posséder et le pouvoir de l’argent, mais ces vanités sont coûteuses.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Doux est le sommeil du travailleur, qu’il ait peu ou beaucoup à manger, mais l’abondance du riche l’empêche de dormir (Ecclésiaste 5:12).
Le simple ouvrier ne s’offre pas du caviar tous les jours, mais ça le préserve aussi de la gloutonnerie et il n’en dort que mieux. L’homme fortuné mange des mets fins que lui prépare son cuisinier, mais il s’en lasse et ils perdent leur goût à cause des soucis que lui donnent ses richesses et la peur de les perdre. Il faut qu’il soit toujours méfiant, vigilant à l’affût de ceux qui cherchent à croquer ses biens. Il doit passer beaucoup de temps avec son banquier et le comptable pour trouver des moyens de réduire ses impôts, et veiller sur sa propriété jour et nuit. Et s’il gare sa grosse berline dans un lieu public, il se la fait rayer ; ce n’est pas une vie, ça !
Je n’ai pas ce souci. Quand nous descendons dans un hôtel, une fois tous les cinq ans en moyenne, nous n’avons aucun objet de valeur à déposer dans le coffre-fort. En fait, nous ne fermons même pas la bagnole à clé parce qu’aucun voleur qui se respecte n’y jetterait un second coup d’œil. Les loubards qui voudraient nous dévaliser seraient furieux parce que notre télé a 12 ans, nous n’avons pas de chaîne Hi-fi, l’appareil photo est un vieux modèle, notre portable est le moins cher du marché et l’ordinateur est complètement démodé. Nous avons quelques beaux meubles anciens, mais il faudrait un camion pour les emmener.
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cricxuss · 2 months
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"Connaître ses classiques"
Elle rentrait chez elle, le pas pressé.
A cette heure-ci, il devait déjà être là....
Elle poussa la porte, et se déchaussa dans l'entrée, ôtant rapidement ses escarpins. Au plus vite, elle accrocha son manteau à la patère. Quant à son sac, elle le laissa là, par terre.
Les pieds presque nus, juste enveloppés du voile soyeux de ses bas, c'est sans bruit qu'elle entra dans la maison proprement dite. Elle entendit de la musique, ou peut-être la télé, dans le salon, et s'y dirigea promptement.
Mais, à sa grande déception, il n'était pas là.
"Chéri? T'es où?"
On n'aurait su dire si ça voix était rageuse ou suppliante.
"j'arrive... qu'est ce qu'il y a?"
Il sortit de la cuisine, une tasse de café à la main. Elle se précipita presque sur lui, s'agenouilla malgré sa jupe pour ouvrir le pantalon, et sans un mot d'explication, commença à masturber la verge surprise de cet assaut. Il réussit à poser non sans mal la tasse de café en sécurité sur le meuble le plus proche.
"Mais qu'est ce que tu .."
La réponse à cette question interrompue étant trop évidente, elle préféra refermer ses lèvres sur la queue maintenant endurcie, et prouvant une fois de plus que les femmes sont multitâches, ouvrit de ses mains libres la fermeture arrière de sa jupe.
Après quelques allers retours de sa bouche, elle se redressa et le repoussa sur le canapé, se débarrassa de sa jupe, puis de sa culotte, les yeux brillants de plaisir anticipé.
"J'en avais envie depuis le début de l'après-midi, au boulot... j'ai mouillé comme une folle. Je me suis même caressé aux toilettes, mais rien n'y a fait, j'ai envie de ta bite... j'espère que tu es aussi chaud que moi, bébé, parce que j'ai envie de me faire un remake de film: "une chatte sur un toi brûlant"."
Avec un soupir de luxure enfin assouvie, elle s'empala sur le sexe dressé, le plus profond possible, et embrassa son homme (encore étonné mais pas du tout mécontent) à pleine bouche en le chevauchant sur le canapé.
