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#ronald shannon jackson
rjt4 · 7 months
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Albert Ayler Quintet outside of the famous club Slugs, Avenue A in NYC, May, 1966. Left to right Donald Ayler, Albert Ayler, Ron Shannon Jackson, Lewis Worrell and Michel Samson.
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postpunkindustrial · 1 year
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Last Exit - Last Exit
R.I.P. Peter Brotzmann
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funkpunkandpunkfunk · 4 months
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Ornette Coleman & Prime Time - Home Grown
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Last Exit - Discharge
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Music
Artist
Last Exit
Composer
Peter Brötzmann Ronald Shannon Jackson Bill Laswell Sonny Sharrock
Produced
Last Exit
Credit
Peter Brötzmann – tenor saxophone Ronald Shannon Jackson – drums, voice Bill Laswell – Fender 6-string bass Sonny Sharrock – guitar
Released
1986
Streaming
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eraseer · 1 year
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werkboileddown · 1 year
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rastronomicals · 1 year
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Ronald Shannon Jackson & The Decoding Society
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dustedmagazine · 1 year
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Kris Davis — Diatom Ribbons Live At The Village Vanguard (Pyroclastic)
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Photo by Peter Gannushkin
The bio on Kris Davis’ website borrows a line from the New York Times which described the Canadian pianist as the beacon that told listeners where in New York City one should go on any given night. Diatom Ribbons Live At The Village Vanguard proposes a more expansive understanding of her relationship to jazz, because the ensemble’s music is a zone where Davis’s notions about was worth hearing in the 20th century gets processed and beamed out into the 21st.
The first project’s first, self-titled iteration wasn’t really the work of a band as much as it was the manifestation of a concept. The musicians at its core were Davis on piano, Trevor Dunn on electric bass, Terri Lynne Carrington on drums and Val Jeanty wielding turntables as a source of sampled speech, natural sounds and scratches. They were supplemented by six other musicians playing electric guitar, saxophones, vibes and voice, who enabled Davis to incorporate blues, rock, hip-hop and classical elements into her already-inclusive vision of the jazz continuum. The two-disc Diatom Ribbons was ambitious, but also a bit exhausting to negotiate.
This similarly dimensioned successor comes from a weekend engagement at the Village Vanguard. The latest material, which hinges around a three-part “Bird Suite,” and the ensemble’s lack of augmentation — besides the core group, there are no horns and just one guitarist, Julian Lage — results in a more cohesive statement of Davis’s thesis, which echoes a point that Charles Mingus already made a long, long time ago; you do Charlie Parker no honor by trying to play like him. He is the namesake of the three-part “Bird Suite,” which is the album’s center of gravity. Buttressed by Jeanty’s snatches of speeches by Sun Ra, Stockhausen, and other visionaries, as well as liberally reinterpreted tunes by Wayne Shorter, Ronald Shannon Jackson, and Geri Allen, the music seems to be arguing that today’s jazz musician, like Bird, need to deal with everything that’s happened, and then come up with something personal.
To that end, Davis makes a hash of old, dualistic notions like inside/outside, improvised/composed or jazz + (one other genre) hybrids. Properly prepared, hash is pretty tasty, and that’s the case with this overflowing platter of pristine lyricism, bebop-to-free structural abstractions, shifting rhythmic matrices and multi-signal broadcasts of sound and voice. This is the good stuff, Davis seems to be saying, and a music maker following a jazz trajectory needs to deal with it all. But, while the music of the Diatom Ribbons ensemble is way more creatively inclusive than all those bebop copycats Mingus used to rail against, it’s a highly personal reordering of what is known, not a total paradigm shift into the new. Come to think of it, however, Mingus’ own undeniably magnificent accomplishments were more on the order of what Davis is doing here than Charlie Parker’s transformation of the music of his time.  
