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#peinture néo zélandaise
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Pare Watene, Gottfried Lindauer | 1878
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photos-car · 8 months
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cyrax-peintures · 2 years
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Salut tout le monde j’espère que vous allez bien ce message s’adresse aux fans du seigneur des anneaux. Au cinéma de Vichy samedi 27 août aura lieu un marathon des trois films de Tolkien Certains d’entre vous le savent déjà mais j’expose actuellement sur place pour cet été Et à cette occasion Dans le cadre d’un partenariat avec le cinéma je vous propose de gagner une peinture que j’ai réalisé pour l’événement Gandalf le gris affrontant le grand Balrog Scène mythique du film que j’ai sélectionné pour réaliser une peinture De nombreux lots sont à gagner pour cet événement je vous mets le détail dans les différentes images prévues avec ce poste Pour ma part j’y serai personnellement en fin de journée pour la dernière projection Bons films Et que le plus chanceux gagne pleins de cadeaux Bonne chance 🍀 🧙🏻‍♂️ Le Seigneur des anneaux est une trilogie cinématographique américano-néo-zélandaise de fantasy réalisée par Peter Jackson et fondée sur le roman du même nom en trois volumes de J. R. R. Tolkien. Les films composant cette trilogie sont La Communauté de l'anneau (2001), Les Deux Tours (2002) et Le Retour du roi (2003). #lotr #lordoftherings #tolkien #middleearth #thehobbit #jrrtolkien #hobbit #gandalf #thelordoftherings #aragorn #legolas #fantasy #frodo #sauron #silmarillion #lotrmemes #elves #bilbobaggins #frodobaggins #art #elf #gollum #gondor #gimli #mordor #thranduil #cosplay #tolkienart #peterjackson #lordoftheringsmemes MARATHON SEIGNEUR DES ANNEAUX 🧝 Les trois films en version française et courte. AVANTAGES MARATHONIENS : Buffet Pizza offert à 20h00 ! - 50% en confiserie Animation chasse au trésor / lots à gagner 🎟️ Tarifs : VENTE DES TICKETS UNIQUEMENT SUR PLACE AU CINEMA ou à réserver à l'avance sur @passcultureofficiel pour les bénéficiaires 20.00€ pour les Marathoniens : 3 films + Buffet Pizza 6.80€ / film pour les non Marathoniens @ratigann_tattoo @cyrax_peintures @teambouletteb @etoilepalace (à Cinéma Étoile Palace) https://www.instagram.com/p/CheU2bVsjzx/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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pieuvresducinema · 3 years
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Le piano ou la poésie submergée (1993)
Pieuvres du cinéma 02, juillet 2021
Duda Cavalcanti
J'ai senti le silence. Son silence me transperça. Ada n'a pas prononcé un mot depuis qu'elle est petite, et son piano lui donne une voix et un mode d'expression. L'instrument fait partie de son corps et de son âme, et sa vie n'a plus de sens si elle ne l'a pas à sa portée.
Ce film parle de la passion d'une femme, de sa définition à travers autre chose qu'un homme, à savoir son piano, et de la façon dont être attaché à un homme - être contrôlé par un - la diminue. Ada est chaque personnage féminin silencieux qui n'est censé être la possession d'un homme que dans chaque film, émission de télévision, livre et pièce de théâtre jamais écrits. Elle remet donc cela en question en ayant une identité en tant que pianiste et un conflit survient lorsque cette identité est menacée. Le silence d'Ada transforme le personnage en un être énigmatique, semblable à Liv Ullmann dans « Persona » (1966), un film réalisé par Ingmar Bergman, Holly Hunter agit avec des regards, des sourires et, surtout, des gestes. Dans ce dernier point, dans certaines scènes, le film prend un air performatif où le jeu d'acteur se confond vraiment avec des danses, surtout quand Alisdair et Ada commencent à jouer le rôle de chasseur et de chasseur.
Imaginez gagner un Oscar à 11 ans et imaginez gagner un Oscar sans avoir à dire un mot : Anna Paquin et Holly Hunter, respectivement. Et, en plus de tout le mérite que les performances de ce film ont, il y a aussi une bande-son enchanteresse et de belles images qui disent tout ce que le protagoniste ne peut pas dire. La photographie nous berce et nous courtise à travers une coloration froide et boueuse, étant une représentation fidèle des vies qui habitent cet environnement. Les références artistiques de ce film et les représentations réalistes de la solitude sont indéniables. On voit une caméra qui marche et nous montre des paysages comme des peintures hollandaises, les deux tiers du ciel et un piano. On retrouve de vrais personnages qui semblent sortir des peintures d'Edward Hopper. L'environnement dans lequel se déroule le film ressemble à l'atmosphère que James Abbott utilisait dans ses œuvres. Une tuile portugaise. L'un des derniers plans, à l'endroit où Ada est recouverte d'un drap et George arrive et l'embrasse dessus, on voit "Les Amoureux" de René Magritte.
Je pense que The Piano est un film qui utilise très bien la violence pour avoir de l'impact et de l'intensité, cette violence n'est pas forcément graphique, on ne voit pas Alisdair couper le doigt d'Ada, mais le visage d'Ada sous la pluie au premier plan montre toute cette agression ciblée à la figure féminine. Un autre point de violence très bien abordé est le jeu du piano, tantôt plus agressif, tantôt plus calme, faisant office de discours du personnage d'Ada.La relation entre elle et les deux figures masculines peut être envisagée du point de vue de la sexualité, à ce point, nous aurons la violation du corps féminin - Alisdair - et la culture de l'intérêt amoureux - George.
