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#philippe muray
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La perspective de pouvoir me désolidariser encore de quelques-unes des valeurs qui prétendent unir tant bien que mal cette humanité en déroute est l'un des plaisirs qui me tiennent en vie.
- Philippe Muray
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buz-muet · 2 years
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"Plus j’ai vu s’accroître, en ces années, le nombre de choses dont il était préférable de ne rien dire, et plus j’ai senti augmenter dans la même proportion mon envie de les couvrir par écrit du ridicule de l’immortalité.
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Des élections en Ukraine par Philippe Muray, il y a vingt ans…
«À quelques années de là, et à la faveur des troubles consécutifs aux élections ukrainiennes, on pouvait constater qu'une amélioration notable été apportée à la démocratie.
Les Ukrainiens venaient de voter pour le mauvais candidats, l'orthodoxe, le pro-Russe, celui dont ne voulaient à aucun prix ni l'Union Européenne Christophobe ni les États-Unis Démocrates, ni d'ailleurs non plus un seul médiatique occidental.
Il fut donc aussitôt établi que cette élection n'avait pu être obtenue que par une immonde tricherie ; mais de toute façon celà importait peu : il fallait qu'il y ait eu tricherie puisque le «verdict des urnes» ne correspondait pas avec ce qui avait été décidé qu'il serait.
Il n'était pas question de laisser plus longtemps des gens vivre, penser et voter autrement que selon le nouveau catéchisme torché par les robots sans entrailles de l'Europe divine anti-chrétienne.
Dans cette nouvelle bouffonnerie, à Kiev la terre fut bleue comme une orange et la révolution devint une rave permanente en centre-ville, une sorte de Nuit blanche conforme aux Nuits Blanches de l'Occident décomposé.
Ici, il s'agissait de tuer un dernier adversaire récalcitrant : l'âme russe, rétive aux centres-villes et incompétente en Nuits blanches.
Avant même le retripatouillage de ces élections tripatouillées, l'issue de celles-ci ne faisait donc aucun doute puisqu'elle avait été décidée en bas lieu.»
(Philippe Muray, L’envie du pénal, in Essais - Les Belles Lettres, 2005)
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lupitovi · 2 years
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Ernest Pignon-Ernest 
Quel crédit accorder à un artiste (un écrivain aussi bien) qui ne toucherait à aucun moment de son art au cœur même de l'humain ? Qui ne serait cet archer qui annonce à sa façon, en poète qu'il est : « Et d'un oeil avisé nous mirons droit dans la rime.» Bonheur de l'anagramme : rime, mire (rima). Le cœur de l'humain ? Métaphore du romantisme à travers les siècles, pour reprendre le titre d'un livre de Philippe Muray qui désigne en vérité, comme nous le signifie un poème du XVIII siècle, le sexe, plus précisément le sexe de la femme. Le tireur à l'arc, chasseur de fauves : « Et nous mettons droit les yeux dans la fente/Et nous ne tirons jamais de coups décochés en vain. S'il est un artiste, poète et chasseur qui sait mettre droit les yeux dans la fente du réel, de tout le réel, c'est-à-dire dans le lieu où le réel s'ouvre pour délivrer son sens; s'il est un dessinateur qui ne tire jamais un trait décoché en vain, c'est bien Ernest Pignon-Ernest. Archée : principe de vie, feu central de la terre. Viser le feu de la femme, c’est viser dans le même temps et plus fondamentalement le feu de la terre, le principe même de la vie. Titre du tableau de Courbet : L'Origine du monde. Le Vésuve sait faire jaillir sa rougeoyante semence sur Naples et la côte amalfitaine. Zelda, épouse de Francis Scott Fitzgerald, dans une rue de Paris, brise la vitre d'une borne d'appel aux pompiers: « Vite, vite, venez Vite, j’ai le feu au cul ! » Naples n'est pas choisi au hasard par Ernest Pignon-Ernest. Présence de Virgile, bien sûr, près de la tombe duquel, en manière d'hommage, il colle son dessin. C'est aussi la ville où Vivant Denon situe sa Belle Napolitaine vue de dos. Vue de dos mais, robe relevée, exhibant son magnifique cul, et la tête tournée, regard aguicheur, vers les mâles suiveurs, vers nous aujourd'hui, les voyeurs du dessin, vers ceux de demain, pour s'assurer auprès de nous, auprès d'eux, d'un effet maximum. Qui m'aime me suive ! Qui me suit me baise ! Force du dessin d'Ernest : il indique que le siècle libertin de Vivant Denon est loin, que le XIX° est passé par là. La femme, de face, exhibe son sexe mais détourne la tête, se cache les yeux. La culpabilité a fait son ouvrage, du coup, son sexe est d'autant plus en feu. Double effet d'obscénité, laquelle, selon Bataille, rend la beauté du sexe encore plus fascinante : la Napolitaine n'est pas nue et elle est velue. Pas nue. Bataille encore: « Je pense comme une fille enlève sa robe. » Ernest dessine comme une fille soulève sa robe. Le dévoilement est autrement plus érotique, plus scandaleux, que le déjà dévoilé. Velue. Présence taboue de l'animalité chez la femme. Breton n'est pas Bataille, on le savait. « C'est une honte, déclarait l'auteur de L'Amour fou (retour à grands pas du XIX siècle dans la poésie du XX), qu'il y ait encore des sexes non rasés. » Merci à Virgile, merci à Pignon-Ernest, d'avoir, chacun en leur temps, fouillé, tisonné les cendres de la honte pour ranimer les laves ardentes du sexe et de l'amour.
