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#suicide au médicaments
acheterdupentobarbital · 10 months
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Où peut-on se procurer le Nembutal Pentobarbital ?
Où peut-on se procurer le Nembutal ?
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Depuis que le Nembutal est devenu un produit controversé dans le monde entier, la demande pour ce produit a augmenté. Il s’agit d’un médicament éprouvé et fiable qui apporte le calme aux patients. Il est largement utilisé à des fins d’anesthésie dans l’industrie médicale. Il se présente sous différentes formes, notamment en poudre, en capsules, en comprimés et en liquide. Et pour acheter toutes les formes de Nembutal, vous pouvez contacter directement une pharmacie en ligne Nembutal.
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Même s’il existe plusieurs magasins qui peuvent vous aider à acheter du Nembutal en ligne, il devient essentiel de choisir celui qui est fiable et digne de confiance. Et cela peut être une tâche assez difficile. Mais vous n’avez pas à vous en inquiéter. L’arrivée de la pharmacie en ligne de Nembutal est déclarée être une aide immense pour les personnes qui veulent acheter du Nembutal.
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icariebzh · 7 months
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 "Mieux vaut se suicider à domicile que se tuer au travail." Blaise Lesire  lCorection effectuée sur les saints conseils du Marquis de l'Orée, ici-même
"Barbituriques, anxiolytiques, insuline, morphine, chloroquine, alcuronium. Selon leurs dosages, cette liste de médicaments n’est pas pensée pour soigner, pour guérir. Au contraire, ils sont faits pour tuer. Pour se tuer plus exactement. Ces prescriptions précises constituent l’essentiel du dernier chapitre d’un livre intitulé Suicide, mode d’emploi. Histoire, technique, actualité, publié en 1982. Claude Guillon et Yves Le Bonniec, les auteurs de cet ouvrage, sont deux intellectuels anarchistes et libertaires qui revendiquent le droit à mourir. Et qui placent cette question au cœur de la lutte des classes. Ainsi, Guillon et Le Bonniec militent pour que le droit à mourir puisse être exercé par tous sans douleur, sans violence. Autrement dit, que le suicide médicamenteux, pensé comme le moins douloureux, ne soit pas réservée aux médecins, aux pharmaciens, aux bourgeois. Que les ouvriers, les prolétaires, ne soient pas condamnés à choisir entre le fusil, la pendaison ou la défenestration. Qu’ils puissent eux aussi exercer leur droit au suicide dans les mêmes conditions, avec les mêmes “options”, que les autres. Mais ces informations sont dangereuses. Les Hommes, fragiles, et la mort, politique. Quinze ans après sa publication, des dizaines de procès et une loi plus tard, le livre et sa liste de médicaments mortels seront censurés et condamnés à disparaître. Un récit documentaire de Juliette Prouteau" Source: France-Inter Suicide mode d'emploi, le livre interdit 
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"Ce qui est gênant dans la morale, c'est que c'est toujours la morale des autres." Léo Ferré
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bonheurportatif · 1 year
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En juillet, j'ai quitté tumblr (4)
22 juillet J'ai remonté la plage avec ma chérie et observé les tableaux de saison. J'ai temporisé dans la rue pour éviter la discussion avec la voisine bavarde. J'ai découvert le nom de l'étoile de mer à 11 branches que Cadette avait observée à Colera : un crachat d'amiral. J'ai préparé une belle salade d'été. J'ai lu Au bonheur des titres, de Thierry Paquot. J'ai mangé une gaufre.
23 juillet J'ai dormi dans le canapé pour laisser ma chérie malade dormir tranquille. Je me suis fait piquer par un moustique. La supérette bio était fermée. J'ai fait les courses dans la grande surface où je n'aime pas aller. J'ai survolu Faire la fête, sociologie de la joie, de Philippe Steiner. J'ai préparé ma première focaccia et j'ai attentivement observée toute sa cuisson. J'ai préparé quatre petits pâtons de pizza. Nous avons retrouvé Olivier et Virginie sur le front de mer. J'ai trouvé que certains mots ne sonnaient pas justes.
24 juillet J'ai clarifié un doublon de rendez-vous chez le dentiste. Dans la rue, la guerre du stationnement au plus près de sa location de vacances a fait rage. J'ai bien réussi une petite pizza courgettes-menthe. J'ai accompagné les filles dans les magasins. J'étais en mission secrète de repérage. J'ai acheté trois T-shirts. J'ai appelé ma mère pour la sainte Christine et je savais qu'elle savait que je ne l'appelais pas pour ça. J'ai fait sur commande un petit tofu aux lentilles plutôt réussi. De randonnée en résidence, je le suis égaré sur internet. J'ai bidouillé du code HTML à tâtons, sans dégâts apparents, ni résultats (encore) visibles. (Junior a commencé sa partie de jeux en ligne à minuit moins le quart.) Je me suis endormi bercé par le bruit des vagues.
25 juillet J'ai laissé en plan la caisse automatique, qui ne voulait pas lire les codes-barres. J'ai étendu et plié deux tournées de linge. J'ai survolu Les Formes brèves, d'Alain Montandon. Je n'ai pas résisté à l'appel de la sieste. J'ai complètement oublié que je voulais faire une nouvelle tentative de focaccia. J'ai rêvé de Jura suisse.
26 juillet J'ai passé la matinée sur des sites de revues universitaires traitant de divers rapports textes/images. J'ai tranché dans la chair ferme de deux grosses tomates. Je n'ai rien trouvé chez le libraire. J'ai attendu Junior à l'ombre de la cathédrale, sur la rampe d'accès, nouvelle pièce à ajouter à ma collection de lieux d'attente en pleine conscience. J'ai acheté d'impulsion six pasteis de nata en passant devant la boutique. Un commanditaire m'a appelé pour me donner du boulot avant ses vacances. On est arrivé pile à l'heure pour le train de la chérie de Junior. Une piste inoccupée était ouverte spécialement pour moi à la station-service parmi de nombreuses files de bagnoles.
27 juillet J'ai maladroitement tenté de me suicider à deux reprises dans mes rêves : une première fois en allant me noyer en mer après avoir dérivé nu allongé sur un paddle au large de la plage ; une seconde, dans ma chambre d'adolescent, après avoir avalé au petit matin un comprimé létal prescrit comme un médicament, échouant pour diverses raisons à rédiger ma lettre d'adieu : pas de feuilles A4 vierges pour écrire, mauvais choix des mots destinés à mes parents, etc. Dans les deux cas, j'en suis sorti vivant. J'ai fait mon petit sac pour notre séjour charentais. J'ai calé sur le gros poke-bowl. J'ai retrouvé la ville et mes impressions mitigées. J'ai mobilisé deux libraires pour chercher un bouquin sur leurs rayons. C'est ma chérie qui l'a trouvé. J'ai fait un arrêt dans l'autre librairie, bien plus accueillante. J'ai fait un détour par les petites rues. J'ai lu Déplacer le silence de Etel Adnan. On a dormi sur un lit de fortune dans le salon de Cadette.
