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#paroissial
francepittoresque · 11 months
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PATRIMOINE | Villa gallo-romaine et cimetière paroissial à Lure (Haute-Saône) ➽ https://bit.ly/Fouilles-Lure-HauteSaone À Lure, une équipe d'archéologues de l’Inrap fouille une partie du quartier Saint-Quentin, composé d’une villa gallo-romaine dont l’occupation serait comprise entre le Ier et le IIIe siècle après J.-C. à laquelle se superpose un espace funéraire médiéval et moderne
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philoursmars · 1 month
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Troisième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s : Christian en Bretagne, près de Brest. (bon, avec ma lenteur, on en est à un décalage d'un mois, c'était fin février !)
Le village de Brélès, avec l'enclos paroissial autour de l'église, typiquement breton.
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rechab · 4 months
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Matin chagrin - ( RC )
Matin chagrin,gris plombé du ciel,l’ombre des corbeaux,l’arbre dans la cour,le reflet des glaceset les siècles qui passent. Les corbeaux sur le calvaire,les saints sculptés dans la pierre,leur ombre sur les tombes,les prières muettes,à genoux sur la dalle froide,les cierges éteints… Un matin chagrin,des herbes sur le trottoir,autour de l’enclos paroissial,le vendeur de cartes postales,les bols…
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Armistice du 11 novembre
Armistice du 11 novembre
© Serge Philippe Lecourt, Monument aux morts dans les marais du Cotentin, 2022. Pour commémorer l’Armistice en ce 11 novembre 2022, je publie ces photographies inédites d’un monument aux morts des marais du Cotentin. Il a la particularité d’avoir été érigé par la paroisse et la commune et représente un calvaire. Des cigognes, très présentes dans le Parc naturel régional des marais du Cotentin…
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the-swan-sequence · 8 months
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“…often we look so long at the closed door that we do not see the one which has been opened for us.”
Attributed to Helen Keller, 1929 (similar sayings had been in circulation already)
Images from top left clockwise: Laurel Hill cemetery (USA), unknown, Enclos Paroissial de la Martyre (France), Stockholm (Sweden).
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scholasaintececile · 6 months
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Pèlerinage paroissial auprès de la statue miraculeuse de Notre Dame de Clery.
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juliendorcellove-blog · 3 months
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Une jeune religieuse, sœur Amour est obligée de confesser les paroissiens d’un village du Bourbonnais. Elle découvre alors le sexe et les dépravations en tout genre. Initiée à la fellation et aux plaisirs lesbiens par une jeune libertine, elle va se laisser entraîner dans une spirale érotique. Entre les papys pervers, les étudiantes adeptes du glory-hole et les SDF échangistes, elle n'en croira ni ses yeux, ni ses oreilles. Au fil du temps, elle va adorer donner du plaisir aux hommes. SŒUR AMOUR est un roman sulfureux avec une jeune héroïne volontaire et forte malgré son manque d’expérience. (tous les personnages de ce roman ont plus de 18 ans)
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capitaine-du-terror · 4 months
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Revue de presse : le voyage de l'Erèbe et de la Terreur
Je vous présente ici les résultats de mes recherches concernant la presse française et francophone contemporaine de l'expédition de 1845.
Les français se sentaient-ils concernés par cette expédition scientifique britannique, dans un contexte géopolitique qui reste tendu, si peu de temps après les guerres napoléoniennes (1803-1815) ?
Pour y répondre, j'ai utilisé la base de données Gallica et Google Books afin de créer un corpus le plus exhaustif possible. Il est donc important de considérer les limites de ces ressources, notamment car les journaux des années 1840 et 1850 n'étaient généralement pas disponibles.
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1 – L'EREBE OU L'EREBUS ?