— Jacques Henric - Femme avec le feu entre les jambes
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aurevoirmonty · 1 year
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« C’est une grande infortune que de vivre en des temps si abominables. Mais c’est un malheur encore pire que de ne pas tenter, au moins une fois, pour la beauté du geste, de les prendre à la gorge. »
Philippe Muray, Journal III.
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« Certes, notre époque réserve une petite place aux écrivains. En ce qui concerne la France, ceux-ci, pour être admis, doivent avoir œuvré à l’extension des valeurs du progrès, de la justice, de la transparence et de l’égalité. Ce qui épargne Voltaire, Hugo, Zola, Sartre ou Camus, et personne d’autre ; mais, bien entendu, pas Céline ; et sans doute, à d’autres titres, ni Baudelaire, ni Sade, ni Bossuet, ni Flaubert, ni Bloy, ni Saint-Simon, ni Balzac, ni Proust, ni Claudel, ni Racine, ni Villon, ni Bataille, ni Chateaubriand, ni beaucoup d’autres encore ; et en fin de compte, peut être même pas Voltaire, Hugo, Zola, Sartre ou Camus, dans la tête desquels il sera toujours possible, en cherchant bien, de trouver des poux d’un ordre ou d’un autre, autrement dit ce qu’ils appellent des dérapages. »
Philippe Muray, Céline.
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claudehenrion · 2 years
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Des “lobbies”, ou des néo-maçonneries pas très franches ?
  Racisme systémique, racialisme exacerbé, lobbies “lgbt-q” mortifères, pseudo-écologisme pathologique, leur “vivre ensemble” si mal nommé, et l'anti-pensée dite “woke” dont nous parlions hier… de nouvelles pandémies rendent notre  planète invivable et font que l'humanité semble devenue ennemie d'elle-même, impression qui se vérifie en ce qui concerne l'écologisme punitif des faux “zécolos”“ et/ou la fin de toute sexualité qui se cache sous le sigle ’‘LGBT-Q”… Toutes ces dingueries se précipitent, dans un mouvement insensé de désocialisation qui en arrive à appeler “liberté” l'esclavage… Mon Dieu… Protégez-nous de ce “Bien” qui est “le Mal”!
Ce faux “Bien” dévoyé est partout. Il nous poursuit et il nous traque. Il légifère, confine, vaccine, condamne, masque, ostracise, “emmerde” les braves gens, et tue… au nom de la santé ! C'est une tyrannie hégémonique, une dictature où l'Homme ne trouve sa place que dans son propre malheur, un faux arc-en-ciel irisé de couleurs démoralisantes. Ce que signifiait le mot “Bien”  s'est perdu en chemin, dans la guerre sans merci que mène l'empire du Mal pour que tous les mots deviennent autant de poisons mortels. En 1991 déjà, le regretté Philippe Muray avait sonné l’alarme dans ’'L’Empire du Bien’’, qui aurait dû devenir le livre de chevet, la référence de tout ce qui pense, en France (et ailleurs, après traduction !).
Dans cet ouvrage prophétique –dont chaque paragraphe, presque chaque ligne, s'est vérifié en temps et en heure (ce qui aurait dû “mettre la puce à l'oreille” à tous nos faux-penseurs/vraies catastrophes), il annonçait qu'une formule mortelle se répandait, comme un cancer, rongeant la liberté de pensée, multipliant de mauvaises “bonnes causes” et se déchaînant contre les autres, lançant ses casseurs contre ceux qui critiquaient la nouvelle norme, imposant partout quelque chose d'effroyable qu'on allait appeler “le bien” “L’Empire du Bien est en train d’étendre partout ses tentacules : l’emprise de la bien-pensance et de la fausse altérité ne cesse de grandir, la dictature du prêt-à-penser et la tyrannie de la bienveillance commencent à empoisonner nos vies” concluait-il. Sept ans plus tard, désespéré, il constatait avant de mourir (d'en mourir?) que “le Bien a encore empiré”. Que dirait-il, devant notre chute vertigineuse vers le néant, notre néant ?
