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#patron: mentie
nishinoyawn · 2 years
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what do u want cretin
just to see you flourish and for me to see some comeuppance :3
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selemina · 6 months
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This week in Ludo mentis Centreterre-
We have to switch our playing time. We tried a sunday morning session. It didn't work. XD
However, we did prepare to go to the opening of an art gallery Vermeille was invited to by a noble! While discussing making a few paintings to find patrons to fund our adventures, the subject of drawing Igueul naked came up-
And my hand slipped.
It didn't happen, but the mental image was too vivid, especially because of the rivarly between Igueul and Vermeille! The tension! The shipping! I HAD to draw it! XD So have a sketch of our bard naked! That's all for this week!
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lemondeabicyclette · 3 months
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L'incompétent patron de l'OMS qui veut tous les pouvoirs, se plaint !
Il dit que les signatures de son accord sur les "pandémies" sont retardées à cause des vilaines théories complotistes !
Et oui mec, nous on fait le job, et on fera l'impossible pour que tu ne prennes jamais le pouvoir.
Rappelons que l'OMS est en partie financée par Big Pharma et Bill Gates.
Rappelons que l'OMS a été accusée d'incompétence pour la Grippe A
Rappelons que l'OMS a interdit des traitements contre le Covid19.
Rappelons que l'OMS a menti sur les vaccins.
Rappelons que l'OMS a validé les stupides confinements qui ont ruinés les pays.
Rappelons que l'OMS a promu les masques qui ne servent à rien et pollué la planète de leurs déchets.
Rappelons que l'OMS a validé les Pass Vaccinaux qui étaient basées sur un mensonge.
Et le gars veut tous les pouvoirs !
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autistme · 9 months
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having a menty b on cheerard day is such an experience to have. i am literally so elated right now. on cloud nine in fact. cheerard the patron saint of euphoria truly. but like if i actually have a single proper thought about literally anything right now without like 12 mental dampening filters on i will actually tip the scales into something clinical. but also he tried to drink his microphone
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zehub · 2 months
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Amélie Oudéa-Castera mise en examen pour diffamation envers Noël Le Graët –
L’ex-patron du foot français reproche à la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castera d’avoir "menti" sur le rapport qui épinglait sa gestion de la Fédération française de football.
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immunobiz · 4 months
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L'incompétent patron de l'OMS qui veut tous les pouvoirs, se plaint!
Il dit que les signatures de son accord sur les "pandémies" sont retardées à cause des vilaines théories complotistes !
Et oui mec, nous on fait le job, et on fera l'impossible pour que tu ne prennes jamais le pouvoir.
Rappelons que l'OMS est en partie financée par Big Pharma et Bill Gates.
Rappelons que l'OMS a été accusée d'incompétence pour la Grippe A
Rappelons que l'OMS a interdit des traitements contre le Covid19.
Rappelons que l'OMS a menti sur les vaccins.
Rappelons que l'OMS a validé les stupides confinements qui ont ruinés les pays.
Rappelons que l'OMS a promu les masques qui ne servent à rien et pollué la planète de leurs déchets.
Rappelons que l'OMS a validé les Pass Vaccinaux qui étaient basées sur un mensonge.
Et le gars veut tous les pouvoirs
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pdj-france · 10 months
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L'avocat spécial Jack Smith a porté ce matin des accusations supplémentaires contre l'ancien président américain Donald Trump dans l'affaire alléguant une mauvaise gestion de documents classifiés de son temps à la Maison Blanche.Les procureurs allèguent dans l'acte d'accusation mis à jour que deux employés de Trump – Walt Nauta et Carlos De Oliveira – ont tenté de supprimer des images de caméras de sécurité dans la station balnéaire de Trump à Mar-a-Lago après que le ministère de la Justice a émis une assignation à comparaître pour les images.De Oliveira a déclaré au directeur de l'informatique de la station, "que 'le patron' voulait que le serveur soit supprimé", selon l'acte d'accusation.L'ancien président Donald Trump a été frappé d'une accusation supplémentaire liée au raid du FBI Mar-a-Lago. (Chip Somodevilla/Getty Images)Trump, qui fait déjà face à 37 accusations criminelles, a été inculpé d'un chef supplémentaire de rétention délibérée d'informations sur la défense nationale et de deux chefs d'entrave supplémentaires.Trump a été accusé d'avoir délibérément conservé un document top secret sur d'éventuels plans d'attaque de l'Iran, dont il a discuté avec des biographes lors d'une réunion enregistrée à Bedminster, New Jersey, en juillet 2021, selon l'acte d'accusation.L'acte d'accusation indique que le document était une "présentation concernant l'activité militaire dans un pays étranger" et que Trump l'a "montré" aux biographes lors de la réunion.Boîtes de documents stockées dans une salle de bains et une douche dans la salle du lac du domaine Mar-a-Lago de Donald Trump. (Ministère de la Justice des États-Unis)De nouvelles accusations ont également été déposées contre l'assistant de Trump, Nauta, et le préposé à l'entretien de Mar-a-Lago, De Oliveira, a également été ajouté à l'affaire. De Oliveira, 56 ans, a été accusé d'avoir menti au FBI au sujet du déplacement de boîtes contenant des documents classifiés.Trump et Nauta ont déjà été inculpés le mois dernier et ont plaidé non coupables.De Oliveira était le préposé à l'entretien qui a aidé Nauta à déplacer des boîtes de documents classifiés autour de Mar-a-Lago après que le ministère de la Justice a assigné pour la première fois Trump pour des documents classifiés en mai dernier.L'avocat spécial Jack Smith poursuit Trump pour cette affaire. (PA)CNN a précédemment rapporté que des images de surveillance remises au ministère de la Justice montraient Nauta et De Oliveira, déplaçant des boîtes de documents dans le complexe, y compris dans une salle de stockage juste avant que l'avocat de Trump, Evan Corcoran, ne le fouille à la recherche de documents classifiés.Des fonctionnaires du ministère de la Justice sont venus à Mar-a-Lago le lendemain de la perquisition de Corcoran, et Corcoran a remis 38 documents classifiés qu'il avait trouvés. Pourtant, le FBI a récupéré plus de 100 autres documents classifiés lorsqu'il a fouillé Mar-a-Lago en août, à la fois dans la salle de stockage et dans le bureau de Trump.Le ministère de la Justice a par la suite déclaré devant le tribunal qu'il pensait que "les dossiers du gouvernement étaient probablement cachés et retirés de la salle de stockage".De Oliveira a parlé aux enquêteurs plus tôt cette année et son téléphone avait été saisi.Trump a plaidé non coupable devant le tribunal pour des accusations antérieures. (PA)John Irving, avocat de la défense de De Oliveira, a refusé de commenter.Irving fait partie des avocats dont le cabinet d'avocats a reçu près de 200 000 $ US (environ 298 000 $) en paiements pour des services juridiques de la part de Save America PAC de Donald Trump.De Oliveira a été cité à comparaître devant un tribunal fédéral le 31 juillet à Miami.Dans un communiqué, un porte-parole de Trump a qualifié les accusations de "rien de plus qu'une tentative continue désespérée et agitée de la famille Biden Crime et de leur ministère de la Justice de harceler le président Trump et ceux qui l'entourent".Les détaillants refusent de stocker le disque "choquant" des Beatles.