Tout d'abord, parlons des navires : les contemporains les appellent souvent « L'Erèbe et la Terreur ». Cette orthographe est utilisée dans plusieurs dictionnaires et encyclopédies :
-Dictionnaire des noms propres, ou Encyclopédie illustrée de biographie, de géographie, d'histoire et de mythologie, par Dupiney de Vorepierre, Jean-Franc̜ois-Marie Bertet, 1876-1879
-Le Pôle et l'équateur: études sur les dernières explorations du globe, par Lucien Dubois, 1863
-Etudes sur les dernières Explorations du Pôle-Nord in L'Echo du cabinet de lecture paroissial de Montréal, Volumes 5-6, 1863
-Le Correspondant : revue mensuelle : religion, philosophie, politique, 1861
-Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique.... T. 13, par M. Pierre Larousse, 1866-1877
>Le Larousse gagne le prix de la cohérence pour avoir utilisé, dans le même volume, à la fois les noms anglais et les noms français !
Mais on parle aussi de « l'Erebus » et du « Terror », même si certaines de ces occurrences concernent les volcans ainsi nommés.
-Au pôle nord : nouveaux voyages au pays des glaces par H. Manceaux (Mons), 1890
L'auteur choisit les noms anglais, mais l'ouvrage contient un nombre important de coquilles telles que « Francis Richard Crozier » et de « J.R.M. Crozier », ce qui permet de douter du sérieux de l'éditeur. D'autant plus qu'il ajoute, en parlant des conserves, un peu d'antisémitisme :
« il avait fallu jeter par-dessus bord l'énorme quantité de viande conservée sur laquelle on avait tant compté; elle avait été livrée par un misérable trafiquant, juif allemand, appelé Goldner, à qui ce fait coupable et bien d'autres encore, découverts dans la marine anglaise, valurent un juste châtiment. »
Alors, Erèbe ou Erebus ? Faut-il traduire les noms propres ? Voilà une question de traductologie fort intéressante mais qui nous éloigne du sujet. L'ouvrage de Mathieu Guidère (Introduction à la traductologie. Penser la traduction: hier, aujourd'hui, demain) est une bonne synthèse des différentes théories, mais je le conseille à un public familier de la linguistique.
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2 – LE JOUR J
Les journaux de presse : recherche sur la semaine du 19 au 25 mai 1845 dans les quotidiens disponibles, à savoir :
-Journal des débats politiques et littéraires (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k446928x)
-La Presse (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k429944f)
-Le Siècle (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32868136g)
Malgré plusieurs colonnes dédiées à la politique britannique, rien sur l'expédition. On notera tout de même que le sujet de l'Irlande est fortement présent, notamment en lien avec les déclarations de Daniel O'Connell sur l'éducation académique et l'Acte d'Union.
Les grands quotidiens de l'époque ne semblent pas prêter attention au départ de l'expédition, mais le manque de journaux disponibles en version numérisée pour l'année 1845 est à prendre en compte et pourrait expliquer ces résultats.
3 – LES RECHERCHES
-24 août 1845
L'Echo du monde savant : journal analytique des nouvelles et des cours scientifiques
Dans « faits divers »
« Le bâtiment de transport le Baretto-Junior, qui avait accompagné les navires l'Erebus et le Terror en mission scientifique dans les mers arctiques, vient de revenir en Angleterre, où il apporte des nouvelles de l'expédition. Il a quitté les deux navires à l'île Disco, dans la mer de Baffin, après leur avoir remis des provisions pour un voyage de trois ans. Ils avaient été assaillis par les glaces sur la côte occidentale du Groenland; mais poussés par un bon vent,(ils sont parvenus facilement à se dégager, et ont pu, à l'aide d'un temps favorable, poursuivre leur route. Voici, au surplus, l'extrait d'une lettre, datée du bord de l'Erebus, le 8 juillet, et qui donne sur cette expédition quelques détails intéressants : « Nous sommes en ce moment fort occupés à décharger le bâtiment de transport, car la saison est assez avancée, et nous sommes pressés de voir du pays en profitant du beau temps qui semble devoir se maintenir. Nous pensons que notre absence durera deux ans et demi au plus, à moins que nous ne puissions pas gagner l'Océan-Pacifique; car alors notre voyage se prolongera près de quatre ans. Nous nous portons tous très-bien, et nous sommes très heureux. Les naturels sont assez civilisés, et, dans leurs marchés, ils sont aussi adroits que nos commerçants de la métropole. Le département de la marine des Etats-Unis a publié un ordre recommandant aux capitaines et officiers de la marine américaine de donner tous les secours qui seraient en leur pouvoir aux deux bâtiment composant l'expédition, chaque fois que l'occasion s'en présentera. »
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327622829 )
-22 décembre 1849
La Province : journal des départements du Centre
Dans la rubrique faits divers, envoi d'une nouvelle expédition de recherche qui passera par la mer Pacifique et le Behring.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32845269k )
-31 janvier 1850
Le Constitutionnel : journal politique, littéraire, universel
En première page, l'amirauté anglaise vient de publier les instructions qu'elle a données au capitaine Collinson, chargé de diriger une nouvelle expédition à la recherche de sir John Franklin.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p )
-11 janvier 1854
Le Mémorial bordelais : feuille politique et littéraire
Deuxième page, article consacré à sir John Franklin, revient sur la chronologie des expéditions de recherche, beaucoup de détails et une meilleure rédaction que dans les autres articles. Plusieurs parallèles sont faits avec les explorateurs français.
