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#série des affiches
darkmovies · 1 year
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The Walking Dead: Dead City (2023) Date de sortie : 18/06/2023 Réalisateur : Eli Jorne Scénario : … Avec : Lauren Cohan, Jeffrey Dean Morgan, Gaius Charles
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philoursmars · 3 months
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L'année du Dragon arrive !
Une longue série de dragons arrive... Ici, ils sont aux prises avec des saintes (oui, tout arrive...)
Sainte-Marguerite-de-Carrouges (Normandie)
Montréal du Gers (Gascogne)
Nantes - Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul
Marseille, MuCEM, expo "Picasso et Ballets Russes'"- affiche de l'Opera dei Pupi - "Le Récit des Bergers'"- Naples, mi-XXe s.
Marseille, MAMA (Maison de l'Artisanat et des Métiers d'Art) - expo "Un Monde Merveilleux", la Tarasque et Sainte Marthe, par Liliane Guiomar
Louvre-Lens, expo "Animaux fantastiques" - Ludovico Brea - retable de Sainte Marguerite d'Antioche - Nice, 1500
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histoire-glitchienne · 9 months
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Touristes: une comédie roman-horrifique du sexe au crime…
Petite soirée solo, envie de savourer un bon repas et une petite bière devant un petit film. Ne supportant guère les films très gores ( j’ai failli vomir mes tripes devant « La maison près du cimetière »et puis bon … je m’´apprête à manger un bon chili… ´fin bref, pas envie d’avoir l’impression de manger une bouillie de tripes: une autre fois peut-être ( ou pas…) Je m’hasarde alors dans le catalogue de Shadows et je tombe sur une affiche qui attire mon regard: couple et petit chien aux expressions peu avenantes posant devant des restes humains. Contraste. Je ne suis pas friande des comédies romantiques mais s’il y a des tueurs en série dedans, je suis toujours partante!
Deux amoureux misanthropes tuent afin de prouver leur amour l’un à l’autre. Le crime est à la fois le ciment de leur « amour » et le feu destructeur. Au diable les films à l’eau de rose : Comédie roman-horrifique noire, grinçante et brut du sexe au crime !
Gros coup de cœur ❤️ ❤️❤️❤️❤️ @shadowzvod @occulture_ytb #instafilm #blogcinema #instacinema #instablog #cinemahorreur
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louislanne · 2 years
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La 3ème et dernière affiche d’une série inspirée de la Nouvelle-Calédonie. Elles ont été superbement imprimées en sérigraphie par @shlag_lab et sont en vente chez @colloque.cool ! Sérigraphie 4 passages 29 x 42 cm (à Hienghène Extrême NORD) https://www.instagram.com/p/CkiQtyxLReU/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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the-cricket-chirps · 6 months
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Jacques Villeglé, Affiche Laceré "Phillipe Biennale,” 1961
Jacques Villeglé, Rue Villaret de Joveuse (série Disques Phillips) July 7, 1961, 1961
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freddieraimbow74 · 22 days
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EN CE JOUR dans l'histoire de la Reine - 26 avril
REINE : 1974 Boston Orpheum, MA; 1978 Westfallenhalle, Dortmund;
1985 Ents Centre, Sydney/
Q+PR : Rotterdam Ahoy Hall 2005 ;
FREDDIE MERCURY : 2007 le manteau rouge velours a été mis aux enchères : valeur est de 4 000 à 6 000 £, Christie’s, S Kensington.
QUEEN : Le Daily Mail 2009 a offert un CD spécial Killers, intitulé « Queen Rock You ».
BRIAN MAI : 2010 d'énormes affiches de 40′ x 10′ de Save Me étaient montées à Londres, Birmingham, Manchester ;
2011 + Kerry Ellis BBC R Manchester parle d'hymnes et de la tournée.
2012 + Roger Taylor a joué avec les finalistes QEX et IA pour une série télévisée, Nokia Theatre, Los Angeles ;
2016 au lancement de la campagne « Amazing Grace », Londres Portcullis House ;
2019 + Mott The Hoople, en direct, London Shepherds Bush Empire.
PLUS POUR JOUR : https://brianmay.com/on-this-day/on-this-day-in-queen-history-26-april/
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ahjdaily · 10 months
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INTERVIEW: Une discussion avec Albert Hammond Jr. sur la vie, les Strokes et le sentiment d’être incompris (Les Inrockuptibles)
François Moreau | 07/07/2023 à 15h47
This interview is solely in French. For an English-translated version of the website: click here Please note, the translation may not be not entirely accurate.