C'est un film violent et sale, mais il le faut, il n'y a aucun moyen d'exclure la violence en vogue ici, et Jane Campion le fait avec primauté. Acclamée dans le monde entier pour ce travail, la réalisatrice néo-zélandaise est entrée dans l'histoire du cinéma comme la deuxième femme à être nominée pour la catégorie "Meilleure réalisation" aux Oscars et la première, et jusqu'à présent la seule, cinéaste à recevoir le prix "Palma". d'Or' au Festival de Cannes. Impossible à mentionner : la scène où Ada joue du piano sur la plage a la même puissance poétique que cette scène de 'Portrait de la jeune fille en feu' (2019), réalisé par Céline Sciamma, quand la robe d'Héloïse prend feu et restera toujours enregistré dans votre cerveau. Un film qui montre jusqu'où va quelqu'un pour ses passions, pour son identité, et comment le partage peut mener à quelque chose de plus profond avec les autres.
Jane Campion, Le Piano (1993)
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rollingstonemag · 6 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/la-playlist-de-la-redaction-20/
La Playlist de la rédaction #20
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Cette semaine, Rolling Stone vous propose une playlist à base de B-Side toute fraîche des Arctic Monkeys, d’indé automnal signé Julia Holter, Tiny Ruins et Golden Daze, sous oublier la touche pop incontournable à la Saint DX
Arctic Monkeys – Anyways 
Cette année, les Arctic Monkeys nous ont gâté d’un nouvel album délicieusement vintage, à l’allure directement inspirée de la galaxie Bowie. Bref, on ne va pas revenir sur cette belle surprise qu’était Tranquility Base Hotel + Casino, qui continue encore de faire son petit bonhomme de chemin avec la sortie du single éponyme sous un jolie édition vinyle. En cadeau, Alex Turner et sa bande dévoilent l’inédite « Anyways », ballade neurasthénique à mi-chemin entre « Star Treatment » et le slow final « The Ultracheese ». En soit, ce morceau aurait très bien pu figurer sur l’opus mais anyway, il demeure un plaisir de découvrir, à posteriori, de jolis trésors jusqu’à aujourd’hui enterrés.
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Tiny Ruins – School of Design
Mené de front par la musicienne néo-zélandaise Hollie Fullbrook, le projet Tiny Ruins est parfait pour vos prochaines soirées froides hivernales. Le prochain album, Olympic Girls, prévu au cours de l’année à l’horizon, s’illustre d’un nouvel extrait introspectif, « School of Design ». « Les paroles sont issues d’une expérience réelle où je me suis retrouvée errant dans une école de design vide, dans une ville étrangère pendant une tournée. C’est de là que m’est venue l’image de la peinture blanche fraîche sur les murs et les « archives », a déclaré Fullbrook. Un très beau moment suspendu dans le temps, qu’on s’accorde volontiers.
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Julia Holter – Whelther 
Son nouvel album, Aviary, nous a impressionné de sa candeur. La musicienne Julia Holter est fascinante : avec cinq albums à son effectif, elle ne cesse jamais de se dépasser. Épique, picturale, ses disques forment une fresque et provoquent le vertige. Si ce nouveau morceau fraîchement clipé, « Whelther », s’inscrit dans la lignée sonore de ce dernier opus, c’est aussi sûrement le segment le plus accessible. Il n’en est pas moins excellent et à écouter de toute urgence.
Golden Daze – Blue Bell
Avec sa folk lo-fi et ses chœurs façon Simon & Garfunkel, le duo Golden Daze s’apprête à sortir un deuxième disque, Simpatico, en février prochain. Pas sûr que l’hiver nous épargne de ses morsures, mais d’ici là, la musique de Jacob Loeb and Ben Schwab aura très certainement de quoi nous réchauffer, avec ses grosses couvertures pleines de mélancolie.
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Shay Lia – The Cycle
R’n’B à l’aise dans ses baskets, la musique de Shay Lia, petite protégée du producteur KAYTRANADA, risque de retentir très fort en 2019.
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Housewives – Speak to Me
En plus de proposer un des titres les plus angoissants de l’année, Housewives, formation math-rock originaire de Londres, allie le geste à la parole en proposant un clip, mise en scène d’un décor écrasé par le poids des pixels de Google Maps. Rappelant tour à tour la voix glaçante de Ian Curtis ou les expérimentations martiales de Death in June, « Speak to Me » est un des ovnis de cette fin d’année.
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tectuto · 3 years
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Le Meilleur de l’Art de la Peinture à la Main
La main humaine est une œuvre de splendeur. C’est aussi un outil qui peut également créer d’autres œuvres d’art merveilleuses. Prenez par exemple l’art de la peinture à la main. En utilisant les mains dans le cadre de l’œuvre d’art finale elle-même, la peinture à la main donne vie à une œuvre d’art à travers le mouvement, la surface de la peau ou les lignes de la paume.
Dans certains cas, cela vous fait regarder l’art sous un angle différent, surtout lorsqu’il s’agit d’utiliser la main comme toile. Tantôt il est prononcé, tantôt la main disparaît dans l’œuvre comme une illusion d’optique. Ce qui suit ne sont que quelques exemples de la façon dont des artistes talentueux livrent leur art avec leurs mains, littéralement.
