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#musée maritime du québec
ghostshipglamour · 3 months
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Musée maritime du Québec - L’islet
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lilstjarna · 1 year
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Saint-Malo
Saint-Malo est un bourg portuaire d'Ille-et-Vilaine en Bretagne qui fut autrefois un véritable bastion de corsaires. La vieille ville est reconnaissable grâce à ses hauts murs en granite et au style typiquement breton de ses ruelles pavées et ses demeures anciennes.
Son charme pittoresque vous séduira au premier regard, n'hésitez donc pas à venir découvrir cette cité maritime où se mêle les histoires des marins, des hommes illustres et des bourgeois malouins.
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Comment venir ?
Saint-Malo se situe :
en train : 15min de Dol-de-Bretagne, 25min de Combourg, 1h de Rennes, 2h40 de Paris
en voiture : 20min de Dinard, 20min de Cancale, 30min de Dinan, 30min de Dol-de-Bretagne, 40min de Combourg, 1h de Rennes, 1h10 de Fougères, 1h40 de Laval, 2h25 de Le Mans
en bus : 35min de Cancale, 1h10 de Rennes
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Quand et combien de temps ?
Saint-Malo se visite assez rapidement pour le centre historique, cela peut donc être bonne idée d'expédition depuis Rennes pour une journée. Mais il est également possible de venir sur un grand week-end en agrémentant sa venue d'autres visites de cités bretonnes ou d'activités de bord d'océan.
La cité médiévale étant très touristique privilégiez une venue hors vacances scolaires et jours fériés. L'été la ville est également très visitée, préparez une excursion hors week-ends. Enfin, en hiver Saint-Malo est peu vivante, favorisez donc le printemps ou le début automne.
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Quoi voir à Saint-Malo ?
Des sites et monuments historiques : Frégate Corsaire l'Etoile du Roy, Fort national, Remparts, Fort de la Conchée, Iles du grand bé et du petit bé, Maison du Québec, Demeure de corsaire, Manoir de limoelou, Tour Solidor, Cap Fréhel, Malounière de la Chipaudière
Des musées : musée d’histoire de la ville, maison des poètes et des écrivains, musée des terres neuvas, l'aquarium
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Du patrimoine religieux : cathédrale Saint-Vincent, chapelle Saint-Aaron, chapelle Saint-Sauveur, couvent de Notre-Dame de la Victoire
Des parcs et jardins : Les Rochers Sculptés, parc des Chênes, Domaine de Briantais, jardin de Bel-Air, jardin des Douves, parc du Nicet, roseraie Sainte-Anne
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Quoi voir dans les environs ?
Des villes et villages : Rennes, le Mans, Dinan, Dinard, Dol-de-Bretagne, Fougères, Cancale, Laval, Combourg
Des lieux uniques : Bunker Cité d’Alet, Cimetière de bateaux de Quelmer, Malouinière de la Ville Bague, Château du Bas Miniac
Des espaces naturels : Domaine du Montmarin, parc botanique de Haute Bretagne, parc Saint Guinoux, jardins du Château de la Ballue
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crédits photos @lilstjarna
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valerietheriaultd · 1 year
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L'origine de « se gréer»
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Il est fréquent de dire à quelqu'un de se gréer pour aller quelque part. Dans ce sens, «gréer» signifie «s'habiller». Or, saviez-vous que ce verbe vient du vocabulaire maritime?
En effet, au 17e siècle, on employait le verbe «gréer» lorsqu'il fallait garnir un navire de mâts, de voiles, etc. L'ensemble de ces éléments se nomme le gréement.
Notons que le verbe « gréer » vient du vieux français «agreier», lui-même emprunté au scandinave «greida» (12e siècle) signifiant «équiper». Cela dit, on a décidé d'employer la forme simplifiée «gréer» pour éviter la confusion avec l'homonyme «agréer» au sens de «trouver à son gré».
D'autres mots québécois tirent leur origine du vocabulaire maritime étant donné l'importance des navires dans l'histoire de la province. Pensons notamment aux termes «débarquer», « proue », « poupe» et « pied de vent ». Mais ce sont des gouttes d'eau dans l'océan!
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Sources: Antidote, Usito, le CNRTL et le Grand Robert de la langue française
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lazyjacks · 7 years
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CCGS Ernest Lapointe and HMCS Bras D’Or, Musée Maritime du Québec
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fiezcapnordsblog · 2 years
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Samedi 4 Juin,
Kirkenes et ses mines de fer , dont 20% sont détenues par Félix Tschudi de Zurich, ont failli disparaître car les coûts d’extractions étaient trop onéreux. Les besoins de la Chine ont relancé tout le secteur minier, d’une ville en perdition elle devient la ville du futur en regard à la richesse de ses sols et des resources offshores maritimes environnantes.
La ville est aussi le dernier port desservi par les bâtiments de la ligne Hurtigruten qui déversent leurs milliers de touristes dans la ville. Ici comme au Québec les magasins n’ont pas de grandes vitrines visibles de l’extérieur, on est donc surpris une fois la porte franchie par la grandeur des lieux. Kirkenes abrite aussi un musée qui retrace la vie des peuples Samis du sud et du Nord ainsi que celui retraçant le passage des Allemands et de l’armée rouge qui ont laissé d’innombrables vestiges.
Nous avons repris la route et franchi la frontière Finlandaise vers 15.50h en ayant pris un peu d’altitude. Le changement est surprenant, en entrant dans les terres nous nous retrouvons dans des forêts de pins. Les rennes eux n’ont pas de frontières ils broutent nonchalamment en bord de routes larges et bien entretenues. Le pays des milles lacs dit on au sujet de la Finlande, nous en avons déjà compté 53, non mais beaucoup pour les quelques 150 km parcourus, c’est magnifique ! Nous passerons la nuit au bord de l’un d’eux en totale liberté.
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lazulimaya · 5 years
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French Canadian Witchcraft: Bibliography and Abstracts
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(this is a list of sources I’ve read for my own French Canadian Witchcraft tradition. It includes Montagnais Innu indigenous knowledge (though I try to not overstep, as my ancestors were only present in this culture from 1600 to 1876, but I honour them through knowing about their cosmology and outlooks), and French Canadian history and social analyses. The Voyageur texts by Podruchny were especially fascinating and easy to access. Other sources like articles can be tricky if you don’t have access to them through a university, but if anyone wants them, let me know, I can send them through email.