«  […] alors une anxiété pareille à celle qui avait ému la France au temps de la disparition de Lapeyrouse, concentra sur Franklin et ses compagnons les vœux du monde civilisé. »
«  […] et celui du jeune Français Bellot*, qui vient de périr glorieusement au milieu d'eux. »
(*voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph-Ren%C3%A9_Bellot)
« Celui qui se sacrifie pour son pays emporte justement les regrets de ses concitoyens; mais celui qui succombe martyr de l'humanité et de la science, a droit aux sympathies du monde entier. »
> Une belle explication de l'intérêt que pouvaient porter les français à l'expédition une fois que celle-ci avait été déclarée en danger.
« Si donc de l’expédition de Franklin rien de vivant ou d’inanimé n’est apparu ou n’a laissé de trace, n’est-on pas conduit à cette conclusion déplorable, que les montagnes de glace qui ont écrasé les navires ont tout scellé dans leurs flancs ? Cette sinistre conjecture inspire un rapprochement involontaire. Pendant que sir John Franklin était gouverneur de la terre de Van-Diémen, les deux vaisseaux commandés par Dumont d'Urville relâchèrent deux fois dans cette colonie. Les équipages français, épuisés par une longue navigation sur les côtes pestilentielles de la Malaisie et dans les glaces du pôle sud, reçurent du marin anglais l’accueil le plus empressé et l’hospitalité la plus bienveillante. Lorsque, à ces antipodes de l’Europe, d’Urville et Franklin, les deux plus illustres représentants de la science navale de leur époque, se séparèrent pour ne plus se revoir, quel pressentiment eût pu leur révéler qu’à quelques années de là, et après qu’ils auraient sillonné toutes les mers du globe, leurs patries redemanderaient en vain leurs restes disparus, ceux du premier dans les tourbillons de feu d’un chemin de fer de la banlieue de Paris*, ceux du second dans les abîmes de l’océan Arctique. »
(*Joseph Dumont d'Urville périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon en 1842)
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328137853 )
-30 septembre 1869
Journal officiel de l'Empire français
Section Amérique, découverte de la note de Victory Point.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32802031s )
-2 octobre 1869
Le Messager du Midi : journal du soir
Dans nouvelles diverses, reprend l'article du Journal officiel du 30 septembre concernant la note de Victory Point.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34407648z )
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-14 août 1875
Le Mercure d'Orthez et des Basses-Pyrénées
Première page, dans « nouvelles et faits », inauguration dans l'abbaye de Westminster du monument érigé par lady Franklin à la mémoire de son époux.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344239007 )
-29 septembre 1880
Journal officiel de la République française
Dans « informations et faits », seule mention de cannibalisme dans le corpus étudié.