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e642 · 2 years
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Il faut tenir le cap, il ne faut pas faillir. Qu'est-ce que l'on peut bien raconter à des parents qui ont déjà été désemparés et marqués par le passé ? Je ne peux rien leur dire, rien de plus que des raisons bateaux, logiques, compréhensibles. Quand ils me demandent pourquoi ça ne va pas, comment pourrais-je leur répondre, dans les yeux, que ce qui ne va pas c'est le fait de vivre ? Un parent n'est pas conçu pour entendre certaines choses, pour les concevoir, pour en voir la portée. Je suis au fond en ce moment, vraiment ça ne va pas et ce n'est plus possible d'avoir des moments à vide comme il y en a déjà eu. Cependant, on a de cesse de me rappeler que j'ai l'air d'aller si bien, peut-être que les gens se rassurent, préfèrent me couper la parole quand je suis sur le point de dire la vérité pour répliquer que je n'ai pas besoin de parler pour que l'on voit comme je vais bien. Certainement que personne n'a envie d'entendre cette vérité si torturante et si redoutée. Puis quoi dire de plus une fois qu'on a dit que ça n'allait plus ? Qu'est ce que ça veut dire aller mal ? Ne plus réussir à se doucher ? Pleurer souvent ? Avoir envie de mourir ? Ou encore planifier son suicide ? Nous sommes déjà arrivés au point de non retour, ça a déjà été trop loin, je suis arrivée à l'avant dernier stade, celui du comas artificiel quelques jours après une prise volontaire de médicaments. Le prochain c'est le suicide, le vrai, celui qui gâchera pour de bon l'existence des gens qui m'aiment. Je ne sais pas si s'effondrer en cachette est une meilleure solution mais il est impensable pour beaucoup de mes proches de revivre le même calvaire. Je comprends. J'entends tout a fait même si je suis là première en détresse en définitive. Je prends sur moi jusqu'à l'épuisement et des fois, au milieu de la nuit, je me demande si c'est possible de mourir de fatigue. Je me sens si puissamment terrassée par quelque chose de supérieur à moi que j'ai la sensation trop réelle qu'un jour je pourrai ne plus me lever. En réalité, je ne sais pas comment faire pour aller mal car si je m'abandonne à mon mal être, si je lui donne l'intérêt qu'il recherche, si je mets la lumière dessus, je finirai tôt ou tard par passer à l'acte. Je repousse, je me dis que c'est un coup de mou comme les autres et ce chaque fois mais je sais qu'un jour ça ne suffira plus. Ça ne peut pas être un quotidien viable celui que je mène.
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christophe76460 · 3 months
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Pour des enfants bien portants
« Que nos fils soient comme des plantes croissant dans leur jeunesse, et nos filles comme des pierres d’angle, ornementées selon le style des palais. » Psaume 144:12
En 2003, le ministre français de l’enseignement scolaire a présenté un rapport alarmant sur la santé des enfants. Les troubles relevés ne cessent d’augmenter, tant en nombre qu’en gravité.
Plus de 10 % des enfants entre 5 et 12 ans sont obèses : la pratique sportive diminue et on se sédentarise toujours plus.
L’anorexie touche une fille sur 100 et parmi celles-ci 10 % meurent chaque année.
Les consommations « à risque » (alcool, tabac, cannabis, médicaments psychotropes) sont en augmentation et touchent des adolescents de plus en plus jeunes. Leur absorption conjuguée accroît encore les risques.
Le taux de suicide est très élevé chez les jeunes : 7 % des 11-19 ans ont attenté à leur vie ; avec les accidents de la route, le suicide est la principale cause de mortalité des adolescents. Plus inquiétant, on cherche à s’ôter la vie de plus en plus jeune et un suicidaire sur trois récidive.
Tout cela, sans parler des troubles du comportement, des dépressions, des problèmes de langage, etc.
Triste constat que celui d’une société dont les enfants sont dans un tel état !
Pourtant, quel parent ne pourrait pas faire sien le souhait imagé du psalmiste ! Nous aimerions tellement que nos enfants croissent harmonieusement. Alors, comment y parvenir ?
Le premier secret est certainement l’entente entre les parents : toutes les études montrent que ces comportements inquiétants sont plus qu’amplifiés dans les familles désunies. Un couple uni et engagé pour le Seigneur est le plus beau cadeau à faire à nos enfants.
L’hygiène de vie est primordiale : au lieu de grignoter des chips en jouant à la Play station, partons ensemble faire une balade en forêt ou un tour à vélo ! Au lieu de veiller trop tard devant un téléfilm déprimant ou malsain, pourquoi ne pas se coucher une heure plus tôt, pour mieux profiter des cours du lendemain ?
L’ouverture vers les autres enrichit et combat l’égoïsme ; elle permet aux enfants de prendre conscience de leur situation privilégiée.
Enfin, par-dessus tout, cherchons à avoir une vie riche, en famille et dans l’église locale. Ce psaume 144 se termine par ce cri : « Bienheureux le peuple qui a l’Éternel pour son Dieu ! » Vivons-le avec nos enfants !
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eaux-fortes · 3 months
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“Le sentiment patriote pour vous c’est apprendre à trahir son pays. Vous êtes la maladie qui fait raquer le médicament. Vous êtes la moisissure sur l'arbre démocratie. Vous êtes l’infiniment nocif des pathologies chroniques. Vous êtes pourquoi des peuples par milliers sous des tentes meurent de froid chaque hiver. Vous n’avez que le mot démocratie à la bouche, quand vous n’incarnez que le crachat sur son étendard. Vous êtes médiocratie. Vous êtes pornocratie. Vous êtes les pions de ceux qui parient sur les dettes de vos pays voisins de vos pays frères. Vous êtes tristes esclaves de vos pourritures d’amitiés financières. À ta santé Bolloré ! Vous êtes des comptes en Suisse ou Panama. Vous parlez de combat quand vous ne savez que fuir. Vous parlez de victoire quand vous puez la défaite. Vous parlez d’union quand vous n’êtes qu’ambition individuelle. Vous êtes la fin des idéaux. Vous êtes la cause des montées des fascismes. Vous êtes la cause des peuples suicide, agriculteurs, profs, chômeurs. Vous n’êtes plus rien que les porte-valises des maîtres de la bourses. Vous êtes drapeau des Tartuffières. Vous êtes faiseurs de soufrière, qui bientôt prendront feu. Vous aurez sur les mains le sang de la mort de la démocratie un jour, au profit de l’esclavagisme de l’Homme par le cours des actions. Démocratie a enfanté du pire. Que continue le fascisme anonyme de la grande toile boursière. Que continue la fange satellitaire. Que continuent les flux d'argent. Que continuent les guerres. Que continue l'enfant, sous les bombardements. Que continue la mort de la classe populaire. Que continue chimique qui vient violer ta terre. (...) Les compagnies financent les médias. Les médias font élire le politique. Et le politique encule son peuple.” Damien Saez, Lettre apolitique / Lettre à politique (2/2).