For archival purposes, full text is stored below.
Le guitariste des Strokes vient de sortir “Melodies on Hiatus”, son cinquième album solo. L’occasion d’évoquer avec lui la vie en marge du groupe, le besoin incessant de composer et l’éternel sentiment stroksien d’être incompris et insatisfait.
On appelle Albert Hammond Jr. aux aurores à l’occasion de la sortie de Melodies on Hiatus, son cinquième album solo paru en juin. Le guitariste hirsute des Strokes décroche le combiné depuis le jardin de sa maison dissimulée dans les collines de Hollywood, à Los Angeles, Californie. Après notre entretien, il ira à la salle de sport. La routine angelina.
Comme beaucoup de musiciens de la côte est des États-Unis, à l’instar de Julian Casablancas depuis belle lurette, Albert a lui aussi migré à l’ouest en quête de soleil et de nouvelles opportunités. S’il prétend composer et enregistrer quotidiennement sous le ciel bleu californien quand il n’est pas en tournée, il passe aussi des castings pour le cinéma : vous l’avez peut-être vu jouer un type cocaïné dans Babylon (2022), de Damien Chazelle, le temps d’une brève apparition. En 2018, il confiait même avoir auditionné pour la série Stranger Things, avec un essai à la clef, mais l’aventure n’est pas allée plus loin.
La musique reste donc le cœur d’activité de ce bon vieil Albert. Quand on lui passe ce coup de fil, il rentre tout juste lessivé d’une mini tournée américaine avec les Strokes, bouclée le 25 mai sur la scène du Minute Maid Park de Houston, Texas, avec escales à Minneapolis (MN), Syracuse (NY), Phoenix (AZ) et San Antonio (TX). Les New-Yorkais partageaient la scène avec Red Hot Chili Peppers, preuve, s’il en fallait une, que The Strokes a désormais un stadium status, comme on dit outre-Atlantique, même si une telle affiche au début des années 2000 aurait interpellé. Après tout, la première fois qu’on a vu Pixies sur scène, c’était en première partie de la bande à Flea. Les digues séparant l’indie du rock’n’roll circus hollywoodien, si tant est qu’elles aient un jour existé ailleurs que dans l’étroitesse de nos jeans slim, ont cédé dans les grandes largeurs.
“Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”
Mais la question ne se pose certainement pas en ces termes en Amérique, ni même dans l’esprit d’Albert, qui ne s’embarrasse de telles considérations et reste lucide sur le parcours de son groupe : “Le paysage d’aujourd’hui n’est pas celui de nos débuts et, musicalement, le meilleur est devant nous”, tranche-t-il. Plus de vingt ans après la sortie de Is This It (2001) de la cave et après le Grammy du meilleur album rock de l’année pour The New Abnormal (2020) remporté en 2021, le quintet est bon pour le Rock’n’Roll Hall of Fame. Le club des cinq sera d’ailleurs pour la première fois à Rock en Seine cette année, le 27 août, en clôture du festival francilien, après une poignée de dates en Asie, aux États-Unis (encore) et à Londres. 
Carrière solo
Notre dernière rencontre avec le guitariste remonte au 18 février 2020, dans les coulisses de l’Olympia. “Je m’en souviens bien, on avait fait cette séance photo dans le parking deux minutes avant de monter sur scène”, nous glisse-t-il. À l’époque, nous n’étions qu’une poignée de chanceux·euses à avoir pu écouter The New Abnormal, le dernier album des Strokes au titre prophétique sorti en avril 2020, et le groupe accordait aux Inrocks une interview exclusive. Comme prévu, Julian Casablancas avait été expéditif, gêné comme d’habitude aux entournures par l’exercice. Albert, quant à lui, ouvrait les vannes, tenant le crachoir une heure durant dans sa loge, oubliant qu’Alex Turner, Hedi Slimane ou encore un représentant de Phoenix étaient en train de s’envoyer des coupes de champagne dans la pièce à côté. “Tu me demandes ce que ça fait de jouer avec les Strokes ? Mais j’en sais rien, je suis membre des Strokes, je ne peux pas avoir ce recul”, nous avait-il confié après le show.
