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#covid de sens
lemondeabicyclette · 2 months
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Dr. John Neff ❤️👍😇 : Dans les années 60, il y avait déjà des polémiques sur l'efficacité des vaccins. Cependant depuis 2021, les dommages causés par les vaccins anti Covid19 sont bien supérieurs à ceux du vaccin contre la variole et à ce jour, toujours aucune réaction de la part des autorités sanitaires françaises ou internationales 🙉🙊🙈🐌☠️😢😕
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« Comment tout peut s'effondrer. » Quatre ans après la recherche pour ces ouvrages - si non enchanteurs, prophétiques - notre toit coule, nos politiques, whorenalisses et autres pousheurs de "soin$ public$" s'apprêtent à nous remettre une enième couche de groundup, une autre ronde de génocide sioniste et une autre bande de couaccinophiles par en arrière pis dans face et ce, dans un cloaque de corruption inflationniste.
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dandanjean · 1 year
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Serge Bouchard, un regard sur la Covid
Serge Bouchard, un regard sur la Covid
Un témoignage qui parle, avec une certaine perspective, de cette pandémie, mais surtout un témoignage qui illustre son amour pour la vie. Il est mort dans l’année qui a suivi. Le 2 juin 2020 dans le cadre du tournage du documentaire “2 mètres”, je suis allée rencontrer Serge Bouchard, anthropologue et philosophe québécois, pour avoir sa vision de ce que nous vivions. Nous en étions au jour 75 du…
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ehalatp · 2 years
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3ans que je “flippe” d’avoir le covid et ce ne sont que des allergies descendant dans mes bronches et là pour une fois où ç’aurait dû être une allergie ben raté c’est le covid
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zvaigzdelasas · 4 months
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"The first session of the 118th Congress was one of the least productive in the body’s history. Only 22 bills were signed into law this year by the president — by far the lowest total since at least 1993, the first year for which the National Archives have data. (For comparison, the next least productive year during this timespan was in 2013, when 72 bills became law.) Despite the slow year, members nonetheless found time to introduce an abundance of bills relating to the threat of China, which was the focus of hearings in committees ranging from Financial Services to the Judiciary committee, and of legislation concerning everything from fentanyl distribution to TikTok. In 2023, members introduced 616 pieces of legislation that contain a variation of the word “China” — more than 3.5 for every day that Congress was in session on average. That’s already more than any two-year congressional session, except for the 117th Congress (2021-2022; 860 bills) and the 116th (2019-2020; 620 bills), according to a search of the congressional record. One of the few “accomplishments” in Congress this year was the formation of the Select Committee on the Strategic Competition Between the United States and the Chinese Communist Party — which was almost instantly dubbed the “tough on China committee” — in January."[...]
Members of Congress introduced at least nine bills aimed at restricting foreign ownership of agricultural land in the United States. As RS has explained, these efforts are not always logical, even if there are some legitimate national security concerns over China or other nations buying up farmland.[...]
Rep. Andy Ogles (R-Tenn.) and five co-sponsors introduced the “Defund China’s Allies Act” to “prohibit the availability of foreign assistance to certain countries that do not recognize the sovereignty of Taiwan,” aimed at 21 countries in Central America and the Caribbean. The bill argues that the “United States efforts to condemn these countries’ willing diplomatic shift toward a genocidal government is undermined by an incomprehensible adherence to the so-called ‘One China’ policy, on terms dictated by the Chinese Communist Party,” implicitly calling for an end to the policy that has maintained peace in the Taiwan Strait for decades.[...]
bills introduced by Sen. Marco Rubio (R-Fla.), Reps. John Curtis (R-Utah), and Chris Pappas (D-N.H.) [...] would have renamed the Taipei Economic and Cultural Representative Office (TECRO) in Washington, D.C. to the Taiwan Representative Office, because it “better reflects its status as Taiwan’s de facto diplomatic mission to the United States.” That was only one of many bills that were purely symbolic and antagonizing, including one that demanded that Beijing “must be held financially liable for $16,000,000,000,000,” because of its responsibility in the outbreak of the Covid-19 pandemic and a resolution that declared China to be the biggest threat to freedom in the world. “Whereas it is the opinion of Congress that the Chinese Communist Party is the greatest threat to freedom and to the free world,” reads the text, introduced by Rep. George Santos (R-N.Y.). “Be it Resolved by the House of Representatives (the Senate concurring), That Congress agrees that the Chinese Communist Party is the greatest threat to freedom and to the free world.” That’s the entire resolution.
27 Dec 23
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claudehenrion · 1 month
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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chifourmi · 1 month
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Je suis allée au CIO vendredi et je suis encore plus perdue qu'avant. Je me suis rendu compte que le Master que je voulais faire ne me convenait pas du tout donc je ne sais pas quoi faire finalement. Le gros problème dans tout ça c'est que j'ai l'impression de m'accrocher aux études parce que je n'ai toujours pas fait le deuil de mes études qui se sont super mal passées. Je n'arrive pas à passer à autre chose. Je crois que j'ai envie de garder un bon souvenir de ce qui est censé "être les plus belles années de notre vie" et pas finir sur cette note amère. Mdr. J'ai l'impression d'être une gosse parce que clairement je veux faire des études pour faire des études. Ça n'a aucun sens. J'ai juste envie de vivre ce que la plupart des gens vivent. Rencontrer des gens, galérer dans les cours mais se soutenir, se demander mutuellement si on va en cours, avoir quelqu'un qui te garde une place en auditoire, se demander si on sort ce soir, étudier ensemble,... J'ai l'impression que j'arriverai jamais à passer à autre chose tant que je le vivrai pas. J'arrive pas à capter que parfois dans la vie ça se passe pas toujours comme on veut. Je veux trop contrôler le truc. Mais peut-être qu'une fois lancée dans le monde du travail, j'y penserai plus? Et en même temps on repense toujours à nos années à l'université pcq c'est quand-même une partie importante de notre vie.