Bill Meyer
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onetwofeb · 1 year
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In Memory: Peter Brötzmann (March 6, 1941 – June 22, 2023) Sonny Sharrock (August 27, 1940 – May 26, 1994) Ronald Shannon Jackson (January 12, 1940 – October 19, 2013) credits released June 24, 2023
Sonny Sharrock: guitar Peter Brötzmann: saxophone Bill Laswell: bass Ronald Shannon Jackson: drums
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jpbjazz · 4 months
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LÉGENDES DU JAZZ
JOHN HICKS, LE PIANISTE AU GRAND COEUR
"He brought musical excellence, a generous heart and great joy to everything he did. He was able to be a star in a supporting role."
- Larry Coryell
Né le 21 décembre 1941 à Atlanta, en Georgie, John Josephus Hicks Jr. était l’aîné d’une famille de cinq enfants. Le père de Hicks était John Hicks Sr., un pasteur méthodiste. Issu d’une famille de classe moyenne, Hicks avait vécu dans différentes régions des États-Unis car son père avait souvent dû déménager pour prendre charge de ses différents ministères. La famille de Hicks était déménagée à Los Angeles durant son enfance avant de s’installer à St. Louis, au Missouri, durant son adolescence. Hicks expliquait: "I was brought up as a decent human being, where you had aspirations and there were expectations".
Hicks avait commencé à jouer du piano à l’âge de six ou sept ans. Son premier professeur de piano était sa mère Pollie. Au cours de sa jeunesse, Hicks avait également pris des cours d’orgue, chanté dans des chorales et joué du violon et du trombone. Comme plusieurs musiciens de jazz, Hicks avait d’abord joué de la musique religieuse. Vers l’âge de onze ans, après avoir appris à lire la musique, Hicks avait commencé à jouer du piano à l’église. Il expliquait: "My father was a Methodist minister and my mom was my first piano teacher. I got great experience playing piano in church. I started playing there as soon as I learned how to read music."
Après s’être installé à St. Louis avec sa famille à l’âge de quinze ans, Hicks avait décidé de se concentrer sur le piano. Après avoir commencé à étudier au Sumner High School, Hicks avait joué avec le groupe The Continentals de Lester Bowie qui se produisait dans différents styles musicaux.
Parmi les influences de Hicks à l’époque, on remarquait Fats Waller, Horace Silver et Thelonious Monk. Il appréciait aussi les hymnes religieux ainsi que certains pianistes locaux. Très impressionné par les compositions de Silver axées sur le blues, Hicks avait aussi été marqué par des standards comme "I Got Rhythm" et "There Will Never Be Another You", plus particulièrement en raison de leurs harmoinies facilement identifiables.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Durant son adolescence, Hicks avait amorcé sa carrière professionnelle dans le Sud des États-Unis avec des musiciens de blues comme Little Milton et Albert King. C’est d’ailleurs avec Milton que Hicks avait obtenu son premier contrat professionnel en 1958. Hicks avait expliqué plus tard que le fait d’avoir joué avec un piano désaccordé avait grandement amélioré ses performances, car il avait dû transcrire à la main toutes les pièces qu’il jouait. Toujours en 1958, Hicks avait étudié la musique à la Lincoln University en Pennsylvanie où il avait partagé une chambre avec le batteur Ronald Shannon Jackson. Hicks avait aussi étudié durant une brève période à la Berklee School of Music avant de s’installer à New York en 1963.
Après avoir accompagné la chanteuse Della Reese en 1963, Hicks avait joué avec le saxophoniste Joe Farrell avant de partir en tournée avec le tromboniste Al Grey et le saxophoniste Billy Mitchell. Il avait aussi travaillé avec le saxophoniste Johnny Griffin. Peu après s’être installé à New York, Hicks avait été très influencé par John Coltrane. Il précisait: "There's a whole generation -- maybe two -- of players who are influenced by Trane. And it's on a spiritual level as well as musical. Trane was our Charlie Parker, and his sense of commitment to the music was awe-inspiring."