Aujourd’hui, il tient le même discours : “Dans le fond, je n’avais jamais eu véritablement l’intention de faire des disques en solo. Faire partie d’un groupe comme les Strokes, qui a du succès, me suffit. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu ça. Quand j’ai sorti le premier album, les gens disaient que certains morceaux ressemblaient aux Strokes. Mais je fais partie des Strokes ! Je suis dans le groupe ! Il y a toujours eu une alchimie dans ce groupe, quelque chose d’unique. Ça a été là dès qu’on a commencé à traîner ensemble. Même quand on se déplaçait dans la rue en bande, tu pouvais le sentir”. 
Pour un type qui ne rêvait pas de carrière solo, Albert Hammond Jr. est le membre du groupe qui possède la discographie la plus étoffée, avec cinq albums et un EP, AHJ (2013) sorti chez Cult Records, le label du pote Julian. A l’époque de Yours to Keep (2006), il est même le premier à s’échapper des Strokes, alors que les New-Yorkais entrent à peine dans une période de hiatus de six ans et que, par médias interposés, Casablancas se plaint d’être celui sur les épaules duquel repose l’existence du band. 
L’idée derrière Yours to Keep n’était effectivement pas tant de sortir un disque à tout prix, mais d’arriver au bout d’un processus, qui semble pourtant encore inachevé aujourd’hui, si l’on en croit Albert : “Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de réfléchir à quel musicien je voulais être, parce que j’ai toujours fait partie d’un groupe. Si j’y avais pensé plus tôt, j’aurais peut-être fait certaines choses différemment. Je n’aurais pas pris autant de drogues pour ¿Cómo Te Llama?, mon deuxième album. Je vivais dans une réalité, disons, qui n’était pas un modèle de vie durable. Avec le recul, je crois que l’idée, c’était de faire les choses et d’avancer avec le groupe quoiqu’il arrive. Je sais que je n’ai jamais été capable de faire de la musique tout seul, j’ai besoin d’un tuteur pour me montrer comment plonger. Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau.” 
New York années 2000
Albert revêt une allure de survivant encore un peu ébranlé par la frénésie des choses. La dope, le New York junkie et grisant des années 2000, celui dont on peut lire les exploits dans l’essentiel ouvrage de la journaliste Lizzy Goodman Meet Me In the Bathroom – New York 2001-2011 : une épopée rock, fraîchement traduit en français aux éditions Rue Fromentin ; le musicien se contente de l’évoquer quand on lui en parle, mais tient à désamorcer toute forme de nostalgie mal placée qui dit généralement plus de l’intervieweur que de l’interviewé : “C’est ma jeunesse, tu sais. C’est difficile de ne pas romantiser cette période de ta vie. Parfois je regarde en arrière pour réaliser que les choses sont belles aujourd’hui. Dans les moments les plus sombres, je me dis que j’aurais dû profiter davantage de tel ou tel moment.”
“Si je passe un mois entier à bosser sur des morceaux et qu’il n’en ressort rien de bon, j‘ai du mal à me sortir de la tête l’idée que j’ai perdu mon temps. C’est sûrement faux, mais c’est la façon dont fonctionne mon cerveau”
Au sujet de la dope, justement, Albert – sobre depuis longtemps – ne cache rien en interview, mais disqualifie, une fois encore, les biais de romantisation, notamment lorsqu’il s’agit d’évoquer le temps de la création musicale : “J’imagine que si tu es sous influence, que tes perceptions changent pour t’amener à voir les choses sous un autre angle et que tu travailles vraiment dur en suivant cette ligne, tu peux accomplir certaines choses. Mais cette discipline est presque impossible à atteindre. Même si un trip t’amène à voir des choses extraordinaires, une fois retombé, il te reste à tout rassembler ensuite. Et c’est une tâche sans fin.
J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord. Quand tu crées, tu dois composer avec ta part d’ombre. Ça peut prendre plus de temps d’arriver là tu veux aller, mais au moins c’est réel et profond. Je trouve ça bizarre de penser que c’est la substance qui crée. C’est toujours la personne et ce qu’elle met dans son œuvre ! La substance te permet juste de faire taire cette petite voix intérieure qui peut parfois se transformer en monstre quand tu es en plein processus de création. Si j’avais pu m’imposer cette discipline plus tôt, il aurait été intéressant de voir où ça m’aurait mené. Heureusement, je ne me suis pas grillé, mon cerveau est toujours là.” 