Armitage, Peter. “Religious Ideology Among the Innu of Quebec and Labrador”. Religiologiques 6 (1982): 64-110. 
A complex analysis of Montagnais religious culture and traditions through the lenses of ethnohistory. He explains traditions like the Animal Masters, hunting rites, the Shaking Tent ceremony, and the gendered roles of Innu society in the spheres of religion and culture. He also explains Innu mythology and cosmology, and the realms and rules that exist in those contexts. It is a very thorough text to read for comprehension on Innu religious beliefs and ceremonies.
Abbott, Frank. “The Devil Made Me Do It.”: Popular Spirituality in a Rural Québec Parish, 1736-1901” Journal of the Canadian Historical Association 27 no.1 (2016): 1-30. 
Cet article porte sur les récits populaires autour du diable dans la paroisse rurale de Saint-Joseph-de-Beauce, a 70 km au sud de la ville de Québec. Cette étude, une microhistoire de l’interaction des croyances populaires et du discours clérical dans la paroisse sur la longue période, permet de pénétrer dans leurs détails les rapports entre paroissiens et curés qui autrement demeureraient ignorés, mal compris ou même impénétrables au niveau diocésiain. En outre, les récits populaires sur Satan dans le comté de Beauce dévoilent comment le catholicisme interagissait avec le système de croyances populaires au Québec. D’une part, la peur des gens du diable renforça le message clérical sur la nécessité de satisfaire les besoins spirituels sur ceux de l’appétence corporelle. Mais les paroissiens produisirent également leurs propres versions de la  construction cléricale du diable, tout en s’écartant parfois sensiblement de ce modèle. Aprréhender les conceptions populaires du diable jette un nouvel éclairage sur la manière dont les récits et les contes populaires ont interpénétré la doctrine catholique, et comment les fidèles ont répondu à l’enseignement de l’Église catholique dispensé du haut de la chair ou du confessionnal (ou pourquoi ils ont failli à le faire.)
Clément, Daniel. “L’Homme-Caribou: l’analyse ethnoscientifique du mythe”, The Canadian Journal of Native Studies 11 no. 1 (1991): 49-93. 
Le mythe montagnais l’Homme-Caribou est analysé de façon ethnoscientifique en tenant compte des connaissances autochtones pour expliquer les éléments étranges du récit. Loin de souscrire au postulat de relations structurales entre les phonèmes du récit qui expliqueraient les mythèmes, l’ethnoscience propose plutôt d’en retrouver les origines. Cette recherche des étymons du récit se poursuit sur deux plans. Les aspects humains et zoologiques du récit sont ainsi dégagés, permettant d’entrevoir une image forte de la société montagnaise, a savoir celle d’un mariage entre l’homme et son gibier. 
Clément, Daniel. Le Bestiaire Innu: Les Quadrupèdes. Mondes Autochtones, 2012. 
This book is insanely amazing! It details in European scientific and biological context, but most importantly and for the major part has ethnological information about the important animals within Innu culture. It details their habits, diets, and mythologies associated with each animal, and what the Innu thought of them. I use it often for adding context to my animal magic and meditation. Summary: Les Innus, anciennement connus sous le nom de Montagnais, sont des chasseurs, trappeurs, pêcheurs et cueilleurs qui habitent la forêt boréale du nord-est du Canada. Par tradition, les animaux ont toujours occupé dans leur culture une place prépondérante. Les connaissances qu'en ont les autochtones sont donc vastes et variées. Ce volume consacré au Bestiaire Innu fait état du savoir innu concernant les 20 mammifères les plus connus, de l'ours noir et du caribou jusqu'aux diverses espèces de souris, en passant par le castor, le loup, le lièvre, le chien et bien d'autres. Des dizaines d'hommes et de femmes ont été interviewés sur les animaux depuis plus de vingt-cinq ans. A ces sources orales s'ajoutent des données provenant d'ethnologues, d'historiens, de missionnaires, de naturalistes, de biologistes et même d'aventuriers ayant parcouru à travers le temps le Nord québécois.
Gaudet, Rose-Delima. “La place de l’Église catholique aux Îles-de-la-Madeleine” Sessions d’études: Société canadienne d’histoire de l’Église catholique 46 (1979): 99-106. 
Le sujet proposé sera traité d’après des recherches exécutées aux archives du Musée de la Mer et publiées par nous dans un fascicule intitulé Odyssée missionnaire. Ce n’est qu’une ébauche, mais qui ouvre des horizons sur les activités missionnaires dans les Îles qui—encore récemment— n’avaient pas leur place sur la carte géographique du Canada. 
Harmon, Susan Janet. “Mi’kmaw Shamans and Acadian Sorcerers: A Study in Cultural Transmissions, Transferences and Transformations” Supervised by Dr. Jacques Ferland, Doctoral Thesis: University of Maine, (December 2014): 1-221. 
Concerned with the preservation of Acadian traditional culture, Acadian folklorists of the later twentieth century undertook the task of interviewing the elder population. One folklorist, Sister Catherine Jolicoeur, collected and classified 20,000 Acadian legends from New Brunswick. Jolicoeur’s collection includes over 400 variants of legends concerning the Mi’kmaq, and more than 350 of these variants associate the Mi’kmaq with sorcery. Acadian informants tell teh story of Mi’kmaw sorcery that follows a similar pattern, whereby the magically empowered Mi’kmaq arrive at Acadian homes in search of charity or to sell their hand-made baskets and other wares. Many of these encounters occurred between Mi’kmaw women, called taoueilles, who were believed to be the more virulent form of sorcerer. It was advisable to never dissapoint their Mi’kmaw visitors; for they would surely cast a malevolent spell in reprisal. Scholars point out that the Acadians imported from France an association of strangers with sorcery, therefore explaining the origins of their belief in Mi’kmaw sorcery. However, French documentary evidence reveals that accused witches in early modern France were more often well known neighbours rather than strangers. An analysis of both Acadian and Mi’kmaw oral tradition and documentary evidence leads to the conclusion that the legend is the product of cultural transference, moreover the legend and its transference served the purpose of social regulation. The Acadians brought with the a European witchcraft tradition, which transitioned and transformed as a result of exposure to a Mi’kmaw cosmology. Conversely, the Mi’kmaq adopted European witchcraft beliefs into their shamanic traditions, whereby a puwowin, or shaman, adopted certain European atributes. Prior to contact, both the Acadian and Mi’kmaw cultures stressed the importance of interdependence, whereby social transgressions concerning notions of reciprocity invoked the power of a retaliatory act of sorcery or shamanic reprisal. The resulting fear of offense served the purpose of controlling social behaviour and became the central theme in stories of Native sorcery within both communities during the post contact years. 