« Une seconde dépêche adressée de New-Bedford au New York Herald contient de nouveaux détails sur l'expédition américaine commandée par le lieutenant Schwatka, qui revient des mers polaires où elle a retrouvé quelques objets ayant appartenu à sir John Franklin ou à ses compagnons. Le lieutenant Schwatka et son équipage ont horriblement souffert pendant leur voyage à travers les glaces. Sur la terre du Roi-Guillaume et sur le continent voisin qu'ils ont explorés en suivant la même route que les vaisseaux anglais l'Erebus et le Terror, ils ont recueilli de la bouche des Esquimaux des détails sur sir John Franklin 'et les marins qui l'accompagnaient.
D'après le récit des indigènes, toute l'expédition anglaise est morte de faim et de froid, sans qu'il leur fût possible de la recourir. Ils assurent avoir vu les derniers survivants; ils étaient atteints du scorbut, réduits à l'état de squelette, et avaient la face toute noire; ils poussaient un bateau à travers la glace. On les perdit bientôt de vue. Quelques jours après, les Esquimaux trouvaient leurs cadavres sous le bateau et dans une tente. Des traces indiquaient d'une manière évidente que quelques-uns de ces infortunés avaient été mangés par leurs camarades. »
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328020909 )
-29 octobre 1892
La Liberté
Dans « guerre, marine et colonies »
« La Pall Mail rapporte une histoire bien étrange relative à un événement qui passionna le monde il y a de longues années déjà : l'expédition Franklin au pôle Nord, et les efforts tentés pour retrouver ses deux navires l'Erebe et la Terreur. Aucune trace de ces navires n'avait jamais été. découverte; or, le Révérend Young qui, depuis vingt-huit ans est missionnaire dans les régions arctiques, vient de faire savoir qu'un indigène mourant venait de lui confesser qu'ayant fait partie de l'expédition de secours envoyée à la recherche de Franklin, il avait un jour reçu l'ordre d'aller avec un camarade explorer un certain point d'une direction donnée. Il aurait aperçu dans le lointain les mâts d'un navire, mais il se serait bien gardé de faire part de ce qu'il avait vu, parce que les vivres de l'expédition de secours touchaient à leur fin et qu'il avait hate de voir l'expédition de secours quitter ces parages inhospitaliers. M. Young a la conviction que les mâts ainsi aperçus étaient ceux de l'Erèbe ou de la Terreur. »
-26 novembre 1907
La Croix
Dans « Lettre d'Angleterre », la mort de l'amiral sir Léopold Mac-Clintock, revient sur les expéditions de recherche et ses découvertes.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418 )
CONCLUSION
Face à un corpus aussi réduit, est-il seulement possible de tirer quelque conclusion ? Je vais donc poursuivre mes recherches en me déplaçant directement à la BNF et en continuant sur les pistes des ouvrages d'histoire et de géographie publiés au XIXe siècle, car certains traitaient spécifiquement de l'expédition Franklin.
Mais, je vous dois au moins un semblant de conclusion... Comme l'écrit de Lanoye, l'expédition Franklin dépasse les frontières et les nationalités, il s'agit d'une histoire tragique et héroïque dans une période en plein romantisme et, dans le cas de la France, passionnée par les récits de Jules Verne. L'intérêt des Français semble présent, mais ne touche pas non plus des foules entières...
PS : N'oubliez pas de citer mon travail, merci !
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lemondeabicyclette · 1 year
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LES GOUVERNEMENTS* MENTENT Quand Fauci est entré en service en 1968, environ 6% des Américains souffraient de maladies chroniques, notamment obésité, troubles neurologiques, allergies et troubles immunitaires. En 1986, 11,8% des enfants avaient des maladies chroniques. En 2006, ce chiffre était rendu à 64%. Voici l'héritage de Fauci - Robert F. Kennedy * et les médias qui sont à leur solde
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26 mars 2023 - 92% des décès dûs à la/au Covid en G.B. sont des triple vaccinés - Pfizer tue pour son profit
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En Angleterre, la vérité sur l'acoquinage évidentissime entre les covidiens politiciens et autres sanitaristes décomplotistes et les whore nalis tss.
Les Lockdown Files (le Dossier des confinements) sont expliquées en long et en large.
