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#sables mouvants
fatonoze · 1 month
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franklovisolo · 6 days
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helene-tolden · 5 months
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🇫🇷 Café Gaudi Mai 2024. Jour 10.
Sables mouvants.
🇬🇧Café Gaudi May 2024. Day 10. Quicksand.
🇪🇦Café Gaudí Mayo 2024. Día 10. Arena movediza.
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luisellina · 1 year
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darkmovies · 1 year
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Quicksand (2023) Date de sortie : 23/06/2023 Réalisateur : Andres Beltran Scénario : Matt Pitts Avec : Allan Hawco, Carolina Gaitan, Sebastian Eslava
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thunderstruck9 · 11 months
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Yvette Achkar (Lebanese, 1928), Sables mouvants [Quicksands], 2009. Oil on canvas, 140 x 105.1 cm.
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Que nous est-il arrivé ?
On s'est laissé
Et mon monde s'est écroulé...
On s'est retrouvés
Heureux, légers..
Mais tout a changé.
Nous avons fermé nos cœurs
Aux éventuels malheurs...
Que reste-il de cet Amour d'hier ?
Le soleil de la passion, au zénith d'un désert...
Où je brûle ma peau les jours où l'on se voit
Et où mon coeur gèle quand tu n'es plus là...
Mais je ne sais pas faire moi...
Dans cet environnement là,
Et je me noie moi...
Tu m'entraines dans tes sables mouvants
Lentement, mais sûrement
Bientôt ne restera de moi
Que les souvenirs laissés par mes pas...
Quelques traces à peine
Si tant est que tu t'en souviennes....
LPS
23.10.23
© tout droits réservés-2023
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lisaalmeida · 1 year
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Demandez-moi de combattre le diable...
D'aller défier les dragons du néant...
De vous construire des tours, des cathédrales...
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes...
D'aller plonger dans la gueule des volcans...
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier...
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller...
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier...
Demandez-moi de réduire en poussière...
Cette planète où un dieu se perdrait
Elle est pour moi comme une fourmilière...
Qu'on écrase du pied
Demandez-moi de tuer la lumière...
Et d'arrêter ce soir le cours du temps...
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier...
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller...
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier...
Woah, quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier...
Devant son cœur de femme, je suis un géant de papier...
Jean Jacques Lafon
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satinea · 1 year
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Sous les feux que juin verse,
Comme l’éclair, Mireille court, et court, et court !
De soleil en soleil et de vent en vent, elle voit
Une plaine immense : des savanes
Qui n’ont à l'œil ni fin ni terme ;
De loin en loin, et pour toute végétation,
De rares tamaris ... et la mer qui paraît...
Des tamaris, des prêles,
Des salicornes, des arroches, des soudes,
Amères prairies des plages marines,
Où errent les taureaux noirs
Et les chevaux blancs : joyeux,
Ils peuvent là librement suivre
La brise de mer tout imprégnée d’embrun.
La voûte bleue où plane le soleil
S’épanouissait , profonde , brillante,
Couronnant les marais de son vaste contour ;
Dans le lointain clair
Parfois un goéland vole ;
Parfois un grand oiseau projette son ombre,
Ermite aux longues jambes des étangs d’alentour.
C’est un chevalier aux pieds rouges ;
Ou un bihoreau qui regarde, farouche,
Et dresse fièrement sa noble aigrette,
Faite de trois longues plumes blanches...
Déjà cependant la chaleur énerve :
Pour s’alléger, de ses hanches
La jeune fille dégage les bouts de son fichu.
Et la chaleur, de plus en plus vive,
De plus en plus devient ardente ;
Et du soleil qui monte au zénith du ciel pur,
Du grand soleil les rayons et le hâle
Pleuvent à verse comme une giboulée :
Tel un lion, dans la faim qui le tourmente,
Dévore du regard les déserts abyssins!
Sous un hêtre, qu’il ferait bon s’étendre!
Le blond rayonnement du soleil qui scintille
Simule des essaims, des essaims furieux,
Essaims de guêpes, qui volent,
Montent, descendent et tremblotent
Comme des lames qui s’aiguisent.