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omagazineparis · 5 months
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4 icônes mode et beauté inoubliables
Jane, Jackie, Audrey, Marilyn... Des prénoms de femmes pourtant si différentes, avec une chose en commun : toutes ont marqué l'histoire de la mode et de la presse people par leur beauté, leur élégance, parfois même leurs frasques. Retour sur quatre femmes propulsées au rang d'icône. Audrey Hepburn, l’élégance intemporelle  Actrice mainte fois reconnue par la critique et icône mode incontestable des années 50, la belle Audrey se démarque par sa frange courte et son style, résolument chic. Rendue célèbre par ses nombreux rôles au cinéma, notamment pour Vacances romaines et Diamants sur canapé, c’est pourtant à une carrière de danseuse que la jeune Audrey se destinait. D’une silhouette élancée, presque androgyne, et très maigre, elle est à l’antipode des canons de beauté de l’époque qui privilégient les formes pulpeuses à l’égard de la célèbre Marylin Monroe. Pourtant, le film Sabrina la propulse en icône mode, dés lors, elle puise sa popularité de sa différence. Grande amie du créateur Hubert de Givenchy, elle sublime ses créations iconiques à l’écran comme à la vie. Tout naturellement, elle s’impose comme une dictatrice du bon goût, faisant de sa maigreur et de son élégance ses principales qualités, et créant son propre style, loin des dictats de la mode. Petites robes noires, lunettes de soleil, collier de perles et grands chapeaux, Audrey Hepburn a su faire de son authenticité une véritable force.   Marylin Monroe, la sex-symbol incomprise Marylin Monroe étincellante dans sa robe satinée Très loin du style unique de la jolie Audrey, Marylin Monroe est la représentation de la pin-up des années 50. Petite, taille fine et courbes généreuses, elle se fait remarquer dans des petits rôles au cinéma avant de devenir le sex-symbol que l’on connaît. Véritable mythe, elle est plus connue pour ses amours tumultueux et ses nombreuses frasques que par son CV hollywoodien. Même si la belle Norma Jean Baker, de son vrai nom, décroche d’importants rôles comme dans Certains l’aime chaud en 1959, ce sont ses photos dénudées, sa chevelure blonde, son grain de beauté dessiné au crayon, sa robe soulevée par le vent au dessus d’une bouche d’aération ainsi que son fameux « Happy Birthday » et sa relation intime avec le président J.F.Kennedy qui construisent le mythe. Pourtant, vite enfermée dans le rôle de femme fatale qu’elle s’est créée mais qui ne lui ressemble pas, Marylin tombe en dépression. Elle se sent seule, réduite au stéréotype que son image lui renvoi et se perd dans l’alcool, les médicaments et les drogues. Cette triste descente aux enfers la conduira à sa perte, le 5 aout 1962. L’autopsie conclue à un suicide, bien que les circonstances de sa mort reste encore aujourd’hui mystérieuses. De sa mort est né un nouveau symbole. Celui d’une femme fragile, attachante, peut-être même incomprise. Mais plus que jamais, Marylin reste l’icône de beauté et de mode par excellence.  Jane Birkin, la baby-doll des sixties Jane Birkin en tee-shirt en jean flare. Source : instagram Icône du style dans les années 60 et 70, Jane introduit avec désinvolture des looks innovants et révolutionne la mode à tout jamais. Elle lance même des tendances qui marqueront notre époque, notamment le combo tee-shirt, jean, baskets. A lire également : Portrait de Cyril LignacOn retiendra surtout de Jane, son idylle tumultueuse et passionnelle avec Serge Gainsbourg, dont elle fût la muse pendant douze ans. Ils se sont rencontrés sur le tournage du film Slogan en 1968, alors que Jane avait seulement 22 ans et un charmant accent britannique. De leur amour est née la petite Charlotte. Malheureusement, le couple mythique se sépare suite à de nombreuses frasques de Gainsbarre. Entre alcool et violence, Jane rompt définitivement avec Serge en 1980. Icône préférée des Parisiennes dans les années 70, Jane lance la mode de la frange effilée. Son style, composé des pièces phares vues sur les podiums, devient une référence en la matière. Robe en grosse maille transparente, panier en osier, top en coton, jean flare… Autant de basiques qu’elle revisite à sa manière, et qui lui permettent de devenir une véritable pionnière de la mode !  Jackie Kennedy, l’incarnation BCBG Jackie Kennedy descendant de l'avion a l'aeroport de New York ou elle va etre nommée pour sa contribution à la culture et aux arts du New York University's Institute of Fine Arts, 17 octobre 1962 Première dame américaine intemporelle, Jackie Kennedy, de son vrai nom Jacqueline Bouvier, demeure une icône de style et de grâce qui ne cesse d’inspirer des millions de femmes. Dés son arrivé à la Maison Blanche au côté du président John Fitzgerald Kennedy, Jackie bouleverse les codes vestimentaires traditionnels. Désireuse d’incarner la modernité, elle porte, sans jamais aucun faux-pas, des robes élégantes monochrome. Plus que les vêtements, le carré court bouffant qu’arbore Jackie devient très vite un accessoire de mode que de nombreuses femmes s’empresseront d’imiter.  Presque aussi culte que la femme, personne n’oubliera le célèbre tailleur rose en maille bouclette qu’elle porte lorsque son mari se fait assassiner le 22 novembre 1963. Ce macabre tailleur apparaît d’ailleurs dans de nombreuses représentations de Jackie, notamment au cinéma. Tenues minimalistes, matières nobles, cheveux toujours bien coiffés, double rangée de perles autour du cou, Jackie s’est façonné un style unique. A la fois élégante et avant-gardiste, elle s’inspirait de l’élégance parisienne, sans toute fois trop en faire.  Et vous, quelle est votre icône mode favorite ? Quelles femmes vous inspirent au quotidien ? Read the full article
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xpoken · 8 months
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Les substances interdites ont provoqué des scandales et des perturbations dans les concerts de Parker
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Charlie a développé une réputation de musicien peu fiable.  Pour une dose de « médicament », Parker jouait dans la rue pour demander l'aumône ou mettait son saxophone en gage dans un prêteur sur gages.
En 1948, Charlie enregistre son mariage avec Doris Green, qui, après la mort du saxophoniste, devient la veuve officielle de Parker.  Cependant, la véritable épouse du musicien au cours des 5 dernières années de la vie de l’homme était Beverly Dorothy Berg, connue sous le pseudonyme de Chan.
Charlie a rencontré une jolie jeune fille juive de 18 ans qui travaillait comme danseuse dans une boîte de nuit en 1943, mais le gars et la fille sont restés longtemps amis.  La belle a réussi à donner naissance à une fille, Kim, d'un autre musicien de jazz et était mariée à un autre jazzman nommé Richardson avant de se réunir avec Parker.
Chan a donné naissance aux deux enfants de Charlie, un fils, Baird, et une fille, Pri.  La mort du bébé au début de 1954, à l'âge de trois ans, fut un coup dur pour Parker et le renvoya à la dépendance à l'héroïne dont il s'était débarrassé.  Charlie a survécu à deux tentatives de suicide.
Chan décrit sa vie personnelle dans le livre « My Life in E Flat », qui a servi de base au biopic de Clint Eastwood « Bird ».  Le rôle de Parker dans le film biographique a été joué par Forest Whitaker.