Toujours en 1963, Hicks avait fait partie du premier groupe du saxophoniste Pharoah Sanders et avait fait une apparition avec le chanteur Jimmy Witherspoon dans le cadre d’une émission du réseau de télévision CBC. Après avoir collaboré avec Kenny Dorham et Joe Henderson, Hicks s’était joint aux Jazz Messengers d’Art Blakey en 1964. Hicks avait d’ailleurs fait ses débuts sur disque en novembre de la même année sur l’album des Messengers  'S Make It. Au début de 1965, Hicks avait fait une tournée au Japon, en France, en Suisse et en Angleterre avec Blakey. À l’époque, Blakey encourageait les membres du groupe à écrire leurs propres compositions. Le groupe interprétait également les compositions de ses anciens membres. Hicks était demeuré avec les Jazz Messengers jusqu’en 1966. Lors de son séjour avec le groupe, Hicks avait souvent été comparé à McCoy Tyner pour le niveau d’énergie avec lequel il jouait et pour les espaces qu’il utilisait dans le cadre de son jeu.
De 1966 à 1968, Hicks avait également fait des séjours réguliers dans le groupe de la chanteuse Betty Carter. La passion de Hicks pour les ballades l’avait d’ailleurs aidé à développer son sens du rythme. En 1968, Hicks s’était joint au big band de Woody Herman, dont il avait fait partie jusqu’en 1970. Il écrivait aussi des arrangements pour le groupe. Durant cette période, Hicks avait également enregistré avec de grands noms du jazz comme Booker Ervin, Hank Mobley et Lee Morgan. À partir des années 1970, Hicks avait aussi collaboré avec de nombreux musiciens de free jazz, dont Oliver Lake. Il avait également joué et enregistré aux Pays-Bas avec le trompettiste Charles Tolliver. En 1973, Hicks avait également fait un bref retour avec les Jazz Messengers.
Le 21 mai 1975, Hicks avait participé à ses premiers enregistrements comme leader en Angleterre. La session avait donné lieu à la publication de deux albums, dont un disque en trio intitulé Hells Bells mettant en vedette le contrebassiste Clint Houston et le batteur Cliff Barbaro. Le second album était un enregistrement en solo intitulé Steadfast. Les deux albums avaient été publiés quelques années plus tard par Strata-East Records.
Hicks avait retrouvé la chanteuse Betty Carter en 1975 dans le cadre de la comédie musicale ‘’Don't Call Me Man.’’ Après avoir accompagné Carter lors de l’enregistrement de l’album ‘Now It's My Turn en 1976, Hicks avait recommencé à jouer avec son groupe à temps plein, ce qui avait conduit à l’enregistrement de l’album After the Morning. Au cours de cette période, Hicks avait également continué à enregistrer avec d’autres musiciens, dont Carter Jefferson (1978) et Chico Freeman (1978-79). En 1980, Hicks avait finalement été remercié par la chanteuse Betty Carter en raison de son alcoolisme.
À partir du milieu des années 1970, Hicks avait dirigé plusieurs groupes. Parmi ceux-ci, on remarquait un quartet mettant en vedette Sonny Fortune, Walter Booker et Jimmy Cobb. Le groupe avait été actif de façon intermittente de 1975 à 1990. Durant cette période, Hicks avait également dirigé un groupe avec la flûtiste Elise Wood ainsi que des formations comprenant les saxophonistes Gary Bartz, Vincent Herring et Craig Handy, le contrebassiste Ray Drummond et les batteurs Idris Muhammad et Victor Lewis. Les quintets et les sextets de Hicks incluaient aussi Robin Eubanks, Charles Tolliver (1982), Branford Marsalis (1982–84), Hannibal Peterson (à partir de 1983), Wynton Marsalis (1983–84), Craig Harris (1985–86), Eddie Henderson (1985–86 et 1988–90) et Chico Freeman (1985-88). Hicks avait aussi formé son propre big band à l’automne 1982. Hicks avait également joué avec le groupe de Freeman au Royaume-Uni en 1989.
