Gokū no Daibōken (1967) 悟空の大冒険
Director: Osamu Tezuka / Gisaburo Sugii / Yu Dezaki / Ryosuke Takahashi / Masami Hata / Toshio Hirata / Sadao Tsukioka / Hideo Nishimaki
Screenwriter: Osamu Tezuka / Ryotake Suzuki / Toshio Hirata / Hideo Nishimaki
Starring: Kazuko Masuyama / Eiko Masuyama / Nachi Nozawa / Junpei Takiguchi / Kinya Aikawa / Shinsuke Chikaishi / Ichiro Nagai / Joji Yanami / Shūo Otsuka / Setsao Wakui / Mariko Mukai / Hiroshi Masuoka / Masashi Amamori / Toshiji Omiya / Kazuo Kumakura / Nori Kohara / Katsue Miwa / Hiroshi Otake / Kyoshi Kobayashi / Isamu Tanaka / Kenji Utsumi / Takuzo Kamiyama /Komiyama Kiyoshi / Ryusuke Shiomi
Genre: Animation
Country/Region of Production: Japan
Language: Japanese
Date: 1967-01-07 (Japan)
Number of episodes: 39
Single episode length: 23 minutes
Also known as: Goku no Daiboken / 孙悟空の大冒険 / 孙悟空的大冒险
IMDb: tt0997021
Type: Reimanging
Summary:
Journey to the West, one of the four great Chinese classical novels, has taken on a completely different look in the hands of the Japanese manga master Osamu Tezuka. Sun Wukong, who was born from a stone, once dominated the world and made a living by cutting people on the streets. Later, he was imprisoned by the evil king and met Little Draong Girl. After that, he became a disciple of Draong Immortal, and not only learned 72 transformations, but also got the precious Ruyi Jingu Bang. Sun Wukong, who had greatly increased his abilities, gathered in the mountains and forests, robbed the rich and helped the poor, and even alarmed the heavens, causing a series of good dramas in the heavens. In the end, he was suppressed under the Five Fingers Mountain by the Buddha because he overestimated his own abilities. With the help of the timid Tang Monk, Sun Wukong regained his freedom. Later, they met Zhu Bajie, who was wearing a suit and a bow tie, and Sha Wujing, who loved money and dug for treasures everywhere. The master and his disciples thus embarked on a dangerous and fun adventure to the West...
Source: https://movie.douban.com/subject/2154391/
Link: https://www.youtube.com/watch?v=wQ_Sk4feb9M
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Kami no Kohitsuji -Agnus Dei- Vol 3 Spoilers
Henri et Fran continuent leur exploration de la vie du défunt Serge, mais ils n'en découvrent guère plus et seul cet étrange garçon Matthieu semble avoir des pistes.
Suite à un accident, Henri se méfie de plus en plus de Matthieu, mais il peine à résister à l'envie de le voir, ils se blessent l'un et l'autre mutuellement. Au cours d'une soirée, Henri manque d'être à nouveau violé par Gustave, mais Matthieu lui vient en aide et le sauve.
Suite à cet incident, les deux garçons se rapprochent et ils font l'amour pour la première fois ensemble dans un hôtel.
Nous en découvrons plus sur le passé de Matthieu, il a été placé dans un orphelinat suite à la mort de ses parents. Il fera la connaissance de Monsieur Olivier qui l'a adopté... mais celui-ci a fini par lui faire du mal et Matthieu s'est enfui et à errer dans les rues et il a commencé à se prostituer à des hommes riches.
Fran et Victor veulent tout faire pour éloigner Henri de Matthieu, mais le jeune vicomte en décide autrement et il décide de s'enfuir avec Matthieu à la gare de Lyon.
Matthieu emmène le jeune Henri à Marseille au château de Chérubin de la Mer, le lieu qui a vu naitre et grandir Gilbert Cocteau, seulement les évènements vont mal tourner suite à l'arrivée imprévue de Jean-Pierre Lebeau, le patron de Matthieu et propriétaire du château.
Il va faire du mal aux deux garçons, Matthieu fera tout son possible pour sauver la vie de Henri au péril de sa propre vie... Jean-Pierre perdra lui aussi la vie en mettant fin à ses jours.
Nous apprenons suite aux derniers événements par Victor que Matthieu était un descendant de Gilbert, mais que celui-ci ne le savait pas ! Jean-Pierre qui était obsédé par l'histoire de Gilbert Cocteau, il a profité de la détresse de Matthieu pour se l'approprier.