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leconseildupeco · 10 months
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Le patron de Tesla, Elon Musk, aurait menti à ses clients en demandant à ses employés de surestimer l'autonomie de ses véhicules.
Trop d’affaires ? Le patron de Tesla, Elon Musk, aurait eu l’idée de manipuler le compteur d’un de ses véhicules afin d’augmenter l’autonomie affichée. Selon Reuters, il s’agirait de la “Model 3” du constructeur de voitures électriques. L’agence de presse affirme que l’autonomie de cette dernière serait moins importante (environ 50 %) que les 506 km annoncés par la marque. Un collaborateur…
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christophe76460 · 1 year
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« Je n’ai jamais fait de mal à personne, je n’ai jamais volé, je n’ai jamais menti ! Ah ! Peut-être quelquefois un petit mensonge pour arranger quelqu’un ou pour éviter une querelle, un mensonge pieu comme on dit, mais c’était pour la bonne cause. Et puis, j’ai une conduite honorable : Demandez à mon patron, à mes collègues, à mes voisins… »
-‒ A vous entendre, vous êtes parfait, à part les petits mensonges, encore que, ceux-ci étaient pour cacher la vérité qui aurait pu blesser.
-‒ Oh ! non, je ne dirai pas que je suis parfait. Personne n’est parfait. J’ai bien mes petits défauts comme tout le monde mais, à mon avis, Dieu est bon, il passera sur bien des choses, d’autant plus que je n’hésite pas à rendre service quand je le peux !
-‒ Cher ami, ce que vous dites est votre avis, votre raisonnement. Vous vous considérez vous-même avec vos propres yeux et vous ne cherchez pas à savoir comment Dieu vous voit. Dieu est bon, certes, comme vous le dites, mais il est aussi le Dieu saint, le Dieu juste. Il a donné la loi à l’homme (loi qui reflète sa sainteté et sa justice) pour lui prouver justement qu’il est incapable de la respecter. Ah ! je vous croirai si vous me dites que vous avez obéi à certains des commandements comme "Tu ne tueras point" ou "Tu ne commettras point d’adultère", mais il faut considérer tous les commandements. La Bible dit : "Quiconque gardera toute la Loi et faillira en un seul point, est coupable sur tous. En effet, celui qui a dit : 'Tu ne commettras pas adultère', a dit aussi : 'Tu ne tueras pas'. Or si tu ne commets pas adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu es devenu transgresseur de la Loi." (Jacques 2 v.10)
Jésus a merveilleusement résumé cette loi en disant : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme et de toute ta pensée… et ton prochain comme toi-même" (Matthieu 22 v.37 à 39). Ami, respectez-vous ce commandement-là ? Aimez-vous Dieu de tout votre cœur…
-‒ Non, bien sûr, je ne peux pas dire ça ! Est-ce que quelqu’un pourrait le dire, d’ailleurs ? Personne ! Tout compte fait, je ne suis pas plus mauvais que les autres !
-‒ Ah ! tout à l’heure, vous vous considériez vous-même avec vos propres yeux, et maintenant vous vous comparez aux autres ! Que vous ne soyez pas plus mauvais qu’eux, c’est probablement vrai et je n’ai aucune difficulté à vous croire. Mais, les autres… c’est là un bien mauvais point de comparaison. D’abord, les autres ne répondront pas pour vous, et vous ne répondrez pas pour eux. «Chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu.» (Romains 14 v.12)
Et plutôt que de vous baser sur votre propre appréciation en ce qui vous concerne, écoutez l’appréciation de Dieu, le juge suprême et parfait. Sa Parole, la Bible dit de vous et des autres qu’il n’y a pas de différence, car tous ont péché (Romains 3 v.23). Et Dieu qui a les yeux trop purs pour voir le mal, à cause de sa sainteté, ne peut passer sur le péché. A cause de sa justice, il se doit de le punir. Dans son ciel il n’entrera aucune chose souillée, ni celui qui commet abomination et mensonge (Apocalypse 21 v.27)
-‒ Mais alors, nous sommes tous perdus !
-‒ Nous serions tous perdus si ce Dieu saint et juste n’était pas aussi le Dieu qui nous aime. A cause de son grand amour, il n’a pas voulu que sa créature reste dans le péché et soit perdue à jamais : il nous a donné un Sauveur, son Fils unique et bien-aimé. Jésus, en accord parfait avec le Père, un avec lui dans son amour, a pris volontairement notre place en subissant le jugement de Dieu qui ne l’a pas épargné. Regardez à la croix du calvaire : c’est là que le péché a été condamné, c’est là que Jésus a expié tous nos péchés.