Collaboratrice régulière des groupes de Hicks, la flûtiste Elise Wood avait également joué en duo avec le pianiste, tant dans des contextes jazz que classique. Après s’être marié et avoir formé une entreprise connue sous le nom de John Hicks-Elise Wood, Inc., le duo s’était produit en tournée aux États-Unis, en Europe et au Japon dans les années 1980.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1981, Hicks avait enregistré l’album Some Other Time, un enregistrement en trio avec Walter Booker à la contrebasse et Idris Muhammad à la batterie. L’album, qui avait permis à Hicks de mettre à profit ses talents de compositeur, comprenait le grand succès "Naima's Love Song". Hicks avait enregistré deux albums au Japon en 1988: East Side Blues, un album en trio, et Naima's Love Song, avec le saxophoniste alto Bobby Watson. Il avait aussi fait des apparitions régulières dans des festivals de jazz tout en continuant de se produire à New York.
En 1999, Hicks avait également rendu hommage à ses principales influences dans le cadre de l’album de Larry Coryell "Monk, Trane, Miles and Me." Se remémorant l’enregistrement de l’album, Coryell avait commenté: "The most touching moment for me was his solo on John Coltrane's 'Naima.’ It is absolutely, unbelievably beautiful. When we finished that performance in the studio, I broke down in tears."
Comme accompagnateur, Hicks s’était produit avec de nombreux musiciens de jazz, dont Freddie Hubbard, Richie Cole (1980), Arthur Blythe (sur l’album In the Tradition), David Murray, Hamiet Bluiett, Eddie Henderson, Art Davis, Woody Shaw, Clark Terry, Sonny Rollins, Roy Hargrove (1989–90, 1995), Gary Bartz (1990), Jay McShann, Oliver Lake (1991), Steve Marcus, Javon Jackson, Johnny Griffin, Joe Henderson Valery Ponomarev (1993),  Nick Brignola, Russell Gunn, Kevin Mahogany (1994), Sonny Fortune (1996), Jimmy Ponder (1997) et Pharoah Sanders. Il avait également accompagné les chanteurs Jon Hendricks et Carmen McRae. Durant cette période, Hicks avait aussi enregistré avec Ricky Ford (1980, 1982), Alvin Queen (1981), Peter Leitch (1984), Vincent Herring (1986) et Bobby Watson (1986, 1988). Au milieu des années 1990, Hicks s’était joint au groupe Mingus Dynasty avec qui il avait fait une tournée au Royaume-Uni en 1999 et avait enregistré l’album Blues and Politics la même année. Hicks avait également collaboré au septième album de "Live at Maybeck Recital Hall", une série d’albums de piano solo publiés par Concord Records. En 1998, Hicks avait fait partie du quartet de Joe Lovano. Il s’était également joint au nonet du saxophoniste lors de sa fondation l’année suivante.
Hicks avait aussi participé à cinq albums du saxophoniste David "Fathead" Newman pour les disques HighNote pour lequel il jouait un peu le rôle de pianiste attitré. En 2002, Hicks avait fait un de ses seuls enregistrements à l’orgue Hammond B3 dans le cadre de l’album Exhale du saxophoniste Arthur Blythe.
Hicks, qui avait également entrepris une brève carrière de professeur, avait enseigné l’histoire du jazz et l’improvisation à la Southern Illinois University de 1972 à 1973. À la fin de sa vie, Hicks avait également enseigné à l’Université de New York et à la New School of Music. Interrogé au sujet de son expérience dans l’enseignement quelques mois avant sa mort en janvier 2006, Hicks avait expliqué: "I don't care how advanced my students are, I always start them off with the blues. It all comes from there."