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Lara Hawker
Lara Hawker est une artiste néo-zélandaise qui fait beaucoup d’art du visage et de la main – le genre qui vous fera vous asseoir et faire attention. Ce n’est pas surprenant puisqu’elle a commencé depuis l’âge de 14 ans. Ses projets sont thématiques ; si vous voulez être impressionné, regardez ce qu’elle a fait pour Halloween l’année dernière. Vous pouvez la suivre sur Facebook ou en savoir plus sur son blog Tumblr.
IMAGES: Carolina Canada
Guido Daniele
Depuis 2000, Guido Daniele s’est lancé dans la création de « Handimals » – l’art de créer des peintures d’animaux sur les mains. Si vous avez déjà rencontré Handimals sur Internet, il y a de fortes chances qu’il soit lié à Guido Daniele. Il fait également beaucoup d’autres types d’art et d’expositions. Vous pouvez trouver plus de ses chefs-d’œuvre sur son site.
Mario Mariotti
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Mario Mariotti n’est peut-être plus là, mais son art de la main prévaut toujours à ce jour. Artiste conceptuel, il a transformé ses mains en créatures étranges mais fascinantes. Son livre Animani est une vitrine de la faune et de la flore sauvages réunies par la peinture, ses mains et quelques objets ménagers (ficelle, boutons).
Annie Ralli
Annie Ralli a travaillé pour la BBC pendant une décennie en tant qu’artiste scénique, créant et peignant des décors et des toiles de fond pour des scènes de films tournés. Aujourd’hui, elle crée des peintures corporelles (y compris des mains), des peintures murales et des copies publicitaires pour ses clients. Vous pouvez voir plus de son travail sur son site.
Svetlana Kolosova
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Musicienne, poète et artiste, Svetlana Kolosova aime peindre sur ses mains, mais ne vous trompez pas en pensant qu’elle ne crée pas des chefs-d’œuvre. Chacune de ses peintures représente des scènes de contes de fées inspirées des œuvres d’auteurs comme Hans Christian Anderson. Ils prennent entre 1 et 3 heures à compléter, et elle les lave tous les jours. Trouvez plus de son travail ici. Les images ici proviennent de Cuded.com.
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Cuenca - Partie 1
6 au 17 décembre
Retrouvailles diverses
Pour ceux qui ne le savent pas (ou plus), Théo a passé une année d’échange à Cuenca il y a 5 ans. Du coup, ce voyage en Amérique du Sud est l’occasion d’aller retrouver ses amis et sa famille d’accueil, chez qui nous logeons pendant tout notre séjour à Cuenca. Après 8h de bus (et 1h d’attente que sa famille vienne nous chercher à la gare, bonjour l’heure équatorienne), nous sommes accueillis chaleureusement par un bon repas préparé par Sebastian, le frère d’accueil de Théo. Certaines choses ont bien changé en 5 ans : Sebastian est devenu papa! Christian, le petit frère d’accueil qui avait à l’époque 10 ans, est devenu grand!
S’en suit alors toute une série de retrouvailles;
Avec les anciens de copains de classe
Nous avions prévu avec l’ancienne classe de Théo d’aller manger un bout à 20h. Une heure et demie plus tard, tout le monde est enfin là (ou presque), mais le restaurant dans lequel nous voulions aller est complet. Après 1h de négociations dans la rue, nous nous décidons pour un autre restaurant. Vive l’Equateur! Nous mangerons finalement vers 23h ce soir là.
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On mange enfin!
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Avec les copains de classe
Avec la famille et les amis
Les cuencanais ont une passion surprenante pour le karaoké et l’alcool. Nous avons bien chanté, bien dansé, bien bu et évidemment, bien mangé du riz.
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Théo en plein karaoké
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On chante et on mange du riz avec Sebastian
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Toujours en plein karaoké
Avec Alex et Kristen
Oui encore eux! Ce couple néo-anglais (il est anglais, elle est néo-zélandaise donc on raccourcit comme on peut) rencontré à Minca, puis à nouveau à Minka (l’hostel) était de passage à Cuenca, nous décidons donc d’aller nous boire un petit café ensemble. Nous finirons par aller manger plutôt dans une glace chez Tutto Freddo, tellement bon qu’on y retournera encore plusieurs fois après.
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Chez Tutto Freddo
Avec Shane
Alors que nous errions dans les rues de Cuenca accompagnés de Sebastian, à la recherche d’une happy hour, nous croisons Shane (rencontré à Quito) et son ami Josh, fraichement arrivés en ville et eux aussi à la recherche d’une happy hour. Cette soirée marqua le début d’une nouvelle ère : celle du KKK.
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De gauche à droite : Sebastian, nous, Shane et Josh. Le gars dans le fond qui a tenté de s’incruster sur la photo est un américain super bizarre qu’on a rencontré là bas, qui dit qu’il n’écoute jamais de musique quand il est célibataire (euh d’accord)
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Sebastian et Théo
Le KKK
Le KKK est un concept de soirée magique. Il consiste en 3 des plus belles activités à faire en soirée à Cuenca, et il faut les enchainer dans l’ordre.
-K pour Kalashnikov bar, un bar russe, tenu par Elias, un russe super sympa qui a rencontré une équatorienne en voyageant ici et qui n’est plus jamais parti. Il se trouve que ce bar fait aussi les meilleurs white russians du monde et les shots les plus explosifs
-K pour karaoké (évidemment) + canelazo (un cocktail typique d’ici qui se boit chaud). Chanson obligatoire : La Bomba d’Azul Azul (https://www.youtube.com/watch?v=-4PxGZYleO8)
-K pour Klebers, autrement dit les meilleurs hot dogs du monde, ouvert jusqu’à pas d’heure
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Un des shots du russe, c’est le drapeau équatorien (et colombien aussi by the way)
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Le ferrari, un cocktail mortel du russe où tu dois boire le verre en feu, et pendant que tu bois, le gars te rajoute les deux shots qu’on voit dans le fond en plus (autant vous dire qu’on buvait pas ça tout seul)
Visite de Cuenca
Au milieu de tout ça, on a quand même eu le temps de faire autre chose que sortir. On a visité le centre ville et ses petits marchés artisanaux, un des musées, on a grimpé pour voir le panorama de la ville, on a été se relaxer aux thermes, etc etc.