Nous sommes devant une “pandémie” dix fois plus grave que le “coronavirus” (ou que la dernière trouvaille de nos cuistres multi diplômés mais pauci cultivés : une soi-disant “pandémie d'obésité” –cf Audiard : “Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît” !-- qui aurait été mieux combattue de mille façons que celles qui ont fait perdre deux longues années à l'humanité par la faute (revendiquée et même pas honteuse. Les cuistres disent : “assumer” !) de politicards sans talent ni vista qui se mêlent de médecine. Le résultat est ce qu'ils sont : lamentable !  
Les premiers “prolégomènes” datent de 2021 :  c'est à Munich, jolie ville pleine de charme et de joie de vivre (celle des bavarois est imbattable, devant une chope de bière !), que des gens ayant très mauvais goût, oubliant d'anciennes débauches de croix gammées sinistres, avaient imaginé de pavoiser le stade aux couleurs du drapeau gay pour accueillir… l’équipe hongroise (on n'est pas plus charmant !). L’UEFA avait mis le holà à ce zèle malsain, mais depuis, rien ne s'est franchement arrangé, offrant un véritable concentré de mauvaises idées (par exemple, la Hongrie, pays où il y a très peu de noirs, se voit reprocher de ne pas avoir le bon quota de “blacks” dans son équipe de foot. Elle est donc classée “raciste”… ce que l’Union européenne “vit” comme un casus belli ! (NB : je cite ces anecdotes malgré le drame ukrainien : c'est un autre sujet. Pas facile, de ne parler que de ça !)
Et cette même Hongrie ayant (selon sa Constitution et le Droit international) voté une loi qui visait –avec sagesse– à maîtriser la propagande homosexuelle dans les écoles, l'Europe a fabriqué de toutes pièces une fausse “crise à la mode Ursula” : Viktor Orban, l'ennemi public n°1 des progressistes canal pathologique, enfreindrait ce que ces cuistres ont l'audace de qualifier de “ valeurs”, comme si le militantisme gay, la propagande LGBTQ, les dérives sexuelles et la transgression du sexe biologique des enfants pouvaient faire partie de quelque “valeur” que ce soit. D'après les cuistres de Bruxelles, si on comprend bien, il suffirait, pour que quelque chose soit “une valeur de l'Europe”, d'être n'importe quoi, SAUF une valeur !
Devant l'importance qu'il réussit à faire croire qu'il a, le lobby LGBT est-il en train de devenir une nouvelle franc-maçonnerie, chérie des Gauches au pouvoir ? Un filtre arc-en-ciel se met à (dé)colorer des pans entiers de l’actualité. Décisions politiques, sportives et culturelles semblent avoir pour seul objectif de s’aplatir devant la moindre des recommandations homosexuelles, contre lesquelles je n'ai aucune animosité… sauf lorsqu'elles perdent toute mesure. Or là, l’offensive est universelle. En Italie, pourtant jusque-là un peu protégée par les restes d’une culture catholique bi-millénaire, Draghi a annoncé un projet de loi “contre l’homophobie” (?) qui prévoit des peines d'incarcération et d'amendes pour “toute discrimination en fonction du sexe, de l'orientation sexuelle ou de l'expression de genre” (sic !). Pauvres ritals !
Mais en France, nous ne sommes guère mieux lotis, comme la succession des dernières élections en ont apporté la preuve : partis et candidats se croient être “obligés” d’envoyer des messages de soumission au lobby LGBT-Q  dans une course au “plus intellectuellement malhonnête que moi, tu meurs” ! Dans une élection, battre un adversaire qui clame sa soumission moins fort que vous devient “une victoire des droits des homosexuels” (NB : Valérie Pécresse, avant de se couvrir de ridicule, avait viré tous les conservateurs de son entourage au profit de figures “gay-compatibles”, méritant ainsi ses 4 %… C’est bien mérité, au fond !).
Ces défaites de l'intelligence contribuent à faire croire que les “dadas” homosexuels seraient le seul point important, culture et médias ajoutant leur voix à ce concert tonitruant. Pourtant, dans cette obsession homosexuelle, il y a tout de même un “os’' : le rapport de l’islam et des pays musulmans à l’homosexualité. Nul n’en parle, nul n’aborde l’épineuse question, et la Turquie homophobe veut entrer dans l’UE : comme elle n’est pas la Hongrie catholique, elle est réputée avoir tous les droits. Et pas un seul des joueurs de football qui iront courir après un ballon en or massif au Qatar pour la Coupe du monde, ne va rouspéter contre le fait que, dans ce pays, l'homosexualité est encore punie de mort. Mais eux, ils ont le droit. Nous, pas.