Labelle, Ronald. “Native Witchcraft Beliefs in Acadian, Maritime and Newfoundland Folklore” Ethnologies 30, no. 2 (2008): 137-152. 
Les légendes et les croyances traditionnelles acadiennes ont été recueillies et étudiées par différents chercheurs, la première étant Catherine Jolicoeur, qui amassa approximativement 400 récits traitant de la population autochtone des Maritimes, alors qu’elle menait ses enquêtes de terrain dans les zones acadiennes du Nouveau-Brunswick. Cet article s’intéresse à la question de la croyance en la sorcellerie amérindienne, non seulement dans le folklore acadien mais également chez les anglophones des Maritimes et de Terre-Neuve, afin de mettre en valeur les ressemblances ou les différences entre leurs systèmes traditionnels de croyance ainsi que leurs attitudes envers les groups amérindiens. On établit une comparaison entre les positions des groupes catholiques et protestants, et on porte une attention particulière aux questions liées au sexe et a l’identité des “sorcières”, en s’appuyant sur des sources allant du dix-septième au vingtième siècle. L’article démontre que durant toutes les périodes de l’histoire, depuis les premiers contacts entre les Européens et les populations autochtones des provinces maritimes, ces dernières ont étés perçues par les Européens comme étant potentiellement dangereuses et elles ont étés soupçonnées de posséder des pouvoirs surnaturels et malveillants. 
Lowen, Beltane. French Canadian Witchcraft: the History and Traditions of an Authentic North American Folk Magic Tradition. Sabien Press, 2003. 91 pages.  
Only available through the Library and Archives Canada. This book is written by a Wiccan context (meaning it gets its inspiration from Gardenerian traditions and Wiccan principles), attempting to argue that French Canadians as an ethnic people have their own magical tradition. He parallels French Canadian cultural elements like the Devil with the Wiccan Horned God, and the various Saints like Saint Anne and Mary as goddesses in their own right. He details the cultural history of witchcraft in New France, and how monsters such as the werewolf and fairies play roles in environmental magic. His construction of a French Canadian witchcraft tradition takes elements from Wicca (with its Celtic festivals), Christianity (like Saint worship), and folk traditions (such as clothing and crafts). It almost resembles hearth witchcraft, but with a historical and cultural context. 
Niemeyer, Mark. “Henry Wadsworth Longfellow’s Evangeline: A Tale of Acadie and the Ambiguous Afterlife of the History of the Acadians. Canadian Review of American Studies 48, no. 2 (2018): 122-145. 
Longfellow’s Evangeline was hailed as a great and distinctively American work when it appeared in 1847, and the poem’s use of North American history was a key element in its favourable reception. This use of history, however, is ambiguous and complex. This epic continues, first of all, in a long tradition of romanticized retellings of the heart-rending story of the Acadians. but the work also engages in a dual-level dialogue with both the mid-eighteenth century history of the Acadians, who are pitied, without inciting indignation, and the contemporary history of mid-nineteenth century America, whose expansionism it both implicitly celebrates and criticizes. 
Pearl, Jonathan L. “Witchcraft in New France in the Seventeenth Century: The Social Aspect” Historical Reflections/ Réflexions Historiques 4 no. 2 (Winter/Hiver 1977): 41-55. 
Surprisingly, New France was almost untouched by the sort of witchcraft accusations and trials which were endemic in New England and Europe throughout the seventeenth century. There were a few cases in which witchcraft, or spells, seem to have been a factor, but they were not formal witchcraft accusations or trials, and one does not detect the same sense of terror as in the European situation. After a brief examination of a few well-known cases in Quebec, this paper will examine several aspects of the culture and society of New France which related to beliefs and practices of witchcraft. We will, through a comparison of these areas with the society and culture of France, attempt to determine the differences which resulted in an almost total lack of witchcraft persecution in New France. 
Podruchny, Carolyn. “Werewolves and Windigos: Narratives of Cannibal Monsters in French-Canadian Voyageur Oral Tradition”, Ethnohistory 51 no. 4 (Fall 2004): 677-700. 
This fascinating article delves into the cultural ties between French Canadian trappers and indigenous trappers on their respective monsters: the werewolf and the windigo. It illustrates the traits of these two monsters, the social contexts of identifying both of them through their peoples’ perceptions, and exploring how the daily lives of trappers in the wilderness allowed the two beliefs and monsters to flourish. It also deals with the practical symbiosis of the two monsters, as the two cultures intertwined within the context of the fur trade. 
Podruchny, Carolyn. Making the Voyageur World: Travelers and Traders in the North American Fur Trade. Toronto: University of Toronto Press, 2006. 
Carolyn Podruchny explores the little-known world of the common voyageur in New France through thorough analysis of rare archival material, and interprets the daily lives of the voyageurs and how it informed their unique and eclectic cosmology, marrying French Canadian beliefs and superstitions with Indigenous beliefs and cosmology. 
Sandwell, B.K. “The French Canadians”, The Annals of the American Academy of Political and Social Science 253: Features of Present-Day Canada (September 1947): 169-175.
This article explores the unique identity and characteristics of French Canadians and their history. It’s simple and introductory, but concise. 
Smallman, Shawn. “Spirit Beings, Mental Illness, and Murder: Fur Traders and the Windigo in Canada’s Boreal Forest, 1774 to 1935.” Ethnohistory 57 no.4 (Fall 2010): 572-596. 
This article builds on the extensive literature regarding the Algonquian belief in the windigo, a cannibal spirit, by examining how traders of the Hudson’s Bay Company viewed this phenomenon from the eighteenth to the early twentieth century. As native people brought windigos to posts for care or sought help from HBC employees to protect their families, traders responded to this disorder based on their company’s economic interests and their adherence to Enlightenment thought as well as on indigenous expectations of reciprocity. The fur trade and the windigo disorder were linked historically, so that the passing of the one marked the fading of the other, as the economic and cultural ties that shaped relationships between Algonquians and outsiders underwent a profound change in the early twentieth century. An imperial context ultimately determined how most Canadian institutions responded to the windigo, as colonial authorities created narratives around this disorder designed to increase their control over Cree and Ojibwa communities. 