La pèlerine d’amour que la lassitude brise
Et que la chaleur essouffle,
De sa casaque ronde et pleine
A ôté l’épingle ; et son sein agité
Comme deux ondes jumelles
Dans une limpide fontaine,
Ressemble à ces campanules
Qui, au rivage de la mer, étalent en été leur blancheur.
Mais peu à peu devant sa vue
Le pays perd sa tristesse ;
Et voici peu à peu qu’au loin se meut
Et resplendit un grand lac d’eau :
Les phillyreas, les pourpiers,
Autour de la lande qui se liquéfie,
Grandissent, et se font un mol chapeau d’ombre.
C’était une vue céleste,
Un rêve frais de Terre-Promise !
Le long de l’eau bleue, une ville bientôt
Au loin s’élève, avec ses boulevards,
Sa muraille forte qui la ceint,
Ses fontaines, ses églises, ses toitures,
Ses clochers allongés qui croissent au soleil.
Des bâtiments et des pinelles,
Avec leurs voiles blanches,
Entraient dans la darse ; et le vent, qui était doux,
Faisait jouer sur les pommettes
Les banderoles et les flammes.
Mireille, avec sa main légère,
Essuya de son front les gouttes abondantes ;
Et à pareille vue
Elle pensa, mon Dieu ! crier miracle !
Et de courir, et de courir, croyant que là était
La tombe sainte des Maries.
Mais plus elle court, plus change
L’illusion qui l’éblouit,
Et plus le clair tableau s’éloigne et se fait suivre.
Œuvre vaine, subtile, ailée,
Le Fantastique l’avait filée
Avec un rayon de soleil, teinte avec les couleurs
Des nuages : sa trame faible
Finit par trembler, devient trouble,
Et se dissipe comme un brouillard.
Mireille reste seule et ébahie, à la chaleur...
Et en avant dans les monceaux de sable,
Brûlants, mouvants, odieux !
Et en avant dans la grande sansouire, à la croûte de sel
Que le soleil boursoufle et lustre,
Et qui craque, et éblouit !
Et en avant dans les hautes herbes paludéennes,
Les roseaux, les souchets, asile des cousins !
Avec Vincent dans la pensée,
Cependant, depuis longtemps
Elle côtoyait toujours la plage reculée du Vaccarès;
Déjà, déjà des grandes Saintes
Elle voyait l’église blonde,
Dans la mer lointaine et clapoteuse,
Croître, comme un vaisseau qui cingle vers le rivage.
De l’implacable soleil
Tout à coup la brûlante échappée
Lui lance dans le front ses aiguillons : la voilà,
Infortunée! qui s’affaisse,
Et qui, le long de la mer sereine,
Tombe, frappée à mort, sur le sable.
Ô Crau, ta fleur est tombée!... ô jeunes hommes, pleurez-la !...
📷 Sur le Vaccarès
Un extrait du chant X de Mirèio (Mireille), de Frédéric Mistral. Mireille s'est enfuie de chez elle pour implorer les Saintes-Maries-de-la-Mer d'infléchir la décision de son père qui refuse de la voir mariée au vannier Vincent, ce qui équivaut pour lui à une inacceptable mésalliance. Elle traverse la Camargue écrasée de soleil et est frappée d'insolation sur les rives de l'étang de Vaccarès...
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soitamespieds · 1 year
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La Dominante Gynarchique : La Guerrière au Cœur du Patriarcat
Dans les sables mouvants de l’histoire, où des forces contradictoires tirent l’humanité dans toutes les directions, une figure se détache du lot : la dominante gynarchique. Elle est l’incarnation d'un pouvoir féminin, une force pure dans un monde principalement régi par une autorité patriarcale. Mais qui est-elle? Elle est une guerrière, une dirigeante, une visionnaire qui ne voit pas le monde comme il est, mais comme il pourrait être.
Dans les sociétés patriarcales, les femmes ont longtemps été considérées comme des êtres inférieurs, bonnes uniquement pour les tâches ménagères, la maternité et le mariage. Mais la dominante gynarchique refuse ce rôle subalterne. Elle est bien plus que ce que la société attend d'elle. Elle est une guerrière, armée non pas de lames ou d'armures, mais de courage, de résilience et de perspicacité.