Au début de la même année, Hicks était retourné jouer avec son big band, qui était alors dirigé par le trompettiste Charles Tolliver. En janvier et en février de la même année, Hicks avait fait une tournée en Israël et avait joué principalement des compositions de Thelonious Monk. Hicks avait enregistré un dernier album intitulé On the Wings of an Eagle en mars 2006. En 2005, Hicks avait également enregistré un album live intitulé Twogether, qui mettait en vedette le saxophoniste alto Frank Morgan sur quatre pièces. Hicks se produisait en solo sur les trois autres pièces. Quatre des pièces de l’album étaient des standards du jazz: ‘’Parisian Thoroughfare’’ de Bud Powell, ‘’Night in Tunisia’’ de Dizzy Gillespie, ‘’Round Midnight’’ de Thelonious Monk et ‘’Passion Flower’’ de Billy Strayhorn.
Hicks avait présenté son dernier concert à la St Mark's United Methodist Church de New York quelques jours avant sa mort. Le concert visait à recueillir des fonds pour l’église dont Hicks était un fidèle assidu. Le père de Hicks avait également été pasteur dans cette église des décennies plus tôt. C’est aussi à la St Mark's United Methodist Church que Hicks avait présenté son premier concert à New York en 1963.
John Hicks est décédé le 10 mai 2006 des suites d’une hémorragie interne. Il était âgé de soixante-quatre ans. Hicks a été inhumé au South-View Cemetery dans sa ville natale d’Atlanta. Hicks laissait dans le deuil son épouse Elise Wood, son frère Raiford, ses soeurs Emma Hicks Kirk et Paula Hicks Neely, sa fille Naima et son fils Jamil (qui étaient issus de son premier avec Olympia Hicks), sa belle-fille Khadesha Wood et son beau-fils Malik Wood, et une petite-fille. Au moment de sa mort, Hicks devait se produire au Twins Lounge de Washington, D.C. Les archives de Hicks sont conservées à l’Université Duke, à Durham, en Caroline du Nord.
Hicks s’est marié à deux reprises. Au début des années 1990, Hicks avait divorcé de sa première épouse Olympia. Le couple avait un fils, Jamil Malik, et une fille, Naima. Hicks s’était remarié avec sa collaboratrice, la flutiste Elise Wood, en juin 2001.
Comme plusieurs musiciens de jazz des années 1990, Hicks avait enregistré avec plusieurs maisons de disques différentes, ce qui lui avait permis d’enregistrer dans des styles et des contextes diversifiés. Parmi ces enregistrements, on remarquait des sessions en duo avec Jay McShann (1992) et Peter Leitch (1994) pour American Reservoir Records et des sessions en trio enregistrées pour diverses compagnies japonaises, dont  une avec le New York Unit composé du contrebassiste Richard Davis et du batteur Tatsuya Nakamura et une autre session avec la New York Rhythm Machine composée du contrebassiste Marcus McLaurine et du Victor Lewis.  Ces sessions avaient été suivies d’autres enregistrements en trio avec des groupes comme le Power Trio et le Keystone Trio de George Mraz (1995) et un groupe composé de Dwayne Dolphin à la contrebasse et de Cecil Brooks III à la batterie à partir de 1997.
Parmi les derniers enregistrements de Hicks, on remarquait des  hommages à d’autres pianistes comme ‘’Something to Live For: A Billy Strayhorn Songbook’’, ’’Impressions of Mary Lou’’, ‘’Nightwind: An Erroll Garner Songbook’’, ‘’Music in the Key of Clark’’ (un hommage au pianiste Sonny Clark)  et ‘’Fatha's Day: An Earl Hines Songbook.’’ En 1993, Hicks avait également rendu hommage à la chanteuse Billie Holiday dans le cadre de l’album ‘’Lover Man: A Tribute to Billie Holiday.’’
Caractérisé par son jeu puissant et raffiné, Hicks avait participé à des centaines d’albums au cours de sa carrière, tant comme leader que comme accompagnateur. Le disc-jockey Rusty Hassan, qui connaissait Hicks depuis plus de trente ans, avait déclaré à son sujet: "He was a major, important player who was probably not as well recognized as he should have been.’’ Penchant dans le même sens, le chroniqueur du site AllMusic Michael G. Nastos avait ajouté: "Hicks died before reaping the ultimate rewards and high praise he deserved". Pour sa part, le guitariste Larry Coryell, qui avait souvent enregistré avec Hicks, avait commenté: "He brought musical excellence, a generous heart and great joy to everything he did. He was able to be a star in a supporting role."