Ne pensez pas, cher ami, que Dieu passera à la légère sur vos péchés, d’autant plus qu’il vous offre, encore aujourd’hui, le moyen d’obtenir son pardon. Il vous offre gratuitement le salut : il suffit de croire au Seigneur Jésus, de l’accepter par la foi comme votre Sauveur. Mais il faut que vous reconnaissiez que vous êtes un pécheur perdu, et que, par conséquent, vous avez besoin de ce Sauveur. »
http://www.la-verite-sure.fr/page832.html
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qibuhohoqo · 2 years
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Frigo haier mode d'emploi iphone 5c
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tarditardi · 3 years
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Espedito D'Antò - Il mondo come lo conoscevamo prima... non esiste piú (Carlos Editore) dal 29 gennaio 2021
La pandemia ha modificato totalmente il modo di vivere del pianeta, o comunque ha dato vita ad un radicale processo di cambiamento che modificherà totalmente l'esistenza delle persone, un cambiamento visibile a chi oggi lo sta vivendo, ma sarà la prossima realtà che vivranno le generazioni future. Tanti mestieri scompariranno ma molti di più ne nasceranno; un processo di trasformazione digitale che, allo stato attuale, vedrà avvantaggiate popolazioni i cui Governi metteranno a disposizione i mezzi per adeguarsi, quindi avranno più possibilità di svilupparsi i paesi che già hanno cominciato ad imparare l'uso delle nuove tecnologie negli anni passati.
Esce il 29 gennaio 2021 "Il mondo come lo conoscevamo prima... non esiste piú", il libro di Espedito D'Antò,esperto in Digital Marketing e strategie del web;  edito da Carlos Editore, la casa editrice napoletana che ha voluto prendersi la responsabilità, insieme all'autore, di rivelare ciò che sarà il nostro futuro prossimo.
"Stiamo vivendo una fase storica senza precedenti che ha senza dubbio accelerato il processo di trasformazione digitale - dichiara l'autore Espedito D'Antó - si sta creando un enorme divario sociale tra chi ha imparato ad utilizzare le nuove tecnologie e chi invece non si è ancora  adeguato al cambiamento. Purtroppo l'Italia ha un enorme tasso di analfabeti digitali che non sono altro che il riflesso delle istituzioni"
"Questo libro - prosegue D'Antò - è frutto di studi ed esperienze che ho vissuto sul campo in tutto il mondo esercitando la professione di comunicatore digitale dove ho analizzato il fenomeno del web partendo dell'invenzione di internet, passando per il periodo di lockdown da pandemia Covid 19 e concludendo con una riflessione verso il futuro con l'avvento di tecnologie innovative come robotica, ologrammi, intelligenza artificiale e connessione 5g, e soprattutto - conclude - come si evolverà il mondo del lavoro con la nascita delle nuove professioni in campi chiave come la politica, la medicina e la vita sociale".
Tutto ciò poteva sembrare fantascienza fino a qualche tempo fa, ma dopo gli ultimi avvenimenti, dalle campagne elettorali a quelle vaccinali o anche comunicazioni ufficiali di leader mondiali che avvengono attraverso il web, é stato dimostrato che utilizzare questa tecnologia con con le giuste conoscenze e calcoli esatti, porta a risultati inimmaginabili.
"Un libro che fa ragionare - dichiara l'editore Daniele Esposito - ti immette in un futuro prossimo, forse immaginato solo in alcuni film di fantascienza degli anni '90 che narravano di un mondo guidato dal completo controllo digitale, credo molto in questa opera - conclude il patron di Carlos Editore - sono certo che sarà in grado di aprire le menti e di preparare le persone a ciò che sarà".
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wittylittle · 4 years
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Sous la pluie
Des fois je vais marcher avec une amie au parc derrière chez moi. Ou regarder le coucher de soleil. C’est ce que j’ai fait aujourd’hui. Non. C’est ce que j’ai dit au Patron que j’allais faire en tout cas.
Nah, en réalité je lui ai menti parce que j’allais rejoindre un jeune garçon vierge avec qui j’échange ici depuis 5 mois.
Oups.
On a juste marché. Il s’est mis à pleuvoir. On s’est cachés sous un chapiteau. On a marché encore. Je l’ai reconduit à l’arrêt d’autobus. Je suis rentrée chez moi détrempée, un peu mouillée.
Il est vraiment cute et j’ai pratiqué mon anglais. Mais pas mon french. Les jeunes c’est plein de Covid. À suivre.
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christophe76460 · 2 years
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« Je ne suis pas si mauvais que ça ! Je n’ai jamais fait de mal à personne, je n’ai jamais volé, je n’ai jamais menti ! Ah ! Peut-être quelquefois un petit mensonge pour arranger quelqu’un ou pour éviter une querelle, un mensonge pieu comme on dit, mais c’était pour la bonne cause. Et puis, j’ai une conduite honorable : Demandez à mon patron, à mes collègues, à mes voisins…
- A vous entendre, vous êtes parfait, à part les petits mensonges, encore que, ceux-ci étaient pour cacher la vérité qui aurait pu blesser.
- Oh ! non, je ne dirai pas que je suis parfait. Personne n’est parfait. J’ai bien mes petits défauts comme tout le monde mais, à mon avis, Dieu est bon, il passera sur bien des choses, d’autant plus que je n’hésite pas à rendre service quand je le peux !
- Cher ami, ce que vous dites est votre avis, votre raisonnement. Vous vous considérez vous-même avec vos propres yeux et vous ne cherchez pas à savoir comment Dieu vous voit. Dieu est bon, certes, comme vous le dites, mais il est aussi le Dieu saint et juste. Il a donné la loi à l’homme pour lui prouver justement qu’il est incapable de la respecter. Ah ! je vous croirai si vous me dites que vous avez obéi à certains des commandements comme "Tu ne tueras point" ou "Tu ne commettras point d’adultère", mais il faut considérer tous les commandements. La Bible dit : "Car quiconque gardera toute la Loi et faillira en un seul point, est coupable sur tous. En effet, celui qui a dit : 'Tu ne commettras pas adultère', a dit aussi : 'Tu ne tueras pas'. Or si tu ne commets pas adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu es devenu transgresseur de la Loi." (Jacques 2 v.10)
Jésus a merveilleusement résumé cette loi en disant : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme et de toute ta pensée… et ton prochain comme toi-même" (Matthieu 22 v.37 à 39). Ami, respectez-vous ce commandement-là ? Aimez-vous Dieu de tout votre cœur…
- Non, bien sûr, je ne peux pas dire ça ! Est-ce que quelqu’un pourrait le dire, d’ailleurs ? Personne ! Tout compte fait, je ne suis pas plus mauvais que les autres !