Au moins mon année en infographie, avant le covid, était vraiment géniale. Je vais peut-être juste devoir m'accrocher à ça pour passer à autre chose. J'en reviens pas que les conséquences du covid soient toujours là.
(01/04/2024)
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kahvemsogumadan · 23 days
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Bayramın 1.günü eşimin ailesiyle bayram ziyaretine gittik. Hiç istemesem de sonradan laf edeceklerini bildiğimden ses çıkarmadım. Görümcem hasta çocuklarını da almış gelmiş. Çocuğun hali perişan elleri yara bere içinde. Otururken de diyor ki "doktor el ve ayak hastalığı olmuş dedi ama ben inanmıyorum" ben şok oldum bunu duyunca. Tabi hemen ertesi gün Hüma da döküntüler oldu ama ben geçer belki sıcaktan olmuştur falan diye kendimi kandırdım. Ama bugün artık Hüma ayaklarından yürüyemeyince hastaneye gittik. El ve ayak hastalığı olmuş. Bol bol yemek yesin ve su içsin dedi ki biz normal zaman da bile yemezken hastalık zamanların da daha da fena oluyoruz. Kaç kere çocukların hastaysa ya sen gelme ya da bana haber ver ben gelmiyim dedim. Benim çocuğum hastalanınca toparlanamıyor dedim yok dinlemiyor kadın. Hadi onun aklı kesmiyor annesi deseydi bu halde bu çocukların dışarıda işi ne diye. Gerçekten bıktım bu insanlardan. Hamileliğimin son ayında da bunların yüzünden covid olmuştum. Hakkımız haram zıkkım olsun bu insanlara. Bile bile benim çocuğumu hasta etti gerçekten haram zıkkım olsun.
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femsolid · 5 months
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Désolée pour le vent, c'est un peu long mais j'ai besoin d'extérioriser et j'aimerais des avis extérieurs. J'ai dîné avec mes parents hier, ça a mal fini, j'ai insulté mon père.
On a parlé de l'affaire Sandrine Josso avec ma mère, et mon père a dit "de toute façon tous les puissants et les riches (en parlant de Guerriau) sont ce genre de personne il faut pas leur faire confiance"
Ma mère et moi on lui a dit que c'est pas une question de classe sociale et il y a un problème de violence masculine, ça l'a énervé. Il a commencé à parler des taux de divorce qui augmentent et des taux de natalité qui baissent. Il dit qu'à cause des "femmes qui n'ont confiance en aucun homme et voient tous les hommes comme des agresseurs potentiels" il n'y a plus de confiance et d'amour.
Ça a escaladé à partir de là (je suis une survivante et ma mère a également vécu des choses. Mon frère qui était présent aussi sortait jusqu'à peu avec une survivante et s'emballe très rapidement sur ce sujet) et ma mère a fini par expliquer que la mysoginie et l'anti féminisme des hommes est aussi un facteur qui compte pour les femmes et elles ont le droit de refuser les avances de qui elles veulent pour n'importe quelle raison.
Comme à chaque fois qu'on parle du sexe masculin de façon un peu générale, mon père s'est offusqué et nous a dit "moi je n'en vois jamais de l'anti féminisme de la part des hommes je sais pas où vous voyez ça" j'étais assez en retrait depuis le début mais là j'étais outrée. "J'ai vu ton livre du moment sur ton bureau, sur la quatrième de couverture ça explique que les Femen sont de mèche avec le nouvel ordre mondial. C'est pas de l'anti féminisme ça?" (Je précise que le féminisme n'est pas au centre des propos du livre, c'est avant tout un livre COVID sceptique) Là il s'est VRAIMENT énervé. C'est allé très vite à partir de là et je ne me rappelle plus de ses mots exacts, mais voilà ce qu'il nous a "expliqué" :
Le nouvel ordre mondial est contrôlé par l'OMS dont le but (final?) est de légaliser la pédophilie. (On lui a rappelé que c'est déjà légal sur une grosse partie du globe mais il n'a pas commenté. Je précise également que je lui ai demandé ce qu'il entendait exactement par "légaliser la pédophilie" et il a répondu "montrer des drag queens aux enfants" et "donner des cours sur la sodomie en maternelle, comme en Allemagne") C'est à cause de l'OMS que la société est de plus en plus sexuelle et que tout est sexualisé. Les Femen (qui sont des "exhibitionnistes perverses") participent à cette culture et sont donc de mèche avec l'OMS.
Je lui ai donné deux trois infos sur les femens et d'autres groupes féministes et il était sceptique (c'est le moins qu'on puisse dire) et il m'a dit que "au lieu d'insulter son livre je devrais le lire parce que je sais clairement pas de quoi je parle" du coup je lui ai répondu que je ne vais pas perdre du temps à lire un livre qui a été écrit par quelqu'un qui a fait si peu de recherches qu'il voit les femens se mettre torse nu dans des manifs avec de la peinture sur la peau et au lieu de se demander quelle est leur revendication, pense immédiatement que c'est un fétiche. Je te laisse imaginer sa réponse......
Plus rien de très intéressant à partir de là, moi, mon frère et ma mère on s'est fait traiter de moutons sous hypnose et aussi il était à deux doigts de nous traiter d'apologistes de la pédophilie quand on lui a dit que non, on n'est pas contre l'éducation sexuelle à l'école. J'ai aussi traité mon père de con. Je sais que c'est pas extrême, mais je suis très proche de mes parents, j'adore(ais) mon père et c'est vraiment dur à vivre comme situation. Je me sens coupable.
Je sais plus quoi faire en fait. L'autre jour il m'a entendu parler avec ma mère des dangers de l'idéologie du genre sur les enfants GNC et surtout les adolescentes (je suis détrans) et il s'est emballé. Il a commencé à parler de notre "société décadente" qui veut "transgenrer (c'est son terme) les enfants en masse". Chaque discussion est deraillée/polluée. Je ne peux plus passer de bons moments avec lui, j'ai l'impression d'être la fille d'un fou. J'ose même pas imaginer ce que c'est pour ma mère. Plus le temps passe et moins je fais d'effort. Je ne lui parle plus. Ça me déchire et j'ai envie de pleurer juste en écrivant ça mais je suis épuisée en fait.