Décrivant le style de Hicks, le pianiste George Cables avait souligné son jeu rempli de chaleur et très respectueux de la tradition. À ceux qui avaient reproché à Hicks de manquer de substance de son jeu, The Penguin Guide to Jazz avait rétorqué: "This [...] is missing the point. Almost always, he is more concerned to work within the dimensions of a song than to go off into the stratosphere." Caractérisé par une grande créativité, le jeu de Hicks était aussi très influencé par le swing, le blues, le hard bop et le jazz d’avant-garde.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’John Hicks.’’ Wikipedia, 2024.
RATLIFF, Ben. ‘’John Hicks, 64, Jazz Pianist Active on New York Scene, Is Dead.’’ New York Times, 13 mai 2006.
SCHUDEL, Matt. ‘’John Hicks, 64.’’ Washington Post, 19 mai 2016.
TRUFFAUT, Serge. ‘’Jazz - John Hicks l'historien.’’ Le Devoir, 12 juin 2010.
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yorinri · 2 years
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20230322
意味ワカランすぎて仕事用のパソコン切って逃げ出したけど明日どうなる!?!?
オーネット・コールマンの70年代後期の録音が気になっている プライムタイム期とかフリーファンク期というのか?ファンキーなんだけどずっと変な音を出してて聴いててとても楽しい 流れでRonald Shannon Jackson聴いてみたりJames Blood Ulmer聴いてみたり それぞれなかなか好ましく
結局ジャズ本流には行けず ロックっぽいやつばっかり聴いてんじゃんか!みたいなのはある ジャズ、ハマらないね……
そういえばと思い出して引っ張り出してきたONJのオーネット・コールマンカバー集、ちゃんと調べたらドンピシャその年代でこれまた満足
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グッドだ
別のツイッターアカウントに唐突にFF外からリプライを投げてきた人と仲良くなろうとDMのやり取りをしている すげえ面白い人な気がしたから 私は本気です そろそろDM無視されそうだけど……
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sergj7 · 2 years
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Ronald Shannon Jackson & The Decoding Society - 1982-11-17, Merlyn's, Ma...
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postpunkindustrial · 1 year
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Last Exit - Last Exit
R.I.P. Peter Brotzmann
41 notes · View notes
fictionz · 2 years
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New Fiction 2022 - October
Short Stories & Chapters
"Leonora" by Everil Worrell (1927)
"The Hollow Man" by Norman Partridge (1991)
"The Black Stone Statue" by Mary Elizabeth Counselman (1937)
"The Door" by Ann R. Loverock (2020)
"The Events at Poroth Farm" by T.E.D. Klein (1972)
"The Dead Wagon" by Greye La Spina (1927)
"Soft" by F. Paul Wilson (1984)
"Beelzebub" by Robert Bloch (1963)
"The Black Phone" by Joe Hill (2004)
"The Angle of Horror" by Cristina Fernández Cubas (1996)
"The Striding Place" by Gertrude Atherton (1896)
"The Fall of the House of Usher" by Edgar Allan Poe (1839)
"The Nurse's Story" by Elizabeth Gaskell (1852)
"The Girl With the Hungry Eyes" by Fritz Leiber (1949)
"The Summer People" by Shirley Jackson (1950)
"The Husband Stitch" by Carmen Maria Machado (2014)
"The Phantom 'Rickshaw" by Rudyard Kipling (1888)
"Scales" by Cherene Sherrard (2017)
"The Aztec" by Carmen Baca (2020)
"The Reaper's Image" by Stephen King (1969)
"The Mummy’s Foot" by Théophile Gautier (1840)
"When the Gentlemen Go By" by Margaret Ronald (2008)
"The Pear-Shaped Man" by George R.R. Martin (1987)