Conclusion : le lobby LGBT-Q est bel et bien devenu une sorte de franc-maçonnerie revue et corrigée à la mode ’'vide sidéral”. Comme elle, et d’ailleurs alimenté et nourri par elle dans ses fondements idéologiques et son militantisme politique, il est affaire de réseaux et d’influences. Comme elle, il veut subvertir l’ordre naturel et l'ordre républicain, et a fait de la morale catholique traditionnelle son ennemi privilégié : elle est bonne pour l'Homme. Haro ! Prêter allégeance à cette doxa  donne puissance et respectabilité (?) : il faut lui donner des gages pour approcher le pouvoir et elle est “la” référence culturelle incontournable. Son omniprésence jusqu’au sein de l’Eglise prouve que ce n’est pas un problème anecdotique. Nous serons donc amenés à en en reparler très bientôt, par la force des choses.
H.Cl
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yeyouche · 2 years
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Compte-rendu : «  Plaire et toucher. Essai sur la société de séduction. », Gilles Lipovetsky.
Gilles Lipovetsky analyse l’hyperindividualisme d’un regard neutre, voire bienveillant, s’opposant à la vision catastrophiste de certains auteurs. Son développement défie celui de Christopher Lasch et Philippe Muray.
Selon lui, les phénomènes modernes sont centrés autour de la problématique de la séduction, qu’il considère comme un marqueur sociétal majeur. Il analyse, définit et décrit sa dimension érotique, en insistant sur sa dimension biologique et culturelle.
La séduction se serait installée dans le quotidien avec discrétion et se voudrait manipulatrice, afin de guider malgré lui le consommateur. La frustration née de celle-ci provoque une insatisfaction poussant certains à développer de véritables troubles, pouvant aller jusqu’au mal-être existentiel.
L’auteur souligne cependant que l’hyperindividualisme et la séduction ne sont pas pour autant des vices et que la création de liens sociaux superficiels n’empêche pas le sentiment de liens profonds.
En conclusion, résister à la séduction n’est pas prohibé, mais il sera difficile de s’y opposer dans un monde où « plaire et toucher » sont souverains.
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Référence externe Chris Isaak, Wicked game : « It’s strange what desire will make foolish people do. ». Dans cet extrait de la chanson Wicked Game, l’auteur met en évidence que le désir peut rendre certaines personnes déraisonnables, rejoignant alors les propos de Lipovetsky qui met en lumière que la séduction a une capacité d’influence forte.
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korrektheiten · 2 months
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10. April 2024
Klonovsky:»„Der Lynchmord begleitet den Konsens wie der Schatten den Menschen.” Philippe Muray *** Gestern las ich bei einem… Der Beitrag 10. April 2024 erschien zuerst auf KLONOVSKY. http://dlvr.it/T5KTG6 «
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abbapatter · 7 months
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El tierno abrazo entre progresismo y capitalismo
La lógica cultural progresista se lleva muy bien con la sociedad de consumo. Las tradiciones, las costumbres, las jerarquías y las normas ralentizan el estado permanente de excitación y recambio que está en la base del hiperconsumo. El homo festivus (Philippe Muray dixit) siempre es un mejor cliente que el amargado homo laborans del viejo capitalismo de producción; ni que decir tiene del homo…
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jgmail · 9 months
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ALGUNAS OBSERVACIONES SOBRE LA TEORÍA FRANCESA
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Robert Steuckers
A menudo me preguntan cuál es mi postura sobre lo que el mundo académico estadounidense denomina "Teoría Francesa". Puede parecer ambigua. En cualquier caso, no corresponde a la posición adoptada por las personalidades que los maniáticos del etiquetado colocan involuntariamente a mi lado. François Bousquet, teórico de la neo-derecha o más bien neo-neo-derecha, escribió recientemente un panfleto contra los efectos ideológicos contemporáneos de la ideología que Michel Foucault trató de promover a través de sus numerosos happenings y farsas que desafiaban el orden establecido, a través de su apertura a todo tipo de marginalidad, especialmente a la más estrafalaria. A primera vista, el camarada neoderechista Bousquet, que ha enganchado su vagón al "canal histórico" de este movimiento, tiene mucha razón al fustigar este carnaval parisino, que ya tiene tres o cuatro décadas (*). El festivalismo, magistralmente criticado por Philippe Muray antes de su muerte tristemente prematura, es un dispositivo fundamentalmente antipolítico que anula el buen funcionamiento de cualquier ciudad, dificultando su despliegue óptimo en la escena mundial: en este contexto absurdo, nunca se ha hablado tanto de "ciudadanía", mientras que el festivalismo destruye la noción misma de "civis" de la memoria romana. Desde Sarközy, y más aún desde el inicio del quinquenio de Hollande, Francia está paralizada por diversas fuerzas deletéreas, de las que los avatares más o menos bufonescos de este festivismo post-foucaultiano desempeñan un papel importante.