Henri continuera à vivre, tenant la promesse qu'il avait faite à Matthieu et rendra visite à Monsieur Olivier qui lui donnera un album photo souvenir de Matthieu.
60 notes
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*Incoherent screaming*
Okay, so... ‘shounen-ai’ means the love of boys, yes—with adult men in the assumed subject position, like many other sex terms in Japanese. It was originally coined by Taruho Inagaki to talk about historical m/m in Japan and to make an analogy to Ancient Greece. Outside of a manga context, it means pederasty.
In a manga context, it’s slightly different:
Keiko Takemiya and Moto Hagio got dragged to see Les amitiés particulières by their buddy Norie Masuyama, and the Tragic Schoolboys era of shoujo manga was born.
(See this old interview with Hagio.)
'Shounen ai’ was used for a while to refer to these manga like Heart of Thomas that were being written in the 70s: dark, fucked up, #aesthetic, showing signs of too many hours at the arthouse theater and between the covers of a Herman Hesse novel.
By the 80s, both styles and terminology had shifted. ‘June’ (from the name of a magazine) and ‘Tanbi’ (’aestheticism’) were in vogue. ‘Yaoi’ was coined in the late 70s and was used throughout this period to mean something like “PWP”.
In the 90s, ‘BL’ won out as the general market niche term and has held strong ever since.
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Meanwhile, in English, dumbasses decided that ‘yaoi’ referred to porn (more or less true) but ‘shounen ai’ referred to tasteful art about feelings and not Bad Sex Things... LOL. WTF. Have they read any 70s manga? It’s all chock full of rape and abuse!
The yaoi/shounen-ai distinction is baked into the site design of many weeaboo websites, including plenty of ones that categorize anime and also the fic archive MediaMiner. Thankfully, this stupidass use of the term is finally, finally starting to die out as these websites age and disappear.
97 notes
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Traduction en français d'un court extrait du premier roman de Kami Kohitsuji Agnus Dei I. Cet extrait provient du groupe VK Russe de Kazeki. Bonne lecture ! ^^
Prologue "Le Grand Banquet d'Eté"
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Parfois Fran se demandait.
Tout a commencé exactement comme dans un conte de fées.
En juillet 196X. Par une chaude après-midi d'été...
Bien que ce soit la période des vacances, le couloir de la maison du vicomte Battour était littéralement rempli d'un nombre impressionnant de personnes élégamment habillées.
Bientôt, les serviteurs en queue de pie apparaissent et escortent habituellement la vague de personnes dans le jardin.
En se promenant dans le manoir, Fran a contemplé avec étonnement le somptueux intérieur rococo, et lorsqu'elle est entrée dans le jardin, elle est restée sans voix devant son immensité. Elle connaissait Paris et sa banlieue, mais seulement la banlieue, elle ne pouvait donc pas imaginer un tel manoir.
Toute cette immensité se mêlait parfaitement à la beauté du jardin français, et Fran s'est soudain sentie seule.
- "Hors de propos serait plus correct", a soudainement souri la jeune fille.
L'invitation au "Grand banquet d'été" du vicomte Battour, célèbre dans les milieux mondains, était étrange pour Fran, simple élève du Conservatoire de Paris.
Des robes de bal ou des queues de pie brillantes, des mots élégants inconnus ont clignoté comme les pièces colorées d'une mosaïque, rendant Fran encore plus solitaire.
Séparée de la vague humaine et pénétrant dans le jardin anglais attenant, Fran s'est assise sur un banc en bois avec un soupir de soulagement. Contrairement aux arbres artificiellement plantés et taillés en fleurs du jardin français, le naturel du jardin anglais plaisait davantage à Fran.
- Vous vous ennuyez, mademoiselle ?
Une voix soudaine est venue de derrière et a presque fait sursauter Fran.
- Je vous demande pardon. Je m'appelle Gustave Kahn, reporter pour le magazine PLEIADES. Je vous ai déjà vu, mais vous êtes parti seule si vite...
C'était un jeune homme mince et grand, âgé de vingt-cinq ou six ans. Le smoking ivoire se marie parfaitement avec ses cheveux bruns.
- Je suis Françoise Vian. Mais tout le monde m'appelle Fran. Une étudiante de deuxième année au conservatoire.
- Une musicienne en herbe, non ?
- Je suis spécialisée dans la théorie. J'étudie la musique de manière académique... c'est un cours similaire au département d'art.