Wintemberg, W. J. “French Canadian Folk-Tales”, The Journal of American Folklore 17 no. 67 Published by American Folklore Society (Oct.-Dec. 1904): 265-267.
The following tales were kindly communicated to me by Mr. John C. Day of Toronto. These tales were related by Mr. Day’s mother, a French Canadian. 
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rocketrickster · 2 years
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Visit to HMCS Bras D’or (at Musée maritime du Québec - Capitaine J.E. Bernier) https://www.instagram.com/p/CiIcPi7ur8N/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON
Histoire
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’ancienne colonie devient territoire d'outre-mer (TOM) en 1946. Le 3 janvier 1960, onze membres du conseil général ainsi que le sénateur Henri Claireaux démissionnent pour dénoncer les difficultés économiques créées par l'introduction du nouveau franc français. Le général de Gaulle lui marquera sa reconnaissance pour son rôle dans la France Libre par une visite le 20 juillet 1967 à bord du croiseur Colbert, avant de faire route pour son célèbre voyage au Québec, l'une des quatre seules visites d'un chef d'État français. Traditionnellement, Saint-Pierre-et-Miquelon représentait un intérêt économique important en raison des droits de pêche attachés à la zone économique exclusive de 200 milles marins. L'interprétation divergente de la France et du Canada sur l'application de cette règle internationale donna lieu, à partir de 1988, année de l'arraisonnement du chalutier Croix-de-Lorraine par les Canadiens, à un contentieux entre la France et le Canada. À la suite de l'arbitrage international sans appel de New York en 1992, la zone maritime attribuée depuis à l'archipel se limite à la zone économique exclusive de 12 nautiques à l'est, nautiques à l'ouest, et un corridor de 200 nautiques de long par 10 de large, orienté nord/sud.
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Geographie
Saint-Pierre-et-Miquelon est un archipel français d'Amérique du Nord situé dans l'océan Atlantique nord. Ancien département d'outre-mer, c'est aujourd'hui une collectivité d'outre-mer.
L'archipel est composé de deux îles principales: Saint-Pierre, la plus petite qui abrite cependant 86 % de la population, ainsi que Miquelon constituée de deux presqu'îles: Grande Miquelon et Langlade reliées entre elles par un isthme de sable (tombolo double) depuis le XVIIIe siècle. D'autres petites îles et îlots non habités font partie de l'archipel (la souveraineté sur l'Île Verte étant incertaine).
L'archipel est l'un des sept territoires français en Amérique et le seul en Amérique du Nord, dernier vestige de la Nouvelle-France, perdue lors de la guerre de Sept Ans.
Le climat de Saint-Pierre et Miquelon est un climat océanique plutôt froid et humide.
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Population
Les habitants de Saint-Pierre et Miquelon sont environ 6500. On les appelle "St Pierrais" et "Miquelonnais" et sont en majorité des descendants de normands, bretons, basques… La monnaie utilisée à Saint-Pierre et Miquelon est l'euro. L'économie est historiquement surtout tournée vers la pêche, et la pêche à la morue en particulier.
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Climat
Le climat des îles suit les évolutions de Terre-Neuve. C'est un climat océanique froid et humide avec une forte modération maritime. Balayées rapidement par les dépressions atlantiques naissantes, la position de Saint-Pierre-et-Miquelon en fait un lieu d'affrontement entre les poussées d'air froid arctique et les masses d'air maritime plus douces. C'est également le lieu de rencontre du courant océanique chaud du Gulf Stream et celui froid du Labrador. Ainsi, il est rare de voir des températures inférieures à −10 °C l'hiver, la moyenne hivernale n'étant que de 5 °C, avec de fréquentes chutes de neige. La température moyenne l'été est de 16 °C, avec certains jours un brouillard très dense pendant juin et juillet.
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Curiosité
L'expression théâtrale se manifeste sur les deux îles de manière affirmée de même que plusieurs groupes musicaux locaux. L'archipel compte cinq musées dont un à Miquelon et deux à l'île aux Marins. Le Francoforum est un établissement dépendant de la Collectivité territoriale. Ouvert en 1992, il a pour mission d'enseigner la langue française aux Canadiens anglophones désireux d'y venir en stage. Il est accrédité auprès du gouvernement du Canada…
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https://www.bing.com/videos/search?q=saint+pierre+et+miquelon&&view=detail&mid=6AED629A46FF374DC6B96AED629A46FF374DC6B9&FORM=VRDGAR
MARTINIQUE
Histoire
Pendant la décennie 2000, le débat politique en Martinique porte sur la question de l'évolution statutaire de l'île. Deux idéologies politiques s'affrontent, l'assimilationnisme et l'autonomisme. D'un côté, il y a ceux qui veulent une évolution statutaire fondée sur l'article 73 de la Constitution française, c'est-à-dire que toutes les lois françaises s'appliquent de plein droit en Martinique, en droit cela s'appelle l'identité législative, et de l'autre les autonomistes qui veulent une évolution statutaire fondée sur l'article 74 de la Constitution française, autrement dit un statut autonome placé sous le régime de la spécialité législative à l'instar de Saint-Martin et Saint-Barthélemy.
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Geographie
D'une superficie totale de 1 128 km2, ce qui la place au troisième rang après Trinidad et la Guadeloupe dans le chapelet d'îles qui constituent les petites Antilles ou Îles du Vent. Le point culminant est le volcan de la montagne Pelée. Comme le reste des petites Antilles, la Martinique est soumise au risque sismique : ainsi, le 29 novembre 2007 à 15 heures, heure locale, un séisme de magnitude 7,4 sur l'échelle de Richter a eu lieu au large de l'île. On sépare généralement la Martinique en deux zones distinctes. D'une part, une zone située au nord d'un axe Fort-de-France - Le Robert, qui constitue la partie la plus montagneuse de l'île, domaine de la forêt tropicale, et, d'autre part, une zone située au sud de cet axe, moins accidentée, plus sèche.