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Peinture de Guido Alvarez, un artiste cuencanais 
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Peinture de Guido Alvarez, un artiste cuencanais 
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Les marches pour monter au panorama de la ville
Journée type à Cuenca
6h: réveil brutal à cause du soleil
6h-10h: on tente de dormir quand même
10h: réveil pour de bon et petit déjeuner préparé par la bonne qui ne cesse de nous faire des remarques sur nos sorties, qui parle super mal espagnol, qui nous pose sans cesse des questions parce qu’elle ne sait pas utiliser le lave-vaisselle, qui nous demande l’heure toutes les 5 minutes, qui torture le chat, … (vous avez compris, on ne l’aime pas trop quoi)
11h-14h: douche, blog, squattage…
14h: repas de midi préparé par la bonne; autrement dit du riz avec des trucs et le chat qui miaule pour qu’on lui donne à manger
14h30-18h: activités quelconques (thermes, musée, etc.)
18h-20h: repas quelque part en ville avec Sebastian (il y a beaucoup d’endroits à goûter dans cette ville!)
20h-4h: KKK
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Un combo belgo-équatorien, une soupe avec des frites dedans...
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Le chat qui veut manger avec nous
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Noélia, le bébé de Sebastian qui mange des frites
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ailleurs-l4s · 4 years
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Confinement JOUR 18 (JOUR 26) - Lou
La dérive du jour Cette nuit, des vents à 120 km/h ont soufflé sur Wellington, pourtant nichée au creux d’une baie. Cela bougeait encore pas mal ce matin, aussi avons-nous préféré différer notre incursion quotidienne en forêt. Les branches craquaient déjà bien hier, ce serait dommage d’échapper au coronavirus mais d’être assommé par un bout de bois. Ceci dit, j’ai appris très récemment que c’est pendant la Grande Peste de Londres en 1655 – qui avait éradiqué un quart de sa population – qu’Isaac Newton, dans l’impossibilité de se rendre à son université à Cambridge, avait dû, durant une année – réjouissons-nous donc, même si ce n’est pas fini ! –, travailler depuis la demeure familiale, notamment dans le jardin. Et c’est ainsi qu’il avait pu être sous le pommier lorsque la fameuse pomme – certainement la plus célèbre de l’histoire des pommiers, qui remonterait à 50 millions d’années ! (ou 65, ou 80 selon les sources) – lui était tombée sur la tête (1). Je pourrais donc faire un effort et accepter une brindille sur la mienne en échange d’une fulgurance intellectuelle aussi brillante que la compréhension de la gravitation… En réalité, ce changement de programme m’apparaît plutôt être une excuse pour, l’air de rien, étendre notre territoire d’exploration… De fait, aujourd’hui, pour la première fois depuis 18 jours, nous sommes retournées au bord de l’eau, sur la promenade qui longe la baie, celle-là même que je voyais d’en haut, du lookout, au jour 15. Je crois que j’avais envie de revoir « Solace of the wind » sous un autre jour… Dans les faits, ce n’est pas si loin que cela, peut-être 5 minutes supplémentaires par rapport au supermarché où nous nous ravitaillons. Mais, jusqu’à présent, nous n’avions pas osé y aller. Nous aurions pu ceci dit puisque ce n’est pas interdit et que nous savons que les autres promeneurs auraient respecté la distance de sécurité de 2m recommandée ici. Ce matin, soleil et vent en poche, c’est donc avec une joie toute enfantine que nous nous sommes dirigées vers la mer, pas vraiment la mer car nous ne voyons pas l’horizon depuis Wellington, mais la baie et les montagnes environnantes. Comme si nous nous aventurions sur des terres inconnues, que nous connaissons cependant pour les avoir traversées en février. Sur le trajet, comme toutes les fois où nous avons emprunté cette rue, Smith – je le baptise ainsi, mais au fond, je ne sais pas, c’est simplement le prénom masculin le plus courant en Nouvelle-Zélande depuis des décennies – était sur son échelle à poursuivre avec beaucoup de concentration son ouvrage initié dès le premier jour du confinement : repeindre, au pinceau, la façade de sa maison, après avoir soigneusement retiré la couche précédente au décapeur thermique. Ils sont en fait plusieurs à s’être donné cette mission pour ces 4 semaines un peu spéciales. Matériellement, c’est d’autant plus facile que la grande majorité des maisons néo-zélandaises sont en bois. Smith est d’ailleurs très efficace, il a bientôt fini d’apposer la première couche de son gris Madrid et la peinture semble si épaisse que je ne suis pas sûre qu’une deuxième soit utile. Promis, je suivrai cela avec beaucoup d’intérêt ces jours prochains… Tout comme je surveillerai les dizaines d’oliviers plantés sur les trottoirs de ce quartier pavillonnaire, dont je suis très heureuse de la présence car, à chaque fois, ils me conduisent mentalement vers mon autre pays de sang, la Tunisie, mais qui reste une énigme pour moi : climatique d’une part car j’ai toujours vu ces arbres dans des pays chauds – c’est le moment de chercher à quoi ressemble l’hiver ici à Wellington – et paysagiste d’autre part, car les arbres sont actuellement plein d’olives qui, faute d’être cueillies – je m’avance peut-être mais j’ai du mal à imaginer que la ville dépêche des agents pour les récolter, les presser pour en faire une cuvée d’huile d’olives de Wellington – vont inévitablement finir sur le trottoir. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la loi de la gravitation ! Bref, pourquoi l’olivier en ville ? Comme vous pouvez le constater, mes questions du jour sont très terre à terre. Il n’y a pas de petite compréhension. Ce qui nous conduit directement au pied de la sculpture de deux mètres de Max Patté, la raison ultime de cette diversion… Nu comme un ver en fer, les bras en arrière, tendu vers les éléments - l’eau salée, le feu solaire, l’air vif -, l’homme, abîmé, pourtant prêt à tomber, est comme suspendu dans le temps et l’espace dans une posture mélancolique – les yeux clos, calme voire las, paré pour faire face aux événements à venir – mais pourquoi pas joyeuse aussi – ne serait-ce pas les prémisses d’un plongeon, d’un élan, d’un nouveau départ qu’il nous offre là ? Un peu comme nous en ce moment, finalement.