Je précise que c'est depuis la pandémie qu'il est comme ça. Il est tombé dans la théorie du complot et il ne cesse de creuser depuis. Il était tellement différent avant. Tellement ouvert et tolérant. Au fond de moi j'ai peur que ce soit juste son vrai visage qui se révèle, et qu'il n'a en réalité jamais soutenu sa fille lesbienne et féministe. Comment je fais pour lui faire comprendre qu'il me rend malheureuse et il enterre notre relation à petit feu... J'en ai marre d'être attentive à ses émotions et à faire des efforts... Je fais que ça depuis 3 ans. Maintenant j'ai juste envie de le frapper. Je sais plus quoi faire.
Désolée encore pour le long ask. J'adore ton blog :')
Bonjour bonjour,
ton message me rappelle les horribles dîners de famille que je devais supporter avec mon père avant que je coupe les ponts définitivement il y a plusieurs années.
C'est tellement ironique que ton père s'érige contre le bourrage de crâne libéral américain alors qu'il est lui même en train de se faire bourrer le crâne par les conservateurs américains non ? Ça se voit dans les éléments de propagandes utilisés type "les drag queens qui font des spectacles aux enfants", sujet de débat chez les conservateurs en Floride mais qui n'a rien à voir avec la situation en France. Donc oui il s'est fait endoctriner mais c'est parce qu'il était déjà misogyne à la base, comme tous les hommes à des degrés divers. Pour être endoctriné dans une secte il faut qu'on nous vende du rêve. Qu'est-ce que les complotistes conservateurs et masculinistes vendent comme rêve? Le patriarcat. Et bien sûr l'idée que tu es plus intelligents que les autres qui sont des "moutons" comme dans toutes les sectes. C'est bien pour les narcissiques.
A chaque fois que les femmes sont choquées d'un acte de violence misogyne et commencent à en parler, les hommes font tout pour que ça ne se transforme pas en conscience de classe, solidarité féminine, séparatisme. C'est ce que ton père a tenté de faire lorsque vous avez commencé à discuter l'affaire Guerriau. Il a tout de suite prétendu que c'était une petite portion des hommes qui faisait ça, des hommes riches, des hommes de pouvoir, j'entends ça souvent. D'autres disent que c'est seulement les arabes ou les noirs qui font ça, d'autres que c'est seulement les moins éduqués qui font ça, ou seulement les hommes dans les bars, les monstres, les fous, les immigrés, les sdf, chacun choisit la catégorie qui l'arrange. Le but c'est de faire croire aux femmes qu'elles peuvent continuer à faire confiance aux hommes. D'ailleurs ton père a été très honnête là dessus, il a dit ouvertement qu'il cherchait à vous convaincre de continuer à faire confiance aux hommes car les femmes doivent continuer à coucher avec les hommes. C'est littéralement ce qu'il a dit. Si vous vous rendez compte que vous ne pouvez pas faire confiance aux hommes (car les hommes sont misogynes, se comportent comme des prédateurs et attaquent typiquement les femmes qu'ils connaissent bien et qui leur font confiance) alors vous allez quitter les hommes "divorcer", arrêter de coucher avec les hommes "y'a pu d'amour :(", arrêter de leur donner des fils "natalité en baisse". En gros il a peur que votre conscience de classe se transforme en séparatisme féministe : ne plus coucher avec les hommes, abandonner vos maris, refuser qu'ils vous mettent enceintes, ne plus continuer la ligne père-fils. C'est le pilier du patriarcat que vous remettez en question selon lui donc il se défend en vous répondant qu'à cause de vos revendications (vouloir être libres, respectées, pouvoir dire non aux hommes, ne pas être violées) l'espèce humaine va périr et "l'amour" (l'unité familiale patriarcale) est en faillite. On est en plein dans la lutte de classe. Et c'est quand même ignoble de tenir des propos pareil, sur le fait que les femmes disent trop non aux hommes, sont trop méfiantes et exigeantes, quand la discussion démarre sur un homme qui essaye de violer une femme. Limite il justifie l'acte de droguer une femme au final, puisque les femmes sont tellement méfiantes et exigeantes qu'on peut plus les approcher normalement. Et que la survie de l'espèce depend des femmes qui doivent se forcer à recevoir les penis d'hommes qu'elles n'aiment pas. Du viol quoi. Un mal necessaire. Aujourd'hui elles divorcent et tout ! On devrait pouvoir les forcer à rester et à faire des gosses non ? "C'était mieux avant !"
Et après avoir tenus tous ces propos typiquement anti-féministes il déclare n'avoir jamais entendu un homme tenir des propos anti-féministes. Tout en lisant un livre anti-féministe en plus. Il a pas beaucoup de "self awareness" comme disent les anglais.
La suite de la discussion devient beaucoup plus complotiste et tristement classique dans ce domaine malheureusement. C'est normal que ça te choque et t'insupporte. Le problème avec les gens endoctrinés dans des sectes c'est que plus on les contredit (et plus on le fait avec virulence) plus ça les conforte. Parce qu'en fait, ils sont déjà dans une mentalité "c'est nous contre eux". Ils pensent déjà que les autres sont à leur trousse pour les faire taire, il y a un côté victimisation, paranoïa, je suis le héro envers et contre tous, je me fais censurer par l'ordre établit; donc à chaque fois que t'essayes de le corriger sa secte lui dit que c'est la confirmation qu'il a raison. Le fait d'être marginalisé et de déranger est pour lui la preuve qu'il dit quelque chose de vrai et d'important.