Dur labeur
Pour Melodies on Hiatus, un double-album de dix-neuf titres, Albert s’est ainsi entouré d’un producteur, Gus Oberg, vieux collaborateur des Strokes, et d’une parolière, la Canadienne Simon Wilcox, appelée à la rescousse quand il a fallu mettre des mots sur la somme de démos enregistrées. Au générique de ce disque, une poignée de musiciens : Goldlink, Matt Helders (Arctic Monkeys), Steve Stevens (guitariste de Billy Idol), la chanteuse Rainsford. L’idée d’être le type qui rassemble autour de lui, tel un esthète, le branche-t-il ? “Je n’irais pas si loin. Disons que, parfois, j’ai l’impression de comprendre que certaines personnes vont bien avec d’autres. Mais je connais mes points faibles, j’aime m’entourer de gens qui savent faire ce que je ne sais pas faire. C’est fun d’assembler les pièces du puzzle.”
Comme il le répétera tout au long de notre conversation, Albert n’avait pas spécialement en tête de faire un disque aussi pléthorique. Contrairement à Francis Trouble (2018), son précédent album enregistré de façon assez classique, avec un groupe venu en studio pour mettre en boîte des démos travaillées au préalable par Albert, Melodies on Hiatus s’est fait sur le temps long aux côtés du pote Oberg, avec peu de gens autour dans un premier temps : “Je voulais déconstruire l’idée du groupe en studio. L’idée, c’était d’avoir Gus avec moi, quelques drum machines, un ordinateur, des potes de passage pour jouer quelques instruments. On se disait ‘essayons ceci, essayons cela’, et finalement les morceaux sont sortis assez naturellement. Très vite, je me suis retrouvé avec une vingtaine de chansons et je me suis senti dépassé.” 
“J’aime bien la philosophie de George Carlin (comédien et humoriste américain, ndlr), qui dit qu’il faut que tu écrives encore et encore, et te mettre stone à la fin pour voir ton travail d’un autre point de vue. Mais tu dois bosser d’abord”
Dépassé, parce que le songwriting n’est pas le fort d’Albert Hammond Jr. qui, même s’il a grandi avec son auteur/compositeur de père, ne vit pas la musique de cette manière. “Les paroles, en musique, c’est vraiment la dernière chose à laquelle je me raccroche”, confie-t-il, avant d’évoquer sa collaboration avec Simon Wilcox, qui a coécrit toutes les paroles alors que les deux n’avaient alors échangé que par téléphone.
De longues conversations téléphoniques en forme de déversement de flux de conscience : “Je peux chanter avec du faux texte, parfois même, comme sur le morceau Old Man, quelques lignes surgissent, mais il me fallait quelqu’un. Je me suis dit que j’allais demander à des potes d’autres groupes de m’écrire quelques morceaux, et puis on m’a présenté Simon. On s’est tout de suite bien entendu. On a eu des conversations profondes, des choses très personnelles, et elle a su capturer toutes ces choses. D’une certaine manière, on peut dire que ça ressemble à une thérapie. C’est toujours plus simple pour moi de laisser couler le flot de la conversation que de déterminer à l’avance un sujet pour un morceau. Ça sonne faux pour moi.
De ce point de vue, la création peut donc être perçue comme une thérapie, oui. Parce que, créer, c’est faire surgir une partie de toi qui ne s’autorise pas toujours à exister. Mais ça reste beaucoup de travail. Bien sûr, il y a des moments suspendus, ça arrive, mais tu ne peux pas attendre ces moments éternellement. La plupart du temps, ça se résume à bosser énormément et à assembler les pièces d’un puzzle. Être capable de tout détruire et de reconstruire, sans trop t’attacher aux choses. Si un morceau ne marche pas, tu dois comprendre pourquoi. En d’autres termes, tu dois constamment te battre contre toi-même”. 
Incompris
Obnubilé par la personnalité accidentée de Julian Casablancas, on oublierait presque les quatre autres membres des Strokes, leur histoire en marge du groupe, le chemin parcouru pour se frayer une voie en dehors des perceptions parfois limitées que le succès du band a probablement dû exacerber ces vingt dernières années. Qui se rappelle de l’album de Nikolai Fraiture, bassiste discret, sorti en 2009 sous le sobriquet de Nickel Eye ? Il faudra s’en rappeler quand il s’agira de répondre à la question : que se tramait-il dans la tête d’un jeune New-Yorkais vingtenaire ayant grandi dans le Manhattan des années 2000 ?