"Turn Out the Light" by Penelope Love (2015)
"Unseen—Unfeared" by Francis Stevens (1919)
"The White Cormorant" by Frithjof Spalder (1971)
"A Ghost Story" by Mark Twain (1870)
"The Signal-Man" by Charles Dickens (1866)
"Rearview" by Samantha Hunt (2020)
"The Green Bowl" by Sarah Orne Jewett (1901)
"A Good Student" by Nuzo Onoh (2014)
Dracula Daily - "October" by Bram Stoker & ed. Matt Kirkland (1897, 2021)
Comic Shorts & Single Issues
"Swamp Monster" by Basil Wolverton (1953)
"The Portrait of Sal Pullman" by Lonnie Nadler & Abby Howard (2019)
"O Whistle, and I'll Come to You, My Lad" by M.R. James & Abby Howard (2019)
"Rainbow Sprinkles" by W. Maxwell Prince, Chris O’Halloran, Martín Morazzo, Nimit Malavia (2018)
"Mirror, Mirror, on the Wall!" by Jack Davis, et al. (1953)
"The Harvest" by Shannon Campbell & Pam Wishbow (2016)
"In Each and Every Package" by Reed Crandall, et al. (1954)
"Roots in Hell" by Richard Corben (2016)
"Mars Is Heaven!" by Ray Bradbury, Wally Wood, et al. (1953)
"Save the Last Dance for Me!" by Dennis O'Neil & Pat Boyette (1969)
"Infected" by Bruce Jones, Richard Corben, Steve Oliff (1982)
"Unpleasant Side Effects" by Kerry Gammill, Sam F. Park, Mar Omega (2010)
"The Boar's Head Beast" by George Wildman, Nicola Cuti, Wayne Howard (1975)
"Ill Bred" by Charles Burns (1985)
"Don't Go to the Island" by Sfé R. Monster & Kalyna Riis-Phillips (2016)
"Some Other Animal's Meat" by Emily Carroll (2016)
"Greed" by Becky Cloonan, Jordie Bellaire, Travis Lanham (2013)
"Goin' South" by Nancy Collins, David Imhoff, Jeff Butler, Steve Montano, Renée Witterstaetter, Electric Crayon, Simon Bisley (1995)
"Winnebago Graveyard #1" by Steve Niles, Stephanie Paitreau, Jordie Bellaire, Jen Bartel, Alison Sampson, Aditya Bidikar, Mingjue Helen Chen, Sarah Horrocks (2017)
"Seed" by Fiona Staples, Jose Villarrubia, Michael Dougherty, Todd Casey, Zach Shields, Marc Andreyko (2015)
"Kill Screen" by Lauren Beukes, Dale Halvorsen, Ryan Kelly, Eva de la Cruz, Clem Robins, Bill Sienkiewicz, Rowena Yow, Shelly Bond (2015)
"The Fool of the Web" by Patricia Breen, Roel, Brenda Feikema (1997)
"Fortune Broken" by Sandy King, Leonardo Manco, Marianna Sanzone (2015)
"The Cemetery" by Franco, Abigail Larson, Wes Abbott, Sara Richard (2022)
"The Speed of Pain" by Jeff Lemire, Andrea Sorrentino, Dave Stewart, Steve Wands, Will Dennis (2018)
"Gestation" by Marguerite Bennett, Jonathan Brandon Sawyer, Doug Garbark, Nic. J. Shaw (2014)
"Chemical 13!" by Michael Woods & Saskia Gutekunst (2009)
"Hello, My Name Is..." by Nadia Shammas, Rowan MacColl, Licha Myers, Chris Sanchez (2021)
"Sea of Souls" by Jenna Lynn Wright, Alvaro Feliu, Juan Francisco Mota, Ricardo Osnaya, Erik Lopera Tamayo, Jorge Cortes, Robby Bevaro, Maxflan Araujo, Walter Pereyra, Taylor Esposito (2022)
"Crush" by Janet Hetherington, Ronn Sutton, Becka Kinzie, Zakk Saam (2018)
"The End of All Things" by Natalie Leif & Elaine Well (2014)
Video & Electronic Games
Silent Hill dev. Team Silent (1999)
The Excavation of Hob's Barrow dev. Cloak and Dagger Games (2022)
Halloween Forever dev. Imaginary Monsters (2016)