Donc pour calmer ça je pense que la meilleure approche est celle que tu as abordé dans ton message, lorsque tu dis que tu as l'impression de parler à un fou, que tu as l'impression de perdre ton père, que tu ne peux plus avoir de discussion normale avec lui, qu'il te manque, qu'avant il te semblait ouvert mais que maintenant il te rend triste, qu'il enterre sa relation avec toi etc. Si tu veux essayer de renouer les liens avec lui c'est ça qu'il faut que tu lui dises au lieu de débattre ses biteries complotistes.
Mais peut-être que tu l'as déjà fait et peut-être que t'as autre chose à foutre aussi que d'essayer de convaincre un homme que peut-être, ô peut-être, les femmes ne sont pas des objets à la disposition des hommes. Parce que t'es pas sa mère, t'es sa fille et c'est lui ton père. C'est pas à toi d'éduquer ton père. C'est un homme adulte capable de réfléchir aussi. Si faire du mal à sa fille ne lui pose pas de problème car sa lutte masculiniste est plus importante ça en dit long aussi. Peut-être que t'as assez donné et que c'était déjà pas à toi de donner tant. Peut-être que t'as pas à supporter des diatribes misogynes dégueulasses. Comme je t'ai dit, moi j'ai fait mon choix il y a plusieurs années qui a été de ne plus jamais revoir mon père. C'était après un énième dîner de merde aussi où il a tenu des propos lesbophobes et je me suis dit "en fait ce mec va jamais changer et il apporte que de la négativité dans ma vie donc pourquoi je continue à supporter ça ?" S'il a pas la volonté de changer c'est qu'il tire suffisamment de bénéfices de sa misogynie. Dans tous les cas, à défaut du no-contact tu peux déjà réduire le contacte drastiquement et surtout ne plus te laisser entrainer dans ses discours masculinistes car ça te fait du mal et ça le renforce. Tu peux lui dire directement que, comme tu ne peux plus avoir de conversation normale, sensée et agréable avec lui bah basta, finito. Et la relation devient superficielle mais c'est entièrement sa faute et il le sait.
J'espère que d'avoir mis tout ça à plat t'aura permis d'éclaircir la situation et à comprendre ce que tu ressens. Écrire fait souvent du bien. Dans tous les cas, tu n'es pas responsable ni de la dégradation de vos relations, ni de son comportement et tu es déjà bien gentille d'avoir essayé de raisonner et de préserver tes liens avec quelqu'un qui montre si peu de respect envers les femmes et donc envers toi et ta maman.
Au fait, souvent, quand je reçois des messages, les femmes commencent par s'excuser de l'avoir envoyé et tu n'échappes pas à la règle. Tu t'excuses en début et en fin de message t'as remarqué ? Ne t'excuse pas d'avoir des choses à dire, de prendre ton temps ou de parler de toi. Je peux t'assurer qu'aucun homme ne s'excuse avant de de m'envoyer un pavé complètement débile. Et à côté de ça j'ai de femmes intéressantes qui ont peur de déranger... Triste !
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benmisim · 1 month
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canım alişim, doktorun yazdığı tedaviyi inceliyor ✍🏻✍🏻 dmcnc
geçen hafta cuma sabahı ateşler içindeydi. ölçtüm, 38.8. acile gittik, kan testi, influenza testi, derken covid çıktı. ömer hastaydı, meğersem covidmiş yani. neyse şükür ateşi bir gün sürdü, ertesi gün normale döndü. bugün kontrol vardı kan değerleri de yerine gelmiş. ama akşam…. sen tut kus da kus, kus da kus. üç kere kustu çocuk. ama şelale gibi yani. tövbe tövbee. bi de onun için gittik, iğne vurdular falan…. ah şekerparem.
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«Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
(Emmanuel Macron, 24/11/2020)
La Verneinung se traduit le plus souvent en français par dénégation... L’exemple vient de Freud: lorsqu’un de ses analysants lui raconte un rêve et dit: "qui que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère..." Freud en conclut que bien entendu il parle de sa mère. Dire en niant ne dit pas moins que dire en affirmant...
Comme remarque Lacan: «La Verneinung n’est que la pointe la plus affirmée de ce que je pourrais appeler "l’entre-dit", comme on dit l’entrevue.»
Notons également que le président parle au "je" : «Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi? Pour le psychanalyste, la normalité, c'est la psychose. Mais psychose et folie ne se recouvrent pas. Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle, et c'est bien pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle... Névrose («je ne veux pas savoir»), psychose («je ne peux pas savoir») et perversion («je sais bien mais quand même») sont les trois structures de langage incorporé, nul sujet n’échappe à la structure.
NB: Le noyau psychotique est la norme, car c'est l’universel pour chaque sujet de ne pas pouvoir savoir...
Toujours dans la même allocution, Emmanuel Macron dit aussi: «Nos concitoyens ont besoin en effet d'avoir une vie, si je puis dire(...)»
Monseigneur est trop bon. Vraiment….
Tomber malade ou amoureux…
Toutes les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie... (En fin de compte, ce qui se sera passé en Suède en donnera la confirmation...)
Le véritable point saillant est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et son corrélât fantasmatique: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc, pour le sujet qui en émerge, rien d’autre au monde qu’un objet petit a, conformément à l’écriture de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung. Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective formulée par Kant de la sortie de notre propre "minorité"...
En inventant la psychanalyse il y a plus d’un siècle, Freud nous interdit désormais de faire comme si nous ne savions pas que les mots savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.
L’actualité du malaise dans la civilisation, c’est une époque malade comme jamais de la déliquescence du langage, et cette déréliction produit la vraie pollution, la pollution la plus toxique, la mère de toutes les pollutions.
Ce qui s’appelle Discours Capitaliste, dans l’acception lacanienne, ce n’est pas le discours tenu par des capitalistes, mais un effet de structure qui fait que le sujet croit qu’il est le maître des signifiants, et la langue en usage un simple instrument à sa disposition...
Nos sociétés occidentées soi-disant «progressistes et tolérantes» s’élèvent ainsi à des sommets de crétinerie autoflagellatoire jamais atteints historiquement...