Au Québec, dans sa "Capitale-Nationale" Québec, y a du monde (abonné au Soleil, TVA, RadioKickTheCan, le Journal de Québec et le feuillet paroissial de Sainte-Foy) qui font la file pour se faire vacciner, Place Laurier. Là, là. RTFM (Relisez Tous les Foutus Mémos) : on est en mars 2023.
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JEUDI 28 MARS 2024 (Billet 2 / 3)
Le 24, c’était le « dimanche des Rameaux », une Fête chrétienne très importante. La plupart d’entre vous la connaisse, pour les autres, ce serait trop long à raconter ici. Un court résumé quand même : elle commence très bien et se finit très mal.
Mais la fin de la fin est très belle.
Quant aux « rameaux », la tradition veut qu’après avoir brulé ceux de l’année précédente au début du carême, les cendres servant à la cérémonie du « mercredi des Cendres »… les fidèles en prennent de nouveaux et les fassent bénir le jour du «��dimanche des Rameaux ».
Nous n’allons pas vous mentir, nous n’avons pas participé à cette Messe car nous étions invités à déjeuner (excellent repas au demeurant et très agréable moment passé en compagnie de Marie-Ange T. qui nous recevait). JM a juste pris ces photos avant de partir mais en rentrant, il y avait la Messe de 18h30 et nous sommes allés nous recueillir à l’intérieur de l’église (*), notre « voisine ».
(*) Commencée en 1926, puis inaugurée le 4 juillet 1930, l'église est l'œuvre de l'architecte Charles-Henri Besnard. Il employa pour cela des techniques qu'il avait brevetées quelques années plus tôt comme des éléments de ciment armé moulé. C'est la première église au monde construite avec cette méthode.
L'église est dédiée à Saint Christophe. A l’intérieur, douze panneaux peints par Jac Martin-Ferrières retracent sa vie.
Le fronton de l'église, en brique et béton, est orné d'une grande statue du Saint réalisée en béton, œuvre de Pierre Vigoureux.
L'église, les façades et toitures du centre paroissial annexe sont protégées depuis 1975 et inscrites au titre des Monuments Historiques suite à une campagne nationale sur la protection de l'architecture des XIXe et XXe siècles.
(Source : « wikipedia.org »)
NB Si vous avez un smartphone, en scannant un QR Code à l’entrée, vous pouvez avoir une visite commentée de l’église. Avec le même smartphone, vous pouvez aussi nous appeler un peu avant et nous nous ferons un plaisir de vous recevoir.
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francepittoresque · 6 months
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COUTUME | Monitoire d’antan : destiné à confondre le coupable d’un crime ➽ http://bit.ly/Monitoire-Proces-Criminel Destiné à obtenir des témoignages lorsque ceux-ci s’avèrent inexistants ou non concluants dans le cadre d’un procès criminel, le monitoire est créé en France par le pape Alexandre III au XIIe siècle mais ne fera pas l’objet d’ordonnances royales avant 1512 : il consiste, pour le clergé paroissial, à fulminer une injonction à leurs paroissiens de témoigner sous peine d’excommunication
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philoursmars · 1 month
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Troisième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s : Christian en Bretagne, près de Brest. (bon, avec ma lenteur, on en est à un décalage d'un mois, c'était fin février !)
Le village de Brélès, avec l'enclos paroissial autour de l'église, typiquement breton, un puits fleuri de muscaris et un linteau gravé en 1722.
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franckdoutrery · 5 months
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Chronique du dernier mois
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Cette chronique s’intéressant depuis toujours à l’homme, à son origine, sa vie et ses œuvres, je me bornerai à donner quelques conseils utiles. Et d’abord au sujet de la conservation des fruits, qui sont tombés drus depuis septembre. Ceux qu’on a ramassés dans l’intention de se garder une poire pour la soif, il ne faut pas les laisser perdre dans les paniers. Car une seule pomme pourrie, ou même talée, risque d’abîmer toutes les autres. L’homme avisé les étalera dans un endroit sec et aéré, au grenier par exemple, de préférence sur du papier journal. Une double page du Figaro ou de La Montagne, où sont rappelées l’affaire Dominici ou celle de Marie Besnard, l’empoisonneuse de Loudun, (tous deux coupables à coup sûr), conviendront parfaitement pour garder intacts Beurrés Durondeau, Reinettes et Conférences. 