La vie du jazzman s'achève le 12 mars 1955 à l'hôtel Stanhope dans des chambres louées par la baronne Pannonica de Koenigswarter.  La plus jeune fille du banquier et entomologiste Charles Rothschild a fréquenté Parker.
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aurianneor · 8 months
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Le prix plafond et le prix plancher
L’alimentation, le logement, l’énergie, l’éducation, la santé et les armes ne peuvent pas être laissés au marché. Il faut un contrôle des prix.
Ce ne sont pas des biens de consommation. Ce sont des denrées essentielles aux besoins humains. La raison même de la civilisation est de pouvoir donner ces denrées. Ce ne sont pas des biens pour enrichir une partie de la population. Il faut que les gens soient assurés de pouvoir vivre dignement à hauteur de leurs moyens.
Les gens n’ont pas besoin de charité mais d’un prix juste. Ils ont le droit de pouvoir dignement se loger, se nourrir en accord avec l’environnement, d’avoir de l’énergie pour se chauffer, de s’éduquer et de pouvoir se défendre. (La Déclaration universelle des droits de l’homme: https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/)
Le prix d’un obus a quadruplé depuis la guerre en Ukraine. Les vendeurs d’armes profitent et encaissent de l’argent public.
Sans contrôle des prix, les loyers en ville deviennent inabordables pour une partie de la population. Les propriétaires fixent les prix sans limites. Ils n’ont rien crée, ils n’inventent rien. Ils représentent 75% du personnel politique. Ce sont des héritiers. Un prix maximum sur les loyers améliorerait la vie des gens, allègerait les charges des entreprises, fluidifierait les liens entre ville et campagne et ça couperait un revenu passif, une rente qui donne un trop gros avantage à ces gens pour faire de la politique car ils ont du temps. Cela a un impact sur la démocratie représentative.
Les paysans doivent pouvoir vendre leurs produits à leur vrai coût et pas à un coût abaissé par les subventions. Les producteurs étrangers n’ont aucune chance de sortir de la pauvreté. Les produits sont achetés à des prix de plus en plus ras de terre et vendus de plus en plus cher. Chaque jour, les agriculteurs se demandent si leurs revenus ne va pas s’envoler du fait des aléas du marché. Cela ruine leurs familles et le risque de suicide est multiplié par trois. On ne peut pas tolérer ça. Il faut acheter à un prix décent.
Il faut un contrôle des prix sur l’énergie. Il ne faut pas payer quand c’est trop cher. Ce ne doit pas être une ressource privée. Elle est défendue par des guerres pour que certains se l’approprient à des fins privées. En 2022, l’électricité a augmenté de mille pour cent. Cela n’était pas dû à des coûts de production plus élevés mais à la spéculation au prétexte de la guerre en Ukraine.
L’éducation ne doit pas être un revenu. En occident, une scolarité en moyenne revient à 25 000 dollars l’année. Cela met une pression impossible sur les étudiants et mène à une épidémie de drogues comme on n’en a jamais connu. Cela enrichit les banques. Cela impacte sur l’égalité des chances. Il doit y avoir un prix maximum. Pas des aides à l’éducation où l’argent public va directement dans les poches des écoles.
Actuellement la sécurité national ne rembourse plus de nombreux médicaments. C’est conditionné au salaire et exclue les immigrants. La santé est subventionnée. Les laboratoires fixent leurs prix récupérant ainsi l’argent public sans lien avec les coûts de fabrication et de recherche. De nombreux médicaments, pourtant efficaces ne sont plus produits sous prétexte qu’ils ne sont plus rentables. Les laboratoires sont très riches et vivent de la santé publique, donc de l’argent issu des impôts et bloquent certaines découvertes scientifiques sous prétexte qu’elle leur rapporterait plus. Par exemple, guérir le diabète en une injection rapporte moins qu’un malade à vie. Les brevets devraient être dans le domaine public. La recherche devrait être publique et financée par l’argent que ne prélèverait plus les laboratoires.
A la fin des années 60, il y avait un contrôle des prix sur ces six piliers. C’était une économie dirigée. Un fermier aux Etats-Unis pouvait vendre au grenier public quand le marché n’était pas favorable.
Dans les année 70, on est passé à l’Etat providence où le marché fixe les prix et la collectivité donne une subvention pour que les particuliers puissent payer. L’administration Nixon a mis en place le système des subventions pour maintenir les travailleurs dans une situation de mendicité pour briser les grèves en les rendant dépendants de l’Etat. 
Cela s’est mondialisé car les intermédiaires achetant à moindre coût les produits américains ont obligé les autres pays à aligner leurs prix en donnant eux-aussi des subventions. Les travailleurs ne sont plus indépendants, ils sont obligés de se conformer aux exigences des Etats pour toucher les subventions. C’est un outil de contrôle.
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Le parapluie à cachetons: https://www.aurianneor.org/le-parapluie-a-cachetons-la-recherche-sur-les/
Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Les drogues: https://www.aurianneor.org/les-drogues/
Les intermédiaires: https://www.aurianneor.org/les-intermediaires/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
Les paysans vont enfin se faire du beurre: https://www.aurianneor.org/les-paysans-vont-enfin-se-faire-du-beurre-trop-de/
Vivre dignement: https://www.aurianneor.org/vivre-dignement/
Le logement: https://www.aurianneor.org/le-logement/
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nebuleuse-mirobolante · 9 months
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De l'Enfer au Courage
Harmonie et Alexia , 26 ans
Harcelée, violée, battue depuis plusieurs années, Alexia Harmonie multiplie les tentatives de suicides et les addictions pour s’effacer et oublier. Au fond, elle sait qu’elle doit se sauver, seule.
Je suis au milieu des couloirs blancs des urgences de l'hôpital. Ils sont clairs et livides comme l'amertume d'un sédatif dont la couleur aurait été poignardée par un canif. Il y a des cafards par terre et la lumière blafarde est agressive, livide et aseptisée à la fois. La nuit est glauque et tout pue autour de moi, des couloirs à la vision que j'ai de ce monde.
Je viens d'avaler plusieurs plaquettes ou boîtes de médicaments extrêmement puissants. J'ai du mal à respirer par moments, je délire, divague dans le vague et me demande réellement si ce sont mes derniers instants. Si je m'endors, je sais que je vais m'envoler vers un au-delà infernal aux mille démons abominables. Alors je lutte, telle une guerrière, les yeux dans les vagues pendues, la respiration courte et perdue, pour rester éveillée en vie dans cet hôpital qui me dégoûte. Car au fond, je veux vivre, sans savoir encore vraiment pourquoi.
J'entends les cris absolument atroces de vieux assassinés par la douleur et le manque de moyen des hôpitaux. J'entends parfois celui qui est considéré à tort comme fou, hurler dans une chambre d'isolement en camisole. Le sol est presque aussi sale que celui d'une déchetterie et les toilettes puent la pisse et en sont envahie. Je suis enfermée, en blouse atroce d'hôpital sans mes affaires, ni livre, ni musique. Aucune possibilité de m'échapper et aucun soutien pendant de très longues heures, voire plus. En clair, c'est l'enfer mais je dois vivre. Les infirmières sont désagréables. Je n'ai plus ou pas de passion ni aucune amie. Tout le monde me déteste ardemment ou me méprise dans ce monde.