- Ah ! tout à l’heure, vous vous considériez vous-même avec vos propres yeux, et maintenant vous vous comparez aux autres ! Que vous ne soyez pas plus mauvais qu’eux, c’est probablement vrai et je n’ai aucune difficulté à vous croire. Mais, les autres… c’est là un bien mauvais point de comparaison. D’abord, les autres ne répondront pas pour vous, et vous ne répondrez pas pour eux. «Chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu» (Romains 14 v.12).
Et puis, plutôt que de vous baser sur votre propre appréciation en ce qui vous concerne, écoutez l’appréciation de Dieu, le juge suprême et parfait. Sa Parole, la Bible dit de vous et des autres qu’il n’y a pas de différence, car tous ont péché (Romains 3 v.23). Et Dieu qui a les yeux trop purs pour voir le mal, à cause de sa sainteté, ne peut passer sur le péché. A cause de sa justice, il se doit de le punir. Dans son ciel il n’entrera aucune chose souillée, ni celui qui commet abomination et mensonge (Apocalypse 21 v.27)
- Mais alors, nous sommes tous perdus !
- Nous serions tous perdus si ce Dieu saint et juste n’était pas aussi le Dieu qui nous aime. A cause de son amour, il n’a pas voulu que sa créature reste dans le péché et soit perdue à jamais : il nous a donné un Sauveur, son Fils unique et bien-aimé. Jésus, en accord parfait avec le Père, un avec lui dans son amour, a pris volontairement notre place en subissant le jugement de Dieu qui ne l’a pas épargné. Regardez à la croix du calvaire : c’est là que le péché a été condamné, c’est là que Jésus a expié tous nos péchés.
Ne pensez pas, cher ami, que Dieu passera à la légère sur vos péchés, d’autant plus qu’il vous offre, encore aujourd’hui, le moyen d’obtenir son pardon. Il vous offre gratuitement le salut : il suffit de croire au Seigneur Jésus, de l’accepter par la foi comme votre Sauveur. Mais il faut que vous reconnaissiez que vous êtes un pécheur perdu, et que, par conséquent, vous avez besoin de ce Sauveur. »
http://www.la-verite-sure.fr/page55.html
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claudehenrion · 4 years
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Cris et chuchotements... pour temps de confinement
  Pas plus tard qu'hier, je vous annonçais le retour au premier plan des plus ''fake'' de nos stars nationales de l'anti-prévision, qui ont en commun d'avoir réussi cet exploit hors norme : jamais aucune de leurs prévisions ne s'est réalisée, même un peu ! Eh ! bien, le croirez-vous ? Ce matin, j'ouvre mon ''Figaro'', ce témoin de mes petits déjeuners, et pataras... Alain Minc est de retour ! Une page ! Si ce n'est pas ''comprendre demain'', ça, j'y perds mon latin ! Lire ses ''élucucubrations'' (voir ci-dessous) m'a donné envie de faire une revue de presse : ce qui est dans nos journaux (càd. le Covid19), et ce qui n'y est pas, hélas (= tout le reste, re-hélas !).
  Minc, d'abord, pour l'évacuer (''A chacun selon ses mérites'' !) : il a dû se rendre compte de la vacuité et de la non-occurrence de tout ce qu'il avait annoncé, dans ses pensées ''à sa taille'' (je veux dire : minuscules), et du coup, il a réussi à ''commettre'' une demi-page de lieux communs, de poncifs, d'idées toutes faites : il a écouté tous les ''experts du 13 heures'' et en a retenu... ce qu'il fallait oublier en priorité (à l'exception de Didier Raoult, bien sûr, mais cette affirmation est tellement partagée par tous qu'elle est en passe de devenir un lieu commun !) Dommage que, par honnêteté intellectuelle, je ne puisse vraiment pas vous suggérer de le lire (vous pourriez m 'en vouloir, par la suite !), car en vous disant cela, je vous prive d'un bon moment de rigolade ! Je ne sais pas quand je préfère le moins ce gourou sans sectateurs : en prêchi-prêcha ratiocinant ou en Cassandre ratée... Passons.
  Revenons plutôt aux choses sérieuses : la crise de dinguerie aiguë qui est en train de se répandre sur le monde par la faute du manque absolu de ''self control'' qui a frappé tous ceux qui ont le droit d'apparaître sur nos petits écrans (tout se passe comme si ''paniquer'' était le seul critère de sélection pour ''passer'' sur les chaînes de notre lamentable ''sévice public'', totalement ''delphinernottisé'' pour notre plus grand malheur) a encore frappé : hier était bien ''un jour comme les autres'', puisque pour la 10 ème fois en 8 jours, le Président est venu nous rassurer (sic !) : comme par hasard, sa visite médiatique et inutile dans une usine à Angers s'est terminée... pile en plein ''JT de 13 heures'' ! La nature fait vraiment bien les choses ! Mais comme d'habitude, il veni, nous vidi... pas grand chose, mais personne n'a vici : n'est pas Cesar qui veut ! Discours hyper conveu :  ''Merci aux uns, aux autres, à la technique, aux absents et à ceux que j'oublie de citer...'' Même les Patrons des grandes boites’’ !  La litanie est interminable, comme le plaidoyer ''pro domo'' de l'action du gouvernement : tout a été fait comme il fallait, dans le temps qu’il fallait, y'a rien à changer, rien à regretter. Tout va bien, circulez, ou plutôt non ! Surtout, ne circulez pas, mais... ''y a rien à voir'' quand même !