Wellington, Nouvelle Zélande
© Lou Camino | Hans Lucas (1) https://www.courrierinternational.com/article/pommier-confine-pendant-la-grande-peste-isaac-newton-avait-efficacement-teletravaille
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Résumé vite fait bien fait, enfin, bien fait, bref, on essaye de rattraper le temps , mais le temps court on dirait.
Bon, je vais essayer dans ce nouveau post de nous remettre à jour, c’est-à-dire de rattraper deux mois  et des poussières de retard en quelques lignes… Je risque donc de zapper pas mal de choses, mais il faut bien qu’il nous reste des détails croustillants à raconter en rentrant. Car oui, on va rentrer un jour, désolé.
Je terminais le dernier post par cette histoire de rafting. Juste après cela nous arrivions à New-Plymouth, second lieu de WWoofing pour nous. Après un voyage en stop de 6 heures, et plus de 8 voitures différentes empruntées, on fait la connaissance de Sharon, notre nouvelle hôte.
Femme indépendante, début de soixantaine, pleine d’entrain et d’idées, Sharon vit dans une petite maison sur les hauteurs de New-Plymouth, avec une très belle vue, un jardin magnifique, et une cuisine impressionnante (elle tenait un restaurant avant, et tous les ustensiles sont toujours présents).
Nous avons réalisé des packs de bières en bois, pour offrir dans sa famille à Noël, un système d’arrosage pour tout le jardin, diverses peintures (en bâtiment et décoratives), des dessins, etc…
Les tâches étaient nombreuses et variées, mais nous en sommes arrivés à bout vaillamment. Bien sûr.
C’est aussi là que nous avons passé les fêtes de Noël et Nouvel an. Dur dur quand même , non pas d’être loin de vous tous, juste la bouffe. C’est vraiment pas terrible.
Du coup, Noël au soleil, on a cramé, bu plein de bières et c’est tout.
Pour le Nouvel An, on était invité à une fête chez une charmante demoiselle, la fille de l’oncle du frère du cousin du compagnon de la femme du fils de Sharon, que l’on avait croisée au réveillon.
Voilà, en gros , le style de soirée que l’on peut passer avec la jeunesse Néo-Zélandaise :
Arrivée vers 17.00, jeu à boire ( application qui fait jeu à boire, même), bon, très vite, bien sûr, les gens sont saouls.
Ensuite, vers 20.00 Barbec, on mange, on boit, de 22.00 à 00.00 on danse un peu, et hop, Nouvel an, Happy New Year, bisous bisous, coupe de Cava, et à 00.15, tout le monde se casse !
Avec Fredo on se dit, cool, y a une autre soirée, on demande autour de nous, mais non ! Les gens rentrent chez eux. C’est fini. C’est comme ça.
Du coup, on se retrouve très vite à 4, mais on a résisté et fait la fête jusqu’au petit matin. Ou presque.
Voilà un peu près pour New-Plymouth.
C’était bien. On a fait pas mal de promenades. On s’est mis au sport quotidiennement.
On a essayé de grimper en haut du mont Taranaki, mais on ne voyait pas plus loin que le bout de son nez après quatres heures de grimpettes, on s’est déclaré vaincu.
On est reparti en stop pour Wellington sans encombre.
Réflexion générale sur la Nouvelle-Zélande :
Les villes sont incroyablement moches. La plupart ressemble à des centres commerciaux, et elles ont toutes vendus leurs âmes au diable.
New plymouth se sauve la mise avec le street art présent partout, mais c’est limite…
Et Wellington parce que c’est une capitale qui ressemble plus à une forêt qu’à une ville.
Du coup, sur l’île sud, quand on arrive dans une ville qui aligne quelques bâtiments plus anciens avec un peu d’âme on tombe vite en pamoison.
En même temps, on n’est pas là pour le béton.
Revenons à Wellington. Capitale du pays, incroyablement pluvieuse et venteuse, mais aussi surprenante. Faites de collines et de monts, ça monte et ça descend sans cesse. Les différents quartiers sont parfois cachés derrière des forêts d’arbre, les points de vue sont magnifiques, et c’est vert vert vert VERT !
