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damnrightshow · 3 years

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31. Aug ’21 Damn Right Show ~Tuesday Soul n’ Funk Selection 2 Hours~

Tuesday show 2 hours Soul n' Funk is now uploaded on YouTube. Please enjoy vintage soul music and some of new vintage recorded recently.

39 tunes selected for listeners of Mixcloud Live. Much thank you for tune in and leaving comments.

I wanna know what tune you like in this playlist.

Today is the last day of month, tomorrow is a new month, so I feel refresh to play records for you. Feel free to join the show.

"Love One Another" FRANKIE STATON AND SPECKLED RAINBOW (Speckled Raibow)

"The Whole World's A Picture Show" THE NEWCOMERS (Truth)

"Joy Trip Part 2" JERLINE AND FRIENDS (Traveller)

"Keep Your Burning" THE SHIDER FAMILY BAND (Headed Up)

"I Want Your Lovin'" BACKYARD CONSTRUCTION (B.Y.C.)

"Love Episode" STRIVERS SHOW BAND (Strivers)

"Shardarp" NOBODY'S CHILDREN (Twilight)

"Do The Whole Rock" THE MAGNIFICENTS (Ken Tone)

"Be My Friend" RIPPLE (GRC)

"World Full Of People" EVERYDAY PEOPLE (Brownstone)

"So Very Hard To Make It" PAUL BURTON (Music Go Round)

"I Will See You Through" ABI FARRELL (Big-AC)

"Can't Do This To Me" THE ESTIMATIONS (Kimberlite)

"Good Feeling" BETTYE SCOTT AND THE DEL-VETTS (Teako)

"What's Happening To Our Love Affair" DANNY HUNT (Dynamite)

"Such A Soul Says" THE THIRD PARTY (Soul Hawk)

"Gypsy Woman" LEE DAVID (Bell)

"Ain't Gonna Run" THE ROYAL ESQUIRES (Prix)

"My Young Misery" DARROW FLETCHER (Groovy)

"Help Me" ONYX (Super Disco Edits)

"Ready, Willing, Able" EDDIE HOLMAN (Soul Direction)

"The Marrying Kind" LEROY TAYLOR (Federal Green)

"You Better Think Twice" SHARON JONES (Desco)

"Party On The Moon" ODELL KNIGHT (Valiant)

"Looking Thru The Window" EDDIE BLACK SPEED (Watts City)

"I'm In Love With You" CAROL DIONNE (Gateway)

"Squeeze" ECSTACY (Star Chants)

"I'm In Debt To You" THE INNERSECTION (Group 5)

"Loveland" S.P.G. (Magick)

"Stay And Dance" NINA DUNN (FD)

"Let Me In" EBONEY ESSENCE (Goodie Train)

"I Don't Want that To Change" BIGGY TWIGGY BAND (Westmount)

"We're In Love" THE DECISIONS (Soul Direction)

"Don't Look Back" TOBIAS (Toby)

"Time Ain't Gonna Do Me No Favor" FREDERICK HYMES Ⅲ (Fab Vegas)

"Talkin' Bout Ya, Baby" THE MIGHTY MARVELOWS (Abc)

"If I Had A Chance To Love You" JIVE FYVE feat EUGENE PITT (Decca)

"Thinkin' About You" CARMY LOVE (Big AC)

"Woman Of The World" EMMA NOBLE (Cosmos Music)

#damnrightshow #soul #funk #vinyl #selection #playlist #world #music #retro

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karoltabis · 4 years

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Réalisatrice - Laura Bonnefous Chorégraphe et danseuse - Fanny Sage Effet de démultiplication par multipass grâce à Jarvis Chef Opérateur - Benoit Pain Assistant opérateur - Simon Roche Opérateur motion control - Antoine Grasset Chef machiniste - Alexandre Jésus Quiroz-Martinet Machinistes - Cyril Beziat & Guillaume Esprit Chef électricien - Pierre Franiatte Electriciens - Elyan Charvet & Nicolas Moine Musique - Damien Tuffal Création et stylisme - Stéphanie Brissay Chef décorateur - Paul Descoings Responsable FX - Jean Miel Designer floral - Saison studio Coiffure - Nina Olivet Maquillage - Laura Merle Directeur de production - Lucas Limonne Assistante de production - Camille Pichon Régisseur - Dmitar Bodrozic Etalonnage - Antoine Grasset Directeur de post-production - Romain Bzx Previz & VFX - D-Seed Making of - Damien Kailainathan Une production Spline Romain Bourzeix, Claire-Alix Gomez, Lucas Limonne et Antoine Grasset Avec le soutien de nos partenaires Transpalux Transpagrip Pixel's Revenge Azka Media Ma tartine dans ta cuisine D-Seed

#IFTTT #Vimeo

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reseau-actu · 5 years

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FIGAROVOX/TRIBUNE - Supprimée en 2013 du concours de Sciences Po, la culture générale a mauvaise presse. Guillaume Bigot, créateur de l’Académie Cicéron, entend lui redonner de l’importance.