-Et bien, alors vous pourriez être un docteur en musique ou un critique.
Le jeune homme désigna de sa main Fran, dans laquelle se trouvait un verre d'apéritif.
-Je vous demande pardon. Je ne suis pas du tout habitué à ce monde et je suis dans l'embarras.
-C'est la première fois que vous participez à un tel banquet ? La nourriture est étonnamment bonne. Mais c'est à peu près tout. Pour faire simple, la famille Battour ne peut pas se vanter d'une excellence particulière.
-J'ai entendu des rumeurs, mais je ne savais pas que la famille du vicomte était si riche.
-Au contraire, c'est vrai. Après tout, c'est le talent de cette famille d'accroître sa richesse au détriment de la guerre. Ils sont célèbres, mais il est difficile de rester une famille unie.
-Oui, mais il y a un grand musicien parmi eux. Serge Battour, vous le connaissez ?
-Oui, juste son nom, mais il arrive une fois par siècle. C'est étonnant que dans une famille de réalistes, il y ait un musicien.
-J'ai pensé écrire un article sur ce Serge Battour, j'écris beaucoup ici depuis l'année dernière. Ça ne ressemblait à rien, et puis soudain, juste avant les vacances, c'est arrivé.
-Vous avez été invité au banquet de ce soir. Et pourtant, inviter des étudiants est inhabituel.
-Hmm, j'ai reçu une réponse d'un certain Henri Battour.
-Henri, Henri, je ne le connais pas... Bien que je sois en bon contact avec la famille Battour. Mais même les parents d'autres pays se réunissent au banquet.
Fran, pour prouver qu'elle ne mentait pas, a sorti précipitamment une lettre de sa pochette et l'a tendue au jeune homme.
-Je peux le lire ? Ah, ces armoiries sur le sceau appartiennent sans aucun doute à la famille Battour. Donc, "Madame Françoise Vian...
J'ai reçu une lettre. Je suis prêt à répondre à certaines questions sur les origines de Serge Battour.
Le 7 juillet, toutes nos connaissances et tous nos proches sont obligés de faire un "banquet". Si ça ne vous dérange pas, venez. L'invitation est jointe.
Henri Battour
P.S. : Pour que vous soyez plus à l'aise, nous allons préparer une chambre."
C'est incroyable. On dirait que vous êtes parents. Il semble que j'ai été irrespectueux... Vous devriez peut-être demander au majordome ou à la gouvernante pour M. Henri. Toute la famille Battour, hommes et femmes, est célèbre pour sa beauté. Les hommes en particulier ont un nez droit et de grands yeux. Vous les reconnaîtrez donc immédiatement grâce à ce trait distinctif. Si vous restez ici, vous n'entendrez pas la cloche pour le dîner.
Le jeune homme a pris la main de Fran avec un salut et s'est précipité vers la maison. Sa réaction laissait entendre que seuls les proches resteraient à l'intérieur après le dîner.
"Est-ce que je pourrai... ?"
La salle à manger était entièrement préparée pour le banquet et toute décorée de roses orange et roses. Elles devaient provenir d'une boutique de fleuriste parisienne, toutes ces roses en grand nombre, décorées en collage et entraînant les gens dans un monde de rêverie. La grande table centrale était entourée de plus petites tables. Il y avait la place la plus basse dans le coin de la pièce, et bien sûr Fran s'y est positionnée contre le mur. Elle craignait qu'une dame rigide ne s'assoie à côté d'elle, mais par chance, il s'agissait d'un magnat du pétrole américain, et Fran, en raison de sa faible connaissance de l'anglais, s'est entièrement consacrée au repas. Comme l'avait dit le jeune homme Kahn, la nourriture jusqu'au dessert était exceptionnelle, grâce au chef engagé.
Une fois le dîner terminé, les gens se sont dispersés dans le salon et la salle de jeux, et Fran est restée seule. Bien que légèrement fatiguée, elle a attrapé un domestique supérieur pour demander où se trouvait M. Henri, mais n'a rien reçu d'autre qu'un froid "je ne demande pas à savoir" et "s'il vous plaît, n'entrez pas ici".
En fin d'après-midi, les gens se pressaient à nouveau dans le couloir pour rentrer chez eux. Fran réfléchissait déjà à la manière dont elle allait rentrer seule et à ce qu'elle allait dire en guise d'adieu, lorsqu'une voix féminine obligeante a retenti à proximité.