Du temps des Grecs anciens, la «société» se mettait en scène pour les dieux, aujourd’hui elle se donne en spectacle à elle-même, dans une représentation permanente, répétant inlassablement dans les médias ou sur les réseaux dits sociaux le lexique et la syntaxe du discours dominant, s’imaginant qu’elle pourrait ainsi atteindre au «sourdre de la source» à partir de l'eau stagnante des égouts.
Le sujet du Discours Capitaliste qui croit s’opposer au capitalisme a autant conscience d’être pris dans un discours que le poisson a conscience de l’eau dans laquelle il baigne.
Se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose.
La première révolution accessible au sujet est celle d’avoir osé faire un tour sur soi-même, à savoir le tour complet des quatre discours, aller et retour, afin de prendre en lui-même l’immarcescible sujet de l’énonciation dans ses propres énoncés.
Cela s’annonce avec le Discours de l’Analyste.
Comment la considération politique aujourd'hui pourrait-elle faire l’impasse sur ce qui, dans son acception stricte lacanienne, se définit d’être le Discours de l'Analyste?
Le Discours de l'Analyste ce n’est pas le discours tenu par les psychanalystes (rares parmi ceux qui se disent «psychanalyste» sont à la hauteur de ses exigences) c'est au contraire le Discours qui, en tant que structure interdéfinie avec les trois autres Discours (plus un), soutient le destin des quelques uns qui ont choisi de se mettre délibérément à son service ; le Discours de l’Analyste c’est avant tout le lien social déterminé par la pratique d’une analyse.
Pour que ce lien social ait été mis à jour, encore aura-t-il fallu que l'objectif de la cure ait été atteint, autrement dit la dissociation de a et A ait été correctement menée, car si cette «séparation» n'a pas eu lieu (étape logique succédant à l'aliénation) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison, alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Le Discours de l'Analyste est ainsi le seul Discours qui permette au sujet, qui s’y prend délibérément, d’assumer sa division constitutive, tout en déterminant sa confrontation au Réel, à laquelle il est forcément convoqué puisqu’il en est partie prenante.
Le Discours de l’Analyste non seulement permet de rendre compte que de notre position de sujet, nous sommes toujours responsables, mais la position du psychanalyste ne laisse pas d'échappatoire puisqu'elle exclut la tendresse de la Belle Âme, comme elle exclut toute prétention à l’objectivité pure.
Le Discours de l'Analyste ne commande pas, et en ceci il est déjà l'envers du Discours du Maître, il ne commande ni ne recommande, ce qui permet de se dégager des sempiternelles pulsions de soumission et de domination, de séduction et de manipulation, une prise de distance avec l'Autre qui - grâce à un «jeu des places», où la place vide se différencie de ce qui l'occupe, sujet ou objet - offre la promesse d'un lien social authentique renouvelé, basé sur la parole qui engage, l'autre (qui est là) ayant pris le pas sur l'Autre (qui n’existe pas).
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme.
Raison pour laquelle il ne manque d’ajouter: «Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains...» (Télévision)
Se mettre au service du Discours de l’Analyste implique pour nous que d'une part nous ayons compris que nous n'avons pas d'autre rayon d'action véritable et réel que d’intervenir sur les Discours, la psychanalyse étant une clinique du discours et un Discours, et d'autre part que nous refusons de végéter sur le «mode survie» – la survie utilitaro-hédoniste, pauvre en événements, principale préoccupation de beaucoup de nos contemporains: "un peu de poison par-ci par-là: cela donne des rêves agréables. Et beaucoup de poisons pour finir: cela donne une mort agréable. On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit, mais l'on révère la santé. Nous avons inventé le bonheur, disent les derniers hommes, et ils clignent de l'œil." (Also sprach Z.)
Nous rejetons donc radicalement l'idéologie libérale de la victimisation, laquelle réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option la moins mauvaise – car nous ne sommes pas sans savoir que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif viennois, l'a amèrement noté, "notre survie se paie généralement au prix de notre vie."
La survie vaut-elle le coup d’être survécue?
Aimer, c’est changer de discours.
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lemondeabicyclette · 3 months
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Tucker Carlson qualifie le COVID-19 de « plus grand crime jamais commis ».
« Anthony Fauci a menti au Congrès. Et le résultat final est qu'il mérite d'être en prison ».
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Fauci a admis au Congrès que la règle de "distanciation sociale de 6 pieds" est "comme apparue" sans base scientifique.
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cuy-i-ruh · 1 month
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koku ve tat alamıyorum. influenza fikrinden vazgeçtim. sanırım covid geçiriyorum. sırtım çok ağrıyor. öksürük de cabası. nasıl tahriş olduysa boğazım öksürükten veremli gibi elimde mendille dolaşıyorum. kardeşime de bulaştı. bugün işe gidemedi. anneme bulaşmasa bari.
annem yalnız gitmesin diye bugün pazara gideyim dedim onunla. 10 dk sonra yoruldum. Eve dönmemiz uzun sürmedi ama bünyem zayıflamış. nefes alırken bile zorlandım dönünce. çok yorgun hissediyorum. umarım bu meret ciğerime inmemiştir. Allah'ım en önemli nimet sağlık, sen sağlıktan ayırma kimseyi 🤲🏻 amin
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grompf3 · 2 months
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Article dans Le Point : « Science » célèbre les lanceurs d’alerte ayant fait tomber Didier Raoult
Vous avez lu cet article ?
C'est très bien, je trouve. Un média généraliste français se fait l'écho de l'article publié dans la prestigieuse revue Science qui nous présente quelques uns des lanceurs d'alerte ayant dénoncé les mauvaises pratiques de Didier Raoult :
The reckoning
Didier Raoult and his institute found fame during the pandemic. Then, a group of dogged critics exposed major ethical failings
On y trouve des portrait de Victor Garcia, d'Elisabeth Bik, de Lonni Besançon, de Mathieu Molinard, et de Frabrice Frank, ainsi que des interventions de Karine Lacombe.