Guillaume Bigot est directeur de l’IPAG. Il ouvrira, le 27 novembre prochain, dans les murs de la Société de Géographie, boulevard Saint-Germain, une école dédiée à la culture générale: l’Académie Cicéron recevra entre autres Mathieu Bock-Côté, Pascal Bruckner ou Bérénice Levet.

À l’ère de l’instantanéité des informations, faire le tri, hiérarchiser et ordonner ses connaissances n’a jamais été aussi indispensable.

Dans un univers instable, les connaissances pérennes, universelles et - pour utiliser un mot encore plus désuet - «classiques», deviennent de plus en plus précieuses.

Se fonder sur ce qui a traversé les siècles offre un critère éprouvé pour opérer ce classement et identifier ce qui mérite d’être assimilé et transmis.

La culture générale, c’est ce qui restera lorsque les Big data auront «disrupté» toutes les expertises. Jamais le tri et la cartographie des connaissances n’ont été aussi nécessaires qu’aujourd’hui. Le monde n’appartiendra jamais aux techniciens et aux hyperspécialistes. La politique d’ailleurs est la science reine dit Platon, celle qui embrasse toutes les autres, c’est le savoir des généralistes.

La culture générale est l’ombre portée de la démocratie sur un plan culturel. S’opposer à sa diffusion, la délégitimer, c’est indirectement s’en prendre au peuple et à l’égalité.

La culture générale est le premier levier d’ascension sociale.

Le refus de vulgariser s’accompagne d’une attitude que Mao appelait la morgue du bachelier. Cette posture hautaine voire suicidaire conduit à la calcification, par manque de mobilité sociale et par arrogance de classe. Une classe dirigeante qui cède à cette tentation est déjà condamnée à la disparition. Sans le savoir, la nôtre est déjà entrée dans ce que Chateaubriand appelait son troisième âge: l’âge des vanités.

Nos «élites» (plaçons ce terme entre guillemets car cela n’aurait jamais dû cesser d’être un terme positif), tout en déplorant le populisme, cultivent l’entre-soi dont le mépris de la culture générale offre une traduction très claire.

Dans le monde anglo-saxon, certains savants osent encore écrire, à la manière du prix Nobel d’économie, Paul Samuelson, un manuel destiné à mettre à la portée de sa concierge toute la science économique, y compris les théories les plus récentes.

La culture générale est le premier levier d’ascension sociale. Souvenons-nous du temps où les grandes familles de diplomates ou d’inspecteurs des finances organisaient des dîners qui étaient autant d’épreuves de sélection. Il fallait montrer patte blanche et la culture générale faisait clairement de l’étiquette, elle était une extension du savoir-vivre et une marque de distinction sociale qui signait moins la preuve d’une sensibilité ou d’une intelligence personnelle que l’appartenance à un cercle de privilégiés.

Un siècle plus tard, Sciences Po qui fut sans conteste le temple de la culture générale dans notre pays, supprime l’épreuve tant redoutée de la dissertation de culture générale tandis que le chef de l’État - qui se dit impressionné par le système Richard Descoings - serait, dit-on, favorable à l’utilisation d’algorithmes pour sélectionner les hauts fonctionnaires dans la future école destinée à remplacer l’ENA.

À une époque où l’on sait tout, on ne comprend plus rien.

Tout le monde devrait avoir lu une fois dans sa vie les Essais, mais chacun fera son propre miel de Montaigne. Aussi n’y a-t-il rien de plus étranger à la véritable culture générale que l’émission «Questions pour un champion». L’homme cultivé est forcément l’ennemi du dîneur en ville qui maîtrise les codes et les récite comme un singe savant. La culture générale est nécessairement personnelle. Plus une culture est profonde, plus elle est personnelle, humble et critique. Aussi la culture générale est-elle une arme contre la discrimination sociale massive. C’est le plus puissant désintégrateur à préjugés. Le jeune Julien Sorel, fils d’un scieur de bois, parvient à se frayer un passage dans la bourgeoisie de Verrières (ville imaginaire du Doubs) en impressionnant ses interlocuteurs par sa maîtrise du latin.