 Nous étions logés par un charmant américain moustachu qui nous a baladé dans toute la ville, avons bu des bières locales qui coutaient plus chères qu’une bière belge EN NOUVELLE ZELANDE,
On a gouté l’herbe locale, vu des gens recréés des scènes de Star Trek dans un parc, regardé la nouvelle saison de South Park, marché des kilomètres, etc.
Après ça, hop Ferry, direction l’île du sud. Belle traversée, c’est beau, toujours. Voir photo.
Quelques arrêts, des heures d’auto-stop et une nuit plus tard, nous arrivions dans notre première tanière de l’île sud, à Waimangaroa. Je dois dire que je me réjouissais vraiment de ce woofing, puisqu’il avait lieu chez un artiste, Woody, et que l’endroit avait l’air passionnant.
En effet, la maison était composée uniquement de l’atelier et d’une galerie, avec une mini-cuisine, un poêle à bois qui servait de cuisinière et de chauffe eau, eau qui arrivait directement du ruisseau à côté.
L’endroit était remplis d’un bric-à bric gigantesques, fait des œuvres de l’artiste ( sculpture de 3 cm à 3 m de haut) d’un reste de magasin de seconde main, d’os, de bois, de pierres, etc…
Malheureusement, l’homme n’était pas aussi intéressant qu’il semblait l’être, puisqu’il passait la majorité de ses journées à fumer des gros pétards, à dormir, et à regarder la télé le soir.
Nous avions cependant accès à son atelier, ce qui nous a permis de nous initier à la sculpture sur bois et sur os.
Nous ne sommes restés qu’une semaine là-bas, et tant mieux. Nous en avons quand même profité pour emprunter les vélos et aller voir une colonie de phoque 35 kilomètres plus loin. Une escapade qui nous coutera chère en courbature, les vélos étaient horribles, et les selles comme du bois. Mais ça valait le coup !
 Nous avons ensuite quitté Woody pour rejoindre Karamea , petite bourgade tout au nord du sud, de 500 habitants, à seulement 90 km de l’endroit ou nous étions.
Notre pire journée de stop.
Il nous aura fallu plus de 8 heures pour atteindre notre point de chute.
Quelle affaire !
A Karamea nous étions chez Kay, pétulante anglaise dans la soixantaine, vivant dans son petit nid loin de tout et de tous.
Nous avions notre toute petite maison à nous, ce qui était très agréable, et pas plus mal vu le caractère lunatique de notre hôte.
Le lieu était beau, le jardin charmant, et les environs magnifiques.
Les boulots plus ou moins sympathiques, pas vraiment passionnant. Mais la région alentour était magnifique, les promenades incroyables, et les deux vélos à notre disposition superbement confortable.
Quand à Kay, elle était plutôt gentille, mais très enfant gâtée, pouvant passer d’une humeur à l’autre sans crier gare si les choses n’étaient pas comme elle devait l’être. Les soirées devaient se dérouler comme elle le voulait, et il en était de même pour presque tous nos jours off. Nous avons quand même passé de bons moments, mais c’est surtout les paysages et la quiétude des lieux que nous retiendrons.
C’est aussi là que j’ai fêté mes 30 ans. Un peu, comment dire, ennuyant. Et j’aurais passé une mauvaise journée si je n’avais pas des amis et une famille en or qui m’ont fait une belle surprise !
Après ce mois passé à travailler, nous nous sommes accordés trois jours de vacances à Punaikaiki, The Pancakes Rocks.
On a eu un peu peur au début, le lieu était rempli d’autocar et de touristes, mais la plupart faisait juste une visite éclair histoire de prendre quelques photos avant de reprendre la route pour aller prendre d’autres photos, et finalement les lieux à partir de 16/17 heures étaient presque vide et très paisible.
Nous avons fait quelques promenades assez incroyable, et une initiation au surf, plutôt réussie pour Fredo, un peu plus compliquée pour moi, d’autant plus que Fred essaya de m’assassiner à coup de planche ( c’est pas moi, c’est la vague sera sa seule défense) .
Malgré des nuits difficiles dans un dortoir plein de deux ronfleurs fous (sans compter Fredo), c’était assez agréable. Et grâce à ses ronfleurs, j’ai pu profiter d’un ciel étoilé comme je n’en avais jamais vu en sortant prendre l’air plusieurs fois dans la nuit. Comme quoi…
Après ces quelques jours de repos bien mérité, nous prenons le train entre Greymouth et Christchurch pour rejoindre Oamaru, notre prochaine destination de volontaire.
Le trajet est époustouflant, toujours entouré de montagnes, de rivières, que des paysages à couper le souffle.
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voyagista · 6 years
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Après avoir exploré Hawkes Bay puis la région isolée de East Cape en parcourant la SH35 nous avons continué notre lente remontée vers Auckland par la Bay of Plenty. Bay of Plenty veut dire Baie de l’Abondance, James Cook (encore lui, décidément il a donné des noms à presque toute la Nouvelle Zélande) l’a appelée ainsi car il y a trouvé de quoi se ravitailler en abondance. Pour la petite histoire, tout l’opposé de Poverty Bay (la baie de l’autre côté vers Gisborne, baie de la pauvreté) où il n’avait pas réussi à faire le plein du fait d’habitants pas super accueillants et qui est aujourd’hui de manière ironique l’un des coins les plus fertiles du pays.