-Mme Françoise ? C'est Mlle Françoise ! Je t'ai cherché partout. J'avais peur que tu sois déjà parti, alors j'ai attendu ici.
Une jeune fille de deux ou trois ans plus jeune que Françoise a eu du mal à retenir ses larmes de joie.
-Je cherchais aussi M. Henri.
-Je suis désolée. M. Henri a dit qu'étant donné que la journée était trop mouvementée, il vous rencontrera demain. Je vais vous conduire à votre chambre immédiatement...
La jeune fille s'est précipitée vers l'armoire et en a sorti le manteau de Fran et sa valise blanche.
-Ta chambre est à l'étage, fais attention dans les escaliers.
La jeune fille était habillée d'une robe noire et d'un tablier blanc à volants, comme si elle était à la Belle Époque. On ne sait pas si le maître s'était habillé de cette manière pour respecter l'atmosphère du manoir, et Fran n'était manifestement pas préparée à une telle ringardise, mais la jeune fille semblait tout à fait satisfaite de sa position.
Un labyrinthe de couloirs s'étendait depuis l'escalier, et s'arrêtait finalement à la mansarde, ce qui fit penser à Fran qu'elle n'était clairement pas la bienvenue ici.
Cependant, une telle chose ne briserait pas Fran. La jeune fille a à peine gardé son sang-froid et est restée calme, comme elle l'avait fait en cherchant à gagner la confiance de ses camarades de classe. En raison de sa petite taille, elle n'était pas prise au sérieux en tant qu'élève du lycée, mais à peine commençait-on à lui parler, qu'on sentait immédiatement qu'elle était intellectuellement plus âgée, c'est le genre de fille qu'elle était.
À l'intérieur, la pièce mansardée s'est avérée être meublée avec goût, avec des meubles d'un design complexe qui ont plu à Fran. Le papier peint, décoré de fleurs d'été, semblait neuf, et il y avait une salle de douche équipée, bien qu'étroite. En ouvrant la haute fenêtre et en laissant l'air de la nuit entrer dans la pièce, Fran a enfin pu se détendre véritablement.
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Kami no Kohitsuji -Agnus Dei- Vol 1 Spoilers
Je viens de terminer la lecture du volume 1 et c'était pas mal du tout comme histoire, même si ce n'est pas du niveau du manga, mais ce n'était pas le but recherché à mon avis.
C'est l'histoire de Fran une jeune fille de 19 ans, étudiante en musique au conservatoire de Paris qui cherche à obtenir des renseignements sur la vie de Serge Battour et pour cela, elle entre en contact avec la très riche famille Battour et c'est un jeune garçon de 16 ans qui lui répond : Henri Battour.
Fran devient comme une grande soeur pour Henri et ils deviennent rapidement proches, il faut dire que Henri est un ado qui s'ennuie au sein de la famille Battour...
Nous ne savons que très peu de choses sur le passé d'Henri, si ce n'est qu'il a été pris en main très jeune par le Vicomte et la Vicomtesse Battour qui n'ont pas d'enfants. Nous apprenons juste de la grande tante Catherine que Henri doit être fière de posséder dans ses veines le sang de Serge Battour.
En ce qui concerne notre Serge Battour, nous savons qu'il a été à l'université de Paris avec Pascal et qu'il est tombé amoureux d'une femme nommée Irène qui avait une étrange ressemblance physique avec le défunt Gilbert... Ils se sont rapidement mariés et ont eu un enfant unique, un garçon du nom de Léon.
Le mariage est rapidement devenu malheureux; à l'âge de 30 ans Serge rompt avec sa femme Irène et Serge part vivre ailleurs avant que Karl ne lui propose un poste de professeur de musique à Lacombrade.
Henri et Fran découvrent la vie de Serge avec l'aide de la famille Biquet et de Victor, un homme de 30 ans qui deviendra rapidement l'amant du jeune Henri !
Ils feront aussi la découverte de Gilbert et prendront conscience de l'importance que celui-ci avez dans la vie de Serge et ils essayeront d'en savoir plus sur lui avec les faibles indices qu'ils possèdent.
Ils liront les lettres de Pascal, de Serge et aussi le journal intime de Karl pour tenter d'en savoir plus.
L'aventure entre Henri et Victor prend fin à la fin du premier tome, même si les deux amants restent très proches par la suite. Victor devient un confident précieux pour Henri.
Je raconterai la suite dès la fin de ma lecture du volume 2.
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