On raconte le parcours du combattant de ces personnes, découvrant des pratiques mensongères et contraires à l'éthique la plus élémentaire, dans le contexte d'une crise sanitaire mondiale, et qui ont subi insultes et menaces pour avoir juste dit la vérité.
Et on y insiste sur le fait que ces gens, par civisme, par sens du devoir, ont fait le job que les autorités concernées n'ont pas fait. Ce que l'on retrouve dans le compte rendu de l'article dans Le Point :
"Concrètement, le travail que nous avons fait aurait dû être celui du CNRS, de l'Inserm, du gouvernement… Ce n'était pas notre boulot, nous n'avons pas été protégés, et nous avons dû tout gérer seuls."
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C'est très bien.
Soulignons aussi que Le Point a déjà consacré quelques articles aux magouilles à large échelle commises par Didier Raoult et ses supporters.
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Mais...
Didier Raoult a bénéficié pendant des années de tribunes dans Le Point. Et à peu près toutes les personnes sérieuses que vous consulterez vous confirmeront qu'il y racontait beaucoup de merde.
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Raoult a notamment utilisé ses tribunes dans Le Point pour y diffuser de la désinformation sur le climat. On en avait d'ailleurs reparlé en début de pandémie.
Sur Darwin, toutes celles et ceux qui se sont penchés sur les propos de Raoult sont unanimes : c'est n'importe quoi.
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Il aimait bien jouer à "arrêtez d'avoir peur" sur plein de sujets (pas que sur le climat... et ça datait donc de bien avant ces histoires de trottinette et de coronavirus).
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Et puis ça j'aime bien. 2017 :
Didier Raoult : Halte à la gabegie scientifique !
Nos unités de recherche françaises sont évaluées tous les cinq ans par une structure nationale indépendante qui change de nom régulièrement ; elle s'appelle actuellement Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (HCERES). Ces évaluations n'ont quasiment aucune utilité.
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Ah...
C'est intéressant.
Hein que c'est intéressant ?
Elles sont inutiles ces inspections. Elles servent à rien. C'est du pognon gaspillé. Faudrait arrêter avec ça.
Bon.
Quelques mois plus tard, on découvrait ça :
On y découvrait déjà toute une série de dysfonctionnements, annonciateurs du scandale sanitaire que l'IHU de Marseille allait provoquer pendant la pandémie de Covid.
Quelques mois plus tard encore, en janvier 2018, l'INSERM et le CNRS lui retireront leur soutien.
Ah...
Et puis quand la pandémie de Covid a commencé, il a aussi eu droit à quelques coups de pub...
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Alors oui, Le Point se sont rattrapés depuis. Et déjà en début de pandémie, il y avait eu des articles critiques sur la méthode Raoult.
Oui.
Mais j'aime bien ce dicton qui dit que le journalisme, ça ne consiste pas, face à une personne qui dit qu'il pleut et une autre qu'il dit qu'il fait beau, à donner alternativement la parole à l'un et à l'autre. Le journalisme c'est se lever du canapé, aller à la fenêtre et regarder dehors pour voir le temps qu'il fait.
Et les explications sur les graves problèmes méthodologiques, en s'adressant à un public généraliste, ça ne pesait pas lourd face aux commentaires sur le chercheur rebelle et disruptif qui dérange le sérail.
Et là, je parle de Le Point. Mais il y aurait beaucoup d'autres médias sur lesquels je pourrais écrire un billet de blog de ce style.
Donc certains ne vont peut-être même pas relayer l'excellent article publié par Science.
Alors je remercie Le Point de le faire. Je les remercie aussi pour, dans cette crise du coronavirus, s'être progressivement recentrés sur les faits, sur l'information.
Je répète cet extrait de leur article :
« Le travail que nous avons fait aurait dû être celui du CNRS, de l'Inserm, du gouvernement… »
Très juste donc.
Mais il faudrait que des leçons soient tirées. Et pas qu'au niveau du CNRS, de l'INSERM et du gouvernement. Le monde du journalisme doit aussi repenser son rapport à l'information, aux faits.
Allez, je vous remets le lien pour la route.
Et encore une fois, merci à Victor Garcia, Elisabeth Bik, Lonni Besançon, Mathieu Molinard, Frabrice Frank et Karine Lacombe.
Et merci à toutes celles et ceux qui ne sont pas cités dans l'article de Science et qui ont mouillé leur maillot et encaissé du harcèlement et du dénigrement depuis le début de la pandémie : Nathan Peiffer-Smadja, Mathieu Rebeaud, Guillaume Limousin, Alexandra Calmy, Dominique Costagliola, Damien Barraud, Jérôme Barrière, Christian Lehmann, Ari Kouts, Annick Chevillot, Samuel Alexander, etc, etc, etc, etc... J'en oublie. Et beaucoup.
Honte à celles et ceux qui s'en sont pris à vous. Honte à celles et ceux qui ont laissé faire quand leur job aurait été d'intervenir.
Merci pour le taff.
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harriet-de-g · 10 months
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Elles sont là, elles sont de toute beauté et me rendent très fièr·e. Ça faisait longtemps que j’en avais envie et ça y est ! Les textes du blog ont enfin une forme papier ! Un format brochure existe pour chaque texte et un joli zine compile un certain nombre d’entre eux. Tout ça est disponible à prix libre ou gratuitement.
Où les trouver?
Première option : M'envoyer un message privé en précisant sa commande, le prix qu’on veut payer, son mail & selon le mode d'envoi : une adresse. Sauf grosse commande, les expéditions sont faites une fois par mois.
✉️ Pour la poste, le coût d'envoi est entre 1,70€ & 2,90€ selon le volume.