El paisaje intelectual francés está invadido por esta exuberancia poco fértil, que se derrama, a través de los relés mediáticos, en la vida cotidiana de cada "ciudadano", distraído de su naturaleza de zoon politikon en favor de un histrionismo devastador. Por tanto, la interpretación antifoucaultiana de Bousquet puede ser legítima cuando diagnosticamos una Francia gangrenada por diversas fuerzas perniciosas, entre ellas el festivalismo inaugurado por los foucaultianos antes y después de la muerte de su gurú.
Sin embargo, otro enfoque es perfectamente posible. Occidente, que siempre he definido como una entidad ideológica y política negativa y un vector de decadencia, está formado por un denso complejo de dispositivos de control instalados por poderes malsanos que pretenden ser Descartes y sobre todo Locke. Hoy en día, estos dispositivos cartesianos/lockeanos, occidentales en el sentido negativo del término (sobre todo para los pensadores rusos), están siendo criticados por una figura actual de la izquierda estadounidense, Matthew B. Crawford. Crawford fue originalmente un filósofo académico que rechazó estos dispositivos ideológico-filosóficos abstrusos y derealistas para convertirse en empresario de un fino taller de reparación de motocicletas. Explica su elección: fue una lectura en profundidad de Heidegger la que le llevó al rechazo definitivo de este aparato filosófico-político occidental, sin duda expresión de lo que el filósofo de la Selva Negra llamaba "metafísica occidental". Heidegger, para Crawford, es el filósofo alemán que intentó inflexionar la filosofía en la dirección de la concreción, de la sustancia palpable, tras darse cuenta de que la filosofía occidental había llegado a un callejón sin salida, sin esperanza de escapatoria.
Crawford, al igual que Foucault, es por tanto un heideggeriano que trata de encontrar la concreción tras el batiburrillo ideológico occidental. Crawford y Foucault observaron, tras una lectura detenida de los escritos de su maestro suabo, que Locke, la figura emblemática del pensamiento anglosajón y, en consecuencia, del pensamiento político dominante en toda la americanósfera, rechazaba la realidad en todos sus aspectos como una colección mediocre de trivialidades. La posición de Locke, padre fundador de un liberalismo que hoy domina el planeta, llevaba a considerar cualquier contacto con realidades concretas, tangibles y sustanciales como no filosófico o incluso antifilosófico y, por tanto, como un proceso sin importancia o incluso cargado de perversidades que debían olvidarse o reprimirse.
Foucault, antes que Crawford, había insistido en la necesidad de deshacerse de este aparato conceptual opresivo, aunque estuviera en perpetua levitación, buscando deliberadamente romper todo contacto con la realidad, desvincular a los hombres y a los pueblos de cualquier recurso a la concreción. En sus primeros escritos, que Bousquet no cita, Foucault demostró que los mecanismos de poder inaugurados por la Ilustración del siglo XVIII no constituían en absoluto un movimiento de liberación, como quería hacernos creer la propaganda occidental, sino, por el contrario, un sutil movimiento de alineación de los hombres y las almas, destinado a erigir la humanidad, alinearla con patrones rígidos y homogeneizarla. Desde esta perspectiva, Foucault observó que, para la modernidad de la Ilustración, la heterogeneidad que constituye el mundo -las innumerables diferencias entre pueblos, religiones, culturas, "patrones" sociales o étnicos- tenía que desaparecer irremediablemente. Como filósofo y etnólogo, Claude Lévi-Strauss defendió el mantenimiento de todos los patrones etnosociales para salvar la heterogeneidad del género humano, porque era precisamente esta heterogeneidad la que permitía al hombre elegir, optar, llegado el caso, por otros modelos si los suyos, los de su herencia, fracasaban, se debilitaban, ya no eran capaces de resistir la lucha por la vida. La opción de Lévi-Strauss era, pues, etnopluralista. Foucault, en cambio, eligió un camino diferente para escapar, según él, de las garras de los mecanismos inaugurados por la Ilustración y encaminados a la homogeneización total y completa de la humanidad, de todas las razas, etnias y culturas en su conjunto. Para Foucault, audaz intérprete de la filosofía de Nietzsche, el hombre, como individuo, debía "esculpirse", hacer de sí mismo una nueva escultura según sus caprichos y deseos, combinando el mayor número posible de elementos, elegidos arbitrariamente para cambiar su constitución física y sexual, como sugerirían con fuerza más tarde las teorías de género, hasta la locura. Es esta interpretación del mensaje nietzscheano la que Bousquet, en su nuevo panfleto neoderechista, ha criticado con rotundidad. Pero, al margen de esta audacia bribona de Foucault y de todos los foucaultianos que le siguieron, el pensamiento de Foucault es también nietzscheano y heideggeriano cuando se propone suscitar un método "genealógico y arqueológico" para comprender el proceso de emergencia de nuestro marco civilizatorio occidental, ahora rigidizado.