Et la 5G n’y change rien. En réalité, l’hyper-connectivité et l’abondance de l’information débouchent sur un paradoxe facile à résumer: à une époque où l’on sait tout, on ne comprend plus rien.

Les technologies qui nous immergent dans un océan d’informations créent l’illusion fallacieuse qu’accéder, c’est maîtriser. L’instantanéité de l’accès nous dispense de mémoriser, mais aussi d’assimiler cognitivement les informations, de les comprendre. Dans l’univers des Big data, la culture générale n’a jamais été aussi inutile en apparence, mais décisive en réalité.

L’ambition de l’Académie Cicéron consiste donc à réhabiliter l’exercice de la vulgarisation et de la synthèse de qualité et à renouer avec l’écoute du verbe. Pour y parvenir, l’Académie peut déjà compter sur la conviction et l’engagement de professeurs et de conférenciers d’exception, dans tous les domaines du savoir, de toute obédience ou point de vue.

Ces enseignants vont s’efforcer de mettre leur savoir et leur expérience au service du public à travers des séries de 4 séances consacrées à l’exploration d’un thème et permettant un échange et une réflexion avec le public. Eliette Abécassis et Zineb El Razhaoui chacune à leur façon interrogeront le rôle de la femme dans le monothéisme ; Hector Obalk va émerveiller ses auditeurs grâce à une synthèse brillante de l’histoire de la peinture, Pascal Bruckner va s’interroger sur les âges de la vie tandis que Laurent Alexandre et Éric Sadin vont inviter le public à s’interroger sur les transformations (pour le meilleur ou pour le pire) que l’intelligence artificielle va engendrer.

#culture générale #science po #démocratie #big data #débats sociétaux

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dore741 · 5 years

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PETIT BISCUIT - We Were Young (Official Video) from Pierre Saba-Aris on Vimeo.

Directed by Pierre Saba-Aris Produced by PANAMÆRA Starring: Rod Paradot & Marilyn Lima DOP: Julien Ramirez Hernan Steadicamer: Benjamin Fatras 1st AD: Lola Bernard Executive producers: JF Wang & Yann Bigay Producers assistant : Anne Laboureau Set design: Paul Descoings & Lucie Tescaro Style: Solène Richard Make up: Vincent de Monfreid & Clémence Halary Hair: Céline De Cruz 1st OPV assistant: Benjamin Cohenca 2nd OPV assistant: Coline Schneider Gaffer: Simon Petillon Best boys: Frédéric Chevrier & Quentin Pillet Key grip: Alexis Bouladoux Grip: Charly Remigereau Editing: Mark Maborough Colorist: Vincent Amor VFX: EIGHTY4 (eighty4.tv/) VFX supervisor: Nicolas Martinez PA / Secret weapons: Denis Pattyn Nessim Acimi Antoine Salomon aka BIG Special thanks to : Théâtre Jean Vilar & City of Saint-Quentin RVZ & Cinesyl

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ejviper · 6 years

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Eclosia Paper from Fink on Vimeo.

Réalisation Colts & Thomas Roda

Agence Circus Advertising Maurice Client Food & Allied Prod Maurice Move For Art Production Fink Productrice Melody Calmels

Musique Composée par Thomas Karagiannis

Postproduction Fink Lead CG Artist Fanny Rollot, Colin Toupé Modeling Hugo Lefebvre, Jules Cantin Character Animation Florian Bertin Tracking Nicolas Vessiere

Directeur Photo Alexy Benard Directrice de production Charlène Richardeau 1er Assistante Réalisateur Montaine Lambert Electro Farid Chef Deco Paul Descoings

Enfant Niels Bachet

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critiquexpo · 7 years

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Felicità 17

Diplômés félicités et avec mentions

Du 20 mai au 14 juillet 2017 - Palais des Beaux-Arts - Paris

Les étudiants des beaux-arts sont-ils « contemporains » ? Je veux dire : font-ils de « l’art contemporain » ? En cette période où les écoles d’art, et en particulier les beaux-Arts de Paris, font l’objet de polémiques régulières, l’exposition « Felicita 17» est l’occasion d’évaluer les pratiques dominantes en fin de cursus, et surtout leur intérêt (qui par ricochet devient évaluation des ateliers de l’école, de la formation qui y est dispensée, et des orientations du jury).