Les sous, en plus de la marque de soutien symbolique que ça représente, me permettront de continuer à faire ce que je fais sans que les finances soient un obstacle. Plus concrètement ça veut dire, frais d’impressions, hébergement web, déplacements, tisane, et autres projets décadents 💅 (et j’en ai pleins)
Deuxième option : Tout est dispo en lien ci-dessous ! prêts à être imprimés, distribués ou jalousement gardés.
Ces textes sont faits pour vivre leur vie, jamais pour faire de la thune, alors si l’envie vient de les diffuser : c’est toujours gratuit ou à prix libre.
Merci à celleux qui pourront y contribuer 🤍
Dans le futur, peut-être qu’une troisième option sera de répertorier les endroits où ces zines passent, n'hésitez donc pas à transmettre le mot aux bibliothèques autogérées, kiosque ou autres librairies alternatives. De façon générale, tout ce qui peut permettre de partager l’info est vraiment bienvenu.
Version imprimables en format A5 (page par page)
Intersectionnalité, entre émotions et obstacles
Et à la fin, tout le monde perd. pourquoi il faut arrêter avec les comparaison entre validisme et racisme
Conquérir le monde, une place de parking à la fois.
Pour un validisme « fun et innovant » : à propos des exercices de sensibilisation aux handicaps.
Ma plus grande ambition dans la vie n’est pas de guérir.
Féminisme et anti-validisme : la convergence des luttes à l’épreuve du covid.
Militantisme ou marketing – le piège de l’activisme performatif.
Et toi, tu fais quoi dans la vie? ou comment le capitalisme a bousillé le sens de notre propre valeur.
Introdution à la Disability Justice
En finir avec la charité sexuelle
À qui profite la chasse aux “faux handicapés” ?
Encore des rêves indociles de justice handie pour la fin du monde
Les crip à l'assault de la ville : l'espace repensé par les luttes antivalidistes est disponible sous ce lien en PDF.
Hollow
Version imprimables en format A4 (livret)
Intersectionnalité, entre émotions et obstacles
Et à la fin, tout le monde perd. pourquoi il faut arrêter avec les comparaison entre validisme et racisme
Conquérir le monde, une place de parking à la fois.
Pour un validisme « fun et innovant » : à propos des exercices de sensibilisation aux handicaps.
Ma plus grande ambition dans la vie n’est pas de guérir.
Féminisme et anti-validisme : la convergence des luttes à l’épreuve du covid.
Militantisme ou marketing – le piège de l’activisme performatif.
Et toi, tu fais quoi dans la vie? ou comment le capitalisme a bousillé le sens de notre propre valeur.
Introdution à la Disability Justice
En finir avec la charité sexuelle
À qui profite la chasse aux “faux handicapés” ?
Encore des rêves indociles de justice handie pour la fin du monde
Hollow
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Ps : Et si c’est pas une évidence, le fait que je ne mettes pas de prix sur ce que je fais ≠ ça n’a pas de valeur donc que c’est ok de s’approprier ce travail sans en citer l’origine. Nope nope.
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claudehenrion · 7 months
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'' … le plus chaud, depuis...''
Cette phrase, vous l'avez lue et relue, entendue et ré-entendue des dizaines, des centaines de fois depuis... le début de l'été, où nos politiciens et nos journalistes ont été surpris : ''il faisait chaud !''. Cependant, elle a besoin de compléments de temps pour avoir un sens, qui varie du tout au tout avec ou selon les mots choisis. Le premier mot manquant doit désigner un moment récent ('hier'', ''la semaine dernière'' ou ''le mois dernier'' font fort bien l'affaire). La fin de le phrase, en revanche, est plus difficile à inventer, car c'est d'elle que dépendra sa capacité à causer des ravages..
Ce second ''complément circonstanciel de temps'' mérite que l'on passe un instant avec lui, car il doit impérativement sonner le tocsin chez tout lecteur réputé ''normalement constitué'' (NB : en novlangue macrono-progressiste, cela veut dire : gober tout les bobards présentés comme des vérités par les médias et la doxa gauchiste officielle –c'est la même chose !). Ce second ''volet'' du truisme doit donc conjuguer ''être proche pour avoir l'air vérifiable'' –ce que personne ne fait jamais, exemple : le covid !-- et ''être impressionnant tout en faisant plus vrai que vrai'' . On a donc le choix entre ''l'an dernier'', ''les 10 ou les 100 dernières années'', voire, comme en ce moment ''depuis qu'existent des relevés'', ce qui devrait vraiment faire taire toute opposition... à ceci près que ces relevés météo remontent au mieux –ou au pire-- aux années 1855, et que 170 petites années –qui sont longues pour l'expérience humaine-- sont ''même pas rien'' à l'échelle cosmique où se mesurent et se commentent les phénomènes climatiques.
Résumons-nous : la phrase la plus rabâchée ces temps derniers n'a pas la moindre signification à l'échelle du phénomène météorologique –et a fortiori climatique--dont elle voudrait rendre compte de manière à forcer des décisions radicales et définitives... mais absurdes puisque sans aucun lien avec le sujet dont ils croient parler : à partir du constat d'un réchauffement climatique qui semble incontestable en l'état actuel de nos connaissances, ils ont réussi à faire croire à une majorité de leurs semblables que c'est eux, hommes blancs, qui étaient les seuls responsables du désastre dont ils annoncent la survenue imminente depuis des décennies prédiction jamais réalisée mais dont ils maintiennent néanmoins l'occurrence prochaine ('Le Printemps silencieux'' de Rachel Carson, bible de la soi-disant religion prétendue écologique, date de 1962).
Or, s'il est une chose que l'été 2023 nous aura démontré comme à plaisir, c'est la fausseté –déjà bien connue par beaucoup-- de toutes les théories émises par le Giec et reprises en chœur pas ses thuriféraires : l'été et même l'automne, furent parfois caniculaires en Europe, mais cette chaude réalité ressentie ne permet en aucun cas de généraliser des impressions soit disant ''expliquées'' (sic !) par des faux statisticiens en mal de fin du monde, qui se servent des chiffres pour démontrer des mensonges, en ayant recours à des traitements dilatoires des ''outils'' statistiques dont nous disposons... et qui mériteraient un autre usage !