Deuxièmement (je l’ai déjà dit, mais on ne le répète jamais assez !), Natalie ne prend pas de h. C’est une habitude pernicieuse due notamment à une chanson de Gilbert Bécaud, où il évoque son guide russe, qui répondait à ce prénom. Dès lors, dans toutes les mairies de France et de Navarre, au guichet Population, on s’est mis à ajouter un h à Natalie. Or ce nom est dû au latin natalis (qui concerne la naissance), dont sont dérivés aussi natalité et nativité. Puisqu’on prépare ces jours-ci la Nativité, s’imagine-t-on qu’on écrirait désormais Nathivité ? Ou qu’on déplorerait une baisse de la nathalité ? Un conseil donc : si la lettre h vous paraît incontournable, appelez votre fille Agathe, Berthe, Hortense, Mathilde ou Thérèse. Mais jamais Nathalie ! Les Russes, qui raffolent pourtant eux aussi de cette lettre, écrivent Natalia. Et les Américains n’admettent que Natalie. Voilà des gens raisonnables !
Ce conseil ayant porté ses fruits, penchons-nous sur décembre, qui est le dernier mois de l’année. À l’époque où Romulus et Rémus tétaient encore une louve et que l’homme parlait le latin sans accent, il ne connaissait que dix mois. Dix se disait decem, d’où décembre. Ce mois est en grande partie voué au Sagittaire, qui décoche ses flèches jusqu’au solstice d’hiver, passant ensuite le relais au Capricorne. Je conseille à ce dernier de soigner son arthrite du genou (contrairement à Natalie, arthrite prend un h) avec des acides gras, des eaux riches en calcium et des génuflexions rythmées (avec un h là aussi). Jésus lui-même, un des premiers Capricornes de l’histoire (puisque né un 25 décembre selon le décompte de Denys le Petit, mandaté par le pape) en souffrit atrocement quand les Romains le contraignirent de porter sa propre croix. Ce qui le fit trébucher, puis tomber trois fois sur le chemin de Golgotha. 
Quant à la météo du mois, selon les prévisions de l’almanach Vermot, le thermomètre fera chuter la température sous son niveau prévu, la neige se mêlera à la pluie et le vent du nord hurlera dans la cheminée. C’est l’époque où l’homme se calfeutre dans une bergère Louis XIV devant le feu ouvert et lit un récit haletant sur quelque expédition polaire. Navigant et cheminant avec Amundsen, il essaie d’atteindre le pôle Sud avant son concurrent Ronald Scott. Là-bas, il fait quarante degrés sous zéro (au bas mot !), les réserves de nourriture se font rares et il faut toujours se méfier de l’ours blanc. Alors qu’ici, l’homme met une énième bûche sur les chenets, attise le feu et tourne les pages. Se sachant en sécurité et bien au chaud pendant que l’explorateur affronte le froid et les dangers de l’Antarctique, il frissonne à l’idée qu’au chapitre cinquième, son trois-mâts restera bloqué dans la glace ou que sa tente s’envolera sous les rafales du vent polaire, emportant sa cagoule en peau de mouton et sa trousse des premiers secours. 
Décembre est aussi le mois de l’Avent dans la liturgie chrétienne. À l’église, le vicaire, le sacristain et le bedeau uniront bientôt leurs forces pour y construire la crèche de Noël. Du grenier paroissial ils descendront les plâtres de la sainte Famille légèrement écorchés aux extrémités. Avec quelques bergers et des moutons à queue plate. Pour préparer la Nativité dans la pénitence et l’abnégation, le fidèle fera une croix sur le mille-feuilles et les beignets pets de nonne. Si sa cuisinière est anglaise, elle préparera déjà, en vue du réveillon, le fameux « Christmas pudding », un mélange de fruits secs bouillis dans de la farine, des œufs, du sel, avec une goutte de térébenthine (qui prend un h). Le tout sera moulé dans un linge et suspendu pendant plusieurs semaines aux poutres du plafond. Le goût de ce dessert est cependant si anglais, qu’il rappelle par sa fadeur la confiture de nouilles que Pierre Dac conseillait de jeter par la fenêtre aussitôt après la cuisson. Et c’est ainsi qu’Allah est grand.