Elle comprend que la véritable guerre n’est pas toujours celle des épées et des flèches, mais celle des idées et des croyances. Dans un monde où la voix des femmes est souvent étouffée, elle élève la sienne, forte et sans peur, défiant ceux qui voudraient la réduire au silence. Elle sait que pour changer le monde, il faut commencer par changer les esprits.
La dominante gynarchique est une source d'inspiration pour toutes les femmes, et même pour les hommes. Elle rappelle que le pouvoir ne réside pas dans le sexe, mais dans la capacité à diriger, à inspirer et à apporter des changements positifs. Elle nous montre que même dans les situations les plus désespérées, il y a toujours une lueur d'espoir.
Dans un monde où les structures patriarcales semblent omniprésentes, la dominante gynarchique est un phare de lumière, montrant la voie à suivre. Elle est un rappel que le changement est possible, que les femmes ont le pouvoir de façonner l'avenir, et que chaque acte de défiance, petit ou grand, est un pas vers un monde plus égalitaire.
La dominante gynarchique est la preuve vivante que le féminin n'est pas faible, qu'il ne se contente pas de suivre, mais qu'il mène. Elle est le visage de la résistance, du courage et de la détermination. Et tant qu'elle sera là, la gynarchie continuera de défier et de bouleverser l'ordre établi, ouvrant la voie à un avenir où tous les individus, quels que soient leur sexe ou leur statut, sont traités avec respect et dignité.
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oldsardens · 4 months
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Yvette Achkar - Sables mouvants (Quick sands)
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spiraliastatica2 · 1 year
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Arc-en-ciel torsionné (2022)
La Voix s'élève, se confond
Dans un quadrillage de sons,
Mirifique évaporation...
Torsion exprimée
Encore et encore
D'une douce immensité
Étendue d'or
En flots ondulants,
En sable mouvant,
En reflets illusoires
De rêves et de cauchemars
En douceur et hurlements
Échos de crichants
Beauté et tourments
Se confondent allègrement...
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youtube
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commeunechimere · 6 months
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Le sablier du temps égraine des sables mouvants.
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jeanfrancoisrey · 1 year
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Sable mouvant…
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neverfadeaway-rpg · 2 years
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▬ contexte | never fade away ▬
Night City, la cité des rêves pour pléthore qui n'y ont jamais foutu un pied, dans les faits, la ville au plus haut taux de criminalité de l'Amérique. Potentiel diamant brut de la côte ouest, le joyau sur les rives de l'Océan Pacifique a aujourd'hui autant de valeur et de dangerosité qu'un bout de verre mal émoussé par les vagues. Tous s'y retrouvent pourtant. Tous essayent de se démarquer, de s'élever, quitte à écraser les autres. Les gangs s'affrontent sans répit dans les rues les plus crades, les impasses les plus sombres. Les corporations pensent les regarder de haut dans leurs grandes tours aux murs blancs et leurs cols noirs impeccablement repassés - mais tout le monde sait que derrière la dorure de chaque corpo se cache souvent un bout de métal juste coupant mais sans plus de valeur. Cette ville, ce bijou ou ce trou, selon le conteur que vous trouverez pour vous raconter sa propre version de la réalité, est un sable mouvant. Tout est danger, mais si les gens restent, c'est bien qu'il y a des opportunités non ? Qu'importe ce que vous venez chercher ici - Night City l'a pour vous. Il vous faudra peut-être affronter deux gangs, vous faire planter dans le dos par une corpo avant de l'obtenir, pisser le sang dans une ruelle sombre, mais c'est bien là l'esprit de la cité - la loi du plus fort. Les rêves peuvent devenir réalité ici, c'est vrai. Mais ce qui rend leur poursuite encore plus intéressante, c'est la proximité du danger, celle de les faire tourner au cauchemar à tout instant. De toutes façons, demain, à 21h43 précisément, tout ça n'aura plus aucune importance. Parce que pour une fois dans l'histoire de cette maudite ville, tout le monde pourra enfin regarder dans la même direction.
NEVER FADE AWAY est un projet de forum city-gang futuriste et sombre, basé sur l'univers de Cyberpunk 2077 (créé par Mike Pondsmith et repris par CD Projekt) se déroulant à Night City, une ville de Californie aux Etats-Unis, en 2078. Ouverture prévue avant la fin du mois de février !