Car il est une chose dont personne ne peut douter : la succession de vagues caniculaires qui a frappé la France (et quelques autres pays d'Europe) depuis fin juin sont dues, exclusivement, à des remontées aléatoires (puisque dues à ''El Niño'') de gigantesques ''bulles'' de chaleur venues du Sahara, ce qui appelle deux commentaires : (1)- le Sahara n'est pas connu comme un pourvoyeur majeur de CO² d'origine humaine : zéro embouteillage, zéro diesel, zéro ''SUV'', zéro de ces monstrueux transatlantiques qui polluent plus qu'un million de voitures thermiques chacun… et par voie de conséquence, (2)- aucune possibilité d'établir (de bonne foi, s'entend) le moindre lien entre leur présence et nos émissions de ''gaz à effet de serre'', à l'opposé de tous les commentaires de nos cuistres radio-télé qui se concluent, de manière pavlovienne, par une accusation du CO², devenu le fantasme n°1 qui agit comme une drogue ! C'est pitoyable !
De manière plus générale, l'étude des couches géologiques révèle que le climat a varié tout au long de l'existence de la Terre, alternant les phases froides et chaudes de manière naturelle. Le dernier Petit Age Glaciaire s'est terminé vers 1850, et la période de réchauffement actuelle n'a donc rien de surprenant. En fait, ce réchauffement est bien plus lent que prévu... mais le fossé entre le monde réel et le monde tel que nos savants sans savoir l'ont modélisé montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique : l'édifice de ''la politique climatique'' est bâti sur des modèles inadéquats qui présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas fiables en tant qu'outils politiques : non seulement ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent complètement les bienfaits de l'enrichissement de l'atmosphère en CO²...
Contrairement à tout ce qui nous est raconté à longueur de ''JT'', le réchauffement climatique n'a pas augmenté de manière scientifiquement démontrable le nombre ou l'intensité des catastrophes naturelles : aucune statistique ne prouve qu'il intensifie peu ou prou les ouragans, les inondations, les sécheresses et tous les autres types de catastrophes naturelles, ou qu'ils les rend plus fréquents. En revanche, les preuves existent que les mesures pour tenter (en vain, c'est une autre certitude : ce n'est pas possible !) de réduire le CO² sont aussi dommageables et liberticides que coûteuses.
'' Il n'y a pas d'urgence climatique, et donc aucune raison de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO² net proposée pour 2050. L'adaptation vaut mieux que pour la réduction, car avec elle, on peut espérer atteindre un résultat réel'', affirme le professeur Steven Koonin, pourtant ancien sous-secrétaire aux sciences du ministère de l'Énergie d'Obama (pas un modèle, à mes yeux, par ailleurs !), professeur à l'Université de New York, membre de la Hoover Institution, et auteur du best-seller ''Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn't, and Why It Matters'' (= L'indémontré : ce que dit la science du climat, ce qu'elle ne dit pas et pourquoi c'est important-- 2021)., qui considère immoral de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors qu'une grande partie de leur population n'a pas accès à l'électricité, et qui ose affirmer qu'il est du dernier pervers d'effrayer les jeunes générations (Rappel : en janvier 2022, 84 % des adolescents américains croient que ''si rien n'est fait, il sera trop tard pour les générations futures, car une partie de la planète sera devenue invivable'', ce qu'aucune preuve scientifique n'a, évidemment, jamais démontré..
Tout se passe comme si personne ne voulait admettre qu'une grande partie du changement climatique est causée par des éruptions solaires contre lesquelles nous ne pouvons rien … sans parler des grands incendies de forêt dont le risque est exacerbé parce que les faux écologistes refusent de débroussailler les sous-bois de crainte que telle ou telle créatures qui pourrait s'y trouver ne soit dérangée (par autre chose qu'un incendie de forêt qui va les tuer).
De plus en plus nombreux sont les citoyens qui trouvent que les milliards d'Euros annuellement consacrés à une lutte sans espoir contre un changement climatique dont les forces obscures nous échappent pourraient être mieux utilisés... Combien de temps faudra-t-il pour que ceux qui les dirigent (vers des catastrophes en série, annoncées depuis longtemps mais toujours niées par les aveugles-par-système) sortent de leur torpeur addictive, et voient la réalité comme elle se présente ?
H-Cl.
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asiasaint · 7 months
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Did you know that since 2018, the Cambodian government officially handed over Angkor to China?
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"50 years rent!" Cambodian citizens expressed desperation after learning their government under Hun Sen handed Angkor to China. The government denied the rumour and said it was for "restoration". However, it is believed that with the "restoration", China is to receive most of the profit Angkor made. It is a questionable act whether this has any positive impact on Cambodians, whether this is only a "restoration" and not "adding" and "changing" since the government has recently applied a new "no photo" rule to all visitors.
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(Image: the original model of Angkor at the Guimet, Musée national des arts asiatiques, France) Despite claiming to built Angkor itself in the past, Cambodia previously requested restoration assistance from India and Thailand, which was given many times. Angkor was influenced by Indian culture and it used to belong to Siam. Historically, Cambodia was under Siam roughly 400 years before European colonialism. This is the same old story where the West messed up history somewhere else and left the problems behind. Cambodia's 'Khmer Rouge' also erased much of Cambodian's roots. That is why we are witnessing the new generation struggling to find its root and identity.
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(Image: China's Angkor) By this time, China had also completely built the Angkor replica back home, gaining many visitors locally. Back in Cambodia, tourists to the original Angkor faced higher ticket prices with poor accommodation. It is not a secret Cambodia is struggling economically and still unsuccessful in gaining tourists in the post-COVID era. Cambodia completely relies on China, which pours its finances into this massive project, meaning Cambodia is walking closer to China's debt trap. And now that China's economy has slowed down rapidly, Cambodia will surely be affected.
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