Battue et harcelée depuis l’enfance
J'ai 11 ans et ce qui me sert soit-disant de père me bat violemment depuis quelques années alors que je vis déjà du harcèlement extrêmement violent à l'école par tout le monde, professeurs et élèves. Il se jette sur moi, me balance très violemment contre le carrelage tout en me rouant de coups de poings sur la tête et sur mon dos nu. Des coups de chaussures tellement violents que je ne peux plus du tout respirer. Je suis entièrement rouge comme une tomate éventrée. Ma mère hurle en pleurant : « Arrête, tu vas la tuer. » Je pense que je vais mourir. Je le sens. J'ai 11 ans et la seule chose à laquelle j’arrive à penser dans le chaos c'est : je vais partir à jamais.
Mon père s'arrête enfin au bout de longues minutes qui me paraissaient être interminables. Je ne respire plus. Je ne pense plus. Je suis inconsciente dans cette douleur physique et psychique, tellement abominable. Me sentant à jamais humiliée, démolie, détruite à jamais dans un enfer digne d'un film de guerre et d’horreur. Je veux mourir, plutôt mourir que de ressentir ça. A l’âge de six ans, j'avais déjà prié dans mon lit pour mourir, car je savais que ça allait être trop dur. Que ce monde là me détruirait.
Frôler la fin
Ma mère me raconte que dans la poussette, j'avais failli mourir sous un énorme rocher de chantier qui était tombé juste devant la poussette. Je savais que j'allais essayer de nombreuses fois d'en finir plus tard. Je fais de nombreuses surdoses graves de drogues, plusieurs tentatives de suicide sans compter les nombreuses mises en danger ou je fais du stop la nuit et erre le soir.
Je frôle tant de fois la fin des fins, en passant de l'instant où je suis à la limite d'être écrasée par un bus, à une seconde même pas. Je crois aussi que je vais mourir brûlée vive suite à un mouvement brusque avec une cigarette sans pouvoir bouger pour éteindre mes cheveux. Je suis tétanisée. Heureusement au dernier moment quelqu'un m'arrose avant que le drame n'arrive.
Je tente bien plus tard de me jeter, en crise de larmes, du 12ème étage chez mon premier ex copain horriblement toxique qui me retient violemment. Il me donne un mélange de drogues chimiques pour avoir la paix. Il me parle agressivement et froidement et me fait partir brusquement de chez lui dans un état où je suis presque inconsciente. Je réussis par miracle à rentrer chez moi avec le cerveau entièrement déconnecté, comme si mon corps marchait véritablement tout seul. Je tente la mort en étant si proche d'elle.
Mes appels à l’aide sans réponse
De nombreuses années plus tard, à l'âge adulte désormais, je suis violée dans un parking aussi glauque qu'un cimetière en pleine nuit. Je suis en quelque sorte abandonnée par cet homme dans sa voiture. Je contacte un ami très proche pour lui expliquer ce qui s'est passé. Au plus profond de moi même, je sais que j'ai encore été violée dans tout mon antre et que mon âme saigne les cris de mon vagin. Mais c'est cet ami qui me fait le réaliser.
Je sors de la voiture dans cette petite robe moulante atroce que j'ai par la suite jetée. Celle qu'il m'avait mise pour assouvir ses fantasmes sordides et répugnants. Je m'effondre en larmes dans le tramway. Personne ne m'aide. Les hommes me regardent d’un air libidineux tandis que les femmes me regardent de travers.
Désespérée, je demande de l'aide dans mon ancien centre, un hôpital de jour et j'apprends à ce moment-là qu'une ancienne amie à moi est morte. En fait, elle s'est suicidée. Je suis perdue. Je ne trouve pas d'aide, alors je décide d'aller à l'hôpital. Les secrétaires me méprisent ouvertement quand je demande à voir des psychologues ou des psychiatres. Je finis par avoir un bref rendez-vous d'urgence avec le planning familial qui me conseille vaguement. Je sors de cet hôpital qui me paraît aussi fané qu'une fleur d'hiver.
Je marche sous une pluie forte avec mon téléphone cassé et ma carte de transport, perdue dans les rues vides comme mon âme et chaotique comme mon esprit. Je rentre chez moi et dis à ma mère que j'ai été violée. Elle me répond seulement : « Pourquoi tu as perdue mon écharpe ? » Je veux juste en finir mais je serre les dents.
Sombrer dans l’addiction
J'ai déjà un pied dans la toxicomanie mais suite à tout cela je tombe dans la drogue dure. Un antidouleur extrêmement addictif, absolument grandiose au début. C'est un médicament très peu cher que très peu de gens connaissent. Il a un nom musical mais il est destructeur. Je ne prononcerais pas son nom. Il faut juste l'avaler, ne pas se l'injecter mais rien que ça, c'est la mort. Selon les témoignages, rentrer dedans c'est prendre le risque de ne plus jamais en sortir. Il peut provoquer des dépressions respiratoires, des lésions irréversibles au foie, vous rendre handicapé à vie ou extrêmement violent quand vous êtes en manque ou sous l'effet. Vous pouvez en mourir par étouffement lent.
Ce médicament, j'en prends à doses extrêmes en plus. Je suis prête à les tuer pour avoir ma dose. Ma mère m'enferme alors pour me sevrer à la dure. Je prends alors chaque jour bien plus de quarante cachets de mélatonine (hormone du sommeil) et quatre ou cinq sédatifs non addictifs pour dormir et oublier. Le Tercian. On m’en déjà donné à l'âge de 12 ans pour m'assommer dans cet hôpital pédopsychiatrique assez glauque et maltraitant, où j'étais hospitalisée sous camisole chimique.
Du noir à la couleur
Au bout de quelque temps je suis sevrée physiquement. Je subis de nombreuses rechutes jusqu'à être soudainement totalement et miraculeusement dégoûtée, d'un seul coup, par ce médicament. Une pulsion de vie sûrement. Aujourd'hui j'ai réussi à ressusciter. Sinon je serais actuellement prostituée, à la rue, délinquante, criminelle ou même morte plutôt. Hier j'étais morte en moi même d'ailleurs.
Aujourd'hui je suis tellement vivante après m'être propulsée dans la lumière grâce au cri de la Noirceur. Heureusement aujourd'hui je vis, j'ai résisté à la mort, grâce à l'Art ,Dieu ,Jésus et aux Couleurs. Je suis enfin née et ne me suis pas suicidée grâce à la splendeur de ma force, le cri Orange du crépuscule aux vulves si puissantes et le Rose si tendre et profond qui me ramène toujours à cette vie si dure mais si belle.
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Harmonie
Nébuleuse.
Alexia
Lors de cette vie ,j'ai vecu plus d'une dizaine de vies et avant cette incarnation j'en ai vecu peut être plus d'une centaine
J'ai été plusieurs personnes parfois opposées dans celle ci.
J'ai vecu des renaissances comme j'ai connu la fin des fins tant de fois.
J'ai connue l'entité de la mort et ses courbes d'âme qui ne sont pas effrayantes mais splendides .