Vue sur Ohope
Ohope voté la plus belle plage de Nouvelle Zélande
Ohope est souvent considérée comme la plus belle plage de Nouvelle Zélande, du coup on ne pouvait que s’y arrêter. J’avais trouvé un Bed and Breakfast (Ocean Spray que je vous recommande au passage ) super sympa juste au bord de la plage assez grand pour nous accueillir avec les beaux-parents. Tout était préparé pour passer un peu de temps en famille, sauf qu’il n’a pas arrêté de pleuvoir de tout notre séjour à Ohope… nous avons bien fait une petite balade sur la plage mais avec cirés et parapluies. C’est ça aussi la Nouvelle Zélande…
La NZ sous la pluie… on s’organise
Ohope, après les immensités vides de la SH35 nous a un peu laissé froid, comme d’ailleurs la Bay of Plenty en général. Ce coin de Nouvelle Zélande est très développé car c’est une destination de vacances très courue donc Ohope a certes une plage très belle mais à quelques mètres de la plage c’est maison contre maison, toutes collées…
Une plage sous la pluie…
S’il n’avait pas plu on aurait bien essayé d’aller voir un kiwi à Ohope Scenic Reserve ou encore marcher entre Ohope et Whakatane sur le Nga Tapuwae o Toi… ça avait l’air sympa mais cela sera pour une prochaine fois.
Whakatane: Marae et ile volcanique
Un magnifique marae
Quelques kilomètres plus loin nous arrivons à Whakatane qui est, selon la tradition maori l’endroit où le premier maori est arrivé pour découvrir la Nouvelle Zélande. L’attraction c’est le magnifique Mataatua Wharenui, un marae qui a fait le tour du monde pendant 130 ans en étant montré à différentes expositions avant d’être exposé dans un musée de Londres pour finalement rentrer à la maison. Le marae est de toute beauté et la communauté maori y a développé une visite avec un son et lumière vraiment super bien. Je recommande ABSOLUMENT.
L’autre grande attraction de la région, que nous n’avons pas faite, c’est de visiter White Island. White island est un volcan en activité sur une île située à 49 kilomètres des côtes. L’excursion, censée être top, est très chère et non recommandée pour les enfants de moins de 8 ans…. Difficile pour nous, les grands parents auraient pu faire les baby-sitters mais finalement le temps a mis tout le monde d’accord, nous reviendrons dans quelques années. Même si nous ne sommes pas allés à White Island, je m’étais renseignée pour aller visiter ce volcan. Le départ se fait de Whakatane avec White Island Tours. Le tour dure entre 5 et 6H mais on ne passe pas plus d’une heure et demie sur l’ile car il faut y aller et revenir… Il faut être bien chaussé et le tour coûte quand même 219 NZD par adulte, c’est donc un beau budget.
Mount Maunganui, la côte d’Azur Néo-Zélandaise
La magnifique randonnée de Mount Maunganui
Mount Maunganui c’est le super spot de vacances pour les Néo-Zélandais, c’est construit de partout, il y a pas mal de monde (même hors saison) et c’est certes joli mais trop, beaucoup trop développé pour moi. Je ne vais pas en Nouvelle Zélande pour me retrouver sur la côte d’Azur. Ceci étant dit il y a UN truc à vraiment faire à Mount Mauganui c’est de grimper Mount Maunganui. Je vous préviens vous ne serez pas seul car toutes les femmes au foyer du coin semblent se donner rendez-vous pour faire leur marche de la journée… vous remarquerez au passage que quand vous faites partie de la classe aisée en Nouvelle Zélande vous êtes forcément blonde, naturelle ou pas d’ailleurs, je faisais assez tache au milieu des blondes de Mount Maunganui. La rando n’est pas super difficile mais la vue est franchement incroyable et si vous avez de la chance vous croiserez même des Tuis. Si vous arrivez à vous garer, ne manquez surtout pas Mount Maunganui
L’autre côté de Mount Maunganui
Que faire d’autre à Bay of Plenty?
Katikati
Et bien pas des masses d’autres choses, il y a bien les statues de Hairy Maclarry à Tauranga mais si vous n’avez pas d’enfants néo-zélandais il y a de fortes chances que vous ne connaissiez pas ces livres pour les enfants mythiques en Nouvelle Zélande (petit G et petit A adoraient ces livres). Il y a également les peintures murales de Katikati, une ville en bord de la nationale qui a eu l’idée de faire faire plein de peintures sur les murs de la ville pour attirer les gens. Je m’attendais à un truc style street art mais on est loin de tout ça et j’ai trouvé le truc un peu décevant mais comme c’est sur le chemin autant jeter un coup d’oeil… Sinon la région est très connue pour ses kiwis, il y a même un espèce de parc d’attraction du kiwi avec un kiwi géant pour la photo si ça vous dit… vous avez dit kitsch?
Un petit Tui pour la route
Autant j’ai trouvé certains coins de la Bay of Plenty top (le marae de Whakatane ou la marche à Mont Maunganui), globalement je n’ai pas été charmée comme je l’ai été par le SH35 et la région de East Cape, trop de gens, trop de constructions.
Conclusion: en Nouvelle Zélande il faut aller au milieu de nulle part, c’est ce qui rend la Nouvelle Zélande aussi incroyable.
Détails du Marae
Tu connais la Bay of Plenty? Tu en as pensé quoi? Des idées pour me motiver à y retourner?
Nouvelle Zélande : Bay of Plenty et son abondance de touristes Après avoir exploré Hawkes Bay puis la région isolée de East Cape en parcourant la SH35…
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Rangi Topeora, Gottfried Lindauer | 1863
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idequitrotte · 7 years
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Welli., la chance et moi.
Je décide de m’installer pour un temps à Wellington afin de renflouer les caisses et de découvrir la vie dans une autre capitale. J’ai conscience que Paris ne sera jamais détrônée mais ici, je me sens bien. Un tout qui me décide de faire en sorte de provoquer la chance.