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Climat
Le domaine bioclimatique de la Martinique est un domaine tropical plutôt humide. Les instructions nautiques modernes distinguent deux saisons marquées, liées aux précipitations : la saison humide, de mai à novembre, et la saison sèche de février à avril. Cette saison sèche correspond normalement à une période de fort ensoleillement et de sécheresse. Comme elle commence normalement après le carnaval, elle est appelée carême. En pratique, les fluctuations sont nombreuses. Il y a des hivernages plus longs ou plus courts selon les années ou bien des hivernages tardifs ou précoces, des carêmes très secs ou pluvieux.
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POPULATION
Martinique a 383 911 habitants et sa population est majoritairement composée de noirs d'origine africaine, de métis et de mulâtres à 80%, d'indo-caribéens à 10%, d'Européens encore à 10%. Mais la Martinique est desormais la Region de France qui perd le plus d'habitant: la collectivite territoriale compte plus de departs que d'arrivees.
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CURIOSITE’:
Drapeau de la Martinique
Aucun drapeau de la Martinique n'a de statut officiel hormis le drapeau de la France, bien que plusieurs drapeaux soient utilisés localement.
Drapeau aux serpents
Le drapeau orné du serpent fer de lance, symbole de l'île, n'a aucun caractère officiel en Martinique.
On retrouve aujourd'hui ce drapeau à côté du drapeau français sur des édifices publics de l'île. Il est également repris à l'occasion d'évènements sportifs caribéens.
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Drapeau rouge, vert et noir
Le drapeau rouge, vert et noir est revendiqué par différents groupes et partis indépendantistes martiniquais et figure sur le fronton de la mairie du Prêcheur dont le maire est affilié au Modemas.
Différentes versions existent sur l'origine du drapeau rouge, vert et noir. Selon le Modemas, les trois couleurs seraient apparues dès 1665, lors de révoltes d'esclaves menées par « Francis Fabulé » un Noir marron qui aurait combattu avec les Caraïbes contre les colons français.
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Drapeau de l'UNIA
A ces trois couleurs apparaissaient sous la forme de trois bandes verticales, à l'image du drapeau français: le rouge représentait le socialisme, le noir le combat pour la cause noire et le vert celui pour la paysannerie, ces trois couleurs reprenant aussi celles de l'UNIA.
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Drapeau du Taekwondo martiniquais
Drapeau de la délégation martiniquaise lors des rencontres internationales de Taekwondo
Le 30 avril 2011, la Martinique est devenue membre associé de la Fédération mondiale de taekwondo, elle est reconnue en tant que nation sportive à part entière.
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bblsc · 6 years
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Une terre riche à visiter en famille
D’ailleurs, CAA-Québec révélait, lors d’un récent sondage, que la province demeurait la destination favorite de 35% des vacanciers québécois. Mme Bouchard confirme que cette tendance se fait bel et bien ressentir à l’est de la Vieille Capitale.
Ainsi, si vous prenez le temps de traverser le fameux pont de l’île d’Orléans, vous verrez qu’il n’est pas nécessaire de s’exiler pour admirer des paysages enchanteurs ou encore pour s’ouvrir à des lieux riches en histoire.
Se régaler de produits d'ici
C’est bien connu, les paysages en bordure du fleuve Saint-Laurent sont propices aux pique-niques, passe-temps très populaire et abordable pendant la belle saison. Un arrêt dans les commerces locaux, comme les boulangeries et les cidreries s’impose pour y acheter un lunch prêt-à-manger.
Le parc des Ancêtres dans le village de Sainte-Famille est d’ailleurs l’un des incontournables pour manger à l’extérieur. Pour les plus téméraires, Brigitte Bouchard propose un accès au fleuve, à Saint-François, lequel abrite d’immenses rochers où il est possible de s’asseoir et de regarder passer les bateaux, et ce, même à marrée haute.
S’évader en nature
Selon la spécialiste en tourisme, la plupart des activités familiales se pratiquent en plein air. Par exemple, l’île d’Orléans peut être découverte par voie maritime avec la location de kayaks de mer à Saint-Laurent, ou avec l’un des trois types de croisières en zodiac offertes au grand public.
Sur la terre ferme, deux sentiers pédestres en nature s’offrent aux voyageurs qui aiment bouger, soit celui sur le flanc nord qui se situe face au musée Félix-Leclerc, puis celui près de la tour d’observation, où des modules de jeux pour enfants et des tables sont également installés.
En outre, les adeptes de vélo sont choyés avec des circuits sur les routes qui relient les villages entre eux. Parmi ceux-ci, le circuit Félix-Leclerc est le plus long, lui qui s’étend sur pas moins de 67 kilomètres.
Apprendre et découvrir
L’histoire de l’île d’Orléans la distingue particulièrement des régions avoisinantes. Pour le constater, l’authentique Maison Drouin, qui fait partie du patrimoine, est ouverte au grand public. La visite de cette architecture qui date de 1730 peut être faite à l’aide d’un iPad pour plus d’interactivité.
De plus, le musée de la pêche, dont l’accès est gratuit, montre l’historique de la pêche et des poissons du fleuve, alors que le parc maritime de Saint-Laurent est un ancien chantier naval où les types de bois et de nœuds marins nécessaires aux bateaux de l’époque font l’objet de la visite.
Finalement, la Nougaterie Québec, ouverte depuis maintenant quatre ans, offre l’opportunité d’observer les techniques de création du nougat. Quant à elle, la Vinaigrerie du Capitaine, qui cultive des produits biologiques, organise des activités guidées qui initient au processus de fabrication du vinaigre. Le volet de l’autocueillette de cassis biologiques, de cerises et de prunes constitue également un champ en expansion pour l’entreprise.
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derekglieber · 6 years
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Une terre riche à visiter en famille
D’ailleurs, CAA-Québec révélait, lors d’un récent sondage, que la province demeurait la destination favorite de 35% des vacanciers québécois. Mme Bouchard confirme que cette tendance se fait bel et bien ressentir à l’est de la Vieille Capitale.
Ainsi, si vous prenez le temps de traverser le fameux pont de l’île d’Orléans, vous verrez qu’il n’est pas nécessaire de s’exiler pour admirer des paysages enchanteurs ou encore pour s’ouvrir à des lieux riches en histoire.