À mesure que le temps passe, les fantasmes se cristallisent, quitte à nous fourvoyer. “’Ive been all around this town / Everybody’s singin’ the same song for ten years”, chantait Julian en 2011 sur Under Cover of Darkness. Albert semble avoir tracé sa route et ne regarde derrière que quand quelqu’un lui demande de regarder derrière, comme si on voulait encore et toujours rejouer l’histoire, comprendre l’incompréhensible, raviver une flamme éteinte depuis belle lurette. 
“C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif”
“Le truc, c’est que même 20 ans après, et c’est une constante chez moi, j’ai le sentiment d’être incompris, nous rencarde Albert. Je n��ai jamais l’impression de faire face à des gens qui me comprennent, et notamment quand je suis face à des fans. C’est un peu frustrant, et une sensation étrange. À chaque fois que j’entends quelqu’un parler d’un de mes morceaux, c’est si éloigné de ma propre perception des choses ! On me parle de chose que je n’essayais ni de près ni de loin de faire, de reproduire ou de copier. C’est bizarre aussi de se dire que certains pensent que parce que je sors des choses de mon côté, je ralentis le groupe. Il n’y a rien de plus au monde que je voulais sinon faire partie de ce groupe. J’imagine que les gens se figurent que c’est bizarre de faire de la musique en solo alors que le groupe est toujours actif. C’est toujours intense pour moi de sortir un disque, ça ressemble à un matin qui n’existe jamais vraiment.” 
Tout porte à croire que des groupes comme les Strokes ou Arctic Monkeys sont essentialisés jusqu’à la moelle (il n’y a qu’à voir ce que se mange en pleine poire Alex Turner quand il fait son Scott Walker, au lieu de donner dans le riff adolescent), au point de leur faire porter le poids des élans nostalgiques de trentenaires qui les verraient bien au Panthéon. Albert : “J’ai plutôt l’impression de ne pas avoir accompli certaines choses, plutôt que l’inverse. Je ne vais pas m’asseoir et énumérer avec toi tous nos succès. Les gens doivent comprendre que si ce qu’on a pu faire toutes ces années leur paraît énorme, c’est difficile de notre côté d’éprouver ce genre de sentiment.”
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regardgaspesien · 2 months
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Séance #08 - Télévision et adoration
Attendre la diffusion du prochain épisode de sa série télé favorite peut être difficile. Surtout à cette époque où il est si facile d’obtenir tout rapidement.
Au temps de la diffusion numérique, la patience de tous et chacun n’est plus vraiment nécessaire. Bon nombre de plateformes de diffusion comme Netflix, Crave ou encore Disney + rendent disponibles leurs nouvelles séries d’un coup. Plus besoin d’attendre quelques jours ou même une semaine avant de savoir ce qui est arrivé à notre personnage préféré comme le fait subir la télévision traditionnelle. Aucun effort n’est même nécessaire. Juste à laisser la plateforme de diffusion afficher elle-même l’épisode suivant et le tour est joué!
Cette façon de consommer des séries est devenue de plus en plus populaire avec l’arrivée de la pandémie. Le confinement étant obligatoire pour tous et certains ayant perdu leur emploi, le temps libre était beaucoup plus grand et plusieurs se sont donc mis à s’adonner à l’écoute massive de séries en ligne. Ce comportement « boulimique » peut être associé aux sériphiles, ces individus qui ont une adoration marquée pour les séries télévisées.
La sériphilie est tout de même apparue avant la pandémie. Selon la doctorante Joyce Cimper, ce phénomène a émergé grâce à l’arrivée des réseaux socionumériques. Ces plateformes permettaient aux sériphiles de se réunir entre fanatiques de la même série pour échanger. Exposer ses théories et ses coups de cœur y serait plus agréable puisque tous se comprennent. Grâce à ces plateformes, mais aussi à d’autres sites, les sériphiles peuvent échanger, mais aussi créer du contenu dérivé comme des textes, des images ou des vidéos. Bref, les sériphiles l’ont tout cuit dans le bec à cette ère où le numérique facilite grandement leurs passions. Non seulement discuter de sa série préférée ainsi qu’inventer et partager ses propres histoires sont des actions réalisables si facilement sur les réseaux socionumériques, mais la simple écoute de séries télévisées est aussi beaucoup plus accessible grâce aux plateformes de diffusion.