Je m’attendais un peu à voir pléthore d’installations, de vidéos, de performances ou d’environnements en tous genres, de recherche du monumental ou du spectaculaire comme nous y habituent les grandes manifestations d’art contemporain où l’on attend le nouvel « émergent » qui saura se faire remarquer. Alors certes, des installations, des vidéos, des environnements, il y en a. Mais contrairement à ce à quoi je m’attendais, il ne dominent pas l’exposition de façon écrasante. Beaucoup de peinture aussi, de la photographie (un peu) et des créations mêlant tout ces media de façon inégale, mais parfois heureuse.

Ainsi le travail présenté par Alicia Renaudin, sortie de l’atelier de Patrick Tosani, qui met en place des dispositifs de prise de vue, pouvant s’apparenter à des installations. Les photographies ainsi réalisées sont présentées au côté de clichés des dispositifs eux-même, sur des tirages de grands formats. Mise en scène visuelle intéressante en ce qu’elle place du coup le regard du spectateur entre deux espaces, qui sont en fait deux images, deux fictions maintenues ainsi dans une irrésolution rendue convaincante par la qualité même des prises de vues et des tirages. Réussite à saluer d’autant plus que le discours d’Alicia Renaudin, certes un peu scolaire, reste clair et adapté à ce qui est effectivement montré.

Si j’insiste sur ce dernier aspect, c’est que la plaquette de l’exposition accompagne chaque création d’un court texte de présentation dont certains sont parfaitement abscons ou maniérés de telle sorte que l’on a le sentiment désagréable qu’ils cachent la vacuité même des œuvres. C’est le cas de la contribution de Vécile Serres, une grande installation composée d’un monumental tirage photographique d’une fenêtre, associée à des arceaux jaune fluo, à des fils électriques englués dans une peinture également jaune fluo, des dépouilles molles couchées au sol où sont également posés des sortes de casques ou capuches de ce qui ressemble à de l’acrylique séchée, recouvrant de vagues bustes anthropomorphes. Il doit être question ici de regard. Du moins c’est ce que laisse penser le texte faussement instinctif de la plaquette dont je ne résiste pas à citer les dernières lignes : « Que faire ? Vous aurez ce que vous voudrez, et je m’arracherais [sic] moi-même chaque centimètre carré de cette pellicule de somatisme jusqu’à ce que, devant vos yeux, l’image se dérobe à je. ». Sans commentaire ; si ce n’est que devant nos yeux il ne se passe pas grand chose, au-delà d’un rébus indéchiffrable.

Parmi les dispositifs présentés il en est pourtant qui retiennent l’attention, comme les deux pièces de Paul Descoings. L’une d’elle, le « Grapho-porte », à l’apparence revendiquée d’un sismographe, relié aux portes du lieu d’exposition, enregistre sous forme graphique les mouvements du public. La simplicité du système allié à l’espèce de fascination que peut exercer son apparence épurée d’objet scientifique, ici dévoué à une tache un peu absurde, rencontre pourtant une inquiétude qui renvoie à la surveillance généralisée, mais aussi à la conscience du corps agissant, du mouvement et, par extension, à la présence de l’autre, de l’espace de ces déplacements dans l’exposition. On reste ainsi à attendre que la machine réagisse, indice d’une présence, trace graphique, froide et objective, d’une activité…