Se régaler de produits d'ici
C’est bien connu, les paysages en bordure du fleuve Saint-Laurent sont propices aux pique-niques, passe-temps très populaire et abordable pendant la belle saison. Un arrêt dans les commerces locaux, comme les boulangeries et les cidreries s’impose pour y acheter un lunch prêt-à-manger.
Le parc des Ancêtres dans le village de Sainte-Famille est d’ailleurs l’un des incontournables pour manger à l’extérieur. Pour les plus téméraires, Brigitte Bouchard propose un accès au fleuve, à Saint-François, lequel abrite d’immenses rochers où il est possible de s’asseoir et de regarder passer les bateaux, et ce, même à marrée haute.
S’évader en nature
Selon la spécialiste en tourisme, la plupart des activités familiales se pratiquent en plein air. Par exemple, l’île d’Orléans peut être découverte par voie maritime avec la location de kayaks de mer à Saint-Laurent, ou avec l’un des trois types de croisières en zodiac offertes au grand public.
Sur la terre ferme, deux sentiers pédestres en nature s’offrent aux voyageurs qui aiment bouger, soit celui sur le flanc nord qui se situe face au musée Félix-Leclerc, puis celui près de la tour d’observation, où des modules de jeux pour enfants et des tables sont également installés.
En outre, les adeptes de vélo sont choyés avec des circuits sur les routes qui relient les villages entre eux. Parmi ceux-ci, le circuit Félix-Leclerc est le plus long, lui qui s’étend sur pas moins de 67 kilomètres.
Apprendre et découvrir
L’histoire de l’île d’Orléans la distingue particulièrement des régions avoisinantes. Pour le constater, l’authentique Maison Drouin, qui fait partie du patrimoine, est ouverte au grand public. La visite de cette architecture qui date de 1730 peut être faite à l’aide d’un iPad pour plus d’interactivité.
De plus, le musée de la pêche, dont l’accès est gratuit, montre l’historique de la pêche et des poissons du fleuve, alors que le parc maritime de Saint-Laurent est un ancien chantier naval où les types de bois et de nœuds marins nécessaires aux bateaux de l’époque font l’objet de la visite.
Finalement, la Nougaterie Québec, ouverte depuis maintenant quatre ans, offre l’opportunité d’observer les techniques de création du nougat. Quant à elle, la Vinaigrerie du Capitaine, qui cultive des produits biologiques, organise des activités guidées qui initient au processus de fabrication du vinaigre. Le volet de l’autocueillette de cassis biologiques, de cerises et de prunes constitue également un champ en expansion pour l’entreprise.
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Partez à la découverte des villes francophones du Nouveau-Brunswick
Les villes francophones du Nouveau-Brunswick sont bien équipées pour accueillir les vacanciers francophones. Province maritime de l’est du Canada, le Nouveau-Brunswick possède effectivement le pourcentage le plus élevé de francophones au Canada après le Québec. Bilingue depuis 1969, cette province canadienne a mille raisons de compter parmi les meilleures destinations touristiques francophones.
Partez à la découverte des villes francophones du Nouveau-Brunswick
Edmundston : l’une des plus importantes villes francophones du Nouveau-Brunswick
La ville d’Edmundston vient en tête de liste parmi les villes francophones du Nouveau-Brunswick. En effet, la population de cette cité canadienne, comté de Madawaska, est à 98 % francophone. Cette ville francophone unilingue s’octroie également la seconde place parmi les villes à majorité francophone hors du Québec.
Découverte de la ville d’Edmundston située dans le Nord-Ouest du Nouveau-Brunswick
Membre de l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick, cette commune accueille de nombreux événements culturels qui font la joie de ses visiteurs. Nous citerons, par exemple, la Foire Brayonne, l’un des plus grands festivals culturels francophones à l’est du Québec.
La ville de Tracadie-Sheila
En seconde position dans la liste des villes francophones du Nouveau-Brunswick, on retrouve la commune de Tracadie-Sheila. La langue française est parlée par 95,4 % de sa population. Également membre de l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick, cette ville ne manque pas d’attraits.
Le phare de Tracadie-Sheila au Nouveau-Brunswick
Tracadie-Sheila appartient à la péninsule acadienne, une région culturelle et naturelle au nord-est du Nouveau-Brunswick. Elle sera donc un excellent point de départ pour enrichir votre voyage au Canada francophone. De nombreux musées et monuments historiques vous conteront l’histoire de l’Acadie à l’exemple du musée Acadien de Caraquet.
La ville francophone de Dieppe
Dieppe appartient à la région des Trois-Rivières. Elle occupe la première place des villes francophones du Grand Moncton. Repeuplée petit à petit par les Acadiens après la bataille de Petitcoudiac de 1755, Dieppe est officiellement bilingue. Le français est pourtant parlé par 74,5 % de sa population.
Drapeau du Nouveau-Brunswick
Mais cette ville acadienne brille aussi à travers ses nombreuses manifestations culturelles. Été comme hiver, Dieppe propose en effet une foule d’événements comme le carnaval d’Amitié. Spectacle de musique, promenades en traineau ou en raquettes, feux d’artifice…, attendez-vous à de belles activités en plein air au Canada.
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top10attraction · 7 years
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Top 10 Tourist Places to Visit in Canada in Winter
Canada in winter can be a challenging time to visit this northern country but also rewarding, especially if you like snow or travel bargains. It's cold outside! Even though the winter weather is frightful, in some places of Canada, it's just delightful! We name the top 10 places in Canada where all travelers can embrace the winter weather.
1. Toronto:
Toronto is the largest city in Canada, ensuring the capital of Ontario province offers plenty of things for visitors to see and do. The list of tourist attractions in Toronto includes world-class museums, great shopping, a smorgasbord of dining options, and summer and winter outdoors activities. The city is known for its professional sports teams, including baseball’s Blue Jays and hockey’s Maple Leafs. Toronto is a vibrant city, with its large Chinatown, its restored Victorian buildings and its modern-day skyscrapers.
Toronto, the capital of Ontario and the country’s largest city, is home to a dynamic mix of tourist attractions, top-rated tourist attractions is CN Tower, Royal Ontario Museum, Rogers Centre, Art Gallery of Ontario, Casa Loma, Toronto Zoo, St. Lawrence Market, Toronto Entertainment District, Ripley’s Aquarium of Canada, City Hall, Eaton Center, Distillery District, High Park, Ontario Science Centre, Toronto Islands.