Lors de cette vie ,j'ai pu être véritablement un garçon,une sainte ,une droguée ,une jeune fille assez lolita,un ovni,une sorcière ,une voyoue ,un monstre possedé.
J'ai été Alexia 1 puis une autre Alexia et encore une autre .
J'ai été Joby,Roberto ,Suzette,Candice,Midori ,Poupon Destroy ,Nébuleuse et desormais je me sent si épanouie en etant Harmonie.
Chacun de ces prénoms symbolise une de mes vies en celle ci.
Je me suis vue renaitre de mes cendres tel un phénix et tel un Aigle la liberté était toujours en moi et le sera éternellement .
J'ai vu la mort car je suis un Hibou dans l'âme.
Je vibre Hibou,transpire Hibou ,resiste Hibou ,pleure Hibou.
Auprès de chacune de mes morts je voyais la fin des fins mais en fin de compte je vibrais dans la renaissance absolue.
J'ai été plusieurs personnes ,plusieurs vies.
J'ai connue les transe chamanique et les extases extrêmes avec Dieu dans lesquelles je fondait en larmes et me jettais parfois même par terre ou alors mon corps dansait tout seul sans que mon esprit lui demande.
Je me suis vue plusieurs fois a l'extérieur de mon corps lors de sorties extra coporelles et ai fait des rêves lucides digne de films de science fiction .
J'ai connue dès l'enfance la torture dans certaines douleurs physiques et émotionnelles insoutenables ou le stade très legerement au dessus est clairement la mort à cause de la souffrance non vivables.
J'ai entendue de près les sirenes de pompiers ou de flics,vu les lumieres blafardes de l'hopital et me suis vue mourir pas très loin du tunnel blanc
J'ai fuguer ou suis partie de nombreuses fois ,dormie chez un tas d'inconnus dans Paris ou ailleurs dans la France et je vivais parfois des choses intenses avec des gens.
J'ai subit des viols,faillit mourir de nombreuses fois de très près.
J'ai crue que j'etait enlevée ,ai frappé violemment un controleur de bus dans l'entre jambe et j'ai aussi été abandonnée dans une voiture apres une agression sexuelle grave.
J'ai fait des voyages intense ou des bad trip sous drogue jusqu'a voyager dans d'autres pays sur place ou même dans le cosmos une fois.
J'ai connue tant de fois la fin et le fond du fond du trou et la plus puissante euphorie des grandeur.
Je me suis échappée d'hopitaux psychiatriques en faisant du stop dans les rues ,en courrant très vite ,en grimpant des grandes barrières.
Ma vie à été peuplée d'aventures ,de renaissances.
Aujourd'hui je me suis encore accouchée hors de moi même en arrêtant de fumer et en rencontrant de nouveau la Couleur Rose qui est en moi.
Je suis devenue Harmonie dans le chaos et le chaos dans l'Harmonie.
Encore une fois sous ma peau , dans mon corps et dans mon sang ,une étoile est née.
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Nébuleuse
Harmonie
Alexia
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saut3relle · 1 year
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16.07.23, 17h20, Aumes, partie 2
Le 14 juillet au matin, lendemain des 3 jours de séminaire et du canoë partagé avec mes collègues que j’ai adoré, je me suis réveillée effondrée. Impossible de m’arrêter de pleurer. Je pensais à ma mère et à mon beau-père qui m’ont ruiné le cœur voilà maintenant plus de deux semaines par ce mail destructeur, quand ni mon conjoint ni moi n’avions jamais rien fait. Jamais nous ne nous sommes boudées plus de quelques jours. C’est la première fois. Cela me ronge, mais l’outrage est terrible et je ne décolère pas. Ma mère a choisi de ne plus me parler plutôt que de se remettre en question. Je crois que c’est ça le pire à vivre. Se sentir abandonnée. C’était la seule famille qu’il me restait. A cela s’est ajouté d’énièmes problèmes de communication avec mon amie J. Pareil, elle est revenue me chercher et maintenant me demande de faire des efforts. J’en ai ras le bol. Qui sont donc tous ces gens qui exigent des tas de choses de moi que j’estime tellement illégitimes et abusives ? Je ne leur ai jamais rien fait. Je leur ai toujours donné de mon temps, de ma présence, et du confort matériel dès que je le pouvais. Je n’y arrive plus. Je l’ai éloignée de moi également, j’ai toujours préféré être seule que mal accompagnée, même si cette solitude me fait terriblement souffrir et me détruit lentement. Continuer à accepter ce que je ne peux plus cautionner, c’est hors de ma portée, hors de mes valeurs, hors de ce que je suis et de ce qui constitue mon essence même.
Je me suis demandée comment j’avais fait pour en arriver là dans ma vie aujourd’hui, à 37 ans. Dans un confort matériel de fou mais dans un vide humain sidéral. Je me dis toujours qu’on est quelque part responsable, et pourtant j’ai l’impression quand même que ces derniers jours ce sont plutôt les autres qui m’ont cherché des ennuis. Mais je suis responsable de mes actes.
J’avoue, ces derniers jours, et plus particulièrement ce vendredi matin, j’ai à nouveau ces pensées de suicide qui ont traversé mon esprit, et plus précisément celui par empoisonnement aux médicaments. La deuxième idée, le jour où ça ne va plus, c’est l’éjection par la portière de la voiture à pleine vitesse.
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tntky · 1 year
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centre d’euthanasie/ qu’est que je fou la ?
J’ai commencé à   ce texte en anglais puis je me   rendu compte que mon vocabulaire qu’on a tellement venter aux mérites du fait que je sois bilingue en vaut pas grand-chose. On dirait une gosse de maternelle qui apprend à former des phrases. Puis je me suis aussi rappeler que mes conjugaisons en français puent la merde. Mais j’aime d’autant plus être ridicule mais plus clair dans ce que je dis que de galérer à trouver des mots pour former une phrase qui ne sera même pas précise. Donc moi et mes fautes de grammaires on vous emmerde. Brb - je vais à un enterrement. Reprenons. Hier soir, j’ai effectué une recherche internet assez particulière. Je ne pense clairement pas être la première ou seule a lavoir fait mais en gros j’ai tapé sur google « centre d’euthanasie ».
Et après avoir scrollé au moins une douzaine d’annonce style « vous avez besoin d’aide ? appelez ce numéro gratuit », j’ai eu des informations que je connaissais déjà. Style : - C’est possible oui mais dans des pays genre la Belgique et la suisse je crois - C’est aussi possible seulement si vous êtes en fin de vie donc a la suite d’une maladie fatale ou d’un diagnostic d’un médecin style la personne est vieille ou plus dans un état de vivre, aka ce qu’on appelle être un légume. No hâte les légumes. - ça inclus plein de démarches légales de paperasses et procédure juridique. (Ah que ce monde est sérieux et dire qui a quelques années on n’avait même pas d’alphabet.)