L’image, sous toutes ses formes, reste très présente dans cette exposition, de la photographie que j’ai déjà évoqué avec Alicia Renaudin, au film et à la vidéo chez Laure Tiberghien ou Chloé Mossessian, en passant par les images lenticulaires d’Estrid Lutz & Emile Mold qui font penser à certaines expérience de Sigmard Polke. Pourtant, j’ai noté la forte représentation de la peinture, pratiquée sur un mode fort éloigné de toute forme d’expressionnisme ou de gestualité ; bien au contraire, il s’agit le plus souvent d’une peinture méthodique, construite, visiblement attentive à la qualité de la réalisation - d’un point de vue résolument technique, une recherche de la maîtrise, d’une forme de « métier ». Cette tendance tend parfois à donner des images marquées par des démonstrations de virtuosité certes remarquables mais un peu vaines, et qui recouvrent une difficulté à se positionner par rapport à son médium, comme en témoignent peut-être ces quelques mots d’explication un peu navrant : « « il y a à mes yeux dans un tableau, plusieurs strates de lectures possibles, l’apparence des choses laissant place à la symbolique, elle-même investie par notre subjectivité ». Faut-il vraiment cinq années d’études pour savoir cela ? Bon, soyons indulgent. Éviter en peinture l’écueil de l’image, voilà qui n’est pas chose facile, et s’il est vrai que l’on frôle souvent ce problème, il se dégage par exemple des peintures de Tatiana Pozzo di Borgo (dans une variation de petits formats autour de son atelier où traine une image de Thérèse de Lisieux sur un radiateur), dans celles de Nathanaëlle Herbelin (qui pareillement compose avec son espace proche des images silencieuses et contemplatives d’espaces découpés par la perspective), une forme de sincérité du regard qui s’exprime moins qu’elle ne se traduit en peinture. Le vécu s’accumule, et fait sujet, parfois sur un mode plus complexe comme c’est le cas chez Blaise Schwartz dont les compositions faites de superpositions de fragments d’images et de pure abstraction, convoquent clairement le désir de voir, de défaire le feuilletage des références et des identifications dans un travail qui témoigne d’un réel engagement en peinture.

Je renonce ici à parler de tous les exposants, mais je finirai sur le travail de Lucie Planty qui, dans « Siècle dernier », accroche au mur sous forme de brochures ou de journaux retenus par des baguettes métalliques, des assemblages d’images extraites de la version numérisée du quotidien « La Stampa ». Les photos de presse, numérisées pour être archivées et diffusées sur internet, sont devenues illisibles. Au mieux allusives ; et l’ont feuillette ces pages avec le sentiment croissant d’une perte, mais aussi avec l’impression que ces traces convoquent une mémoire historique commune, connue mais rendue aussi inaccessibles que les bribes d’image que nous cherchons à conserver d’un rêve, au réveil. Aucun commentaire, aucune légende. Soit, le principe est assez simple, voire simpliste. Mais présenté ici sans emphase ni bavardage, il est efficace.

Les étudiants sont-ils contemporains ? Certes, ils le sont. Tous ont visiblement bien compris ce que doivent ou peuvent être les formes que priviliégient aujourd’hui tout à la fois l’institution, les acteur du monde de l’art et la marché. Aucun doute là-dessus.

#beaux-arts #étudiant #diplomés #contemporary art #art contemporain #artiste émergent #peinture #installation #photo #vidéo #tosani #bustamante #stephane peltier #Critique d'art #art criticism #eopisiton #art exhibition #paris

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baccoperbaccoit · 7 years

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#BarakObama in vacanza nella citta ' del #BrunellodiMontalcino #Montalcino #BorgoFinocchietto #michelleobama La vacanza senese della coppia, lei ha fatto shopping e preso un gelato nel borgo del Brunello. MONTALCINO. Giornata sui campi di golf per Barack Obama e shopping a Montalcino per la moglie Michelle nel primo giorno di vacanza in Toscana, ospiti nella tenuta di Borgo Finocchieto di proprietà dell'ex ambasciatore John Phillips. Il corteo di auto dai vetri oscurati dell'ex presidente Usa ha raggiunto il vicino golf club della tenuta Castiglion del Bosco, di proprietà Ferragamo, che ha avuto in passato altri illustri ospiti, tra cui Paul McCartney. Sul green anche Richard Parsons, anche lui statunitense che produce vino Brunello nella vicinissima Montalcino. Camicia rosa scuro e pantaloni bianchi, ha preso un gelato alla gelateria "Why not", poi è entrata nel negozio di vini e tessuti pregiati "Montalcino 564" dove ha provato anche un cappello "Panama". Un pomeriggio, quello di sabato 20 maggio, di relax per la coppia americana. Nella mattina invece Barack e Michelle hanno fatto una lunga passeggiata nei boschi intorno a Borgo Finocchieto, la tenuta dell'ex ambasciatore americano Phillips, alle porte di Buonconvento, dove rimarranno fino al 24 maggio. E per chiudere in bellezza la giornata, la sera di sabato nella bellissima villa lo chef Massimo Bottura, incoronato lo scorso anno come il migliore del mondo e quest'anno numero uno in Europa, preparerà un menù esclusivo per una tavolata di vip in un banchetto a numero rigorosamente chiuso. Tra gli invitati, oltre ovviamente a Phillips, lo stesso produttore Richard Parsons, che già venerdì sera ha "prestato" i suoi vini della tenuta "Il Palazzone" di Montalcino al desco di Borgo Finocchieto per la cena di benvenuto. #ViaggiareinToscana #Valdorcia #baccoperbaccoitalia #viaggiatoridelgusto → fonte : ( iltirreno .it )