2.
Niagara Falls
The City of Niagara Falls is a small vibrant city located in the heart of the Niagara Region.  When it comes to quality of life, Niagara Falls has other communities beat. Where else can you enjoy all the amenities of a large urban centre in a comfortable, livable community? Whatever you are looking for you can find it in Niagara Falls – Arts, culture, recreation, commerce and peaceful quiet moments – they’re all here in Niagara Falls.
Niagara Falls, Canada provides a vast array of year-round activities for the entire family. Beautifully-maintained biking and walking trails line the world-famous Niagara gorge while numerous golf courses, ball diamonds, playing fields, swimming pools and rinks unite local citizens and contribute to a strong sense of community. Whether you currently reside in Niagara Falls or are planning to locate here, we invite you to explore and discover why Niagara Falls is a great place to call home.
Facts & Figures
Population: 82,997 (Statistics Canada Census, 2011)
Land Area: 212 sq. km (81.9 sq.mi.)
Geographic Coordinates: 43:05:00N 79:04:15W
Elevation: 618 feet above sea level
Multi-season: Spring, Summer, Autumn, Winter
3.
Montreal
Montréal is the largest city in Canada’s Québec province. It’s set on an island in the Saint Lawrence River and named after Mt. Royal, the triple-peaked hill at its heart. Its boroughs, many of which were once independent cities, include neighbourhoods ranging from cobblestoned, French colonial Vieux-Montréal – with the Gothic Revival Notre-Dame Basilica at its centre – to bohemian Plateau.
Top tourist attraction in montreal is Mont Royal, Old Montreal, Parc Jean Drapeau, Botanical Garden, Rue Sherbrooke, Places Jacques-Cartier, Notre-Dame Basilica, Olympic Park, St. Joseph’s Oratory, St. Mary Queen of the World, Square Saint-Louis, Lachine, Rue St-Denis, Chinatown.
4.
Vancouver
Vancouver, a bustling west coast seaport in British Columbia, is among Canada’s densest, most ethnically diverse cities. A popular filming location, it’s surrounded by mountains, and also has thriving art, theater and music scenes. Vancouver Art Gallery is known for its works by regional artists, while the Museum of Anthropology houses preeminent First Nations collections.
Top tourist attraction in vancouver is Stanley Park, Granville Island, Grouse Mountain, Museum of Anthropology, Kitsilano Beach, Gastown, Canada Place, Chinatown, English Bay, Capilano Suspension Bridge, Robson Street, Museum of Vancouver, Queen Elizabeth Park, Science World, Richmond.
5.
The Canadian Rockies
A pristine wilderness on a scale difficult to imagine, Canada’s glaciated Rocky Mountains are a true adventure playground with a huge range of activities on offer. From hiking to horse-riding and of course wildlife spotting, there is no end of things to do. Here’s our lowdown on the top ten ways to spend your days in this grand region, which spans the provinces of Alberta and British Columbia…
Top 10 things to do in the Canadian Rockies, Moraine Lake (Lake Louise), Peyto Lake (Lake Louise), Icefields Parkway (Banff National Park), Athabasca Falls ( Jasper ), Canmore Cave Tours (Canmore), Maligne Canyon (Jasper), Banff Gondola (Banff), River Rafting & Tubing, Lake Louise (Lake Louise), Grassi Lakes (Canmore), Drive the Icefields Parkway from Jasper to Banff, Hike up to flower-filled mountain meadows, Kayak or raft down rushing rivers, Saddle up for a trail ride, Take to the air on a heli-tour, Rise above Lake Louise on a gondola, Take a cruise down Lake Maligne, Experience the invigorating glacier skywalk, Spot some of the region’s abundant wildlife.
6.
Whistler
Whistler is a town north of Vancouver, British Columbia, that’s home to Whistler Blackcomb, one of the largest ski resorts in North America. Besides skiing and snowboarding, the area offers snowshoeing, tobogganing and ski jumping at the Olympic Park, a venue for the 2010 Vancouver Winter Olympics. The hub of Whistler is a compact, chalet-style pedestrian village at the base of Whistler and Blackcomb mountains.
Top Things to Do in Whistler is Whistler Blackcomb, Peak 2 Peak Gondola, Squamish-Lil’wat Cultural Centre, Extreme Sports in Whistler, Hiking, Whistler Olympic Park, Golfing, Lost Lake, Whistler Museum, Squamish, Pemberton, Lillooet.
7.
The Yukon
The Yukon, a territory in northwest Canada, is wild, mountainous and sparsely populated. Kluane National Park and Reserve includes Mount Logan, Canada’s highest peak, as well as glaciers, trails and the Alsek River. In the far north is Ivvavik National Park, with protected calving grounds for Porcupine caribou. In the south are numerous glacier-fed alpine lakes, including boldly coloured Emerald Lake.
Top things to do in the yukon is Miles Canyon (Whitehorse), Emerald Lake (Whitehorse), Yukon Wildlife Preserve (Whitehorse), MacBride Museum (Whitehorse), Caribou Crossing Trading Post (Carcross), Yukon Visitor Information Centre (Whitehorse), Diamond Tooth Gerties Gambling Hall (Dawson City), S.S. Klondike (Whitehorse), Sign Post Forest (Watson Lake), Yukon Beringia Interpretive Centre (Whitehorse), Tombstone Territorial Park (Dawson City).
8.
Quebec and Quebec City
Québec City sits on the Saint Lawrence River in Canada’s mostly French-speaking Québec province. Dating to 1608, it has a fortified colonial core, Vieux-Québec and Place Royale, with stone buildings and narrow streets. This area is the site of the towering Château Frontenac Hotel and imposing Citadelle of Québec. The Petit Champlain district’s cobblestone streets are lined with bistros and boutiques.
Best thing to do in Québec City is Old Québec (Vieux-Québec), Battlefields Park (Parc des Champs-de-Bataille), Battlefields Park (Parc des Champs-de-Bataille), Place-Royale, Quartier Petit-Champlain, The Citadel (La Citadelle), Terrasse Dufferin, Basilica of Sainte-Anne-de-Beaupre, Morrin Centre, Museum of Civilization (Musée de la Civilisation),Notre-Dame-de-Québec Basilica.
9.