  Dans un autre ordre d'idées : j'ai été impressionné par la ''VISTA'' à long terme de Didier Raoult : non seulement il est en très mauvais termes avec la famille Buzyn –ce qui est un brevet de compétence, en ce moment !--, mais il avait prévu la terrible crise qu'entraîne la fermeture par décision ministérielle des salons de coiffure : nous allons tous sortir de notre confinement avec 40 ans de moins et 20 cm de tignasse en plus. On aura l'air de ''Hippies'' des années 70, mais lui, pas. Est-ce qu'on va devoir aussi ressortir nos pantalons ''patte d'éph'' et nos chemises fleuries à cols effrayants ? Dans son célèbre ''Les Bonbons'', le grand Jacques Brel ''écoutait pousser ses cheveux'', ce qui sera bientôt notre principale occupation, une fois épuisées les joies de... ne rien faire, mais en rond. Plus sérieusement, je pense qu'il faut d'ores et déjà nous dire que ''le jour d'après'' (dont Macron nous assure ''qu'il sera différent'', ce qui n'est pas un scoop : le moyen qu'il ne le soit pas ?) nous verra sortir de nos cavernes avec des mèches tombant sur nos épaules. Les rues y gagneront en pittoresque et nous en idées courtes, à en croire Johnny (Oh ! Yeah !)
  Même Emmanuel Macron fait moins souvent référence à son dada compulsif : l'Europe ! C'est à peine si, après voir recommandé enfin un recentrage de nos productions stratégiques sur la France, il ajoute, comme en s’excusant, ''et en Europe'', comme s'il disait une énormité ! Le pouvoir fédérateur de cette Europe si loin de celle qu'il aurait fallu est égal, pour les populations tétanisées, à ce qu'est son action au quotidien : nuls tous les deux ! Le monde politique est tellement dépassé qu'il en devient pathétique. Pour un peu, on aurait presque pitié de lui. (heureusement, on n'en est pas encore là !). Et l’invocation aussi machinale que rituelle (et inexplicable), notre inutile  ''Vive la République (très fort)'' suivi d'un  timide... ''et’’ vive la France'' (Oh ! Ce ''et'' subordonnant ! Il est si insultant !)... est presque une incitation au rejet de tout ce qu'il représente... ce qui est regrettable.
  Le rôle de la presse dans la panique ambiante révèle en contre-éclairage l'un des points les plus vulnérables de notre société : l'excès de technologie nous a fait nous réfugier dans l'extrême crédulité. Nos contemporains gobent tout ce qui passe à proximité, avec un danger énorme : à force de crier au loup, les gens ne vont plus croire aux mises en garde sérieuses lors d'une prochaine pandémie... inévitable, avec le temps. Bien sûr que si le Covid 19 tuait autant que le virus Ebola (dans les 60 % des personnes infectées), il faudrait s'affoler. C’est très loin d’être le cas, puisqu’il n’y a, à ce jour, que 33 000 morts, au total (aux bobards chinois près !). C’est terrible... Et à la fois, c’est trois fois rien ! Il y a, aujourd’hui, 570 000 cas de dengue (12 000 décès) en Amérique du sud, mais tout le monde s'en fiche ! 
  Les mesures drastiques de confinement, qui sont presqu’exclusivement dues la mauvaise gestion de cette crise (absence de masques, de sur-blouses, de lits, de respirateurs, de personnel formé et de tant d’autres choses, dont tous les autres éléments de ''séparation physique entre les gens'') sont en train de détruire les économies, d’une manière bien plus durable, pour la santé des gens. La Chine l'a bien compris qui, après avoir menti sur tous les nombres qui ont circulé (Rappel : le mensonge est consubstantiel au communisme), a inventé que l'épidémie était finie (seuls les méchants qui arrivent en Chine transportent le virus, Na !) et que la production industrielle pouvait repartir, (profitant de la faiblesse de l'Europe et des USA) pour consolider ses marchés et ses ''conquêtes commerciales'' –dont l'Afrique ! En ce qui nous concerne, je voudrais soumettre à votre réflexion une phrase de l'essayiste Barbara Lefebvre qui définit le macronisme comme le triomphe du verbe creux. Ce n'est pas très gentil, mais... et si c’était vrai ?
H-Cl.
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readbeneaththelines · 5 years
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The Hideway Pt 1
A/N: this is for my Little Dragon @kwonnansi. I started this on my old blog, and I wanted to restart it just for her. I hope you enjot this once again love!
You run a small, off-the-beaten path coffee shop that lets its patrons have a place to Hideaway and find some peace and quiet. One night, The Kwon JiYong visits close to closing. Will this spontaneous encounter grow into something more?
Characters: Kwon JiYong x Reader
Warnings: Fluff, smut later on, a wee bit of angst down the line
Word Count: 2241
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credit to the owner of the gif
Looking through the small shop’s front glass door, you flicked the outside light on. The last few customers of the night trickled in, greeting you with tired smiles and mumbled hellos. As each customer sat down, you would weave your way amongst the tables , put on your biggest grin and ask for their order. It was these late nights that you loved the best. Solitude in your coffee shop and the light chatter of couples ending the evening together. 
“Y/N”you turn your head as you hear someone call your name. It was a regular customer who’s favorite spot was the worn golden Jeliff Sofa. Her legs were curled up under her and she had her jasmine tea balanced on her lap. “Come sit with me a second, girl you need a break!” 
Her bright smile and childlike giggles got to you every single time. Shaking your head, you set the last order down for a cutsey couple and headed to join Hae. “Only you could get me to take a break, Hae.” you spoke as you took a seat beside her. “It’s because you know I won’t take no for an answer, and you love me.” She nudged you with her shoulder, a hearty laugh bringing a smile to your face. “Yeah, I do love you. Seeing your my best friend since I moved here.” The two of you talked as the final customers left. 