Devenir sériphile n’a jamais autant semblé à la portée de tous. Qui sait? Peut-être êtes-vous déjà tombés dans ce monde?
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equipe · 10 months
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Un petit point sur les badges
Comme vous l'avez peut-être déjà remarqué, nous avons déployé une série de badges que vous pouvez obtenir en récompense de vos actions sur Tumblr, tels que le badge "Féru de publications", le badge "Pyromane" ou encore le badge "Cœur sur la main". Ces badges vous sont automatiquement décernés lorsque les conditions nécessaires à leur obtention sont réunies, et vous pouvez décider de les afficher ou non sur votre blog. Lorsque vous remportez un badge, une bulle apparaît dans le coin inférieur gauche du tableau de bord, comme illustré ci-dessous :
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Vous pouvez décider d'afficher plusieurs badges (qu'ils soient remportés ou achetés) les uns à la suite des autres aux côtés de votre nom de blog, et ce, dans l'ordre de votre choix. À vous de voir si vous souhaitez les accorder avec vos Coches de la renommée pour davantage de style, ou bien carrément tous les afficher d'un coup. Vous avez les cartes en main !
Voilà à quoi ressemble l'interface de paramétrage :
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Et voici maintenant comment cela fonctionne :
Pour gérer vos badges sur le Web, cliquez sur l'icône Bonhomme pour accéder au menu Compte, sélectionnez votre blog dans le menu déroulant puis cliquez sur "Paramètres du blog". Cliquez ensuite sur l'icône Stylo en dessous du nom de votre blog afin d'ajouter, modifier ou masquer les badges ainsi que les coches.
Dans l'application, rendez-vous sur votre blog et appuyez ensuite sur l'icône Palette située dans le coin supérieur droit. Une icône Stylo sera affichée en dessous du nom de votre blog. Appuyez sur cette dernière pour ajouter, modifier ou masquer les badges ainsi que les coches.
Abracadabadge ! Les badges/coches de votre choix sont à présent affichés aux côtés de votre nom d'utilisateur dans le tableau de bord et dans la vue intégrée de votre blog.
Ah, et vous pouvez tout à fait décider de n'afficher aucun badge : il vous suffit pour cela d'activer l'option "Aucun" dans l'écran de paramétrage des badges.
Il est également bon de rappeler que certains des badges décernés ne pourront fonctionner que sur votre blog principal. Le badge "Cœur sur la main", par exemple, vous est octroyé lorsque vous offrez 5 cadeaux (ou plus) à d'autres utilisateurs… et cette action n'est réalisable qu'à partir d'un blog principal.
Pour acheter de nouveaux badges, cliquez/appuyez sur l'icône TumblrMart et choisissez l'onglet "Badges" dans le menu.
Voilà tout. Affichez dès à présent (et seulement si vous le désirez) des badges qui vous ressemblent et qui donnent d'un seul coup d'œil un aperçu de votre personnalité sur Tumblr. Quelle classe !
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s12023artnum · 7 months
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Tout savoir sur la sérigraphie
Voici quelques images de l'exposition Siana mettant en avant des œuvres via la sérigraphie
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Où se situe l’exposition ?
Nous nous sommes rendus au 36 rue Pelvoux dans le 91080 à Évry Courcouronnes afin d'assister à une exposition mettant en avant la stratigraphie (Création du studio Helmo). Cette exposition prend place au sein d’un établissement scolaire dédié à l’UFR Sciences et techniques d’Évry dans lequel les étudiants peuvent admirer sur les affiches exposées certaines de leurs pièces grâce à la stratigraphie.
Que nous présente l’exposition ?
On peut assister à une série d’images étendu ayant pour base le logo de Siana qui est représenté par des yeux rouges (ces yeux rouges sont présents que sur une seul affiche) et le reste est décolorer en noir et blanc en inversant la position du regard. Ces images ont été réalisées à l’aide de la sérigraphie par le studio Helmo.
Qu’est-ce qu’est la sérigraphie ?
C’est un procédé mécanique de reproduction d’images. Plus précisément, cela fonctionne de la manière suivante : on prend une base (ici le logo de Siana) auquel on ajoute un nombre de couches d’images choisies selon un nombre aléatoire de couches, afin de créer une multitude d'œuvres. La première étape est de mettre un plan de départ numériquement puis de le reproduire sur un atelier. 