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christophe76460 · 5 months
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POUR LA GLOIRE DE DIEU
Dans l'église dont je suis co-pasteur, la chapelle Saint Andrew à Sanford, en Floride, nous avons la volonté de nous assurer que les membres de notre église et les visiteurs comprennent la base doctrinale de notre communion fraternelle. Pour contribuer à cet objectif, nous notons dans notre bulletin paroissial chaque dimanche matin que « nous affirmons les solas de la Réforme protestante ».
Pour rappel, les cinq solas sont cinq points qui résument la théologie biblique récupérée et proclamée lors de la Réforme protestante. Comme nous le notons dans notre bulletin, ces cinq solas sont :
Sola Scriptura : La Bible est la seule révélation divine écrite et seule peut lier absolument la conscience du croyant.
Sola Fide : La justification se fait par la foi seule. Le mérite de Christ, qui nous est imputé par la foi, est le seul motif de notre acceptation par Dieu, par laquelle nos péchés sont remis et imputés à Christ.
Solus Christus : Christ est le seul médiateur par l’œuvre duquel nous sommes rachetés.
Sola Gratia : Notre salut repose uniquement sur l'œuvre de la grâce de Dieu pour nous.
Soli Deo Gloria : A Dieu seul appartient la gloire.
Chaque sola est importante, mais les quatre premières existent réellement pour préserver la dernière, à savoir la gloire de Dieu. Par sola Scriptura, nous déclarons la gloire de l'autorité de Dieu en notant que seule sa Parole inspirée peut nous commander de manière absolue. Sola fide, solus Christus et sola gratia exaltent tous la gloire de Dieu dans le salut. Dieu et Dieu seul – par l’intermédiaire de son Fils Jésus-Christ – sauve son peuple du péché et de la mort.
Nous avons besoin que la gloire de Dieu soit renforcée car c’est la vérité la plus difficile à accepter pour les gens. Le refus de glorifier Dieu d’une manière appropriée et appropriée est à la base de notre état corrompu. Comme Paul le dit dans sa description pénétrante de la décadence humaine dans Romains 1 : « Ils ne l'ont pas honoré comme Dieu » (v. 21).
Très souvent, lorsque nous parlons de Dieu, nous le décrivons de telle manière qu'il n'est pas reconnaissable comme le Dieu de la Bible. J'ai dit plus d'une fois que si notre dieu n'est pas souverain, notre dieu n'est pas Dieu. Mais je dois aller plus loin. Si nous ne reconnaissons pas la souveraineté de Dieu, si nous ne reconnaissons pas la justice de Dieu, si nous ne reconnaissons pas l'omniscience de Dieu, l'immuabilité de Dieu, alors quel que soit le Dieu que nous reconnaissons, ce n'est pas le cas. Dieu. Nous ne glorifions pas Dieu en tant que Dieu, nous glorifions quelque chose de moins que Dieu comme si c'était Dieu, et glorifier quelque chose d'autre que Dieu ou quelque chose de moins que Dieu comme si c'était Dieu est l'essence même de l'idolâtrie.
L’idolâtrie est notre péché le plus fondamental, et en cela un échange s’effectue : Dieu révèle sa vérité sur lui-même, et nous échangeons cette vérité et repartons avec le mensonge. Nous échangeons la gloire de Dieu contre la gloire de la créature. Cela peut être fait de manière grossière en vénérant quelque chose que nous fabriquons de nos propres mains, comme une statue ou une icône. Mais il existe également une sorte d’idolâtrie intellectuelle plus sophistiquée : la reconstruction de notre doctrine sur Dieu de manière à le dépouiller des attributs avec lesquels nous sommes mal à l’aise. Nous avons tous tendance à reconstruire un dieu qui n’est pas saint, qui n’est pas colérique, qui n’est pas juste, qui n’est pas souverain. Il nous est facile de prendre les attributs de Dieu que nous aimons et de rejeter ceux que nous n'aimons pas. Lorsque nous faisons cela, nous sommes aussi coupables d’idolâtrie que celui qui adore une image taillée.