Suite à une annonce postée sur Facebook, j’obtiens un entretien pour un job. de ventes de peintures à domicile. J’y resterai 3 jours, ce travail au black. ne correspondant pas du tout à mes valeurs. Pour toute aide concernant ce type d’offre qu’un bagpacker fraîchement arrivé en terre Kiwi pourrait rencontrer, c’est avec plaisir que je répondrais à vos questions en message privé ;-)
Dans la semaine, j’obtiens un poste de serveuse pour une compagnie de restaurants indiens, présente en ville et dans la région de Wellington. Ce travail me permet provisoirement de préparer la suite et de m’organiser dans ma nouvelle vie néo-zélandaise. C’est excentré de la ville et  avec des horaires contraignants mais positivement parlant, ça me permet de développer une expérience dans le domaine de la restauration, qui me servira toujours pour des voyages futurs. De plus, les clients et l’équipe de travail sont adorables avec moi.  Aussi, je suis passée manager adjointe en l’espace d’un mois, belle preuve qu’ici on accorde facilement chance et confiance !
Actuellement, mon défi est de trouver un job. avec des horaires dits normaux dans le domaine d’aide à la personne afin de me rapprocher de mon métier initial, de pouvoir m’axer sur mon apprentissage de la langue anglaise et sur mes entrainements sportifs.  Et oui, fallait bien que je remette des challenges pour les beaux jours à venir. Sur la liste, côté travail, l’IELTS un graal que je compte tenter en début d’année prochaine et qui m’ouvrirait la porte pour exercer ici en tant qu’infirmière. Côté sport, le fameux ultramarathon dont je rêve tant… Les terrains d’entrainements sont paradisiaques dans ce pays, je suis comblée. Je dois patienter un peu avant de pouvoir faire du triathlon ici. Absence de temps et du vélo ! ahah. A mon grand bonheur, j’ai enfin trouvé la communauté d’athlètes et triathlètes. Ici, c’est l’été. Alors pour nous, pas de cross (grosse pensée pour le PUC) mais du bitume, de la piste et des trails par-ci par là.
Paragraphe spécial pour mes fortuites et heureuses rencontres. 2 mois ½ que je suis ici et chaque jour kiwis et voyageurs merci pour ce que vous me donnez ! Et pour les potins, car j’ai promis de vous raconter :-) A mon arrivée, j’ai posté une annonce sur Facebook pour faire une randonnée sur Wellington. Deux aventuriers ont répondu présent dont Tanguy, un breton voyageur qui a quitté la France depuis 8 ans maintenant et qui exerce ici, la mécanique. Coup de cœur. Le lendemain, à croire que ma voiture voulait arranger l’affaire plus rapidement, gros soucis mécanique. J’appelle Tanguy qui viendra me sortir provisoirement d’affaire puis le début d’une vraie love story à l’améri… à la néo-zélandais :-) alors merci Facebook, merci Honda ! ahah.
Voilà. Après une pause dans mon écriture et je m’en excuse, quelques nouvelles. Je vous embrasse et pense bien à vous ! A venir, des photos de jolies escapades réalisées dans mon nouveau chez moi :-) 
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stepbystep-nz-blog · 7 years
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The Luminate Festival, another world
Le festival Luminate, un autre monde
J+84 à J+91 Luminate | Luminate est un festival de musique électro/psytrance, d'arts visuels et de partage de connaissances. Il se déroulait du 1er au 8 février, dans la sublime région d'Abel Tasman. Chose étonnante mais en rien gênante, c'est un festival où l'alcool est interdit. Je ne pense pas que ça puisse fonctionner en France… Bref, malgré le fait que ce ne soit pas le type de musique que j'écoute habituellement, j'ai passé une excellente semaine !
J'y suis allée avec mes amis de Whakatane, nous étions 8 et 2 autres allemands nous ont rejoint par la suite. J'étais encore la seule française, mais il y avait tellement de frenchy parmi les bénévoles et festivaliers que l'on pouvait s'imaginer en France.
Le festival est composé de différentes zones :
- Tribale, avec un énorme feu de camp, des tipis et surtout des percussions de toutes sortes. Ma préférée. L'atmosphère qui y régnait était mystique. Nous dansions autour du feu, qui était le bienvenu avec la fraîcheur des nuits néo-zélandaises.
- Chillounge, espace de détente où il est possible de dormir au son d'une musique plus douce. Parfait en fin de soirée, après avoir dansé plusieurs heures.
- Live stage, plusieurs artistes se sont enchaînés tout au long de la semaine. Petit coup de cœur pour “Beat Fatigue”.
- Circus, où nous pouvions jongler, faire du hula hoop et de nombreuses autres activités du cirque.
- Électro, comme son nom l'indique, les artistes électro se produisaient dans cet espace. C'est le lieux où j'ai passé le plus de temps. Avant d'aller danser nous nous maquillions avec de la peinture luminescente et nous nous décorions de batons phosphorescents, génial !
- Market place, de nombreux shop proposaient des bijoux et vêtements hippies. Il y avait également des stands de nourritures, avec bien sûr nos crêpes et galettes bretonnes, miam !
En arrivant, on s'est construit un petit campement douillet avant d'entamer les festivités. La journée nous assistions à différents workshop et conférences. J'ai notamment participé à la zumba et aux chants sacrés. Le soir nous allions danser jusqu'au milieu de la nuit. Une semaine ça fait long à ce rythme là…
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