(Copyright Lucas Heller, 26/03/23)
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tournesolaire · 6 months
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(J'ai reçu mon premier courrier du club et j'étais comme une enfant en l'ouvrant. J'ai l'impression de faire partie de l'aventure pour de vrai. L'impression de pouvoir vivre ce que j'aurais aimé vivre avec Fauve quand j'avais 13 ans. J'étais tellement contente quand j'ai vu le petit autocollant et les photos)
Lundi soir finalement on a pas été au yoga avec Nathan, on s'est dégonflés à la dernière minute mais du coup on a été se poser tranquillement à l'appart, on a bu du vin en regardant la télé pendant que je finissais ma dissert c'était chouette
A un moment Anubis a voulu sortir alors j'ai sauté sur l'occasion et j'ai eu envie de pleurer de joie, on est restés plus d'une heure en promenade c'était vraiment trop trop bien j'étais super fière de lui (en rentrant on a ri parce que la grille était fermée alors on a du passer au restaurant récupérer les clés, Fred était super étonné de le voir la)
Le soir même on a fait une petite soirée avec Nathan (il était complètement rebs et il a fait des grandes déclarations hehe) et quand on s'est retrouvés que en amoureux Fred a pris soin de moi c'était trop mimi. Je me suis encore endormie dans ses bras devant Games of Throne alors il m'a fait des papouilles, il m'a bien bordée et il m'a même donné mon plaid tout doux et Nain Jaune sans me réveiller (il a aussi enlevé mes lunettes, c'est adorable)
Mardi on a été a la police comme c'était prévu et ensuite on a fait un tour au soutien actif (il a récupéré un super poste vinyle, on l'a essayé tout a l'heure il est incroyable), j'ai trouvé une jolie robe de sorcière et une veste en daim couleur camel
On est des vrais amoureux, un couple de vieux hehe c'est trop mimi
On a aussi été faire les courses a Aldi avant de rentrer
Petite soirée chill, on a fait un mini apéro avec le blanc pêche et il a préparé des genre de raviolis au pesto c'était délicieux
Ce matin c'était joli, je me suis pas mal réveillée sur le matin et on faisait que de se chercher dans le lit parce qu'on voulait être collés l'un à l'autre
J'ai eu beaucoup de mal à émerger alors il est parti chercher un petit dej et il m'a réveillée avec des bisous et des croustillons <333
On avait prévu de faire pas mal de choses mais la journée est restée relativement tranquille
De base on devait aller faire un tour en forêt ou aux viennes pour récupérer de la mousse et des petites plantes mais il était tard et il faisait déjà presque nuit alors on a seulement été au foyer aubois et on a trouvé plein de jolies choses
En conclusion on a: un nouveau meuble trop mignon (que je voulais acheter quand j'avais vu le même au soutien actif il y a un moment) pour poser le poste et Aphrodite, des vinyles qu'on a choisis ensemble, une petite lampe magique, une table a repasser, une valise en cuir et un livre
On a essayé un canapé en velours vert, il était superbe et on a vraiment hésité
On commence à acheter des meubles ensemble
Je suis tellement heureuse
J'ai jamais été si heureuse ni si amoureuse de toute ma vie
Je l'aime tellement
Et je suis tellement reconnaissante qu'il partage ma vie
Tellement reconnaissante qu'on construise notre vie à deux
Qu'on soit ensemble au quotidien
Qu'on vive des si jolis moments même dans la vie du quotidien
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sims4-jessy · 1 year
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L'appartement de David - partie 1
Bonjour bonjour!
Ce mois-ci c'est le début d'une nouvelle collection, baptisée L'appartement de David ! On commence par le salon.
David aime les meubles confortables mais aussi ceux fabriqués par des designers incroyables ! De cette façon, vous pouvez trouver des pièces très classiques et célèbres tout au long de cette collection !
Gros plan sur quelques articles :
- Le Simbook Pro s'est ouvert dans cet ensemble qui est en fait une télé à placer partout pour un bon moment netflix !
- Les interrupteurs d'éclairage sont fonctionnels !
- Vous pouvez empiler les cubes en fil de fer pour créer un rangement unique et amusant.
- Il y a deux largeurs pour les livres, pour s'assurer que vous pouvez remplir correctement les étagères, par exemple, les étagères à 2 tuiles seront remplies de livres larges, mais la bibliothèque à 1 tuile aura besoin de livres larges au milieu, et étroite sur Les cotés. La bibliothèque d'angle aura besoin d'un livre étroit.
Vous pouvez trouver les objets en recherchant David's Apartment ou Pierisim dans le jeu.
Certains éléments partagent les mêmes textures alors assurez-vous que les packages se terminent par "texture" dans votre dossier mod :)
Compatible avec tous les jeux de base, à l'exception de la chaise longue qui nécessite Dream Home Decorator
version non fusionnée et fusionnée disponible.
Merci beaucoup pour votre soutien 💚💚
Pierisim_DAVID_apartment_part1.zip
Pierisim_DAVID_apartment_part1_MERGED.package
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