Bride of Frankenstein dev. Paul Smith, Steve Howard, Timedata Ltd. (1987)
Zombies Ate My Neighbors dev. LucasArts (1993)
Darkstalkers 3 (aka Vampire Savior) dev. Capcom (1997)
Movies
Smile dir. Parker Finn (2022)
The Mummy dir. Karl Freund (1932)
Invasion of the Body Snatchers dir. Don Siegel (1956)
The Skin I Live In dir. Pedro Almodóvar (2011)
The Picture of Dorian Gray dir. Albert Lewin (1945)
The Uninvited dir. Lewis Allen (1944)
The Other Side of the Underneath dir. Jane Arden (1972)
Jeepers Creepers: Reborn dir. Timo Vuorensola (2022)
Terrifier 2 dir. Damien Leone (2022)
Ravenous dir. Antonia Bird (1999)
The Experiment dir. Oliver Hirschbiegel (2001)
Ganja & Hess dir. Bill Gunn (1973)
Def by Temptation dir. James Bond III (1990)
Eyes Without a Face dir. Georges Franju (1960)
Under the Shadow dir. Babak Anvari (2016)
Amsterdam dir. David O. Russell (2022)
Deadstream dir. Joseph Winter & Vanessa Winter (2022)
In My Skin by Marina de Van (2002)
Evolution dir. Lucile Hadžihalilović (2015)
Eko Eko Azarak: Wizard of Darkness dir. Shimako Satō (1995)
Celia dir. Ann Turner (1989)
Censor dir. Prano Bailey-Bond (2021)
Halloween Ends dir. David Gordon Green (2022)
The Cabinet of Dr. Caligari dir. Robert Wiene (1920)
Black Adam dir. Jaume Collet-Serra (2022)
Trouble Every Day dir. Claire Denis (2001)
Eve's Bayou dir. Kasi Lemmons (1997)
Monster (aka Humanoids from the Deep) dir. Barbara Peeters & Jimmy T. Murakami (1980)
The Mafu Cage dir. Karen Arthur (1978)
Medusa: Queen of the Serpents dir. Matthew B.C. (2020)
Medusa dir. Anita Rocha da Silveira (2021)
Prey for the Devil dir. Daniel Stamm (2022)
It Follows dir. David Robert Mitchell (2014)
Amer dir. Hélène Cattet & Bruno Forzani (2009)
TV Episodes
The Simpsons - "Treehouse of Horror XXXIII" (2022)
Bob's Burgers - "Apple Gore-chard! (But Not Gory)" (2022)
TV Series
Costume Quest (2019)
Castlevania - Seasons 3 & 4 (2020-2021)
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nofoodjustwax · 3 years
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James Blood Ulmer - America - Do You Remember the Love?
James Blood Ulmer – America – Do You Remember the Love?
Released in 1987 on Blue Note Records Format: LP Style: Free Funk, Electric Blues, Jazz Fusion Vibe: Passionate, Energetic, Triumphant, Angular Musical Attributes: Improvisation, Complex
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burlveneer-music · 4 years
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Akira Sakata - MOOKO Japan Concert - 1988 live recordings of his band with Bill Laswell, Ronald Shannon Jackson, and Kiyohiko Semba
Akira Sakata: saxophone, bass clarinet, vocal Bill Laswell: bass Ronald Shannon Jackson: drums Kiyohiko Semba: percussion
recorded in Nagoya, Ureshino & Tokyo 23, 29 & 31, July 1988 engineering: Fumio Nij & Hidetoshi Mizue mixed & edited at Platinum Island, NYC engineering: Robert Musso remastered by James Dellatacoma at Orange Music, West Orange, NJ design & photo by Thi-Linh Le layout by Dennis Michael Weeden
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