Bizarrement c’est comme si je m’attends à tomber sur un site web disant « crée toi un compte en cliquant ici et réserve ta date de décès via notre calendrier en ligne. » J’ai déjà lu un paquet de choses sur les personnes suicidaire et le fait qu’en réalité tout ce qu’elles voulaient c’était être sauvées. Et je le confirme, étant moi-même une personne à penser suicidaire. Tout ce que je veux c’est ne plus me sentir comme ça. Mais et si c’était aussi simple que ça de mourir ? Est ce qu’on ne le ferait pas juste ? Parce que on ne va pas se mentir tout le coté souffrance, mort lente et douloureuse qu’on risque de s’infliger lors d’une tentative de suicide, très peu pour moi. En plus si ça foire non seulement tu reviens dans la société étiquetée entant que folle mais tu risques aussi de finir handicaper alors bon… Alors que là avec une assistance médicale qui t’administre je ne sais quoi jusqu’au moment fatidique, ça me parait tout de suite plus sympa.
Je parle de la mort comme si c’était quelque chose de normal. A la base, les gens voient tous ça comme quelque chose de triste et de tabou. Moi je vois plutôt ça comme une délivrance, quelque chose qui viendrais mettre fin à un état de souffrance. Alors je ne vois pas ce qui a de mal à ça. Certes tu fais souffrir ceux qui restent là, dans le monde des mortels mais toi tu ne souffre plus. Pas très étique comme procéder pour aller au paradis je suppose. Mais qu’est qu’on s’en branle du paradis quand sur terre c’est l’enfer.
J’me suis renseignée sur internet. Il semblerait que je souffre de BPD. Oui on ne peut pas s’auto diagnostiquer ce genre de choses mais moi je pars du principe que si tu t’associe au genre d’humour qu’ils postent dans le groupe Facebook de BPD et que tes childhood trauma correspondes, c’est soit une sacrée coïncidence de groupe d’adulte foutue, soit c’est bim dans le mille. Et je me dis qu’avoir changée de psy 4 fois pour finalement passer chez un potentiel psychiatre, ça aurait mener à ce genre de diagnostic. Une vie de médicaments et de thérapie. Au fond, peut être que ça m’aurait aidé à peut-être moins faire souffrir les gens autour de moi a cause de ma façon de voir le monde soit trop noir soit trop blanc. Ne pas pouvoir ressentir les onces de gris car pour moi c’est de l’hypocrisie si on pense quelque chose mais qu’on agit différemment. C’est être lâche que d’être politiquement correcte. Tout doit être classée dans des boites. Sois-tu es gentil, soit tu es méchant mais pas les deux. Sois-je suis la victime et toi mon harceleur, soit c’est le contraire. Pas de juste milieu. Verre toujours a moitie vide ou plein. Et putain que c’est épuisant de repousser tout le temps tout le monde, de pas être comprise. Et personne ne mérite un tel fardeau personne.
Je n’ai aucune confiance en moi. Je ne me sens pas assez bien pour ce monde. Pour y vivre, pour moi mon existence ne vaut rien. Et parce que je me suis mise sa en tète j’en veux au monde autour de moi d’arriver à être heureux alors que moi je galère, je n’y arrive pas. Et j’ai l’impression que cette faiblesse fait que plein de gens profite de moi, alors je les repousse tous. Je n’aime plus personne. Je les hais tout. J’aimerais qu’ils meurent tous ou pour faire plus simple, que ce soit moi qui m’en aille. Il n'y a pas de suite logique a mon histoire, je ne veux même pas connaitre la fin. Je ne veux pas d’enfants pour leurs passées mes gènes de malade mentale. Je ne peux pas m’aimer moi-même alors je n’aimerais personne d’autres. Je suis incapable d’aimer correctement sans faire de mal. Sans que ce soit trop.
J’aimerais tellement que tout ça s’arrête. J’aimerais tellement pouvoir partir, m’éteindre le cerveau et ne plus le rebrancher. J’aimerais pouvoir prendre la place des autres qui sont morts injustement alors qu’ils avaient tellement à accomplir alors que moi ? Je ne sais même pas qu’est que je fou la ?
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christophe76460 · 9 months
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Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles ; et toutes viennent du Dieu qui nous a réconciliés avec lui-même par Christ. 2 Corinthiens 5. 17, 18
Témoignage de Rodney
“J’ai été élevé dans une famille catholique pratiquante mais sans connaître Christ comme mon Sauveur. À l’adolescence, j’ai commencé à m’interroger sur Dieu pour conclure qu’il n’existait pas. J’étais donc athée. J’ai ensuite commencé à me sentir mal dans ma peau, avec des pensées négatives sur tout, au point de penser mettre fin à mes jours. J’ai connu une meilleure période quand des professeurs se sont occupés de moi, en particulier Aline, une croyante, qui m’a parlé de Dieu à plusieurs reprises.
Mais ma situation ne s’améliorait pas. J’ai tenté de me suicider, avec des médicaments, par pendaison ou par noyade. Cela n’a jamais fonctionné mais j’ai senti que quelque chose me protégeait, comme une force qui me maintenait hors de l’eau : pour moi, c’était Dieu. Ma sœur était chrétienne, elle m’a emmené dans une église où on a prié pour moi. Aline continuait à me soutenir. Cependant les mauvaises pensées me hantaient toujours, dans cette vie sans Dieu et sans guide. Et j’allais toujours plus mal. Mon ultime tentative de suicide aurait été de sauter du toit de mon collège, mais je n’y suis pas arrivé.
Je ne savais plus quoi faire pour obtenir cette “délivrance”. C’est ce jour-là qu’une amie de ma sœur m’a invité à prier Dieu. Le lendemain, j’ai donné ma vie au Seigneur. Je lui ai demandé pardon pour mes péchés et je lui ai aussi demandé d’enlever tout ce qui m’oppressait. Ma vie a alors changé. C’était une nouvelle naissance. J’ai rencontré Dieu et il a donné un sens à ma vie. Jésus m’a donné cet amour dont j’avais besoin et comblé ce grand vide dans ma vie.”
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clemecritflower · 1 year
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❗TW : suicide
Musique :
Inside ou - Duster
__
Sa peut aller très vite, une larme de trop, une lame, c'est fini.
Une plaquette de médicaments, plus de nouvelles.
Mais dans le suicide il y a une phase, une phase caché, indéfini.
Cette phase, je l'appelle "pensés,, ou dans son sens inverse "confiance,,
Car cette phase, c'est les pensés qui nous reviennent quand on est près.
Cette personne a qui tu avais commencé à parler qui t'a dit qu'elle était la pour toi, oui qui t'a jamais envoyé un autre message.
Ton frère ou ta sœur, quelle image de toi va t'il avoir en te voyant ? En te voyant morte sur le sol?
Sinon, il y a la confiance.
Ou peut être là confirmation ?
La confiance que tu es prêtre a en finir, que, personne ne se souviendra de toute façons, tu n'es qu'une personne de plus parmis tant d'autre.
La confirmation dans le ton de sa voix qui te dit que si tu le fais, il en auras rien a faire, qu'il ne viendra même pas te dire au revoir, pas d'excuse, rien.
Puis tout va vite.
Le maquillage de tes yeux qui coulent sous tes larmes.
Puis, tes bras, tes jambes, ton bassin, ton corps.
Tout est en sang, même cette lames de rasoir.
Puis tu fermes les yeux, tu écoutes ton coeur battre moin fort, les larmes s'arrête de couler, la respiration est plus dure, mais réconfortant.