Chaque jour en Amérique, nous entendons l’un des grands mensonges pernicieux à propos de Dieu, à savoir que nous adorons tous le même dieu. On nous dit que peu importe comment nous l'appelons – Allah ou Yahweh ou Tao ou Bouddha – cela n'a pas d'importance. Nous adorons tous la même chose. À cela, je réponds : « Non, nous ne le faisons pas. » Ce qui est effrayant à propos de la religion en général, c'est qu'elle souligne la culpabilité de l'homme devant Dieu, mais continue ensuite à créer des solutions inefficaces à cette culpabilité. La motivation pour créer des alternatives à la religion que Dieu révèle dans la nature et dans les Écritures est l’idolâtrie. Mais même si nous confessons hardiment cette vérité, nous devons nous garder de l’idolâtrie, même au sein de la communauté chrétienne. Parce que nous sommes des créatures déchues, nous pouvons être à la fois religieux et idolâtres. Nous pouvons tous refaire Dieu à notre propre image, en minimisant ou en ignorant les aspects de son caractère que nous n’aimons pas. Si nous faisons cela, nous refusons la gloire qui appartient à Dieu seul.
Le but entier de notre salut est de nous amener à un endroit où nous adorons Dieu et l’honorons comme Dieu. Le grand danger est que nous nous placions au centre des préoccupations et que nous volions la gloire de Dieu. Dans tout ce que nous faisons, la passion motrice du chrétien doit toujours être Soli Deo Gloria, à Dieu seul en soit la gloire. Et la seule façon de réaliser cette passion est d’honorer Dieu comme Dieu, de Le comprendre tel qu’Il s’est révélé dans Sa Parole et non selon les simples opinions de créatures déchues.
- R.C. Sproul
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"L'emprunt va bon train dans Mégantic," Le Soleil. May 1, 1943. Page 5. --- Une foule considérable assistait mercredi soir dernier à la démonstration publique organisée par le quatrième emprunt de la victoire, à la grande salle du Centre Paroissial de Thetford-Mines. Plusieurs orateurs ont adressé la parole, dont le maire de la ville, M. Gédéon Fillion, MM. les curé Poulin, V. F., et Joseph Gingras, et M. Redmond Hayes, le conférencier invité, et trois films ont été présentés.
Tous ont fait un vibrant appel aux citoyens de la région leur demandant de souscrire généreusement afin d'aider les forces armées du Canada à recevoir les armes et munitions dont elles ont besoin.
Les mineurs d'amiante et les employés des autres compagnies de la région font preuve d'une grande générosité et d'un grand enthousiasme. La première mine à dépasser son objectif est la British Canadian Mines Ltd, de Black Lake, qui vient de souscrire la somme de $19,400, avec 211 souscripteurs. L'objectif de $19,337 fut souscrit des la quatrième journée. Parmi les autres souscriptions, citons celles des employés de Lynn McLeod Metallurgy Ltd, qui s'élèvent à $7,000; la maison A. Setlakwe & Fils Enrg.. $1,950; la maison Dubé & Frère, $700 la Ferronnerie Demers Ltée, $1.100.
D'autre part, une cérémonie solennelle a eu lieu dimanche dernier à Laurierville, alors que M. l'abbé G.-D. Demers bénit deux drapeaux de l'emprunt, dont l'un a été arboré à Laurierville, et l'autre à Ste-Julie Station.
Le comité local de l'emprunt a lancé sa campagne et tout laisse prévoir que l'objectif de $13,000 sera atteint. Au dernier emprunt, Laurierville souscrivait la somme de $11,300, soit 188.3 p. c. de l'objectif fixé.
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