La sérigraphie à l’avantage de mettre en avant les couches via un jeu d’écran et d’encre qui permettent de réaliser l'œuvre. Elle permet donc une meilleur compréhension du procédé de création sans parler du fait que ce procédé permet d’obtenir des couleurs plus vives ou bien d’accentuer la décoloration via des nuances de noir et blanc plus prononcées. La sérigraphie permet aussi de créer des motifs complexes pour un prix concurrent.
Cependant elle possède aussi des inconvénients comme le prix de lancement pour un particulier qui est spécialement coûteux, notons aussi le fait qu’il faut une grande expérience dans le domaine pour obtenir de la qualité.
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Sources
Sofiane et Valentin
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darkmovies · 1 year
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The Ark (2023) Date de sortie : 01/02/2023 Réalisateur : Dean Devlin Scénario : Dean Devlin Avec : Christie Burke, Richard Fleeshman, Reece Ritchie
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valavelo · 7 months
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J28 ~ De l'autre côté du Tejo
Lisboa~Setúbal (79km)
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Je quitte Lisboa aujourd'hui. Comme j'ai prévu une étape plutôt courte, je profite encore un peu de la capitale le matin. Sur la Praça do Comércio, il y pas mal d'installation mises en place pour le festival du week-end. Je joue avec les réflexions.
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Je vais aussi refaire un tour vers Belém. Surtout pour voir le Musée d'Art, d'Architecture et de Technologie (MAAT) dont le bâtiment m'avait fait forte impression en arrivant.
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Direction le terminal de ferry pour traverser le fleuve Tejo. Pas beaucoup de distributeurs de billets (2) alors je fais patiemment la queue derrière des touristes anglais qui mettent un temps fou à comprendre comment ça marche. Je récupère finalement mon ticket à 12h06 pour le ferry de 12h07. Mais pas de panique, ici on prends le ferry comme on prendrait le métro.
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Déjeuner dans un snack sur l'autre rive et départ pour Setúbal. Une fois loin de la ville, je passe à travers le parc naturel d'Arrábida, un massif très sauvage. De bonnes côtes à grimper mais la vue en vaut vraiment la peine.
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En redescendant vers la plage, je trouve ma route bloquée. Un panneau indique des éboulements... Petit moment de découragement en m'imaginant remonter plusieurs centaines de mètres pour contourner l'obstacle... Un jeune portugais arrive à pied et m'explique que tout le monde passe les barrières (c'est un raccourci pour la plage) et qu'il n'y a pas vraiment de danger. Il m'aide à faire passer le vélo pour que je puisse continuer.
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Je finis ma route dans un camping juste avant Setúbal. Là, je rencontre un campeur assez original. Il est Irlandais mais vis en Australie. Il voyage en bus ou en train. Comme il en a eu assez de l'hôtel il s'est acheté une tente et découvre un nouveau monde: le camping. On discute beaucoup, à vrai dire il est difficile de l'arrêter. Il s'appelle Noël. Je n'ose pas lui faire remarquer mais avec son air de vieux sage et sa barbe blanche c'est le portrait craché du Père Noël !
🎶 Ne me jugez pas. Il y avait des affiches publicitaires à tous les arrêts de bus pour la sortie d'une nouvelle saison de la série...