Tout s'arrête, tu souris puis, plus rien.
----
🌟
Salut !
J'aime beaucoup celui là, la fin qu'il prend surtout.
En plus de sa, c'est mon tout premier que j'ai fais !
Et c'est un de mes préférés.
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omagazineparis · 5 months
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4 icônes mode et beauté inoubliables
Jane, Jackie, Audrey, Marilyn... Des prénoms de femmes pourtant si différentes, avec une chose en commun : toutes ont marqué l'histoire de la mode et de la presse people par leur beauté, leur élégance, parfois même leurs frasques. Retour sur quatre femmes propulsées au rang d'icône. Audrey Hepburn, l’élégance intemporelle  Actrice mainte fois reconnue par la critique et icône mode incontestable des années 50, la belle Audrey se démarque par sa frange courte et son style, résolument chic. Rendue célèbre par ses nombreux rôles au cinéma, notamment pour Vacances romaines et Diamants sur canapé, c’est pourtant à une carrière de danseuse que la jeune Audrey se destinait. D’une silhouette élancée, presque androgyne, et très maigre, elle est à l’antipode des canons de beauté de l’époque qui privilégient les formes pulpeuses à l’égard de la célèbre Marylin Monroe. Pourtant, le film Sabrina la propulse en icône mode, dés lors, elle puise sa popularité de sa différence. Grande amie du créateur Hubert de Givenchy, elle sublime ses créations iconiques à l’écran comme à la vie. Tout naturellement, elle s’impose comme une dictatrice du bon goût, faisant de sa maigreur et de son élégance ses principales qualités, et créant son propre style, loin des dictats de la mode. Petites robes noires, lunettes de soleil, collier de perles et grands chapeaux, Audrey Hepburn a su faire de son authenticité une véritable force.   Marylin Monroe, la sex-symbol incomprise Marylin Monroe étincellante dans sa robe satinée Très loin du style unique de la jolie Audrey, Marylin Monroe est la représentation de la pin-up des années 50. Petite, taille fine et courbes généreuses, elle se fait remarquer dans des petits rôles au cinéma avant de devenir le sex-symbol que l’on connaît. Véritable mythe, elle est plus connue pour ses amours tumultueux et ses nombreuses frasques que par son CV hollywoodien. Même si la belle Norma Jean Baker, de son vrai nom, décroche d’importants rôles comme dans Certains l’aime chaud en 1959, ce sont ses photos dénudées, sa chevelure blonde, son grain de beauté dessiné au crayon, sa robe soulevée par le vent au dessus d’une bouche d’aération ainsi que son fameux « Happy Birthday » et sa relation intime avec le président J.F.Kennedy qui construisent le mythe. Pourtant, vite enfermée dans le rôle de femme fatale qu’elle s’est créée mais qui ne lui ressemble pas, Marylin tombe en dépression. Elle se sent seule, réduite au stéréotype que son image lui renvoi et se perd dans l’alcool, les médicaments et les drogues. Cette triste descente aux enfers la conduira à sa perte, le 5 aout 1962. L’autopsie conclue à un suicide, bien que les circonstances de sa mort reste encore aujourd’hui mystérieuses. De sa mort est né un nouveau symbole. Celui d’une femme fragile, attachante, peut-être même incomprise. Mais plus que jamais, Marylin reste l’icône de beauté et de mode par excellence.  Jane Birkin, la baby-doll des sixties Jane Birkin en tee-shirt en jean flare. Source : instagram Icône du style dans les années 60 et 70, Jane introduit avec désinvolture des looks innovants et révolutionne la mode à tout jamais. Elle lance même des tendances qui marqueront notre époque, notamment le combo tee-shirt, jean, baskets. A lire également : Portrait de Cyril LignacOn retiendra surtout de Jane, son idylle tumultueuse et passionnelle avec Serge Gainsbourg, dont elle fût la muse pendant douze ans. Ils se sont rencontrés sur le tournage du film Slogan en 1968, alors que Jane avait seulement 22 ans et un charmant accent britannique. De leur amour est née la petite Charlotte. Malheureusement, le couple mythique se sépare suite à de nombreuses frasques de Gainsbarre. Entre alcool et violence, Jane rompt définitivement avec Serge en 1980. Icône préférée des Parisiennes dans les années 70, Jane lance la mode de la frange effilée. Son style, composé des pièces phares vues sur les podiums, devient une référence en la matière. Robe en grosse maille transparente, panier en osier, top en coton, jean flare… Autant de basiques qu’elle revisite à sa manière, et qui lui permettent de devenir une véritable pionnière de la mode !  Jackie Kennedy, l’incarnation BCBG Jackie Kennedy descendant de l'avion a l'aeroport de New York ou elle va etre nommée pour sa contribution à la culture et aux arts du New York University's Institute of Fine Arts, 17 octobre 1962 Première dame américaine intemporelle, Jackie Kennedy, de son vrai nom Jacqueline Bouvier, demeure une icône de style et de grâce qui ne cesse d’inspirer des millions de femmes. Dés son arrivé à la Maison Blanche au côté du président John Fitzgerald Kennedy, Jackie bouleverse les codes vestimentaires traditionnels. Désireuse d’incarner la modernité, elle porte, sans jamais aucun faux-pas, des robes élégantes monochrome. Plus que les vêtements, le carré court bouffant qu’arbore Jackie devient très vite un accessoire de mode que de nombreuses femmes s’empresseront d’imiter.  Presque aussi culte que la femme, personne n’oubliera le célèbre tailleur rose en maille bouclette qu’elle porte lorsque son mari se fait assassiner le 22 novembre 1963. Ce macabre tailleur apparaît d’ailleurs dans de nombreuses représentations de Jackie, notamment au cinéma. Tenues minimalistes, matières nobles, cheveux toujours bien coiffés, double rangée de perles autour du cou, Jackie s’est façonné un style unique. A la fois élégante et avant-gardiste, elle s’inspirait de l’élégance parisienne, sans toute fois trop en faire.  Et vous, quelle est votre icône mode favorite ? Quelles femmes vous inspirent au quotidien ? Read the full article
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engouffrement · 1 year
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je suis rendu madame pillules. j’ai des pillules pour tout. des pillules anti-suicide que je dois prendre chaque jour. des pillules pour m’endormir. des pillules que mes patients à l’hôpital prennent eux aussi, pour les crises d’anxiété. après y’a celles que je vole parce qu’elles font différent. je sors mes concoctions de pillules pis au lieu d’avoir mal je me gave de médicaments. c’est ça grandir peut-être. prendre ton seroquel pour éviter de contempler le suicide pendant 3h en pleurant. j’avoue que ça sauve ben du temps. c’est comme accepter que t’es malade pis te résigner à vivre au moins pour la soirée. au lieu de déranger tous tes amis pis leur faire peur toute la nuit. je prend mon fucking seroquel pis j’attend qu’il me fucking knock out parce que j’ai plus envie d’exister stp au moins pour 12 heures je veux rester dans seroqueland, où tout est tellement fucking paisible. Peut-être que ça va etre ca ma vie, vivre comme un putain de zombie dans le seroqueland
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