#borgofinocchietto #viaggiatoridelgusto #montalcino #baccoperbaccoitalia #brunellodimontalcino #viaggiareintoscana #valdorcia #barakobama #michelleobama

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hairterminator · 8 years

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http://blog.hair-terminator.com/uncategorized/

The Best Watches Under $1,000

#SevynStreeter", "#Playboy #http://blog.hair-terminator.com 10 Watches Under $1,000 That Rival Some Of The Best March 19, 2017 Share Tweet There comes a point in every man’s life when he begins to acquire the things that will last a lifetime. The first major purchase for most gents who

#SevynStreeter", "#Playboy #http://blog.hair-terminator.com

10 Watches Under $1,000 That Rival Some Of The Best

March 19, 2017 Share Tweet There comes a point in every man’s life when he begins to acquire the things that will last a lifetime. The first major purchase for most gents who care something about style will be a decent watch. Even in these tech-crunched days — perhaps even more so — a real, well-made watch makes a statement about your values, your taste, and your approach to life in general. Now more than ever, an appreciation of timekeeping is the mark of a man of means. This is a guide for the guy who’s finally ready to give up the clunky plastic gadget he’s been sporting since freshman year and slip into something a little more substantial. Forget those cheapo fashion watches on the ribbon bands; they’re little more than bracelets that happen to tell time. They say nothing about the man you really are or aspire to be. Not that there’s anything inherently wrong with a ribbon band, but a nice one will look infinitely better on a watch that’s actually worth something.

Alpina Startimer Big Date Pilot Chronograph

The Startimer Pilot chronograph by Alpha is a great example of the subtle upgrade a fine timepiece can offer. This is our favorite watch under $1,000, with the looks of a much more expensive piece. Geneva-based Alpina has a great pedigree to boot: it was founded in 1883 by watchmaker Gottlieb Hauser, who went on to establish the Swiss Watchmakers Corporation (Union Horlogère Suisse). Originally made for climbing mountains, their watches can withstand rugged conditions with ease. The pilot’s watch, obviously intended for aviators, is handsome enough for any endeavor, even if you never leave the ground. All-black watches are also very cool in general. $936.00 at Amazon.com

We Asked An Expert...

Paul Altieri, founder and CEO of Bob’s Watches, the renowned pre-owned watch boutique and exchange site, says that a proper mechanical watch, if chosen carefully and taken care of, can be worthy of passing down to your son one day. And that’s something you should always keep in mind, even if having children doesn’t figure into your current plans. Note that the fine Swiss movements found in the watches on this list will require a certain amount of maintenance over the years, much as a foreign car would. “Your first investment watch may require more care and attention than you’re used to, but it’s well worth the effort, and the cost,” Altieri tells us. “Whether you wear it all your life or upgrade at some point in the future, you should consider it a permanent piece of your persona, more than a mere accessory.” He also recommends acquiring more than one strap over time to be able to change up the look of the watch with minimal effort (this is where the ribbon comes in). “Don’t think of a watch as being something that will pigeonhole you as a certain type of person,” Altieri counsels. “Choose one that suits your personality, not the other way around. You might like the look of a pilot’s watch but it might just not be right for you. Seek the advice of friends whose sense of style you admire and whose opinion you care about. These are usually the guys who were born knowing what works and looks best — but even if you’re not one of them, you can learn.”

What To Keep In Mind...

Consider it in the way you would a custom-tailored suit or pair of handmade shoes: you’re past the point of growing out of something, and establishing your permanent style is more a process of refinement than experimentation. You want to show the world that you’re someone to be taken seriously, and that your time is literally valuable — as it should be if you don’t want anyone to waste it. Invest In Swiss: With very few exceptions, you’ll want to buy Swiss, and a brand whose name is well known. This follows the same principle in real estate that it’s better to buy the cheapest house in an expensive neighborhood than the most expensive house in a lousy one. And as with any investment, buy the best you can possibly afford. Consider The Chronograph: Chronographs — i.e. watches with multiple functions — offer more bang for the buck, and so we’ve included several of them here. They hold their value better, look (and are) more impressive, and are always in demand. Don"t Cheap Out: Be prepared to spend at least $500, and probably more, on your investment-grade timepiece. That’s still a far cry from Rolex territory but the watches we’ve selected here will earn you respect even from self-professed watch guys, and quite possibly even admiration at your financial acumen. And don’t shy away from the ones closest to the $1,000 mark, even if it means candy bar lunches for a month.