Creo que Bousquet debería haber tenido en cuenta varios de los rechazos de Foucault si no quería quedarse en el puro prurito panfletario: la crítica foucaultiana a la homogeneización de la Ilustración y al rechazo lockeano de la realidad como una insuficiencia indigna del interés del filósofo (cf. Crawford), el doble método arqueológico y genealógico (que la filósofa francesa Angèle Kremer-Marietti había destacado en su día en una de las primeras obras dedicadas a Foucault). Al ignorar estos aspectos positivos y fértiles del pensamiento de Foucault, Bousquet corre el riesgo de reintroducir la rigidez conceptual en las estrategias metapolíticas alternativas que pretende desplegar. El antifoucaldismo de Bousquet tiene ciertamente sus razones, pero me parece inadecuado oponer nuevas rigideces al aparato actual constituido por las molestias ideológicas dominantes. Foucault sigue siendo, a pesar de sus múltiples giros, un maestro que nos enseña a comprender los aspectos opresivos de la modernidad surgida de la Ilustración. La bancarrota de los establecimientos políticos inspirados en el batiburrillo lockiano lleva hoy a los partidarios de este campo de batalla desmonetizado a recurrir a la represión contra todos aquellos que, parafraseando a Crawford, pretenden querer volver a una realidad concreta y sustancial. Dejan caer la máscara que Foucault, después de Nietzsche, intentó arrancar. De modo que la modernidad es, en efecto, un abanico de dispositivos opresivos: puede ocultar esta naturaleza fundamental mientras se aferre a un poder que funciona por todo lo que vale. Cuando ese poder comienza a desmoronarse, esa naturaleza regresa precipitadamente.
Al final, el festivismo de los post-foucaultianos no era más que una fina capa de pintura para dar a los establecimientos "lockeanos" una madera extra. En este sentido, Crawford es, en el contexto contemporáneo, más pertinente y comprensible que Foucault cuando explica cómo los pensamientos supuestamente liberadores de los lockeanos han distanciado al hombre de lo real, que se juzga imperfecto y mal dispuesto. Esta realidad, por su pesada presencia, incapacita a la razón, pensaba Locke, y conduce a los hombres al absurdo. Aquí tenemos, por anticipado, y en un plano filosófico aparentemente razonable y decente, el reflejo defensivo y agresivo del establishment actual frente a diversas reacciones llamadas "populistas", arraigadas en la realidad de la vida cotidiana. Esta realidad y esta vida cotidiana se rebelan contra un pensamiento político impuesto y antirrealista que niega los resortes de la "realidad realmente existente", de la "realidad sin doble (imaginario)" (Clément Rosset). El pensamiento político dominante y el aparato jurídico son lockeanos", afirma Crawford, "en la medida en que lo real, cualquier concreción, cualquier tangibilidad, se postula de nuevo como imperfecto, insuficiente, absurdo". Los defensores de estas posturas arrogantes están en la negación, la negación de todo. Y esta negación absoluta acabará volcándose en la represión o hundiéndose en el ridículo, o ambas cosas, en una apoteosis bufonesca y mueca. En Francia, el trío de Cazeneuve, Valls y Hollande, y la procesión de hembras que se arremolinan a su alrededor, ya nos están dando un anticipo, si no una ilustración. 
Foucault había descubierto que todas las formas de derecho establecidas desde la Francia del siglo XVII (cf. su libro Théories et institutions pénales) eran represivas. Habían abandonado un derecho, de origen franco y germánico, auténticamente libertario y popular, y lo habían cambiado por un aparato jurídico y judicial violento en esencia, antirrealista, hostil a lo "real realmente existente" que es, por ejemplo, el populacho. El comportamiento de ciertos jueces franceses ante las reacciones populares, realistas y de aceptación, o ante escritos juzgados incompatibles con las posturas rígidas derivadas del antirrealismo fundamental del falso pensamiento de los siglos XVII y XVIII, es sintomático de la naturaleza intrínsecamente represiva de este conjunto establecido, de este falso libertarismo y revolucionarismo ahora rigidizado porque institucionalizado.