“I better get ready to close up, Hae. Why don’t you call me tomorrow and we’ll have a girls’ night?” She rose up and wrapped her arm around you. “This will be a girls’ night you’ll never forget.” Setting her cup on the counter, she half-skipped out the door, waving to you over her shoulder.
You set about cleaning the shop, sweeping and wiping down tables when you heard the storefront door chime. You popped your head around the door, seeing who was invading the quiet surroundings. A tall lean man was standing in the doorway, a newsboy hat settled low on his brow. His legs were long yet muscular, the black denim hugging every line. He kept his head low, the light jacket almost like a blanket wrapped around him.
“May I help you?” you managed to get out as your eyes trailed up and down his lean frame. “I’m sorry, were you about to close? I was looking for a new coffee shop and I had never been in here before.” His voice was a soft tenor tone, almost too quiet to really hear. You made your way into the open space as you kept your eyes on him. He gazed up at you under the brim of the cap, watching you as a prey would be wary of its predator.
“Well then, welcome to The Hideaway. I'm sorry though, I was just about to close.” When he lifted his head a bit more, you instantly realized who it was when you saw those eyes. “But I can stay open for you. I always have time to convince a new customer to become a lifelong patron.”” A crooked smile curled at the corners of his mouth. “Well, we will just have to see how good your coffee is before I can make that kind of commitment.” And thus began a journey that both of you would traverse together.
You offered the vintage overstuffed chaise to him, handing him the handwritten list of drinks and pastries you offered. After looking over the menu, he chose the house specialty with an order of the miniature honey cinnamon croissants. Sitting back in the chaise, he crossed his ankles and leaned his head into the cushion. You smiled to yourself as you headed for the espresso machine, pulling the freshly washed parts from the drying towel and putting everything back together. Getting quickly to work, you wondered why he chose your small new coffee shop as a new place to try. You never advertised, only garnering new customers by word of mouth, and the name was an apt description of the place. It was a quaint little shop hidden away from the main street, a little ‘dive’ so to speak.You would have to know where it was to find it, but you preferred it that way. It offered your patrons a chance to get away from the hustle and bustle of everyday life. An escaped to just sit back and find some peace and quiet. 
“May I ask you a question?” you ventured, looking over the pastry display in his direction. He sat up and turned towards you. “Shoot” he replied.
“How did you find this place? I mean it’s off the beaten path and not very many people would know it was even here. So I was just curious how you found out about it.” His lips curled into a full grin. “I have my ways of finding things I like, and coffee is something I like very much.”
You returned his grin, gathered up his drink and croissant onto a tray and carried it over to him. Setting it down on the small table before him, you bowed and turned away. While he sipped the coffee and nibbled on the pastry, you could her faints mmm’s and umhm’s echoing from his direction. “Does it suit your taste?” you asked with a hint of humor.
He nodded enthusiastically, wiping at his mouth with the back of his hand. When you saw the small happy face tattoo, you were confident that he was who you thought. “Excuse me, Mr. Kwon?” 
His head snapped quickly in your direction. Surprise and worry, the mixture of emotions, etched on his forehead. “Shit” he mumbled under his breath. 
“I’m sorry, I didn’t mean to startle you. I had an idea it was you when you first entered. You may be able to hid under a hat and mask at night to most people this late, but your eyes gave you away. Your little tat just confirmed it. But please, don’t worry, I’m not going to tell a soul that you were here. This place is called the hideaway for a reason. So if you like it enough, you are welcome to come here as often as you like, close as you want to closing time and I will always make time for you” you watched his expression change from shock, to perplexed to amused as you continued talking.
“You knew who I was? Damn, usually I am bombarded when someone figures it out.” he took a sip of the coffee and turned his body towards you. Patting the seat beside him, he motioned for you to sit down. “So why would you be willing to help me keep my identity a secret? Me coming here could bring you crazy amounts of business.” You nodded in agreement, then choosing your words carefully you began talking.
“True, if people knew that you came here, they would flock to my doors for a chance to catch a glimpse of you. But then this place would lose the purpose of its name. I want this to be a place everyone can come to and escape from the insanity out there and have a little peace and respice. So, no. I won’t tell anyone of your coming here. So, if you decide that my hand-roasted coffee and homemade pastries are good enough for a second and third taste, then you can come here anytime and enjoy them without all the crazy fanfare you usually get. I want you to feel as relaxed as the next customer. Besides it would be nice to have some company occasionally as I’m closing up shop.” 
Pushing his hat back onto his head, his bright eyes gleamed and smiled with his lips. “You have no idea how much I would appreciate that. And yes, both your coffee and pastries deserve another try.” Taking the last drink to empty the cup, he set it on the saucer then stood up. You rose with him, realizing just how tall he really was compared to you.
 Both of you reached for the saucer at the same time, fingertips brushing over each other as you felt a warmth fill your cheeks. You gathered it quickly, clearing your throat as you stood back up. “Thank you.” he half whispered as you turned to make your way to the counter. “How much do I owe you?” he asked, reaching in his back pocket for his wallet.
“Nothing Mr. Kwon. Consider it my treat. Besides I enjoyed the company.” you gave him your most genuine smile, which he returned effortlessly. “Well then I shall see you again, Miss.” he cocked his head to the right, looking at you with question. “I didn’t catch your name.” You lowered your head, hiding the bashfulness that had overcome you suddenly. “It’s Y/N.” you murmured softly, your face turning redder as he chuckled at your small soft reply. “Well Miss Y/N, it was a pleasure meeting you. Would you mind if I came by again in a few days?” 
“Of course not! About the same time? If so I’ll try to remember to keep the door unlocked, even if the closed sign is showing.” you walked beside him to the door, your hand reaching the handle before his. How about I call when I’m on my way? That way you can lock up and be safe until I get here.” you nodded, thanking him again for coming, and held the door open for him. “It was a pleasure meeting you Mr. Kwon.” He stopped midstep, looking directly at you. The seriousness in his eyes had you swallowing hard. Had you said something wrong? 