When it comes to watches, most won’t be able to distinguish the entry-level model from the higher priced pieces in any case. And if and when you do decide to trade up once more, you’ll have something worth a good chunk of change to get started with. Here, we"re laying out 10 of the best watches under $1,000 — with style and reliability that suggests a much higher price point:

Frederique Constant Business Time Chronograph

The dressiest piece on this list comes from Frederique Constant, an up-and-coming Swiss watch brand based in Geneva, established in 1988 by Dutch entrepreneur and car collector Peter Stas. Not every guy wants to wear a sports watch to work; this one is elegant enough to do duty with a tuxedo at the ritziest black tie affair. Be prepared to have this mistaken for a much pricier piece. But your best friend — and your boss — is bound to be impressed with the great deal you got on it.$698.00 at Amazon.com

Chotovelli Pilot Chronograph

Chotovelli, a brand founded in the 1920s in Turin, derived and inspired by Italian aviators, is a name you probably haven’t heard before. Which just means it qualifies as a “find.” For the price, this handsome chrono is far and away the biggest bargain on the list, and the opportunity it affords to give each admirer a mini history lesson is just icing on the cake. Everyone will think you spent at least three times as much on it. The saddle leather strap will just look better with age, but caveat emptor: at 47mm, this is one big watch.$566.67 at Amazon.com

Martini Racing Chronograph

This watch was designed in homage to the legendary Martini Racing motorsports colors, which have appeared on every important race car since the 1960s; the company currently sponsors the Williams F1 team. A watch for true motoring enthusiasts who will appreciate the iconic, immensely cool blue and red striped band (which you won’t find anywhere else), it may be a little too sporty for some office situations but certainly packs pizzazz and will easily satisfy your need for speed.$971.50 at Amazon.com

Hamilton Takeoff Air Zermatt Automatic

A blacked-out take on a classic American design with an automatic Swiss movement, designed in homage to a famed Swiss mountain rescue team, this watch is subtle bordering on stealthy. Zermatt also happens to be a very ritzy ski resort. The Hamilton Watch Company was founded in Pennsylvania in 1892 and as such has an impressive heritage that those in the know will appreciate. And you can educate those who don’t know (as long as they’re buying the drinks).$718.79 at Amazon.com

Porsche Design P’6600 Dashboard Chronograph

For 40 years, Porsche’s design arm has been making watches that can keep pace with its legendary cars. This refined but sporty model features a tachymeter, an old-school way to measure speed favored by those who like to drive very fast. As such, it will make you look like you’re hitting 100 mph in a sports car even while working on a spreadsheet at your desk. But it’s not so sporty that it will look silly on other occasions. And no, you don’t need to have a Porsche in the garage to be able to wear it.$718.80 at Amazon.com

Longines HydroConquest Chronograph

Based in Saint-Imier, Switzerland, Longines was founded in 1832 and its winged hourglass logo is the oldest registered trademark of any watch brand. The HydroConquest is as serious a diving watch as it sounds, water resistant to 1,000 feet and made to be a reliable companion underwater. The black rubber band is less dressy than leather and more practical for steel if you’re really planning to get your feet wet. It’s designed to be the perfect combination of style and technical innovation.$972.00 at Amazon.com

Maurice Lacroix Eliros Chronograph

Zurich-based Maurice Lacroix was founded as part of Desco von Schulthess — an older company with roots in the silk trade — in 1975. Much of their success is attributable to timeless designs like the Eliros, which can match any watch on this list in terms of elegance. The thin case also makes it extremely comfortable to wear, especially under a suit jacket, and won’t weigh down your wrist — important for architects or others who need an agile, functional timepiece.$821.95 at Amazon.com

TAG Heuer Formula 1

TAG Heuer, founded in 1860 by Edouard Heuer in St-Imier, Switzerland, and long a favorite of motorsports enthusiasts, is a name that commands instant respect in every watch-loving quarter. Only occasionally are any of their pieces attainable under the $1K mark — and when they are, you should definitely drop the coin. The iconic Formula 1 model has the distinction of having been worn by actual Formula 1 drivers. $945.00 at Amazon.com