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laurierthefox · 2 years
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Voici la 3e affiche de la série que j'ai eu la chance et l'honneur de réaliser il y a quelques mois pour le Planning Familial !!! 🥰💖 - - - - - - - Le Planning permet aux gens, et en particuliers aux femmes (cis comme trans), d'acquérir des outils pour mieux connaitre leurs corps, avoir accès à des contraceptions, à l'IVG, à la base de la santé sexuelle ... etc et ce sans jugement ni discriminations. Dans un monde qui deviens de plus en plus conservateur le Planning Familial est vital pour toustes. - - - - - -
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louislanne · 1 year
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Nouvelle affiche de la série des explorations ! (2/3) Cette fois ça se passe dans des cavernes infestées de crabes géants et autres joyeusetés… 🕳️🦀💀 Riso 29x42 cm https://www.instagram.com/p/CltrHyvrHkn/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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bonheurportatif · 1 year
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Quelques trucs bien en février
1er février Écrire Régler en deux mails un problème "urgent" Confier à son oncle quelques mots pour son père
2 février Inventer de nouveaux rythmes scolaires avec sa fille Passer à pied par la plage, entendre les cris d'oiseaux et ne pas les voir Passer à pied par le port pour aller à la librairie
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3 février Lire à haute voix plusieurs chapitres de son roman Manger des pizzas en tête-à-tête avec sa fille Découvrir après plusieurs décennies que l'air de la pub Playtex chantée à pleins poumons quand on était enfant est un morceau de Lalo Schiffrin
4 février Prendre une photo pour Scriptopolis Lire dans un café (une éternité !) Se projeter l'adaptation du livre qu'on vient de terminer, juste pour soi
5 février Lire presque toute la journée Apprécier la chaleur du soleil à travers la baie vitrée Boulotter une poche de M&M's
6 février Suivre un camion transportant du foin et rouler dans une pluie de paille Imprimer un deuxième jeu d'un texte qu'on est en train d'écrire Débarrasser le frigo de quelques fonds de pot périmés
7 février Finir les lessives Passer à la petite bibliothèque Se marrer tout seul dans son lit
8 février Retrouver femme et enfant à la gare Recevoir plus vite que prévu les photos commandées Entendre sa mère dire ce qu'elle veut
9 février Tenir son programme d'atelier Voir passer et repasser sous ses fenêtres un dragon du nouvel an lunaire Se perdre dans les rayonnage de la bibliothèque
10 février Observer un rouge-gorge timide s'approcher des boulettes Réceptionner un bouquin commandé Passer la soirée famille complète
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11 février Sortir les chaises de jardin Tomber sur trois occurrences du mot "pharmakon" dans trois lectures distinctes Envoyer un texte à une revue
12 février Trouver l'entrée dans le bouquin autour duquel on tournait depuis plusieurs jours Le lire à rebours dans la journée Ramasser une nacre sur la plage
13 février Découvrir son texte publié Graisser et gonfler les vélos Rouler le long de la promenade côtière
14 février Refaire son stock de lectures Prendre deux photos pour le Notulographe, et lui envoyer Papoter un brin avec Mme Patate
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15 février Aider sa fille pour ses lettres de motivation Faire le plein de gros bouquins de graphisme Bricoler une affiche acceptable pour une expo
16 février Finir la série d'affiches Grimper au dernier étage pour voir la ville éteinte Observer les étoiles
17 février Débloquer le renouvellement de sa carte bancaire Préparer ses ateliers tout en pliant le linge Voir s'éclaircir rapidement l'animation d'un prochain gros atelier
18 février Montrer à sa fille des liens entre le film vu la veille et des débats dans la presse. Reprendre un peu le sport Penser ne lire que quelques pages d'un bouquin et le finir dans la soirée
19 février Soigner son mal au dos Allumer un petit feu Remettre la main sur le bouquin que réclame la bibliothèque
20 février Recevoir les bouquins commandés Papoter avec la libraire ordinairement peu bavarde Pouvoir enregistrer l'entretien sur un sujet auquel on ne comprend pas grand chose
21 février Sortir à vélo Apprendre qu'on va pouvoir mettre la main sur un livre pas diffusé en France Cuire au feu de bois
22 février Sortir du lycée rasséréné Trouver des croissants mis là pour vous Prendre rendez-vous chez le dentiste
23 février Se faire attribuer un nouveau code de carte bleue super simple à retenir Faire réchauffer le tajine maison de la veille Faire un atelier sympathique, en tout petit comité
24 février Faire un crochet pour des croissants Pouvoir compter sur les copains pour résoudre un truc qui dépasse ses compétences Conduire sous un beau ciel
25 février Surmonter sa flemme et aller courir En profiter pour écouter une "lecture électrique" Prendre son temps à la médiathèque
26 février Lire pratiquement toute la journée Courir et ramer Préparer une tarte aux oignons
27 février Cuisiner une salade de chou-rouge repérée sur tumblr Repousser toute idée de travail Danser n'importe comment avec sa fille
28 février Acheter des merveilles Ne rien faire de la journée Faire un voyage dans le temps sur Google Map et tomber sur sa fille jouant avec sa mère dans le jardin huit ans plus tôt
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Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
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percehaies · 1 year
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Novembre 1943
Affiche de propagande du gouvernement de Vichy, d'une série célébrant les Héros de l'Histoire de France. Henry de Bournazel, comte de Lespinasse de Bournazel : participe à la mise en place du Protectorat au Maroc
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