“Please call me Jiyong or Ji. Mr. Kwon makes me feel old. Besides if were going to be talking more often, I prefer to greet each other with a bit of familiarity.” With that, he tipped his hat to you and smiled, walking out into the dark night. Stopping a few feet away, he looked over his shoulder, “Be safe getting home Miss Y/N, and lock that door right away.”
As soon as he was out of sight, you collapsed into one of the soft chairs, your head resting in your hands as you let out the breath you seemed to have been holding since he walked in the door. 
Holy hell! Y/N you just had the experience of a lifetime. And he wants to come back! 
You pinched the inside of your arm, yelping at the invasion of pain. At least you confirmed it wasn’t a dream. The Kwon Jiyong had just visited your coffee shop, and was planning on returning again! Thankfully you knew that what you had said was true. You would never mention this encounter to anyone, and you would always treat him with respect and kindness. He needs a pace to hideaway sometimes, and your Hideaway was going to be that place.
Remembering what he said about locking the door, you rose from your seat and turned the deadbolt. After another thirty minutes you were finished with your closing duties and headed out the door. The night air was cool and the sky was full of stars. You checked, then rechecked, your surroundings before making your way down the small alleyway into the street. There were a few stragglers wandering about. You weaved your way through them, your small apartment your final destination for the night. You replayed the last two hours over and over in your head, a faint smile plastered on your face. Before you knew it, you were on the steps that led to your building. Sluggish and tired, you made your way up the steps and down the long corridor to your doorway. You were caught by surprise to see a small bouquet of flowers and a handwritten note on the floor. Looking around, you noticed no one watching and you picked up the flowers and note.
Thank you for tonight. It.was a pleasure to meet you. You do not know how much I appreciated an actual conversation. The coffee was delicious and I definitely will be back. Ji
You couldn't help but clutch the flowers close to your chest, their sweet aroma filling your head. Folding the note, you placed it in your pocket and opened the door. You set to finding something that would make a suitable vase for the flowers and placed the note in the top drawer of your dresser. 
After a long hot shower, you pulled on your pyjamas and sat on the edge of the bed. You were far to excited for sleep, and even if you tried, you just couldn’t get the reality that you had met and conversed with Kwon Jiyong out of your mind. 
Another hour passed before your eyes closed and you drifted off to Dreamland. It seemed as though no time has passed before your phone's alarm was going off and you were being pulled out of a deep sleep. Rubbing your eyes, you looked at the time, shaking your head as you gathered enough energy to clber out from under the warmth of your covers and into the kitchen. 
As your made your coffee, the reality of last night came back to you, and immediately you were reenergized and awake.
No one said that he would come back today, Y/N. He does have a life outside of your coffee shop.
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Slow Burn, BatB fic, StanFou, chap 8 (NSFW)
Gaston se réveilla avec une gueule de bois épouvantable. Les rayons de soleil filtrant au travers des volets semblèrent lui brûler les yeux. Il puait la sueur, et avoir dormi tout habillé ne fit rien pour arranger son humeur. Son premier soin avant toute chose, en sortant de sa chambre, fut de faire appeler LeFou. Puis il ordonna à la femme du patron de lui faire couler un bain, ce à quoi elle obéit en maugréant : il était pas loin de midi, elle avait autre chose à faire.
Gaston s’enferma dans la petite pièce, se dévêtit et se lava soigneusement, chassant cette odeur de vinasse qui semblait lui sourdre du corps.
LeFou arriva, une tenue de rechange sous le bras.
- Bonjour Gaston.
- LeFou, viens me laver les cheveux.
Il s’assit sur un tabouret près du bord de la baignoire et encadrant doucement la tête de Gaston dans ses mains, lui trempa la tête en entier, avant de s’enduire les mains de savon et de lui laver les cheveux avec soin, prenant garde à bien masser les tempes et l’occiput pour que Gaston se détende.
L’effet ne se fit pas attendre. Le chasseur sentit la tension s’évacuer de ses membres et sous les doigts magiques de son lieutenant, il avait l’impression que ses misères s’effaçaient comme la crasse et la sueur de sa peau.
Les yeux fermés, Gaston aurait roucoulé de bonheur. LeFou lui rinça la tête, puis recommença. Le chasseur réfléchit.
Cela faisait plusieurs fois que LeFou ne marchait plus dans les machinations habituelles pour conserver sa dévotion à son égard. Que bomber ses muscles ne lui rendait plus les yeux brillants. Que se dénouer les cheveux à la fin d’une longue course, secouant sa crinière l’air de rien, ne lui faisait plus détourner le regard en se mordant l’ongle d’un pouce. Que s’étaler dans son fauteuil dans une attitude à la fois décadente et très étudiée ne provoquait plus ce renflement léger dans ses pantalons, qu’il dissimulait aussitôt en allant prendre l’air.
Au début, quand Gaston, à la guerre, s’était rendu compte non seulement des inclinations de LeFou, mais en plus qu’elles lui étaient destinées, il avait été horrifié. LeFou homosexuel ! Cela sonnait comme une trahison personnelle.
Puis cette dévotion à son égard, la proximité de la camaraderie soudée par les batailles, lui avait fait réviser son jugement. C’était à cette époque que LeFou avait gagné son surnom en commençant à chanter sa gloire pour distraire leurs camarades de régiment. C’était agréable, au départ. Puis petit à petit, ces louanges étaient devenues aussi vitales pour Gaston que l’eau ou le pain.
Il avait besoin d’être célébré, qu’on lui dise que ce qu’il faisait était juste et bien. Il avait besoin d’être glorifié pour avoir tué, détruit, massacré, sinon il repenserait aux hommes qui avaient péri sous ses balles et les cauchemars reviendraient. Il avait besoin qu’on chante ses qualités, parce que certaines nuits, il ne pouvait se sortir de la tête qu’il avait ôté la vie à des gens comme lui, dont l’unique tort était de ne pas porter le même uniforme que lui.
Que les horreurs qu’il savait avoir commises étaient transfigurées par la belle voix douce et les danses joyeuses du petit homme souriant qui le suivait comme une ombre, semblant changer par magie le sang, la mort et la violence en légende dorée.