Ottawa
Ottawa is Canada’s capital, in the east of southern Ontario, near the city of Montréal and the U.S. border. Sitting on the Ottawa River, it has at its centre Parliament Hill, with grand Victorian architecture and museums such as the National Gallery of Canada, with noted collections of indigenous and other Canadian art. The park-lined Rideau Canal is filled with boats in summer and ice-skaters in winter.
Best thing to do in ottawa is Parliament Hill, Rideau Canal, Canadian Tulip Festival, National Gallery of Canada, Canadian War Museum, Canada Day, or Fête du Canada in French, Lower Town, Upper Town, Dows Lake Pavilion, Canada Aviation and Space Museum, Diefenbunker, Canada’s Cold War Museum, Canadian Museum of Nature, RCMP Musical Ride Centre National Archives of Canada.
10.
Nova Scotia and Halifax
Halifax, an Atlantic Ocean port in eastern Canada, is the provincial capital of Nova Scotia. A major business centre, it’s also known for its maritime history. The city’s dominated by the hilltop Citadel, a star-shaped fort completed in the 1850s. Waterfront warehouses known as the Historic Properties recall Halifax’s days as a trading hub for privateers, notably during the War of 1812.
Best things to do in Nova Scotia and Halifax is Halifax Citadel National Historic Site, Halifax Harborfront, Pier 21 National Historic Site, Peggy’s Cove, Maritime Museum of the Atlantic, Halifax Public Gardens, Province House, Point Pleasant Park, Art Gallery of Nova Scotia, McNabs and Lawlor Island Provincial Park.
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derekglieber · 6 years
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Profiter des dernières journées de beau temps
Cirque Féria
Jusqu’au 2 septembre, les spectacles de FLIP Fabrique seront présentés à l’Agora du Port de Québec, en bordure du fleuve. Les artistes donneront plusieurs prestations sous le thème du sommeil et des rêves, et ce, gratuitement.
Dîner entre ciel et terre
Du 30 août au 2 septembre, l’équipe de Dîner Entre Ciel et Terre s’insalle au Port de Québec pour vous faire vivre une expérience hors de l’ordinaire. Ce sera l’occasion d’admirer la ville sur une plateforme grimpée à plus de 150 pieds du sol, tout en dégustant un cocktail ou un dîner.
Les visites guidées de l’Anse Brown
Tous les jours, à 11h, 13h, 15h, et 17h, des visites guidées sont organisées par le Musée naval de Québec sont offertes afin de découvrir son histoire. Jusqu’au 2 septembre, le dernier témoin naval de la Deuxième Guerre mondiale à Québec, le Jeffy Jan II, est exposé sur le site.
Tours de zodiac
Excursions Maritimes Québec propose plusieurs forfaits pour explorer la ville sur le fleuve. Il s’agit notamment d’une façon unique d’assister aux Grands Feux Loto-Québec et d’avoir la meilleure vue qui soit.
Café Terrasse La Marina
Offrant une vue sur le Bassin Louise, le casse-croûte situé près de la Marina offre un menu varié et estival. Hot-dogs, hamburgers, bières et crème glacée satisferont entre autres les plus gourmands.
Québec Scooters
Situé sur la rue Dalhousie, Québec Scooters offre le service de location de scooters afin de découvrir la ville en toute liberté. Des tours guidés, des forfaits événementiels ou en soirée sont également disponibles. 
Le rallye historique pédestre
En collaboration avec le Musée de la civilisation, le Port de Québec présente sa 2e édition du rallye historique qui parcourt une bonne partie du territoire. À l’aide de questions d’observation, vous pourrez découvrir, tout au long de l’itinéraire, l’histoire de la construction navale et les origines maritimes de Québec. 
Les artistes du Cirque Féria
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Les villes francophones du Nouveau-Brunswick sont bien équipées pour accueillir les vacanciers francophones. Province maritime de l’est du Canada, le Nouveau-Brunswick possède effectivement le pourcentage le plus élevé de francophones au Canada après le Québec. Bilingue depuis 1969, cette province canadienne a mille raisons de compter parmi les meilleures destinations touristiques francophones.
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Edmundston : l’une des plus importantes villes francophones du Nouveau-Brunswick
La ville d’Edmundston vient en tête de liste parmi les villes francophones du Nouveau-Brunswick. En effet, la population de cette cité canadienne, comté de Madawaska, est à 98 % francophone. Cette ville francophone unilingue s’octroie également la seconde place parmi les villes à majorité francophone hors du Québec.
Découverte de la ville d’Edmundston située dans le Nord-Ouest du Nouveau-Brunswick
Membre de l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick, cette commune accueille de nombreux événements culturels qui font la joie de ses visiteurs. Nous citerons, par exemple, la Foire Brayonne, l’un des plus grands festivals culturels francophones à l’est du Québec.
La ville de Tracadie-Sheila
En seconde position dans la liste des villes francophones du Nouveau-Brunswick, on retrouve la commune de Tracadie-Sheila. La langue française est parlée par 95,4 % de sa population. Également membre de l’Association francophone des municipalités du Nouveau-Brunswick, cette ville ne manque pas d’attraits.
Le phare de Tracadie-Sheila au Nouveau-Brunswick
Tracadie-Sheila appartient à la péninsule acadienne, une région culturelle et naturelle au nord-est du Nouveau-Brunswick. Elle sera donc un excellent point de départ pour enrichir votre voyage au Canada francophone. De nombreux musées et monuments historiques vous conteront l’histoire de l’Acadie à l’exemple du musée Acadien de Caraquet.
La ville francophone de Dieppe
Dieppe appartient à la région des Trois-Rivières. Elle occupe la première place des villes francophones du Grand Moncton. Repeuplée petit à petit par les Acadiens après la bataille de Petitcoudiac de 1755, Dieppe est officiellement bilingue. Le français est pourtant parlé par 74,5 % de sa population.
Drapeau du Nouveau-Brunswick
Mais cette ville acadienne brille aussi à travers ses nombreuses manifestations culturelles. Été comme hiver, Dieppe propose en effet une foule d’événements comme le carnaval d’Amitié. Spectacle de musique, promenades en traineau ou en raquettes, feux d’artifice…, attendez-vous à de belles activités en plein air au Canada.
L’article Partez à la découverte des villes francophones du Nouveau-Brunswick est apparu en premier sur Location-Francophone.
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