Por tanto, podríamos percibir la "Teoría Francesa", y sus derivaciones del pensamiento de Foucault (en sus diversas vertientes sucesivas), no como un vasto instrumental destinado a recrear arbitrariamente al hombre y a la sociedad como nunca antes lo habían sido en la historia y en la filogénesis, sino, por el contrario, como una panoplia de herramientas para librarnos del lastre al que Heidegger se refería como "construcciones metafísicas" fracasadas que ahora obliteran en gran medida la vida real, lo vital de los pueblos y las individualidades humanas. Necesitamos dotarnos de las herramientas conceptuales para criticar y rechazar los dispositivos opresivos y homogeneizadores de la modernidad occidental (lockeana), que han conducido a las sociedades de la americanósfera al absurdo y a la decadencia. Es más, un rechazo coherente y filosóficamente fundado de los aparatos de la Ilustración significa no inventar un hombre supuestamente nuevo y fabricado (esculpido, como diría Foucault en lo que debe llamarse su delirio...).
La antropología de la revuelta contra los dispositivos opresivos que adoptan la máscara de la libertad y la emancipación postula un tipo de hombre diferente del hombre seráfinizado de los secos y atrabiliarios lockeanos o del hombre modelado según las fantasías caprichosas del delirante Foucault de los años 70 y 80.  El camino a seguir es un retorno/recurso a lo que pensadores como Julius Evola y Frithjof Schuon llamaron Tradición. Las vías para modelar al hombre, para sacarlo de su condición miserable, tejida de abandono, sin por ello alejarlo de la realidad y de las fricciones permanentes que ésta impone (Clausewitz), ya han sido trazadas, probablemente en los "periodos axiales" de la historia (Karl Jaspers). Estas vías tradicionales pretenden dar a lo mejor de los hombres una columna vertebral sólida, darles un centro (Schuon). El ascetismo espiritual existe (y no impone necesariamente el dolor o la autoflagelación). Hay que redescubrir los "ejercicios" que sugieren estas tradiciones, como ha recomendado recientemente el filósofo alemán Peter Sloterdijk. De hecho, Sloterdijk insta a sus contemporáneos a redescubrir los "ejercicios" de antaño para disciplinar sus mentes y reorientarse en el mundo, con el fin de escapar de los callejones sin salida de la falsa antropología de la Ilustración y sus lamentables avatares ideológicos de los siglos XIX y XX.
Los estudios de género y las gesticulaciones postfoucaultianas también son callejones sin salida y fracasos: anunciaron nuestro "kali yuga", imaginado por la antigua India védica, una época de avanzada decadencia en la que hombres y mujeres se comportan como los bandarlogs del Libro de la selva de Kipling.  Un retorno a estas tradiciones y ejercicios, bajo el triple patrocinio de Evola, Schuon y Sloterdijk, significaría poner un paréntesis definitivo a los extraños y ridículos experimentos que han llevado a Occidente a su actual decadencia, que han llevado a los occidentales a caer profundamente, a convertirse en bandarlogs.
Robert Steuckers, Bruselas-Ciudad, junio de 2016. 
(*) El problema de Bousquet es que castiga este carnaval de gran formato desde un cenáculo igualmente carnavalesco, de mini formato, donde las figuras à la Jérôme Bosch se contonean y se contonean.
Fuente: https://euro-sinergias.blogspot.com
Traducción: Enric Ravello Barber
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almanach2023 · 1 year
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Aujourd'hui, jeudi 2 mars, nous fêtons Saint Charles le Bon.
SAINT DU JOUR . Charles, du germanique karl, "fort", "viril" . Prénoms dérivés : Carlos, Charly, Charlotte, Lili, Carl, Carletto, Lotty. . Enfants, les Charles sont appliqués et persévérants. Adultes, ce sont des ambitieux graves, persuadés que la vie est à prendre au sérieux et perpétuellement occupés à agrandir leur domaine privé et professionnel. Fidèles au clan familial, ils le sont également en amour. Et ils en réclament beaucoup. . Saint Charles le Bon (+1127). Fils de Saint Canut du Danemark, il combat dans la seconde croisade et, à son retour, il succède à Robert II comme comte de Flandres. Il défend les pauvres contre les exploiteurs, ce qui lui vaut le surnom de « bon ». Il est tué à l'église S. Donatien à Bruges par des conspirateurs riches auxquels il s'est opposé. Nous fêtons également les : Charles le Bon - Carl - Karl - Jaouen - Joévin - Chad - Jaoua - Jaoven - Joéva - Joévin - Joévina - Jouan - Jova - Jovien - Jovin - Mélarie - Nonn - Nonnette - Parménas - Yaouen Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328 FETE DU JOUR Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ] . Charles Péguy, homme de lettres français (5 septembre 1914) . Alexandre Fabre, acteur français. (Charles Fremont dans Plus Belle la Vie) . Charles Darwin, biologiste britannique (19 avril 1882) . Robin Thicke, né