Shinola Runwell Chronograph

Shinola watches assembled in Detroit have sparked a renaissance in that city and for American watch brands in general. The Runwell is destined to become a truly classic design that will age well, though note it may not stand up to the punishment a more expensive Swiss counterpart can take. Wearing this watch makes a statement that you value good design but don’t need an overly expensive timepiece to speak for you. It also says you have a certain pride in American-made goods. And there’s nothing wrong with that.$522.50 at Amazon.com

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damnrightshow · 3 years

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Last show of the week, played for Funk funs 2 hours was finished. Thank you for tune in the show, Thursday me play with image of being DJ booze at club. Played some classics of Funk Clubs today, Thusday special I hope to enjoy it. And keep dancing by Deep Funk ! Many new listners coming through this week, so I wanna say "Nice to meet you". I do the show from Monday to Thursday, so next show is Monday. See you Monday. And have a fabulous weekend all !

1. "I'm Gonna Miss You" CRESCENT LEGACY (Brow Larch)

2. "Hey Brother" THE IDENTITIES (House Of The Fox)

3. "Get Down Brother" MICKEY AND THE SOUL GENERATION (Mr.G)

4. "The Stretch" THE DETROIT SEX MACHINE (Soul Track)

5. "Groovy World" FABULOUS CAPRICES (Camaro)

6. "Just Got To Be Free" THE BLACK CONSPIRATORS (Get Down)

7. "Funky Thing" LARRY ELLIS & THE BLACK HAMMER (Al King)

8. "Nothing But A Party" THE BLENDERS (Cobra)

9. "Lock-Jaw" LEE SYKES AND THE HIGHLANDERS (Lemon Drop)

10. "That Was My Big Mistake" LITTLE WILLIE JONES (Power Jet Star)

11. "Stay Together" SOUL EXCITEMENT (Pink Dolphin)

12. "Peace Still Is With Us" APOLLOS SHOW BAND (Johnlewis)

13. "Feel The Shock" BLACK FUR (Bar-Tone)

14. "Simple Song" ZEBRA (Zebra)

15. "The World Part 2" SANDI AND MATUES (Matues)

16. "Wake Up People" HEEM THE MUSIC MONSTER (Blood Leaf)

17. "If It's Feeling You Want"ONE HUNDRED YEARS TIME (VIP)

18. "Rhythm Trip" FBI (Daisy)

19. "Destination Unknown" THE DELRAYS INCORPORATED (Tampete)

20. "Let Her Love Glow" PAUL JONES (JAB)

21. "Dissatisfied Man" OLIVER CHRISTIAN (Legrand)

22. "Shake It Up" THE VIBRATIONS (Chess)

23. "Dance Dance With Me" FLYTE (Flyte Production)

24. "Soul Tangle" SHADES OF BLACK (Shades)

25. "Get Up Off It Baby" THE SOUL AUTHORITY UNLIMITED (Bet)

26. "Don't Give Up" BETTY WILSON (Dayco)

27. "Jickle Jeek Beat" REGINALD MILTON AND THE SOUL JETS (Milton)

28. "Psycho" THE FABULOUS MARK Ⅲ (Twink)

29. "Pushin' To The Top" IMPASSIONS (White Eagle)

30. "Tighten Up" ROOSEVELT MATTHEWS WITH BILLY BALL & THE UPSETTERS (King)

31. "Since I Was A Little Girl" HARD DRIVERS feat VIVIAN LEE (Hawes)

32. "It's An Explosion" THE ROYAL Ⅶ (Windmill)

33. "Spread Love" BODY HEAT (Power)

34. "Sunny Day" COMING OF MAN (Right Kind)

35. "Tra La La" THE GREAT DELTAS (Englewood)

36. "Butter Nut Part 2" THE BLACK TRUTH BAND (The Black Truth)

37. "Fell Into A Bag" RIVER CITY FUNK BAND (R.D.M.)

38. "Who's The King" JOSEPH HENRY (Desco)

39. "You're The One" KINGS GO FORTH (Mr C)

40. "Time Ain't Gonna Do Me No Favor" FREDERICK HYMES Ⅲ (Fab Vegas)

41. "Yes It's You" EUGENE SMILEY AND THE ESSENCE OF LOVE (K-City)

42. "You & I" THE NORTHERN LIGHTS (Traveller)

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