Retrouvez nous sur notre discord de projet. N'hésitez pas à nous contacter par le biais du ASK si vous avez des questions concernant le projet.
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orageusealizarine · 1 year
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Pour toi, il n’y a pas de révolte, seulement la terre qui tombe à un rythme régulier sur le bois. Il n’y a pas de folie. Les étoiles ne tombent pas du ciel, droit dans tes yeux, tes yeux extasiés, écarquillés, prenant toute la place sur ton visage, tes yeux indéfinissables, dévorés par les astres et dévorant tout ce que tu vois. Tes cheveux ne sont pas des coulures, ne dégorgent pas d’eau dans ta nuque, sur tes épaules, tes cheveux ne sont pas des effets de l’eau, des reflets du soleil chamarrés sur la mer. Tu n’es pas dans l’univers une partie élémentaire, tu n’es pas dans le feu des astres, de la foudre, un éclat de lumière, une parcelle électrique, une nuance encore jamais vue. Tu ne fais pas partie des choses, de l’univers, tu ne fais pas partie, tu n’es rien, tu es rien, ce quelque chose qui ne s’incruste pas dans le ciel, qui ressort sur l’écorce des bois, tes bras n’épousent pas la rugosité des murs de pierre, tu ne baises pas les courants d’air déposés sur tes lèvres ;
tu les avales, tu les brises avec tes dents, tu suffoques de tout ce ciel dans ta gorge, tu n’es pas à l’image de l’univers, une partie de cette partie visible, tu n’es pas en communion avec ce qui est, ce qui reste, même quand tu fermes les yeux, avec ce qui ne change pas de place, ne change pas d’identité même s’il change de forme, grandit, s’expand, tu n’es pas dans la stabilité du monde mouvant des êtres de l’air, de l’eau, tu n’es pas dans ce même-ipse qui manque aux êtres de chair, tu es dans l’inconsistance de l’homme, de la femme, tu oublies la matière de ton corps, les épousailles de ta peau avec la terre ocre, rouge, noire. Tu oublies tes respirations dans des jeux qui n’engagent pas les rais de soleil, tu ne regardes pas au travers des carreaux pour enlacer le ciel
de tes yeux devenus transparents à force de les lever dans la lumière, de les délaver dans la pureté, les tremper dans la clarté des ciels, tu ne vois pas les herbes qui défoncent l’asphalte, les murs, les pétales qui tombent, tombent après la pluie tes doigts ne les ramassent pas, tes lèvres n’embrassent pas le gravier sur les feuilles souillées de la terre soulevée par la violente relâche de la pluie. Tu ne fais pas partie des choses.
Tu ne fais pas partie des rues, des grands vents, des parcs, des maisons, des objets toujours posés au même endroits par les esprits distraits, tu n’es pas au-dedans des ombres sur lesquels mes pas reposent, ne pèsent pas, tu ne fais pas partie des rectangles de lumière sur les façades des immeubles, ni des branches qui les caressent. Tu ne fais pas partie des choses que j’aime.
Tu n’es pas dans le cœur des paroles brisées, transportées dans un espace vide, déplacées avec les passants, tu n’es pas dans la paume des prairies ni dans les plis au coin des lèvres. Tu n’es pas, tu es dans l’aveuglement des bourdonnements de ce que je ne sais pas nommer, pas dans l’étrangeté des jours qui défilent, des pages arrachées aux calendriers, tu n’es pas dans mon cœur la pierre qui roule, le granit qui braisille sous les paupières du soleil, les larmes dans mon cou quand la mer s’en est allée, tu n’es pas dans l’air que je respire,
une dentelle ombrée dans la faïence du ciel, un repli secret sur la peau, sur le tronc des arbres, les cils des fleurs, les ascensions condensées de la rosée le matin, tu n’es pas dans les plantes entre mes doigts, sur mes lèvres qui tremblent, pas dans l’émotion du sable sous la pulpe de mes doigts, tu n’es pas,
tu n’es pas, pas dans mon émotion devant tout, tout, tout, cette constellation universelle qui me fait marcher en équilibre sur le macadam le plus stable, les larmes aux yeux, ni même dans le frémissement des inconnus qui m’effleurent de leurs parfums, ni dans la clarté, ni dans l’ailleurs, ni dans mon regard, pas de merveille, pas mes merveilles...
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