Robert Charles Thicke, auteur, compositeur et producteur RNB . Charles Baudelaire, écrivain (31 août 1867) . Charlie Chaplin (Charles Chaplin), né Sir Charles Spencer Chaplin, Jr., acteur, réalisateur, producteur, scénariste, écrivain et compositeur britannique (25 décembre 1977) . Charles Pasqua, homme politique français . Charles Berling, acteur . Charles Trenet, chanteur français (19 février 2001) . Charles Aznavour, auteur-compositeur-interprète et acteur . Charles Bukowski est un auteur américain d'origine allemande de romans et de poésie (9 mars 1994) . Charles Boyer, acteur . Ray Charles, chanteur . Le Corbusier (Charles-Édouard Jeanneret), architecte et urbaniste (27 août 1965) . Charles Bronson, acteur . Prince Charles, prince de Galles (Charles Philip Arthur George), membre de la famille royale britannique, fils aîné de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni et du prince Philip, duc d'Édimbourg. . Charles de Gaulle, militaire et homme politique français. . Jean-Charles de Castelbajac, couturier . Charles Pathé, pionnier de l'industrie du cinéma . Charles Goodyear, inventeur Ils nous ont quittés un 2 mars : 2 mars 2006 : Philippe Muray, écrivain français (10 juin 1945) 2 mars 1991 : Serge Gainsbourg (Lucien Ginsburg), auteur-compositeur-interprète français (2 avril 1928) 2 mars 1982 : Philip K. Dick, écrivain américain de science-fiction (16 décembre 1928) Ils sont nés le 2 mars : 2 mars 1981 : Bryce Dallas Howard, actrice et comédienne américaine 2 mars 1977 : Chris Martin, chanteur et pianiste britannique 2 mars 1971 : Stefano Accorsi, né Stefano Lelio Beniamino Accorsi, acteur italien 2 mars 1968 : Daniel Craig, acteur britannique 2 mars 1962 : Jon Bon Jovi, compositeur et acteur américain 2 mars 1949 : Isabelle Mir, skieuse alpine française 2 mars 1949 : Alain Chamfort, chanteur Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22 CITATION DU JOUR Citation du jour : Une calomnie dans les journaux c'est de l'herbe dans un pré. Cela pousse tout seul. Les journaux sont d'un beau vert. Victor Hugo. Citation du jour : Vis ta vie et garde tes questions. La vraie liberté, c'est d'accorder à l'autre l'envol de ses désirs et le charme de taire ce qu'il en fait. Frédérique Deghelt Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz Nous sommes le 61ème jour de l'année il reste 304 jours avant le 31 décembre. Semaine 09. Beau jeudi à tous. Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
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«S’est-on jamais aperçu que l’adolescent errant de la grande rupture poétique et le Maréchal du cauchemar collaborationniste sont nés à deux ans de distance?» (Philippe Muray)
Rimbaud (1854)
Pétain (1856)
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basilepesso · 1 year
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Un des meilleurs, apparus comme je le disais récemment (Fb) depuis peu, à la faveur de la crise sanitaire en tant qu'avocat. Il expose ici un discours révolutionnaire en parlant de "prise de pouvoir par une jeunesse éveillée" sur les boomers et leurs descendants, dont ceux qu'il appelle les "boomers mentaux" et qui sont les Sections Sucrées définies il y a vingt ans par Philippe Muray. En cela il est un des seuls à rejoindre les analyses que je fais sur ces points depuis quasiment dix ans. Avec Gentillet, qui ne l'est pas, c'est la Révolution qui s'est invitée sur les plateaux télé, avec une stratégie d'avocat qui met le barreau. Basile Pesso, 4 février 2 023, 1e diffusion hier (Fb) avec Vidéo de 2 minutes de Pierre Gentillet
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aurevoirmonty · 1 month
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« Le bluff du grand retour de flamme de l'individualisme, dans un monde où toute singularité a été effacée, est donc une de ces tartes à la crème journalistico-sociologique consolatoire qui n'en finit pas de me divertir. » 
Philippe Muray
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« Certes, notre époque réserve une petite place aux écrivains. En ce qui concerne la France, ceux-ci, pour être admis, doivent avoir œuvré à l’extension des valeurs du progrès, de la justice, de la transparence et de l’égalité. Ce qui épargne Voltaire, Hugo, Zola, Sartre ou Camus, et personne d’autre ; mais, bien entendu, pas Céline ; et sans doute, à d’autres titres, ni Baudelaire, ni Sade, ni Bossuet, ni Flaubert, ni Bloy, ni Saint-Simon, ni Balzac, ni Proust, ni Claudel, ni Racine, ni Villon, ni Bataille, ni Chateaubriand, ni beaucoup d’autres encore ; et en fin de compte, peut être même pas Voltaire, Hugo, Zola, Sartre ou Camus, dans la tête desquels il sera toujours possible, en cherchant bien, de trouver des poux d’un ordre ou d’un autre, autrement dit ce qu’ils appellent des dérapages. »
Philippe Muray - Celine
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