Sa légende.
LeFou lui était indispensable, et durant la guerre, les regards fugaces, les réactions involontaires, les touchers à la dérobée en refaisant ses bandages lui laissaient l’assurance que la réciproque était vraie. Il se savait beau, et il voyait bien que LeFou partageait son avis. Parfois, quand les veuves se faisaient rares, ou plus rarement quand quitter leur lit ne le laissait pas totalement assouvi, il se demandait ce que LeFou dirait s’il le voyait arriver dans sa tente, puis se glisser dans son lit, pour voir ce qu’il en était des caresses entre hommes.
Comment serait le corps de LeFou contre le sien ? Il l’avait déjà vu nu -à l’armée, la pudeur est une denrée vite dépensée-, et s’était demandé, parfois, de façon détachée, ce que ce serait de toucher cette peau, ces poignées d’amour, ces rondeurs presque féminines. LeFou avait de très beaux cheveux, un joli visage. Est-ce qu’il chanterait, à ces moments-là, ces chants sans paroles mais connus depuis le fond des âges ? Est-ce que son corps s’enroulerait autour du sien, comme pour un pas de danse ?...
Puis il se réprimandait, en se disant qu’il n’allait pas ruiner sa réputation pour une nuit auprès de son lieutenant, et… Gaston avait confusément l’impression que s’il se passait quoi que ce fût entre eux, cela casserait leur dynamique. Elle était en grande partie basée sur la frustration. Le désir dans les yeux de son second se devait de rester inassouvi. Car Gaston ne se rendait que trop compte qu’il n’y avait guère que cela qui lui servait à retenir LeFou près de lui.
C’était pourquoi Stanley était devenu si gênant. Stanley offrait à LeFou quelque chose que Gaston ne pouvait, ou ne voulait pas lui donner. Il ignorait où en étaient leurs relations. Quand, l’autre jour, LeFou lui avait assuré qu’ils ne s’étaient jamais touchés, Gaston avait eu l’impression qu’il mentait.
Stanley était en train de délivrer LeFou des entraves indispensables pour l’équilibre de Gaston. LeFou n’avait plus besoin de lui pour lire ses lettres, des poteaux indicateurs ou des enseignes. Ou pour faire la correspondance indispensable de la maison. LeFou n’était plus réceptif à son apparence…
Stanley l’avait-il déjà touché ? Serré dans ses bras ? Embrassé ? Il imagina son lieutenant et le jeune tailleur enlacés. Il savait que Stanley, sous ses vêtements amples, était remarquablement bien bâti, la faute aux leçons d’escrime avec Tom et l’exercice qu’il ne manquait pas de prendre en soulevant régulièrement des objets lourds. Lors de leur dispute pendant la traque du cerf, il avait délibérément menti à LeFou, par jalousie. Il les imaginait donc, ce jeune corps mince et athlétique contre l’autre, rond et doux. Les cuisses dodues encadrant l’étroit bassin. Les deux visages pressés l’un contre l’autre dans un baiser profond…
LeFou toussota et se leva.
- Tes cheveux sont propres, je vais, heu… Te… Te laisser finir. À tout à l’heure !
Gaston, accoudé à la baignoire, n’eut que le temps d’ouvrir les yeux pour voir LeFou sortir de la pièce. Gaston ne comprit pas tout d’abord, puis se rendit compte de l’érection impressionnante qui s’étalait sur son ventre, sous l’eau du bain. Comment elle était arrivée, celle-là ?
Gaston n’avait pas bougé les bras des bords de la baignoire, il ne s’était même pas touché. C’était le résultat de ses réflexions qui… ?
Gaston haussa les épaules, et décida de façon très pragmatique de prendre le problème en main. Le plus simple était de continuer ce qu’il imaginait, ce qu’il fit.
Un poing soigneusement arrimé autour de son sexe, il reprit sa fantaisie là où il l’avait laissée.
Il vit en pensée LeFou, étendu sur un lit, les yeux clos, Stanley allongé sur lui, pressant ses lèvres contre les siennes. Il imagina les lents mouvements du bassin, les caresses de Stanley sur les cuisses le pressant contre son amant. Il imagina les mains grassouillettes de LeFou lui caressant les cheveux. Il imagina le sexe de Stanley, qu’il avait arbitrairement décidé de voir long et mince, comme lui, entrer et sortir du corps de LeFou, les abdominaux carrés caresser le sexe de LeFou, plus court mais beaucoup plus épais. Il vit les lèvres se séparer pour murmurer des mots que lui-même n’entendit pas, mais il n’eut pas le temps de pousser plus loin la réflexion. L’orgasme le prit quasiment par surprise et en quelques mouvements du poignet, il se répandait dans l’eau tiédie du bain.
Gaston sortit de l’eau, se sécha et s’habilla avec la tenue que LeFou avait apportée, puis sortit de la pièce sans façons rejoindre son lieutenant.
LeFou était en train de lire, et n’avait pas plus l’air embarrassé que ça. Il arrivait parfois que ses traitements finissent de cette manière. Il leva les yeux de son ouvrage et lui sourit.
- Tu te sens mieux ?
- Oui, grâce à toi.
LeFou hocha la tête.
- Oh, et, heu… Désolé pour tout à l’heure. J’ai laissé mon imagination battre un peu la campagne !
- Tu es tout excusé ! Répondit LeFou, gaiement. C’est la veuve Grandier qui t’a mis en telle joie ?
C’était une jeune veuve qui avait vaguement capté l’attention du chasseur voici quelques semaines. Gaston approuva de la tête. Un mensonge pour un autre.
- Bien que je doute qu’elle sache masser la tête aussi bien que toi !
- À l’impossible, nul n’est tenu. Veux-tu que nous allions visiter cet armurier qui a ouvert dans le village voisin ? Ton couteau de chasse n’est plus de la première jeunesse, je m’en suis aperçu l’autre jour.
- Allons-y ! Lança Gaston, content de passer du temps avec son lieutenant.
OoO
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